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dolcemente, teneramente (ezion)

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Louison Chamberlain & Ezio Scorsese

Ezio rigolait d'avance de sa petite blague de merde. C'était puéril et complètement nul mais ça semblait l'amuser énormément. Le pire dans tout ça, c'est qu'il avait mit du temps à la faire. Muni de sa petite pancarte avec inscrit Chamberlain ainsi qu'une vieille photo horrible d'elle, il était prêt à l'accueillir. Certaines personnes à côté de lui avaient vus l'affiche et l'un d'entre avait rigolé. Forcément, il y avait de quoi rire, le bel italien avait choisi la pire photo qu'il soit. Il avait fouillé partout pour la trouver et finalement, il l'avait déniché sur un compte instagram d'un vieille ami à Louison. Non pas peu fier de sa trouvaille, il l'avait imprimé en grand et collé maladroitement sur un bout de carton. C'était son oeuvre, du grand art, à la Scorsese. Bon, une chose était sure, il n'avait certainement pas hérité des talents de dessinatrice de sa mère, c'était plus que vérifié à présent. En réalité, Ezio était content d'être là. Voilà deux jours qu'il avait posé ses valises à Rome dans l'une des suites d'hôtel où il avait l'habitude de séjourné. Il avait revu son grand-père ainsi que deux de ses cousines. Il était sur son territoire là, comme un poisson dans l'eau. L'avion de la petite Louison venait d'atterrir, elle n'allait pas tarder à débarquer et, aussi impensable que cela puisse paraître, il semblait impatient, il appréhendait. La force tranquille n'était plus si tranquille à présent. Heureusement pour lui, la petite tête blonde ne tarda pas à se pointer et, comme un gosse de huit ans, il vint brandir sa pancarte, mort de rire. Huit ans, j'ai peut-être été généreuse là. Six ans et demi semblerait plus approprié à la situation.

@Louison Chamberlain
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Le Laos n'était plus qu'un vague souvenir derrière toi. L'Italie allait désormais t'accueillir, ce pays si fascinant qui abritait la religion catholique depuis des siècles, cette même religion que tu comptais un jour réduire à néant à travers une thèse bien salée. Pour l'heure, tu ne te rendais pas dans cette nation pour parfaire tes recherches, tu t'y rendais pour passer quelques jours en compagnie d'un ami qui te tenait particulièrement à coeur, Ezio. Votre dernier jour passé ensemble au Laos avait été intriguant mais trop court, puisque le lendemain, le beau brun s'était évaporé, disparaissant pour Boston sans grandement te prévenir. Tu ne lui en avais cependant pas voulu, connaissant désormais son histoire d'amour tumultueuse avec Anja, tu avais tout de suite entendu les raisons de son départ, le soutenant comme tu le pouvais à distance. Mais, lorsqu'il t'avait proposé de le rejoindre pour une escapade dans son pays natal afin de participer à la première d'un film de son célébrissime grand-père, tu avais sauté sur l'occasion. Résultat des courses, tu avais raccourci ton Summer Camp de quelques jours pour le rencontrer ici, en Italie.
Débarquant de l'avion avec une tronche de zombie pas frais, tu avais récupéré tes bagages avec nonchalance, retrouvant à présent l'entrée de l'aéroport à la recherche d'Ezio. Tout à coup, alors que tu déambulais fébrilement armée d'imposantes lunettes de soleil, une photo de toi collée sur une pancarte accompagnée de ton nom te stoppa net dans ta marche désorganisée. Baissant le regard vers le type qui tenait cet écriteau, tu aperçus Ezio avec un sourire tout fier ce qui avait déjà réussi à te révulser. Fonçant droit vers lui comme un taureau en direction de l'étendard rouge sang, tu sautillas une fois arrivée à sa hauteur pour t'emparer de sa blague foireuse. " J'ai même pas le temps d'arriver que tu me provoques, j'espère que tous les ritals ne sont pas toi, sinon bonjour l'accueil " envoyas-tu entre tes dents serrées tout en flanquant un coup de carton sur le bras musclé du brun. " Bon, étant donné le temps que tu passes à la salle de muscu ce ne sont pas deux valises qui vont t'effrayer n'est-ce pas ? Allez, porte moi ça " ordonnas-tu en amenant tes deux bagages à roulette entre vous. " Je t'ai manqué hein ? " complétas-tu en lui dévoilant ton large sourire email diamant tout en lui lançant un clin d'oeil taquin. Aucun geste d'affection n'avait scellé vos retrouvailles, en réalité, tu avais l'impression de ne l'avoir jamais vraiment quitté, merci les réseaux sociaux. Pourtant, au fond de toi, tu n'aurais pas été contre une simple accolade, seulement Louison Chamberlain était incompréhensible, brut de décoffrage et surtout prudente avec ce loup qui avait pendant quelques secondes réussit à te séduire à l'autre bout du monde.
