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Asma&Alek - Laisse moi te montrer qui je suis réellement...

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Laisse moi te montrer qui je suis réellement
Ft. Asma et Alek

• J’ai jamais prétendu être le gars qui n’avait qu’à claquer des doigts pour obtenir ce qu’il voudrait, j’suis loin de tout ça même, j’ai longtemps galéré pour avoir ce dont j’avais envie. J’aurais été ce gars, celui que j’ai été autrefois, celui qui a prenais les filles pour des objets, qui couchait avec elle pour de stupides paris, et bien, je n’aurais pas cherché à prouver à Asma que j’avais changé, je n’aurais pas cherché à comprendre et j’aurais continué ma route. Sauf que non, je tenais à la revoir, je tenais à tout lui expliquer, et, tout ce que je venais de lui dire était vrai. Maintenant fait, je me sentais libéré, j’étais content de pouvoir lui avoir dit la vérité, heureux qu’elle me croie, et, surtout, sa dernière phrase me fit sourire. « Excuse-moi... Tes mots m'ont perturbé. Je suis touché par tes mots... j'y crois... Ce serait abusé de la situation de t'embrasser alors que nous sommes... qu'amis. Je ne suis pas si blanche comme neige, dans cette histoire. C'est malheureux... » J’avais senti sa main passer sur ma joue, ces yeux dans les miens, et léger sourire sur le coin de ces lèvres et elle venait de se serrer contre moi. La regarda en souriant, je déposa un doux baisé au coin de ces lèvres avant de répondre à ces phrases. « C’est peut-être déplacé, mais, entre ami, on peut s’amuser un peu j’crois… » Bon, j’avais une chance sur deux pour qu’elle m’envoie chier, mais, je tenais à elle, alors, j’avais pas envie de la perdre. Elle était là, dans mes bras, je caressais doucement le dos de la belle, repensant au moment qu’on avait passé ensemble. Je ne pensais pas qu’on allait pouvoir se revoir, je ne pensais pas qu’elle allait venir aujourd’hui et me laisser m’expliquer, me laisser lui montrer qui j’étais vraiment. •

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Je me sentais gênée d'avoir oser ce genre de chose. Qui me disait qu'il n'avait pas une copine en ce moment là. Je ne savais pas trop quoi faire, et il n'arrangeait rien en déposant un baiser sur ma joue, sur le coin de ma lèvre. C'était vraiment déroutant ce qu'il faisait. J'étais quand même attiré par Alek, pour une chose que je ne trouvais pas correcte. « C’est peut-être déplacé, mais, entre ami, on peut s’amuser un peu j’crois… » Je souris. C'est vrai qu'on était amis, plusieurs gens ne se gênaient pas pour coucher ensemble en toute amitié. Mais moi c'est ce que je voulais avec lui, mais c'était pas correcte à mes yeux, nous venions de nous « réconcilier », je ne pouvais pas tout gâcher. Mais à présent, que faire ? Maintenant que j'étais là, que j'étais bien avec mon ami, je pouvais ne profiter pour rester à ses cotés. Je manquais férocement d'imagination. Je devais défendre un peu ce que je venais de faire. Je n'étais pas une perverse, enfin, je pense pas... J'ai... excuse moi d'avoir eu...cette pensée, … excuse moi. Je veux bien qu'on s'amuse... mais je n'abuserais pas de toi, comme ça. Ce serait profiter de cette situation, pour faire ce dont j'ai envie... et pas forcément ce dont tu as envie, toi... Je me blottissais à nouveau dans ses bras. On était bien là, tous les deux. Seuls dans le parc, personne ne nous embêtait, le silence était de rigueur, et ça me détendait, me mettait plus en confiance. C'était agréable de sentir sa main dans mon dos qui me caressait, je pourrais presque faire une sieste dans ses bras. Je murmurais à nouveau. Tu entend quoi par.. il n'y a pas de mal à s'amuser ? Sur le coup, l'idée m'était revenue et la curiosité s'était emparé de moi.
