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go away. (liam)

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J'avais appris en laissant Aaron de nouveau avec son père, qu'Apple avait accouché d'une petite fille. Ils avaient quels âges les parents exactement ? Même pas 25 ans. Quelle connerie d'avoir des gamins à cet âge. C'est comme Elia. Même si je l'apprécie énormement, qu'elle ait adopté Mathys.. ca relève du suicide quand même. Okay, les filles - en général - ont un instinct maternel développé - voir très développé - mais c'est pas une raison pour gâcher ses études. Si ? Bref. De toute façon, j'comprendrais jamais rien à ce désir de maternité, d'avoir des gosses. Faut croire que mon enfance avec cinq gamins en permanence autour de moi, aka mes frères et soeurs, m'av vacciné pendant longtemps des enfants.

En repensant à ma famille, celle que j'avais pu voir pour la première fois depuis trois années pour l'occasion de l'enterrement de mon grand-père, je me rappela que l'un de mes petits frères était présent sur le campus et que j'n'avais même pas eu l'occasion de le voir et de savoir si il avait été accepté dans la confrérie qu'il voulait. Winthrop il me semble.. Tss, il aurait dû venir chez les Mathers pour avoir de bonnes soirées. J'attrapa mon portable tout en sortant de ma chambre, adressant un bref salut à Charlie, ma colocataire et envoya un sms à mon petit Jack pour lui dire de se ramener - contestation impossible désolée - vers 16h, toute à l'heure, après mon passage à la bibliothèque, endroit dans lequel je devais faire quelques recherches.

D'ailleurs, en arrivant dans l'enceinte de la salle, je me dirigea directement vers la section que j'voulais, c'est à dire Histoire-Geographie. J'avais un espèce de devoir à rendre sur l'Espagne sous peu et j'étais déterminée à avoir une bonne note.

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Je n'avais pas revu Briony depuis la fête des Mather au Housing Day, ce qui ne m'étonnait pas vraiment étant donné la relation spéciale que j'avais avec elle. Rien de positif, certes, mais c'était quand même une relation, une connaissance. Je n'oubliais jamais ce qu'il s'était passé avec Briony J'avais une connerie, j'assumais ce que j'avais fais mais je ne m'en voulais pas pour autant de lui avoir fait ça. J'avais fais quelque chose contre mon gré si on peut dire ça comme ça, dans mon état normal, je ne lui aurais jamais fais ça même si j'aurais eu envie de lui faire faire un tour au septième ciel. Enfin, ces pensées là ne m'étaient pas venus de la journée, j'étais beaucoup trop occupé à bosser sur mon ordinateur. J'avais un projet à rendre pour la fin de la semaine, et je ne l'avais pas terminé. C'est au calme dans la bibliothèque.

Je me prenais la tête avec une donnée qui ne marchait pas. Je ne comprenais pas ce qui merdait et ça commençait sérieusement à me gonfler. Pendant une demi-heure je retournais chaque calcul. Mais enfin, je venais de comprendre. Je levais les bras victorieux, comme un geek sur son ordinateur, j'étais enfin soulagé. C'est alors que je vis une petite brune qui passait sous mes yeux non loin de moi. Je la reconnaissais, c'était la vice présidente des Mathers. elle ne m'avait pas vu, ça tombait bien, j'avais envie de lui parler. J'enregistrais mon boulot avant d'éteindre l'ordinateur et m'approcher de la demoiselle qui s'était caché entre deux rayons. Je posais alors ma main sur son épaule. Salut, Briony. Et lorsque mon visage fut en face du sien, je posais mon doigt sur ses lèvres, au cas où. Je te ferais rien, t'inquiètes pas. Je me voulais rassurant, faut dire que j'avais eu l'air d'un véritable pervers lorsque je l'avais revu, ce n'était pas ça qui jouait en ma faveur. tu m'accordes quelques minutes ? demandais-je à la mather en retirant mon doigt de ses lèvres.
