tu es vraiment têtue, Rain ! [Rain]

Jax était de sortis ce soir, j'avais envoyer des messages à Rain pour qu'on ce voit. Cela faisait trop longtemps que je n'avais pas eu de nouvelle et je voulais passer du temps avec mes amis. Elle m'avais donc conviais à venir dans sa chambre. Elle m'avais dis qu'elle voulais prendre le temps de prendre sa douche et tout le tralala de femme pour se préparé pour la suite de notre soirée. J'avais rigolé dans une premier temps pensant qu'elle riait et qu'on allais pas aller chez les Dunster, mais en fait, si elle était très sérieuse et j=là j'était donc en route pour la rejoindre ma dans sa chambre.

Une fois arrivé devant le bâtiment je rentre à l'intérieur les mains dans les poche comme si j'était chez moi, je suis concentré sur ma route quand mon portable sonne. Je le sort répond à mon message et je le range une nouvelle fois. Je me suis habiller simplement pour la petite sortis qu'on fera plus tard. J'ai donc mis un jean bleu clair, avec un tee shirt large noir, suivi de ma casquette noir avec des inscription blanches. J'ai ajouter à sa ma veste en cuir et jean. Je frappe à la porte et j'attends.

« Salut Rain, comment ça va ? »

Petit à petit, je me suis rendu compte que les Mather étaient les plus fêtard. Du coup c'est ceux la, qui sont le plus à mon gout. Surtout qu'après quelques semaines à Harvard, je l'avoue, j'ai complètement oublié mon but ultime : celui de déshériter Sloan, pour avoir son argent.

La raison de cet oublie est simple. Tout est fun ! Les gars sont fun, les fêtes sont fun, même les études sont fun! Je ne sais plus ou donner de la tête, et ce soir ... je saurais plus ou donner de la tête non plus, parce que je vais sortir avec le beau gosse tatoué que j'ai rencontré dans une allée. Jax.
Oh non, rien de ce genre là. Pas ce à quoi vous pensez. Il ne s'est rien passé !! J'avais juste donné un coup de genoux dans les couilles de quelqu'un... et ce quelqu'un avait une arme... Et Jax m'a sauvé... Puis, comme j'étais sous le choc, et que j'allais subir la retombé de l'adrénaline, il m'a proposé un verre. Depuis ce jour la, je l'aime plutôt bien. Je l'invite même à entrer le temps que je finisse de me préparer... Signe que je lui fais assez confiance.

Seulement couverte par ma serviette de bain, je ne suis pas pudique pour un sou, et lui ouvre la porte en déposant un bisous sur sa joue "Heyyy ! Jax ! entre ... Moi ça va, et toi?" Demandais je en bougeant dans la pièce à la recherche de ce que j'allais porter.
Sous vétements avant tout .
"Ca risque de durer longtemps, alors met toi à l'aise " dis je en montrant le lit "Tu racontes quoi de beau?"

Après qu'elle soit arrivé en petite serviette devant moi, me claquant un baiser sur la joue et m'invitant à entré le temps qu'elle se prépare bien sûr en me signalant qu'elle aurais besoin de temps, j'en les mains dans les poches et j'observe sa chambre. Une vraie chambre de fille, je remarque le dressing bien complet de jolie fringues, je vois par-ci par-là du maquillage aussi en plus des affaires pour les cours. Je souris légèrement et je vais m'asseoir au bord du lit.

« Eh bien, je dirais que sa va pas trop mal en fait, rien de spéciale qui ferais que sa n'irais pas, sauf si on mentionne que récemment j'ai apprit avoir était père et avoir perdu le gosse. Je ne l'ai jamais connu.»

Je pouvais bien le lui dire parce que je savais que déjà elle n'allais pas se moqué de moi pour ça et qu'ensuite elle me prendrais d'abord au sérieux quant à cette histoire. La douleur était encore là et bien présente, mais est-ce que ce genre de choses s'oublie je ne pense pas.

