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Nevada&Alek - You're the angel from my dreams

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Nevada & Alek
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• L’humain en lui-même n’est pas fait pour être confronté à ce genre de situation, c’est impossible, impensable, infaisable, et c’est compréhensible. Le monde en lui-même est mal foutu, toutes ces conneries d’Adam et Eve à courant à poil dans un jardin magnifique et qui croquent dans une pomme en écoutant un serpent qui parle, c’est de la connerie, la religion est peut-être vrai, on sait pas, personne ne peut le savoir, mais faut arrêter de nous prendre pour des abrutis en nous faisant croire que si une personne disparait c’est que Dieu l’a rappelé. Pauvre con. T’as cru que on était tous d’accord avec ce fameux Dieu, qu’il se montre, vraiment, jamais il ne sait montrer. On parle de lui, on l’idolâtre, on fait des films sur lui, des temples, des livres, des émissions, mais personne n’a encore vu son visage une fois… Et, d’ailleurs, c’est vraiment dommage. Qui n’aimerait pas l’avoir au moins une fois en face de lui pour pouvoir lui balancer ces quatre vérités en pleine face et lui demander deux trois trucs, comme, pourquoi il a fait si comme ça et ça comme si, pourquoi il a pris lui et pas lui alors que ce connard avait provoqué plusieurs génocide ? Est-ce qu’il aura des réponses toutes faites où est-ce qu’il se contentera de te répondre que depuis que la terre existe c’est comme ça ? Conneries, vraiment, la vie est mal foutu, des personnes partent trop tôt, vraiment trop tôt, d’autre arrivent, c’est peut-être la terre et le monde qui est foutu ainsi, mais on n’est pas tous d’accord, loin de là. On a jamais voulu voir ces personnes partir trop tôt, ne pas avoir le temps de dire au revoir, de dire adieu, de dire ce que l’on ressentait pour eux, que même si le ton est peut-être monté quelques fois que c’était juste rien de méchant, juste un petit coup de stress, et, qu’après tout, ça ne changeait pas du tout ce que l’on aurait pu ressentir. J’ai longtemps cru que la mort était quelque chose qui n’arrivait qu’aux autres, que jamais ne n’aurais à y faire face. Heureusement, pour le moment, je n’avais pas été confronté à elle, mais, même si je ne le disais pas, même si je ne le montrais pas, j’en avais aucune envie, comme tout le monde je pense. Jude lui, il y a eu droit, et pas qu’une fois. C’est comme si durant une période une malédiction c’était abattu sur lui, comme s’il était destiné à souffrir et à voir les gens autour de lui partir un à un. Je n’ai pas connu la mort, mais j’ai vu ce qu’elle faisait, j’ai vu les dégâts qu’elle pouvait engendrer, alors, je ne le souhaite à personne, je vous pousse à profiter de votre vie, à faire en sorte de vivre chacun moment comme si c’était le dernier, à ne pas vous arrêtez sur des petits trucs qui n’en valent pas la peine, vivez tout simplement. •

• Il y a la mort, mais il y a aussi la vie, l’amour, et, en ce moment, c’est ce que je vivais. J’étais comme dans un rêve éveillé et je n’avais aucune envie d’en sortir. Je redécouvrais ce qu’était le vrai amour, celui qui vous transporte en un rien de temps sur un petit nuage, celui qui vous poussera à donner le meilleure de vous sans que vous vous en rendiez vraiment compte. Nevada était entré en moi, elle faisait partie de moi, et elle n’était pas prête d’en sortir. J’avais enfin trouvé la personne avec qui je voulais passer ma vie, celle qui arrivait à me combler et à faire de moi un homme heureux. Je ne sais pas si les âmes sœurs existent vraiment, mais, si c’est le cas, ont l’étaient, ont étaient fait l’un pour l’autre, c’était une évidence, de la logique pure et dure. Voilà maintenant plusieurs semaines qu’ont vivaient le parfait amour, plus les jours passaient et plus je la voyais comme la femme de ma vie, la mère de mes enfants. Elle avait ce petit quelque chose en plus qui la rendait exceptionnel et qui me plaisait tant. J’allais une fois de plus passer la journée avec elle, mais ça, ça ne me dérangeait pas, j’étais heureux, c’est ce que je voulais. Aujourd’hui, le programme était d’aller faire quelques courses ensemble. Alors, après m’être préparé, j’avais été la rejoindre en dessous de chez elle. « J’suis en bas de chez toi trésor. » Avait été le message que je lui avais envoyé. Adossé au mur, j’attendais que la belle descende… •

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L’être humain est faible, on peut le voir dans ses peurs. Je ne parle pas des choses qui peuvent nous effrayer comme les insectes, le vide, le feu, la foule, non je parle de ses peurs beaucoup plus importantes comme la solitude, la perte d’un être cher, ou l’amour. On a tous en nous certaines faiblesses qui peuvent nous faire descendre dans une spirale infernale d’où il est difficile de s’en sortir sans aide extérieur. Il y a des choses qui peuvent nous détruire jusqu’à la moelle au point de faire un acte stupide. Parlons en donc de cette solitude, une peur qui m’affecte moi-même. Depuis ma naissance, j’ai été entouré de personnes Il y a d’abord mes parents, ceux qui m’ont toujours donné tout leur amour, ceux qui m’ont vu grandir, qui m’ont disputé lors de mes premières bêtises. Ils m’ont vu évolué dans ce monde impitoyable qu’est la société et m’ont toujours aidé à me battre pour atteindre les objectifs que je m’étais fixés. J’ai également à mes côtés des amis, j’en ai perdu, gardé, ajouté, rayé mais j’en ai toujours eu enfin je crois et même sans être populaire. De toute manière je ne vois pas l’intérêt d’être reconnu dans un lycée ou une université, tant qu’on reste naturel et égal à soi même, on est sûrs de s’entourer des bonnes personnes qu’il faut pour avancer. Forcément les déceptions existent en amitié comme en amour mais c’est comme ça, il faut l’accepter le fait qu’en grandissant on peut parfois perdre certaines choses mais également en gagner. En venant à Harvard, j’avais beaucoup gagné. D’abord en connaissances c’est certain, faut dire que si j’y suis venue, c’est en premier lieu pour les cours, mais j’ai aussi beaucoup appris sur moi-même, sur ma véritable personnalité, sur le fait que je n’avais pas à me cacher dans ma petite cage dorée de fille parfaite pour plaire au contraire. J’avais rencontré de formidables personnes également, toutes les citer s’avère impossible malheureusement. Mais il y en a une en particulier qui a bouleversé ma vie ces dernières semaines, en me donnant la possibilité de croire à un avenir que j’avais toujours espéré. Et le sourire que j’ai dorénavant sur le visage ce n’est pas pour faire simplement jolie, c’est juste parce que je suis heureuse. Cette après-midi encore j’allais retrouver l’homme qui me faisait vibrer, battre mon cœur, hanter mes pensées jusque dans mes rêves. Et ce matin encore je m’étais réveillée en pensant à lui, excitée à l’idée de le revoir pour cette journée que nous avions programmé tout les deux. C’est fou à chaque fois que nous nous voyions le temps passe beaucoup trop vite alors qu’à l’inverse quand il n’est pas là le temps semble beaucoup trop long. Mais je sais qu’à l’avenir tout sera différent, étant donné que je me voyais finir ma vie avec lui au moins je serais sûre de l’avoir toujours à mes côtés. Je me préparai donc à revoir Alek dans ma chambre chez les quincy, monopolisant ainsi la salle de bain ce qui avait eu le don d’énerver mon charmant coloc de chambre. Mais bon mon petit ami passait avant les autres. J’avais revêtu une robe moulante dans les tons violet et cela malgré les fraiches températures. De toute façon j’ai le sang chaud donc aucun problème que je tombe malade. Cependant j’avais la flemme de me battre avec mes cheveux alors je les avais laissé tel quel, tombant sur mes épaules. Quelques minutes de maquillage plus tard, j’étais fin prête n’attendait plus que mon prince charmant. J’attendais donc, un livre dans la main et allongé sur mon lit alors que mon coloc décida de se mettre à jouer du violon juste pour se venger de ce matin. Heureusement pour moi Alek vint à ma rescousse par le biais de son message m’informant qu’il m’attendait en bas. En moins d’une minute, j’avais sauté de mon lit, manquant au passage d’écraser un de mes chats, enfilé ma veste et escarpins avant de claquai la porte et de dévaliser les escaliers du bâtiment des Quincy. Après quelques brefs coups d’œil, je le repérai enfin, accoudé contre le mur. De suite mes yeux se mirent à étinceler et mon cœur battait la chamade comme au premier jour. M’approchant de lui, j’attrapai sa main avant de déposer un délicat baiser sur ses lèvres « T’arrives au bon moment, j’étais sur le point de faire un meurtre ! Comment tu vas ? » Voir son visage, son sourire me fit le plus grand bien. Il m’avait manqué et ce malgré le fait que nous nous faisions le maximum pour nous voir le plus possible. Chaque seconde que je passai à ses côtés était un pur moment de bonheur, j’étais littéralement sur un petit nuage et rien d’autre à part lui n’avait d’importance.