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Salut, Briony. J'avais beau passer pour une femme forte auprès de certaines personnes, quand je vis Liam - c'est comme ça qu'il avait dit s'appeler lors du housing day, jour où je l'ai revu pour la première fois - en face de moi, je me figea immédiatement. Les jours qui avaient suivis la fête, je n'avais pas pu m'empêcher d'être parano, de regarder si il était près de moi ou non. Les souvenirs me revenaient sans cesse, les cauchemars recommençaient et cela m'étonnait que Charlie ne m'ait pas encore gueulé de la fermer et de prendre des somnifères. Et le voilà. En face de moi, sourire aux lèvres. Il était heureux de voir sa victime c'est ça ? Il voulait que j'lui raconte toutes les séquelles, toutes les fissures que j'avais en moi à cause de lui ? Quel connard, enfoiré, enflure. Tout ce que vous voulez. Liam dût voir que je ne me sentais pas bien, je devais même être blanche à l'heure qu'il était, en train de le fixer et il posa son doigt contre mes lèvres, pour me dire de faire silence. Je te ferais rien, t'inquiètes pas. C'est chou comme je le croyais pas. Je ne pouvais pas le croire. En quel honneur tout d'abord. Je voulais reculer, m'enfuir même. Mais comme il y a quatre ans, je restais sur place, captivée par le bourreau. J'étais débile ou quoi ?

Quand Liam vit que je ne bougeais pas, il dût comprendre que j'étais de nouveau sous sa coupe et retira son doigt de mes lèvres. tu m'accordes quelques minutes ? Ca en devenait du paranormal là, vraiment. Je recula légèrement, trouvant la force de bouger enfin. J'humecta mes lèvres qui étaient devenues sèches et hocha négativement la tête. Non, j'ai du boulot. Pas de désolée qui tienne. Je voulais pas le voir et j'étais prête à inventer n'importe quel prétexte. Je commença à me retourner, les yeux brillants. Cet enfoiré arrivait à me faire pleurer pour la première fois depuis longtemps.
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J'étais con de croire qu'elle me laisserait lui parler comme s'il ne s'était rien passé il y a quatre ans. Pour ma part, j'avais déjà fais table rase du passé mais ce n'était pas moi qui avait souffert, c'était elle. La demoiselle m'avait évidemment répondu négativement, et personnellement, je pensais qu'il était temps d'en parler maintenant, je sentais qu'elle était pas elle-même, qu'elle était faible lorsque j'étais à coté d'elle. Briony... Je soupirais alors que je la dépassais pour pouvoir lui faire face. Je voyais que ses yeux brillaient, qu'elle n'était pas bien à cause de moi. Je poussais un long soupir. Putain, pleures pas à cause de moi. Oui, ça me faisait chier qu'elle pleure à cause de moi parce qu'au fond, je n'avais vraiment pas fait exprès, j'avais pris un peu trop de drogue et j'avais déconné à cause de ça. Je cherchais une idée pour qu'elle se sente mieux. Frappes moi. donne moi une claque ou même un coup de poing, défoules toi. Mais je veux au moins qu'on parle une bonne fois pour toute. Je la regardais avec insistance. J'étais sérieux, qu'elle se lâche un bon coup. Je te le renverrais pas, si ça te fait peur. Je l'ai mérité, non ? J'ai déconné et je mérite quetu me punisses. Je la poussais à le faire, après tout, elle allait pas me tuer non plus.
