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Nevada&Alek - You're the angel from my dreams

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Nevada & Alek
« You're the angel from my dreams »

• Imagine un instant qu’il ne te reste plus qu’une journée à vivre avant de devoir tout quitter et partir à l’inconnu. Imagine que tu n’es pas le choix, que demain à neuf heure du matin, tu devras prendre le volant et partir en direction de cet endroit dont tu ne connais rien, de ce lieu loin de tout, ou tu ne pourras pas avoir de nouvelles de tes amis avant sept, voir huit ans quand tu pourras enfin sortir de là-bas. Comment procéderais-tu ? Partirais-tu sans prévenir quitte à passer pour mort ? Organiserais-tu toute ta journée en plaçant chaque personne à une place, un ordre que tu suivrais à la lettre pour dire adieu à tout le monde, ou alors tu ferais comme si de rien était et tu ferais en sorte de ne pas y aller ? Dans la vie, plusieurs choix s’offres à nous, qu’ils soient bon ou mauvais, c’est à nous de savoir analyser la chose pour savoir comment s’en sortir, comment avancer dans tout ça. S’il ne me restait qu’une journée à vivre avec mes proches, j’en profiterais au maximum, mais, je les préviendrais, je leur ferait savoir qu’à partir de demain, je ne serais plus-là pour rigoler avec eux, qu’à partir de demain, ils devront faire en sorte de m’oublier pour ne pas avoir mal, pour ne pas avoir tous ces foutus souvenir de moi qui les boufferaient de l’intérieur du fait que je ne sois plus là pour rigoler, pour sourire, pour parler tout simplement. Profiter serait mon mot, dire aux personnes que je les aime, leurs dire que j’aurais passé de bons moments avec eux mais que désormais, pendant plusieurs années, il allait fallait m’oublier jusqu’au jour où je puisse revenir, et que, si ce jour, je me retrouve seul, je ne leur en voudrais pas, car après tout, c’est logique, c’est normal. Ça se trouve, j’aurais changé, je serais une autre personne, un autre homme totalement différent de celui que j’ai été, de celui qu’ils ont connu. Endurci par le temps, ravagé par les épreuves. Plus du tout le même gars qu’avant, loin de là même, l’opposé total… J’ai jamais vraiment imaginé ma vie autrement que celle que j’ai en ce moment, j’ai jamais réfléchi à ce que je deviendrais si du jour au lendemain tout ce que j’avais, tout ce que je possédais s’écroulait sous mes pieds tel un vieux jeu de carte envolé par le courant d’air d’une fenêtre ouverte. J’ai pas vraiment réfléchi à cette journée, journée forte en émotion surement. J’irais prendre un verre avec mes amis, je rigolerais avec eux, ensuite, j’irais voir Nevada, et je lui dirais à quel point je l’aime, à quel point ma vie était si parfaite à ces côtés. Le soir, on sortirait tous faire la fête dans un bar, comme si on fêtait mon départ, et, en rentrant, je passerais la nuit avec Nevada, appréciant le parfum de ces lèvres et la chaleur de son corps contre le mien une dernière fois. Et pour finir, je me lèverais, ma valise en main, et je quitterais tout ça, je disparaitrais bien que je n’en aurais aucune envie, et là, je débuterais une nouvelle vie dans un autre endroit, je changerais de nom, nouveau permis, nouvelle photo d’identité, nouveau job, jusqu’au jour où je pourrais enfin revoir Nevada, jusqu’au jour où elle pourra me rejoindre, ce jour qui sera signe de renaissance pour moi, ont pourra finir notre vie ensemble, reprendre notre relation là où elle s’est arrêté… •

• Sans Nevada, j’étais perdu, sans elle, je n’avais plus envie d’avancer, de faire quelque chose de bien, sans elle, j’étais comme un orphelin, comme une mouche lâché dans une toile d’araignée, je ne servais plus à rien, livré à l’abandon, à la solitude, je n’étais bon qu’à vivre une vie totalement opposé à la mienne, une vie ou je ne m’y plairais pas. Bref, pour le moment, j’avais cette vie parfaite dont je rêvais depuis si longtemps. Ont venaient de terminer de faire les courses et je l’avais emmené à mon appartement. C’était la première fois qu’elle y mettait les pieds, elle allait enfin pouvoir voir là où j’habitais, l’endroit qui allait être son deuxième chez soi. Ne pouvant m’empêcher de sourire aux phrases qu’elle me disait, je la regardais en souriant, la taquinant un peu à certain moment. C’est après quelques minutes qu’ont arriva à destination, face à chez moi, j’entra la clef dans la serrure quand la belle prit la parole. « Promis je serai sage et je ne mettrai pas le bazar chez toi. Je n’ai pas envie que tu me renvoies. » Me retournant pour la regarder, je passa une main sur sa joue avant de déposer un doux baisé sur ces lèvres. Qu’est-ce qu’elle m’avait manqué. Je n’étais pas le genre de gars à m’exhiber en plein lui public, j’avais un minimum de respect pour les gens qui nous entouraient. « Si c’est pas toi, c’est moi qui le mettra alors… » Tournant la clef dans la serrure, je poussa la porte pour laisser entrer l’étudiante que je suivis avant de refermer la porte derrière nous. Déposant les clefs à l’entrée, j’enleva ma veste que je posa sur le porte manteau pour ensuite aller déposer les courses dans la cuisine, revenant vers la belle qui n’avait toujours pas bouger de l’entrée, je passa mes mains sur ces hanches pour prendre la parole. « Mon cœur, bienvenue chez toi ! » Bon, je ne savais pas vraiment si elle allait aimer, si la déco ou autre allait lui plaire, après tout, un garçon qui vis seul chez lui… Bref, lui tendant la main, j’attendis qu’elle l’attrapa pour lui faire visiter un peu mon appartement. •




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C’est fou comme le temps passe vite, n’est ce pas, quand on arrive à la vingtaine on se rend compte qu’on a déjà vécu pleins d’étapes en regardant derrière nous. De plus nos parents ne cessent de nous rappeler le temps qui file avec leurs réflexions du style comme quoi leur bébé on bien grandit, qu’ils nous revoient gazouiller dans notre berceau alors que maintenant on est devenus une belle plante. C’est vrai quoi en vingt ans il s’en passe des choses. Tu viens au monde ne sachant pas parler et ne faisant que parler et te voilà maintenant du haut de tes 1m71, toute fière à l’université, t’es devenue une grande quoi pas encore vraiment adulte parce que t’as pas encore pleins de responsabilités mais pourtant t’en as vécu des choses. Il y a eu les bons moments, tellement d’ailleurs comme les anniversaires et les Noël en famille, les vacances entre amis à faire les fous, les fêtes jusqu’au bout de la nuit, les premiers amours aussi, les diplômes obtenus haut la main et puis tant d’autres qu’il est impossible de tout citer. Hélas, des trucs moins marrants ont eux aussi leur place dans ta vie, le divorce de tes parents, les bobos plus ou moins graves, les déceptions en amitié, les premier déboires amoureux, faire face à la mort. Tout ça, le bon et le mauvais, c’est ce qui t’as forgé, a fait de toi cette femme pleine d’assurance et confiante en elle que tu as réussis à intégrer dans la société. Non parce que ça aussi c’est pas facile de trouver sa place dans le monde, faire son trou comme on dit, et s’entourer de personnes de confiance avec qui tu sais que tu pourras toujours compter sur eux et ceux même dans les 10, 20, 50 années à venir. D’ailleurs on m’a déjà demandé comment je vois ma vie dans les années à venir, c’est une bonne question, sur le coup je ne savais pas quoi trop quoi répondre. En même temps, pour moi j’ai encore le temps de réfléchir à mon avenir et même de changer mon point de vue sur la chose, y’a que les imbéciles qui changent pas d’avis après tout. Donc jamais je ne me suis vraiment attarder sur la chose, définissant mot par mot ce que je souhaiterais devenir. Cela dit depuis quelques semaines, ce floue devant moi devenait rapidement plus claire, dorénavant j’arrivais mieux à transposer mon futur, à établir clairement un dessin dans ma tête. C’est fou comme à deux les choses deviennent tout de suite plus faciles, qu’on peut s’imaginer tout un tas de trucs qui avant paraissaient inaccessibles et lointaines.

