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dolcemente, teneramente (ezion)

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Louison Chamberlain & Ezio Scorsese

Autant être honnête tout de suite, Ezio avait réservé cette chambre depuis des semaines, histoire d'avoir de la disponibilité mais également pour être certain d'avoir celle-ci. Il la voulait, quoi qu'il advienne, c'était elle ou rien du tout. Il était largement au courant pour les murs de la salle de bain et cette idée l'amusait d'avance. Comme un gosse cherchant à attirer l'attention sur lui, il se tourna vers Louison, en attendant sa réaction, sa remarque désobligeante. Cette dernière ne se fit pas attendre puisqu'elle pointa du doigt les baies vitrées et lança un commentaire dont elle seule avait le secret. « Moi pervers ? Tu te goures d'individu Chamberlain. Allez avoues qu'elle a de la gueule la salle de bain, elle me vend du rêve perso. » répondit-il en esquivant sa question. Bien sur qu'il était pressé de la voir toute nue mais bizarrement, il ne voulait pas se précipiter. Pour la première fois de sa vie, il voulait prendre son temps pour essayer de faire les choses bien, ne voulant certainement pas la brusquer. « Suis bien le guide, ça serait dommage que tu te perdes avec tout ces italiens là. » lança-t-il en la taquinant légèrement. C'était tellement naturel entre eux, ils se devaient de se provoquer. Les deux étudiants quittèrent la chambre, pour ensuite quitter l'hôtel. Ezio avait hâte de lui faire découvrir son pays. Une fois dans le couloir, ils vinrent rejoindre l'ascenseur et, en bonne curieuse, Louison lui demanda où il comptait l'emmener. « Tu verras. » se contenta de répondre, histoire de laisser un peu de suspense.

[...]

Le bras de Louison toujours enlacé contre le sien, elle ne semblait pas vouloir le lâcher et clairement, ce n'était pas Ezio que ça allait déranger. Bien au contraire, il était du genre tactile comme mec. L'avion de la blondinette était arrivé assez tard, le jour commençait à tomber lentement sur Rome, offrant aux deux amants une ambiance appréciable et légèrement romantique. Le temps semblait aller au ralenti dans cette ville. Après une bon quart d'heure de marche, ils arrivèrent à destination. Ezio venait souvent là avec son grand-père car ce lieu lui assurait calme et vue à couper le souffle. S'arrêtant devant le restaurant, le bel italien termina sa clope et regarda Louison, un faible sourire sur ses lèvres. Bordel, il était bien en sa présence. « Ce soir j'me montre romantique, profite-en Chamberlain, ça ne m'arrive jamais. » dit-il avant de rigoler. Sur ce coup-là, il n'avait pas tord. Il laissa planer le doute quelques instants avant de finalement hausser les épaules. « Pour être tout à fait honnête, mon grand-père devait nous rejoindre ce soir, il avait réservé ici. Je voulais te faire une petite surprise ... mais il a eu un empêchement et ne pourra pas venir ce soir. Du coup, on sera que tous les deux. » Bon, d'un côté, cela l'arrangeait. Ezio espérait simplement que Louison soit impressionnée par la vue et qu'elle ne prenne pas la fuite en voyant ce lieu quelque peu, atypique. Il n'arrivait pas à la cerner et ne savait pas vraiment ce qu'elle appréciait ou non. Cette soirée allait être un bon moyen pour apprendre à la connaître un peu plus.
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Tu vivais désormais dans un rêve éveillé. Certes, tu n'étais pas pauvre mais ce genre d'établissement était tout de même hors de ta portée. Ezio avait réalisé un véritable coup de maître mais en plus de ça, il était fort possible que cela ne soit pas pour t'en foutre spécialement pleins les mirettes. C'était sûrement son mode de vie depuis qu'il était petit. Cependant, le coup de la salle de bain aux fenêtres transparentes, ça, c'était bien salace. " Elle a de la gueule j'avoue... " répondis-tu quelque peu pensive avant d'embarquer l'italien à l'extérieur pour poursuivre votre escapade regorgeant à coup sûr de surprises. " Si la majorité des italiens sont aussi attentionnés que toi, je n'ai pas de soucis à me faire " rétorquas-tu en tapotant son bras avant d'essayer de lui soutirer quelques informations sur la suite des événements. À ton plus grand regret, Ezio s'était montré bien discret et avait gardé sa bouche bien cousue tout le long du chemin qui vous avez finalement conduit à un restaurant dès plus prestigieux.
Le souffle coupé en découvrant la façade authentique, tu reposas ton attention sur lui alors qu'il finissait sa cigarette avec son charisme légendaire " Hey mon loup, ça n'arrivait peut être jamais parce que tu n'avais pas encore trouvé la femme qui t'en donnait envie " lui lanças-tu en remuant tes sourcils sous ta frange blonde. Et alors qu'il allait en terminer avec sa clope, tu lui retiras du bec in extremis, tirant une dernière fois dessus avant de l'écraser dans un cendrier perché sur une poubelle. Proche de lui, assez pour percevoir les pépites ambrées de ses iris, le bel âtre t'informa qu'à la base, son grand-père devait également être à table à vos côtés. Ouvrant moyennement ta bouche, tu avais grimacé lorsqu'il t'informa qu'il n'avait finalement pas pu venir. Néanmoins, tu n'avais pas à te plaindre, tu obtenais en contrepartie la présence totale d'Ezio. Ce qui n'était pas plus mal étant donné la tenue particulièrement banale que tu portais. " Non mais t'es malade ! T'aurais quand même pu me dire de bien m'habiller ! On ne vient pas en robe H&M dans ce genre d'endroit surtout pour rencontrer monsieur Scorsese l'officiel quoi "  râlas-tu un peu trop fort en pénétrant dans ce palace avec sûrement dix mille étoiles au compteur. Un charmant jeune homme aux cheveux gominés vous avez par la suite accueilli, vous accompagnant sur la terrasse à la vue imprenable. C'était tout simplement somptueux. Personne ne t'avait invité dans un endroit aussi romantique, personne ne t'avait vraiment invité tout court finalement... T'étais limite au bord des larmes, submergée par ce cadre, par Ezio et par les sentiments qui jaillissaient sans prévenir. Laissant le maître des lieux te tirer la chaise pour t'y asseoir, tu te retrouvas assez vite en tête à tête avec le beau brun qui t'offrait tout ça. T'arrêtant un instant sur ses petites fossettes particulières au dessus de sa moustache, tu lui esquissas un sourire conquis, contemplant les alentours avec des étoiles pleins les yeux. " Je pourrais y prendre rapidement goût, je dois faire attention. " avouas-tu en attrapant la carte déposée face à toi. Puis, complètement encore sous le choc, tu aplatis brusquement le carton des mets sur la table, tendant ton avant-bras sur cette dernière. " Pince-moi ! Faut que je m'assure que je ne suis pas dans un rêve ou une connerie du genre. " ordonnas-tu à Ezio qui se plaisait probablement de te voir complètement émerveillée.  
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Louison Chamberlain & Ezio Scorsese

