(Nevandrea) Forgive me ..

Des baisers, une chaleur parfaite, un échange des plus parfaits. Mais finalement tout va de travers. La porte, le téléphone, tu te retiens de ne pas envoyer valser ce bruit infernal mais voilà qu'elle se décide à arrêter la chose. Tu soupires doucement, l'embrassant quand même une dernière fois. Deux minutes, pas plus alors t'es exigeant mais tu t'en fou, on parle de vous là. Tu lui donnes ses vêtements à contre coeur. Elle te sort cette remarque, alors que tu enfiles ton caleçon rapidement au cas où et tu la regardes se rhabiller devant toi. Tes mains se déposent sur ses hanches. Plus aucun bruit, tu lui embrasses les lèvres Tu crois qu'on pourrait pas continuer ? Je crois qu'ils ont trouvé ce qu'ils cherchaient qu'ils n'ont plus besoin de toi dis-tu alors que tu ne peux pas t'empêcher de caresser sa peau nue délicatement avec tes doigts. Mais manque de bol. Encore quelqu'un qui frappe. Tu fais une moue Va les engueuler, vasy, je te laisse le faire ajoutes-tu avant de lever les bras en l'air pour remettre au moins ton jeans. Tu passes ta main dans tes cheveux. Tu t'assois sur le fauteuil pour remettre tes lunettes de vue qui trainait sur le bureau. Tu la regardes t'échapper encore une fois. Tu espère sincèrement qu'elle reviendra rapidement, parce que sinon ça va pas le faire du tout ...

Qu'est ce qu'ils avient fait au bon Dieu pour recevoir tel chatiment ? Leur action était loin d'être catholique mais tout de même, ce n'est pas une raison suffissante pour être privé de bonheur. Evidemment la libido de la jeune femme se dissipe en un claquement de doigts. Elle grince des dents tout en se rhabillant. Loin d'être une patronne froide et tyrannique, là ses employés ont commis l'irréparable. Jean enfilé, Andréa tente en vain de la kidnapper à nouveau. Baiser de réconfort. Visiblement lui semble ne pas être si frustré que cela." Franchement là, j'en ai plus tellement l'envie. " Etre coupé dans un si bel élan, il ne peut pas y avoir pire dans la vie. Un coup contre la porte se fait de nouveau entendre, sonnant ainsi définitivement la fin du jeu." C'est vrai que toi tu ne fais pas assez peur. " Bon ce n'est pas son job non plus. Soutien gorge et chemisier qu'elle remet à la va vite avant de passer la main dans sa chevelure ébène. Elle murmure un léger "je t'aime" avant de s'éclipser. Un serveur l'interpelle pour lui informer qu'un client demande à la voir." Tout ça pour ça ? Vous ne pouviez pas simplement dire que j'étais indisponible. " Elle roule des yeux, dépitée. Il va vraiment falloir qu'elle remette les points sur les i avant la fin du service. Mais bon maintenant qu'elle est là, elle fait son job et vient saluer comme il se doit cet habitué, qui n'a pas choisi le bon moment pour lui faire la conversation. Quinze bonnes minutes avant de pouvoir retourner à son bureau. Son dos se plaque contre la porte fermée." Désolée. Des clients bavards. Je suis victime de mon succès ! "

Elle t'échappe, tu le sens. Et ton coeur t'en remercie d'un côté, cependant ton envie moins. Et puis tu ne veux pas la voir partir, loin de là. Alors tu l'embrasses à cette remarque. Je peux faire très peur si je veux Chose vraie. Mais tu en profites pour remettre au moins ton caleçon. Juste le temps de l'attendre. C'est ainsi que tu t'assois sur ce fauteuil. Tu passes ta main dans ta nuque alors que les minutes passent. Les unes après les autres. Tu as l'impression d'attendre pour un jour important, mais c'est pire. Tu te redresses, ta peau chaude tatouée se déposant contre le cuir froid du dossier alors que tu entends la porte s'ouvrir sur elle. Tu la regardes alors, en souriant doucement un peu plus. Elle se fout de toi là. Normal qu'elle est connue, vu son magnifique restaurant En même temps, qui ne voudrait pas parler à Nevada Eova Tessier ? Un sourire en coin, alors que tu décroches le téléphone, et tu te lèves, en marchant vers sa direction. Tu profites d'un petit instant, pour éteindre la lumière et ainsi te tourner vers elle Je crois que là, on ne sera plus dérangé dis-tu alors que tu l'embrasses, juste une première fois, tu veux son approbation après tout. Parce que sinon vous pouviez toujours discuter réellement, bien que ça ne t'enchante pas réellement ce côté là. Et puis, ton coeur a eu le temps de se rétablir petit à petit et heureusement.

