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Nevada&Alek - You're the angel from my dreams

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Nevada & Alek
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• J’ai longtemps tourné dans les bars à la recherche d’une proie pour l’un de mes défis, sauf qu’au jour d’aujourd’hui, j’ai arrêté tout ça, j’ai plus besoin de toutes ces conneries, j’suis passé au-dessus de tout ça et j’me suis rangé si l’on peut dire. Mais, y’a une chose qui me dérange dans les bars, c’est toutes ces gamines inconscientes et n’ayant pas froid aux yeux… Prenons l’exemple d’une gamine que j’ai croisé un jour, je dis gamine, mais elle devait avoir genre dix-sept ans, peut-être… Direct, cash. Elle, elle n’avait pas peur de l’alcool. Celle-ci, elle voulait être mal ce soir, ou alors, c’était pour faire l’intéressante et finir complètement déchiré, dans un pot de fleur à vomir ces tripes tels une gamine qui découvrait l’alcool et qui avait voulu jouer la maligne. Les gens la voyait rentrer dans le bar, commander une vodka, la boire cul sec pour faire sa belle et voilà, c’est fini. Cette gamine n’avait vraiment rien comprit. Elle croyait surement que sa réputation allait se faire ici, qu’elle allait passer pour une warrior qui peu dégommer une vodka cul sec sans avoir aucun symptôme. Mon cul ouais, un verre de plus et elle gerbe ces boyaux elle. C’était un peu ça la mentalité des jeunes de nos jours, toujours dans l’excès, toujours en faire plus, toujours vouloir paraitre plus grande. Mais arrête les conneries putain, c’est pas en te démontant la tête à coup de vokda que tu vas avoir la classe, tu vas plutôt avoir l’air d’une grosse clocharde qui boit juste pour s’amuser et non pas pour boire, et surtout, une conne qui va finir par vomir et qui se réveillera avec un putain de mal de crane. On vit vraiment dans un monde où tout tourne à l’envers, et même j’suis pas le plus con d’Harvard, cela ne m’aidais pas à comprendre comment, et surtout pourquoi ces gamines d’à peine seize ans se prenait déjà pour des grandes, à vouloir se faire fourrer dans une piscine ou se faire prendre par un gars dans les toilettes, débile. La seule chose qu’elle risquerait de gagner ce soir, en plus d’une bonne plâtré de vomis, ça serait un viol. Bah ouais, elle fait sa grande, elle fait sa belle, mais elle croit que rien ne pourra lui arriver, que jamais elle n’aurait à faire à un connard qui voudrait la prendre dans un coin et se la taper. Mais réfléchis deux secondes, tu verras que tu n’es pas à l’abri et qu’une couille peut arriver très vite, alors merde, rentre chez toi, fou toi devant ta télé et regarde un Disney, joue à la Barbie ou fait un truc de ton âge, mais bordel, arrête de trainer dans les bars alors que t’es même pas majeur. Ouais, ce genre d’énergumène avait le don d’énerver le professeur, il ne supportait pas voir des gamines complètement torché alors qu’elle n’avait même pas encore atteint la puberté, façon de parler bien sûr. Bref, on s’en tape, cette petite conne allait surement se prendre une bonne cuite et rentrer chez elle sans aucun problème, du moins, c’est j’espérais. Mais cessons de parler d’elle. •

• Je pense qu’ont étaient légèrement retombé dans l’enfance avec cette pâtes à crêpe. J’étais torse nue et elle avait encore son soutien-gorge, je ne sais pas si elle allait le garder longtemps par contre. Elle avait beau me regarder avec son petit regard enfantin, je savais très bien ce qu’elle avait derrière la tête, elle n’allait pas s’arrêter là, elle allait continuer ce petit jeux qu’on venait à peine de commencer. " Attends, laisse-moi te recoiffer, chéri. " … " Voilà c’est bien mieux ainsi. " Je le savais, je commençais à bien la connaitre, juste un regard m’avait suffi à savoir ce qu’elle avait prévu de faire, et je ne m’étais pas trompé, me voilà avec de la pâte à crêpe plein les cheveux… J’m’en tape un peu en fait, tout ce que je vois, c’est ce moment de rire que je passe avec la belle. J’vais laisser son visage d’ange clean, mais le reste de son corps va y passer, j’peux vous le dire. Me rapprochant d’elle, je déposa un doux baisé sur ces lèvres avant de prendre de la pâte entre mes mains pour venir la glisser