L’élément déclencheur de cette soudaine prise de conscience ne tenait qu’à un seul nom qui résonnait dans ma tête jours et nuits, Alek. Quand j’y pense, c’est tellement bizarre de se dire que j’ai retrouvé l’amour à Harvard alors qu’en y arrivant ici, je pensais m’en être éloigné mais voilà entre temps j’ai évolué, j’ai découvert beaucoup de choses sur moi et que je n’avais plus à avoir peur de blessé un homme à nouveau, que j’étais à nouveau capable d’aimer et encore le mot est faible. Quoique je ne sais pas s’il existe quelque chose de plus fort que l’amour ? La passion peut être ? En tout cas ce dont j’étais certaine, c’est que mes sentiments à l’égard du jeune homme étaient plus que sincères, jamais je n’avais aimé un homme de la sorte. Je croyais fermement au fait que désormais nous ne formions plus qu’un, ça peut paraître niais à souhait et pourtant c’est bel et bien ce que je ressentais au fond de moi. A présent, je ne faisais que suivre mon cœur qui me disait de m’accrocher fermement à Alek et de ne plus jamais le quitter. Nous voilà, face à son appartement, attendant qu’il ouvre la porte afin que je mette, pour la première fois, un pied dans son intimité. Je n’avais pu m’empêcher une petite remarque, peut être stressée à l’idée d’entrer dans ce lieu et pourtant je n’avais pas de crainte à avoir et il me le prouva par un baiser délicat, ce à quoi je ne pus m’empêcher de sourire comme une gamine. A chaque fois que je sentais ces lèvres sur les miennes, ca me faisait comme si c’était la première fois. « Si c’est pas toi, c’est moi qui le mettra alors… » Je sais pas pourquoi mais ça ne m’étonnait pas de lui à vrai dire. Je savais qu’il était toujours prêt à faire les pires conneries qui existent au mon et il a du s’en passer des bonnes chez lui. Je franchissais le pas de la porte suivit par Alek. Je restai planté là à regarder autour de moi, alors que je déduisais qu’il était parti poser les courses effectuées quelques minutes plus tôt. Revenant vers moi, ses mains posaient sur mes hanches, ce qui au passage me fit frisonner « Mon cœur, bienvenue chez toi ! » J’affichais un large sourire sur mes lèvres, je ne sais pas pourquoi mais je sentais que j’allais passer beaucoup de temps ici à présent. Je prenais finalement la parole, car bizarrement moi qui étais si bavarde d’habitude, je n’avais pas ouvert la bouche depuis de longues minutes. « Mon chez moi ? Ca me plait déjà. » Je déposai mes affaires au sol, attrapant par la suite sa main qui m’invitait à en découvrir plus. J’allais faire ma curieuse comme une gamine enfin je n’irais pas jusqu’à étudier les moindres recoins de son appart, non plus, après tout il en faisait ce qu’il voulait, ça rester sa propriété privée. « J’ai le droit à une visite privée visiblement. Je te suis alors. » dis-je avant d’aller me coller à lui, enlaçant sa main. Maintenant que nous n’étions plus en public, je prenais à nouveau mes libertés avec lui, je n’allais pas m’en priver après tout.

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• On a tous cherché à atteindre le bonheur, et certain y travaille encore, vous pourrez trouver plusieurs définitions en posant la question à différente personnes, que ça soit la définition classique, celle qui dit que ce sentiment est un état durable de plénitude et de satisfaction, état agréable et équilibré de l'esprit et du corps, d'où la souffrance, le stress, l'inquiétude et le trouble sont absents, ensuite vous aurez la définition d’une personne ne voyant que par l’argent, cette personne aura surement une belle vie, un père avocat et une mère médecin, ne manquant jamais de rien, voulant être le meilleur, le plus fort dans tous ce qu’il entreprend, la plus grosse voiture, la plus belle villa, la plus grande piscine, les vêtements les plus cher, il sera surement marié pour la quatrième fois à une bimbo blonde refaite de partout avec des lèvres énormes et tout ça à seulement trente-deux ans, et pour cette homme aux cheveux plaqués en arrière, il vous dira que le bonheur est d’avoir plusieurs comptes en banque comptant plusieurs millions de dollars et de pouvoir se moucher dans un billet tellement il en a, définition qui, notons-le, est complètement débile et déplacé devant une personne dans le besoin. Ensuite, on aura la définition totalement opposé, celle d’un vieil homme atteignant la cinquantaine mais à qui on pourrait donner limite soixante ans, cet homme qui a l’âge de dix ans a arrêté l’école pour aller travailler dans d’immense champs ou il ramassera des pommes de terre ou bien des cailloux, tout ça pour un misérable salaire. A vingt ans il sera parti travailler en usine, il aura fait plusieurs petits boulots pour pouvoir vivre, décharger des camions, ranger des pièces dans des cartons, bricoler par ci par là, il aura une grande expérience, mais depuis ces douze ans, il n’aura pas arrêter de travailler, ayant quelques vacances de temps en temps, il en profita pour faire un peu de travaux chez lui ou bien chez des amis, ayant passé sa vie à travailler pour pouvoir se nourrir sa famille et lui, payer le loyer, faire plaisir à ces enfants car son bonheur sera passé après le leur, cet homme n’aura pas eu une vie à nager dans l’argent, alors pour lui, il restera simple en répondant à sa question, il vous répondra que le bonheur est pour lui la vie en général, le fait d’avoir vécu sa vie sans avoir beaucoup d’argent ne le dérangeait pas car son bonheur à lui était sa famille, sa femme, ces enfants, pour lui, la phrase bien connu qui dit que l’argent ne fait pas le bonheur sera en parfaite association avec sa façon de penser, sa façon d’être et d’agir. Maintenant, changeons de personne, car là, on a fait les total opposés, d’un côté l’on trouvé le connard friqué se croyant au-dessus de tout le monde, je vous emmerde vous, au passage, et de l’autre, le père de famille attachant et ayant ces propres valeurs, alors maintenant, tournons-nous plutôt vers un jeune, le jeune moyen de nos jours arrive à avoir de l’argent normalement, que ça soit en travaillant ou en touchant une bourse, pour la plupart, ils sont encore au lycée ou bien à l’université continuant leurs études de droits ou de médecines pour citer les matières qui reviennent le plus. •