Elle adorait son job réellement. Ce restaurant l'avait sauvé, l'avait remise sur les rails, offert une nouvelle vie sociale dont elle s'était privée durant des mois. L'Ostra c'était un peu comme son deuxième bébé, elle y avait plein d'amour lors de sa conception. D'ordinaire assidue quand il est question de travail, elle avait dérivé avec Andréa, du moins elle avait essayé. Et forcément Dieu l'avait puni pour cet acte. De longues minutes de conversation avec un couple d'habitués qui ne tarissait pas d'éloges sur la nouvelle carte. Des compliments qui lui allaient droit au coeur mais dont elle se serait bien passé à cet instant. Finalement délivrée de son devoir de femme d'affaires, elle revenait vers son prince qui l'avait sagement attendu. Sans doute s'était-il fait un plaisir de prendre sa place dans le fauteuil du boss le temps de quelques minutes !" Oh je suis certaine que des gens qui ne veulent pas me parler, ça doit se trouver. " A commencer par son ex mari, mais l'inverse est également vrai. Bref c'est pas un sujet auquel elle veut réfléchir à cet instant. Surtout pas avec un Andréa un brin ténébreux en face d'elle. Elle a bien d'autres idées en tête." On est jamais sûrs de rien. " Baiser savoureux dont le goût reste ancré sur ses lèvres. Ses mains s'accrochent à sa nuque." Je vous trouve bien indiscipliné Mr Grimaldi. " Ce qui est loin de déplaire à la brune au contraire. Malgré la déception éprouvée il y a quelques minutes, l'envie semblait s'emparer d'elle à nouveau.

Tu attendus, il est vrai que tu aurais pu entièrement te rhabiller, faire comme si de rien était au cas où quelqu'un serait rentré. Mais non, tu étais en caleçon blanc, simple comme bonjour à attendre que ta bien aimée revienne. Et quand ce fut le cas, tu pouvais enfin tout faire pour que ça se passe bien. Franchement, je devrais faire une liste dis-tu alors que tu souris. Tu avais décroché le téléphone, donc personne n'allait pouvoir vous déranger. Tu avais éteint la lumière donc elle était pas son bureau. Comme ça, tu te posas devant elle, caressant sa joue avant de l'entendre. Si quelqu'un nous dérange, j'ai le droit de le virer ? Tu poses la question après tout, rien de bien méchant. Tu embrasses la française, tu ne te laisses pas emporter pour autant, un simple baiser des plus savoureux et langoureux. Mais bien ses paroles te firent sourire Vous voulez peut-être que je reste sage devant une femme comme vous ? Ca risque d'être très compliqué mademoiselle Eova-Tessier Même si tu t'étais retenu de prononcer ton nom de famille pour la taquiner encore plus. Un sourire, un nouveau baiser, de nouvelles caresses sur son visage. Finalement, c'était bien repartit non? Et sérieusement, tu n'aurais jamais attendu jusqu'à ce soir

Vision splendide qui s'offrait à elle quand elle pouvait de nouveau se cacher dans ce bureau qui depuis quelques minutes s'était transformé en un lieu de luxure. Mais qu'importe, après tout elle a les pleins pouvoirs." Je veux voir cette liste sur mon bureau dès demain matin 9h. " Autoritaire ? Juste un peu. Juste ce qu'il faut. Andréa prenant toutes les précautions pour éviter qu'ils soient à nouveau coupés dans leur fièvre." Si tu vires mon personnel, je vais avoir deux fois plus de boulot et donc deux fois moins de temps à te consacrer. Je ne pense donc pas que ce soit une bonne solution. " dit-elle dans un soupir avant de voir ses lèvres happés de nouveau par les siennes. Main qui se glisse lentement sur son torse." Je sais que t'es incapable de me résister. " dit-elle en affichant un sourire malin avant de se mordiller la lèvre." J'espère que tu viendras souvent m'attendre dans mon bureau, vêtu uniquement de cette tenue. " Cela rendrait ses fins de journées bien meilleures.

