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dolcemente, teneramente (ezion)

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Louison Chamberlain & Ezio Scorsese

C'était plus fort que lui. Ezio aimait la provoquer et la taquiner, c'était ainsi depuis le début alors forcément, lorsque Louison tomba en panne sur le bas côté de la route, il s'en amusa directement. Insinuer qu'elle ferait une bonne fille de joie pour rentrer à l'hôtel n'était pas méchant, il ne le pensait pas une seule seconde mais ça le faisait rire. Elle le traita de connard, ça l'emballa encore plus, il ne pu s'empêcher d'éclater de rire. C'était drôle, très drôle. « Hm. » grogna-t-il avec un petit sourire sur ses lèvres, fier de lui. Le bel italien alla jusqu'à son Vespa où il s'installa dans le plus grand des calmes, en attendant la blondinette qui ne tarda pas à le rejoindre. « En voiture Simone » lança-t-il d'un accent français très chantant, très italiennisé. Mettant en route sa bécane d'un soir, il démarra doucement, reprenant la route vers la fontaine de Trevi. Il voulait lui faire découvrir ou redécouvrir ce lieu, bourré d'histoire et de culture. Ezio sentait les bras de Louison enrouler son torse, il se sentait bien. Ses pensées étaient relativement calmes et son esprit semblait être apaisé. Il était bien en sa compagnie, c'était naturel et spontané. Le trajet fut plutôt rapide. Il avait fait exprès de passer par des ruelles atypiques, reflétant ainsi l'esprit de son pays. Le jeune Scorsese en était fier, il défendait sa patrie corps et âme. Une fois arrivé à destination, il se rangea sur le côté et descendit du Vespa. « Tu ... » commença-t-il en se tournant vers elle. Il se stoppa net en remarquant qu'elle n'était déjà plus là, Louison s'était précipitée vers la fontaine. Ezio s'arrêta quelques secondes pour la contempler dans ce silence de plomb et cette tranquillité provoquée par le doux bruit de l'eau. Lentement, il s'occupa de garer le bolide et s'approcha d'elle. Son sourire vint s'élargir lorsqu'elle avoua vouloir venir une fois avant de partir. Il allait répondre mais elle continua sur sa lancée. Et non on ne voyait pas le zgeg de Neptune. « C'est plus fort que toi Louison, faut que tu penses au cul tout le temps. Si ça se trouve, il en a une petite et c'est pour ça qu'ils l'ont cachés. » répondit-il en haussant bêtement les épaules. Les lumières orangées de la fontaine les éclairait, rendant l'atmosphère encore plus originale, plus unique. Envahi par le bien-être de se trouver chez lui, dans son pays, mais également d'être avec elle, Ezio s'approcha de Louison. Il se mit en face et, délicatement, il lui attrapa sa main droite. Sa tête se baissa et un fin sourire apparu sur ses lèvres. « Tiens, la voilà ton occasion de faire un vœu bidon. » dit-il en déposant une pièce au creux de sa main. « Depuis le temps que je viens ici, je n'ai jamais fait de vœu, j'ai toujours trouvé ce principe un peu étrange mais pourquoi pas en faire un ce soir. » Et puis, sans chercher à comprendre plus loin, il se décala pour se poster à côté de Louison. Il fit demi-tour et tourna le dos à la fontaine. Il ferma les yeux et grimaça en se rendant compte qu'il ne savait absolument pas quoi faire comme vœu. « Ah ça y est,  j'en ai un ! » annonça-t-il fièrement. Le bel italien forma le vœu dans sa tête et serra la pièce dans sa main. Ce vœu ne le concernait pas, peut-être qu'inconsciemment, il souhaitait le bonheur pour sa soeur jumelle, pour sa moitié. Succombant à cette vague d'émotion positive qui vint soudainement l'envahir, il embrassa la pièce et, d'un geste mécanique, il la jeta derrière lui, directement dans la fontaine. Une fois le vœu établi, il regarda la blondinette faire le sien. Ezio ignorait de quoi il s'agissait, ça l'intriguait et attisait sa curiosité légèrement. Il lui lança un sourire complice