dans le soutien-gorge de la belle. Un large sourire sur le visage, je regarda mon travail avant de prendre la parole. « C’est que je ferais un bon chirurgien, regarde, ça te fait des seins un peu plus gros ! » La prenant par la main, je l’emmena en direction de ma salle de bain pour la placer face au miroir pour qu’elle puisse se regarder. « Mon cœur, t’es la plus belle du monde ! » Ouais, même avec cette pâte à crêpe un peu partout sur elle, je la trouvais sexy. Je crois que c’était ça l’amour, rien à battre du maquillage, rien à battre des beaux vêtements, rien à battre des cheveux en merde, dans n’importe quel situation je la trouve parfaite. •




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S'attacher à quelqu'un plus qu'à sa propre vie, c'est loin d'être quelque chose d’anodin. Faut être timbrée pour tout donner à quelqu'un sans rien demander en retour si ce n'est de l'attention. Cela peut paraître fou de faire autant confiance si vite et pourtant, c'est bel et bien ce que j'ai choisi de faire. J'ai enterré mes vieux démons, mes craintes et détruit mes chaînes qui m'empêchaient d'aller de l'avant et j'ai foncé tête baissé vers l'inconnu, vers un avenir que j'ai toujours rêvé d'avoir. J'en ai fini de ce passé de femme fatale, qui finit dans le lit d'un mec pour oublier un temps soit peu la solitude, finit les relations sans être investie à fond. Bon après faut dire que je suis tombée sur pas mal de connards qui ont un peu abusée de ma gentillesse pour me tromper ou bien qui me voulait juste pour compléter leur joli tableau de chasse. Ils s'en mordent peut être les doigts mais bien fait pour leur gueule, ils avaient qu'à utiliser leur cerveau au bon moment. Bon au moment j'aurais appris une chose grâce à eux, si l'on donne pas assez d'amour, on n'en reçoit pas non plus. J'ai peut être pas été assez bonne dans le rôle de la petite amie, enfin peut être qu'il s'attendait à autre chose avec moi. Mais bon j'y peux rien si aucun d'entre eux n'a réussi à réellement faire battre mon coeur, ce n'était juste pas les bons pour moi. A la différence d'aujourd'hui, où je sens vraiment au plus profond de moi qu'il y a ce je ne sais quoi qui nous lie Alek et moi. Deux âmes perdues qui se retrouvent et qui connaissent déjà tout l'une de l'autre sans même avoir besoin de parler. A l'origine je suis pas une fille qui fait dans le romantique non je suis plutôt terre à terre mais là je crois à notre conte de fée. Je m'en fous de passer pour l'amoureuse transie qui se jetterait du haut d'une falaise si son prince disparaissait. Dis comme ça, ça fait ultra niais mais bon je m'en cache pas. Si je suis heureuse, j'ai envie que tout le monde le sache parce que merde quoi c'est le sentiment le plus beau qui existe au monde d'être amoureux. C'est horrible le pouvoir qu'Alek peut avoir sur moi, j'aurais jamais cru qu'un garçon me fasse autant vaciller pourtant j'en ai aimer 2 ou 3 mais jamais au point de m'imaginer vraiment quelque chose de concret avec eux mais voilà aujourd'hui j'ai grandi, j'ai plus peur de l'avenir comme auparavant. Bon j'ai évolué bien qu'en ce moment j'ai l'impression de redevenir une adolescente qui découvre l'amour pour la première fois, une vrai sainte vierge! Franchement j'avais du mal à me faire à l'idée sue je devienne un jour comme ça mais bon qu'est ce que vous voulez ce sentiment de bonheur intense peut vous changer en bien. Fini d'aller batifoler ailleurs, je ne me contentais plus que de lui et ça me convenait entièrement. Dans cette cuisine, nous étions redevenus de vrais gamins. Visiblement nous ne savions pas nous tenir en place plus de deux minutes mais c'est ce grain de folie dans notre couple qui nous rendait unique. Malgré mes valeurs et mes principes, je n'avais pas hésité une seule seconde à jouer avec de la nourriture. De toute façon ça m'étonne fort que Dieu me punisse pour cette acte futile. Malgré la crasse que je venais de lui faire dans ses cheveux blonds (comme les blés ...), il m'offrit tout de même un baiser. Enfin sûrement un geste pour s'excuser d'avance avant de me foutre une belle et épaisse couche de pâte dans mon soutien gorge rouge vif. Je jetais un coup d'oeil à ma soudaine énorme poitrine avant de