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Qu'est-ce que j'croyais en lui disant une telle excuse ? Qu'il allait lâcher prise ? Aller traumatiser d'autres étudiantes dans Harvard ? Loupé. Briony... Je déglutis difficilement et accélera un peu le rythme, arrivant rapidement à la fin de la rangée des livres, mais Liam fut plus rapide et se planta devant moi. Putain, pleures pas à cause de moi. Mais il est sérieux là ? Il croit quoi ? Que c'est un bon samaritain ? Il essaie de se racheter ? Je comprends rien. Barres toi alors et tout ira mieux. lui dis-je tout en passant ma main à l'arrache sous mes yeux pour enlever toute trace de faiblesse de ma part. Cette situation était invraisemblable et apparement j'allais devoir le supporter jusqu'à qu'il veuille partir. Comme il y a quatre ans. J'étouffa un sanglot et releva les yeux vers lui. Frappes moi. donne moi une claque ou même un coup de poing, défoules toi. Mais je veux au moins qu'on parle une bonne fois pour toute. Putain, il fallait pas qu'il me redise deux fois sinon, j'allais vraiment le faire. Et avec mon enfance dans les coins qui craignent de la banlieue de Chicago, il risquait d'avoir mal. Très mal même. Merci Jack de m'avoir enseigné les rudiments de la bagarre. Je le regardais avec un air mauvais. Ce connard m'avait détruit et il allait se laisser faire, comme ça ? Il croyait peut-être que j'étais faible, que je n'allais pas le faire. Conneries. Je te le renverrais pas, si ça te fait peur. Je l'ai mérité, non ? J'ai déconné et je mérite que tu me punisses. J'essayais de ne pas penser aux conséquences que mon geste allait avoir, j'préférais pas. Je voulais me venger. Je voulais lui faire mal. Aussi mal que j'avais eu sur le coup. J'voulais l'humilier. J'envoya le premier coup entre ses jambes pour qu'il s'abaisse pas puis lui fit un crochet du droit, m'occasionnant par la même occasion des douleurs le long de mes phalanges. Mais le bonheur qui coulait dans mes veines atténuait considérablement la douleur. Le voir se plier devant moi me procurait tellement bien que ça en était jouissif. Espéce de connard. T'as vu ? Ta victime, elle sait se battre et si tu t'approches encore de moi, ça risque de faire encore plus mal. Le jour du viol, il m'avait pris de suprise, me laissant pas me débattre, dans l'étau de ses bras. Mais là c'était différent. J'pouvais gagner. Tu veux discuter ? Vraiment ? Tu veux que j'te dise quoi exactement ? Qu'à cause de toi, j'ai pas dormi pendant des mois, que j'fais confiance aux hommes que depuis peu de temps, que j'suis devenue parano, que tu me hantes ? C'est ça que tu veux entendre ? Ce qui était ironique c'est que je devais lui chuchoter toutes ces choses, car on était dans une bibliothèque, alors que j'voudrais lui hurler dessus. Les larmes coulaient malgré moi le long de mes joues encore plus pâles que d'habitude. Tu croyais que j'allais être heureuse de te retrouver ? Vraiment ?
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Ça le message du « barre toi », je l'avais très bien compris. Mais j'étais du genre têtu, vous voyez. Je n'allais pas la lâcher avant de décrocher un sentiment positif. Je la cherchais, je la poussais à bout. Je savais qu'elle avait mal à l'intérieur, ça se sentait, je l'avais intimidé jusqu'à ce que je reçoives ce fameux coup que j'attendais. Enfin, je l'attendais plus à la tête, ou alors le ventre, mais les appareils génitales, je m'y attendais pas du tout. Ma main vint se loger entre mes jambes, la douleur que je ressentais était vraiment... c'était indescriptible comme j'avais l'impression qu'on venait plutôt