Ezio avait fait fort en emmenant Louison ici. Il aurait très bien pu annuler la réservation de la table pour l'embarquer dans un endroit un peu moins romantique et moins tape à l'oeil mais finalement, il décida de la garder. C'était l'occasion de montrer une bonne image de lui et d'essayer autre chose. Il aurait pu, s'il avait voulu, continuer son petit numéro de charme avec la blondinette au Summer Camp. Il aurait certainement eu ce qu'il voulait mais au lieu de satisfaire une énième pulsion primaire, le bel italien n'avait pas voulu continuer. C'était assez étrange entre eux. Ezio était inévitablement attiré par Louison mais, une fois n'était pas coutume, il voulait faire les choses bien. Pourquoi ne pas apprendre à la connaitre avant de passer aux choses sérieuses. La clope délicatement posée entre ses doigts, il avoua rapidement qu'il n'était pas à l'initiative de leur présence ici. Ce romantisme si soudain n'était pas de son ressort mais qu'elle profite car cela n'arrivait pas souvent. La blondinette ne manqua pas de le taquiner en prétextant que s'il avait trouvé la bonne personne, cela viendrait spontanément. « Surement. En tout cas c'est ce qu'on dit ... que l'amour donne des ailes, je suis curieux de voir ça. » répondit-il en battant également des cils pour la taquiner. Il rigola légèrement, affichant un sourire conquis dans sa direction. Ezio tenta d'apporter une dernière fois sa cigarette au bec mais Louison le devança, lui attrapa et vint la terminer. Il plissa les yeux, ne s'attendant pas vraiment à se faire surprendre ainsi. Les yeux toujours braqués sur elle, il la regarda inspirer dans la clope avant de l'écraser. Quant à lui, il vint déglutir pour garder un semblant de lucidité. « Monsieur Scorsese l'officiel, merci pour moi. » répondit-il en rigolant avant de continuer. « Calmes-toi Louison, j'suis sapé comme toi, on fait dans le simple pour ce séjour. A part pour l'avant première où là tu vas toutes les rendre jalouses mais en attendant, mon grand-père n'est pas là ce soir et perso je te préfère au naturel. » dit-il d'un fin sourire. Finalement, ils ne tardèrent pas à entrer dans le somptueux restaurant, laissant la petite Chamberlain découvrir les lieux. Un serveur les emmena là-haut. Ezio les suivait de près, se laissant imprégner de l'ambiance unique du restaurant. Le serveur installa la jeune fille et fit de même avec le bel italien qui se laissa faire, ne voulant pas le contrarier. Une fois confortablement installé, dos à la ville illuminée, il posa son regard sur elle. Il bloqua sur son doux visage illuminé, émerveillé. Ezio pouvait déceler des étoiles dans ses yeux, c'était touchant. Attendri par sa douceur, il resta silencieux et la laissa mener la danse pour ne pas en faire trop, pour ne pas la brusquer. « Fais attention Chamberlain, on y devint accro plus vite qu'on ne le pense. » Accro au luxe ou accro à lui, tout n'était qu'une question d'interprétation. Surpris par le geste brusque de la blondinette, il baissa les yeux vers son bras et vint lui sourire. Elle était trop mignonne. « Avec plaisir. » lança-t-il en attrapant son poignet. Se penchant délicatement vers l'avant, il vint déposer un chaste baiser sur le revers de sa main. Puis, en rigolant, il la mordilla légèrement, pinçant sa peau entre ses dents. « Alors, c'est un rêve ou t'es bien vivante en face de moi ? » la questionna-t-il. Ezio s'amusait grandement de cette situation, il allait même se permettre une nouvelle remarque mais le serveur refit son apparition, leur demandant en italien ce qu'ils comptaient boire. « Due negroni, per favore. » commanda-t-il avant de reporter son attention sur Louison. « Negroni c'est un cocktail de chez moi, de Florence. C'est un peu comme l'Americano, je ne sais pas si tu connais. Enfin tu verras c'est délicieux. » Le calme vint rapidement se mêler entre eux. Le bel italien en profita pour tourner sa tête afin d'admirer, à son tour le paysage. Le soleil se couchait petit à petit, leur offrant une atmosphère reposante et on ne peut plus romantique. « Mon meilleur ami est français et il m'a apprit quelques phrases, dis-moi si j'ai bon ... la vue est belle, c'est ça non ? » essaya-t-il de prononcer avec un accent qu'il ne pourra sans doute jamais ôter de ses lèvres. Il éclata de rire, sur ce coup-là, Maxime aurait pu lui dire n'importe quoi, Ezio l'aurait répété bêtement. Après quelques instants, le serveur revint vers eux et disposa leurs verres avec toute l'élégance que ce lieu pouvait imposer. « Grazie. » le remercia-t-il. Rapidement, il attrapa son verre et vint le tendre dans la direction de la blondinette. « J'te propose de trinquer aux deux fous que nous sommes ? » C'était une petite allusion à la petite discussion qu'ils avaient eu un peu plus tôt dans la voiture.