lorsqu'elle eût terminé. Et, comme un besoin d'en avoir toujours plus ou de profiter de ce moment unique en son genre, il s'avança vers elle et passa ses mains sur ses hanches pour l'approcher de lui. Ses yeux plongés dans les siens, il ne quittait pas son sourire malicieux. « On l'aura attendu ce séjour hein. » dit-il faiblement. En réalité, Ezio se rendait compte qu'il misait beaucoup plus sur ce séjour qu'il ne l'aurait pensé. Attendre des semaines de la voir, flirter avec sur les réseaux sociaux, provoquer le manque, tous ces facteurs se combinaient à la perfection. Oui sans vraiment s'en rendre compte, le jeune homme s'était attaché à elle et à sa petite tête blonde. Louison était beaucoup plus petite et frêle que lui et à cet instant précis, il ne voyait qu'une seule chose, la protéger. C'était étrange comme sensation, il en voulait plus mais pas forcément la sauter dans l'immédiat. Fidèle à lui-même, le jeune Scorsese décida d'écouter cette petite voix qui trottait dans sa tête depuis qu'elle était arrivée. Il lâcha ses hanches et vint encadrer son visage de ses mains. Il caressa sa joue de son pouce, son regard vacillant entre ses yeux et ses lèvres. « Ecoute Louison, je ne vais pas y aller par quatre chemins. Tu me plait mais genre vraiment, j'te trouve jolie, touchante et drôle. Tu me fais délirer, t'as du caractère, t'es franche et ouais t'es plutôt sexy dans ton genre. Alors ouais j'ai un passé qui n'est pas très glorieux mais c'est le mien et je ne peux pas le changer. » Il haussa maladroitement les épaules. « N'ai pas peur de moi. » murmura-t-il en enfonçant l'une de ses mains dans la nuque de la blondinette. Et, rendant l'atmosphère encore plus lourde qu'elle ne l'était déjà, Ezio s'approcha lentement d'elle pour venir capturer ses lèvres.
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Quand on n'a jamais fréquenté franchement le loup, on en parle beaucoup. Ce qui était ton cas, car la petite tenue que portait le Dieu Neptune avait drôlement attiré ton attention. Ta remarque sur ses parties intimes ne manqua d'ailleurs pas de faire réagir le brun, c'était de toute façon bien le but. Ainsi, tu écoutas le raisonnement d'Ezio sur le camouflage du zizi de la statue ce qui t'avait fait éclaté de rire, rompant ainsi le silence qui régnait dans cette place particulière. Puis, retrouvant un calme étonnant pour la pile électrique que tu étais, l'italien s'était rapproché de toi pour t'offrir une pièce dans le creux de ta main. Relevant doucement les yeux vers le jeune homme, ton regard brillant devait parler de lui même. Il t'avait touché en plein dans le mil. En écoutant Ezio te racontait qu'il n'avait jamais pris part à la tradition de ce lieu, tu tordis ta bouche n'osant pas lui répondre car il s'apprêtait apparemment à faire un voeu. Un sourire dissimulé sous les lumières orangées, tu l'observas faire. " J'espère qu'il se réalisera ! " répondis-tu en le laissant embrasser sa pièce avant de l'envoyer dans la flotte. Offrant ton dos à la fontaine, tu fermas les yeux à ton tour, pensant très fort à tes géniteurs que tu souhaitais plus que tout retrouver pour comprendre leur abandon. Une fois le voeux clairement formulé dans ta petite tête blonde, tu balanças la monnaie par dessus ton épaule en déployant de nouveau tes longs cils recouverts de mascara. Rapidement, Ezio était venu te retrouver, serrant tes hanches pour te rapprocher de lui. Envoûtée par sa frimousse charmeuse, tu acquiesças à ses propos en glissant tes mains sur ses bras qui t'avaient capturé. Être sa prisonnière n'avait rien d'angoissant, bien au contraire. Caressant ses avants bras de tes pouces, tu le laissais te reluquer car tu en faisais de même. Ezio avait beau jouer au con la plupart du temps, en réalité, tu étais persuadée qu'il cachait une palette de qualités qui ne manquaient plus qu'à être découverte.