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• Et puis un jour, tout changea, toi, cet individu qui pensait avoir tout réussit tu te rendu compte que ta vie n’était peut-être pas aussi parfaite que ça, que cette petite vie paisible n’était peut-être pas ce qu’il y avait de mieux pour toi. Qu’après tout, tu ne voulais peut-être pas être cet homme père de famille, avec une femme aimante et toujours souriante. Peut-être que cette routine dans laquelle tu t’es installé ne te plaît pas autant que ça, se lever le matin à l’aide du réveil, l’éteindre, se lever, aller se doucher, préparer le café, réveillé les enfants, les faires déjeunés, réveillé ta femme, aller se préparer, préparer les enfants, les emmener à l’école, aller au travail, bosser, bosser, encore bosser, rentrer chez toi le soir, te poser devant la télé quelques minutes pour ensuite aller manger, aider ta femme à coucher les enfants, te mettre au lit sans pouvoir rien faire de plus tellement la routine t’aura fatigué, et puis, tout recommencer le matin, pour ensuite attendre le week end, qui lui aussi fait partie de la routine. S’accorder quelques heures de plus le matin, emmener les enfants aux sports où à un truc du genre le samedi après-midi, regarder cette activité ou bien rentrer. Aller faire les courses avec ta femme, rentrer, ranger les courses, préparer le diner, passer la soirée devant la télé avec ta femme pour t’endormir encore plus vite que la semaine car aujourd’hui tu n’auras pas eu les six café habituel que tu prends dans la journée pour tenir le coup au travail. Se lever le dimanche vraiment plus tard, pour voir que la journée est déjà presque finit étant donné que tu t’es levé à onze heures. Passer ton après-midi à jouer à des jeux de sociétés toute l’après-midi, et puis, aller se coucher tôt, s’endormant devant la télé qui aura décider une fois de plus de passer que des vieux films, de vieux programmes, rien de bien intéressant qui pourrait te tenir éveiller. Même sur le plan sexuel, entre ta femme et toi, ce n’était pas le top, maintenant que tu as des enfants, c’est plutôt difficile d’avoir des moments intimes avec cette dernière avec qui tu t’éclatais autant autrefois, elle est loin cette période, c’est ce que tu te dis à présent, non ? Tu aimes peut-être ta femme, tu serais peut-être prêt à donner ta vie pour tes enfants, mais au fond de toi, sérieusement, est-ce que c’est cette vie que tu aurais voulu ? Est-ce vraiment ce que tu avais prévu lorsque tu étais plus jeune ? Non, loin de là, tu pensais te marier à trente ans, avoir des enfants un peu plus tard, un bon job, une bonne situation. Tu pensais pouvoir continuer de voir tes amis et faire des soirées avec eux au moins une fois par semaine. Tu pensais pouvoir être un père de famille heureux, ayant la liberté de s’amuser avec ces potes quand l’envie lui prenait, pouvoir coucher avec ta femme à n’importe quel moment sans être dérangé par tes enfants. Tu pensais a beaucoup de chose, mais jamais tu ne pensais que ta vie prendrait cette tournure, alors est-ce vraiment la vie que tu avais désirés ? Celle que tu aurais voulu avoir ? Pose toi cette question et tu verras, tu verras si t’es si bien que ça… Je ne m’étais jamais vraiment projeté dans l’avenir, sauf que depuis quelques semaines, tout ça avait changé, moi qui ne me voyait pas demain, j’avais enfin pu le faire aux côtés de Neva, et j’avais envie qu’elle soit ma femme, j’avais envie qu’elle soit la mère de mes enfants, que ça soit son visage angélique que je voie au réveil. •

• Sortant de mes pensées lorsque je la vis arrivé, elle déposa un doux baisé sur mes lèvres pour ensuite prendre la parole. « T’arrives au bon moment, j’étais sur le point de faire un meurtre ! Comment tu vas ? » L’attirant contre moi, je la serra dans mes bras pendant quelques secondes pour ensuite reprendre sa main et commencer à marcher tout en lui répondant. J’avais ce sourire niai sur le visage, vous savez, celui qu’on a lorsqu’on est heureux, heureux de vivre, heureux d’être aux côté d’une personne. Et ce sourire était procuré par le bien être que je ressentais lorsque j’étais avec la belle Nevada. « Maintenant que t’es là, ça va ! Raconte-moi pourquoi ça va pas et pourquoi t’allais faire un meurtre ! » J’avais une petite idée de ce que ça pouvait être, elle m’avait déjà dit que son colocataire jouait du violon ou un truc du genre, et qu’il s’amusait souvent à le faire lorsqu’elle était là pour lui casser les oreilles… •