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Recevoir des compliments de la part d'Ezio Scorsese était totalement dingue. Surtout lorsqu'il t'assurait te préférer au naturel. Tu l'avais tellement vu rôder et se taper des nanas en plastique que tu peinais encore à le croire. Mais en tant que femme inexpérimentée en la matière, tu te laissais emportée par ces flatteries vivement agréables.
Entrant par la suite dans le restaurant, tu t'étais rapidement retrouvée perchée sur la terrasse du palace. Envoûtée par l'endroit et par le type qui t'offrait tout ça, tu lui avais demandé de te pincer afin de voir si tu n'étais en plein rêve. Lui tendant ta main sur le côté de la table, l'italien s'en empara, déposant d'abord ses lèvres sur le revers de ta main, avant de mordiller la peau fine à cet endroit. Roulant des yeux, totalement gênée par son geste tu masquais en réalité une excitation vive au creux de ton bas ventre. " Vivante. Définitivement vivante. " répondis-tu en secouant ta tête pour te remettre de cette vague de chaleur qui s'était propagée dans tout ton corps. Sursautant lorsque le serveur avait de nouveau fait son apparition, tu tournas ton visage vers le décor idyllique pour camoufler le rouge de tes joues, laissant Ezio commander dans un italien dès plus envoûtant. Puis, sentant son regard se poser sur toi, tu lui fis de nouveau face en l'écoutant t'expliquer l'origine du cocktail qu'il avait commandé. " Je ne connais pas non. Mais c'est l'occasion de goûter et de me familiariser avec les saveurs de tes origines. " En réalité, tu avais eu envie de lui dire qu'il y a deux ans de cela tu vivais carrément recluse dans des maisons de campagne, à l'écart de toute civilisation, et que même le Coca cola était une récente découverte... Cependant, tu préféras t'abstenir pour le moment. Tu cherchas par la suite le point qu'Ezio pouvait bien fixer dans ce panorama époustouflant. Mais, il reprit tout à coup la parole en s'aventurant dans la langue de Molière, la tienne. Tu éclatas de rire sur le coup, ne t'attendant pas à un tel intérêt de sa part à ton encontre. " Ton meilleur ami est français ? Intéressant. Tu me le présenteras que je puisse parfois parler dans ma langue natale ? En tout cas c'est un bon professeur. C'est assez mignon le français entre tes lèvres " avouas-tu alors qu'un serveur avait délicatement déposé vos boissons devant vous. Lorsque le jeune homme vous ayant servi s'était enfin éloigné, tu tendis ton verre pour trinquer comme Ezio te l'avait proposé. " Aux fous que nous sommes " répétas-tu en faisant tinter ton verre contre le sien. Apportant par la suite ton récipient à ta bouche, tu dégustas une première gorgée de cette boisson rouge orangée. C'était tout simplement un délice. " Alors sexy Ezio, tu me racontes quoi de beau ? Ce mois d'août était plutôt agréable ? " demandas-tu en véritable inquisitrice. " Ton cocktail est une tuerie au passage " rajoutas-tu en déversant un peu plus d'alcool dans ton gosier. Une multitude de questions fleurissaient à présent en toi, tu te sentais effectivement plus "légitime" pour les lui poser depuis que vous aviez joué cartes sur table. Mais... malheureusement, tu avais toujours cette crainte de l'ennuyer avec des interrogations rasoirs. Alors que tu écoutais sagement le jeune homme, tu retiras discrètement tes escarpins sous la table, cherchant aveuglément la cheville du brun pour frotter lascivement le creux de ton pied contre sa jambe. Les yeux rivés sur le mec qui te faisait dorénavant complètement fondre, tu attendais une quelconque réaction, un sourire fripon aux coins de tes lèvres.    
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Louison Chamberlain & Ezio Scorsese