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Louison Chamberlain & Ezio Scorsese

Sa pancarte était horrible et le pire c'est qu'il avait mit du temps à la faire. Il lui avait fallut une bonne heure sur les réseaux sociaux, à parcourir en long et en large la vie de la jeune fille, dans l'espoir de tomber sur la pire photo qu'il soit. Il l'avait trouvé. Ce genre de dossier que les vieux amis savaient ressortir le jour du mariage pour bien mettre tout le monde mal à l'aise et faire rire. Il l'avait, la photo du siècle. Non pas peu fier de sa connerie, Ezio vint brandir son bout de carton lorsqu'il la vit s'approcher de lui. Le sourire jusqu'aux oreilles et les yeux remplis de malice, c'était bon de le voir aussi libre. L'Italie lui donnait des ailes, il se sentait comme à la maison, comme à l'époque. Lorsque son regard croisa brièvement celui de Louison à travers ses lunettes de soleil, il se mit à rire. La situation était comique, vraiment. « Ça t'apprendra à sortir de l'avion comme une diva. » répondit-il du tact au tact, un large sourire sur ses lèvres. C'était vraiment bon de la retrouver même s'il ne l'avouera sans doute jamais. « Heureusement que je suis là quand même, si tu continues à traiter l'italien de rital, tu ne vas pas faire long feu ici. Je ne donne pas cher de tes petites fesses. » répliqua-t-il, tout en légèreté. A peine arrivée, Louison faisait déjà sa princesse, le petit séjour s'annonçait pour le moins turbulent. Sans crier gare, elle vint placer ses bagages entre eux et ne manqua de le frapper sur le bras. Surpris par son initiative, le bel italien fit semblant d'avoir mal. « Aïeuh » râla-t-il avant de rigoler. Bon, admettons le, Louison avait une vraie de force de mouche mais c'était tellement mignon. « Laisse moi deviner, t'as prit toute ton armoire dans ces deux valises là ? Deux ? Bordel eh, t'es au courant qu'on est là pour une petite semaine et qu'après c'est la reprise des cours ? Je t'ai juste invité pour une avant-première, pas d'emménager chez moi. » s'amusa-t-il à répondre. Finalement, il prit les valises qui n'étaient pas si lourdes que ça. Louison commença à marcher en direction de la sortie et, sans chercher à comprendre quoique ce soit, il la suivit. Elle lui demanda si elle lui avait manqué. Ezio la regarda du coin de l'oeil, amusé par sa remarque. « Ouais tu m'as manqué. J'pensais que t'allais me sauter dans les bras mais non. J'suis déçu. Bon, en même temps s'il n'y avait pas eu la pancarte, j'aurais surement eut un meilleur accueil. » répondit-il tout simplement. De toute façon, cela ne servait à rien de mentir. Louison ne devait pas s'attendre à une telle réponse mais qu'importe. Ils passèrent devant une poubelle et, maladroitement, il vint y déposer sa pancarte en guise de bonne foi. Ils sortirent de l'aéroport. Ezio se dirigea vers un énorme Range Rover qu'il avait fait rapporter de Toscane juste pour la semaine. C'était son gros bébé, son seul plaisir à quatre roues. Ouais, à Harvard, il était piéton. Il ouvrit le coffre et y fourra les valises avant de le refermer. « Ce soir on va manger dans un petit restaurant au calme mais en attendant une petite visite de la ville en voiture ça te dit ? Ou tu préfères rentrer à l'hôtel pour te reposer un peu ? T'as fait un long voyage, tu dois être fatiguée. » lui demanda-t-il calmement. Ezio était aux petits soins pour son invité, c'était rare qu'il s'investisse autant.