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Apprendre à vivre en société, ce n’est pas facile n'est ce pas. Qui plus est quand on est venu au monde, Dieu n'a pas été capable de nous fournir un mode d'emploi pour savoir garder la tête hors de l'eau. La société ne cesse d'évoluer et ce de plus en plus vite, s'adapter est donc encore plus difficile. Tu t'imagines arriver à l'université habillé à la mode disco avec des jeans pat d'eph et une coupe afro? Non je ne crois pas, on est plus à l'poque des Jackson five voyons. Si jamais quelqu'un débarque un jour dans cette tenue, j'en rigolerai mais néanmoins je penserai qu'il a du courage pour le faire, pour se distinguer, et réussir à faire face aux préjugés des gens. La société d'aujourd'hui n'est plus ce qu'elle était par le passé. Le conformisme des choses à pris le dessus, si tu ne vas pas dans le moule de la personne qui s'habille avec des vêtements de marques, qui a le dernier iphone, qui regarde la télé réalité et qui écoute les derniers hits qui passe en boucle à la radio, alors là tu peux être sûr qu'on va te regarder d'un oeil bizarre. Les gens d'aujourd'hui n'aiment pas ceux qui sortent de l'ordinaire, ceux qui se démarquent par leur façon de penser et de voir la vie. Toutes ces personnes seront cataloguées comme étant des personnes bizarres, ayant limite la peste et qu'il faut éviter le plus possible pour ne pas être à son tour vu comme une bête de foire. Voilà ce qu’est devenue notre société une masse de préjugés qui ne fait qu’éloigner l’homme de ses confrères. Comment voulez-vous que la paix règne un jour sur Terre si personne ne fait d’efforts pour comprendre l’autre. Et comment est ce possible de trouver un jour sa place dans ce monde si compliqué où seuls les plus forts mentalement réussissent à tirer leur épingle du jeu ? Je vous le demande. Il est difficile de trouver le bon chemin à suivre sur le long périple qu’est notre vie sans personne pour vous aider, vous guider. Il est tellement facile de se perdre, de se faire influencer par des personnes mal intentionnés et plus spécialement quand on est du sexe féminin. Je ne sais d’ailleurs pas encore si j’ai entièrement fait mon trou dans le monde, je n’inspire pas à être connue, populaire, non, je veux juste avoir une belle vie dont je serais fière mais je sens que je suis sur le bon chemin, celui qui me mènera où j’ai toujours souhaité aller, c'est-à-dire le bonheur.

C’était tellement bon de revoir Alek, juste parce que le savoir près de moi avait pour effet sur moi de me faire sentir comme la fille la plus heureuse au monde. Jamais je n’échangerai ma place, il en est totalement hors de question. J’avais trouvé mon âme sœur et je ne comptais pas la lâcher de si tôt même jamais à vrai dire. Ce que je voulais c’est passé le restant de ma vie à ses côtés, dans ses bras au chaud et à l’abri de tout. Cette bulle hermétique et pleine d’amour qui nous entourait n’était pas prête d’éclater. En le sentant me prendre dans ses bras, j’étais déjà sur un petit nuage. Si je le pouvais je resterai là éternellement mais là n’était pas le but de notre journée. Alors qu’il y a quelques minutes, j’étais énervée par le boucan de mon coloc, je retrouvais la paix intérieure par sa simple présence. « Maintenant que t’es là, ça va ! Raconte-moi pourquoi ça va pas et pourquoi t’allais faire un meurtre ! » Je tournais la tête pour lui faire face tout en marchant, ce qui d’ailleurs est une très mauvaise idée au vu de ma maladresse quelque peu handicapante dès fois. J’affichais un sourire attendrissant sur mes lèvres à l’entente de sa première phrase. Je ressentais moi-même la même chose, je pense qu’il le savait d’ailleurs enfin il suffisait de lire dans mon regard pour le voir. « Mon coloc m’a encore cassé les oreilles, la prochaine fois je crois que je jette son violon par la fenêtre. » Moi violente ? Il en faut beaucoup. De toute façon je n’oserai pas faire ce genre de chose, je m’en voudrai trop après car malgré tout je l’appréciais bien mon coloc ! « Bon dis moi t’avais quelque chose en tête pour nos petits achats ou pas du tout. » Je disais ça tout en regardant les vitrines des boutiques, jetant de temps à autre des regards à Alek, comme si ce dernier m’appelait chaque seconde. C’est vrai que quand j’étais avec lui, je faisais abstraction d’à peu près tout, me focalisant uniquement sur lui, enfin sur nous.

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• Voyager, partir à l’inconnu, découvrir de nouvelles terres, de nouveaux lieux, vivre, vivre pleinement ce voyage, cette opportunité de visiter quelque chose de nouveau. Qui n’aurait pas aimé quitter ce lieu qui était votre pays, votre ville, votre appartement pour partir loin, dans un autre pays, dormir dans un autre lit, une autre ville, se réveiller sans avoir la même vu, découvrir un nouveau climat, de nouvelles cultures, de nouvelles personnes, une nouvelle langue ou bien encore de nouveau plat que vous ne trouvez pas si facilement chez vous ou alors seulement en boite de conserve totalement immangeable et pas du tout représentatif de ce qu’on aurait pu vous servir dans son pays d’origine ? Ne me dîtes pas que voyager ne vous intéresse pas, j’aurais vraiment du mal à vous croire, sérieusement, qui n’a jamais voulu tout plaquer pour partir à l’inconnu et recommencer une vie là-bas ? Repartir de zéro, vous créé une nouvelle identité, une nouvelle façon de voir la vie et de faire les choses ? Tout le monde… Tout le monde en a déjà rêvé, ou alors, a vu passer cette idée dans sa tête au moins une fois. D’autre l’auront laissé germer, atteindre la maturité pour pouvoir l’exploiter et vraiment le faire. Ces gens qui n’en ont plus rien à faire de cette vie qui les dégoutait plus qu’autre chose… Si l’on regarde bien, les personnes qui ont voyagé se reconnaissent assez bien, elles sont… Comment dire… Plus ouverte, voilà, c’est ça. Elles n’auront pas peur de prendre la parole avec un inconnu, faire connaissance avec je ne sais qu’elle personne qui passerait par-là, juste pour le plaisir de communiquer, de faire de nouvelles rencontres. Un voyage ne peut être que bénéfique, du moins, tant qu’il ne vous arrive pas d’ennui, car là, vous allez tout de suite mon apprécier ce nouveau pays et voyager ne va pas tant vous plaire que ça, vous allez vouloir rester chez vous, dans cet endroit où vous êtes sûr de ne pas avoir de problème. Alors, si j’ai un conseil à vous donner, voyager, faites-vous plaisir tant que vous le pouvez, découvrez de nouveaux pays, de nouvelles langues, de nouvelles cultures avant qu’il ne soit trop tard, avant que vous ne puissiez pu le faire, que l’argent manque, que votre vie de famille ou bien votre vie au travail vous en empêche, alors, profitez maintenant, que vous soyez seul où à plusieurs, foncez, allez-y, n’attendez pas qu’il soit trop tard, c’est maintenant ou jamais, alors, je pense que maintenant, vous savez très bien ce qu’il vous reste à faire… Voyager. •