• Le bonheur, je l’avais atteint, j’avais enfin trouvé cette clef et cette serrure et j’avais décidé de l’ouvrir, d’y accéder et ne plus jamais rouvrir cette porte pour en sortir. Ce bonheur se prénommait Nevada. Depuis le jour ou mes lèvres avaient effleuré les siennes, j’avais été transporté dans un autre monde loin du notre, loin de celui que l’ont avaient connu, et je ne comptais pas en sortir, j’étais si bien, jamais je n’avais ressenti ce sentiment auparavant, jamais je n’avais été si bien avec une fille, et, depuis que j’ai mis les pieds sur cette terre, j’avais enfin pu me projeter dans le futur, chose que je n’avais jamais arrivé à faire. Et, dans ce futur, je me voyais dans une belle maison, un beau travail, de beaux enfants, et tout ça, avec Nevada, je me voyais finir ma vie à ces côtés, je n’avais aucune envie d’avoir une autre petite amie, car Neva, c’était plus. Au jour d’aujourd’hui, je ne la considérais pas juste comme une petite amie, c’était beaucoup plus, c’était beaucoup plus fort que tout ça, et je ne sais pas s’il y avait un mot ou plusieurs pour expliquer ce que je ressentais pour elle. Une fois à l’intérieur de mon appartement, je lui fis savoir que c’était aussi chez elle et je vis un large sourire se dessiner sur son visage. « J’ai le droit à une visite privée visiblement. Je te suis alors. » Son bonheur était le mien. Je lui avais tendu la main pour lui faire visiter mon appartement. Une fois ces doigts enlacé entre les miens, je me plaça derrière elle, la serrant contre moi prenant ces deux mains entre les miennes puis je commença la visite… « Alors… Ici, le salon… Ensuite, la cuisine… Puis… Ma chambre… Après hm… La porte là, c’est les toilettes, et celle à côté, la salle de bain… » Visite assez rapide, disons que je n’ai pas non plus un grand appartement luxueux avec six chambres et sept salle de bain. Revenant en direction du salon, je me laissa tomber en arrière sur le canapé entrainant la belle avec moi. J’aimais cette vie de couple qu’on avait, cette petite vie paisible qu’ont menaient, j’avais l’impression de la connaitre depuis toujours. Replaçant les cheveux de la belle derrière ces oreilles, je pris la parole. « T’en penses quoi de ta deuxième maison alors ? »





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Il y a toujours cette question qui restera pour l’homme, le grand mystère, je parle bien évidemment de ce qui vient après la mort. Comme si on n’avait pas déjà assez de notre vie à penser, il faut qu’en plus on nous embobine sur des questions dont on n’aura jamais les réponses. En même temps il me semble plus logique de s’occuper d’abord de notre vie que de se préoccuper de notre mort, on verra bien ce que ça donnera après tout. Ce n’est que sur le moment qu’on saura si le paradis ou l’enfer existent vraiment, si on a été assez bons pour pouvoir pénétrer dans le jardin d’Eden ou bien trop immonde qu’on se voit jeter dans les limbes les plus profondes. D’ailleurs tout le monde se demande à quoi ressemble le paradis, je n’ai jamais posé d’avis là-dessus à vrai dire, je pense un peu comme l’unanimité des personnes qui s’imagine un grand jardin verdoyant avec des petites maisons, l’on n’y mange à notre faim et où réside la paix. Ca doit être un truc du style, le genre de choses qu’on peut voir dans les films et qui en somme ne servent qu’à nous rassurer. Même les personnes les plus fortes psychologiquement parlant doivent avoir peur de la mort, ca me semble normal car on sait tous qu’un jour on n’y passera mais les seules inconnues restent où, quand et comment ? Parce que vu tout ce que l’on entend aux informations donnent froid dans le dos, surtout quand on se dit qu’on pourrait ne pas avoir le droit à une mort digne et dans le respect. Au fond tout ce qu’on espère et moi la première, c’est s’éteindre entourée de sa famille, dans sa dernière demeure, le sourire aux lèvres, promettant à ses proches que tout ira bien, et ce entouré d’amour et le plus tard possible surtout. Je trouve ça abominable de mourir jeune, sans avoir vu tout ce que la vie a à nous offrir, et ne pas avoir connu les plaisirs les plus simples. D’ailleurs je crois que je ne supporterais de voir un de mes enfants partir avant moi, c’est la peur de toutes les mères et même sans avoir encore d’enfant je le comprends. Je prie donc pour que ce genre de tragédie n’arrive jamais à ma famille, enfin je ne le souhaite à aucuns parents pour tout dire. Enfin tout ça pour dire que comme toute personne sur terre, il m’arrive parfois de penser à la mort, un sujet banale mais à la fois tellement tabou dont il est parfois difficile de parler.

A cet instant mes pensées étaient loin d’être négative, non elles étaient roses et me transportaient. Comme toutes les fois, où je me trouvais avec Alek, j’avais la tête dans les nuages, plus rien n’existait autour de moi à part nos cœurs battant à l’unisson. L’amour me rendrait-il aveugle ? Sûrement mais je n’en avais nullement honte car c’est le plus cadeau qu’il existe au monde, en aucun cas je me voyais le refuser. Il m’avait offert il y a quelques semaines maintenant et je ne m’en lassai pas, jour après jour je le chérissais, et entretenais cette petite flamme entre nous pour que jamais, elle ne s’éteigne. De toute façon, il n’y avait aucuns nuages à l’horizon et j’osais espérer qu’ils se tiennent au loin encore longtemps. Mais cela ne m’empêchait pas de profiter de chaque seconde passé avec lui comme si c’était la dernière et cela rendait tout ça encore plus beau. Alek ne cessait de me captivait, de m’étonnait de jour en jour, exactement ce que je recherchais dans une vie de couple plutôt normal mais toujours avec ce petit grain de folie qui faisait la différence, et nous rendait uniques. C’est donc fermement cramponné à lui que je me laissais guider dans l’appartement déambulant à travers toutes les pièces qui le composait, souriant toujours un peu plus à chaque pas. En soi, la chose paraissait anodine, mais elle avait là une signification particulière, je trouve que c’est toujours une étape dans un couple de voir où l’autre habite, fait sa vie. Revenus à notre point de départ à savoir le salon, je me retrouvais en un rien de temps, invitée sur le canapé sans un mot. C’était loin de me déplaire, si j’étais avec lui, c’était pour ce genre de moment, pourvoir le prendre dans mes bras quand je le voulais, parler sans crainte d’être jugée. « T’en penses quoi de ta deuxième maison alors ? » Je m’installais confortablement, assise de profil sur Alek, mes jambes étalées sur le reste du canapé et mes bras entourant son cou. De cette façon, je pouvais clairement voir son visage à quelques centimètres seulement du mien. « Je l’adopte tout de suite, ce n’est pas comparable à ma chambre chez les Quincy. Nettement mieux, je dois dire. » Cela dit la chose que j’aimais par-dessus tout dans ce lieu, c’était la personne qui s’y trouvait, de toute manière, il aurait pu avoir un studio miteux, un palace, une cabane dans les bois, cela n’enlevait rien à l’amour que je portais à son attention. Je ne me fis pas prier pour le lui prouver, en portant mes lèvres aux siennes, un baiser langoureux qui dévia jusque dans sa nuque, juste pour jouer un peu. « Le canapé est pas mal non plus, confortable ça je ne sais pas vu la position dans laquelle je me trouve mais bon il me semble plutôt bien à première vue. » Comme quoi je n’avais pas toute ma tête parfois, en sa présence, je pouvais dire des trucs donc on s’en fout complètement et qui plus est d’une manière sensuelle. Parfois je me fais vraiment peur. Espérons juste qu’il ne pousse pas à terre à cause de mes idioties. Mais bon j’y peux rien, si j’ai plus les idées claires à son simple contact. Pour paraître moins bête et stupide, j’affichais un sourire sur mon visage mais celui-ci était lin d’être forcé, vu comment je nageais dans le bonheur à l’état pur.