Ezio avait demandé quelques conseils à son meilleur ami pour essayer d'impressionner sa belle. Il lui avait appris quelques phrases bateaux dont notamment la célèbre voulez-vous coucher avec moi ce soir. Celle-ci, il saura bien la ressortir en temps voulu. En attendant, il se complaisait à parler dans la langue maternelle de Louison, histoire de lui montrer tout l'intérêt qu'il pouvait lui porter. « Oui c'est un français, tu le connais peut-être, Maxime Jackson, ça te dt quelque chose ? » lui avoua-t-il avant d'afficher un mince sourire taquin. Elle trouvait son accent charmant, il savait vraiment y faire avec les femmes, c'était son truc, son domaine. Il savait les baratiner, user et abuser des charmes de ses origines. Pourtant ce soir, la drague prenait une toute autre dimension, une autre ampleur. « Si tu veux Louison, je te le présenterais à notre retour sur Boston, il est un peu ... comme moi finalement. » dit-il avant de rigoler. Cette phrase voulait tout dire. Le serveur revint vers eux et déposa sur la table leur commande. Sans chercher plus loin, Ezio vint se saisir de son verre et le leva vers la blondinette pour sceller avec elle, leur première soirée dans l'ambiance romantique de Rome illuminé. Aux deux fous qu'ils étaient, il n'aurait pas pu trouver meilleur appellation pour trinquer. Les deux verres claquèrent dans un seul et même bruit aiguë. Louison apporta son verre à la bouche et bu une gorgée pour goûter le breuvage. Le bel italien la regarda faire, conquis et amusé à la fois. Ses yeux se posèrent sur ses lèvres délicates. Dans le plus grand des silences, il la contempla, quelques secondes, profitant de cet arrêt sur image aussi sexy qu'envoûtant. Puis, à son tour, il bu une gorgée de son Negroni, amère à souhait, une véritable tuerie. La blondinette lui demanda ce qu'il avait fait de son mois d'août, s'il avait passé de bons moments un peu partout en Europe. « Ah tu as vu, c'est bon le Negroni, je savais que ça allait te plaire. » répondit-il, un peu trop sur de lui. Puis poursuivit. « Très, il a été et sera surement meilleur que le mois de juillet. J'ai fait quoi, la Sicile, Londres, Paris et j'suis rentré à Florence pour enfin revenir à Rome. Je crois qu'en fait, j'ai tout simplement attendu ce ... » Ezio s'arrêta net de parler et fronça les sourcils avant d'afficher un fin rictus pervers sur le coin de ses lèvres. Louison effleura son mollet de son pied. Il vint déglutir silencieusement en se redressant sur sa chaise mais en prenant soin de ne pas bouger sa jambe. « ... séjour. » conclut-il d'une voix amusé. Il découvrait la jeune fille sur un nouveau jour. « Je ne te savais pas aussi entreprenante Chamberlain, j'aime ça. » Son pied glissait lentement, sensuellement sur son mollet, ne faisant qu'attiser un désir déjà bien ancré chez Ezio. Il détourna les yeux quelques secondes en rigolant. « Tu fais de l'anti-jeu, je ne peux pas rivaliser. T'as de la chance qu'il y ait tous ces vieux autour de nous et que je ne puisse pas te sauter dessus. » Lui laisser croire qu'elle avait le dessus, qu'elle gagnait cette manche, c'était là une tactique pour la laisser empiéter sur son territoire. Il ne lui demanda pas d'arrêter, bien au contraire, c'était délectable et ses caresses allaient inévitablement les rapprocher. « Bon et toi, raconte moi ton mois d'a ... d'août. » Sa gorge se noua lorsque Louison remonta son pied un peu trop haut. Ce jeu lui plaisait et fatalement, l'excitait.