• J’ai toujours eu envie de voyager, de découvrir le monde, de découvrir ce qui nous entoure et qui nous pousse à être comme on est. Je ne veux pas voyager pour savoir comment l’économie d’un pays marche ou autre, je le veux juste pour le plaisir des yeux, le plaisir de ce dire qu’on est à des milliers de kilomètre de chez soi. Je voulais voyager, et je ne voulais pas le faire seul, je voulais partir avec Nevada, qu’on puisse voyager ensemble, partager ce moment de bonheur à deux, ces envies, qu’on découvre de nouveaux pays ensemble. Avec elle, je voulais tout faire, vraiment tout. J’ai longtemps fait le con avec les filles, mais aujourd’hui, j’étais bien loin de tout ça, j’avais enfin trouvé la personne qui me fallait, celle qui me faisait rêver, celle qui me faisait vibrer comme personne n’avait pu le faire auparavant, et je ne comptais pas la lâcher. Elle était à moi, j’étais à elle… Bref. Marchant ensemble, elle était là, à souvent se retourner pour me parler, et, je ne pouvais m’empêcher de sourire et de regarder ou elle pouvait poser les pieds, marcher à reculons comme ça, c’est pas la meilleure invention, elle aurait très bien pu se prendre le pied dans je sais pas quoi et tomber. « Mon coloc m’a encore cassé les oreilles, la prochaine fois je crois que je jette son violon par la fenêtre. » C’était logique, je m’en doutais que c’était ça. Ce n’est pas la première fois qu’elle m’en parlait de son colocataire violoniste qui aimait péter les oreilles des voisins à coup de baguette sur son engin. Ne pouvant m’empêcher de sourire, je savais très bien qu’elle n’allait pas lui jeter par la fenêtre. « Ce que tu fais… C’est que tu lui caches sa baguette là, il pourra plus en jouer ! » Bon, elle y avait surement déjà pensé je pense, mais, c’était la première idée qui m’était passé par la tête à vrai dire, alors, je l’avais lancé comme ça… « Bon dis-moi t’avais quelque chose en tête pour nos petits achats ou pas du tout. » Oh oui, j’avais bien des petites idées en tête, mais lui déballer ça en pleine rue c’était peut-être un peu choquant pour les petits enfants qui passaient à côté de nous s’ils avaient déjà vu des films assez… Chaud. Alors, la regarda en souriant, je l’attrapa par la main pour l’attirer contre moi et lui chuchoter à l’oreille… « Ouais, j’ai bien des idées… On va aller acheter un fouet, des menottes, des trucs en cuir, des fraises, de la chantilly, plein de trucs comme ça et on va faire l’amour pendant des heures et des heures partout ! » Marquant une pause, je ne pus m’empêcher de rire avant de reprendre mon sérieux et de continuer. « Non plus sérieusement, j’ai deux trois petites conneries à acheter pour chez moi, et après, on verra ce que le magasin nous propose ? » J’étais pas le genre de gars à me prendre la tête avec une liste de course que j’aurais suivi mots à mots, je prenais selon mes envies, et les besoins aussi… Déposant un doux baisé sur les lèvres de la belle, je repris notre marche… •



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Quand on est jeunes on se dit qu’on a toute une vie pour pouvoir faire tout ce dont on a envie, on remet souvent les choses au lendemain préférant parfois se prélasser plutôt que de vivre pleinement ce que le monde a à nous offrir au jour le jour. On préfère même ne pas s’attacher afin de ne pas perde cette liberté qu’on a mis temps de temps à avoir. Pendant de nombreuses années, j’ai fais cela moi aussi, remettre tout à plus tard, le bonheur, l’amour, l’amusement me concentrant sur des choses qui paraissent beaucoup moins futiles. Mais un jour j’ai eu ce déclic, cette prise de conscience me ramenant à la dure réalité du monde dans lequel nous vivons, me disant qu’un jour il sera trop tard pour faire telle ou telle chose, que j’aurais laissé passer l’amour à cause d’un quelconque égoïsme. Du coup je serais condamnée à vivre seule, à errer sans avoir atteint aucun but que je m’étais fixé par le passé. Vivre avec plein de regrets en tête, et dans une solitude immense, c’est le pire des scénarios qui puisse arriver n’est ce pas. C’est pour ça que j’ai repris du poil de la bête, trop effrayer par ce qui pourrait m’arriver si je ne le faisais pas. Je n’ai pas changé, j’ai juste évolué, grandit, appris à vivre sans me poser de limites, croquant la vie à pleine dents mais tout en restant fidèle à moi-même, à cette petite fille qui sommeille en moi et qui n’a que pour unique rêve de vivre heureuse. Je pourrais avoir des tas d’autres rêves, comme devenir riche, posséder une île paradisiaque, rencontrer mon idole mais je trouve ça beaucoup trop niais à vrai dire. Après on pourrait dire pareil du mien, mais je m’en fous, tout ce qui m’importe c’est qu’il se réalise. Et puis ce n’est pas un rêve qu’on peut concrétiser en une seule fois, j’ai l’intime conviction qu’il y a plein de choses à faire pour un jour atteindre le bonheur absolu. C’est donc plutôt excitant un rêve à plusieurs étapes. Ca donne envie d’en voir toujours plus, de se surpasser chaque jour pour atteindre un nouveau stade, un peu comme un jeu. De toute manière, la vie est un jeu, il faut la jouer selon ses propres règles si on ne veut pas en perdre une miette.