«Rien de vraiment spécial dans ma vie, et toi alors, qu'est-ce que tu me raconte de beau? »

Je savais qu'elle aurais s'en doute des belles choses à me raconter, tout en ce préparant pour qu'on aille en boite ensuite.

Choisissant un ensemble noir simple avec une fleure rouge à la base des brettelles du soutien gorge , et un slip sans rien dessus, je me dirige vers la salle de bain attenante à ma chambre et referme la porte, tout en laissant une fente ouverte pour pouvoir l'écouter. Pouvoir l'écouter, mais aussi lui donner la possibilité de se rincer les yeux si ça l'intéresse.
On en a jamais parlé, moi et Jax. Je lui ai jamais fait de charme, aussi beau mec il semble être, et je n'ai jamais sentit qu'il m'en faisait lui non plus. Enfin... j'avoue que je ne me suis juste pas du tout penché sur la question, préférant sa compagnie en tant qu'ami, dans un bar, ou ici, dans ma chambre.

Je reviens dans la pièce seulement habillé de mes sous vêtements, et me dirige vers ma penderie.
"Attends comment ça père?" demandais je en prenant une robe bleu et en la regardant, "Tu veux dire qu'elle l'a eu et l'a donné à l'adoption ou quelque chose comme ça?" Je continue, faisant semblant que l'histoire n'était pas du tout importante. C'est ce genre de comportement qui met les gens assez en confiance pour qu'ils continuent sur leurs lancée.
Positionnant ma robe devant mon corp, je me tourne vers lui demandant une validation silencieuse, et en profitant pour me voir dans le miroir derrière lui. Nah, trop sage.

Le vêtement rejoins une pile déja présente sur le fauteuil, pendant que j'en cherche un autre. Tandis qu'il continue sur ça lancé et me précise n'avoir rien de spécial dans sa vie... pour la deuxième fois en deux phrases...
D'accord, tu titille ma curiosité petit Jax. Des affirmations de ce genre ne se font que si c'est un mensonge, alors... Je met mon mode enquêtrice "On", mais futé comme je suis, je sais qu'il faut être subtile pour lui tirer les verres du nez. Alors je continue à faire ce que je fais, et choisit un autre vêtement que je lui montre "Oh moi ! J'ai eu une nuit très sympathique avec un petit génie français" Dis je avec un sourire étincelant "Enfin... Je dois dire que rien en lui n'est petit, mais tout le reste est vrai. Il m'a fait un boeuf bourguignon" continuais je, prononçant le nom du plat en français "Et une bouteille de vin plus tard ... J'étais sous le charme" et dans son lit . Autant lui répondre naturellement, en attendant d'avoir une opportunité.
Si c'est d'ordre sexuel, alors mon anecdote avec Come va le faire réagir. Si c'est en rapport avec sa confrérie alors "Ah et aussi, j'ai eu une altercation avec un mec des Mather. Fin c'était avec sa petite amie pour être exact. Elle voulait pas partager. Donc on évite les soirée Mathers s'il te plait... Et Dunster aussi, elle était Dunster la meuf.". Je choisit finalement une robe Jaune poussin, et l'enfile, lui laissant le temps de réagir.
Plus tard, je lui parlerais des études, puis de la famille, jusqu'a savoir ce qui "n'est rien de spécial"

