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(ellioky) honeymoon vibes... or not

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Ta franchise, c’était un truc que j’aimais tout particulièrement. « J'ai quand même toujours chaud... Ou bien, est-ce toi la cause ? » Surtout quand c’était ce genre de mots que j’entendais. Un sourire étirait mes lèvres mais tu avais déjà filé avant même que je réponde. Tu enfilais un manteau, je fis de même, et on était parés pour une nuit d’épouvante. « Et cette fois, je ne vais même pas m'accrocher à toi. Je suis une warrior et j'vais le prouver. » Je réprimais un petit rire légèrement moqueur. Et pour preuve : tu sursautais déjà et venais te blottir contre moi, ta main dans le creux de la mienne. « Une warrior, hein? » Quelle comique. « Oublie ce que je viens de dire. Je suis une putain de trouillarde. Pire qu'une gamine. » « C’est pour ça que je suis là. » Bon, en réalité, si un esprit se pointait réellement, je la ramènerais moins et on remonterait dans le jet privé en deux-deux. On avançait le long du couloir et je grimaçais en observant les nombreuses toiles d’araignées. J’espérais que ce soit des fausses. « Tu penses que Dracula a vraiment existé ? Remarque, s'il avait pu être comme Damon Salvatore, je lui aurais volontiers offert mon cou. » Je reportais mon regard sur elle. « J’te comprends, j’aurais fait pareil pour Katherine. » Sourire au coin des lèvres, je pris un tournant qui menait à un autre couloir sombre. Ça ne me disait rien de bon, ce château ressemblait déjà à un putain de labyrinthe. « Mais, non, je pense pas qu’il ait existé. On a sûrement dû s’inspirer de faits réels, bien sûr, mais le Dracula tel qu’il est dans le livre, le vampire? Non. C’est du surnaturel. » Et je n’y croyais pas. Les esprits, le paranormal… Tout ça, il fallait le voir pour y croire. Mais j’espérais ne pas en faire l’expérience ce weekend. « T’as déjà assisté à un truc surnaturel? » demandais-je par curiosité.

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La panique montait d'un cran. Et ce château était affreusement glauque. Le meilleur moyen d'oublier tout ça, était bien évidemment la plaisanterie. Chose que nous faisions toi et moi en rendant cette histoire de vampire moins effrayante à parler de Damon et Katherine. Un rire que tu laissais échapper et que je m'empressais de partager avec toi. « N'empêche qu'elle est un peu flippante Katherine. » Badass certes, mais flippante. Mon rire stoppait lorsque mes yeux apercevaient ces toiles d'araignées. Qu'est-que j'avais dit ? Ah oui, j'allais passer deux jours de cauchemars plutôt que de rêves. Et toi, tu me posais soudainement cette question à laquelle je grimaçais quelque peu. « Euh non jamais. Et je ne veux pas y assister d'ailleurs... » J'étais désormais devenue perplexe et ce château ne me disait rien qui vaille. Je ne m'étais jamais retrouvée nez à nez avec des fantômes et cet endroit m'inquiétait au plus haut point. « Ou sinon, on peut juste retourner dans notre chambre et y rester collés serrés pendant deux jours. Ça ne t'enchante pas ? » Puis, histoire de te convaincre encore plus, je laissais courir mes doigts de ton ventre jusqu'à ton torse, jouant avec le premier bouton de ton chemisier comme si je voulais le faire sauter indecemment. Sauf qu'un rire se fit entendre derrière nous, un frisson passa sur mes bras et je n'osais point tourner la tête. « Dis-moi qu'il y a quelqu'un parce que s'il y a personne... » J'allais carrément faire une crise cardiaque. Malheureusement pour nous, il n'y avait personne derrière nous. Je ne savais pas si c'était dans le thème, que la réception avait fait exprès d'organiser ce château de manière à ce que nous vivions la réalité d'un château hanté, mais vraiment, j'allais les tuer avant la fin de ce week-end. « S'teuplait retournons à la chambre. J'ai... J'ai envie de toi là, maintenant, toute suite. » T'avouais-je en me pinçant la lèvre. J'aurais l'air moins maline si jamais tu acceptais et que nous retournons dans notre chambre.
