SOLIMAN ★ "I'm addicted to you, Porque es un vicio tu piel !" ★

J'avais compris pourquoi il s'excusait d'avance des douleurs. Je n'avais pas senti sur le coup mais il m'a fallu une petite heure pour me rendre compte que ça faisait mal quand on était pas habitué. Je ne cachais pas être allé voir un pharmacien en lui demandant expressément de l'aide pour "ça", de façon discrète tout de même. J'avais pris une énième douche pour être sûr d'être entièrement propre à l'approche de ma soirée avec Soliman. Les pack de bières et tout ce qu'il fallait étaient dans le réfrigérateur dans la cuisine, il ne restait plus qu'il me rejoigne dans la chambre. Une chemise de D&G que j'avais payé la peau des fesses, pas un des cadeaux que Soliman avait réussi à m'offrir (quel coquin), un jean basique mais je restais nu pieds, nous étions dans le même dortoir après tout. C'est alors que je vis qu'il ne me restait plus que dix minutes pour le rejoindre. J'attrapais mon parfum pour m'en mettre un peu partout, sans en faire de trop avant d'aller rapidement jusqu'à la cuisine pour prendre ce dont j'avais besoin pour la soirée avec Soliman. Je mettais tout sur mon lit, les paquets de nourritures, les boissons puis j'attrapais tous mes DVDs, je choisirais avec lui après tout. Je me sentais tellement "excité" de le voir, rien de pervers dans cette envie, juste le voir une nouvelle fois. A présent que j'avais une possibilité de le séduire, je ne m'en priverais pas. Je n'avais pas honte de mon changement d'orientation sexuelle, je savais vers qui je me tournais, je savais qu'il était unique pour moi. J'ouvris une bouteille de bière en attendant qu'il arrive, j'étais pressée, je bouillonnais d'impatience. Et seulement quelques heures nous avaient séparés...

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You are my only exception } Voilà quelques heures que j’avais quitté mon ancien ami et actuel amant si je pouvais le prénommer comme ça, il était rare que j’éprouve le sentiment de manque mais c’était le cas. J’avais tourné pendant une bonne trentaine de minutes dans ma chambre avant de prendre la décision de faire ce que je savais faire de mieux… Non, pas de sexe mais du sport. Pendant plus de deux heures j’avais transpiré et j’avais probablement engrangé un processus qui me permettrait de gagner encore un peu plus en masse musculaire. Le problème c’est que j’avais enchainé par un petit peu de cardio puis des étirements et le temps de rejoindre ma chambre je me rendais compte que deux nouvelles heures étaient passées. Je pressais le pas et rejoignait la douche de ma chambre pour me laver, je sortais seulement vêtu d’une petite serviette enroulée autour de ma chute de reins, après un long moment d’hésitation j’avais choisi un boxer rose fluo avec une main dessinée sur les fesses, rien de plus sexy pour faire de l’effet au cas où. Je ne savais pas ce qu’il allait se produire après tout, j’enfilais un pantalon blanc qui descendait légèrement contre mes fesses et j’accompagnais le pantalon d’une petite chemise blanche un peu moulante comme à mon habitude. J’enfilais rapidement une paire de mocassins blancs, ce soir j’étais tout vêtu de blanc sauf mon boxer qu’on pouvait légèrement apercevoir en dessous de mon jean par sa couleur flashi. J’embarquais une bouteille de vodka ainsi que mon disque dur pour les films qu’on pourrait se mater, en quelques secondes je rejoignais la porte de mon camarade toquant avant d’entrer lorsqu’il m’en donnait la permission. Je me mordais la lèvre en le voyant si bien habillé. « Salut toi… Ca va depuis tout à l’heure ? » Je ne savais pas trop comment me comporter pour le moment.