[...]

La soirée se passa très bien. La nuit était tombée sur Rome, ils étaient presque les derniers dans ce restaurant qui se vidait à vue d'oeil. Ezio avait fait goûter à Louison les spécialités de chez lui. Ils avaient mangés des petites bruschetas pour l'entrée, du risotto aux légumes en guise de plat ainsi qu'un tiramisu à s'en taper le cul par terre. Le jeune homme termina son café d'une traite et le posa sur la table. « Il est tard, on se bouge ? » lui proposa-t-il, le sourire toujours perché sur ses lèvres. « T'as fait un long voyage Louison, je vais t'épargner la boîte de nuit pour ce soir, j'ai autre chose à te proposer avant de rentrer à l'hôtel, je suis certain que ça va te plaire. » Ezio recula sa chaise mais resta assis, il regarda la blondinette se lever et à la dernière minute, attrapa sa main. « Viens me faire un câlin. » dit-il faiblement en l'attirant vers lui, histoire qu'elle vienne se poser sur ses genoux. Pour être honnête, Ezio attendait ce moment depuis leur arrivé. Lui aussi était très tactile dans son genre.
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La phrase prononcée en français par Ezio avait fait son petit effet. Il t'avait ainsi appris que son meilleur ami était lui aussi français, mais son nom ne te disait absolument rien. " Connais pas non. " répondis-tu en haussant les épaules. " Mais j'imagine effectivement qu'il est aussi chaud que toi " balanças-tu en roulant des yeux. Puis, vos consommations étaient arrivées, c'était donc la première fois que tu goûtais un "negroni", une découverte savoureuse. Tu avais ensuite demandé des nouvelles à Ezio sur ce mois d'août qu'il avait passé bien loin de toi. Qu'avait-il pu faire ? Avait-il eu... des relations avec d'autres filles ? Ton esprit était embrumé par ces interrogations qui te pesaient même si tu prétextais encore le contraire. Après tous ces échanges par sms, un certain attachement s'était développé, même à distance. Alors, même s'il se trouvait juste à un mètre de toi, tu ne pus t'empêcher de tenter un rapprochement dissimulé. Ton désir de contact avec le bel éphèbe ne cessait de croître de minute en minute. De cette manière, alors qu'il te contait ces innombrables périples, ton geste sous la table l'arrêta un instant dans sa phrase, ce qui te fit doucement sourire. " Pas de chance pour moi, tu aurais dû privatiser l'endroit " lui répondis-tu avec une moue coquine,  ne sachant pas vraiment dans quoi tu te foutais. Effectivement, t'étais bien marrante à l'attiser mais il finirait rapidement par te bondir dessus lorsque vous ne seriez que deux, et quand cet instant arrivera, comment réagiras-tu ? Ton expérience en la matière était nulle, or, Ezio n'en était pas au courant. Néanmoins, joueuse jusqu'au bout, tu remontas un peu plus haut alors que le brun te retournait ta précédente question. Pouffant de rire en masquant timidement ta bouche, tu fis retomber ta paluche sur celle d'Ezio, le dévorant des yeux, absolument charmée et peut être un peu ivre après les nombreux verres de vin enfilés. " J'ai glandé. J'ai aperçu ta soeur comme je te l'ai dit aussi... Puis j'ai pensé à toi, tu peux être fier de toi " confias-tu en secouant la tête pour ne pas donner trop d'importance à tes déclarations pourtant sincères.

[...]