relever la tête vers Alek. Regard stupéfait." C’est que je ferais un bon chirurgien, regarde, ça te fait des seins un peu plus gros ! " Je fis la moue, mes seins étaient bien: beaux et naturels, moi je les adore." T'as de la chance que je t'aime. " Sans me laisser le temps de me défendre, il m'empoigna pour me planter devant le miroir de la salle de bain. Franchement ça faisait un beau portrait, lui avec ses cheveux en pagaille et moi avec ma poitrine refaite! J'espérais que personne nous voit comme ça sinon on nous prendrait pour des grands malades." Mon cœur, t’es la plus belle du monde ! " Je penchais la tête, sourire niais au bord des lèvres. Mon coeur chavirait, animé par cet amour intense que je pouvais éprouver. Je n'avais plus qu'une envie, rester indéfiniment dans ses bras. Si je pouvais rester enfermée jour et nuit à ses côtés, j'accepterai sans problème. Je caressais sa joue, les yeux toujours plongé dans le miroir qui nous reflétait et cette image était pour moi synonyme de perfection." Sans cette mixture collante sur ma poitrine, je suis sûre que je serais encore plus belle. Tu veux bien m'aider à l'enlever? " Alors que je me retournai pour attraper ses lèvres et me délecter de leur goût exquis dont je suis devenue accro. Et puis merde tiens il avait gagner cette bataille de nourriture enfin surtout à cause des compliments qu'il avait dit à mon attention. De toute façon le plus important n'était pas de gagner mais de l'avoir à mes côtés. Je voulais en profiter à fond, de lui, de son corps. Je l'aimais et personne ne pouvait m'enlever cela.

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• Tout le monde c'est déjà posé cette question fatidique, la question qui remet en cause toute votre existence, celle de votre place sur cette terre, comment êtes-vous arrivé sur cette terre, à cet endroit, dans votre famille. Quel hasard a mené vos parents à se rencontre, quel même hasard à mener vos grand parents, vos arrière grand parents, vos arrière arrière grand parents à se rencontrer, quel hasard, qui a voulu qu'ils se rencontrent ? Comment tout ça s’est passé ? L'histoire de la rencontre de vos grands parents est racontée à presque tous les repas de famille. Dans ce temps-là, les hommes rentraient de la guerre et les femmes étaient en cuisine, les hommes étaient devenu pour la plupart des machos, des hommes fatigué de cette guerre, de ces morts, de cette vie. Si le regard de vos parents ne se seraient pas croisé, vous n'aurez peut-être pas été là à ce moment-là à lire ce texte, vous serez peut être ailleurs, dans un autre corps, un autre esprit, à lire autre chose, sans vous demandez ce qu'aurait été votre vie si vous aurez été quelqu'un d'autre. Certaines personnes envie la vie des inconnus qu'ils croisent dans la rue, ces personnes affichant un style décontracté, sur d'eux, avec une grosse montre, de beaux bijoux, des vêtements de marque, une belle voiture, l'envie est un péché parmi tant d'autre, une œuvre de Satan pour convertir les hommes au mal selon les dire de certains croyants, mais vous saurez que les pêcheurs ne dorment jamais. Est-ce que Alek Ezra Lewis-Kennedy croyait en Dieu ? En cette légende poussant certaines personnes à croire à une divinité, à des peintures, des sculptures, plusieurs livres nommé Testament ou Bible ? Non, Alek ne c'était jamais vraiment intéressé à la religion, il respectait ces personnes qui pouvait y croire, mais personnellement, il ne croyait pas qu'une puissance non humaine pouvait contrôler ce monde, décider de la vie et de la mort, il ne voulait pas y croire, il ne pouvait pas y croire... Ce n'était pas la bataille d'Alésia qui était en train de se dérouler dans les cuisines de chez Lewis-Kennedy, mais une toute autre bataille, celle opposant une femme et un homme pour aucune raison. Leurs arment étaient la nourriture, leurs force était leurs bras, leurs bouclier étaient les meubles. Elle ne durerait que quelques minutes, mais cette bataille devra me faire sortir le balai. Mais, je m’en moquais, j’en avais rien à faire de devoir faire le ménage après, je voulais juste profiter de ce moment enfantin qu’ont vivaient. C’est ce qui me faisait apprécier cette si belle relation que l’ont vivaient, cette façon qu’ont avaient de se replonger dans l’enfance, ces moments que deux gamins auraient pu passer. •