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• Vous vous voyez un jour tomber de haut, vous ne comprenez pas ce qui vous arrivent. C'est si soudain, si improbable que vous ne voulez pas y croire, vous vous demandez si vous rêver, si c'est vraiment ce qu'il vient de se dire, si vous avez bien comprit, si c'est un message, vous le relisez plusieurs fois jusqu'au moment où vous n'arrivez plus à lire tellement cela vous surprend et que vos yeux sont sorti de leurs orbites prêt à tomber à vos pieds. Si c'est un message vocal, vous l'écoutez jusqu'à ne plus pouvoir supporter cette voix qui vous rabâche le même discours. Tout ça vous énerve, mais vous n'y pouvez rien. C'est comme si la planète devenait de plus en plus petite, que la pièce dans laquelle vous vous trouvez faisait de même jusqu'à vous oppressez et vous faire devenir claustrophobe... Tout ça n'était qu'un rêve, ou plutôt un cauchemar... C'était la fin du rêve qu'avait fait cette nuit Lewis. Tout se passait très vite, mais il arrivait à se rappeler de chaque détail, de chaque moment. Tout commença par une rencontre, une jeune femme, de deux ans de moins que l'étudiant en philosophie. Une blonde avec de longs cheveux ondulés, plutôt une brune teinte en blonde, un beau visage, de belle forme, une mentalité à envier. Quelques mots échanger, puis des phrases, pour finir par des numéros qui se conclurent en rendez-vous... Un an plus tard, l'étudiant alla rejoindre la jeune femme dans un parc, stresser, il ne savait pas pourquoi, mais dans son rêve, il était sûr que c'était le jour où il allait se passer quelques choses. La blonde était devenu brune et c'était couper les cheveux aux épaules, la teinture avait disparu laissant place à sa couleur d'origine, elle était encore plus belle mais l'étudiant n'osait pas lui dire. Des mots, un câlin, et un baiser... C'est comme ça que la relation entre les deux étudiants évolua. Lewis-Kennedy revit cette jeune femme le lendemain, puis le jour d'après, et encore celui d'après. Il aimait la prendre dans on bras, à chaque respiration de son parfum, il était posé sur un petit nuage et ne voulait pas en descendre. Oui, Lewis était belle et bien tomber amoureux. Mais un jour, il reçut un message de cette jeune femme quelques minutes après l'avoir laissé monter dans son bus " Désoler mais je crois que on ne va pas pouvoir continuer ensemble... Désolé... ", C’est à ce moment-là que le sourire qui c'était afficher à la lecture du prénom de la jeune femme sur son portable se mit à disparaitre faisant place à un visage sans plus aucune expression. Il ne comprenait pas ce qui était en train de lui arriver. Les personnes déambulait autour de lui, mais lui restait immobile sans comprendre et en relisant le message phrases après phrases, mots après mots, lettres après lettres... Il ne comprenait pas. Il voulut comprendre, mais elle n'avait pas vraiment d'explication non plus, pendant plusieurs mois il voulut essayer de retourner avec elle, même si elle lui avait fait du mal, il l'aimait. Ce sentiment-là était présent dans son rêve, l'amour, il sentait son cœur battre. Après quelques semaines, les deux étudiants était de nouveau ensemble, mais en tant que simple amis, ou alors, c'est ce qu'il voulait se dire, peut être que c'était mieux ainsi, mais dans son rêve, même vers la fin, il avait toujours se sentiments et ce petit pincement au cœur quand ils se voyaient qui était présent... Peut-être était-il toujours amoureux ? Il ne savait pas, mais à chaque fois son rêve se finissait sur un gros plan du visage de la belle femme souriant... L'étudiant n'aimait pas se réveiller après ce genre de rêve, car cette femme n'était qu'une pure imagination, une fille des étoiles, irréelle et dans sa tête... •

• Ce rêve qui m’a si longtemps marqué avait disparu depuis plusieurs semaines. J’ai longtemps cru que l’amour et moi n’étions pas amis, que je n’aurais pas la chance de trouver cette âme-sœur qui m’attendait peut-être quelque part, mais, étonnement, il arriva pour me frapper en plein visage, me changeant à jamais. Je ne m’y attendais pas, j’avais pas prévu tout ça, mais, j’en étais heureux. L’arrivé de Nevada dans ma vie avait tout changé, et en bien. J’étais désormais heureux, comblé, et je n’avais plus envie de la quitter. Chaque jour passé loin d’elle me rongeait de l’intérieur, je ressentais ce manque, j’étais devenue accro à elle, et j’aimais ça, j’aimais cette sensation, mais, ce que j’aimais encore plus, c’est lorsque je l’a retrouvais, c’est lorsqu’on parlaient ensemble, lorsqu’ont rigolaient, qu’ont passaient des moments d’intimités, quand je pouvais sentir ces lèvres contre les miennes, quand je la voyais sourire, quand je la voyais heureuse tout simplement. Ont venaient de rentrer du supermarché ou l’ont avaient fait deux trois courses, et, j’avais enfin fait visité mon appartement à Nevada, appartement où elle pouvait y passer ces journées, appartement où elle pourrait avoir la clef, appartement qui serait le sien, tout simplement. « Je l’adopte tout de suite, ce n’est pas comparable à ma chambre chez les Quincy. Nettement mieux, je dois dire. » Assise sur moi et ayant passé ces bras autour de mon cou, la belle venait de répondre à ma question. Souriant, j’étais heureux qu’elle adopte mon chez moi, c’est ce que je voulais, qu’elle se sente bien ici, qu’elle n’ait pas peur ou je ne sais quoi. Alors, laissant mes mains caresser doucement le dos de cette dernière, je lui répondis. « Tu pourras même y ajouter ta touche féminine, histoire que ça déchire ici ! » Laissant ces lèvres entrer une fois de plus en contact avec les miennes, j’apprécia ce doux baisé qu’elle m’offrait, le prolongeant un peu plus. J’étais tellement bien comme ça que j’aimerais arrêter le temps, tout stopper et passer ma vie de cette façon-là. « Le canapé est pas mal non plus, confortable ça je ne sais pas vu la position dans laquelle je me trouve mais bon il me semble plutôt bien à première vue. » Ne pouvant m’empêcher de rire à sa phrase, j’aimais ce côté drôle qu’elle avait, ces petites phrases qu’elle pouvait sortir et qui me faisait tant rire. Passant une main sur sa joue, j’approcha mes lèvres des siennes, m’arrêtant à quelques millimètres pour lui répondre. « Je peux t’assurer qu’il est confortable… » Marquant un blanc, je l’embrassa amoureusement avant de reprendre ma phrase. « Tu sais que je t’aime ? » J’aimais lui dire que je l’aimais, j’avais envie de la rendre heureuse, de la voir sourire tout le temps… •