Une fois le dernier morceau de tiramisu avalé, tu t'adossas à ta chaise en posant ta main sur ton ventre plein à craquer. En temps normal tu aurais roter sans finesse, mais pour l'occasion tu t'étais retenue. Alors que tu commençais à somnoler au bord de cette terrasse, Ezio te réveilla en te proposant de bouger. " Yeah, on bouge ! " t'exclamas-tu en te relevant d'un bond. Tu étais touchée qu'il ait pensé à ton état de fatigue, il avait bien raison, tu étais totalement explosée après ce long voyage, une nuit en boite t'aurait carrément flinguée. Passant devant l'italien pour sortir du restaurant, ce dernier t'attrapa au vol, t'embarquant sur ses genoux. -On oubliera volontiers le cri de stupeur que tu avais poussé quand il t'avait d'ailleurs emporté-. Mordillant ta lèvre, tu sentais à présent la poitrine d'Ezio se soulever contre toi tandis que son souffle fruité se fracassait contre ton visage pour t'enivrer un peu plus. Déposant ta main sur son torse diablement musclé, tu te perdis dans ses prunelles rieuses avant d'appuyer ta joue entre ses pectoraux. Cela faisait tellement de temps que tu n'avais pas senti un peu de tendresse. Certes, c'était ton ressenti à toi mais tu espérais profondément que le brun soit sur la même longueur d'onde. " Tu m'as manqué doudou " chuchotas-tu en frottant un peu plus fort ta tête contre lui. Te détachant par la suite de son corps tiède, tu relevas tes yeux vers ceux du Scorcese " Tu me réserves quoi d'autre ? " l'interrogeas-tu complètement fascinée par sa bouche charnue. Puis, te relevant après un chaste baiser sur la joue du bel âtre , tu réajustas ta robe devant Ezio, le laissant à son tour regagner la position debout. Une fois Ezio sur pieds, tu emmêlas rapidement tes doigts aux siens sans qu'il n'ait pu réagir, le tirant vers l'intérieur, impatiente de découvrir la suite des aventures.  
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Louison Chamberlain & Ezio Scorsese

Ezio était un garçon très tactile qui avait ce besoin de toucher avec ses mains. En bon rital qu'il faisait, il avait l'habitude de s'exprimer avec son corps, avec des mouvements qui n'appartenaient qu'à lui. Aussi, lorsque Louison se leva pour quitter ce cadre idyllique, il en profita pour attraper son poignet et l'attirer vers lui, l'obligeant presque à l'installer sur ses genoux. Elle lâcha un petit cri de stupeur, provoquant un faible rire chez le beau brun qui ne pensait pas vraiment lui faire aussi peur. Une fois sur ses genoux, il vint encadrer son corps fin et élégant de ses bras musclés et virils. Sa mâchoire se serra dans un à-coup tandis qu'un long frisson lui parcouru tout le corps. Il inspira longuement, silencieusement, s'imprégnant de son parfum. C'était la première fois qu'ils étaient aussi proches, ils avaient enfin les retrouvailles qu'ils méritaient. La blondinette posa sa main délicate sur son torse tandis qu'il la regardait, curieux d'assister à la suite des événements. Louison enroula ses bras autour de son cou et vint se blottir dans ses bras. « Tu m'as manqué aussi. » murmura-t-il dans ce besoin d'intimité et de complicité. Ils restèrent quelques secondes ainsi, Ezio caressant délicatement son dos. Elle se redressa et plongea ses yeux dans les siens, un regard doux et tendre à la fois. Les mains du bel italien se firent de plus en plus entreprenantes, se risquant jusqu'à glisser sur sa cuisse. « Tu verras Louison. Il y a un lieu que j'aimerais te montrer mais pas en plein jour avec tous les touristes de merde. Le temps d'y aller, il sera bien deux heures, le lieu sera vide, tu verras, elle a quelque chose de ... magique » répondit-il simplement. La blondinette déposa un baiser sur sa joue et se leva dans la précipitation. Ezio vint se racler la gorge avant de se lever à son tour. Il ajusta son t-shirt et, sans comprendre pourquoi ni comment, il sentit a main de Louison se glisser dans la sienne. Toutes ces choses là lui était étranger mais après réflexion, ce n'était pas désagréable. Cependant, il enleva sa main de la sienne rapidement pour lui taper les fesses « En route ma poule. » puis vint remettre innocemment sa main à sa place. Il leva les yeux au ciel, ne se sentant pas du tout concerné par le regard qu'elle lui lançait.

[...]