Le jeu auquel je voulais jouer actuellement c’était celui de l’amour, ca faisait tellement longtemps que je n’y avais pas joué qui plus est. De plus, faire ça avec Alek était sans aucun doute la plus belle partie que je n’ai jamais jouée. Il me faisait tout oublier même mon ex qui m’avait hanté pendant des années. Et c’est sûrement en parti à cause, que j’étais persuadée d’avoir trouvé mon âme sœur en sa personne. Vous m’auriez dit il y a quelques semaines que je trouverai l’amour bientôt, je vous aurais certainement ri au nez étant donné que j’y croyais plus tellement et que je pensais plus à m’amuser avec les mecs qu’à m’attacher à eux mais voilà le destin nous avait finalement fait une belle surprise en nous réunissant tout les deux et depuis je nageai dans le bonheur, c’est le cas de le dire. Maintenant j’avais vraiment une raison de me lever le matin et cette sensation de se sentir vivante était vraiment agréable. J’étais tellement captiver par Alek que je ne savais pas tellement où je mettais les pieds mais tant pis au pire il serait toujours là pour me rattraper ! « Ce que tu fais… C’est que tu lui caches sa baguette là, il pourra plus en jouer ! » Il était machiavélique, ca ne m’étonnait guère, je me demandais parfois où il trouvait toutes ses idées pour embêter le monde mais bon ! Je passai ma langue sur mes lèvres « Ou bien je m’incruste chez toi, ca peut être pas mal aussi. » Il ne pouvait pas refuser cette idée quand même. Et d’ailleurs ses futures intentions parlaient pour lui lorsqu’il m’exposait son plan, dans le creux de l’oreille pour le reste de la journée, c’était il faut le dire alléchant. Mon Dieu, si jamais quelqu’un entendait cela, on nous prendrait pour des masochistes. « C’est donc ça ton fantasme. » répondis je, sourire coquin aux lèvres alors que nous marchions comme si de rien n’était comme si notre conversation était des plus normales. Après tout, elle l’était pour un couple et c’est ce que nous étions, alors je ne vois pas où est le problème là dedans. « Non plus sérieusement, j’ai deux trois petites conneries à acheter pour chez moi, et après, on verra ce que le magasin nous propose ? » J’acquiesçai d’un signe de la tête à la suite de son doux baiser sur mes lèvres. Quoiqu’il fasse je le suivrai de toute manière, même s’il comptait cambrioler le magasin. Je rigolais en repensant à sa proposition de petits jeux coquins de tout à l’heure, en m’imaginant la tête de la personne à la caisse qui nous verrait arriver avec cela. Bref ! C’est bizarre malgré le monde qui parcourait les rues, j’avais l’impression que nous étions seuls au monde. C’est donc ça l’amour. « Bon ben je crois qu’on peut commencer par là. » dis-je en désignant le petit magasin à quelques mètres de nous alors que j’accélérai mes pas, chose peu facile avec des talons signalons le. Nous rentrions dorénavant dans la supérette. « Un homme qui fait les courses, j’ai hâte de voir ça. » N’empêche que j’étais tombé sur un spécimen rare avec Alek car je n’avais même pas eu à le forcer pour ce genre de tâche. Ca me rappelait d’ailleurs que je devais lui dire quelque chose de la plus haute importance. « J’oubliais, il me semble ne pas t’avoir précisé que je suis végétarienne. » Voilà la fille chiante qui fait son apparition. Non mais bon valait mieux qu’il le sache quand même pour éviter de mauvaises expériences, parce que je ne savais pas s’il était au courant.

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Nevada & Alek
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• Hier soir, j’ai décidé de sortir un peu, de laisser mes bouquins de côtés et d’aller faire la fête avec des potes. Lors d'une soirée, on a le droit à plusieurs cas de figure. Le premier c’est le stéréotype parfait du jeune homme qui a décidé de se mettre la tête et de ne pas rentrer chez lui, pour fuir la réalité selon lui, se retrouver dans un monde merveilleux très opposé au notre, un monde où tout est beau, tout est orné de couleur, et bien sûr, tout est au ralentis, plus rien n'est réelle, et c'est ce que recherche une multitude de personnes de nos jours, malheureusement même, l’alcool est devenue un espèce de pilier pour les jeunes de nos jours, comme s’ils avaient besoin de ça pour s’en sortir, comme si sans l’alcool, ils ne pouvaient rien faire, ils ne pouvaient pas rigoler, pas s’amuser, pas profiter de la vie, tout simplement. Premièrement, vous allez commencer à boire, à vouloir vous faire bien voir en enchaînant plusieurs verre tout en étant toujours aussi bien, sans vraiment d'effet secondaire lié à l'alcool, mais trente minutes plus tard et cinq verre de whisky après, vous avez complètement changé, et ouais mon pote, là, c’est la fin… Vous êtes mal à l'intérieur, mais à l'extérieur, vous parler et vous ne vous arrêtez pas, vous faites des blagues, vous vous croyez drôle, mais ce n'est pas le cas, vous êtes lourd, ennuyant, tu fais chier tout le monde, et en plus, tu es alcoolisé à un point que tu n’imagines même pas. Et puis, trente minutes plus tard, on ne vous retrouvera pas coucher dans un lit en train de rêver de petit poney bleu qui gambade dans une prairie ou sur des arcs en ciel, non non, mais la tête dans une bassine. Deuxièmement, vous aller boire beaucoup et rapidement tout ça pour vous échapper, comme le premier cas, mais contrairement à lui, vous allez être tout d'abord dans votre coin, isolé du monde à votre manière, regardant la soirée se dérouler, ne participant pas vraiment à part pour vous changer de place. Par la suite, on va vous retrouvez dans un groupe de personnes à vous entendre dire que vous fêtez votre nouvelle amitié ou quelques chose du genre. Quelques temps après, vous serez redevenu comme au point de départ, seul, la tête dans une cuvette, une bassine ou derrière un buisson à vomir vos tripes, à vous dire que vous n’auriez pas du boire autant, que une fois de plus, vous avez fait une connerie, qu’une fois de plus, vous auriez dû rester chez vous devant un putain de film barbant ou une merde du genre, histoire d’éviter ce mal de crane que vous allez avoir au réveil, d’éviter cette journée pourrie que vous allez passer. J’peux vous dire que j’en ai vu de ces énergumènes hier soir, ces gars qui savent pas boire, ces gars qui pensent assurer tout le long de la soirée, ces gars de passage que l’on retrouvera dans les toilettes à lâcher tout ce qu’ils peuvent dans la cuvette, ces paumés qui rentreront chez eux dans un état pas possible et qui se feront chopper sur la route par je ne sais qui qui va profiter de cet état second pour faire je ne sais quoi avec. Bon, d’accord, je pars peut-être un peu loin, mais en gros, c’est ça, et ne me dîtes pas le contraire. •

• Personnellement, je n’avais pas besoin de tout ça, je n’avais pas besoin d’une grosse quantité d’alcool pour pouvoir faire la fête. J’étais déjà ce genre de gars complètement ivre sans rien avoir bu à débiter une centaine de connerie à la seconde comme si mon but était de péter un record. Et puis, dernièrement, je n’avais pas besoin d’alcool, j’avais trouvé ma drogue, ma dose de bonheur, mon moment d’extase, le soleil qui éclairait mes journées, la personne dont qui je rêvais chaque nuit, celle avec qui je voulais passer ma vie, Nevada. Marchant ensemble dans la rue, je la regardais, les yeux pétillants et un sourire sur les lèvres. Je venais de lui proposer de cacher l’espèce de baguette de violon de son colocataire pour qu’elle soit tranquille, mais sa proposition était beaucoup mieux, je vous assure. « Ou bien je m’incruste chez toi, ça peut être pas mal aussi. » Ça voulait dire, passer mes journées avec elle, m’endormir et me réveiller à ces côtés, vivre avec elle. J’étais d’accord, j’étais même à cent pour cent d’accord avec elle. « Tu t’incrustes chez moi quand tu veux ! » J’avais parlé de menottes, de fouet, de fraises et de chantilly pour les courses que l’ont allaient faire, et, un large sourire sur les lèvres, la belle déclara avoir trouvé mon fantasme. Haussant les épaules, je fis comme si je ne voyais pas de quoi elle parlait tout en continuant notre chemin. Une fois arrivé dans le magasin, la phrase que la belle laissa sortir de sa bouche me fit rire légèrement. « Un homme qui fait les courses, j’ai hâte de voir ça. » J’avais pas le choix d’un côté. Bon, okay, je n’étais pas le meilleur dans ce domaine, j’étais le genre de gars à prendre un cadi et balancer dedans tout ce qui aurait pu être bon ou qui avait un bel emballage, quitte à ce que ça soit dégueulasse. Ebouriffant légèrement les cheveux de la jeune femme, je commença à regarder un peu les rayons avant de lui répondre. « Faut que tu saches que j’suis un homme à tout faire, j’fais les courses, le ménage, la bouffe, et même que j’sais faire des massages ! » J’étais pas non plus le meilleur dans tous ces domaines, ça m’arrivait de faire cramer la nourriture dans le four ou de laisser des traces de doigts sur mes vitres. « J’oubliais, il me semble ne pas t’avoir précisé que je suis végétarienne. » Ah ? Végétarienne ? Ca changeait pas grand-chose pour moi en fait, je pouvais très bien manger comme un végétarien lorsque j’étais avec Nevada, après tout, c’était ça être en couple non ? Faire des efforts pour s’adapter au « mode de vie » de votre partenaire ? Et, j’étais prêt à en faire, là-dessus, il n’y avait aucun problème. « Ah ? Bah se soir je ferais mon premier repas végétarien alors ! » Passant dans les rayons, j’arriva au niveau des fraises et j’eu un flash de la scène de tout à l’heure lorsque j’ai rigoler aves les fraises le fouet et tout ça, les attrapant, j’analysa l’emballage sous tous les angles avant de les laisser tomber dans mon panier. « Ca, c’est végétarien ! »