Je me perd dans mes pensés en attendant qu'elle me parle un peu plus de sa vie, après l'avoir "sauvé" dans cette ruelle on était devenue proche et elle était assez loyale pour que je me confie à elle, je savais que jamais elle viendras me vendre au campus pour faire la belle. Elle garde tout pour elle et c'est un  point que j'apprécie particulièrement. Elle me pose des question se demandant comment j'ai pu être père. si tu savais Rain... Sur le coup je voulais pas en parler mais au ton qu'elle emplois sa m'encourage à le fait alors je me lance.
«J'ai revus une ancienne conquête et elle m'a avoue bourré comme un canard que lorsque c'est arrivé, elle est tombé enceinte de moi. À l'époque elle était amoureuse de moi et moi je la voulais juste dans mon lit, elle a vite craquer mais j'ai presque briser sa vie. Elle à donner vie à mon fils.
Quand je repense à Jackson junior je fais un grimace, Oliver m'avais permis d'oublie l'autre fois et je sais pas vraiment si je doit me permettre de le rappeler si mon moral ce casse, surtout vu comment à finit la soirée.
«non, Rain, elle ne l'a pas abandonner. Enfin, c'est compliquer mais il est mort, et tu aurais vu les photo il était parfais.
Je la regarde pour voir un peu comment elle allais réagir à cet annonce, moi, j'était encore touché au vif quand je parlais de lui je l'aimais tellement et pourtant je n'avais pas eu l'occasion de le voir, j'ai à peine appris son existence y a pas longtemps. Soudain elle me parle de sa vie et je me détend alors qu'on parle de sa vie avec un français. Je me tend, merde, est-ce qu'elle cherche à ce que je lui parle moi aussi de ma vie privée... Elle est tellement décomplexé comment je pourrais lui dire moi Jax tombeur de ces dames que j'ai coucher avec Oliver hein... Je passe une main dans mes cheveux en bataille. Je souris quand elle me parle des Mather je souris en coin, on est tous des cons qui aiment parfois foutre la merde la ou on passe.
«Si tu as un problème avec un vrais mather, n'hésite pas à me le dire j'irais lui régler son compte ! »
Je n'hésiterais pas à me foutre dans la merde pour aider mes amis surtout avec un rang élever dans mon entourage comme le rang de Rain.

Mon choix de vêtement n'étant pas encore fait, je teste les robes, et me tournes pour lui faire voir la robe bleu. Décidant moi même qu'elle n'était pas assez attirante, quand mon reflet se dessine derrière lui. Je m'apprête à prendre un autre habit, quand il commence à parler... Je m'arrête alors, quelques instants.
Certaine qu'il ne voit pas mon expression, je fermes les yeux, et grimace un moment, sous l'effet que son aveu provoque en moi. Il a vraiment été père, son fils est mort après la naissance. J'avais misé sur un avortement ou une fausse couche, ce qui m'aurait permis de lui changer les idée, en évoquant la théorie que les foetus sont pas des êtres vivant et que ... Merde. Il a vraiment été père !
Qu'est ce que je fais? la main encore posé sur le cintre d'une nouvelle robe, je regarde mes articulations blanchir, tandis que je me contient de faire un geste de compassion, ou un gémissement. Pas de pitié, les gens n'aiment pas la pitié... n'est ce pas? Reprenant mes mouvement, mon moment de trouble n'ayant duré que quelques secondes, je lâche simplement "Il est dans un endroit meilleur". Oui, dans les limbes, ou le paradis, ou tout autre endroit sans réchauffement climatique, ni tempêtes. Sans Trump, loyer à payer, agressions, viols ... Un endroit meilleur.

Reprenant instantanément contenance, après cette litanie, je m'oblige à sourire et me lance dans l'enquête que son "rien de spécial" me pousse à mener. Mes yeux suivent discrètement sa silhouette, qui se dessine sur la porte de mon placard, et je le voit se tendre, dés que je terminer de parler de Come. Ce n'est pas du tout la même réaction qu'il à, quand je parle de Mather, ou de Dunster... Il propose même de m'aider à casser la gueule à celui qui me ferait chier. Proposition qui me fait rire, pendant que j'enfile la robe jaune choisie. "Ah ben merci!" Je le pensais réellement! Non pas que j'aie besoin d'aide, mais j'aime savoir qu'il me la propose quand même. "Et si c'est UNE Mather?" Demandais je. Faut rapporter les questions sur un ordre purement sexuel, parce que ça semble être la chose qui l'a fait réagir "Est ce qu'il y en a une avec qui je ne dois pas avoir de problème? Une qui serait beaucoup plus proche de toi que moi ?" Faisant un cercle de mon pouce et mon indexe j'entre l'autre indexe dedans, dans un mouvement de va et vient suggestif, je me met à rire de ma propre bêtise  

