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all we have is now (camison)

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Louison ne comprenait pas ce qu’il venait de se produire ici, sur ce trottoir. Elle se laissait aller malgré elle. Tout la dépassait, elle aussi faisait ce qu’elle pouvait pour limiter la casse. Elle embrassa son ami et en véritable pile électrique, elle courut vers la voiture en adressant un joli doigt d’honneur à Camille « C’est toi qui a un gros cul, laisse le mien tranquille !! » hurla-t-elle dans la rue avant de s’infiltrer dans la caisse. Voilà, ils étaient enfin en route pour s’éclater les tympans. Louison restait pensive, observant du coin de l’oeil l’ex Mather bien mystérieux. Elle attendit que le moteur soit coupé pour lui adresser de nouveau la parole. « Merci d’être là pour moi… Je le mérite pas vraiment  » avoua-t-elle en serrant le poignet du jeune homme. « Allons-y » dit-elle calmement en sortant de la bagnole pour se faufiler dans la file d’attente assez mince. Rapidement, les deux étudiants avaient pu pénétrer dans le club. Louison fonça au bar et commanda un verre pour son ami. Elle s’abstiendrait pour le bébé ce soir, elle aurait sûrement d’autres opportunités de s’amuser. Elle attrapa ensuite un chewing gum dans son sac et le mâchouilla pour laver ses dents après son repas copieux. « Faut que tu reviennes à la Mather House… Y a la Rush Week bientôt… On pourrait être coloc de temps en temps là-bas...  » râla-t-elle tout en suivant approximativement le rythme de la musique.
« Je dois être bien plus fun que tes autres colocs j’suis sûre… Et plus sexe  » le taquina-t-elle en se retournant pour frotter son cul à lui, totalement morte de rire. Une vraie bipolaire.  
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Trop de bizarrerie entre nous alors que ses lèvres ont touché les miennes pour un furtif et bref baiser. Je ne me plains pas, j'aime sentir ses lèvres douces sur les miennes et je commence à en prendre goût même. Alors qu'on entre dans le véhicule, je lui lance une petite remarque sur ses fesses, sa réponse me fait rire mais au moins, elle n'a clairement pas perdu son humour. C'est déjà ça, ou elle fait semblant. Musique en place dans la voiture, la route ne fut clairement pas longue mais bien silencieuse. Alors que je me gare, éteignant ensuite le moteur du véhicule, Louison me remercie d'être là pour elle. Ah si tu le dis alors. Pas du tout d'accord avec ce qu'elle me dit là. On entre rapidement dans la boîte de nuit pour danser, la queue n'étant pas si grande ce soir là. On va s'amuser un petit peu, alors que je me prends un verre de vodka et ma meilleure amie du soda, elle me propose de revenir à la MH. J'me vois plus dans une maison, en fait, Louison... Tu t'y sens bien toi ? Parce que ouais, moi, personnellement, j'ai pas envie de me prendre la tête avec le fait d'être dans une maison. Alors qu'elle se frotte à moi, je me penche légèrement pour que ma bouche soit au niveau de ses oreilles. T'es la plus bandante, ouais. Le langage légendaire et cru, appelez moi Camille la brute.