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Quand on est petit à l’école, la maitresse nous demande ce qu’on aimerait devenir plus tard. C’est le truc le plus débile qui soit, comme si à l’âge de six ans on sait déjà, ce qu’on voudrait faire comme métier ? Du gros n’importe quoi, vu qu’on ne sait même pas ce que c’est de travailler à cet âge. Malgré tout, on est obligé de marquer quelque chose sur le bout de papier qui nous a été donné. Déjà écrire avec ton crayon c’est une épreuve et après il faut que tu réfléchisses à ce que tu vas marquer. Du coup tu regardes un peu autour de toi et tu vois qu’il y a certains de tes camardes qui se sont déjà jetés sur le stylo pour marquer leur rêve et toi tu es là à chercher ce que tu vas bien devoir mettre. Après tout il y a tellement de choses que tu aimerais faire, après tout c’est ça la vie découvrir le plus de chose possible. Finalement tu as finis par marquer quelque chose. Il vient donc ensuite l’heure où la maîtresse ramasse tous les bouts de papiers soigneusement pliés pour ensuite les lire devant toute la classe. Et là voilà qui commence à lire les pensées de chacun. Forcément on retrouve en tête de liste des métiers souhaités par les petites filles, le fameux « danseuse étoile », pour toutes celles qui rêvent un jour d’être une vraie artiste, reconnue, splendide et adulée mais ce qu’elles ne savent pas c’est que derrière ce métier, il y a des heures de travail et de souffrance. Seront-elles capable d’endurer cela ? Sûrement que non. Forcément il y aussi toues les absurdités comme chanteuse, actrice … Le truc bien superficielle et un rêve de petite fille qui ne sera sûrement jamais atteint parce qu’il faut du talent et de la volonté. Et viennent ensuite les basiques comme coiffeuse, boulangère, docteur, des choses vraiment concrètes pour des filles simples qui ne se prennent pas la tête ou bien qui ne savaient pas quoi écrire. Passons aux garçons, il fallait parier que l’un d’entre eux allait penser à cosmonaute, celui qui a toujours la tête dans les nuages, qui aspire à découvrir de nouveaux horizons et qui pense que la Terre n’est pas assez grande pour assouvir ses rêves. Les abrutis auront eux écrit cow-boy, parce que ils vivent dans leur monde, ne prennent pas la vie au sérieux et ne pense qu’à s’amuser. Ce serait amusant de voir ce qu’ils deviendront dans le futur. Et après comme les filles tu as les classiques versions masculines comme pompier, policier, joueur de foot, enfin tout les trucs bien virils, le fantasme des filles que d’avoir un mec comme cela. Et puis il y a moi, du haut de mes quelques centimètres, qui me souvient très bien avoir noté sur mon bout de papier un point d’interrogation. J’avais d’ailleurs vu la déconcertation de la jeune maîtresse face à cette réponse. Ce n’est pas que je n’avais pas envie de répondre, mais c’est juste que je ne savais tout simplement quoi mettre et de toute manière qui vous dit que je serais encore vivante pour exercer le métier que j’ai toujours rêvé ? Personne ! J’avais encore des années devant moi pour réfléchir à mon avenir et laisser le destin me guider.

Pour le moment, le destin m’avait poussé dans les bras d’Alek. Les flèches de Cupidon nous avaient frappés sans nous prévenir, et bien violemment même, nous faisant passé de personnes ayant perdues tout espoir en l’amour à un petit couple en train de faire les courses, le truc super banal mais qui devenait même sexy en sa compagnie. Nous étions en train de construire quelque chose, notre avenir, un futur à deux que je voyais désormais possible avec lui. Laissant même entrevoir l’envie que j’avais de passer toutes mes nuits avec lui, l’avoir rien que pour moi toute seule, l’idée était tellement attachante. Le truc c’est que si je m’endormais dans ses bras c’est que le lendemain je n’aurais pas l’envie de le quitter, de me lever parce que je serais trop bien avec lui. Je n’avais pu m’empêcher de dire une petite connerie comme quoi voir un homme faire les courses est plutôt un phénomène rare. Il ne l’avait pas pris mal, encore heureux, mais il n’avait pas pu s’empêcher de répliquer en me décoiffant. Ca doit être une manie chez les hommes de faire ça pour nous embêter je crois. « Faut que tu saches que j’suis un homme à tout faire, j’fais les courses, le ménage, la bouffe, et même que j’sais faire des massages ! » Je m’arrêtai un instant le regardant marcher à travers les rayons, non pas choquée par sa réflexion mais plutôt épatée. J’avais vraiment hâte de le voir en action faire tout ça et je sais qu’un jour je le verrai car après tout nous avions tout notre temps. « Hum, c’est fort intéressant tout ça et même très utile. » Nous étions là à arpenter les allées et la journée s’annonçait forte intéressante pour se découvrir l’un l’autre. Je connaissais Alek mais peut être que je ne savais pas encore tout de lui, j’avais peut être encore beaucoup à découvrir et inversement, quoique j’avais l’impression qu’il avait le pouvoir de lire en moi comme dans un livre ouvert. J’évoquais mon végétarisme avant qu’il ne me propose de manger je ne sais quelle viande ou poisson, après je n’allais pas lui interdire d’en manger, loin de moi cette idée. « Ah ? Bah se soir je ferais mon premier repas végétarien alors ! » Il est adorable de faire ça pour moi, je ne sais pas si ses proches avaient connaissance de ce côté de lui que moi je voyais de plus en plus chaque jour. « Ca, c’est végétarien ! » me dit-il en me présentant les fraises avant de les prendre. J’eu un petit rire nerveux en repensant à sa proposition de tout à l’heure. « Au pire je te donnerai des cours de cuisine. Et je confirme les fraises, c’est bon ! » Continuant notre escapade dans le magasin, je ne pu m’empêcher d’aller chercher la chantilly et du Nutella. Des cochonneries mais bon j’en avais envie. « La chantilly parce que ça va bien avec les fraises et le Nutella parce que c’est la meilleur chose qui existe au monde, enfin derrière toi évidemment. » Le Nutella était mon péché mignon, mais Alek le surpassait dorénavant, cette gourmandise était bien plus agréable quand même et je ne pouvais déjà plus m’en passer. Nous étions en train de dévaliser ce magasin en nourriture mais bon fallait bien qu’on mange quand même. « C’est bon moi j’ai terminé de choisir. Je te laisse faire le reste vu que tu m’as dit être doué pour faire à manger. » ajoutai-je avec un petit sourire malin aux lèvres. De toute façon, ce n’est pas la nourriture dont j’avais envie, non j’étais là juste pour lui, pour passer du temps à se côtés, vivre notre histoire.