Tout d'un coup, l'italien abandonna tes hanches pour s'emparer de ton visage entre ses mains. La lueur dans ses yeux n'était pas anodine. Lorsqu'il ouvrit la bouche pour faire une éloge à ton sujet, une vague de frissons parcourue ton corps. Tu étais comme anesthésiée, flottant dans un monde parallèle, t'éloignant de la réalité insipide. L'environnement qui t'entourait était désormais flou, tu ne voyais que lui, lui et cette déclaration touchante à ton égard. Secouant la tête de droite à gauche en ne sachant plus quoi répondre, l'italien empoigna ton cou d'oisillon pour te ramener encore plus à lui. La poitrine en vrac et le désir à son paroxysme, tu pressas tes lèvres contre les siennes avec ardeur. C'était l'apnée la plus longue de ta vie et la meilleure. Lorsque le baiser cessa, ton souffle s'était montré plus saccadé, révélant ton excitation et cette frustration qui grandissait en toi. Ce n'était pas assez, tu en voulais encore plus mais était-ce raisonnable ? Sur la pointe des pieds, tu déposas ton front contre le sien, cherchant ses lèvres pour les effleurer tendrement, capturant son souffle qui s'échappait de sa bouche entrouverte. Nouant tes bras derrière sa nuque, tu relevas tes prunelles vers les siennes, cherchant une connerie à formuler mais tu craignais à présent qu'il se froisse si tu jouais sur les sentiments qu'il venait de t'avouer. Tu décidas alors de te montrer plus sérieuse, rebondissant sur les propos précédents du bel âtre. " Je veux juste que ton passé reste du passé. J'espère qu'il n'interférera pas dans le présent. Je parais solide mais quand on touche à ce que j'aime, je perds les pédales " confias-tu à voix basse. Décrochant ensuite sa paluche de ton cou, tu embrassas sa paume avant de la lui rendre. " Je te remercie pour tout ça Ezio. C'est la première fois de toute ma vie que je me sens heureuse... " avouas-tu avant de bailler, masquant rapidement ta bouche grande ouverte. " Fais chier, mon corps a des limites apparemment, moi qui croyait être immortelle. Tu me ramènes à l'hôtel ? Je suis épuisée... "  confessas-tu en grimaçant, tiraillée par cette envie terrible de prolonger cette nuit à l'infini malgré ta fatigue grandissante. 
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Louison Chamberlain & Ezio Scorsese

Les lèvres délicatement posées contre les siennes, Ezio n'avait fait que de suivre son instinct. Il avait envie de l'embrasser là, tout de suite, maintenant, dans cet endroit idyllique et bourré d'histoire. La fontaine de Trevi rassemblait en un seul lieu toute la symbolique de son enfance et de ses racines. Alors forcément, il était propice à un quelconque rapprochement avec celle qui semblait occuper ses pensées ces derniers jours. La main doucement ancré dans sa chevelure, juste au niveau du haut de sa nuque, il se laissait aller à un baiser aussi tendre qu'intense. Aussi surprenant que cela puisse paraître, il se montrait patient et clément, il n'était pas plein de fougue comme il l'était en temps normal. Là tout était différent. Il ne savait pas comment l'expliquer mais il avait juste besoin de douceur. Ses lèvres avaient un goût sucré et surement très addictif. Lorsque le baiser prit fin, Ezio ne bougea pas d'un poil, il en voulait plus sans vouloir pour autant le forcer. Ses yeux vinrent s'ouvrir  et eut l'agréable surprise de voir Louison toujours proche de lui, de son visage. Il caressa sa joue dans le plus grand des silences, dans la plus grande des intimités. Le bel italien afficha un faible sourire lorsque la blondinette enroula son cou de ses bras. Après quelques instants de douceur envoûtant, elle prit la parole et vint lui avouer le fond de sa pensée. Elle enleva sa main qui était pourtant si bien nichée dans son cou délicat. Ezio la regardait, la fixait, attendant qu'elle lui livre tout ce qu'elle avait sur le coeur, tout ce qu'elle pensait de lui. Sans tabou. La communication lui paraissait primordial, essentiel à cet instant précis. Elle le mit en garde avant de lui dire qu'elle se sentait heureuse. « C'est tout ce qui compte alors, Louison. » Puis la jeune fille se mit à bailler, pas étonnant avec la journée qu'ils venaient de passer. Ezio lui afficha son plus beau sourire. « Oui j'te ramène à l'hôtel, j'crois que la journée a été assez forte en émotion, tu as besoin de repos ... Et peut-être d'une petite douche ? » lança-t-il pour détendre l'atmosphère et la taquiner un peu au passage. Promis il ne regardera pas.

[...]