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Louison questionnait son ami et essayait surtout de tirer sur sa corde sensible pour le faire revenir à la Mather House, sans succès. Camille en avait vraisemblablement fini avec les confréries, c’était pas plus mal. « Je m’y sens bien oui, y a des personnes supers cool là-bas et des cons aussi… comme partout hein » répondit-elle en roulant des yeux. La française se retourna ensuite et taquina son ami en frottant ses fesses contre lui. Elle s’était attendue à ce qu’il la repousse ou lui dise de se calmer, mais rien de tout ça n’arriva. Camille était chaud comme la braise, elle le sentait et c’était toujours aussi déroutant. Faussement outrée, la jeune femme avait pivoté légèrement sa tête en le dévisageant « Surveilles ton langage Bonaparte, en fait non, j’aime bien ce que tu dis » Elle attrapa ensuite l’arrière de la tête du jeune homme et l’amena un peu plus contre elle. Elle ferma aussitôt les yeux et ondula contre son corps, sentant son souffle s’abattre sur sa peau douce. « Touche moi, marque ton territoire » marmonna-t-elle en basculant sa tête sur son épaule, son dos toujours collé au torse du blondinet. Elle se retourna ensuite et mordilla sa lèvre inférieure pour lui montrer le feu qu’il avait commencé à allumer. Louison recula ensuite pour disparaître au travers de la foule, déroulant son index vers elle pour que Camille vienne à sa recherche. Au beau milieu du petit monde, la française commença à sautiller tout en levant ses mains vers le DJ qui mixait ce soir. Elle hurlait, chantait et se dandinait comme une folle, oubliant tout le reste. Tout à coup, un corps s’était plaqué contre le sien et quand elle tenta de savoir qui il s’agissait, elle fit face à un inconnu. Il fallait bien saluer son audace à ce gars, il l'avait cherché, elle se mit donc à le chauffer, se déhanchant un peu trop suggestivement devant lui. Il était où Camille là ? Secrètement, c'était lui qu'elle voulait narguer.
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Je me suis attendu à un truc de fou en allant à la MH, j'ai été rapidement déçu. Trop niannian, pas d'ambiance, la MH, ce n'est plus du tout comme c'était avant quand je suis arrivé à Harvard. J'aurai sûrement dû la rejoindre dès ma première année. Et maintenant, je danse avec elle, elle frotte ses fesses contre moi et j'en profite pleinement. Je souris à sa réponse alors qu'elle me fait m'approcher un peu plus d'elle, profitant alors des formes de la française, mes mains se baladant un peu partout sur son corps. Rapidement, j'ai chaud, rapidement je me sens un peu plus à l'aise avec Louison. Sauf qu'elle se détache de moi, s'éloigne alors je la suis, mais rapidement, la petite blonde se faufile entre les gens et je la perds de vue. Il y a un monde fou qui est arrivé en si peu de temps. Quand elle réapparait sous mes yeux, je la vois se frotter à un inconnu. Je vois rouge. Très rouge alors je m'approche de la blonde qui se pousse devant moi avant que moi-même, je ne dégage un peu trop fort cet inconnu qui tombe sur le cul. Je m'attends à une bagarre, mais rien. Il s'en va pour frotter une autre femme. T'es sérieuse ?! Que je crie dessus à ma meilleure amie, me rendant compte instantanément de l'excès de jalousie que j'ai eu. Alors, je lui tourne le dos, m'en vais au bar pour me prendre une vodka et la boire d'un trait une fois que je suis servi. Moi, jaloux ? Je ne l'ai jamais été, je ne me comprends pas moi-même.