Faut avouer que tu avais quand même un peu froid avec cette tenue. Mais tu n'avais pas envie de te rhabiller parce que tu refusais de croire que ce moment de bonheur allait se terminer comme ça. Tu avais réussi à obtenir une trêve, autant dire que tu ne comptais bien profiter de ce moment et elle aussi. Tu souris à sa remarque. Il va falloir que tu trouves la liste de toutes les personnes qui voulaient lui parler et une autre liste de toutes les personnes qui ne voulaient pas lui parler. Ca allait être difficile, mais tu tentas le diable. Toujours dans ce genre de circonstances. Et si je rends la feuille demain soir, je serais puni ? Et oui, autant jouer sur les mots. Mais c'était tellement plaisant. Tu caressas sa joue un instant. Tu réfléchis alors, avant de rire légèrement Bah alors, je te vire toi, et du coup, tu auras beaucoup de temps pour moi Lui vouloir ? Comment ? C'est toi qui part presque tous les week end à Monaco pour voir tes parents et le peuple français. Alors non, sincèrement, tu n'avais aucune leçon à lui donner. Tes lèvres sur les tiennes, baiser plutôt simple et plutôt caractéristique de votre relation. Puis ton visage se réfugie dans son cou où tu t'éclates à lui embrasser chaque parcelle de sa peau métisse. Sa remarque te fait sourire tellement que tu arrives à lui chuchoter à l'oreille. Je crois que c'est plutôt toi qui n'arrive pas à me résister dis-tu sincèrement alors que ses mains se posent sur ton torse et frisonne rien à qu'à son touché. Tu n'avais même plus besoin de cacher cette cicatrice arrive que tu as sur le torse à ton plus grand bonheur il faut le dire alors c'est sur, là, tout ton corps est à elle. Tu ne peux pas t'empêcher de sourire à ses paroles alors que tu reviens pour la regarder Tu veux que je vienne ici, tous les jours, à la même heure, dans cette tenue ? Si je demande à être payer, tu crois que ça peut le faire ? demandes-tu avec un sourire malicieux sur le visage et bien rigolo. En même temps, ce n'était qu'une blague, rien de plus. Faut être fou pour dire non en tout cas

Sans grande surprise, il la provoque lorsqu'elle lui somme de rendre son papier dès la première heure demain matin." Je dirais même puni à vie. " Mais honnêtement est ce qu'il allait se plaindre ? Certainement pas. A l'idée qu'il émet, elle ne peut que rire aux éclats." J'aime ton sens pratique. " Une qualité de plus à ajouter à sa longue liste, qu'elle ne lui a toujours pas fourni d'ailleurs, mais passons. Ses baisers qui se font plus intenses au creux de sa nuque. Souffle de plaisir qui s'échappe de ses lèvres. Il n'a pas tort. Trop difficile de lui résister. Elle capitule." Disons que nous sommes à égalité alors. " Parce qu'il est loin d'être mieux que la française. Elle le voit, elle le sent dans ses gestes plus insistants. Pupilles emplies de malice face à ses demandes." Quel est ton prix ? " Demande t'elle, rentrant dans son jeu alors qu'elle avait bien du mal à l'imaginer en gigolo. " Je pense qu'on devrait passer à l'essentiel avant d'être encore dérangé. " Et sans perdre une seconde de plus, elle se dévêtit de son chemisier et son soutien gorge dévoilant une nouvelle fois sa peau halée, son corps en éternelle demande, lorsqu'elle se retrouvait face à lui, à cet homme qui lui appartenait.

Sourire en coin qui se veut presque malicieux, tu souris à sa suggestion tu en profites même pour effleurer ses lèvres A vie, ça va être compliqué d'être priver à vie à tout les bonnes choses de la vie dis-tu avant de caresser sa joue. Tu la cherches mais là, tu ne peux pas résister au fait que la plus belle femme de la terre soit en face de toi et que tu as terriblement envie d'elle. Sans oublier le fait que vous vous cherchez depuis tout à l'heure alors là, tu ne peux même pas résister à déposer tes lèvres sur son corps. Je suis d'accord là dessus un murmure, un frisson de nouveau et voilà que tu viens l'embrasser. Un baisre qui se veut désirer, avec beaucoup de caresser sur son corps. Elle t'a beaucoup trop manquer. Un quart d'heure était le supplice d'une vie entière finalement. Et elle te demande ton prix. Tu ne réfléchis même pas quand tu réponds Toi dans mon lit, tous les soirs, contre moi, sans personne d'autre. Aucun problème, aucun protocole, juste toi et moi dis-tu alors que tu l'embrasses une nouvelle fois. Et voilà qu'elle se met à nue. Enfin presque. Tu ne peux pas t'empêcher de regarder la vue, c'est plus fort que toi, tu souris un peu plus. Ta lèvre se fait accrocher par tes dents blanches mais c'est trop tard, t'es déjà accro à elle, à son corps, à son parfum. Tes lèvres fondent sur les siennes. Tu déposes ses mains autour de ton cou alors que tu prends ses cuisses pour les avoir chacune du côté de taille. Ton corps appelle le sien et bien sur, quelques mètres plus tard, tu la déposes sur ce bureau. Tes mains passent de son fessier au devant, et son bas rejoint le sol rapidement. Ton coeur t'arrache un léger gémissement, ce con bat trop vite mais tant pis, ce n'était pas réellement ce que tu avais en tête finalement en venant ici, mais le programme te plait