Quand je parle de mon enfant je me perd bien souvent dans mes pensées parce que je suis dégouté de pas au moins avoir pu lui dire au revoir, de ne pas avoir pu le voir une seule fois autrement que sur des vidéos et photo qu'elle m'as fait passer. Je soupire un coup m'attendant à de la pitié, mais je n'est droit qu'à un «Il est dans un endroit meilleur Elle n'a pas tord dans le fond mais je suis égoïste au point avoir envie de remonter le temps et d'être moins con, ne pouvant pas ce faire je l'observe, elle annonce que la bleue ne va pas et je regarde la jaune en soupirant.
«Cette robe jaune ne te met pas en valeur Rain et en plus elle est transparents, met plutôt la noire avec la dentelle sur les manche et le décolleté là-bas, c'est ce que'on aime voir nous les mecs. »
Quoi ? Qui dis dentelle, dis sous vêtement affriolant et on cherchera plus facilement à vouloir aller voir en dessous. Elle semble réfléchir mais me parle d'une mather, comme si elle avais découvert un truc et qu'elle semblais contente d'avoir fait sa trouvaille. Je ris à ces geste suivant ces mots quand elle penses que je couche avec une mather et qu'elle ne doit pas s'engueuler avec.
«Ma chérie, je sais pas ce que tu pense avoir découvert ou ce que tu cherche à me faire dire mais non, je ne couche pas avec une Mather si telle est ta question, par contre, moi j'aimerais bien en savoir plus sur ce génie de Français qui ta eu dans son lit ! »
Après tout elle cherche à fouiller dans ma vie alors pourquoi je ne chercherais pas à savoir ce qu'il se passe dans sa vie, et dans son lit.

Me regardant dans le miroir, je repense aux paroles de Jax. Le jaune ne me vas pas?
J'enlève ma robe, en le contredisant "Sache très chère que le jaune me vas très bien. Cette robe est courte, cela compense son décolleté, elle est Jaune poussin, elle attire donc les regards, et en boite de nuit s'il y a lumière noire, elle devient fluorescente. Je ne passes donc jamais innaperçue" Tout en parlant , je prends la robe qu'il m'a pointé du doigts, et la met "Mais comme ce soir je sors avec toi, et que j'aime te faire plaisir" fis je avec un clin d'oeil "Je met ce qui te plaira". Il faut toujours faire croire à un homme qu'on fait quelque chose rien que pour lui, pour son simple plaisir... comme ça, on a toujours un moyen de pression, en demandant des faveurs.

Je le guide ensuite vers la discussion que j'avais en tête, jusqu'a ce qu'il me sorte qu'il ne sait pas ce que je crois avoir découvert "AHA ! donc y a bien un truc à découvrir!" m'exclamais je, extatique. Je me dirige vers le pied du lit, habillé de ma nouvelle robe, et me met à genoux devant lui "Le français était bien, il en avait un ego très satisfaisant" j'écarte les mains pour montrer la taille de l'ego " et on l'a fait dans son lit, puis dans le salon au lever du soleil parce qu'il a une baie vitré qui montre tout Boston" Je parlais rapidement, comme pour expédier l'affaire, avant de m'arrêter et de le regarder au fond deux yeux "Voila maintenant Aboule! Qu'est ce que je dois pas découvrir?" Approchant mon visage du sien, je cherche a l'hypnotiser avec mon regard, un grand sourire barrant mes lèvres "T'as parlé de découverte, alors même que j'ai rien dit ! ..." lui expliquais je "...Mais tu dis que c'est pas avec une fille Mather, c'est donc avec ... une quincy? non non, elles sont assommantes celles la..." à part ma Carter, sauf qu'elle est déjà prise "Une Cabot?hum... Trop nunuche ... Une Eliot?? Laisse moi rire ... Et comme je sais qu'aucune Dunster à part moi ne t'intéresse " plaisentais je "... Ca ne nous laisse que les Lowell, vu que les Winthrop sont pas ton trip "
Pendant toute la conversation, je ne le lâche pas du regard. Je ne sais même pas si je suis sur la bonne piste, ça peut facilement être une prof ou même une simple étudiante, ou même une toute autre personne. "Alors c'est ça hein !!! C'est une artiste qui a artistiquement dessiné avec sa langue sur ta peau ?" Je suis même pas sure que le tressaillement de sa mâchoire à l'annonce des Lowell soit une réaction à notre histoire . Mais c'est drôle!