Les deux étudiants étaient rentrés tard de leur soirée dans les rues de Rome et s'étaient endormi comme des bébés. La matinée était passée très vite, sans qu'il ne puisse se réveiller. La fatigue les avait embarqués dans une grasse matinée bien méritée. La respiration d'Ezio se voulait lente et paisible, bon ok, il ronflait le cochon mais il était bien, loin de tout et de tout le monde.
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Tous tes sens étaient en alerte et ton petit coeur avait manqué de rompre lorsque vos lèvres se découvraient pour la toute première fois. Jamais tu n'aurais pu imaginé qu'entre Ezio et toi cela prenne une telle tournure. Bien au contraire, tu avais plutôt pensé qu'à cause de tes provocations désinvoltes, Ezio aurait un jour rayé ton nom de ses fréquentations... Néanmoins, depuis que vous aviez échangé à distance ces derniers jours, il t'était arrivée de fantasmer sur l'italien, de t'imaginer ce que cela pouvait faire d'être dans ses bras solides, de dévorer sa bouche ou simplement de caresser sa peau bronzée. Tu y étais désormais, tu pouvais expérimenter ce que tu avais tant imaginé. La réalité était forcément bien meilleure. Avouant après ce baiser féérique ce que tu ressentais tu lui fis part dans un second temps de ta fatigue qui gagnait du terrain. Il était plus raisonnable d'aller se coucher pour pouvoir profiter de la journée à venir ou plutôt de lui... Tu lui demandas ainsi s'il pouvait te ramener à l'hôtel ce avec quoi il était d'accord mais qui le fit aussitôt rebondir sur la prise d'une douche. La fameuse douche toute vitrée donnant sur l'intégralité de la chambre ! Le regardant de haut en bas avec un air de dégoût, tu répliquas en le tirant vers le scooter " Bien sûr, mais je te banderais les yeux alors puis je te lierais les mains aussi on sait jamais... "  

[...]

Tu ne te rappelais plus très bien du moment où tu avais basculé dans les bras de Morphée. Les derniers instants qui précédaient la fermeture de tes paupières étaient totalement flous. Tu te souvenais juste avoir eu le temps d'enfiler une de tes nuisettes en soie avant de t'étendre sur le pieu, sentant le poids d'Ezio sur le matelas qui t'avait suivi de près. Tu t'étais ensuite collée timidement à lui en enroulant un de tes bras sur son torse et tu t'étais évanouie. Depuis, c'était le black-out complet.

[...]

Sursautant tout à coup, tu aperçus rapidement de fins rayons de lumière traversant les stores de votre chambre et qui brûlaient la peau claire de tes mollets. Puis, tu entendis un ronflement à tes côtés, le beau brun dormait encore à poing fermés. Tu pouffas de rire nerveusement et silencieusement avant de te redresser et de basculer sur le côté. Appuyée sur ton coude, tu observais Ezio poursuivre sa nuit comme un bébé, mordillant ta lèvre pour t'empêcher de le couvrir de bisous et par conséquent de le réveiller. Mais c'était plus fort que toi, tu décidas de t'approcher de lui afin de déposer un tendre baiser sur sa joue avant d'essayer de t'échapper en catimini. Cependant, alors que tu t'étais assise au bord du lit tout doucement, la main du jeune homme avait tout à coup encerclé ton poignet, te faisant ainsi te retourner pour apercevoir sa moue endormie. " Hé toi. Tu veux dormir encore un peu ? " demandas-tu alors qu'il te tira vers lui, te faisant choir de nouveau sur le matelas. Si tu étais assez speed de nature et ce dès le matin, tu voyais qu'il s'agissait du contraire pour Ezio. Joueuse, tu escaladas l'italien, te retrouvant à cheval sur lui, ce qui n'était peut être pas la meilleure des idées dès le réveil. " Wow, je vais te laisser faire redescendre ton bazar " lâchas-tu en t'avançant sur son bas ventre, le dévorant des yeux dans la pénombre, légèrement excitée par ce que tu avais pu ressentir dans son boxer. Attrapant ensuite son visage entre tes deux mains, tu jouas comme une gosse à déformer ses joues, tentant de calmer tes ardeurs.   