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La tempête Louison avait disparu dans la foule, profitant de la musique à fond et des sensations que cela procurait en elle. Son coeur battait plus fort, elle se sentait carrément en transe. Dans son jean qui lui faisait des fesses de dingue, Louison se trémoussait contre un charmant inconnu. Elle n’avait plus aucune limite maintenant, la fille sage qui s’était préservée pour un mec qui l’avait trompé, c’était fini. Elle comptait profiter de sa liberté, tout en sachant qu’elle broierait du noir la seconde d’après. Tout à coup, alors qu’elle se donnait à coeur joie de séduire ce brun, la voix grave de Camille avait surplombé la musique. Le français avait aussitôt bousculé le coéquipier de Louison, l’envoyant carrément au sol avant de disparaître. Oh putain. C’était de ça qu’elle avait besoin et c’était dangereux. Totalement paniquée, la jeune femme qui n’en oubliait pas ses bonnes manières avait aider à relever le jeune homme « Toutes mes excuses » elle réajusta ses cheveux autour de son visage et partit à la recherche de son meilleur ami. Un verre à peine et il devenait fou ? Louison le retrouva près du bar et s’approcha timidement de lui. « Qu’est-ce qu’il t’arrive ? » lui demanda-t-elle en réprimant un rire nerveux « T’es jaloux ou quoi ? » Elle soupçonnait peu que son pote ait eu simplement envie de la protéger. Le regard glacial de Camille la transperça et Louison se sentit tout à coup minuscule, même si elle l’était déjà. « Tu m’excites là, la violence m’excite » avoua-t-elle en riant à gorge déployée, jetant sa tête en arrière tout en secouant sa chevelure blonde. Elle revint ensuite à lui et se plaqua contre son torse « Hmm… Bonaparte est jalouuuuuux » l’emmerda-t-elle en frottant les lèvres du blondinet de ses doigts pour lui faire faire des bruits trop bizarres. « Tu veux être au centre de mon attention c’est ça ? »
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J'aurai dû agir avec plus de calme, plus de discernement. Non, j'ai juste fait rétamé le mec en le poussant violemment et je me suis enfui au bar en laissant la blonde toute seule. Parce que je n'ai pas envie de m'énerver sur elle, je n'ai pas envie de passer mes nerfs sur elle. Qu'elle comprenne que je commence à avoir plus que de l'amitié dans ma tête pour elle. M'enfin, nous avons eu qu'une nuit ensemble à notre actif, mais déjà suffisant pour être l'élément déclencheur qui me fais prendre conscience de certaines choses. La française vient me retrouver, me demandant ce qu'il m'arrive et si j'ai été jaloux. Pour seule réponse, elle eut un regard plus que glacial, mais elle continua dans sa lancée en me taquinant. Sentant sa poitrine qui se colle à mon torse, elle joue avec mes lèvres. Me reculant la tête légèrement : Tu me soules, Louison. Que je réponds sèchement avant de prendre un troisième shot. Tequila, cette fois-ci, que je bois à nouveau d'un trait. Je m'en bats les couilles, va frotter des bites si c'est ce que tu veux. J'irai frottes des boules aussi. Que je m'exclame en français, n'ayant pas l'envie que les autres à côtés nous comprennent.
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Tout s’était passé très vite. Un comportement pareil ne pouvait être expliqué que d’une seule façon. Elle ne voulait juste pas y croire. C’était tôt, c’était dément, c’était dangereux. Louison ne voulait pas se l’avouer, mais Camille, c’était un peu la réplique d’Ezio. C’était tout bonnement des hommes à femmes. Elle ne voulait plus recommencer une telle histoire déchirante, teintée de jalousie, de craintes permanentes. Puis merde, elle risquait surtout de perdre un de ses plus fidèles amis en mélangeant des sentiments plus qu’amicaux. Louison ne voulait pas de conflits entre eux et pour tenter d’apaiser ces tensions naissantes, elle essaya de faire rire son ami avec ses gamineries mais fût confrontée à un mur. Elle arqua un sourcil quand il la repoussa pour boire un verre de plus. Elle tripota ses propres lèvres à son tour, totalement gênée de ce qu’il venait de gueuler en français « Ta gueule ! t’es sérieux toi aussi ? T’as pété ton câble » se braqua-t-elle en demandant un shot à son tour. Elle l’enfila au fond de sa gorge tout en défiant le français du regard. Elle déposa violemment son verre sur le comptoir et sauta à son cou pour dévorer sa bouche et chatouiller sa langue. Louison attendit de ne plus avoir de souffle pour se détacher de lui et coller son front au sien. Les néons au dessus de leurs têtes teintaient leur visage de différentes couleurs. La française plongea ses prunelles dans celles de son ami et esquissa un sourire ensorcelant « C’pas bien ce qu’on fait Bonaparte » articula-t-elle en attrapant ses fesses pour se plaquer à lui « Ça va, ce soir, j’frotte que ta bite t'es content ? »