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Tu pouffas de rire face à son excuse à la hauteur de cette pancarte pourrie. Où avait-il trouvé cette photo archive ? Il avait vraiment un grain ce gars, il pouvait se faire chier des heures pour te foutre en rogne. Un peu comme toi finalement... Il t'arrivait souvent de te griller les rétines toute une nuit sur ton ordinateur afin de trouver une preuve pour l'humilier. Un jour tu te ferais probablement soigner. " Hé, je suis sûre que vous avez aussi vos petits mots pour  nous les français " répondis-tu en fronçant tes sourcils, fière de tes racines. " Mais je veux bien que tu surveilles mes petites fesses " rajoutas-tu en soulevant tes lunettes pour les percher sur ton crâne. Puis, tu n'avais pas pu résister à l'idée de fouetter ton hôte avec son maudit écriteau, lui signalant au passage qu'il devait désormais se coltiner tes bagages. Ezio ne tarda pas à te vanner sur le volume de tes valises ce qui ne manqua pas de te faire réagir. " Non mais t'en fais pas, je viens pas crécher chez toi éternellement, je creuserais ma tombe sinon. Je t'avertis juste que je rentre pratiquement de deux mois de vacances au Laos et que je ne souhaitais pas y retourner ensuite pour récupérer la moitié de mes affaires. Après notre petit voyage, je rentre à Boston coco. " expliquas-tu nerveusement, légèrement irritée à cause de ses longues heures de voyage. Reprenant par la suite la parole pour tempérer ton courroux latent, tu avais provoqué Ezio sur le manque qu'il aurait pu potentiellement ressentir sans toi. Tu t'attendais déjà à ce qu'il nie une quelconque carence à ton égard mais il ne le fit pas au contraire. Ton visage s'illumina face à sa confidence et un rire démoniaque résonna alors dans ta petite tête. " T'as tout compris Scorsese, tu peux être logique parfois tu vois " répliquas-tu par rapport à son accueil douteux qui ne lui avait pas valu de geste d'affection. Vous vous étiez ensuite dirigés vers l'extérieur de l'aéroport. Tu suivais de près le brun qui savait pertinemment où il allait, pour toi, c'était l'aventure. Retrouvant tes lunettes de soleil pour filtrer la lumière foudroyante de l'astre qui brillait au dessus de vous, tu avais par la suite découvert l'énorme véhicule dans lequel Ezio avait fourré tes bagages. Soudain, en grimpant dans sa Range Rover, tu te rendis compte que tu n'étais plus avec n'importe qui. Bordel Louison, tu fréquentais le petit fils d'un mec mondialement connu ! Tu n'en revenais toujours pas, pourtant cela faisait plus d'un an que tu le connaissais mais tu l'avais toujours traité comme un gars lambda.
Lorsqu'Ezio s'était glissé derrière le volant, t'expliquant ce qu'il avait prévu, tu étais restée un instant totalement muette, ne savant pas très bien où tu mettais les pieds. " Fais moi visiter ta ville, je dormirais à Harvard... Pour l'instant, je veux profiter à fond " confias-tu en retrouvant ton assurance habituelle, tapant sur la cuisse du brun pour qu'il prenne la route. Faisant gronder le moteur, l'italien exécuta tes volontés et prit la route. C'était bien la première fois que tu te laissais embarquer sans rien contrôler, ce qui provoquait momentanément une certaine tension en toi. Depuis toujours, tu avais tenu les rênes de ta vie, cependant, aujourd'hui tu avais décidé de t'abandonner à autrui et plus particulièrement à Ezio. " Tu vas mieux depuis ton départ du Laos ? Je ne veux pas te parler d'Anja tout au long de notre virée... Mais je préfère que tu me fasses un topo net et précis d'entrée comme ça on en parle plus et ainsi je saurais où ne pas m'aventurer " déballas-tu en regardant tantôt par le pare-brise, tantôt par la fenêtre. Rome était toujours aussi belle, tes souvenirs recouvrirent d'ailleurs la réalité qui s'offrait à toi, te rendant quelque peu nostalgique.   