• Une fois dans ma salle de bain, je lui montra cette nouvelle poitrine qu’elle venait d’acquérir grâce à la pâte à crêpe pas finit que je lui avais mis dans son beau soutien-gorge. « Sans cette mixture collante sur ma poitrine, je suis sûre que je serais encore plus belle. Tu veux bien m'aider à l'enlever? » C’est pas le genre de truc qui faut me dire deux fois ça en fait, de l’aider à enlever toute cette connerie que je lui avais glisser dans le soutien-gorge. Ont étaient face à ce miroir, et on avait vraiment l’air de deux gamins, mais, j’aimais cette image, j’aimais ce que tout ça dégageait, cette amour passionnel. Sans avoir le temps de lui répondre, elle se retourna pour m’embrasser amoureusement. Je laissa mes mains caresser ces joues tout en continuant de l’embrasser jusqu’au moment où je retira mes lèvres des siennes. Passant mes mains dans son dos, je retira son soutien-gorge pour le déposer sur le lavabo avant de venir enlever toute la pâte à crêpe qui se trouvait sur ces seins. Une fois terminer, je déposa deux baisés sur la poitrine de la belle avant de la serrer dans mes bras tout en prenant la parole. « Voilà, là, ils sont parfait ! Nevada dans mes bras, je laissa l’une de mes mains entrer dans la douche pour allumer l’eau qui commença à couler à l’intérieur. Regardant la femme que j’aimais avec un sourire malicieux, je lui demanda. « Cap ou pas cap d’aller sous la douche habillé ? » Au point où j’en étais, j’en avais rien à faire d’aller sous la douche habillé… J’voulais juste m’amuser un peu, autant être enfant jusqu’au bout, non ? •





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Avant quand je regardais mon reflet dans le miroir ou à la surface de l’eau, je ne voyais rien, un immense vide, dénué de sens, de vie, de peps, de couleur. Il y a bien des personnes qui me taperaient pour oser dire cela, de me plaindre de ma vie qui semble pourtant si belle si on regarde à première vue. D’abord j’ai des amis, de la famille, je ne suis pas seule quoi comme une vieille fille qui vit avec une dizaine de chats, enfin presque. Depuis toute petite j’ai baignée dans l’amour, dans l’argent aussi avec un niveau de vie supérieur à la moyenne bien que je n’en ai jamais abusée, c’est loin d’être mon genre. Qu’est ce que j’ai d’autres ? Un toit au dessus de ma tête, je ne sais pas ce que c’est que de vivre dehors dans le froid l’hiver et ça ce n’est pas négligeable. Et le summum, je fais des études, après avoir fréquenté un lycée bien réputé en France, j’ai atterrit à Harvard et ce grâce à mes facilités intellectuelles. J’étudie dans le domaine qui me plait. Bref, à mon humble avis des millions de personnes envieraient ma place et moi je me plains de ma vie plate et monocorde, comme si elle n’avait aucun intérêt à être vécue. Durant des mois, j’ai pensé cela, derrière mon sourire, je cachais ce mal être en moi, parce que j’étais certaine que les gens ne me comprendraient pas tandis que moi je croyais dur comme fer qu’il manquait un je ne sais quoi en moi. Cette petite chose qui ferait toute la différence. Ce manque j’ai essayé de le combler en cherchant la compagnie des hommes mais très vite je me lassai. Dépitée par toutes mes aventures je m’étais limite fait à l’idée que je mourrais seule, parce que personne voudrait de moi. Mais voilà bim il y a quelque chose, une chose mieux que l’amour ou la passion m’est tombé dessus : lui. Je le savais dès que nos lèvres se sont effleurés, que cette étincelle dans ma vie c’était lui, que je retrouverai un monde plein de couleurs. Enfin mon existence servirait à quelque chose, et j’avais cette volonté de changer de passer de la femme fatale à la petite amie parfaite. Je n’avais pas envie qu’il regrette son choix, de m’offrir son cœur, et puis je voulais plus causer de mal comme j’avais pu le faire par le passé. Surtout que quand je nous regarde maintenant dans ce miroir je m’imagine qu’un jour nous seront plus, que d’autres visages radieux viendront compléter cette image. J’en avais envie comme jamais, je ne l’avais peut être pas encore dit à voix haute mais un jour je sais que ça viendra.