de me les arracher, mais disons que j'oubliais cette douleur l'instant où elle me mit un coup direct en pleine poire. Elle était vraiment sauvage comme fille, mais étonnement, ce n'était pas de la douleur que je ressentais, mais j'avais envie de rire. Je me retenais. Espèce de connard. T'as vu ? Ta victime, elle sait se battre et si tu t'approches encore de moi, ça risque de faire encore plus mal. Miaouw. Elle était vraiment loin d'être la petite fille intimidé par ma présence. J'avais envie de rire, de lui dire que c'était bien ce qu'elle faisait, mais ça serait aussi montrer que j'avais réussi à la toucher encore. Je la laissais parler, fallait que ça sorte. Tu veux discuter ? Vraiment ? Tu veux que j'te dise quoi exactement ? Qu'à cause de toi, j'ai pas dormi pendant des mois, que j'fais confiance aux hommes que depuis peu de temps, que j'suis devenue parano, que tu me hantes ? C'est ça que tu veux entendre ? Bon ok, c'était glauque quand même. Je ne pouvais pas savoir ce qu'elle avait vécu, je ne le pouvais pas mais je pouvais réparer ça. Je levais les yeux vers la belle alors que je souffrais encore, et surtout entre les cuisses. Bordel, qu'est ce qu'il fallait pas faire pour les beaux yeux d'une fille quoi! J'avais la respiration saccadée, mais j'étais plutôt satisfait même si j'aurais préféré seulement le coup de poing, j'espérais qu'elle ne m'avait pas castré. Tu croyais que j'allais être heureuse de te retrouver ? Vraiment ? Plusieurs personnes nous regardaient, faut dire que le gémissement de douleur que j'avais poussé lorsqu'elle m'avait frappé les bijoux de famille ne pouvait passer inaperçue. Non, je le savais que tu ne m'accueillerais pas. Puis sans attendre la moindre autorisation, je pris sa main dans la mienne pour l'emmener jusqu'à une petite salle d'étude où nous pourrions être plus au calme et surtout que personne ne nous écoute. Je fermais la porte derrière nous puis je la lâchais. Je me plantais le dos contre le mur, puis je la regardais. Je suis pas là pour me réjouir de ce que je t'ai fais. J'étais pas conscient de mes actes. J'ai pris le milligramme de trop. Puis je m'approchais soudainement d'elle en posant mon doigt entre ses deux yeux. Mais j'ai l'impression que c'est pas assez,tu en as trop la dedans. Oui, je la provoquais, c'était le but. Je pense que pour l'instant, je m'en tapais de ce qu'elle pouvait me faire. J'avais une vie assez merdique pour ne pas être toucher physiquement par la brunette. Je m'approchais vraiment trop d'elle, si son petit copain Hendrix serait là, je me ferais carrément péter la gueule, je le savais. Mais il était pas là, autant en profiter. Bah alors frappes, vas y! Attends, je vais te faciliter la tâche. J'enlevais mon tee-shirt mais c'était pas pour quelque chose de pervers, loin de là. Je lui montrais mon ventre, qu'elle vise mes abdominaux. Frappes la, montres moi que t'es pas une victime car pour l'instant, c'est l'impression que tu me donnais là. Azy, elle est encore là la fille qui m'a foutu le coup de poing ? Elle est là ou pas ? Je jouais à un jeu dangereux. La provoquer était une mauvaise idée mais fallait qu'elle se défoule, qu'elle se lâche avec moi. Je préférais que ce soit moi que quelqu'un d'autre. Car je savais que ma connerie, je n'en serais jamais capable en étant clean comme maintenant. Azy, frappes! Tu as pas envie ? Peut-être parce que tu te dis qu'en fait tu aurais kiffé si je t'aurais dragué et emmener contre le mur et qu'on aurait joué toute la journée ce jour-là?! Hm, je suis sur que tu aurais kiffé, grave... Je riais de façon à la provoquer encore plus.