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Louison Chamberlain & Ezio Scorsese

Le retour de la blondinette n'allait pas passer inaperçu et pour cause, la pancarte immonde d'Ezio y était pour quelque chose. Elle avait réussit à faire rire ses voisins mais absolument pas Louison qui semblait dépitée face à une telle attaque, un tel affront. Amusé par sa connerie, il ne manqua pas de pousser la provocation un peu plus loin. C'était ainsi entre eux, ils ne pouvaient pas se saluer comme tout le monde, comme le faisaient les gens normaux, c'était impossible. « Bah écoute non, un français c'est un français, je ne peux pas te dire mieux. Ah si ... exacte. On dit que les françaises sont jolies et qu'elles embrassent bien. » dit-il en lui lançant un petit regard complice, amusé. Finalement, elle enleva ses lunettes de soleil et lui avoua lui donner ses fesses à surveiller. Un large sourire vint orner son visage illuminé par des idées perverses traversant son esprit. « T'inquiètes, elles sont entre de bonnes mains avec moi. » Tout n'était que provocation entre eux, c'était délectable de trouver quelqu'un d'aussi taré que lui. Louison avait un sacré répondant que cela en était presque excitant. Ezio aimait les femmes avec du caractère, il était servit avec elle. Entre l'attirance et la haine, il n'y a qu'un pas. Ce dicton était plus que justifié entre eux puisqu'ils jouaient au chat et à la souris depuis le début, c'était à celui qui ferait le plus mal avec sa provocation. « Ouais c'est pas faux, j'avais pas pensé à ça. J'ai l'impression d'être parti du Laos depuis des lustres. T'inquiète, je rentre avec toi sur Boston ma cocotte. » Finalement, le jeune homme prit les valises de Louison et les fit rouler jusqu'à l'extérieur de l'aéroport. Il se dirigea vers sa voiture et chargea les bagages à intérieur du coffre. Ezio affectionnait particulièrement cette voiture, il avait de la gueule avec. Il n'était pas matérialiste du tout mais avait une faiblesse pour cette bagnole qu'il laissait en Italie pour les rares fois où il rentrait au pays. C'était son gros bébé. Une fois les valises dans le bolide, il fit le tour et s'installa au poste de conduite. Naturellement, il proposa à la belle blonde d'aller faire un rapide tour de la ville avant d'aller s'installer à l'hôtel. Il n'était pas spécialement affectueux mais là, cela venait spontanément. Louison pouvait s'estimer heureuse d'avoir des attentions de sa part. En règle générale, il se foutait de ce que pouvait ressentir les autres. « J'aime entendre ça. » Elle voulait profiter de son périple. En voilà une réponse qui lui plaisait, c'était ce qu'il voulait entendre. Au moins, les deux étudiants étaient sur la même longueur d'onde. Sans attendre plus longtemps, il mit les clés et fit ronronner sa voiture, pour enfin démarrer. Même s'il était originaire de Florence, Ezio connaissait Rome comme sa poche, c'était son repère, son quartier général. Il connaissait les moindres recoins et savait où aller pour s'amuser et profiter de l'ambiance caliente de l'Italie. La route, il la faisait presque les yeux fermés mais la remarque de Louison le sortit de ses pensées. Elle était franche cette fille et ne passait pas par quatre chemins. C'était appréciable quelqu'un qui communiquait. Le beau brun tourna sa tête vers elle , vint lui sourire faiblement avant de reporter son attention sur la route. « T'es directe toi, tu n'as pas de temps à perdre. » Ezio rigola légèrement avant de retrouver un semblant de sérieux et de reprendre la parole. « Ok, je vais mettre carte sur table avec toi Chamberlain. Depuis que j'ai quitté le Laos, je vais beaucoup mieux. J'ai retrouvé des potes à Boston et après j'ai parcouru un peu l'Italie pour me ressourcer, j'ai passé beaucoup de temps avec ma famille. Après voilà, avant de partir, il fallait que je mette les choses au clair avec Anja. Je suis donc allé lui parler pour lui expliquer les raisons de mon départ. A ma grande surprise, ça s'est plutôt bien passé, elle a comprit mais je l'ai trouvé sur la réserve, sur la défensive.  C'est compréhensible ... enfin je crois. Bref, ça m'a conforté dans mon envie de me barrer de là au plus vite. J'sais même pas si elle fait encore la gueule ou pas, je m'en fou un peu à vrai dire. Je suis genre loin des yeux, loin du coeur. A me repousser comme elle l'a fait, j'me suis juste lassé d'elle et de cette situation de merde. Je lui envoyé un snap au début du mois, elle ne m'a jamais répondu, ça veut dire ce que ça veut dire. Je passe à autre chose. » Ezio s'arrêta de parler et vint déglutir silencieusement. Avant que la blondinette ne puisse dire quelque chose, il reprit la parole, sans quitter la route des yeux. « En fait si j'ai pas trop pensé à Anja c'est parce que je pensais à toi Louison. » avoua-t-il sans crier gare. Il n'a jamais été très diplomate comme gars, il avait ce don pour dire les choses telles qu'il les ressentait à l'instant t. Le moins que l'on puisse dire c'est qu'il faisait preuve de franchise envers la petite frenchie. Elle ne le laissait pas indifférent et, en bon parleur qu'il faisait, il comptait bien lui faire savoir.
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Tu étais bien consciente du caractère éphémère de la vie. À tout moment, tu pouvais crever, ne serait qu'en avalant un noyau de cerise où en te faisant poignarder par un déséquilibré en pleine rue... Depuis que tu avais saisi cette fragilité de la vie, tu avais décidé de la vivre à cent pour cent, quitte à jouer dangereusement avec les limites de ton corps. Ainsi, au lieu de te reposer comme il l'aurait été plus raisonnable, tu avais décidé de poursuivre ton voyage dès maintenant en compagnie d'Ezio.