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• Vous voyez cette scène se dérouler devant vos yeux ? Ce couple face à vous, dans leur petit appartement miteux au dernier étage d'un grand bâtiment au nord de Brooklyn, cette femme en pleure, seule, assise à sa petite table dans la cuisine dans son trois pièces. Les larmes coulent sur son visage mais personne ne le sait, elle pleure en silence, au moment où l'appartement est vide, qu'aucune vie à part la sienne pour laquelle elle n'a pas une grande estime n'est présentent pour la réconforter ou juste essayer de décrocher un sourire de son visage. Cette femme vient de finir de faire le ménage, c'est son moyen de se réconforter, de ne plus penser à rien à part enlever les traces par terre, sur les vitres, nettoyer la poussière, passer l'aspirateur puis la serpillière, puis finir par tout ranger, pour que quelques jours plus tard tout redeviennent comme avant, et que tout soit à refaire. Mais, vous ne vous posez pas une question ? Pourquoi est-elle assise là, à pleurer devant son café ? Qu'est ce qui a bien pu se passé dans sa vie, dans ce dernier moment pour qu'elle soit dans cet état-là ? Certain auront deviné, d'autre non. C'était la goutte qui a fait déborder le vase une fois de plus, se vase qui a déborder tant de fois depuis quelques années, ce vase qui a été cassé, puis recollé, puis recasé une fois de plus, la fois de trop sûrement... La raison de ces pleures est la violence de son mari, sa main qu'il lève trop souvent sur elle, cet homme qui avait perdu sa masculinité, sa fierté suite à ces gestes répété trop de fois. Ce lâche, cette personne qui ne devrait même pas existé. Alors pourquoi, pourquoi restait elle à ces côtés ? Pourquoi ne faisait elle pas ces valises et disparaissaient à jamais de cette vie pour se reconstruire ? Qu'est ce qui la retenait autant ? Certain auront une fois de plus deviné, d'autre non, mais c'est très simple, ce n'est pas l'amour pour cet homme, car depuis la première seconde ou il a vu sa main heurter son visage, ou il l'a senti, tous ces sentiments ont disparu. Mais si ce n'est pas l'amour, qu'est-ce que ça pourrait être ? Les enfants, la famille qu'elle a fondée avec ce lâche. Ces deux petits garçons, elle ne veut pas les privés d'une vie sans leur géniteur, leur père...Personnellement, je ne pouvais pas supporter ce genre de personnes, la seule envie que j’avais en leur présence était de prendre leur visage entre mes mains et le claquer à plusieurs reprises dans un mur jusqu’à ce qu’ils comprennent que ce qu’ils ont fait est mal et qu’ils méritent de payer pour ça. Je ne me prend pas pour un super héros ou je ne sais quoi, mais de mon point de vue, frapper une femme est le seul recours qu’un lâche, un faible, un moins que rien peu avoir lorsqu’il ne trouve plus les mots pour s’exprimer, pour répondre, alors, il frappe tel l’abruti qu’il est… Jamais je ne pourrais lever la main sur une femme, j’ai été élevé autrement, et, dans ma tête, c’est l’une des pires choses qui puissent exister. •

• J’ai longtemps cru que l’amour n’était pas fait pour moi et que j’étais destiné à rester un de ces handicapés de l’amour, une de ces personnes qui n’arrivaient pas à trouver son âme sœur, à trouver une personne parfaite pour eux, celle qui sera les combler, les rendre heureux, la personne avec qui une bulle imaginaire se formera autour d’eux, les protégeant du monde extérieurs et les rendant invincible. Sauf que je m’étais trompé, je m’étais trompé sur toute la ligne, car cette personne je l’avais trouvé, je l’avais enfin à mes côtés. Cette si belle personne répondait au doux prénom de Nevada. Dans ce magasin en train de faire des courses, elle venait de m’avouer être végétarienne. Peut-être que certaine personne aurait été choqué ou je ne sais quoi, mais moi, je n’y voyais pas de problème. Moi j’avais le bras entièrement tatoué, et elle, elle était végétarienne, ont avaient chacun notre truc à nous qui nous différenciait de toutes ces clones d’Harvard. Déambulant dans les rayons tout en faisant tombé certain articles dans mon panier, c’est lorsque je me retourna que je vis que la belle avait disparu. Bah merde, elle c’est pas fait enlevé par une salade géante qui lui fait la morale car elle m’a révélé être végétarienne au moins ? Non, elle doit surement regarder quelque chose… C’est un instant plus tard qu’elle apparut face à moi, un large sourire sur les lèvres avec de la chantilly et du Nutella. Une vraie fille. « La chantilly parce que ça va bien avec les fraises et le Nutella parce que c’est la meilleur chose qui existe au monde, enfin derrière toi évidemment. » Je crois que le programme que je lui avais dit pour rigoler plus tôt allait être quand même appliqué… Ce n’est pas que ça me dérangeait, loin de là, c’est juste que peut-être elle faisait ça pour moi faire plaisir et qu’elle en avait aucune envie ? Je ne savais pas, peut-être que je me posais trop de question, après tout, je savais très bien que si elle n’avait pas envie de faire quelque chose, elle ne le ferait pas. « J’crois qu’en rentrant on va faire un mélange de moi plus le nutella… Comme ça je serais le pire truc inventé au monde ! » Bon, j’avoue que des fois, j’avais des idées totalement débile, mais, en y pensant sérieusement, ça aurait pu être plutôt drôle un Alek recouvert de Nutella… « C’est bon moi j’ai terminé de choisir. Je te laisse faire le reste vu que tu m’as dit être doué pour faire à manger. » Regardant mon panier et réfléchissant un instant, j’avais belle et bien finit moi aussi, alors, me dirigeant vers la caisse à ces côtés, je me mis à réfléchir à ce qu’ont allaient bien pouvoir faire. Ce que je voulais réellement c’était juste passer du temps à ces côtés, rien de plus, profiter de ce bonheur qu’elle me procurrait, de cette sensation de bien-être que j’avais avec elle. « J’ai finis moi aussi… On va pouvoir rentrer me décorer en Nutella ! » Je crois qu’elle allait réellement finir par croire que j’avais envie de finir en Nutella… Ça devait coller, être chiant à enlever et j’en passe… Bref, une fois arrivé à cette caisse, on passa les articles sur l’espèce de tapis roulant pour qu’ensuite je puisse payer. Rangeant le tout dans un sac, on sorti du magasin en direction de chez moi. Au moins, il n’y aura pas de colocataire qui joue du violon. •