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Louison Chamberlain & Ezio Scorsese

Le yeux clos, Ezio semblait dormir à poing fermés. Il n'a jamais eu de difficulté pour trouver le sommeil, il lui arrivait même de faire des siestes en plein milieu de l'après-midi. C'était sa nature ritale qui voulait cela. La tête délicatement posée sur l'oreiller, il ronflait sans pour autant faire du bruit à en réveiller les voisins ou à en faire trembler les murs. Son rêve le transportait dans un tout autre monde, loin de tout ce qu'il avait l'habitude de vivre au quotidien. Il était bien et paisible. Le bel italien aurait pu dormir ainsi encore des heures si un doux baiser sur sa joue n'était pas venu troubler son sommeil. Ouvrant délicatement les yeux, son regard se posa sur la blondinette qui visiblement avait passé la nuit avec lui. Louison. C'était bien la première fois qu'il ne s'était pas réveillé avec une fille sans avoir baisé la veille, sans avoir profité ou souillé son corps. Cela lui changeait de d'habitude, c'était plutôt agréable en fin de compte. Pensant qu'elle essayait de lui échapper, il vint lui attraper délicatement le poignet pour l'attirer vers lui. « Tu vas où ... viens me dire bonjour. » bredouilla-t-il, l'air encore endormi. Ezio ignorait l'heure qu'il pouvait bien être mais clairement, il s'en fichait. Tout ce qu'il voyait c'était qu'elle ne lui échappe pas. Louison lui demanda s'il voulait encore dormir ou pas. « Humm .. non c'est bon j'suis réveillé maintenant. » avoua-t-il en reprenant petit à petit ses esprits et ses repères. Comme si cette fille lui appartenait, il l'attira vers lui, sans doute dans l'optique de lui faire un petit câlin. Ezio était assez tactile comme gars, il avait besoin de toucher, c'était plus fort que lui. Et là, contre toutes attentes, elle vint se mettre sur lui, encerclant son bassin de ses cuisses. Surpris par la position que la blondinette venait de prendre, il posa machinalement ses mains sur ses cuisses douces et tièdes pour l'empêcher de bouger. Il semblait se réveiller plus rapidement ainsi, ses yeux étaient nettement plus ouverts et son visage rayonner. « Mon bazar ... mon bazar ? » répéta-t-il en rigolant légèrement. Ezio effectua une légère pression sur ses cuisses pour éviter qu'elle ne bouge et qu'elle ne lui échappe. « Tu restes là, on est bien là. » murmura-t-il, un fin rictus sur le bord de ses lèvres. Ce réveil était pour le moins surprenant. Le beau brun la regarda intensément, ne lâchant pas son regard des yeux. Dépassé par son comportement enfantin, il rigola en sentant son visage se déformer sous ses doigts fins. Mais elle avait quel age ? Le réveil inspirait à Ezio autre chose qu'un petit jeu de grimace. Les mains du jeune homme remontèrent doucement sur ses cuisses. Louison jouait à un jeu dangereux là, en avait-elle conscience. « Mais qu'est ce que tu fais Chamberlain ? » lança-t-il, la voix déformée par les grimaces qu'elle lui faisait faire. Il rigola faiblement, maladroitement. Et puis, ayant une patience assez limité, il attrapa ses poignets et la força à arrêter en reculant ses mains. Contractant ses abdos, il se redressa et vint s'asseoir, rapprochant inévitablement leurs deux corps. Ezio leva légèrement la tête pour croiser son regard. L'atmosphère devint alors beaucoup plus lourde, plus pesante. Cette proximité n'allait en rien l'aider à faire descendre son bazar, bien au contraire. Ses mains remontèrent toujours un peu plus sur ses cuisses, venant effleurer ses fesses au dessus de sa nuisette. Il baissa la tête pour admirer sa tenue des plus alléchante. « T'es sexy comme ça ... pourquoi je n'ai pas remarqué hier soir hein, t'avais pas ça en venant te coucher ? » murmura-t-il, le sourire aux lèvres. Ezio releva encore une fois sa tête et, de sa main droite, vint décaler légèrement ses longs cheveux blonds afin de dégager l'accès à son cou. Sans chercher à comprendre plus loin, il approcha délicatement ses lèvres dans sa nuque. Il effleura sa peau nue de sa bouche brûlante d'envie. Son souffle chaud se reflétait dans son cou, rendant ce moment hors du temps, encore plus excitant. N'arrivant pas à retenir son désir plus longtemps, il vint l'embrasser dans son cou. C'était ça dire bonjour pour lui.