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Katherine? Flippante? « Tu rigoles? Damon se transforme littéralement en corbeau. En corbeau ! » Ça, c’était tout de suite moins sexy. Si Katherine avait réellement existé, j’aurais fini comme les Salvatore — à ses pieds. Mais tout ça n’était que de la fiction — les loups-garous, les vampires, les fantômes… En tout cas, moins, j’en avais jamais été témoin. Et toi? « Euh non jamais. Et je ne veux pas y assister d'ailleurs... » J’eus un nouvel éclat de rire à tes mots. T’avais vraiment pas l’air rassurée. Et moi, j’étais loin d’être un bon partenaire puisque tout ce que je savais faire, c’était me moquer. « Ou sinon, on peut juste retourner dans notre chambre et y rester collés serrés pendant deux jours. Ça ne t'enchante pas ? » Oh que si, ça m’enchantait. Ça m’enchantait carrément. Mais c’était un peu trop facile. Ce que était un peu trop facile aussi, c’était accepter ta requête, surtout quand tes doigts parcouraient ma peau par-dessus mon chemisier, venant s’accrocher à un bouton. Ce moment aurait pu être le début de quelque chose de très excitant. Sauf qu’un rire captait mon attention à ta place, et je tournais automatiquement la tête vers l’origine du bruit. « Dis-moi qu'il y a quelqu'un parce que s'il y a personne... » « Je te dirai rien alors… » répliquais-je doucement, pas trop rassuré à mon tour. « S'teuplait retournons à la chambre. J'ai... J'ai envie de toi là, maintenant, toute suite. » Tes mots eurent le don de ramener mon attention sur toi. Je plissais légèrement les yeux, ne sachant pas vraiment si tu étais sérieuse ou non. J’avançais vers toi, te faisant reculer jusqu’à ce que ton dos percute le mur de pierre froid — qui se trouvait non loin de là, vu la largeur des couloirs. Mes mains posées contre celui-ci, de part et d’autre de ton visage, je m’approchais à pas feutrés, doucement, lentement. J’approchais mon visage du tien à la même vitesse que précédemment, laissant mes lèvres s’approcher dangereusement des tiennes, avant qu’elles ne frôlent ta mâchoire, se dirigeant vers ton oreille. Ma respiration régulière, contrôlée, contraste chaud avec la fraicheur des lieux. Mes lèvres contre ta peau, j’y susurrais : « T’es juste une trouillarde. » Puis, je me reculais brusquement, un sourire planté sur mes lèvres, et avançais vers le bout du couloir, te laissant plantée là. « Attention, reste pas toute seule, les femmes sont les plus prisées par les esprits malins. » te lançais-je, ayant déjà tourné dans la pièce suivante, réprimant un petit rire amusé. Si tu pensais te jouer de moi, brunette, il fallait en faire plus que ça.