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Ft. Asma et Alek

•• Cette envie partagée d’aller plus loin nous faisait dire ce qu’on avait sur le cœur, ce que l’on pensait réellement sans réfléchir avant de prendre la parole. Je venais d’en être témoin en lui avouant que même en étant ami, ont pouvaient tout de même s’amuser. « J'ai... excuse-moi d'avoir eu...cette pensée, … excuse-moi. Je veux bien qu'on s'amuse... mais je n'abuserais pas de toi, comme ça. Ce serait profiter de cette situation, pour faire ce dont j'ai envie... et pas forcément ce dont tu as envie, toi... » Je n’avais pas pu m’empêcher de sourire à sa phrase. Ca ne soit pas le fait qu’elle soit gênée qui me fait rire, mais plutôt le fait qu’elle pense que mes pensées sont différentes des siennes, que mes envies n’ont rien à voir avec les siennes. Je ne pense pas que ça serait profiter de la situation, ça serait plutôt se faire plaisir entre ami, rien de plus. Elle était là, toujours blottit dans mes bras, attendant surement une réponse de ma part, que j’allais fournir, sauf qu’elle me prit d’avance. « Tu entends quoi par.. Il n'y a pas de mal à s'amuser ? » Me reculant doucement d’elle, un léger sourire sur les lèvres, je caressa doucement sa joue avant d’approcher mon visage du sien pour y déposer un léger baisé. Mon regard plongé dans le sien, je lui répondis par la suite. « J’entends que j’pourrais faire ça sans qu’il n’y ai d’ambiguïté… Et qu’on a surement les mêmes envies… Après, je ne pense pas que ça soit profiter de la situation… » Peut-être que j’avais mal interprété tout ça, mais, je ne pense pas que ça soit le cas, restait à voir ce qu’elle en pensait, si elle était du même avis que moi ou si je m’étais fait des films… Petit à petit, je redécouvrais la Asma que j'avais connu, celle avec qui je m'entendais si bien... •

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Il m'énervait lui ! J'étais complètement attirée par lui, j'étais capable de tout en ce moment même, et c'est tout ce que je me reprochais, avoir envie de lui et en plus, il ne m'aidait pas à me tenir. Son baiser me raidit, et je ne pouvais lâcher mon regard vers lui. Si mes yeux étaient des revolver, je l'aurais tué sur place. « J’entends que j’pourrais faire ça sans qu’il n’y ai d’ambiguïté… Et qu’on a surement les mêmes envies… Après, je ne pense pas que ça soit profiter de la situation… » L'étrangler ? Nous étions dans un endroit public, je ne pouvais pas mais j'en mourrais autant d'envie que j'avais envie de lui. Je passais mes mains dans ses cheveux, en souriant. Ça le gênait donc pas d'avoir les mêmes envies que moi et encore moins de les assouvir ? Je ne savais plus quoi faire. J'avais clairement envie de nous rabibocher de cette manière, me rappeler de la façon dont j'avais pensé l'aimer, en m'offrant à lui. Je pouvais tenir, je pouvais juste céder un tout petit peu. Alors, juste un peu... Je souris tendrement avant de me relever et me mis à califourchon sur ses cuisses. Je relevais légèrement ma jupe pour être plus à l'aise avant de m'emparer les lèvres d'Alek. Aucune ambiguïté, les mêmes envies, et se faire plaisir. Les trois citations clés qui me lançait dans cette embrassade langoureuse. J'y prenais vraiment goût à lui, à ses lèvres. C'était tellement délicieux de sentir ses lèvres humides sur les miennes, ma langue caressant la sienne avec une infini délicatesse. Le bonheur de retrouver la chaleur de son corps contre le mien, ravivant les souvenirs chaleureux de notre étreinte de cet été. Mais allez savoir pourquoi, ça me faisait encore peur. Je me poussais de lui, me retrouvant debout devant. Je remettais ma jupe en place. C'est vraiment une mauvaise idée. Je ne peux pas... La respiration saccadée, j'allais pour partir mais... comme toutes les filles, il fallait que ça m'arrive au moment inopportun, je cassais le talon d'une de mes chaussures à peine je venais de faire quelques pas. rhaaa... Je les enlevais toutes les deux, me retrouvant alors pieds nus sur le sol du parc. Je posais mes yeux sur Alek. Je lâchais mes chaussures au sol. J'étais gênée. ça me tracasse tellement... je ne veux pas d'ambiguïté, mais … j'ai pas envie de passer pour une perverse. Parce que... je le veux parce que c'est toi... pas un autre. Mais je ne suis pas amoureuse. Et je sais pas comment agir avec tout ça... je me sens perdue. Ça me trouble... Excuse moi... si je te parais étrange... Je ris légèrement. Ce qu'on a vécu... j'arrive pas à l'effacer. Je t'apprécie tellement, Alek... Que faire à présent ? Lui sauter dessus et lui montrer à quel point je tenais à lui ou alors continuer sur la meilleure des voies : me retenir, et peut-être partir si j'y arrive vraiment. Honnêtement, j'étais partagée. Je ne savais pas quelle était la bonne décision.