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Le voir à terre, l'avoir entendu gémir, ca me rendait folle, heureuse. C'était jouissif. Le nombre de fois où j'avais rêvé de pouvoir lui gueuler dessus, de pouvoir rattraper ce que je n'avais pas pu faire ce jour-là, de pouvoir le tabasser comme je le voulais était infini. Non, je le savais que tu ne m'accueillerais pas. dit-il toujours au sol. Encore heureux qu'il en était conscient. Manquerait plus qu'il arrive comme une fleur comme ça, voulant faire copain-copain avec moi. Non merci, là actuellement j'voulais le voir souffrir, pour rattraper toutes ses années où j'avais été traumatisé. A cause de lui, j'avais changé, je m'étais renfermée, j'avais évité les hommes, refusant carrément leur contact. Il avait bousillé des années de ma vie. Ah oui ? Alors pourquoi tu viens, hein ? Tu crois qu'un "pardon" va suffir ? Attends.. non, t'as même pas dit ça enfoiré. Liam se leva et m'entraîna avec lui dans une pièce. Toute l'arrogance, toute la colère que j'avais pu avoir en moi s'évapora aussitôt. La peur revint à la charge. Mon geste allait avoir des conséquences.. il allait refaire ce qu'il avait fait il y a quatre ans dans ce vestiaire des courts de tennis. Je voulus me débattre mais en fait, je n'en avais même pu la force. Où est-ce que j'en avais trouvé pour la frapper d'abord ? Je suis pas là pour me réjouir de ce que je t'ai fais. J'étais pas conscient de mes actes. J'ai pris le milligramme de trop. annonça t-il après avoir refermé la porte derrière lui. Il était sérieux là ? Il allait maintenant dire que c'était à cause de la drogue qu'il m'avait fait ça ? Mais quel.. je n'avais même pu d'insulte à lui cracher à la figure tellement j'étais mal, tellement j'avais d'émotions en moi. Il pouvait essayer de trouver n'importe quelle excuse, jamais je ne pourrais le croire. Mais j'ai l'impression que c'est pas assez,tu en as trop la dedans. Mais qu'est-ce qu'il disait là ? Je n'arrivais pas à me concentrer sur ses paroles, son visage trop près du mien, moi collée contre l'un des murs latéraux vu à quel point je m'étais reculée. Mon souffle se fit plus difficile j'avais l'impression de revivre les scènes au ralenti, impression de déjà-vu.

Lorsqu'il recula, soulagée, je repris mon souffle, tandis qu'il parlait encore, enlevant son t-shirt par la même occasion. Bah alors frappes, vas y! Attends, je vais te faciliter la tâche. Mon corps se tendit sous la menace imminente que je pré-sentais. Il voulait que les choses se fassent rapidement, il voulait abréger les étapes. Frappes la, montres moi que t'es pas une victime car pour l'instant, c'est l'impression que tu me donnais là. Azy, elle est encore là la fille qui m'a foutu le coup de poing ? Elle est là ou pas ? Connard. Connard. Connard. Ce mot me revenait toujours en tête, mon regard se fit de nouveau mauvais. La fille qui lui a foutu un coup de poing, elle est là. Oh oui qu'elle était là. Mais elle essayait d'abord de passer au travers de tous les souvenirs qui lui revenaient, elle essayait de reprendre le contrôle de son corps qui était tétanisé à cause de lui. Azy, frappes! Tu as pas envie ? Peut-être parce que tu te dis qu'en fait tu aurais kiffé si je t'aurais dragué et emmener contre le mur et qu'on aurait joué toute la journée ce jour-là?! Hm, je suis sur que tu aurais kiffé, grave... dit-il en rigolant, me provoquant encore plus. La fille peureuse se mise dans un coin et laissa place à la fille originaire de Chicago, celle qui a appris à se battre contre les caïds. Je ne le frappa pas au ventre. Non, ce serait beaucoup trop facile et vu à quel point il était musclé, cela n'aurait eu aucun effet sur lui, si ce n'est l'effet d'une brise qui passait contre lui. Je m'avança directement vers lui et tourna sur moi-même pour pouvoir lui donner un magnifique coup de pied retourné en pleine face, de quoi le surprendre, au vu de ma vitesse. Des années d'entraînement avec Jack pour pouvoir être efficace. Le voyant baissé le sol, là, je pus frapper avec mon poing droit son abdomen pour lui couper le souffle. Jamais je pourrais te faire ressentir toute ma douleur, tu vois ? J'enchaîna avec un crochet du droit à nouveau contre son visage. Tu m'as volé des années de ma vie à cause de ce qui s'est passé. J'avais mal le long de mon bras droit, j'avais même senti un douleur fulgurante au niveau du poignet mais l'adrénaline en moi stoppait en quelques sortes ce que je ressentais. Et toi tu crois qu'en te frappant je me sentirai mieux ? ricanais-je. J'acheva mon combo en lui lançant mon genou contre lui, lui qui était déjà à moitié baissé.