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Il y a parfois des jours où on se dit qu’on aurait mieux fait de rester dans son lit à dormir paisiblement et à rêver de choses beaucoup mieux que la vie réelle. C’est vrai quand on à passer une journée de merde, tout ce que l’on attend c’est de pouvoir enfin dormir et s’enfuir dans un monde meilleur, celui où tout est possible. Ca fait du bien de rêver qu’on vient d’obtenir le job de nos rêves alors qu’il n’y avait que peu de chances, de savoir que sa famille est en bonne santé ou bien même qu’on a gagné au loto, ce serait le pied n’empêche, tu t’imaginerais déjà ta vie de millionnaire sur une île paradisiaque en train de siroter un cocktail les pieds dans l’eau. Mais voilà, l’heure fatidique où le réveil sonne à 6h du matin, et bam retour à la réalité. Te voilà obliger à te lever pour aller ramener tes fesses au boulot comme tous les jours. Alors te voilà tu prends ta douche mais juste pour te faire chier plus d’eau chaude, alors direction le café mais bingo tout se renverse à terre. Déjà que t’avais pas envie de commencer une nouvelle journée et ben là c’est le pompon avec toutes ces tuiles qui te tombent sur la tête. Et le pire c’est que ça continue avec la voiture qui ne veut pas démarrer, te contraignant ainsi à te taper 1 heure de marche à pied pour aller travailler et le pire dans tout ça c’est que tu arriveras quand même en retard, et du coup ton patron te collera aux fesses et t’engueulera toute la journée. Du coup t’es content d’arriver chez toi mais une mauvaise surprise t’attend encore dans ta boîte aux lettres, les impôts ont fait leur apparition. En résumé t’es maudit, t’as envie de tout balancer, tout casser pour arrêter cette spirale infernale. En y repensant, ce serait bien si dès ta naissance, tu avais eu de la chance en ayant une cuillère en argent dans la bouche dès tout petit. Au moins tu n’aurais pas à te lever pour travailler et aller gagner une misère en te tuant au travail. Bon t’as peut être pas l’argent qui te tombes du ciel mais pour compenser, tu as peut être au moins une famille aimante sur qui tu peux compter et qui t’aiderait en cas de coups durs enfin ce serait mieux sinon t’aurais pas de bol c’est certain de ne pas pouvoir retrouver le soir, dans ton lit, une personne aimante et te faire ainsi oublier ta journée de merde. Heureusement pour nous, il y a parfois pour notre plus grand bonheur et pour nous redonner le sourire, des journées plus belles et plus radieuses, celles qui valent le coup de s’être levé le matin et de vivre. Ces journées tu es sûre de t’en rappeler toute ta vie.

En tout cas moi, ce matin, j’étais bien contente d’avoir quitté mon lit. J’avais été appelée par le besoin de retrouver la personne qui avait réussi à faire fondre mon cœur de glace. Cette carapace de froideur qui s’était formée au fil des années à cause d’un cruel manque de confiance au sujet de pouvoir revivre un jour une vraie histoire d’amour. Sauf que là c’était plus fort que l’amour, je me savais en train de construire mon avenir, celui où je serais vraiment heureuse, je le sentais au plus profond de moi, dans la moindre parcelle de mon corps. Un sentiment inhabituel que je n’avais jamais connu auparavant mais je m’y étais habituée. Je le vivais extrêmement bien et je peux même dire que j’étais devenue accro à Alek. Je n’aurais jamais pensé que notre amitié évoluerait dans ce sens mais faut croire que nous étions destinés l’un à l’autre et cela était loin de me déplaire. J’avais besoin de lui pour vivre, de son sourire pour être heureuse, de ses bras pour m’endormir, de ses paroles rassurantes, de son humour pour avoir le sourire. Tout en lui m’était dorénavant nécessaire pour mon bonheur. Je n’avais qu’une envie passer un jour et une soirée de plus et ainsi vivre notre amour au grand jour, bon en privé aussi, c’est certain. Ces moments privilégiés en sa compagnie faisaient de moi la fille la plus heureuse au monde, même faire les courses. J’étais toute fière en déposant mes trouvailles dans le panier maintenant bien rempli. Peut être étais-je végétarienne mais j’aimais me faire plaisir avec des cochonneries comme toutes les filles à vrai dire. « J’crois qu’en rentrant on va faire un mélange de moi plus le nutella… Comme ça je serais le pire truc inventé au monde ! » J’étouffais un petit rire amusée par sa réflexion. Décidément il en avait des idées alléchantes aujourd’hui. Heureusement que nous étions en public parce que je pense que je n’aurais pas pu résister à la tentation de lui sauter dessus. « Déguster les deux amours de ma vie en même temps, je trouve ça plutôt tentant moi. » répondis sourire au coin. J’étais quand même vilaine de le forcer à se recouvrir de nutella parce que franchement ça doit pas être très agréable mais au pire on échangera les rôles, ce genre de jeu marche très bien dans les deux sens et je veux bien faire don de mon corps à la pâte à tartiner et à Alek à la fois. Je le voyais examiner son panier, à voir s’il ne lui manquait rien. Il prenait les courses très au sérieux. « J’ai finis moi aussi… On va pouvoir rentrer me décorer en Nutella ! » Décidément cette idée lui plaît énormément à moins qu’il soit sadique à me donner envie de le voir recouvert de chocolat de la tête aux pieds. Il s’occupa donc de tout régler à la caisse, galant n’est ce pas, et quand tout fut rangé nous prîmes la poudre d’escampette, direction un lieu plus privé. Automatiquement il se dirigea vers chez lui, bonne idée au moins nous serions plus au calme et je pourrais pleinement profiter de chez lui. « Tu as bien raison, chez toi c’est mieux. Et puis j’aurais ainsi le privilège de découvrir où tu habites. » Je le suivais donc, me laissant guider, c’était lui le maître après tout. J’étais, disons le, impatiente de mettre pour la première fois un pied chez lui. Lorsque finalement il s’arrêta, à fouiller ses poches sûrement à la recherche de ses clés, j’en concluais que nous étions arrivés à bon port. « Promis je serai sage et je ne mettrai pas le bazar chez toi. Je n’ai pas envie que tu me renvoies. » déclarai-je d’un ton malin, me mordillant la lèvre. N’y voyez là aucuns sous entendus … Bon d’accord je ne sais pas si ma promesse de rester sage, tiendrait longtemps surtout si l’on prenait en compte les sous entendus d’Alek qui semblait visiblement intéressé de s’amuser avec de la nourriture.

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