Je l'observe mettre la seconde robe alors qu'elle m'annonce que c'est pour me faire plaisir qu'elle le fais et j'en souris en coin doucement. Rain est une femme d'un très belle beauté mais aucunement je n'ai eu de pensées déplacer pour elle et pourtant elle est bien en sous vêtement devant moi. Je souris quand elle me dis que le jaune la met en valeur et je râle un peu.
« Voyons Rain, on s'est tout les deux que tu n'a pas besoin de cette robe fluo pour qu'on s'aperçoive que tu est de la partie. Cette robe-ci tu va beaucoup mieux, elle est tout aussi courte que l'autre et la dentelle te va bien. »
Enfin elle s'installe face à moi et je l'observe faire, elle me dis alors qu'elle à découvert que j'ai quelques choses à cacher. Je rigole doucement et elle enchaine sur sa nuit avec le français. J'en rougirais presque de sa nonchalance elle me compterais presque tout les détails mais s'applique à ce que cette histoire soit expédier et je soupire rieur.
« Je trouve que tu va vite en besogne, tu va vite sans entré dans les détails, tu est amoureuse de ce garçon, le français ou alors c'est un coup d'un soir ? »
elle rapproche son visage du mien et je souris en coin elle me demande ce que je cache. Je ne peut cependant pas lui dire ce que j'ai vraiment faire, qui je voit en ce moment avec qui je couche. Je confirme mes dires intérieur surtout après qu'elle ai fais son analyse des membre des confréries avec qui je pourrais être. Je souris faisant mines qu'elle n'a pas comprit mais je tique quand elle parle d'une Lowell, oup's si elle remonte rapidement jusqu'à ce que je lui cache je vais vite être embêter.
« Je te trouve vraiment curieuse ce soir ? En quoi sa t'apporterais quelques choses de savoir avec qui je couche en ce moment, hm ? Tu serais jalouse parce que tu rêve de mon corps en secret ? »
Je souris content peut être qu'elle oubliera de me demander avec qui je couche...

Il essaie de m'embrouiller ! j'en suis certaine. Il veut seulement m'éloigner du vrai sujet de la conversation en me demandant de parler de Come "Non, pas d'amour pas de sentiments, et ... je sais pas on n'a pas encore parlé... même si je crois pas que ce soit un coup d'un soir. Fin je sais pas... EH ! essaie pas de changer de sujet !" Le réprimandais je, reprenant mon enquête. Evoquant toutes les maisons, jusqu'à la dernière. Et attendant de voir sa réaction... Qui ne tarde pas.

Oui il essaie définitivement de m'embrouiller.
Mais il ne sait pas avec qui il joue.

Toujours à genoux sur le bord du lit, je me penche en avant, et me met à quatre pattes. L'approchant lentement, comme un prédateur qui traque sa proie. Gardant les yeux rivé sur les siens, d'un pas puis l'autre j'avance, jusqu'a arriver à ses cuisses, que j'écarte pour me positionner entre ses jambes, "Oh oui... Ton corps j'en rêve chaque nuit" Me mordant la lévre pour m'empêcher de rire, je transforme ce geste en un autre aguicheur "Et je sais que toi aussi" finis je dans un gémissements.  Tout en comblant l'écart qui nous sépare, ma main remonte sa cuisse, je suis consciente du décolleté de ma robe, qui laisse voir en dessous "Et je sais que toi aussi" ma voix n'est qu'un chuchotement. Puis comme si tout redevenait normale en une fraction de séconde, je m'éloigne et reprends ma position initiale "Mais la n'est pas notre sujet actuel ! Vas y dis moi comment elle s'appelle?"