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La colère m'envahit rapidement, trop rapidement et je perds rapidement pied. Louison voit là une image qu'elle n'a sûrement pas vu depuis longtemps, qu'elle ne connait probablement pas. Elle m'a déjà vu énervé et enragé, pour autant cela n'a jamais été sur elle. Des mots vulgaire et méchant à son encontre, elle me répond tout aussi méchamment. Mais, je ne réponds pas du tout, je n'en ai pas l'envie, j'ai bu mon verre et elle fait de même. Sauf qu'après qu'elle ait bu son verre, c'est à mon cou qu'elle saute pour m'embrasser et j'en profite pleinement. Putain, deux lunatiques totalement pour le coup. Son front contre le mien, elle m'avoue que ce n'est pas bien ce que l'on fait, j'hausse simplement mes épaules. Ce n'est pas correct, pourtant c'est tellement bon. Il vaut mieux, Chamberlain. Que je lui réponds alors que je l'embrasse à nouveau tout juste à près. Prenant sa main pour l'amener sur la piste, danser avec elle comme des fous. Putain, Louison, j'ai envie de toi. Là, maintenant. Que je lui dis simplement alors qu'elle continue à se frotter à moi.
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La jeune femme en avait tant rêvé autrefois. C’était peut être pervers, mais Louison s’était souvent imaginée à la place de sa Ivy adorée, la Ivy parfaite qu’elle avait parfois étranglé dans ses songes. Aujourd’hui, la Louison à binocles avait évolué. Elle prenait sa revanche. Ce qui se passait entre eux était pour l’instant indescriptible, la française ne souhaitait en aucun y mettre des mots. Elle se laissa plutôt conduire sur la piste de danse et releva ses bras au dessus de sa tête tout en remuant son bassin lascivement contre l’étudiant « Commeeeeent ? » cria-t-elle en faisant exprès de ne pas avoir entendu ses propos « On va nous arrêter pour exhibitionnisme  si on baise ici » cria-t-elle en gesticulant devant lui, toute aussi excitée que son ex-Mather. « Je vais finir par croire que je suis une drogue, tu veux que je te donne une autre dose de moi bébé ? » plaisanta-t-elle en attrapant son visage pour apporter sa bouche à la sienne. Elle rompit ensuite le baiser fougueux et laissa dériver ses lèvres vers son oreille « On peut le faire dans la voiture… ou sur le parking, j’sentirais même pas qu’il fait -10 sous tes coups de bassin… c’est juste ta queue qui risque de rester minuscule avec ce froid… » lui murmura-t-elle avant de griffer sauvagement son torse.
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Elle m'excite. Elle m'a toujours excité en réalité, mais c'est bien ces derniers-jours que je me rencontre du pouvoir imposant que la française a sur moi. Elle se retourne vers moi, je finis par hausser les épaules. Elle est peut-être ma drogue, je l'assume pleinement en tout cas. Enfin, mensonge, je ne peux pas assumer une telle chose, je n'y arrive tout simplement pas. Elle attrape mes joues, collant sa bouche à la mienne pour un baiser de fou. Viens. Que je dis seulement en attrapant la main de la blonde pour la faire sortir de la discothèque et l'amener jusqu'à la voiture, garée non loin. Prenant le volant, je décide de changer de place. Trop voyant ici. OK, c'parti. Que je balance alors que je roule rapidement pour trouver un coin assez isolé, une petite ruelle. Je finis par arrêter le contact, laissant juste le chauffage réchauffait l'habitacle. Tournant ma tête vers Louison, ma main glisse doucement sous sa cuisse. Elle est habillée d'une jupe, ses cuisses sont cachées par son collant mais ma main parvient à son intimité ou à travers le collant et sa culotte, j'arrive à la toucher. Je crois que je t'ai pris au mot... Que je lui murmure à l'oreille.
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