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Nevada & Alek
« You're the angel from my dreams »
• Imagine un instant qu’il ne te reste plus qu’une journée à vivre avant de devoir tout quitter et partir à l’inconnu. Imagine que tu n’es pas le choix, que demain à neuf heure du matin, tu devras prendre le volant et partir en direction de cet endroit dont tu ne connais rien, de ce lieu loin de tout, ou tu ne pourras pas avoir de nouvelles de tes amis avant sept, voir huit ans quand tu pourras enfin sortir de là-bas. Comment procéderais-tu ? Partirais-tu sans prévenir quitte à passer pour mort ? Organiserais-tu toute ta journée en plaçant chaque personne à une place, un ordre que tu suivrais à la lettre pour dire adieu à tout le monde, ou alors tu ferais comme si de rien était et tu ferais en sorte de ne pas y aller ? Dans la vie, plusieurs choix s’offres à nous, qu’ils soient bon ou mauvais, c’est à nous de savoir analyser la chose pour savoir comment s’en sortir, comment avancer dans tout ça. S’il ne me restait qu’une journée à vivre avec mes proches, j’en profiterais au maximum, mais, je les préviendrais, je leur ferait savoir qu’à partir de demain, je ne serais plus-là pour rigoler avec eux, qu’à partir de demain, ils devront faire en sorte de m’oublier pour ne pas avoir mal, pour ne pas avoir tous ces foutus souvenir de moi qui les boufferaient de l’intérieur du fait que je ne sois plus là pour rigoler, pour sourire, pour parler tout simplement. Profiter serait mon mot, dire aux personnes que je les aime, leurs dire que j’aurais passé de bons moments avec eux mais que désormais, pendant plusieurs années, il allait fallait m’oublier jusqu’au jour où je puisse revenir, et que, si ce jour, je me retrouve seul, je ne leur en voudrais pas, car après tout, c’est logique, c’est normal. Ça se trouve, j’aurais changé, je serais une autre personne, un autre homme totalement différent de celui que j’ai été, de celui qu’ils ont connu. Endurci par le temps, ravagé par les épreuves. Plus du tout le même gars qu’avant, loin de là même, l’opposé total… J’ai jamais vraiment imaginé ma vie autrement que celle que j’ai en ce moment, j’ai jamais réfléchi à ce que je deviendrais si du jour au lendemain tout ce que j’avais, tout ce que je possédais s’écroulait sous mes pieds tel un vieux jeu de carte envolé par le courant d’air d’une fenêtre ouverte. J’ai pas vraiment réfléchi à cette journée, journée forte en émotion surement. J’irais prendre un verre avec mes amis, je rigolerais avec eux, ensuite, j’irais voir Nevada, et je lui dirais à quel point je l’aime, à quel point ma vie était si parfaite à ces côtés. Le soir, on sortirait tous faire la fête dans un bar, comme si on fêtait mon départ, et, en rentrant, je passerais la nuit avec Nevada, appréciant le parfum de ces lèvres et la chaleur de son corps contre le mien une dernière fois. Et pour finir, je me lèverais, ma valise en main, et je quitterais tout ça, je disparaitrais bien que je n’en aurais aucune envie, et là, je débuterais une nouvelle vie dans un autre endroit, je changerais de nom, nouveau permis, nouvelle photo d’identité, nouveau job, jusqu’au jour où je pourrais enfin revoir Nevada, jusqu’au jour où elle pourra me rejoindre, ce jour qui sera signe de renaissance pour moi, ont pourra finir notre vie ensemble, reprendre notre relation là où elle s’est arrêté… •