Avec mes yeux de chien perdu, j’avais joué à la fille innocente, bien que j’étais loin de l’être, pour qu’il vienne m’aider à me nettoyer toute la cochonnerie qui dégoulinait sur ma poitrine. Une façon de me faire pardonner sûrement. Qui plus j’avais pas pu m’empêcher d’aller chercher ses lèvres quelques secondes, de me coller à lui, laissant au passage un peu de pate à crêpe sur son torse… Déjà lorsqu’il passa sa main dans mon dos, je frissonnai comme au premier jour. Finalement ma poitrine fut mise à nue, pour lui laisser main libre afin de la nettoyer convenablement. Je le regardais là à prendre soin de moi, enfin de mon corps, laissant ses mains divaguaient là où il souhaitait. Quelques minutes plus tard je me trouvais dans ses bras." Voilà, là, ils sont parfait ! " Je plongeai mon regard dans le sien, qu’est ce que j’étais bien là contre lui." Merci t’es un amour " Sourire à bord des lèvres, il fit couler l’eau de la douche, je ne pus m’empêcher d’avoir un petit rire. Après tout une douche serait peut être pas mal, parce que ses cheveux étaient encore tout collés entre eux, le pauvre quand même, il risquerait d’avoir du mal à enlever tout ça." Cap ou pas cap d’aller sous la douche habillé ? " Portant mon index à la bouche, je levais les yeux au ciel quelques secondes, le laissant patienter comme j’aimais le faire." Cap évidemment, j’ai pas peur de l’eau. " Même pas j’avais fini ma phrase, que je le poussais dans la douche l’emportant avec moi. Evidemment je ne me fis pas prier, pour le placer pile sous le jet d’eau. Je regardais le doux spectacle qui se déroulait sous mes yeux, à savoir le corps de mon homme dégoulinant de la tête au pied. Un large sourire éclaira mon visage, toutes ses conneries me rendaient heureuse, voir euphorique. Je finis par me plaquer à lui, mes mains remontant dans son dos alors que j’allai lui murmurer quelques mots." Toi aussi t’es tout propre maintenant. " Je déposai un bisou sur sa joue, puis sur le coin de ses lèvres. Je restai sage bien que je ne résisterai pas longtemps, j’en étais certaine. J’étais beaucoup trop faible en sa compagnie et encore plus dans ces circonstances. En même temps il a volé mon cœur, qu’est ce que j’y peux.

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• Malheureusement pour vous, vous êtes seul, vraiment seul, sans personne pour vous aider, à l'abandon dans ce monde hostile, dans ces rues qu'on pourraient comparer à une jungle Amazonienne vu la foule qui passe chaque jours, chaque heures, chaque minutes, et vous avez pour but d'aller au pied de cet arc en ciel, pour trouver le trésor qui se trouve à son pied. Ce mythe, cette légende, beaucoup d'entre nous y ont cru plus jeune, et d'autre continue d'y croire, sauf qu'il n'ose pas l'avouer, soit par peur de passer pour un enfant, une personne pas très bien dans sa tête, dans sa peau, ou bien car ils ne veulent pas attirer les moqueries sur eux. Ce chemin qui pourra vous faire marcher toutes votre vie, ce moment où vous allez apercevoir cette merveille de la nature, ce phénomène unique, vous allez le suivre, lui courir après, et puis... Envolé, cet espoir, ce petit moment d'adrénaline aura disparu, et vous, vous serez là, prêt à attendre son arrivé pour y retourner, parcourir une fois de plus ce chemin qui peut être sans fin, pour trouver ce trésor... Cette légende pourrait être comparé à cette recherche permanente de l'âme sœur par certaine personnes, cette envie de plaire, de trouver la personne qui vous est destiné, votre rayon de soleil, votre arc en ciel, celle ou celui qui vous fera sourire et rire à n'importe quel moment de votre vie, celle que vous trouverez toujours magnifique le matin au réveil, celle que vous trouverez autant sexy, que ça soit en tenue de soirée ou au lit, complètement malade avec quarante de fièvre ou débordante de joie, ça sera elle, celle pour qui votre cœur battra, celle que vous comparerez à votre trésor. Vous aurez marché pendant plusieurs jours, plusieurs semaines, plusieurs mois, et même plusieurs années pour certains, marcher pour chercher votre trésor, cette femme ou cet homme qui vous rendra heureux et qui vous aidera à avancer, cette personne pour qui vous aimerez vous faire beau, cette personne que vous essayerez de reconquérir chaque jours, vivre chaque instant à ces cotés comme si c'était le dernier que vous passez à ces côtés. Sortir, marcher, visiter des endroits, des lieux, faire les magasins, la conseiller dans le choix de vêtements à acheter, lui demander conseil, l'aider quand quelques choses va mal, partager des souvenirs avec elle, crée votre vie, un petit bout de votre avenir, pouvoir vous projeter quelques mois dans le futur. J’ai trouvé cette personne, j’ai trouvé la femme avec qui je voulais passer mes jours, celle avec qui je passais ma vie. Putain, vous n’imaginez même pas à quel point ça me fait du bien, à quel point j’aime cette sensation qu’elle me procure. Vous savez, quand vous êtes prêt à risquer votre vie pour une personne, quand un simple regard vous suffit pour vous comprendre, quand c’est la première personne à qui vous pensez au réveil et la dernière à qui vous pensez avant d’aller vous couchez, vous savez que c’est elle, vous savez que c’est avec elle que vous désirez faire votre vie. Et, c’est ce que je voulais, je voulais passer ma vie avec Neva. •