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• Alors là, je crois que je ne m’attendais pas à ça, pas tout de suite plutôt, plus tard non, mais maintenant, non. Disons que vu notre passé, j’avais plutôt pensé qu’elle allait me refouler et partir, et non pas faire ce qu’elle venait de faire. Un léger sourire sur le coin de ces lèvres, elle caressa mes cheveux avant de répondre. « Alors, juste un peu... » C’est qu’elle était d’accord avec moi, et, sans trop que je ne capte, elle se leva pour se mettre à califourchon sur moi et commencer à m’embrasser langoureusement. Ca faisait un moment que je n’avais pas senti ce contact, que je n’avais pas renoué le contact entre nos lèvres, que je n’avais pas pu gouter à ce parfum si doux qu’était celui de ces lèvres. Nos langues se caressaient doucement, et j’appréciais ce moment qui nous était offert, ce si beau moment que je n’avais pas vécu depuis la dernière fois où l’ont c’étaient retrouvé dans sa chambre. Et là, en un instant de seconde, elle se leva de sur moi, remettant sa jupe en place tout en prenant la parole. « C'est vraiment une mauvaise idée. Je ne peux pas... » Hein ? Là, j’peux vous avouer que j’ai pas tout compris, j’ai vraiment rien compris du tout même … Une seconde auparavant ça va, et après, elle est plus d’accord… J’comprends plus trop là, vraiment… Sans que j’ai le temps de me lever pour la retenir, elle commença à partir, mais, le destin la rattrapa et un de ces talons ce cassa… Se retournant et me faisant face, elle lâcha ces talons à terre avant de prendre la parole. « Ça me tracasse tellement... je ne veux pas d'ambiguïté, mais … j'ai pas envie de passer pour une perverse. Parce que... je le veux parce que c'est toi... pas un autre. Mais je ne suis pas amoureuse. Et je sais pas comment agir avec tout ça... je me sens perdue. Ça me trouble... Excuse-moi... si je te parais étrange... Ce qu'on a vécu... j'arrive pas à l'effacer. Je t'apprécie tellement, Alek... » Secouant la tête, je la regarda avec un léger sourire de dessiné sur le coin des lèvres avant d’écarter mes bras et attendre qu’elle me rejoigne. Je pensais pareil qu’elle, alors, il fallait que je lui fasse savoir, il fallait qu’elle sache qu’ont étaient du même avis. « C’est ce que je te dis, on peut très bien s’amuser sans qu’il n’y ai d’ambiguïté, sans qu’il y est tous ces problèmes de couple ou je ne sais quoi… Si je te dis ça, c’est que je tiens à toi et que j’en ai envie… Alors tu fais quoi, tu me saute dans les bras ou tu repars ? » Elle était loin de passer pour une perverse, ce n’était pas le genre de truc que je proposais à la première venue, c’était même la première fois que je le proposais à quelqu’un pour tout vous dire… •

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C'était tellement troublant ce genre de situation. Avoir envie d'une personne, juste au minimum gouter à ses lèvres si douces, si agréable à posséder. Et de l'autre, avoir cette impression d'abuser de nos retrouvailles, de la tendresse que nous avions l'un pour l'autre. Il écartait les bras, comme s'il m'accueillait dans ses bras. C'était comme ci j'étais envouté, j'avais failli faire un pas, mais je me retenais. Je me souvenais de ses lèvres sur ma peau, de ses mains sur mon corps, il connaissait peut-être même par cœur ma peau. « C’est ce que je te dis, on peut très bien s’amuser sans qu’il n’y ai d’ambiguïté, sans qu’il y est tous ces problèmes de couple ou je ne sais quoi… Si je te dis ça, c’est que je tiens à toi et que j’en ai envie… Alors tu fais quoi, tu me saute dans les bras ou tu repars ? » Il en avait envie, j'en mourrais d'envie. Et puis, ça ne changerait rien sur notre amitié, on se faisait juste … plaisir, n'est ce pas ? Je fis quelques pas jusqu'à lui, j'étais tellement hésitante. Mais pour le coup, j'écoutais que mon cœur, mes envies et se fut dans la seconde que je me retrouvais assise sur les cuisses d'Alek, et mes lèvres avaient repris possession des siennes dans un ballet des plus romantiques qui soient. Je l'embrassais encore et encore, sans aucune limite, sans presque reprendre ma respiration tellement je dévorais de plaisir ses lèvres. J'étais consciente de ne pas pouvoir céder à plus que ses lèvres, nous étions pas dans le lieu pour pour ça. J'entourais son cou de mes bras, me blottissant contre lui. Juste quelques baisers... c'est … tu as beaucoup de chances d'être dans un lieu public, Alek. Tu m'as...tellement manqué. Je passais ma main dans ses cheveux, avant de reprendre notre langoureux câlin. Si mon père me voyait, il ferait une crise cardiaque. La fille du maire qui embrasse un inconnu du grand public sur un banc dans un jardin, et qui pourrait presque le violer sur place, fallait imaginer les unes. Mais ça ne m'empêchait pas pour autant d'apprécier mon étreinte avec Alek, c'était tellement bon de retrouver les souvenirs du passé.
