Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(ellioky) honeymoon vibes... or not - Page 5
Le Deal du moment :
Pokémon Évolutions Prismatiques : ...
Voir le deal


(ellioky) honeymoon vibes... or not

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


Référence à Titanic, Lucky? Vraiment? Toi qui ne voulait pas d’une lune de miel gnan-gnan, tu arrivais à placer le film le plus romantique de tous les temps dans notre conversation. Je te laissais t’occuper du repas — en mode un peu macho, pour être honnête, posant mes fesses sur la table et mes pieds sur la chaise. Tu tapotais mes jambes que je retirais donc de la chaise suite à ta demande et t’accueillais sur mes cuisses. Tu piquais la fourchette dans l’assiette et la levais jusque devant ma bouche. « Allez, t'es le cobaye ce soir. Sait-on jamais si c'est empoisonné ! » Mais… « T’es sérieuse? Tu veux que je meure? » Soudainement, j’avais plus trop confiance. Je grimaçais devant la fourchette, puis ouvrais la bouche pour avaler son contenu. Alors, mon corps se raidissait, j’attrapais vivement ton poignet, posant l’autre main sur ma gorge, comme si j’étais en train de suffoquer, de m’étouffer. Et j’étais un bon comédien. Je jouais le jeu pendant quelques secondes, puis lâchais finalement un rire face à ta tête. « C’est bon, tu peux manger sereinement. » Petit clin d’oeil. J’étais un bon cobaye, non?

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
M'amusant à te prendre comme mon cobaye, j'attendais que tu pioches dans cette fourchette, amusée par ta petite remarque. « Non, non, c'est juste que moi, je ne veux pas mourir. Je suis trop jeune et trop belle pour mourir. » Un peu de modestie jeune fille. Tout ceci n'était que plaisanterie, je ne voulais pas que tu meurs Elliot. Je crois que tu me manquerais un peu trop si cela devait se produire un jour. Mais ce soir, tu ne mourras pas, ou peut-être juste étouffé par mes seins. Et lorsque tu ne fis qu'une bouchée de ce fettuccine que je t'avais tendu, tu faisais semblant de suffoquer, attrapant mon poignet pour rendre ce geste plus réaliste. Moi, je te fixais avec de gros yeux et pas parce que je pensais que tu suffoquais réellement, mais juste parce que j'étais abasourdie par ton piètre talent de comédien. Honnêtement, tu n'irais pas loin dans ce domaine. Puis là, je ne pouvais plus me retenir, j'explosais de rire jusqu'à n'en plus pouvoir respirer. Bordel. Je n'avais jamais vu un aussi piètre comédien de toute ma vie. On faisait la paire j'crois. « Je te jure, on dirait un mouton qu'on est en train d'égorger à la tabaski ! » Je déposais la fourchette dans le plat essayant de stopper mon rire, mais rien à faire. Cette tête que tu venais de faire, allait à jamais être imprégnée dans mon cerveau. Et je voulais vraiment me stopper et reprendre mon souffle, mais à chaque fois que je te regardais, j'imaginais la scène qui venait de se passer et c'était repartie de plus belle.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


Trop jeune et trop belle pour mourir? « J’ai le même âge que toi et je suis plus beau que toi. Entre nous, t’es la plus à même de rejoindre les cieux, bébé. Sans compter que j’ai déjà frôlé la mort une fois, et si j’y suis pas resté, c’est que Dieu a besoin de moi sur Terre! » Des conneries tout ça, oui. Dieu n’existait pas. Mais ça appuyait mon argument, alors je pouvais bien faire semblant l’histoire de quelques secondes. Je me dévouais quand même à goûter le plat en premier, tel un vrai gentleman. Sauf que j’en profitais pour me donner en spectacle et feindre un empoisonnement. Mon jeu d’acteur était impressionnant, et pourtant, tu te mettais rapidement à rire aux larmes. « Je te jure, on dirait un mouton qu'on est en train d'égorger à la tabaski ! » Te voir rire comme ça, même si j’en étais la victime, me rendrait heureux. Je glissais la main sur ta cuisse, geste instinctif. « Un très beau mouton, alors… » rétorquais-je dans un sourire en coin avant te venir t’offrir un autre baiser sensuel, à l’arrière goût italien. J’arrivais pas à me passer de toi. J’arrivais pas à me passer du goût de tes lèvres, de ta peau contre la mienne. C’était un truc assez improbable, pour être honnête.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
« Désolé pour toi chéri, mais moi aussi j'ai frôlé la mort une fois. Un coma, après ma fausse couche... » Je baissais un peu la tête, j'étais toujours aussi triste de parler de mon bébé que je n'avais pu avoir ni sauver. Il me manquait, j'avais vraiment souhaité mettre ce gosse au monde et résultat, on me l'avait arraché alors que je n'avais rien demandé, alors que lui aussi n'avait rien demandé. Hippolyte, comme je la détestais du plus profond de mon âme. Je ne souhaiterais jamais de malheur au bébé qu'elle portait, après tout, je n'étais pas sans cœur comme elle, mais je ne pourrais jamais lui pardonner. Heureusement que tu étais là et que tu réussissais à me faire oublier rapidement ce petit instant de tristesse avec ton mauvais jeu d'acteur. Mon rire ne s'estompait que lorsque tu me volais un nouveau baiser. Baiser que je répondais de la même façon. Moi aussi je n'arrivais pas à me passer de toi Elliot. Tu m'avais fait quelque chose et je ne saurais dire quoi pour le moment. « Le plus beau mouton... » Contre tes lèvres, je riais entre deux baisers puis je reculais ma tête afin de manger aussi. Une bouchée pour moi, une pour toi et ainsi de suite jusqu'à ce que nous terminions le plat. Satisfaite, je te regardais malicieusement. « Je me demande ce que je vais prendre comme dessert. » Que je te sous-entendais alors que mes bras venaient entourer ton cou tandis que mes prunelles accrochaient les tiennes.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