• Bref, c’est la première fois que Nevada venait dans mon appartement, je lui avais fait visiter pour ensuite commencer par la regarder préparer des crêpes. Elle n’eut même pas le temps de finir de préparer la pâte qu’ont étaient déjà comme des gamins à jouer avec en s’en lançant dessus. La salle de bain est l’endroit où nous étions à présent, et, après s’être regardé dans le miroir, je l’avais aidé à enlever toute cette pâte que je lui avais glissée dans le soutien-gorge. " Cap évidemment, j’ai pas peur de l’eau. " Alors comme ça elle n’avait pas peur de l’eau ? Ni une ni deux, elle me poussa doucement sous la douche pour me mettre sous le jet d’eau qui m’avait trempé en un rien de temps. Pas grave, de toute façon, c’était le but, je ferais sécher nos vêtements et puis voilà. La regardant en souriant, je passais délicatement mes mains dans ces cheveux pour retirer ceux qui se trouvaient devant son visage angélique. " Toi aussi t’es tout propre maintenant. " Sentant les lèvres de la belle se posé sur le coin des miennes, je la serra contre moi tout en lui enlevant doucement son jean. Un sourire aux lèvres, je pris la parole. « C’est toi la plus belle… Mais, je pense qu’on devrait enlever nos habits, une douche ça se prend nu… » Bah quoi ? C’est vrai, ont allaient pas rester habiller… Alors, sans plus attendre, je laissa son jean ainsi que le dernier sous-vêtement qu’elle avait sur elle glisser le long de ces jambes pour les jeter hors de la douche et ensuite faire de même avec les miens. Prenant son visage entre mes mains, je l’embrassa amoureusement. « Je nous imagine bien avoir notre appart à nous, ça pourrait être drôle ! » Caressant sensuellement le corps de la belle, je la plaqua contre les parois de la douche pour venir me coller à elle, passant doucement ma main le long de son corps, effleurant ces lèvres. J’avais envie qu’elle me montre la Neva tigresse qu’elle savait si bien faire… •





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Ce n’est pas chose facile que de trouver sa place dans la société. Parfois il peut y avoir plusieurs possibilités qui s’offrent à nous et il est donc difficile de choisir mais parfois c’est plus compliqué pour des raisons qui ne dépendent pas de nous malheureusement. Certaines choses peuvent facilement freiner notre évolution, notre envie d’atteindre le haut de la pyramide. Ca peut venir de plusieurs choses, de notre milieu social, de notre famille, de notre religion, de notre santé, de notre couleur de peau. C’est d’ailleurs l’une des principales raisons qui faisait que j’admirais mon père, un afro américain natif du Bronx à une période où le racisme était encore présent dans les esprits de certaines personnes. Et pourtant il avait réussi à gravir les échelons pour arriver à la tête d’une grande entreprise. Sincèrement je crois que j’en aurais pas été capable, je n’avais sans doute pas le courage nécessaire pour avoir la force de me battre contre certains préjugés du fait de ma sensibilité. Heureusement qu’aujourd’hui le racisme s’était raréfié sinon je ne serais peut être pas là aujourd’hui dans cette prestigieuse université, je n’aurais pas cette vie, ce confort financier. Tout cela je le devais bien à mes parents mais qu’est ce que j’avais fait pour eux ? Pas grand-chose, mis à part les rendre fiers peut être ? Ca pourrait être suffisant mais je n’étais pas satisfaite. D’après moi je pouvais faire mieux mais je savais que ça n’arriverait pas tout de suite. Avant je devais finir mes études pour ensuite voler de mes propres aile, trouver un job, pour ne plus que mes parents subviennent encore à mes quelques besoins et faire ma vie, me construire réellement. Mais écrire sa vie, son histoire dans la solitude, c’est fade et sans goût. Dans ce cas ça ne vaut même pas d’être vécu. C’est toujours mieux de s’entourer, de profiter de la compagnie des gens pour découvrir ce que la vie nous réserve. Puis on a toujours besoin de personnes pour nous épauler en cas de besoin, partager nos moments de joie ou de peine. Sauf que maintenant je n’avais besoin que d’une seule personne dans ma vie, je n’en délaissai pas pour autant les autres mais je crois que sans lui ma vie ne serait plus la même. Il avait su la rendre pétillante, et je ne pouvais tout simplement pas laisser échapper ce bonheur. J’étais bel et bien décidée à m’y attacher fermement comme si c’était la dernière bouée de secours à laquelle je pouvais m’accrocher.