A fond sur le Vespa loué pour l'occasion, Ezio avait prit la tête de la course improvisée. Il tourna la tête vers l'arrière et éclata de rire en voyant Louison galérer à avancer. « Tu te traînes grand-mère. » lui lança-t-il en rigolant, ralentissant légèrement la cadence pour qu'elle arrive à sa hauteur. Les rues étaient désertes, le léger vent encore un peu chaud de la journée d'été se plaquait sur leurs visages enjoués. On aurait dit deux gamins avec de nouveaux jouets. « Tu veux que je te pousse ou quoi ? » la taquina-t-il, comme à son habitude. Ils prenaient la route de la fontaine de Trevi, sans doute l'endroit sur terre qu'Ezio admirait le plus.
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Assise sur les genoux du bel italien, une sensation d'apaisement et de protection avait soudainement fait son apparition. Tu avais senti la main baladeuse d'Ezio sur ta cuisse mais tu n'avais rien dit, car ce geste à la fois doux et excitant te plaisait. Le diabolique Scorsese te rendait enfin vivante. On était bien entrain de parler d'Ezio quand même ! Le même type que tu avais emmerdé des mois et des mois, n'hésitant pas à ruiner sa précédente relation en l'affichant sur les réseaux sociaux. Incroyable. Alors qu'il t'offrait jusqu'à présent un séjour idyllique, ta gourmandise en la matière ne cessait de croître. De cette façon, tu avais tenté de lui faire avouer la suite de ses projets mais en vain. Il ne te restait plus qu'à le suivre pour découvrir cet endroit magique dont il parlait. Ainsi, lorsque vous vous étiez enfin levés pour décoller du restaurant, tu t'étais montrée particulièrement entreprenante en attrapant sa main mais le brun avait rapidement brisé ce geste pour te flanquer une fessée. Te retournant pour apercevoir ce gamin en train de jubiler, tu fronças les sourcils avant de soupirer, faussement exaspérée par son geste qui avait tout de même réalisé son petit effet.

[...]

Après ce repas fort succulent, tu t'étais retrouvée en plein Rome, derrière le guidon d'un Vespa, seule et sans grande expérience en la matière. Ezio était loin devant sur sa bécane, se foutant de toi comme il en avait tant l'habitude. L'air tiède qui fouettait ta peau légèrement moite te rafraichissait grâce à la vitesse du scooter. Revenant enfin à la hauteur du moustachu, ce dernier te taquina une fois de plus ce qui provoqua ta fierté démesurée. Passant une vitesse supérieure, tu poussas le Vespa dans ses limites, bravant la vitesse autorisée et grillant en prime un feu rouge. Quelques mètres après ton infraction, tu te retournas vers ton adversaire, lui tirant la langue tout en ne sachant pas où tu te dirigeais. " C'est qui le grand père ? Allez papy Ezio, montre-moi ce que tu as dans le pantalon " crias-tu avant de retrouver la vue de la route devant toi. Mais tout à coup, alors que tu avais gagné une certaine avance, ton scooter avait ralenti progressivement, s'étouffant peu à peu pour s'immobiliser. Tu avais heureusement eu le temps de te déporter vers le trottoir, sortant la béquille du véhicule pour le maintenir debout. Dubitative sur la cause de la panne, tu attendis que l'italien se gare non loin de toi pour te secourir. " Il est décédé on dirait...  " lui adressas-tu en te penchant sur le Vespa pour mieux analyser les compteurs. " Ah mais regarde, c'est l'essence qui fait défaut, comment on fait maintenant ? Je fais du stop ? " demandas-tu en clignant des yeux rapidement, ne souhaitant pas vraiment être abandonnée au bord de la route. " Je suis désolée, je suis une porte poisse " confias-tu en rongeant nerveusement la peau de ton pouce, zieutant tour à tour le scooter et Ezio caché sous son casque.  
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Louison Chamberlain & Ezio Scorsese