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« M'en fiche, il pourrait même se transformer en chauve souris que je lui donnerai quand même mon sang ! » Damon était trop canon pour que je ne lui saute pas dessus, peu importe sa forme. Bon, là, ce n'était pas lui que j'avais en face, mais toi et t'étais aussi beau que lui alors je n'allais pas me plaindre. Même que tu vois, je venais de te proposer maladroitement de retourner dans notre chambre et ainsi, mon corps sera tien. Tout ça, dans le but de fuir ce maudit couloir et visiblement, tu avais vu clair, car tu résistais à mon petit jeu de séduction. Tu me regardais dans les yeux m'obligeant à reculer à chaque pas que tu faisais vers moi. Mon cœur fit un bond au même titre que mon dos heurtait le mur derrière moi. Ton souffle m'enveloppait chaudement, tes mains me gardaient prisonnière de ton emprise. J'ai voulu ouvrir la bouche, mais à mon tour, aucun son n'en sortait. Je serrais juste fortement mon manteau en sentant tes lèvres glisser sur ma peau. Mes joues en feux, tu venais de retourner mon propre jeu contre moi. Malin que tu étais. Oh oui Elliot. Tu reculais et j'ouvrais enfin mes yeux. Te regardant comme une conne, muette sans un mot, me planter ici. Et je revenais à moi suite à ta mise en garde. Sans perdre une minute de plus, je courrais vers toi et te barrais la route d'une main tendue vers toi. « Halte jeune homme ! » Que je haussais doucement. « Je dois bien reconnaître que tu es un adversaire de taille chéri ! » Laissant tomber mon bras le long de mon corps, je m'approchais à mon tour de toi. « Mais je n'ai pas dit mon dernier mot. » Lucky n'abandonnait jamais. Mon regard perçait le tien tandis que je reculais pour retirer mon manteau que je laissais tomber au sol. « Peut-être que... » Je retirais mes pieds de mes pantoufles. « Je retournerai toute seule dans cette chambre et que je passerai cette nuit avec un... Fantôme. » Ouai je disais ça comme ça parce que je ne croyais pas à leurs existences, mais si j'en voyais vraiment un, je ravalerai ma langue. Maintenant, je défais ma robe, la laissant glisser le long de mes fines jambes. « Toute nue... » Une brise de vent glaciale venait me fouetter le corps, alors que je frissonnais jusqu'à la pointe de mes cheveux. Je me rapprochais de nouveau de toi et te scrutais dans les yeux. « Est-ce que tu me laisseras toute seule ou bien... Tu viendras me réchauffer ?. Telle est la question. » Ma voix suave, mes lèvres qui se posaient à peine sur les tiennes, les effleurant sensuellement, glissant sur ton menton puis le long de ta gorge où je laissais un baiser se planter dans le creux. Je te libérais ensuite de mon emprise, marchant vers notre chambre. Et puis comme je savais que tu me regardais, je me stoppais pour te faire une danse de popotin, secouant donc mon joli fessier de gauche à droite et riant à ma bêtise. Mon petit numéro terminé, je reprenais ma route. Car oui, je commençais vraiment à avoir froid.
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Tu avais voulu faire la maligne avec moi. En revanche, tu ignorais ou tu avais peut-être oublié que j’étais un adversaire redoutable. Compétiteur dans l’âme, je ne reculais devant rien pour être le meilleur et prendre l’avantage sur mon adversaire. Alors, après un petit jeu de séduction qui, je l’espérais, ferait monter la tension en toi, je te laissais plantée là, continuant mon exploration nocturne du fameux château de l’horreur. Mais c’était sans compter sur le fait que tu ne te laissais pas faire, tu ne te laissais pas aussi facilement abattre. Tu me rattrapais au pas de course, au détour d’un couloir, me stoppant d’une main tendue persuasive. Tu reconnaissais ma volonté et mes efforts, mais comme prédit, tu n’abandonnais pas le combat. Tu fis quelques petits pas en arrière, laissant tomber ton manteau sur le sol. « Peut-être que... Je retournerai toute seule dans cette chambre et que je passerai cette nuit avec un... Fantôme. » Et après le manteau, c’était ta robe qui suivait son chemin, se retrouvant par terre, et te dénudant au complet. Je le voyais d’ici que tes poils se hérissaient sur ta peau à cause du froid. Tu t’avançais vers moi à pas de louve, plantant tes prunelles au fin fond des miennes. « Est-ce que tu me laisseras toute seule ou bien... Tu viendras me réchauffer ? Telle est la question. » À ton tour de faire frôler tes lèvres contre les miennes, avant qu’elles ne partent à la dérive sur ma gorge, où le bruit de mon pouls se faisait de plus en plus sourd. Puis, tout comme je l’avais fait quelques instants plus tôt, tu te détachais de ma personne pour t’éloigner en sens inverse, revenant sur nos pas vers notre chambre, non sans une petite danse aguicheuse au passage. Je riais à mon tour et te suivais. « Ok, tu m’as convaincu. » Bon, il avait pas fallut grand chose. « Avoue quand même que c’est un peu une excuse parce que t’as trop peur d’aller plus loin. » On arrivait de nouveau devant la porte de notre chambre. Tu avais les cartes en main, maintenant.