Sur la route, alors que tu zieutais de temps à autre le poignet plus que virile de ton guide, tu avais d'emblée décidé d'aborder un sujet épineux pour t'en débarrasser, à savoir Anja. Tu ignorais ce qu'il s'était passé entre eux depuis la dernière fois que tu l'avais vu mais tu suspectais fortement que cela ait mal tourné étant donné le départ précipité de ton ami. Fixant les paysages changeants au fur et à mesure des kilomètres avalés par la voiture, tu écoutais le récit d'Ezio avec attention, esquissant un tendre sourire lorsqu'il te faisait parvenir son mieux être depuis quelques jours. Néanmoins, ton visage se referma lorsqu'il aborda le cas de sa très chère blonde Anja. Apparemment, leur histoire était au point mort et l'italien en ayant marre de cette situation stagnante avait préféré tourner la page. Pourtant, tu avais ressenti dans sa façon d'aborder leur relation une certaine pointe de frustration qui présageait probablement un goût d'inachevé. Alors, avait-il vraiment l'intention de l'oublier ou était-ce une simple mise à distance ? T'apprêtant à y répondre de cette manière, Ezio court-circuita tes interrogations pour faire une révélation quelque peu fracassante à ton sujet. C'était une blague ? Restant la bouche entrouverte quelques secondes, tu finis par briser le silence en éclatant bruyamment de rire dans l'habitacle climatisé. Ce rire nerveux venait masquer ton incompréhension et cette phrase bien ambiguë que venait de prononcer le brun " Moi, Louison Chamberlain j'aurais occupé tes pensées ? Bien joué Scorsese, tu as PRESQUE failli m'avoir. " répondis-tu en jetant ta main gauche sur ton coeur pour jouer à l'outrée de service. " J'ai un gros problème avec toi tu sais. " confias-tu en redevenant sérieuse et en joignant tes mains entre tes cuisses.  Et alors que tu t'apprêtais à compléter tes propos, un malade grilla un stop pour se faufiler devant vous avec un luxueux coupé sport." Regarde bien la route oh, ils sont excitées ou quoi ici " crias-tu tout en tapant ton pied devant toi pour freiner imaginairement. Effrayée et en colère tu tendis vulgairement ton doigt d'honneur vers la bagnole en rouspétant.
Puis, lorsque le danger s'était légèrement éloigné, tu repris ton discours abandonné un peu plus tôt à cause du chauffard " Je... je ne sais jamais quand tu es sincère avec moi ou non. Mais je ne te jette pas la pierre, parce que moi aussi je suis bien louche. Je voudrais juste savoir si je suis une vraie amie pour toi, si tu m'aimes bien quoi ou si on est plutôt du genre bon pote tu vois " demandas-tu avec désinvolture, essayant tant bien que mal de te montrer imperturbable quelque soit la réponse du jeune homme. Cependant, dire que cela ne te ferait rien qu'il ne t'ait pas plus considéré que cela te blesserait probablement. Tout le monde aime ou déteste Louison Chamberlain, on y est pas indifférent, un point c'est tout.