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Ft. Asma et Alek

• Les bras écartés, j’attendais qu’elle me rejoigne et qu’elle arrête de se poser autant de questions. D’un côté, je la comprenais, c’était normal après tout. La peur de décevoir, la peur de tomber dans un cercle vicieux qui allait nous pousser à faire je ne sais quoi, la peur de l’inconnu tout simplement. Sauf que cette fois ci, tout était différent, on se connaissaient, peut-être pas par cœur, mais on se connaissait, et, on savait très bien qu’après ce qui c’était passé entre nous, désormais on ne pouvait que rester de simple amis, de simple amis qui se feraient plaisir de temps en temps en couchant ensemble, ne pas se prendre la tête avec toutes ces histoires de couple, de jalousie qui nous aurait poussé à nous éloigner et à détruire cette relation. Alors on ne se prenait pas la tête et on avait décidé de rester des amis avec plus d’affinité, des amis qui couchaient ensemble, point. Elle avait hésité avant de venir me rejoindre, mais, elle l’avait fait, se replaçant comme avant sur moi, elle ne laissa aucun son sortir de sa bouche, elle reprit ce baisé qu’elle avait coupé quelques minutes plus tôt, sauf que cette fois ci, il était plus… Comment dire… Sensuel et sauvage à la fois, comme si elle attendait plus, comme si ça lui faisait du bien. Décollant délicatement ces lèvres des miennes, elle plongea son beau regard dans le mien avant de prendre la parole. « Juste quelques baisers... c'est … tu as beaucoup de chances d'être dans un lieu public, Alek. Tu m'as...tellement manqué . » Un petit sourire sur les lèvres, je caressais le bas du dos d’Asma tout en l’écoutant parler. Je lui avais donc manqué et j’avais de la chance d’être dans un lieu public ? Et bien, ont pouvaient changer ça rapidement je pense. Lui volant un baisé, je laissa glisser ma main sous sa jupe, caressant sa cuisse avant de lui répondre. « Toi aussi tu m’as manqué… Et, on peut aller ailleurs… Suis-moi et tu me montreras pourquoi j’avais de la chance… » La prenant par la main, je ramassa ces chaussures avant qu’on se dirige vers ma voiture ou l’on monta dedans pour aller chez moi. Ça, c’était la chance de n’avoir aucun colocataire, tu pouvais ramener qui tu veux, quand tu veux, et faire ce que tu veux sans devoir rendre de compte à personne. Arrivé devant chez moi, on descendu de la voiture avant de monter les escaliers qui menaient à ma porte d’entrer. Faisant tourner la clef dans la serrure, j’ouvris la porte que je referma derrière nous une fois entré avec Asma. La regardant avec un léger sourire sur les lèvres, je m’approcha dangereusement d’elle avant de prendre la parole. « Je te présente ma demeure ! C’est pas très grand je sais mais… C’est pas un lieu public… » J’aimais jouer avec le feu, mais après tout, s’il n’y avait aucune ambiguïté et que l’on faisait ça pour se donner de plaisir et car on le désirait, alors il n’y avait rien de mal là-dedans… •