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On a tous des rêves, des désirs inassouvis qu’on attend d’être atteint, vécu. Mais dans quel but ? Explorer un plus notre moi intérieur, dépasser ses limites, se prouver à nous même qu’on est prêt à tout pour tenir dans sa main l’objet tant attendu, ressentir une émotion. Si on ne se fixe pas des buts, des rêves alors la vie ne vaut pas d’être vécu. Ca sert à quoi d’avoir une vie plate et monotone où tu te lèves, manges, brosses les dents, travaille, fait le ménage, mange, dort et tout ça indéfiniment ? A rien franchement, et c’est encore plus nul si t’as fait des études mais que tu ne trouves pas de job dans le domaine que tu veux. Ah non franchement ça c’est le pire des cauchemars éveillé que je puisse vivre, prions pour que cela ne m’arrive jamais. Je n’ai pas fait tout ce chemin, ni des études à Harvard pour rien. L’échec très peu pour moi, quand je me fixe un but c’est pour l’atteindre, et pas le voir éclater en mille morceaux à cause de je ne sais quoi. Je suis ambitieuse, c’est une qualité non, comme un défaut à vrai dire parce que je ne lâche jamais rien que ce soit niveau boulot, social, ou tout autre raison. On ne dirait pas comme ça je suis une gentille fille mais une battante, prête à toujours obtenir ce que je veux, quitte à devenir méchante parfois. Comme quoi je cache parfois bien moins jeu mais bon je vous rassure, moi méchante c’est extrêmement rare ou alors c’est qu’il faut vraiment me pousser à bout ou toucher à des personnes auxquelles je tiens comme à la prunelle de mes yeux. Toucher à mes proches, c’est vraiment la pire des choses qu’on puisse me faire, tout à fait ce que je n’accepte pas. On pourrait me prendre pour une mère poule mais je m’en fous, ma famille et mes amis c’est vraiment tout ce qui compte dans ma vie, mes amours encore plus. Même mes exs, je leur accorde encore de l’importance, en général, c’est pour dire. Donc oui si vous ne voulez pas voir mon mauvais côté, vaut mieux pas que vous touchiez aux personnes qui font que j’évolue grâce à eux. Ils me permettent d’être qui je suis car seul on est rien, si j’en suis où je suis aujourd’hui c’est grâce à toutes ces personnes qui ont croisés, croisent ou croiseront mon chemin. La vie sociale est la base chez l’homme, toute notre vie repose sur nos rencontres bonnes ou mauvaises, encore présentes à nos côtés ou non. L’être humain ne peut pas vivre seul, c’est bien connu, s’il s’est sédentarisé s’est bien pour une chose, pour être plus fort. Et qu’importe ce que l’on dise, on a plus de pouvoirs en groupe que seul.

Le pouvoir je m’en fichais, moi, tout ce que je voulais c’est que mon bonheur dure éternellement. Je m’en foutais même si à l’avenir, je devenais pauvre ou riche, en bonne santé ou malade, au moins j’étais heureuse, et c’était le plus cadeau qu’on pouvait m’offrir. Alek m’avait délivré de la solitude qui s’était installé dans mon cœur durant des années, je ne savais pas trop comment il s’y était pris, mais visiblement il avait ce pouvoir de faire de moi la femme la plus comblée du monde. J’exagérais peut être alors que nous n’étions qu’au début de notre relation, et pourtant c’est véritablement ce que je ressentais au fond de moi, cette chaleur qui vous transporte de secondes en secondes à chacun de ses gestes, chacune de ses paroles. Rien que le fait de penser à lui, me guérissais quand j’avais un coup de blues. Aucun autre ne pourra prendre sa place dans mon cœur, j’en donne ma main à couper. Mon choix était fait, c’était lui ou personne d’autre. Confortablement installé sur lui, j’étais bien décider de profiter de sa personne. J’avais du mal à me passer de lui, je l’avouais alors quand je le retrouvais, je faisais tout pour passer le plus de temps à ses côtés. Sa proposition de pouvoir venir chez lui quand je voulais et même d’y apporter un peu de moi dedans, me comblait de joie, même si je n’étais pas du genre à m’imposer chez les autres, enfin « autre » il était bien plus évidemment. Son rire qui se fit entendre à travers toute la pièce, me décocha une fois de plus un de ces sourires niais mais tendre à la fois. Il était sadique de laisser qu’un faible espace entre nos deux lèvres, alors que j’étais faible pour lui résister, je m’en mordillai même la lèvre. « Je peux t’assurer qu’il est confortable… » S’il le dit, alors c’est que c’est vrai, après tout il est le maître des lieux non. Je me délectai de son baiser qui vint enfin après les quelques minutes où il m’a fait languir de plaisir. Je me vengerai plus tard, ça il pouvait en être sûr. « Tu sais que je t’aime ? » A chaque fois que j’entendais ces mots, j’avais l’impression que mon cœur sortait de ma poitrine, que le temps s’arrêtait pour que ces mots résonnent encore plus dans ma tête. Je penchais la tête, attendrie comme tout le temps. « En tout cas, j’aime bien t’entendre le dire. » En même temps quelle fille est insensible à ses mots, pas moi en tout cas, car j’étais totalement consciente du sens qu’il prenait lorsqu’ils étaient dit de la manière la plus sincère qui soit. « Je t’aime aussi comme je n’ai jamais aimé auparavant. » C’est vrai j’avais eu des histoires avant Alek mais aucune ne m’avait autant transporté que celle que j’étais en train de vivre. J’espérais d’ailleurs que celle-ci ne prenne jamais fin car j’étais vraiment prête à construire un avenir. Après quelques secondes, je me levais, malgré le fait que j’étais bien ici mais j’avais d’autres idées en tête. Je prenais sa main dans la mienne « Bon alors tu veux que je t’apprennes à cuisiner ou pas ? Non pas que je doute de tes talents en cuisine mais je connais quelques trucs pas mal aussi. » dis-je en ponctuant la fin de ma phrase d’un clin d’œil. Bon d’accord, j’avais peut être dit ça parce que je commençais à avoir faim mais bon j’aime bien manger en bonne compagnie aussi, c’est tout de suite plus agréable et ça prend une tout autre dimension surtout avec lui.