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Louison Chamberlain & Ezio Scorsese

Les yeux rivés sur la route, Ezio était autant concentré sur la route que la conversation devenue tout à coup, très intéressante. La bombe était lancée, il ne pouvait plus faire demi-tour. Il avait ce don pour dire tout ce qui lui passait par la tête, sans prendre la peine de réfléchir. Arborant son calme légendaire, le beau brun savait que sa remarque n'allait pas passée inaperçue. Il ignorait encore comment Louison allait le prendre, bien, mal ou même à la rigolade. Un fin sourire ornait ses lèvres en attendant sa réaction, sa réponse. En soit, cet aveux n'était pas un mensonge puisqu'il n'était pas un menteur. Il préférait de loin une vérité blessante à un mensonge délivrant. Alors il n'hésita pas une seule seconde à avouer qu'il avait pensé à elle. Ce n'était pas faux. Le bel italien lui avait envoyé des messages tout le mois d'août, bien souvent de sa propre initiative, il avait même commenté et stalké son profil instagram. Dans la logique des choses, ils se devait de lui dire. Louison ne semblait pas réagir de suite, il lui fallut quelques secondes avant d'exploser de rire. Machinalement, le sourire d'Ezio vint s'intensifier et il rigola légèrement avec elle, non pas peu fier d'avoir provoqué ce bug chez elle. Il tourna sa tête vers elle et lui lança un regard complice avant de reporter son attention sur la route. Laissant planer le doute autour de cet aveux, il était finalement content de sa réaction. Mais ce réjouissement fut de courte durée. Louison prit un air beaucoup plus sérieux et une tournure de phrase plus énigmatique. Elle avait un problème avec lui. Ezio ne comprenait pas vraiment où elle voulait en venir et inconsciemment, il prenait plus parti pour cette conversation plutôt que sur la route. Donc forcément, lorsqu'il débile déboula de la gauche, il dû piler net pour ne pas lui rentrer dans le cul. Une petite montée d'adrénaline l'obligea à freiner de toutes ses forces, lui qui était un peu lent à la détente. Sa bouche vint s'entrouvrir et son sourire disparaître. Il allait râler mais la blondinette le devança en faisant un fuck vulgaire à la voiture devant eux. Ezio ne pouvait s'empêcher d'être amusé par sa réaction. « Chez moi on dit figlio di buona donna, ça veut dire fils de pute quoi. » répondit-il en rigolant, distrait et non concerné par ce qu'il venait de se passer. Ezio n'avait pas le sang chaud et ne s'énervait pas facilement. Dans le passé, il avait du se mettre en colère trois fois dans sa vie et l'une contre Anja. Bref. Laissant le soin à Louison de reprendre le court de la conversation, le jeune homme la laissa prendre la parole pour lui expliquer en quoi consistait son problème. Elle ne savait pas quand il était sincère ou non. C'était prévisible, tellement prévisible. Rassuré que le problème ne porte que sur ça, son fin sourire malicieux revint sur ses lèvres. S'en suivit une question intrigante, à laquelle il n'avait pas forcément de réponse. Néanmoins, l'occasion était trop bonne pour lui prouver qu'elle l'intéressait. Il se devait de saisir cette chance infime. Ezio ne répondit pas de suite et attendit quelques secondes d'être arrêté à un feu rouge pour, enfin, tourner la tête vers elle. Délicatement, il attrapa la branche de ses lunettes de soleil et vint lui enlever pour les poser sur le tableau de bord devant lui. Il trouvait légèrement impoli de discuter de choses sérieuses alors qu'elle se cachait derrière des verres tintés. Il voulait voir sa réaction, il voulait déceler le positif et le négatif de ce qu'il allait dire. « Une chose est sure Louison, c'est que tu n'es pas mon amie.  Je ne sais pas ce que tu es, j'ai du mal à te cerner et je crois qu'inconsciemment, c'est ça qui m'attire chez toi. Une amie ce n'est pas ça, je n'éprouve aucune attirance pour mes amies, c'est clair. Avec toi c'est différent. Je ... Ouais en fait je me suis rendu compte que je ne connaissais rien de toi mais le peu que je connais ça me plait. J'suis pas en train de te faire un vieux plan drague t'inquiète. » Le feu passa au vert mais Ezio ne le remarqua même pas et se mit à rigoler faiblement avant de reprendre. « Je me doute que tu ne saches pas quand je suis sérieux ou quand je déconne, je fais toujours cet effet-là. J'sais pas, je dois avoir la tête du parfait connard ou du baratineur mais sache une chose Louison, je ne suis pas un menteur, tout ce que je le dis je le pense. Et ouais ... J'ai pensé à toi durant le mois d'août, plus que je ne l'aurais pensé. » La voiture derrière s'excita sur le klaxon pour qu'il avance. Revenant à lui, Ezio quitta les beaux yeux de la blondinette pour les poser sur le feu et démarrer, le plus calmement du monde. Il ne laissa pas de malaise s'installer et continua dans sa lancée, histoire de voir s'ils étaient sur la même longueur d'onde ou pas du tout. « Après voilà, je suis peut-être tout seul dans mon délire, tu me prends peut-être pour un gros lourd, un queutard sans le moindre avenir, ce que je pourrais comprendre. » Petit regard malicieux et il se mit à éclater de rire.