Je recula, j'avais trop mal désormais. Je recula jusqu'à un bord de la salle et m'assis par terre, loin, très loin de lui, le regardant agonisé, alors que j'avais mal aussi, à mon poignet, mais plus encore dans mon esprit.
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Je savais que je prendrais cher. Elle avait comme un rage dissimulé en elle qui ne demandait qu'à s'exprimer. J'attendais qu'elle me frappe, je savais que j'aurais mal en sortant d'ici. Je fus bien surpris qu'elle se mette à faire un truc plutôt... style arts martiaux, bien évidemment, j'en pris pleins la gueule, mais je commençais à en avoir plutôt l'habitude. J'avais jamais réussi à me poser sur un piédestal ou alors par humour. Donc, elle pouvait presque me tuer, j'en aurais presque rien à foutre, je n'étais attaché à personne et mes parents... bah on s'en fou quoi. On va dire que je les aimes bien mais voilà. Bref, je me prenais un bon coup de pied dans le face, tombant évidemment à terre alors qu'elle en rajoutait une couche. Jamais je pourrais te faire ressentir toute ma douleur, tu vois ? Je trouvais qu'elle en faisait trop, enfin vous savez, je m'en voulais déjà pas tellement car ce n'était pas tellement moi qui avait fait ça alors je ne pouvais pas spécialement la comprendre à ce point-là. Je posais ma main sur ma mâchoire pour essuyer le filet de sang qui coulait de ma bouche. Tu m'as volé des années de ma vie à cause de ce qui s'est passé. Je comprenais seulement qu'elle s'était laissé toucher par un acte débile. C'était ça le problème, elle restait dans sa blessure. Je voulais juste qu'elle avance sans se soucier du passé. Et toi tu crois qu'en te frappant je me sentirai mieux ? ajouta-t-elle en m'assénait à nouveau coup. Bref, pour dire qu'elle avait enfin terminé de me frapper, et j'avais en effet, pris cher dans la poire. Je la regardais se mettre à l'autre bout de la pièce. Pour ma part, je partis m'asseoir contre le mur. J'essuyais le sang avec mon tee-shirt. Puis je levais les yeux vers la mather. Parce que tu crois que ça te sert à grand chose de garder ce souvenir dans ta tête? Laisse moi rire, tu te laisse souffrir toute seule, j'ai pas forcément l'impression que tu te battes pour avoir une vie agréable. Moi qui te trouvait sexy quand tu me frappais, c'est vraiment parce que j'avais reçu des coups dans la gueule. Je soupirais alors que je regardais mon reflet dans le miroir de mon portable. Bon dieu, je vais faire peur à mes potes comme ça. Le truc ennuyeux, c'était que c'était une fille qui m'avait frappé, bien sur, sous mon autorisation mais bon... Bon maintenant que tu es plus à l'écoute, je vais te dire un truc, je m'excuserais jamais pour ce que je t'ai fais Briony. J'étais complètement défoncé, j'avais aucune notion de la réalité et je vais te dire, il a fallu que je me réveille chez moi avec un détail « particulier » pour que je me rende compte que ce qu'il s'est passé, était la réalité. Même si t'es canon, même si je kifferais coucher avec toi, que tu as l'air d'être une fille géniale quand on peut être proche de toi, je me cacherais pas de ça, mais je serais jamais assez con pour profiter de toi comme ça s'est passé il y a quatre ans. C'est vrai que je suis un connard à laisser penser des trucs, mais j'ai un minimum de respect pour les gens, c'était pas le Liam que tu vois maintenant que tu avais sous les yeux. Toute humanité était comme « sortie » de mon corps ce jour-là. Je sais que tu souffres, je le vois bien à comment tu es avec moi quand je te laisse pas la possibilité de me faire face, que mon charisme te percute. Tu viens de le dire que je pourrais jamais ressentir la même douleur que toi, c'est pas ce que je recherche. Je cherche juste à revenir à zéro avec toi et te montrer que je suis pas le connard que tu prétends. Mais il semble que t'es incapable d'avoir du respect pour quiconque qui veut au moins faire ça pour réparer son erreur. Je ne savais pas si j'avais tout dit, mais j'avais parlé au moins. J'aurais bien aimé boire un peu d'eau pour soulager la chaleur de mon corps qui avait augmenté avec cette pseudo-bagarre. Elle pouvait se barrer, j'en avais rien à foutre à présent. Elle faisait aucun effort toute façon.