• Sans Nevada, j’étais perdu, sans elle, je n’avais plus envie d’avancer, de faire quelque chose de bien, sans elle, j’étais comme un orphelin, comme une mouche lâché dans une toile d’araignée, je ne servais plus à rien, livré à l’abandon, à la solitude, je n’étais bon qu’à vivre une vie totalement opposé à la mienne, une vie ou je ne m’y plairais pas. Bref, pour le moment, j’avais cette vie parfaite dont je rêvais depuis si longtemps. Ont venaient de terminer de faire les courses et je l’avais emmené à mon appartement. C’était la première fois qu’elle y mettait les pieds, elle allait enfin pouvoir voir là où j’habitais, l’endroit qui allait être son deuxième chez soi. Ne pouvant m’empêcher de sourire aux phrases qu’elle me disait, je la regardais en souriant, la taquinant un peu à certain moment. C’est après quelques minutes qu’ont arriva à destination, face à chez moi, j’entra la clef dans la serrure quand la belle prit la parole. « Promis je serai sage et je ne mettrai pas le bazar chez toi. Je n’ai pas envie que tu me renvoies. » Me retournant pour la regarder, je passa une main sur sa joue avant de déposer un doux baisé sur ces lèvres. Qu’est-ce qu’elle m’avait manqué. Je n’étais pas le genre de gars à m’exhiber en plein lui public, j’avais un minimum de respect pour les gens qui nous entouraient. « Si c’est pas toi, c’est moi qui le mettra alors… » Tournant la clef dans la serrure, je poussa la porte pour laisser entrer l’étudiante que je suivis avant de refermer la porte derrière nous. Déposant les clefs à l’entrée, j’enleva ma veste que je posa sur le porte manteau pour ensuite aller déposer les courses dans la cuisine, revenant vers la belle qui n’avait toujours pas bouger de l’entrée, je passa mes mains sur ces hanches pour prendre la parole. « Mon cœur, bienvenue chez toi ! » Bon, je ne savais pas vraiment si elle allait aimer, si la déco ou autre allait lui plaire, après tout, un garçon qui vis seul chez lui… Bref, lui tendant la main, j’attendis qu’elle l’attrapa pour lui faire visiter un peu mon appartement. •
• Sans Nevada, j’étais perdu, sans elle, je n’avais plus envie d’avancer, de faire quelque chose de bien, sans elle, j’étais comme un orphelin, comme une mouche lâché dans une toile d’araignée, je ne servais plus à rien, livré à l’abandon, à la solitude, je n’étais bon qu’à vivre une vie totalement opposé à la mienne, une vie ou je ne m’y plairais pas. Bref, pour le moment, j’avais cette vie parfaite dont je rêvais depuis si longtemps. Ont venaient de terminer de faire les courses et je l’avais emmené à mon appartement. C’était la première fois qu’elle y mettait les pieds, elle allait enfin pouvoir voir là où j’habitais, l’endroit qui allait être son deuxième chez soi. Ne pouvant m’empêcher de sourire aux phrases qu’elle me disait, je la regardais en souriant, la taquinant un peu à certain moment. C’est après quelques minutes qu’ont arriva à destination, face à chez moi, j’entra la clef dans la serrure quand la belle prit la parole. « Promis je serai sage et je ne mettrai pas le bazar chez toi. Je n’ai pas envie que tu me renvoies. » Me retournant pour la regarder, je passa une main sur sa joue avant de déposer un doux baisé sur ces lèvres. Qu’est-ce qu’elle m’avait manqué. Je n’étais pas le genre de gars à m’exhiber en plein lui public, j’avais un minimum de respect pour les gens qui nous entouraient. « Si c’est pas toi, c’est moi qui le mettra alors… » Tournant la clef dans la serrure, je poussa la porte pour laisser entrer l’étudiante que je suivis avant de refermer la porte derrière nous. Déposant les clefs à l’entrée, j’enleva ma veste que je posa sur le porte manteau pour ensuite aller déposer les courses dans la cuisine, revenant vers la belle qui n’avait toujours pas bouger de l’entrée, je passa mes mains sur ces hanches pour prendre la parole. « Mon cœur, bienvenue chez toi ! » Bon, je ne savais pas vraiment si elle allait aimer, si la déco ou autre allait lui plaire, après tout, un garçon qui vis seul chez lui… Bref, lui tendant la main, j’attendis qu’elle l’attrapa pour lui faire visiter un peu mon appartement. •
© Chieuze
(Invité)