Comme à son habitude, Ezio aimait la taquiner. Ils avaient l'habitude de se charrier sur tout et n'importe quoi, notamment le passé trop chargé pour l'un et trop vide pour l'autre. Il était persuadé que Louison n'avait pas eu beaucoup d'aventures dans sa vie et que ses copains pouvaient se compter sur les doigts d'une seule main. Son petit côté fille sage au gros caractère l'attirait inévitablement. Alors forcément, lorsque grand-mère se traînait sur le Vespa, il ne manqua pas de lui dire et de s'en amuser. Il voulait la tester et l'obliger, en quelque sorte, à dépasser ses limites. C'était taquin et visiblement, cela avait l'air de fonctionner puisque la blondinette appuya, enfin, sur l'accélérateur et le doubla à toute allure. Ezio éclata de rire en la voyant faire. « Ça y est, t'as trouvé comment on accélérait ! » se moqua-t-il ouvertement. Le bel italien fit pareil et essaya de la rattraper. Ses yeux s’écarquillèrent lorsqu'il la vit griller un feu rouge. « Lei è pazza » s'exclama-t-il pour tout bêtement dire qu'elle était folle. Une voiture arriva sur sa droite et Ezio dû s'arrêter pour la laisser passer. Il la regarda passer avant de reporter son attention sur le feu. En voyant ce dernier toujours rouge, il plissa les yeux et râla dans ses dents. Il n'y avait personne aux alentours donc, à son tour, il grilla allègrement le feu pour aller rejoindre sa petite Louison. La blondinette s'était arrêtée un peu plus loin. « Qu'est ce que t'as foutu ? » lui demanda-t-il avant de garer son bolide et de descendre pour la rejoindre. La blondinette semblait perturbée par son Vespa qui ne voulait décidément plus avancer. « Mais non, il n'a plus d'essence ? C'est vraiment pas de bol ça. » lança-t-il en éclatant de rire. Elle était définitivement trop mignonne, à se ronger l'ongle comme si elle venait de faire une connerie. Ezio croisa les bras contre son torse et fit mine de réfléchir. « T'as deux possibilités Louison, soit tu vends ton corps au prochain rital qui passe en bagnole, soit tu montes derrière moi mais genre ... j'vais à plus que dix kilomètres heures tu crois que tu vas supporter ? » la taquina-t-il en rigolant. Le bel Italien haussa les sourcils pour faire style il attendait un choix, une réponse. Ezio se recula d'un ou deux pas et parti en direction de son Vespa qui lui, marchait parfaitement. « Allez viens, j'ai besoin d'une fille de joie pour ce soir. » annonça-t-il en lui lançant un regard provocateur. En vrai, il préférait conduire plutôt que de monter derrière elle, question de survie quoi. Il était assez macho pour croire qu'une femme au volant n'était pas forcément un bon plan.


hj:
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Après avoir semé le brun, tu t'étais trouvée dans une situation délicate puisque ton scooter avait fini par rendre l'âme. Abattue au bord de la route, tu attendais patiemment qu'Ezio te rejoigne. Tu ne savais plus quoi faire, tu te sentais coupable et tu détestais être à l'origine d'une connerie. Lorsque l'italien était arrivé à toi en garant sa propre bécane, tu lui avais expliqué la situation, lui demandant comment tu allais faire à présent sans moyen de locomotion. Bien entendu, tu souhaitais ardemment qu'il devienne ton chauffeur mais avec lui rien n'était gagné. S'il décidait de te planter là, il le pouvait, juste histoire de voir comment tu allais te débrouiller en terrain inconnu. Néanmoins, après tout ce petit jeu que vous aviez entamé, cette chance d'être abandonnée s'était rapidement éloignée. " T'accepterait que je vende mon corps à un inconnu sérieux ? " répondis-tu en coursant le brun qui se faisait déjà la malle vers son Vespa. L'attrapant par le bras pour le ralentir tu fronças les sourcils lorsqu'il te qualifia de fille de joie. " Crétin. " ponctuas-tu en le laissant prendre les commandes pour t'accrocher derrière lui comme un pitoyable koala en détresse. Ezio avait par la suite repris la route, abandonnant ton épave sans se préoccuper des coûts de location s'il venait à être volé. Le serrant très fort contre toi alors qu'il accélérait de plus en plus, tu te sentais désormais quasiment impuissante. La sensation de ne faire qu'un était jouissive. Le bel italien maîtrisait la situation, en tout cas, c'était l'image qu'il renvoyait. Un homme sûr, protecteur et bien viril. Un pur fantasme qui pouvait vraisemblablement devenir réalité. Serrant tes mains autour de sa taille, tu posas ta joue sur son dos robuste, souriant comme une idiote car tu te sentais totalement libre et épanouie. Tout à coup, après vous être enfoncés dans plusieurs ruelles, la monstrueuse fontaine de Trevi fit son apparition. À cette heure-ci de la nuit, les alentours étaient déserts et les lumières éclairant le monument offraient un spectacle romantique à souhait. Quand Ezio coupa enfin le moteur du véhicule, le bruit de l'eau qui circulait dans la fontaine procurait une sensation de détente absolue. Descendant du Vespa, tu t'approchas illico de cet abreuvoir gigantesque. Puis, tu t'étais retournée brusquement pour chercher les prunelles ténébreuses du brun. " Tu as lu dans mes pensées. " dis-tu posément avant de reprendre " À la fin de notre séjour, j'allais te demander de m'y conduire pour faire un voeu bidon " avouas-tu avant de mordre dans ta lèvre inférieure. " Ptin c'est dommage on voit pas le zgeg de Neptune " déclaras-tu en pointant l'homme trônant au centre de la sculpture. Tu avais ensuite fini par te taire, observant calmement cette pièce de culture, fascinée par ce pays. Il ne te manquait plus qu'une chose, être proche d'Ezio, le tenir, le sentir à tes côtés pour atteindre la perfection.
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