Je m'étais à moitié allongé sur le lit, ma chemise légèrement ouverte sans que je le veuille et donnant une vision approximative de mon boxer qui dépassait de mon jean. C'est alors que Soliman frappa à la porte, ça ne pouvait être que lui. Une fois qu'il entrait, je fus surpris par sa tenue. On était comme le Ying et le Yang. Lui tout en blanc, et moi tout noir. Je souriais légèrement. « Salut toi… Ca va depuis tout à l’heure ? » Je me sentais gêné de ce qu'il me disait, après ma douche, je m'étais occupé de mes petites "douleurs", je n'osais pas vraiment lui avouer que j'avais mal en ce moment, même si c'était normal pour une première fois. Je posais ma bière sur ma table de nuit puis je m'approchais. « Aussi bien que je me vengerais avec plaisir en temps voulu. » Je lui lançais un petit sourire coquin avant de prendre ses affaires pour les poser sur mon lit. Je tendais mon bras pour prendre le haut de son pantalon afin de le tirer à coté de moi sur le lit. Je souris en voyant que la couleur pétante de son caleçon se voyait à travers et de plus près. « J'aime bien ta tenue. » dis-je l'air très intéressé. Faut dire qu'on pouvait bien voir ses hanches, j'imaginais bien ce qu'il y avait en dessous. Je me retenais d'y aller vraiment franco, je ne savais pas trop comment m'y prendre avec lui. Malgré que je désirais qu'une chose, pouvoir le prendre dans mes bras. « Tu as apporté quoi ? ça serait sûrement plus intéressant que ce que j'ai, je les ai déjà revus au moins 3 fois... » L'embrasser ? J'en mourrais d'envie, mais je n'osais pas. Alors que je m'étais pas gêné tout à l'heure, l'adrénaline était sûrement retombée rapidement entre temps.

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You are my only exception } A mon entrée je m’étais retrouvé face à une image particulièrement enclin à la tentation, Liam allongé sur son lit, chemise à moitié ouverte avec son boxer dépassant. Si je ne lui avais pas déjà assez fait de mal comme ça quelques heures en arrière j’aurais probablement sauté sur lui sans demander la permission pour lui faire comprendre ce qu’il avait raté pendant vingt-trois longues années. A la place je me mordillais la lèvre étant plus que civilisé tout en lui demandant s’il allait bien depuis tout à l’heure, une petite référence à nos ébats dans les douches histoire de savoir par la même occasion s’il ne souffrait pas trop. « Aussi bien que je me vengerais avec plaisir en temps voulu. » Je m’approchais avec un sourire amusé prenant sa bière pour en boire une gorgée, j’avais soif. « Tiens… J’ai emmené de la vodka ! » Je la lui tendais tout en le laissant m’ôter ce que je tenais dans les mains, je pouvais aisément sentir ses doigts contre mon jean blanc, je souriais coquinement le suivant pour venir m’allonger sur le lit à côté de lui. « J'aime bien ta tenue. » Je riais en regardant mon boxer rose. « Moi aussi même si j’ai un peu chaud, on ne croirait pas qu’on est en octobre ! » Je glissais ma main contre la sienne lui souriant timidement, je ne savais pas trop comment faire les choses, moi l’expert pour le feeling j’hésitais. « Tu as apporté quoi ? ça serait sûrement plus intéressant que ce que j'ai, je les ai déjà revus au moins 3 fois... » Je souriais réfléchissant à ce qu’il y avait sur mon disque dur. « J’ai le nouvel épisode de American Horror Story, il est un peu hot sur certains passages d’ailleurs… J’ai détour mortel 5, Dictator et tout un tas de films. » Il se levait se baissant juste devant moi pour prendre son ordinateur, je plaçais ma main contre ses fesses les caressant en douceur. « Tu as mal ? »

