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Nevada & Alek
« You're the angel from my dreams »
• L’humain en lui-même n’est pas fait pour être confronté à ce genre de situation, c’est impossible, impensable, infaisable, et c’est compréhensible. Le monde en lui-même est mal foutu, toutes ces conneries d’Adam et Eve à courant à poil dans un jardin magnifique et qui croquent dans une pomme en écoutant un serpent qui parle, c’est de la connerie, la religion est peut-être vrai, on sait pas, personne ne peut le savoir, mais faut arrêter de nous prendre pour des abrutis en nous faisant croire que si une personne disparait c’est que Dieu l’a rappelé. Pauvre con. T’as cru que on était tous d’accord avec ce fameux Dieu, qu’il se montre, vraiment, jamais il ne sait montrer. On parle de lui, on l’idolâtre, on fait des films sur lui, des temples, des livres, des émissions, mais personne n’a encore vu son visage une fois… Et, d’ailleurs, c’est vraiment dommage. Qui n’aimerait pas l’avoir au moins une fois en face de lui pour pouvoir lui balancer ces quatre vérités en pleine face et lui demander deux trois trucs, comme, pourquoi il a fait si comme ça et ça comme si, pourquoi il a pris lui et pas lui alors que ce connard avait provoqué plusieurs génocide ? Est-ce qu’il aura des réponses toutes faites où est-ce qu’il se contentera de te répondre que depuis que la terre existe c’est comme ça ? Conneries, vraiment, la vie est mal foutu, des personnes partent trop tôt, vraiment trop tôt, d’autre arrivent, c’est peut-être la terre et le monde qui est foutu ainsi, mais on n’est pas tous d’accord, loin de là. On a jamais voulu voir ces personnes partir trop tôt, ne pas avoir le temps de dire au revoir, de dire adieu, de dire ce que l’on ressentait pour eux, que même si le ton est peut-être monté quelques fois que c’était juste rien de méchant, juste un petit coup de stress, et, qu’après tout, ça ne changeait pas du tout ce que l’on aurait pu ressentir. J’ai longtemps cru que la mort était quelque chose qui n’arrivait qu’aux autres, que jamais ne n’aurais à y faire face. Heureusement, pour le moment, je n’avais pas été confronté à elle, mais, même si je ne le disais pas, même si je ne le montrais pas, j’en avais aucune envie, comme tout le monde je pense. Jude lui, il y a eu droit, et pas qu’une fois. C’est comme si durant une période une malédiction c’était abattu sur lui, comme s’il était destiné à souffrir et à voir les gens autour de lui partir un à un. Je n’ai pas connu la mort, mais j’ai vu ce qu’elle faisait, j’ai vu les dégâts qu’elle pouvait engendrer, alors, je ne le souhaite à personne, je vous pousse à profiter de votre vie, à faire en sorte de vivre chacun moment comme si c’était le dernier, à ne pas vous arrêtez sur des petits trucs qui n’en valent pas la peine, vivez tout simplement. •
• Il y a la mort, mais il y a aussi la vie, l’amour, et, en ce moment, c’est ce que je vivais. J’étais comme dans un rêve éveillé et je n’avais aucune envie d’en sortir. Je redécouvrais ce qu’était le vrai amour, celui qui vous transporte en un rien de temps sur un petit nuage, celui qui vous poussera à donner le meilleure de vous sans que vous vous en rendiez vraiment compte. Nevada était entré en moi, elle faisait partie de moi, et elle n’était pas prête d’en sortir. J’avais enfin trouvé la personne avec qui je voulais passer ma vie, celle qui arrivait à me combler et à faire de moi un homme heureux. Je ne sais pas si les âmes sœurs existent vraiment, mais, si c’est le cas, ont l’étaient, ont étaient fait l’un pour l’autre, c’était une évidence, de la logique pure et dure. Voilà maintenant plusieurs semaines qu’ont vivaient le parfait amour, plus les jours passaient et plus je la voyais comme la femme de ma vie, la mère de mes enfants. Elle avait ce petit quelque chose en plus qui la rendait exceptionnel et qui me plaisait tant. J’allais une fois de plus passer la journée avec elle, mais ça, ça ne me dérangeait pas, j’étais heureux, c’est ce que je voulais. Aujourd’hui, le programme était d’aller faire quelques courses ensemble. Alors, après m’être préparé, j’avais été la rejoindre en dessous de chez elle. « J’suis en bas de chez toi trésor. » Avait été le message que je lui avais envoyé. Adossé au mur, j’attendais que la belle descende… •
• Il y a la mort, mais il y a aussi la vie, l’amour, et, en ce moment, c’est ce que je vivais. J’étais comme dans un rêve éveillé et je n’avais aucune envie d’en sortir. Je redécouvrais ce qu’était le vrai amour, celui qui vous transporte en un rien de temps sur un petit nuage, celui qui vous poussera à donner le meilleure de vous sans que vous vous en rendiez vraiment compte. Nevada était entré en moi, elle faisait partie de moi, et elle n’était pas prête d’en sortir. J’avais enfin trouvé la personne avec qui je voulais passer ma vie, celle qui arrivait à me combler et à faire de moi un homme heureux. Je ne sais pas si les âmes sœurs existent vraiment, mais, si c’est le cas, ont l’étaient, ont étaient fait l’un pour l’autre, c’était une évidence, de la logique pure et dure. Voilà maintenant plusieurs semaines qu’ont vivaient le parfait amour, plus les jours passaient et plus je la voyais comme la femme de ma vie, la mère de mes enfants. Elle avait ce petit quelque chose en plus qui la rendait exceptionnel et qui me plaisait tant. J’allais une fois de plus passer la journée avec elle, mais ça, ça ne me dérangeait pas, j’étais heureux, c’est ce que je voulais. Aujourd’hui, le programme était d’aller faire quelques courses ensemble. Alors, après m’être préparé, j’avais été la rejoindre en dessous de chez elle. « J’suis en bas de chez toi trésor. » Avait été le message que je lui avais envoyé. Adossé au mur, j’attendais que la belle descende… •
© Chieuze
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