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Te lever auprès d’un homme ne t‘était arrivée que de très rares fois. De plus, durant ces "quelques fois", il n’y avait jamais eu de parties de jambes en l’air torride au cours de la nuit. Tu avais en effet toujours repoussé l’échéance, usant de diverses techniques pour préserver ta virginité bénie des Dieux. Vaste blague, tu avais juste peur de te faire baiser et d’être jetée aussitôt alors que ton coeur se serait attaché plus vite que prévu. Un peu comme Ezio le faisait finalement…
De cette manière, en se réveillant à ses côtés, tu étais tout de même heureuse que le brun n’ait pas tenté quoique ce soit en rentrant hier. Néanmoins, une certaine ambivalence avait émergé en toi depuis peu. L’italien avait brisé ta carapace, s’immisçant progressivement dans tes pensées, te dévoilant une image insoupçonnée qui te séduisait fortement, assez pour te laisser aller à découvrir de nouvelles expériences.
Jouant avec le feu lorsqu’il te tira vers lui, tu pris place sur lui, assise sur son bas ventre en ébullition. En sentant son érection sous tes propres parties intimes, tu ne pus t’empêcher de relever l’état de son pénis en le qualifiant au passage de « bazar ». Perturbée par ce contact fort excitant, tu essayas de t’enfuir mais Ezio t’en empêcha, t’immobilisant sur lui en serrant tes cuisses de ses mains bouillantes. « À vos ordres capitaine » répondis-tu en le saluant militairement. Cependant, alors que tu étais toujours tiraillée par cette envie de sexe, tu noyas le poisson en tripotant le visage typé du jeune homme. Ton geste ne manqua pas de faire rire Ezio, mais le brun cessa rapidement tes gamineries en se redressant brusquement tout en t’embarquant contre lui. Sa force et son agilité étaient impressionnantes. En une fraction de seconde, vous vous étiez retrouvés face à face, ton bassin toujours emboité au sien. Ton souffle s’était coupé lorsque ses mains baladeuses s’étaient aventurées sous ta nuisette soyeuse. Un élément que le beau brun n’avait apparemment pas remarqué hier soir. Alors que tu t’apprêtais à lui répondre sur cette petite tenue qui te rendait sexy, Ezio déplaça ta longue chevelure blonde pour atteindre ton cou de sa bouche aguerrie. Attrapant l’arrière de sa nuque de tes deux mains, tu basculas ta tête en arrière, un soupir de plaisir s’étant échappé de tes lèvres. Tes tempes pulsaient comme jamais, ton désir grimpait en flèche et ne demandait qu’à être comblé. Rapprochant toujours plus son visage de ta peau pour qu’il poursuive ce qu’il venait d’entamer, tu rouvris les yeux soudainement, captant son regard obscur avant de foncer sur sa bouche, l’embrassant avec passion, le dominant quelque peu en t’appuyant sur tes genoux cloués au matelas de part et d’autre du brun. Si cette putain de voix n’était pas intervenue à cet instant, tu aurais sans doute retiré ta robe de nuit pour affaiblir les remparts entre vos peaux. Mais ta conscience avait débarqué… Tirant sa lèvre inférieure entre tes dents, tu abandonnas finalement Ezio, le cerveau court-circuité par cet afflux d’hormones qui avait gagné tout ton corps en une fraction de seconde. «  Bonjour Monsieur Scorcese. » chuchotas-tu à quelques millimètres de son oreille, finissant par rouler sur le côté pour retrouver la terre ferme. Marchant énergiquement jusqu’aux volets de la chambre, tu les ouvris un peu plus pour mieux éclairer la pièce, profitant du soleil déjà présent. Quelle heure devait-il être ? Déjà midi ? Faisant marche arrière, tu étais partie fouiller dans ton sac, attrapant une clope et ton briquet. Puis, tu t’étais de nouveau rapprochée d’une des fenêtres, t’avançant sur le balcon pour allumer ta clope. Seule, tu profitais de la vue mais tu te remettais surtout de tes émotions, un sourire mielleux entre deux taffes. T'appuyant sur le garde corps en fer forgé, tu cherchas le brun au loin pour s'adresser à lui « Y a des trucs de prévu aujourd'hui ou on improvise ? » l'interrogeas-tu en expulsant la fumée de tes poumons. Alors que tu tentais de préserver une certaine assurance en contrôlant l'intonation de ta voix, à l'intérieur, c'était un vrai capharnaüm.    
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