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Apparemment, j'avais réussi cette fois mon petit jeu, puisque tu craquais et me suivais jusqu'à notre chambre. Devant la porte, tu avouais que j'avais gagné et tu faisais cette remarque qui m'arrachait un sourire. « Peut-être que c'était effectivement une excuse... Ou peut-être que j'utilisais aussi cette excuse pour sentir à nouveau tes lèvres sur ma peau... » Avouai-je en m'autorisant un léger rire amusé. Je me mordillais discrètement la lèvre, car ce contact avait déclenché un gros frisson en moi, jusque dans mon bas ventre. Un contact très érotique et excitant. Et j'aimais beaucoup ce contact. J'entourais tes épaules entre mes bras, mon visage très proche du tien. Mes seins, fermes et délicat, se pressèrent légèrement contre ton torse. « Mais si tu tiens véritablement à découvrir ce que je veux à cet instant, il ne tient qu'à toi d'explorer la question. » Je souriais de plus belle et de façon malicieuse, puis, je t'embrassais délicatement, glissant alors ma petite langue rose et chaude, contre la tienne. Mes paumes agrippaient ta veste et te tiraient à l'intérieur de la chambre. Ma jambe refermait soigneusement la porte tandis que je quittais tes lèvres pour te fixer à nouveau dans les yeux. « J'crois que t'es un peu trop vêtu. » Un travail parfait pour moi, puisque je m'empressais de retirer ta veste et de faire sauter les boutons de ton chemisier, un par un. « J'ai vraiment envie de toi... » Et je veux qu'on se consume maintenant. Je ne veux plus attendre. Je te veux Elliot. Là, maintenant. Et je dis merde à toute cette peur ! Te poussant aussi presque sauvagement sur le lit, je grimpais sur toi, m'asseyant à cheval et reprenant tes lèvres entre les miennes. Une main glissante jusqu'à ton jean pour le déboutonner et l'autre, caressante ta joue.
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« Peut-être que c'était effectivement une excuse... Ou peut-être que j'utilisais aussi cette excuse pour sentir à nouveau tes lèvres sur ma peau... » Ta légèreté m’impressionnerait toujours. T’avais cette innocence, cette facilité d’esprit qui me prenait toujours de court. Jamais gênée par quoi que ce soit, embrassant pleinement tes émotions et les assumant tout naturellement. Je connaissais peu de filles comme toi, si ce n’est aucune, d’ailleurs. Tes bras s’enroulaient autour de mon cou, tu t’approchais de façon suave, ton corps nu se collant contre le mien. « Mais si tu tiens véritablement à découvrir ce que je veux à cet instant, il ne tient qu'à toi d'explorer la question. » Restant silencieux, je me contentais de glisser mes mains au creux de ta taille alors que tes lèvres s’emparaient délicatement des miennes pour un baiser doux, gentillet, à l’image de ta personne. Mais plus il durait et plus je te sentais contre moi, tes petites mains agrippant les pans de ma veste en cuir qui était toujours sur mon dos. De nouveau à l’abri — du moins, c’était vite dit — dans la chambre, tu te détachais de moi. « J'crois que t'es un peu trop vêtu. » Hm? J’aurais pensé que tu aurais pris ton temps, mais pas du tout. Tu retirais ma veste rapidement, tout aussi rapidement que tu t’empressais de déboutonner ma chemise. « J'ai vraiment envie de toi... » Je n’eus même pas le temps de répliquer que je me trouvais sur le lit, toi par dessus moi, l’une de tes mains dangereusement basse. Je glissais mes mains sur tes joues pour te forcer à te stopper deux secondes, te forçant à planter tes yeux dans les miens. « Lucky. » Je captais ton attention, pour que tu m’écoutes réellement, même si j’étais peu crédible avec mon souffle irrégulier et mon coeur qui battait un peu trop vite. « T’es sûre? Fin j’veux dire, j’ai vraiment… vraiment envie de toi. » Ça, il n’y avait absolument aucun doute là-dessus. Tu pouvais littéralement le sentir sous ta paume. Mais comme je te l’avais déjà dit… « Je veux pas que tu te forces pour me faire plaisir. » Parce que j’avais beau sauter beaucoup de nanas, je n’en forçais aucune. Et tu ne m’étais pas redevable, il fallait que tu te mettes bien ça dans le crâne. En revanche, moi, je savais pas trop pourquoi j’me posais toutes ces questions. Est-ce que je devrais pas juste y aller et suivre le mouvement? Non, parce qu’à croire qu’avec toi, comme t’étais une amie, j’avais un peu plus de mal à te voir comme la nana que j’allais sauter et ne plus revoir dès le petit matin. Parce que c’était loin d’être le cas.