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Une fois le chauffard inconscient loin de vous, Ezio t'avait appris une formule vulgaire made in italy qui avait réussit à te faire sourire alors que tu étais totalement sérieuse dix secondes auparavant. Le brun savait y faire, il te laissait mariner dans ton jus alors que tu lui demandais posément quelle étiquette il avait pu te fourguer. Ayant désormais ouvert le sujet de votre relation ambiguë, Ezio se faisait attendre, se montrant particulièrement obnubilé par la route déserte. Ralentissant ensuite à l'approche d'un feu rouge, le bel âtre se tourna vers toi, retirant tes lunettes de soleil qui te permettaient jusque là de camoufler une partie de tes réactions, le vicieux ! Avalant péniblement ta salive lorsqu'il prit la parole, ton coeur ne cessait de se cogner à ta poitrine dans un vacarme assourdissant. Tandis que le feu était passé au vert, Ezio n'embraya pas pour avancer, non, il poursuivit de manière plutôt décontracté ses explications, se fichant totalement du monde qui vous entourait. Un conducteur probablement pressé à l'arrière se mit alors à klaxonner et sans le moindre stress apparent, l'italien reprit la route. Si lui paraissait intacte après ses révélations, pour toi, c'était quasiment un tremblement de terre qui venait de se produire. Putain, c'était normal ou non d'avoir des espèces de palpitations dans ton bas ventre et une envie immédiate de bouffer ses lèvres ? Connaissant les nombreuses conquêtes express d'Ezio, une certaine méfiance demeura présente, et si tu étais simplement devenue une nouvelle proie ? Il n'avait peut être plus rien à se mettre sous la dent ? Recouvrant son rire après sa dernière tirade, ton sourire disparu rapidement car cette histoire t'avait, mine de rien, bouleversé. " J'ai envie de connaître le vrai Ezio, de voir ce qui se cache réellement derrière cette tête de parfait connard tu sais... " lanças-tu en insistant sur les derniers mots avec un regard mutin. Soudain, le splendide Colisée s'imposa à vous, le monument captiva ton attention quelques secondes, te laissant une nouvelle fois admiratrice comme tu l'avais été enfant. " Ne me fait pas regretter ce que je vais te dire... Je partage ton délire, de ce fait, nous sommes officiellement deux fous. " confias-tu en enfonçant une de tes canines dans ta lèvre inférieure, totalement dépassée par la situation. " Sinon tu comptes accoster quelque part ou vider ton plein ? Je meurs de soif et j'ai été trop longtemps assise, faut que je bouge ! Déposons mes affaires à l'hôtel et allons faire un tour à pieds non ? " proposas-tu en glissant timidement ton regard sur le corps parfaitement taillé de ton ami. Faire comme si rien ne s'était passé était une tactique comme une autre. Cependant, rien n'était oublié, au contraire. Les mots prononcés par le brun ne cessaient de rebondir dans ton crâne, revenant sans cesse en boucle comme une chanson qui vous hante des jours et des jours.      
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Louison Chamberlain & Ezio Scorsese

Le moins que l'on puisse dire c'est que cette petite escapade à l'italienne commençait plutôt fort. Louison n'était là que depuis une demi heure et déjà, il lui avait avoué qu'elle lui plaisait. Voilà des semaines qu'il avait quitté le Summer Camp et que, quelque part, cette idée lui traversait l'esprit, en long en large et en travers. Alors, n'écoutant que les conseils de Maxime, son meilleur ami, il se focalisait uniquement sur la petite frenchie en oubliant tout le reste. Lui aussi voulait tenter le rapprochement qui amènerait peut-être à un couple, foireux ou pas. Il voulait sa propre expérience car le moins que l'on puisse dire c'est qu'Ezio n'avait pas l'habitude de se caser. Les rares fois où il l'avait fait, c'était uniquement dans le but de profiter d'une fille et d'une ville dans laquelle se poser durant son tour du monde. Il n'était pas correct avec les femmes mais savait que c'était uniquement parce qu'il n'avait pas trouver la bonne. Là, il voulait arrêter ses conneries et quelque part, un petit manque d'affection se faisait ressentir. Il voulait connaître la douceur d'une femme, de se réveiller à ses côtés tous les matins et pourquoi pas l'amour. Un mot qui ne signifiait pas grand chose pour lui. Alors forcément, quand le beau brun lui expliquait en quoi, Louison lui plaisait, il ne se rendait pas forcément compte de l'impact de ses mots sur elle. Il avait repris sa route dans le plus grand des calmes, attendant qu'une seule chose, sa réaction. Et là, à sa grande surprise, la blondinette alla dans son sens et lui assura vouloir connaître le Ezio qui se cachait derrière le connard. « Ouais, moi aussi. » répondit-il sur la même intensité. Il ne savait pas trop dans quoi il s'embarquait mais une chose était sure, elle lui plaisait et pas comme une vulgaire conquête d'un soir. Il s'attendait à ce qu'elle continue dans sa lancée mais au lieu de ça, Louison regarda le Colisée d'un air émerveillé. Ses yeux se posèrent sur son visage presque enfantin et, inconsciemment, il afficha un sourire conquis. C'était ses racines et que cela lui plaise, le rendait plutôt fier. Finalement, elle lui avoua dans le même délire que lui. Cela ne voulait-il pas dire qu'il lui plaisait également ? Ezio reporta son attention sur la route et serra sa mâchoire pour cacher une quelconque expression de joie. Il ne voulait pas tout gâcher alors il resta silencieux et lorsqu'elle changea de sujet, il respecta son choix et changea de route. « A vos ordres madame. » dit-il en insistant sur le dernier mot qu'il venait de prononcer avec un accent français respirant le machisme de l'italien. « L'hôtel n'est pas loin d'ici, on va se balader à pieds si tu préfères, on peut même aller se boire un verre, ils ont autre chose que de la vodka ici. » Bon ok, les italiens n'étaient pas réputés pour leur alcool ou pour leur vins mais avec des pastas ou une bonne pizza, ça passait tout seul.