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L'embrasser c'était tellement bon, je ne voulais pas quitter ça du moins, tant que j'étais encore pleine d'énergie, vivante. Je ne voulais plus quitter ça, apprécier notre amitié au maximum. Je ne demandais que ses lèvres parce que ça me suffisait à mon bonheur et que j'étais beaucoup trop pudique pour lui enlever le moindre vêtement dans ce lieu. Après m'être confié, j'allais pour reprendre nos embrassades mais là... je frissonnais sous la caresse de ses mains sous ma jupe. Il me cherchait carrément, moi qui essayait d'être calme, qui essayait de ne pas aller au delà de ses lèvres. « Toi aussi tu m’as manqué… Et, on peut aller ailleurs… Suis-moi et tu me montreras pourquoi j’avais de la chance… » finit-il par me répondre. Je rougis légèrement, il en avait envie à ce point là ? Je riais un peu, je me laissais faire. Je piétinais comme je le pouvais en le suivant, faisant attention à ce qu'il y avait au sol pour ne pas me faire mal. Je me sentais un peu bouleversée, il pouvait me kidnapper que je me laisserais faire. Je m'installais dans sa voiture, je sentais que mon coeur battait à la chamade. Je savais ce qu'il m'attendait au bout du chemin, je le savais et ça m'excitait à la fois, et d'un coté, ça me faisait peur. Je ne savais pas trop pourquoi. Je ne disais rien jusqu'à ce que je me retrouve enfin chez Alek. Je regardais autour de moi pour voir où j'étais, c'était pas trop mal. Le winthrop s'approcha de moi, je sentais l'envie de me faire l'amour plus présent, nous avions plus de contraintes sauf peut-être moi qui avait comme envie de jouer avec ses pulsions en le voyant ainsi avec moi. « Je te présente ma demeure ! C’est pas très grand je sais mais… C’est pas un lieu public… » Je souris alors que je reculais légèrement. Je me butais contre la porte. Tant pis, je n'irais pas plus loin. Je retirais doucement ma veste que je posais sur le coté, il n'avait pas à s'en faire, il y avait encore ma chemise à retirer. Je retirais mon string qui glissait le long de mes cuisses et lorsqu'il fut au bout de mes pieds, je le lui jetais d'un coup sec pour qu'il atterrit sur son épaule. Douce provocation, c'était amusant et ça le serait encore plus en lui laissant imaginer la suite. Je m'approchais d'Alek encore plus qu'il ne l'avait fait. Je déposais un chaste baiser sur ses lèvres avant de « m'enfuir ». Oui, je m'enfuyais carrément de ses bras pour explorer son appartement. Je trouvais, comme par hasard, en premier la chambre, mais tout de suite après, je me retrouvais dans la salle de bain puis tout en passant devant lui pour le narguer, j'allais dans le petit salon. Je m'asseyais sur le canapé, en souriant. Je testais quelques secondes avant d'enfin me décider à parler. Ici, ça peut être parfait. Je souris alors que je ne cherchais plus à coucher avec lui directement, je faisais en sorte qu'il vienne. J'allumais la télévision, c'était pas vraiment un programme qui me captivait mais c'était juste pour faire genre. Je défaisais mes cheveux pour laisser mes cheveux virevolter à leur aise. Je posais ma tête sur l'accoudoir en le regardant, le sourire aux lèvres...