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Pourquoi chercher la difficulté, quand le langage du corps nous donnait les preuves nécessaires pour décrire et mettre un nom aux sentiments rongeant nos âmes ... Même si, dans l'aspect, mon élan osé s'avérait trop précipité et nullement réfléchit, j'étais maladroite et je comprenais à cet instant que tu me stoppais. Que tu m'arrêtais, douteux et soucieux. Est-ce que tu pensais encore que je faisais ça parce que je te l'avais promis ? Non. Non Elliot. J'avais vraiment envie de toi. Il y a quelque chose que tu avais déclenché, cette même sensation que je n'avais pas ressentie depuis Cole. Et puis là quand tu m'obligeais à te regarder dans les yeux, mon cœur faisait de nouveau un bond. Ton regard avait complètement changé. Il était plus sérieux et je m'y perdais irrévocablement. Le sourire intime de mes lèvres ne me quittèrent pas, d'une expression sincère sur ta personne, alors que tous les artifices du décor me déroutaient facilement, au point d'en rendre incertaine ma propre démarche. Heureusement, une flamme insondable de motivation embrasait le reste de ma conscience, afin de te montrer du mieux que possible, ce que je désirais. « Elliot, je suis certaine. Vraiment certaine. Mais si tu doutes, écoute mon corps. » Regarde comme il tremble sous tes paumes. Je glissais l'une de tes mains contre ma poitrine, près de mon cœur pour que tu l'écoutes lui aussi. J'aime Cole. Mais je crois qu'il y a aussi un autre homme capable de me faire ressentir cette sensation, certes différente, mais avec le même résultat. Toi. Alors, je voulais que tu sentes mon cœur s'emballer. « Mais rien ne presse si tu n'as pas envie maintenant. On peut aussi retourner continuer notre visite. Je ne vais pas m'enfuir... » Je ne savais pas ce qui m'arrivait, mais c'était bizarre. C'était pas possible de ressentir ça pour deux hommes n'est-ce pas ? Bordel. J'étais malade. Je me laissais alors tomber à tes côtés, laissant à nouveau mes doigts courir sur ton torse, formant de petits cercles par ci et par là à l'aide de mon index. « Je suis contente d'être là, même si c'est flippant je dois t'avouer, mais j'apprécie justement que cette lune de miel soit totalement différente des autres. Et j'crois que mes proches vont t'adorer. » Ne flippe pas, parce qu'ils comprenaient notre situation. Ils savaient tout de ce mariage. « D'ailleurs, tu peux avouer aussi que tu flippes un peu t'sais ? Je ne vais pas me moquer. » Dis-je en grimaçant et en te tirant la langue. Allez, je suis certaine que tu te la ramènerais moins si tu croisais vraiment un fantôme.