Je me sentais extrêmement bien et ce n'était pas le petit effet alcoolisé de la bière qui me faisait ça. C'était une meilleure drogue, c'était Soliman. Tomber sous le charme de mon "ami" c'était plus que bénéfique pour moi, je me voyais le séduire et être fidèle. Contrairement à mes relations passés avec les filles. Et puis honnêtement, ce n'était pas tellement la Vodka qui m'intéressait le plus, c'était lui. A coté de moi, si proche, c'était vraiment tentant de poser mes lèvres sur les siennes. Je me pinçais la lèvre à l'évocation du fait qu'il avait "chaud". « Si t'as chaud, ça me dérange pas si tu enlèves ton tee-shirt... » Je serrais sa main lorsqu'elle était en contact avec la mienne. C'était un possible calme avant la tempête. « J’ai le nouvel épisode de American Horror Story, il est un peu hot sur certains passages d’ailleurs… J’ai détour mortel 5, Dictator et tout un tas de films. » Il avait vraiment pas mal de films, surtout des bons à l'approche d'Halloween. « D'acc, va pour un épi' d'American Horror Story. » J'attrapais mon ordinateur portable qui était pas trop loin, tressaillant au contact de la main de Soliman sur mes fesses. « Tu as mal ? » Je me sentais gêné d'aborder ça, je ne voulais pas qu'il s'en veuille. Je posais mon ordinateur sur la table puis je me rasseyais à ses cotés. J'approchais mon visage du sien, tout en posant ma main sur sa joue. « Un peu, mais ça n'enlève en rien le plaisir que j'ai eu à coucher avec toi. Et je ne regrettes rien. » Je souris alors que j'approchais mon visage du sien afin de l'embrasser tendrement. Je passais ma main sur sa hanche afin de le rapprocher de moi. Si ça continue, j'allais lui faire sa fête tellement c'était fort. Notre baiser s'arrêta. « Viens, on va passer une belle soirée. » Je l'attirais à moi jusqu'à mon coussin, je me tenais contre le dos du lit puis je l'accueillais dans mes bras, entre mes jambes. Je posais l'ordinateur sur ses cuisses, je préférais le laisser faire pour brancher son disque dur à mon ordinateur, ce n'était pas à moi après tout.

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You are my only exception } Il faisait tellement chaud en ce moment et le fait d’être aussi proche de Liam n’arrangeait rien à ma situation, je me demandais encore comment réagir, me comporter et j’avais peur d’avoir été seulement le mec qui lui avait retiré une « barrière » comme j’avais pu le faire avec Marshall il y a quelques semaines en lui faisant connaitre les joies de la bisexualité. Bien-sûr la situation n’avait rien de comparable, entre nous c’était tellement plus sensuel et romantique, d’ailleurs ce romantisme me déroutait parce qu’il n’y avait eu que Maxwell qui avait été capable de me faire ressentir des choses pour lui. Je n’avais jamais été sous le charme d’un homme au point de développer ce type d’affection mais tout était différent avec Liam de qui j’étais proche depuis six années maintenant, cette tendresse n’était pas nouvelle, elle changeait juste de genre. « Si t'as chaud, ça me dérange pas si tu enlèves ton tee-shirt... » Je souriais lui mettant une petite tape sur le bras ne le quittant pas une seule seconde du regard. « Coquin… Je n’ai pas envie de me mettre à poil… Pas aussi tôt dans la soirée du moins ! » Un petit clin d’œil suivait mes paroles alors que je faisais comme si mes paroles n’étaient pas une invitation à ce que nous nous retrouvions encore une fois l’un contre l’autre pour une folle nuit d’amour. « D'acc, va pour un épi' d'American Horror Story. » Je hochais la tête le regardant se baisser, je me souvenais de ma première fois et même si j’en gardais un super souvenir je savais très bien que pendant plusieurs jours j’avais eu toutes les difficultés du monde à m’asseoir sans avoir très mal au derrière. Je me sentais un peu coupable de lui faire endurer ça pour être honnête. « Un peu, mais ça n'enlève en rien le plaisir que j'ai eu à coucher avec toi. Et je ne regrettes rien. » Mon regard était tendre, presque enfantin, il me rassurait même si je m’en voulais d’avoir pu lui faire mal, j’avais horreur de ça même si les dommages n’avaient l’air de rien face au plaisir que j’avais pu éprouver à lui faire l’amour. Pour la première fois de la soirée il venait m’embrasser, ma main glissait contre son visage que je caressais tout en prolongeant fermant les yeux pour apprécier pleinement le baiser. « Viens, on va passer une belle soirée. » Je souriais venant m’allonger dos contre son torse musclé, je déboutonnais un ou deux boutons de ma chemise mourant de chaud tout en allumant son ordinateur et enclenchant le disque dur. Je démarrais l’épisode d’American Horror Story qui débutait avec une scène érotique très courte puisqu’ils étaient coupés par des bruits étranges entre Adam Levine et Jenna Dawan, je me mordillais la lèvre, Adam était très sexy mais j’avais mieux ici. Je m’entourais des bras du jeune homme déposant des petits bisous sur ses bras un peu poilus.