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• Je crois franchement qu’elle était en train de jouer avec moi, qu’elle me cherchait juste pour son petit plaisir personnel, plaisir que je n’allais pas tarder à faire monter à son maximum, je tiens à vous le préciser. Je venais à peine de rentrer dans mon appartement avec la jeune femme qu’elle se recula pour coller son dos contre la porte d’entrée, laissant sa veste tomber et enlevant doucement son string en le laissant glisser le long de ces jambes, un petit sourire aux lèvres. Ont désiraient la même chose, c’était clair, et, elle allait être servi… Sauf que là, elle lança son string de façon à ce qu’il atterrisse sur mon épaule avant de me voler un baiser et d’aller faire un tour dans mon appartement. Visitant chaque pièce, elle ne disait pas un mot, s’amusant à me jeter des petits regards de temps à autre, comme pour vérifier que j’étais bien là. J’avais pas bouger, j’étais resté debout non loin de ma porte d’entrée admirant la belle déambuler chez moi. C’est lorsqu’elle arriva dans le salon et qu’elle posa ces fesses sur le canapé que je vis qu’elle avait finis de faire son petit tour comme les agents immobilier. Son string sur l’épaule, je l’attrapa avant de le lancer dans le salon non loin du canapé. C’était une sorte de provocation, ça n’allait pas être le seul vêtement qui finira à terre aujourd’hui, c’était même le premier d’une longue liste. « Ici, ça peut être parfait. » Elle décidait de parler, enfin ! Sauf que là, elle me regarda avec son petit sourire tout en allumant la télé… Elle me cherchait vraiment, elle faisait en sorte de jouer avec moi, car elle savait très bien que j’allais lui sauter dessus et que j’en avais rien à faire de la télé ou autre. Alors, m’approchant doucement d’elle, une fois arrivé à sa hauteur, je vins m’asseoir à ces côtés me tournant face à elle pour prendre la parole. « Si c’est parfait pour toi, j’accepte… » Jetant un rapide coup d’œil à la télé, je reporta mon attention sur la belle, et, sans lui laisser le choix, je me laissa tomber sur elle, de façon à ce qu’elle soit sur le dos et que je sois par-dessus. Caressant sa joue, je l’embrassa langoureusement avant de laisser ma main glisser le long de son corps pour venir s’aventurer sous sa jupe, m’arrêtant à la limite de son intimité, attendant encore un peu avant de caresser cette partie. « Je croyais que j’avais de la chance d’être dans un lieu public tout à l’heure, et là… Tu me montre pas pourquoi j’en avais… » De la provocation, c’était exactement ça, je provoquais la belle ouvertement. •

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Je m'amusais bien, à le chercher, le provoquer. A présent que nous étions sûrs d'être seul, je pouvais jouer avec lui un petit peu. Il s'asseyait en face de moi. C'était dur de tenir le coup pour ne pas lui sauter dessus. J'étais si avide quand je voulais être dans les bras d'un garçon, et en ce moment même, c'était Alek. « Si c’est parfait pour toi, j’accepte… » Je souris à sa phrase, je me demandais quand est-ce qu'il viendrait à moi. J'eus bien vite une réponse car je sentis à présent le corps d'Alek au dessus du mien. Mon cœur se mettait à battre à vive allure. Les frissons m'envahissaient à nouveau et cela encore plus violemment que lorsque j'étais dans le parc, car là je savais que je ne pouvais plus me contenter de simples baisers, que nous pourrions aller plus loin. Nos lèvres se rencontrèrent à nouveau, instinctivement, je passais mes bras autour de ses épaules pour le serrer contre moi, pour profiter de la chaleur de son corps pour m'adoucir, apprécier cette étreinte à la fois charnelle et amicale. Je me cambrais légèrement en sentant ses mains qui parcouraient mon corps, et encore un peu plus lorsqu'il était si proche de cette partie si intime, si sensible de mon corps. Mes yeux s'ouvrirent directement pour fixer Alek. Je sentais qu'il me provoquait aussi, ça se sentait à son regard. « Je croyais que j’avais de la chance d’être dans un lieu public tout à l’heure, et là… Tu me montre pas pourquoi j’en avais… » Je ris un peu avant de prendre possession de ses lèvres pour le faire taire, me montrant un peu plus énergique. Je passais mes jambes autour de ses cuisses, l'incitant à se rapprocher au maximum de moi. Je prolongeais ce baiser jusqu'à ne plus avoir de souffle, jusqu'à ce que ma tête se reculait d'un coup, penchant en arrière pour récupérer un rythme normal. A présent que nous sommes seuls, ça vous le coup de s'amuser un petit peu. Je pense... avoir le temps de le prouver cette nuit que tu avais beaucoup de chances... Je voulais surtout profiter de le revoir un peu, de l'avoir à moi, aussi. Je savais que ce serait un moment unique entre nous, que peut-être bientôt il trouverait une copine, et que ce ne sera plus possible de lui voler un baiser, ou même une nuit. Je cherchais sa tendresse, la chaleur de ses étreintes. Je ne pouvais pas vraiment retourner la situation vu qu'il était plus lourd que moi, mais j'allais m'amuser avec plaisir pour le provoquer à mon tour. Je lui enlevais son tee-shirt, me mordillant la lèvre à la vue de son corps. Il n'avait rien changé, il était toujours aussi beau... Je retirais mes jambes de ses cuisses et je me glissais un peu plus en dessous de lui et je me mettais à mordiller sa peau au niveau de son torse. J'étais vraiment méchante, mais j'avais envie de m'amuser moi aussi !
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