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Peut-être que j’étais con, à chercher la petite bête, à me poser quarante mille questions inutiles. Clairement, tu me voulais, et ce sentiment était réciproque. Alors qu’est-ce qu’il me fallait de plus? D’habitude, rien. D’habitude, la chose aurait déjà été réglée. On aurait déjà été en train de s’abandonner l’un à l’autre. Pourtant, avec toi, c’était différent. C’était sûrement le fait que tu sois une amie — je ne couchais pas avec les amies — et que j’avais l’impression de te forcer. D’accord, c’était toi qui m’avait ramené à la chambre et m’avait poussé sur le lit. Mais c’était moi qui avait réclamé cette lune de miel afin de gagner ma part dans ce mariage peu commun. Pourtant, ça, cette réclamation, ça avait été une blague. Je ne voulais pas profiter de toi. J’aurais pu agir ainsi si ça avait été quelqu’un d’autre, mais toi, tu ne méritais pas ça. « Elliot, je suis certaine. Vraiment certaine. Mais si tu doutes, écoute mon corps. » Tu venais poser l’une de mes mains sur ta poitrine, du côté de ton coeur, et je pouvais facilement sentir qu’il battait de façon irrégulière. « Mais rien ne presse si tu n'as pas envie maintenant. On peut aussi retourner continuer notre visite. Je ne vais pas m'enfuir... » dis-tu en me libérant de ton emprise, t’allongeant simplement à mes côtés. Toujours nue. Tes doigts se baladaient sur mon torse découvert par ma chemise que tu avais ouverte un peu plus tôt. « Je suis contente d'être là, même si c'est flippant je dois t'avouer, mais j'apprécie justement que cette lune de miel soit totalement différente des autres. Et j'crois que mes proches vont t'adorer. » Mes yeux s’écarquillaient à tes mots alors que je m’efforçais de ravaler ma salive. Moi, je n’avais pas pensé à la présenter à mes potes. Est-ce que c’était un signe qui devait déjà m’alarmer? « D'ailleurs, tu peux avouer aussi que tu flippes un peu t'sais ? Je ne vais pas me moquer. » J’hochais légèrement la tête. Oui, je flippais. Mais pas du château et de cette lune de miel insolite. De toi. De ce que ce mariage signifiait réellement, de tes sous-entendus, de tes mots. Tout ça, que tu ne contrôlais pas puisque tu suivais ton légendaire naturel, mais qui moi me prenait de court et m’effrayait. Tu sais quoi? On s’en fout. De tout ça. J’étais pas là pour réfléchir. Je me redressais, retirais ma chemise que je balançais par terre à l’aveugle. À mon tour de me hisser par dessus toi, mains de chaque côté de ton visage, avant de venir t’arracher un baiser. « On s’en fout. » prononçais-je mes pensées à voix haute. « Y’a pas de questions à se poser. » concluais-je, affirmation de mon désir pour toi. Et du coup, j’espérais qu’entre temps, t’avais pas changé d’avis, sinon j’aurais bien l’air con.

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Oui Elliot, on n’a pas besoin de se poser des t'as de questions maintenant. On aura tout le temps de le faire après. Mais là, je n'avais qu'une seule envie, te faire l'amour. Je voulais te consumer, je voulais que tu me consumes. Je te voulais. Toi. Tandis que tu te levais d'un coup, retirant ta chemise pour la balancer ailleurs. Le silence sur mes lèvres et mon regard se contentait de te contempler autant que possible avant de voir transformer cela en un souvenir impérissable… Passant au-dessus de moi pour m'embrasser, ma main entama un parcours jusqu'à ta joue, caressant ta peau du bout des doigts et m'abandonnant sans résistance à un baisé intense. Si agréable, que je tentais de prolonger d'une certaine quémande du bout des lèvres, tentant de happer les tiennes affectueusement, avant de me stopper lentement. « T'es encore un peu trop habillé... » Que je murmurais contre tes lèvres, presque haletante de désir. Ma tête alla se caler intimement dans le creux de ton cou, suite à quoi, j'effleurais la peau de ton épaule au bord de ma bouche. Inutile de le masquer, je te désirais. Et puis, j'entamais une multitude de petits baisers frénétique, m'attardant sur ton jean que je terminais par déboutonner. Je faisais glisser le morceau de vêtement d'abord avec mes mains, ensuite en m'aidant de mes jambes, emportant bien évidemment, ton boxer avec. Voilà, tu étais à présent en tenue d'Adam et moi d'Ève. Mes mains retrouvèrent tes joues et mes yeux interpellaient les tiens, brillants de mille feux. « Fais-moi tienne... » Et ce sourire si désireux de ne former plus qu'un avec toi. « Embrasse-moi comme jamais, Elliot... » Donne-moi la nuit de ma vie, abandonnée à l'oubli.
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