Le voilà à présent rassurer, nous pouvions nous concentrer totalement sur notre soirée ensemble. Il est clair que la journée allait rester dans mon esprit, j'étais tellement bien dans ses bras. Je le câlinais, ou du moins, je le serrais dans mes bras pour regarder le film, ce qui était fortement à mon avantage. J'adorais l'avoir contre moi. J'aurais aimé être doué pour séduire sur la durée. Mais Soliman savait s'y prendre, enfin... savoir prendre ses aises avec moi. L'épisode venait de commencer et je sentais qu'il me voulait un peu plus contre lui. Une étreinte encore plus forte, tendre. Un bisou, deux bisous, c'était à me rendre fou. Se rendait-il compte que je l'apprécie plus que ça et sentir de la tendresse me touchait au cœur. Je penchais la tête pour déposer des baisers sur sa joue, mais pourquoi pas faire plus joueur ? Je passais ma bouche en dessous de son oreille, montant jusqu'à son lobe pour y passer ma langue avant de plaquer ma joue contre sa tête. Ce n'était que le début de soirée, je ne devais pas le chercher. Même si l'envie de me venger pour mes fesses était présente. Pour ma défense, la scène érotique m'avait donné envie de faire presque la même chose avec Soliman. D'ailleurs, je cédais à la tentation pour prendre son visage en tournant sa tête, penchant la mienne pour l'embrasser. Je glissais mes mains dans les siennes. Le baiser pouvait durer tout le film, ça ne pouvait que m'en plaire. « Pardon. » Je souris alors que je posais mon menton sur son épaule. « Tu as faim ? » murmurais-je. Autant oublier le fait que je l'aimais sinon je risquais de le câliner pendant des heures. D'ailleurs, ma question manquait de motivation étant donné que je ne bougeais pas du tout mes bras, ni mes mains. C'était trop bon de le sentir à mes cotés. Je frôlais à nouveau ses lèvres pour le taquiner avant de poser mes yeux sur le film.