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J'en avais peut-être fait trop, mais putain, le voir pisser de son sang, avoir mal.. ça en valait le coup. Fallait pas me provoquer. Fallait pas me dire "t'es qu'une victime, tu as pris cher car t'es faible" ou bien le sous-entendre, car j'en ai été moi-même consciente et que ça m'énervait au plus haut point. Assise dans un coin de la pièce, à attendre que Liam se sente mieux et vienne me faire subir sa vengeance ou je ne sais quoi et à laquelle je ne pourrais pas me défendre vu l'état actuel de mon poignet droit, j'essayais de me calmer. Calmer ma respiration saccadée, le rythme endiablée de mon souffle. Parce que tu crois que ça te sert à grand chose de garder ce souvenir dans ta tête? Laisse moi rire, tu te laisse souffrir toute seule, j'ai pas forcément l'impression que tu te battes pour avoir une vie agréable. Moi qui te trouvait sexy quand tu me frappais, c'est vraiment parce que j'avais reçu des coups dans la gueule. Je releva vers lui mon regard. Comment était-il ? J'en sais rien. Neutre, énervé, triste, j'sais pas du tout, je n'arrivais même plus à savoir ce que je ressentais. Bon maintenant que tu es plus à l'écoute, je vais te dire un truc, je m'excuserais jamais pour ce que je t'ai fais Briony. J'étais complètement défoncé, j'avais aucune notion de la réalité et je vais te dire, il a fallu que je me réveille chez moi avec un détail « particulier » pour que je me rende compte que ce qu'il s'est passé, était la réalité. Même si t'es canon, même si je kifferais coucher avec toi, que tu as l'air d'être une fille géniale quand on peut être proche de toi, je me cacherais pas de ça, mais je serais jamais assez con pour profiter de toi comme ça s'est passé il y a quatre ans. C'est vrai que je suis un connard à laisser penser des trucs, mais j'ai un minimum de respect pour les gens, c'était pas le Liam que tu vois maintenant que tu avais sous les yeux. Toute humanité était comme « sortie » de mon corps ce jour-là. Je sais que tu souffres, je le vois bien à comment tu es avec moi quand je te laisse pas la possibilité de me faire face, que mon charisme te percute. Tu viens de le dire que je pourrais jamais ressentir la même douleur que toi, c'est pas ce que je recherche. Je cherche juste à revenir à zéro avec toi et te montrer que je suis pas le connard que tu prétends. Mais il semble que t'es incapable d'avoir du respect pour quiconque qui veut au moins faire ça pour réparer son erreur. Mais wtf ? Du respect pour lui ? Mais il veut que je trouve ça où hein ? Il a pas l'air de comprendre ce qui s'était passé y a quatre ans là ? Même si si d'après ce qu'il disait il savait ce qu'il avait fait, ça devait pas être complétement ça. Est-ce qu'il était conscient des séquelles que chaque victime d'un viol avait ? Est-ce qu'il le savait ? Si il n'a pas été à cette place un jour, il ne pouvait pas le savoir. Tu crois vraiment que j'peux avoir du respect pour toi. Soyons sérieux deux secondes. Je me releva, gardant mon poignet dans ma main gauche pour éviter d'avoir encore plus mal. J'peux savoir c'est quel détail qui t'a permis de savoir ce qui s'était passé ? J'avoue que là, j'étais bien curieuse de savoir ce que ça pouvait être. Que tu me dises que tu n'étais pas dans ton état normal ce jour-là.. okay pourquoi pas. Mais j'peux pas te croire.Car t'as pas de preuves. Tu peux très bien raconter des conneries. Et donc me faire manipuler. Je déglutis mais je ne quittais pas son regard. Quand tu m'auras vraiment prouver que ce n'était pas le vrai toi.. j'sais pas.. je te frapperai plus déjà. J'savais pas quoi dire. C'était glauque comme discussion n'empêche.