Il m’avait fait retomber en enfance avec ses bêtises de jouer avec de la nourriture. Je suis certaine qu’avec lui, je pourrais faire les pires conneries au monde. Je serais prête à le suivre par amour n’importe où, n’importe quand et pour n’importe quoi, juste pour être avec lui, c’est tout ce que souhaite. Je veux même mourir dans ses bras, c’est glauque mais c’est beau. Voilà que nous continuions nos conneries à finir sous la douche à moitié habillés étant donné qu’on avait déjà perdu quelques vêtements en chemin. C’était tellement con, peut être que je n’aurais pas ri que quelqu’un me mette sous la douche comme ça avec mes vêtements mais avec lui tout était différent et je souriais comme une gamine, amusée de toutes les conneries qu’elle venait de faire. C’est des choses tellement simples vu comme ça mais faire tout ça avec le mec qui te fait vibrer et bien ça a un tout autre sens à vrai dire, c’est limite poétique." C’est toi la plus belle… Mais, je pense qu’on devrait enlever nos habits, une douche ça se prend nu… " Qu’est ce que j’étais bien là dans ses bras, j’avais chaud même si l’eau était tiède, mais cela n’avais pas d’importance elle pouvait être glacial, le moment resterait agréable j’en étais certaine." T’as peut être raison, ce sera bizarre sinon. " De toute manière il ne m’avait même pas laissé le temps de répondre que nos vêtements étaient déjà loin de nous. Une bonne chose de faite. La douceur de ses lèvres contre les miennes me rendit tout de suite fébrile." Je nous imagine bien avoir notre appart à nous, ça pourrait être drôle ! " Un petit rire nerveux s’échappa de ma bouche, alors que la seconde d’après je me retrouvais coincée entre la paroi de la douche et mon Apollon. Prions pour que la douche soit résistance, je ne voudrais pas casser un truc chez lui dès le premier jour quand même !" Un appartement qui se transformerait très vite en champ de bataille oui. " Il s’amusa à titiller ma peau de sa main, je me délectai de ses caresses, m’en mordillant la lèvre inférieure. Ma respiration se faisait déjà haletante, c’est indéniable nos deux corps s’appelaient. On ne pouvait plus rien faire, et j’aurais du mal vraiment beaucoup même à me contrôler longtemps. " C’est injuste tu ne m’as même pas laissé la possibilité de t’enlever tes derniers vêtements, je devrais te punir pour ça… " dis-je en le repoussant de quelques centimètres. Histoire de me venger, je décidai de le laisser un peu languir de moi, couvrant néanmoins sa nuque, son torse, ses lèvres de baisers. Ma jambe s’enroulant autour de la sienne, remontant lentement. J’avais moi-même de la difficulté à laisser encore quelques secondes passées mais le jeu en valait la chandelle, j’en étais certaine. Je m’amusai à faire des cercles à l’aide de mon doigt sur son buste. De toute façon, je ne comptais pas le laisser dominer tout le temps, ça il pouvait en être certain.

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HJ: Cadeau de Noël Nevada&Alek - You're the angel from my dreams - Page 3 3997999705
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