Encore un point commun alors. Je ne relevais pas sur ça, j’pense que c’était pas la bonne chose à faire. Ça allait plomber l’ambiance et te rendre triste et c’était pas ce que je voulais. Du coup j’sortais mon numéro à deux balles, mais au moins ça eut le don de te faire rire et c’était tout ce que je demandais. Ça, et gouter à nouveau à tes lèvres. Ce que je ne tardais pas à faire, d’ailleurs. J’avais appris à ne plus me poser quarante questions avec toi, Lucky. Je faisais ce dont j’avais envie, ce qui me passait par la tête, et puis au diable le reste et les conséquences que ça engendrait. Tu rompis notre étreinte pour nous remplir l’estomac avec quelque chose de concret. « Je me demande ce que je vais prendre comme dessert. » Est-ce que tu te posais vraiment la question? Tes bras venaient s’accrocher à ma nuque alors que je te faisais quelque peu pivoter pour que tu viennes t’asseoir à califourchon sur mes cuisses, toujours sur la table en bois massif. « Pour moi c’est tout vu. » répliquais-je donc à tes sous-entendus peu subtils, mes mains glissant tout doucement — trop doucement, même — sur tes cuisses. Oui, je faisais durer le suspense, parce que ça m’amusait et que c’était le meilleur moyen pour faire monter la tension, pour réchauffer la flamme avant de la raviver.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Une chose est certaine Elliot Maxwell, c'est que tu avais un don pour retourner la situation en ta faveur. Moi qui voulais commencer en douceur, mais dans un but bien précis, t'exciter, je me retrouvais à califourchon sur tes cuisses alors que tu t'amusais à caresser les miennes. Comme pour me chercher, provoquer tous mes sens en ébullitions. Sans vraiment pouvoir me contrôler, j'approchais mes lèvres des tiennes et t'embrassais sans te laisser le temps de terminer ta phrase. Mes mains se posaient sur ton torse que je poussais jusqu'à ce que tu te retrouves dos contre la table, pratiquement allongé. « Tu sais ce qui pourrait être encore plus excitant ? » Te questionnai-je en échangeant un regard pervers. Mon sourire coquin finissait par s'échouer dans ton cou, remontant jusqu'à ton oreille par une vague de baisers langoureux, et terminant par te chuchoter d'une voix suave. « Faire l'amour sur cette table sachant qu'on pourrait nous surprendre d'une seconde à l'autre... » Aveu que je lâchais en mordillant ton lobe. Et comme je te voulais toute suite sans plus tarder, je te faisais comprendre par des signes, qu'on n’avait pas le temps de se dessaper. Message passé, nous inversions les positions, moi assise au bord de la table et toi, debout entre mes cuisses. Nos bas de vêtements baissés, nous ne formions plus qu'un à présent. Mes paumes appuyées contre la table, m'aidaient à t'accompagner dans tes coups de reins, lents, douceureux et sensuels d'abord. Ensuite, rapide, fougueux et sauvage. C'était un putain de moment excitant parce que je tentais de retenir mes râles de plaisirs, même si tantôt, il y en avait qui s'échappaient de ma gorge. Et enfin...Nos coups de bassins à l'unissons, nous nous libérons dans un cri que je lâchais étant impossible pour moi de me retenir. Sooo, quand nous avions atteint l'orgasme et que nous avions entendu des pas, nous avons rapidement remonté nos vêtements de bas en feignant un semblant de petite brûlure à mon doigt. Nous nous sommes alors excusés après du vieillard avant de regagner notre chambre et de finir par s'endormir dans les bras, l'un contre l'autre.

(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)