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La situation était plutôt bizarre mais d'un coté, je sentais que ça pouvait tourner à mon avantage, il suffisait que je sois sincère et surtout, pas trop con avec elle. En clair, me rattraper. J'y réfléchissais déjà. Mais la demoiselle semblait être curieuse de savoir comment j'avais fais pour me rendre compte. Je m'en rappelais encore comme ci c'était hier, ça m'avait marqué lorsque j'avais compris. J'ai... murmurais-je, gêné. C'était plutôt délicat. Je me suis réveillé dans ma chambre de Cambridge, j'étais complètement mort. J'avais mal dormi, j'avais eu l'impression d'avoir fait un cauchemars. Et c'est en allant me doucher que j'ai vu la double...hm...couche de capotes... avec un peu de sang... c'est là que j'ai compris que mon cauchemars était en faite une réalité. Ouai, je l'avais avoué mais je l'avais dis, il fallait que je dise la vérité avec sincérité. Bon je n'avais pas parlé du fait que je m'en voulais pas, mais ça, ce n'était pas forcément à mon avantage. Briony semblait être une fille sympathique et surement agréable à vivre si on ne dérapait pas dans la rencontre, comme je l'avais fais. Mais le dire, l'avouer ne changeait rien au fait qu'elle ne pouvait pas me faire confiance, après tout, je lui avais fais du mal. La discussion tournait bien, à mon humble avis. Il semblerait que j'avais comme une chance de prouver que j'étais le bon fêtard qui savait s'amuser, et surtout être un bon pote. Car mine de rien, même si je n'avais pas le potentiel de petits amis parfait avec les filles, je restais un bon ami et c'est ce que j'allais démontrer à la petite mather. Je vais te le montrer que j'étais pas moi-même, je suis beaucoup trop cool pour me rabaisser à forcer une fille. Je préfère y aller à mon charme, si tu vois ce que je veux dire! je plaçais un peu d'humour dans la conversation. D'ailleurs, j'aurais bien aimé me relever comme elle l'avait fait mais contrairement à elle, même si elle était moins épaisse que moi, la colère et la rage donnaient beaucoup plus de force, et ça faisait mal. Je reprenais un peu de repos en restant ici à ne pas bouger énormément. Ça ne pouvait pas m'empêcher de parler. Accordes moi une soirée, rien que toi et moi. Je serais clean t'inquiètes pas. J'attrapais l'accoudoir d'un siège pour me relever avec difficulté, posant mon dos contre le mur pour pouvoir me stabiliser tranquillement. J'espère que ça te fait pas peur de passer la soirée avec moi, je veux bien te montrer qui je suis vraiment, mais je peux pas le faire si tu es pas à l'aise. Toute façon, on sera pas seuls, c'est une boite de nuit, pas un show privé. je tentais un « sourire » plutôt convaincant, pour une fois que j'étais de bonne foi et que je voulais faire des efforts pour prouver que je ne savais pas que briser le coeur des filles, c'était bien le moment de l'attraper à pleine main. Je t'aurais bien proposé maintenant, mais j'suis pas sur d'être dans une bonne tenue... dis comme ça, c'est sur que le tee-shirt tâché de sang et quelques gouttes sur le jean, ça le faisait pas trop. Je tentais de détendre l'atmosphère.ça te tente ? Je continuais encore de la regarder fixement.
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