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You are my only exception } J’étais un peu plus rassuré à l’idée qu’il ne soit pas plein de regrets concernant notre petite incartade de tout à l’heure. Je ne regrettais aucunement le fait de lui avoir fait l’amour et je me sentais donc davantage dans la capacité de reproduire l’exercice dans quelques temps si nous étions toujours dans cette période de tension sexuelle parce qu’il risquait d’y avoir du nouveau, c’était envisageable qu’une fois l’adrénaline de l’action se soit évaporée il comprenne qu’il avait fait une petite parenthèse pour se sentir plus vivant et que le sexe entre hommes, malgré le fait que ce soit une expérience enrichissante pour lui ne serait pas plus qu’un one shot. Je partais peut-être un peu trop vite dans mes réflexions mais c’était tout à fait possible après tout. Je me mordillais la lèvre m’entourant de ses bras musclés malgré le fait qu’ils le soient nettement moins que les miens, c’était beaucoup de sport et de temps perdu à se muscler qu’il ne perdait pas, oh et puis j’aimais son côté maigrichon. Je couvrais son bras de baisers le sentant tressaillir alors qu’il faisait de même sur mon visage tout en remontant pour lécher mon oreille puis mon lobe, il voulait me rendre fou ou quoi ? Je souriais appréciant plus que jamais ce qu’il était en train de me faire. Je plaquais mon visage contre le sien prenant une petite inspiration en me concentrant avec les plus grosses difficultés du monde sur la série, une scène érotique prenait fin et l’idée de la reproduire sans qu’elle soit coupée par un fantôme me tentait bien, je souriais à cette pensée tournant la tête puisqu’il me le demandait pour l’embrasser. « Pardon. » Je riais glissant mes lèvres sur son cou pour le caresser avec ma langue me replongeant dans la série. « Tu as faim ? » Je me mordillais la lèvre prenant sa main sur laquelle je glissais mes doigts. « Oui… J’ai faim de toi ! »

l'embrasser c'était plus fort que moi. J'adorais ça, et je rattrapais le temps que je n'avais pas compris que les hommes me plaisaient mais surtout que Soliman me plaisait. Sentir sa chaleur contre la mienne était agréable, et avec la scène hot qui venait de passer, j'avais clairement envie de lui montrer la même chose, à l'exception que nous étions deux hommes dont moi qui était remplis de fougue ce soir. Mais je décidais de me calmer, ce serait abusé de mon attirance pour lui et lui de la mienne. Je lui proposais de manger, cela pourrait nous occuper l'esprit. Personnellement, j'allais voter pour un peu de vodka en plus de quelques friandises. J'étais déjà en manque de lui. Peut-être était-ce parce que c'était le début, que je me calmerais par la suite. « Oui… J’ai faim de toi ! » Et il ne m'aidait pas plus que ça. Je sentis sa main sur la mienne, et je pris innocemment ses lèvres durant quelques secondes avant de répondre. « hm, tu sais très bien que pour toi, le buffet est à volonté. » je n'avais certainement pas besoin de lui faire un dessin pour ce que je lui proposais pour la suite. Je mordillais gentiment sa lèvre du bout de mes dents avant de glisser ma langue entre ses lèvres et débuter un baiser encore plus fougueux. J'avais la très nette impression que nous terminerons pas l'épisode.

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You are my only exception } Je ne voulais pas avoir une longue période pendant laquelle je coucherais chaque jour un peu plus avec Liam pour ne plus avoir d’autre à la fin, le sexe était certes très agréable et j’avais plus que hâte de savoir s’il était capable de me faire ressentir autant de choses que j’avais pu le faire à son égard il y a quelques heures mais au risque de nous lasser ? Non, pourtant ce soir je n’étais pas dans l’optique de résister, je désirais son corps plus que tout au monde, peut-être était-ce la faute au temps ? Nous avions vécu tellement de temps sans même supposer qu’une attirance entre nous était possible que je me devais de rattraper le temps perdu inutilement ? Ce qui était certain c’est que j’avais plus qu’envie de lui, de son corps qui m’appelait. Il me posait la question qui tuait au moment où je me sentais le plus apte à lui sauter dessus sauvagement, je mourais d’envie de le violer sur le champ et le fait qu’il se soit occupé de mon oreille de cette manière n’avait rien fait pour arranger les choses. « hm, tu sais très bien que pour toi, le buffet est à volonté. » Je souriais amusé prenant possession de ses lèvres, je pouvais sentir sa langue contre mes lèvres et je ne me faisais pas prier pour faire de même lui léchant la langue à l’aide de la mienne, je déboutonnais ma chemise glissant les mains du beau brun sur mon torse musclé tout en m’arrêtant à la barrière de mon jean.

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