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HJ: je suis super désolé pour le retard Nevada&Alek - You're the angel from my dreams - Page 2 3087562708 en échange je te fais profiter de ce smiley :whuut:
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• On a toujours tous cherché un modèle à qui ressembler, une personne à suivre, à citer, une personne que l’on pourrait presque copier, une personne qui nous inspire, nous donne envie de réussir, qui nous fait nous sentir humain plus fort, sans vraiment avoir trop de complexe. Ce modèle est souvent associé à la figure paternel dès notre plus jeune âge, voir son père travailler, le voir faire la cuisine et souvent tout rater car ce rôle-là, c’est plutôt notre mère qui y arrive mieux, vouloir le suivre dans toutes ces sorties, que ça soit aller dans le garage pour sortir la voiture et la nettoyer, aller à la pêche avec lui, dans les magasins même si c’est seulement pour acheter une baguette de pain, le voir vieillir et se dire qu’un jour, ça sera à notre tour, se demander comment il a fait pour avoir réussi sa vie, car même si en réalité, vous vivez dans la misère, votre famille sera là, et vous ne verrez rien d’autre contrairement à tous ces enfants de bourges qui n’attendent que le décès d’un des grands parents pour hériter de leurs fortune. Pour vous, petit garçon, votre père est l’homme à qui vous voulez ressemblez plus tard, vous adoptez la même démarche, la même façon de parler, car du haut de vos six ans, vous trouvez ça cool. Et puis pour vous, jeune petite fille, l’envie de ressembler à votre mère est aussi présente que celle d’un garçon qui a pour modèle son père. Sortir dans les magasins pour s’acheter des chaussures, essayer de faire des crêpes que vous allez rater les premières fois, essayez les chaussures à talons de votre mère juste pour avoir l’impression d’être une femme, d’être une dame comme vous dites. A cet âge-là, vous ne cherchez pas à ressembler à un de ces nouveaux rappeurs que vous voyez à la télé et qui vous fait croire qu’il y a des filles faciles partout, vous ne cherchez pas non plus à ressembler à un de ces guitaristes d’un groupe de rock qui fait sensation en ce moment… Cette image du modèle de réussite viendra quelques années plus tard. Pour certaines personnes, prendre pour modèle une de ces célébrités pourra être bénéfique pour lui, ça lui permettra de faire de nouvelles connaissances, de trouver son chemin, mais pour d’autre, tous le contraire arrivera… Ils penseront que vendre de la drogue comme certaines personnes passant à la télé pourra être le moyen de se faire de l’argent très facilement sans rien faire, bien sûr, sans penser que si un jour votre père l’apprend, la fierté et les espoirs qu’il aura placé en vous s’effondreront tel un château de carte. Alors ne me dîtes pas qu’un jour, vous n’avez pas voulu copier votre père ou votre mère, que vous n’avez pas un jour rêver être comme eux, un jour avoir cette petit vie que vous trouviez si paisible, si belle, sans voir tous les mauvais côtés qu’ils avaient peut-être eu à certains moments de leurs vie. Un modèle, j’ai bien sûr pris mon père, puis mes artistes préférés, mais, au jour d’aujourd’hui, je me suis rendu compte qu’il fallait se fixer un but, se fixer un mode de vie, des envies pour pouvoir espérer avoir ce que l’on désire. •

• Je me suis fixer plusieurs but, certains que peut-être jamais je n’atteindrais, je ne sais pas de quoi la vie est faite, je ne sais pas si demain je serais encore là, si je réussirais mes études, si j’aurais le travail que j’aurais voulu, cette vie et ces plans que j’avais dessiné. Mais, j’étais persuadé d’une chose, je ne sais pas comment, je ne sais pas si je me faisais des films ou non, mais j’étais persuadé de vouloir voir Neva dans cette vie, c’était comme une évidence, comme si je n’avais plus besoin de rien, un simple sourire, un simple regard, un simple rire, une simple phrase, me suffisait pour être heureux, pour être combler, être ce jeune homme épanoui, bien dans sa peau, bien dans sa vie, ce jeune homme amoureux, tout simplement. Dans mon appartement ou elle venait d’y mettre les pieds pour la première fois, après avoir fait une visite guidé, on alla s’asseoir dans le canapé ou l’ont laissa nos mots s’imposer. Je lui avais dit que je l’aimais, j’aimais lui dire, j’aimais la savoir avec moi, l’embrasser, être avec elle, et, lorsqu’elle me fit savoir qu’elle m’aimait comme jamais elle n’avait aimé, je ne pus m’empêcher de sourire bêtement, comme un gamin découvrant ces cadeaux devant un sapin de Noël un matin de 25 décembre. L’embrassant amoureusement, je la vis se lever par la suite pour aller en direction de la cuisine. « Bon alors tu veux que je t’apprenne à cuisiner ou pas ? Non pas que je doute de tes talents en cuisine mais je connais quelques trucs pas mal aussi. » Regarder la femme que vous aimiez vouloir voir faire la cuisine, c’était beau, vous invitez à la faire avec vous, à vous apprendre deux trois trucs, c’était encore mieux. Alors, me levant du canapé, je pris mon temps avant d’aller la rejoindre. Elle était là, face au plan de travail commençant à préparer je ne sais quoi, et, la voir comme ça, ça me faisait sourire niaisement. Debout non loin d’elle, je l’admirais, j’admirais ce corps de déesses qu’elle avait, et, sortant de mes pensées, j’alla derrière elle pour la prendre dans mes bras et lui chuchoter à l’oreille : « Tu m’apprends un peu comment tu fais ? » Je laissa mes mains descendre au niveau de ces hanches, attendant qu’elle attrape les mienne pour me montrer… •


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Etre né sous une belle étoile ça veut dire quoi ? Avoir vu le jour dans une famille riche ou aimante ? Personnellement, je préfère la deuxième option. Je ne vois pas comment on pourrait vivre sans l’amour de ses parents, frères et sœurs, même si l’on dit que les liens du cœur sont parfois plus forts que les liens du sang. Vous vous imaginez vous vivre en reniant vos géniteurs ou du moins les personnes qui vous ont élevés. Moi j’ai du mal, la famille est une notion tellement importante pour moi qu’elle est ma priorité et cela malgré la distance. Je serais du genre à tout plaquer, à tout faire pour le bonheur de mes proches. Je suis peut être trop conne, trop gentille ou trop altruiste mais c’est comme ça, je suis du genre à plus me soucier des autres, et encore plus les personnes qui partagent ma vie, que moi. Ca m’a déjà joué des tours je dois avouer mais bon jamais au grand jamais mes parents ne m’ont déçus donc c’est déjà ça. De toute façon je ne vois pas comment leur en vouloir alors qu’ils m’ont donnée la vie, qu’ils m’ont élevés dans le bonheur et dans un cadre de vie idyllique et ce alors que leur amour s’est envolé. Je sais que tout les efforts qu’ils ont faits pour rester en bon contact, ils l’ont fait uniquement pour moi. Sérieusement, je ne vois pas des personnes plus parfaites que mes parents et je suis plutôt fière d’avoir hérité de leurs gênes, peut être qu’un jour je leur ressemblerai, arriverait à leur hauteur. Si j’y arrive alors là franchement je serais contente. Je pourrais même mourir en paix tiens. Quoiqu’il y ait bien un point sur lequel je n’aimerai pas leur ressembler : leurs vies sentimentales. Moi je n’ai nullement envie d’un divorce dans ma vie, je veux tout simplement me marier avec la bonne personne, celle que j’aimerais comme au premier jour, qui ne cessera jamais de me faire vibrer, pour qui je serais prête à faire les choses les plus stupides et avec qui je fonderai mon rêve de former à mon tour une famille. Bien qu’avoir déjà un gamin à mon âge, sans appart et sans boulot, ce n’est pas trop ce dont j’ai envie. Il faut d’abord que j’ai une vie stable, je pense et que j’ai assez profité de ma jeunesse pour avoir des responsabilités ensuite. Enfin ce jour arrivera peut être dans 1 an, 3 ou 5, ça dépend de beaucoup de choses à vrai dire mais jamais je n’abandonnerai cette idée d’avoir des enfants un jour surtout que désormais je pense avoir trouvé le père parfait.