[...]

Ezio n'était pas un grand dépensier ou un matérialiste mais lorsqu'il était dans son pays, il se faisait toujours plaisir. Aussi, il n'hésita pas une seule seconde à réserver une chambre d'hôtel dans le plus bel hôtel, en plein centre ville. Les murs de la salle de bain étaient transparents et dire qu'il ne le savait pas était un euphémisme. Il était parfaitement au courant et cela l'amusait d'avance. Au pire, il y avait un grand balcon, il ira se fumer une clope pendant que Louison prendra sa douche. Enfin bref. Ce n'était que des détails. Une fois les valises montés par les employés de l'hôtel, il laissa le soin à la blondinette de découvrir les lieux. Il ne fit aucune remarque sur la salle de bain, se doutant bien qu'elle le ferait pour lui à un moment où un autre. Lorsque les valises furent maladroitement déposées dans l'immense dressing, il revint vers elle avec un large sourire. « On y va ? » demanda-t-il, pressé de lui faire découvrir les lieux mais surtout ce qu'il avait prévu pour ce soir.
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C'était un calvaire émotionnel. Tu étais emprisonnée dans son auto, enivrée par son parfum et ses sourires ravageurs. Néanmoins, tu n'avais pas l'intention de devenir mielleuse pour autant. Alors que vous veniez en quelque sorte d'avouer votre attirance ténébreuse l'un pour l'autre, tu avais radicalement changé de sujet, mettant un terme à cette ambiance particulièrement lourde. Le brun accepta le plan que tu lui avais proposé, te dédicaçant un "madame" à la française avec son accent d'italien bien chantant. Quel dragueur, tu comprenais à présent le nombre de femmes qui avait pu céder à ses avances. Secouant rapidement la tête lorsqu'il te proposa d'aller boire un verre, tu ne t'attendais sûrement pas à découvrir son piège dans VOTRE chambre d'hôtel.

En effet, en pénétrant rapidement dans la chambre que le brun avait loué pour vous deux, tu ne pus t'empêcher de remarquer immédiatement la salle de bain aux parois transparentes. La suite était gigantesque, luxueuse, appelant fortement à consommer les plaisirs les plus primitifs. Séduite, tu t'étais laissée portée par les lieux, t'imaginant quelques scénarios bien brûlants avec l'autre chaud lapin. Puis, retournant vers l'italien au sourire machiavélique, tu ne pus t'empêcher de tordre ta bouche et de froncer les sourcils. " On y va sale pervers ! T'es vraiment pressé de me voir à poil on dirait " soulevas-tu en pointant du doigt la salle de bain apparente. " Bon, je te suis, tu es mon guide ici mon chou " lui signalas tu en enroulant ton bras autour du sien, prête à profiter de cette ville riche en culture et à la gastronomie alléchante. Une fois dans le couloir, tu te mis à cogiter sur la suite des événements et plus particulièrement de tout ce séjour... En y repensant, tu étais loin de prévoir, il y a quelques heures de cela, que vous vous retrouveriez à vouloir vous découvrir sous un autre angle. C'était complètement dingue. En plus de cela, ta petite voix intérieure n'arrêtait pas de te marteler de te barrer alors que ton coeur te poussait bien au contraire à te jeter sur lui. Un dilemme bien emmerdant qui avait pourtant rapidement cessé. Ton coeur avait finalement remporté la partie, tu allais bien laissé une chance à cet énergumène, espérant fortement qu'il ne merde pas. " Tu m'emmènes où ce soir au fait ? " demandas-tu bien curieuse en rejoignant l'ascenceur. Avec lui, tu pouvais t'attendre à tout, même à fréquenter un club échangiste pour te foutre mal à l'aise.  

#jenesaispasoùallerjetelaissegérer
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