Cette image du père idéal, je la voyais en Alek, bon n’allez pas imaginer que je veux lui faire des gosses tout de suite, ce serait un peu chaud quand même et mal vu je pense. Mais jamais avant avoir embrassé pour la première fois Alek, je n’avais vu aussi clairement mon avenir en compagnie de quelqu’un. Et je crois que j’aurais jamais cru cela possible un jour de pouvoir à nouveau confier mon cœur à quelqu’un, je m’étais adapté à ma vie de célibataire endurcie même si elle me déplaisait, il faut l’avouer. Mais heureusement pour moi, j’ai été délivré de ma longue solitude ou hibernation, bref comme vous voulez. Et ce jour où mon cœur s’est de nouveau remis à battre pour quelque chose vraiment concret, fut sans nul doute l’un des plus beaux de ma vie. Aujourd’hui, j’allais lui prouver mon amour d’une toute autre manière. En cuisinant pour lui et avec lui tant qu’à faire. Peut être que j’allais le faire succomber encore un peu plus que d’habitude, à l’aide de petits plats. Et puis je lui montrerai aussi que je pouvais faire une bonne épouse par la même occasion ! C’est donc plein de bonne volonté que je me dirigeais vers la cuisine qu’il m’avait montré quelques minutes plus tôt. Je rangeais vite fait nos quelques courses au passage, faisant comme chez moi mais laissant quelques ingrédients de sortie, que j’allais utiliser. Face au plan de travail je commençais à mesure de la farine et à la verser dans un récipient avant d’attraper un œuf mais je fus très vite déconcentrée par les bras d’Alek qui m’enveloppèrent entièrement. « Tu m’apprends un peu comment tu fais ? » ses mains qui descendirent sensuellement le long de mon corps pour se poser sur mon bassin. Sans me faire prier j’attrapais ses mains. « On va commencer par la recette la plus simple au monde des crêpes et pour le accompagner des fraises. » Je pris le premier couteau qui me tomba sous la main pour lui donner mais gentille comme je l’aidais à couper ces délicieuses fraises, poser mes mains sur les siennes. Je ne voulais pas qu’il se coupe avec un couteau, tout de même. Cela fait, je me retournais, un air innocent posé sur mon visage. Je posais mes mains sur son torse mais voilà à couper des fraises, j’avais plein de jus sur les mains, et laissait au passage de jolies traces rouges sur son T-shirt. Je me mordillais la lèvre inférieure, jouant la comédie « Oups, je crois que ton T-shirt va devoir aller au lavage. » taquine, je lui enlevais donc son vêtement, le laissant tomber au sol. Bon déjà que j’avais envie de lui en manière générale, je vous laisse imaginer ce à quoi je pensais lorsqu’il était torse nu à quelques centimètres de moi. « Désolé de ma bêtise. » Je disais cela mais moi j’étais plutôt fière de ma connerie, ca me permettait de profiter de la belle vue qui m’était offerte.

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HJ: Décidément, j'accumule les retards, je t'offre un autre smiley alors :sex2:
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• Qui n’a jamais rêver d’écrire un livre sur sa vie ? Pouvoir raconter ce qui lui est arrivé, ces moments de bonheurs mais aussi de malheurs ? Ne sachant pas vraiment par quoi commencer et ne voulant pas faire dans le cliché en commençant par un simple « Il était une fois, dans une petite ville de France, dans une maternité blablabla naquis par un beau temps d’été cet enfant qui aura pour prénom… », vous chercherez par quoi commencer, vous aurez envie d’être original, est-ce que raconter votre naissance est vraiment si important que ça ? Après tout, tout le monde s’en fou de l’endroit où vous avez pu naître et du prénom de vos parents… Alors vous allez réfléchir et vous allez zapper cette partie de votre enfance jusqu’à votre dixième année, vous pouvez en parler, mais seulement si quelques choses d’exceptionnel a pu se passer dans cette période, quelques choses qui nous aiderait à comprendre pourquoi vous êtes comme ça, mais autrement, ignorez cette partie, votre première dent, vos premier mots, tout le monde s’en tape. La rencontre d’une personne avec qui vous êtes toujours en très bon contact pourrait vous faire un bon début. Par exemple, un ami, votre meilleur ami, cette personne pour qui vous serez prêt à tout lâcher, à tout sacrifier si il vous le demandait. C’est avec cette personne que vous avez vécu vos plus beaux moments, vos plus belles conneries, vos prises de tête, tout le monde pourrait se reconnaitre dans cette partie-là. Savoir que votre cœur a été brisé ? On s’en fou sérieusement ! Qui n’a jamais ressenti ça ? Vous ne cherchez pas à ce que les personnes lisant votre livre prenne pitié de vous, loin de là, vous voulez les faires sourires, les amuser un peu. Vous allez commencer par raconter vos plus belles conneries, vos plus beaux fous rires, que ça soit celui en cour ou bien celui dehors avec vos amis. Et puis, à une période, vous allez devenir un peu plus sérieux, vous allez parler de certains malheurs qui auraient pu vous faire devenir la personne que vous êtes. Car n’allez pas écrire quelques choses, racontant la vie d’un adolescent heureux et souriant, et puis du jour au lendemain, vous montrer mélancolique ou bien froid, distant, sans aucun but précis. Vous allez raconter vos plus beaux voyages, ceux qui vous ont ouvert l’esprit, et puis, vous allez changer quelques choses, cherchant à être original, vous allez laisser une trentaine de page blanche à la fin. Certaines personnes se demanderont, et puis, en réfléchissant, vous comprendrez, durant toute cette histoire raconter vous aurez fait attention à ne pas dire une fois votre nom ou votre prénom, c’est seulement la dernière phrase qui dévoilera votre identité, par exemple, pour le cas de notre ami Lewis-Kennedy, la dernière phrase de son livre sera tournée à peu près comme ça : « Voici le début de mon histoire qui commence seulement, enchanté, moi c’est Alek Ezra Lewis-Kennedy… » Les pages blanches seront là pour continuer d’écrire cette histoire, car oui, ce n’est pas à mon âge que j’allais voir ma vie s’arrêter, j’en avais aucune envie, trop de belles choses m’étaient arrivé pour vouloir tout arrêter ici, quitter ce corps et rejoindre un autre monde… •

• Dans ce livre qui serait le récit de ma vie, plusieurs personnes verront leurs noms revenir plusieurs fois. Bien sûr, il y aura Jude, sans lui, je ne serais pas l’homme que je suis devenu aujourd’hui. Ce gars-là, c’est comme un frère pour moi, je serais prêt à donner ma vie pour lui, à me couper un bras pour lui donner, à me raser le crane pour faire comme lui si un jour son cancer revenait. Et puis, la deuxième personne à y figurer serait Nevada. Putain, qu’est-ce que je ferais sans elle ? Jamais j’ai autant aimé une femme de ma vie. Je sais que c’est elle qu’il me faut, j’ai envie de passer ma vie à ces côtés, jamais je ne me suis lassé d’elle, elle est tout pour moi. J’ai envie de construire quelque chose de solide à ces côtés. Avoir une famille avec elle, une maison, me réveiller chaque matin à ces côtés. Je ne savais pas qu’aimer à ce point-là était possible. Dans la cuisine en train de me préparer quelque chose à manger, et j’avais pas pu m’empêcher d’aller la rejoindre histoire de voir ce qu’elle faisait. « On va commencer par la recette la plus simple au monde des crêpes et pour le accompagner des fraises. » Des crêpes ? Vous avez pas intérêt de vous moquer si je vous dis que je ne sais même pas comment on les fait… Alors que c’est la recette la plus facile au monde je suis sûr ! Se retournant face à moi après avoir coupé les fraises, elle passa ces mains sur mon t-shirt laissant des traces de fraises. Un léger sourire sur son visage, elle fit comme si elle était désolé de ce qu’elle venait de faire. Retirant mon t-shirt et le laissant tomber à terre, elle ajouta. « Oups, je crois que ton T-shirt va devoir aller au lavage. »… « Désolé de ma bêtise. » Comme si elle était réellement désolée. Je la connaissais bien, et je savais pertinemment qu’elle était plutôt fière d’elle à vrai dire. J’allais pas la laisser s’amuser toute seule. Je sais que jouer avec la nourriture c’est pas bien car des enfants meurent de faim et tout ça, mais, j’avais quand même envie de jouer un peu, alors pardonner moi en espérant que suite à ce que je me prépare de faire, je n’irais pas en enfer. La regardant avec un large sourire, je passa mes mains autour d’elle pour venir chercher les fraises qui se trouvaient derrière, sur le plan de travail. En prenant une dans mes mains, je l’amena tout d’abord vers la bouche de la belle, la laissant croquer dedans pour ensuite venir l’écraser sur le t-shirt de la jeune femme, laissant une belle trace. Déposant la fraise sur le plan de travail, je retira à mon tour son t-shirt, regardant la trace que j’avais fait comme si j’étais désolé, pour ensuite plonger mon regard dans le sien avec le visage d’un enfant qui avait fait une connerie. « Oh merde… Vraiment désolé, j’voulais pas faire ça… » La connaissant, j’savais très bien qu’elle n’allait pas en rester là. J’sais pas vraiment ce qu’elle allait faire, mais je sais que la bouffe allait y passer et qu’on allait surement finir par se faire une bataille de nourriture ou un truc du genre… •



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J’ai toujours cru qu’on avait plusieurs vies, enfin que notre âme allait et venait dans le monde sous différents formes. Après qu’une vie soit finit elle en entame une nouvelle en se réincarnant. C’est un truc stupide mais penser que dans une vie antérieure, on a pu faire de grandes choses, comme gouverner un peuple lors de l’Antiquité, et bien tout de suite c’est plus prenant. Cela ne sous entend nullement que j’ai une envie de pouvoir ou autre non, c’est juste que s’imaginer qu’on a pu vivre pleins de choses lors de vies passées, ça passe le temps. Ca nous montre encore que tout ce qu’on espère c’est laisser une empreinte de soi même après avoir vécu une longue ou courte vie. On a envie que les gens se souviennent de nous, pas forcément que notre nom soit marqué dans un livre d’histoire mais juste que nos proches cultivent encore un peu notre vie à travers eux. Faire vivre un être disparu grâce à des souvenirs, je pense que c’est le plus cadeau que l’on puisse faire à la personne qu’on a côtoyé et qui nous a marqué. Ce travail de mémoire, j’en ai pris conscience il n’y a que peu de temps, à cause de la perte de mon meilleur ami Ethan. C’est un sujet encore difficile à aborder mais au moins j’ai appris beaucoup de choses et notamment le fait que la vie vaut d’être vécue à fond car on ne sait jamais ce qui nous attend la seconde d’après. Profiter des bons moments pour compenser les mauvais, je crois sincèrement que c’est la meilleure des solutions pour vivre heureux, en toute sincérité et donc ainsi ne pas avoir peur du lendemain. Il est tellement facile d’être effrayé par l’inconnu. Cette sensation étrange, de ne rien contrôler, a le don de me déstabiliser, moi qui a l’habitude de tout planifié dans les moindres détails, d’avoir un œil sur tout. J’avoue que ce n’est pas trop mon truc d’avancer aveuglément vers quelque chose sur lequel je n’ai aucune emprise. Et c’est certainement à cause de cela, que je n’ai jamais vraiment voulu m’engager pleinement dans une relation, terrifiée à l’idée de ne pas pourvoir voir l’avenir. Excepté qu’aujourd’hui, tout a changé et puis de toute manière il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis. A ce jour, je ne regrettais nullement de tenter l’aventure avec Alek parce que je savais qu’il pouvait m’apporter tout ce dont j’avais besoin. Il lit en moi comme dans un livre ouvert, chose que peu de garçons ont réussis à faire à ce jour, et je n’aurais jamais cru cela possible un jour.

Je me considérais comme chanceuse d’être tombé sur Alek, parce qu’à vrai dire je ne voyais pas quelqu’un de plus parfait pour partager ma vie. Bon, je sais toutes les filles disent ce genre de choses au début d’une relation car tout est beau et rose, mais je le pensais sincèrement. Il avait tout ce que je recherchais en un homme : la sincérité, l’humour, la gentillesse, la galanterie, la générosité, la virilité, et ce je ne sais quoi qui me rend accro. Si si je vous assure, il est comme ça, pour ce qui en douterait encore. En même temps je n’arrivais jamais à voir le mal dans les gens alors si vous me demanderiez ses défauts, je ne saurais vraiment pas quoi dire mis à part qu’il a cette fâcheuse habitude de me rendre dingue de lui mais je ne plains pas du tout loin de là. J’avais commencé à ouvrir les hostilités en m’amusant à feindre un geste maladroit de ma part qui avait eu pour conséquence de dévoiler le haut du corps de mon partenaire. J’avais le pressentiment que ce cours de cuisine ne finirait pas comme il se doit. A mon avis les crêpes seront jamais prêtes même. Jouer avec de la nourriture, ce n’est pas un truc que je fais en général mais là la tentation avait été trop forte et puis je suis sûr qu’il l’avait cherché en même temps. Je savais que mes excuses sonnaient complètement faux. J’avais toujours cette expression angélique sur mon visage quand il m’invita à déguster une fraise qui finit sa route, comme par hasard, sur le haut que je portai. J’écarquillai les yeux mimant un mécontentement qui n’en était pas un surtout que je m’étais laissé faire quand il décida à son tour de faire tomber mon T-shirt, feignant le fait qu’il regrettait son geste." Oh merde… Vraiment désolé, j’voulais pas faire ça… " Je suis certaine que pour cette scène, il aurait pu avoir un beau rôle dans un film de cinéma, c’était grandiose, du grand art ! Le jeu était donc bel et bien lancé, s’il croit que j’allais le laisser gagner cette bataille juste parce que je l’aime, et ben il peut toujours rêver. Et puis j’ai la meilleure des armes en ma possession, la séduction. Passant ma langue sur mes lèvres, tout en le regardant style de rien, je tâtais le plan de travail à la recherche du premier truc qui me viendrait à la main. Bingo, je plongeai ma main dans la pâte à crêpe bien visqueuse." Attends, laisse moi te recoiffer, chéri. " dis-je en allant étaler en long, en large et en travers, le truc bien dégoutant dans ses cheveux blonds. Ca c’était pour toutes les fois où il s’était permis d’ébouriffer mes cheveux." Voilà c’est bien mieux ainsi. " dis-je en léchant sensuellement le bout de mes doigts, tout en le regardant comme si de rien n’était. Allez qu’il fasse mieux, je n’attendais que ça même si je savais très bien que je venais de faire un truc très dangereux mais tant pis, soyons fous.

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