Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityBecause you live my world has twice as many stars in the sky • Denleigh - Page 2
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Because you live my world has twice as many stars in the sky • Denleigh

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Il se rendait vraiment pas compte à quel point il t'avait apporté son soutient, sans le savoir, sans connaître ce que tu avais traversé. Il avait réussit a t'apporter un peu de chaleur, de réconfort, malgré la distance, l'empêchement de se voir, de passer du temps ensemble. Il avait été là, du début à la fin, malgré tout, et c'était clairement beaucoup. Tu ne voulais pas qu'il culpabilise. C'est ce que tu craignais, qu'il s'en veuille. Oui il s'en voulait de pas avoir su deviner, ni comprendre ce qui se passait dans ta vie. Mais tu ne lui avais laissé aucune chance de le faire. T'avais su cacher tout ça, à tout le monde, encore plus à lui. T'avais rien laissé entrevoir et étant une bonne menteuse, forcément qu'il n'avait pas pu s'imaginer une telle chose, une telle histoire. Tu pouvais pas savoir, sinon je sais que tu serais venu me rejoindre ce week end là, ou que tu serai rentré avant moi pour empêcher ça, mais tu pouvais pas savoir, ni toi, ni moi... Pas question que tu le laisses s'en vouloir. Toi, tu ne lui mettait pas une seule seconde la faute sur lui. Tu savais que s'il avait pu faire quelque chose, il l'aurait fait, mais personne peut prévoir de tels événements. Il avoua finalement qu'il n'allait pas te laisser, qu'il était là et qu'il y resterait. T'enlevant un poids des épaules, un autre, tu voulais t'en assurer. Qu'il comptait aller nul part. Jamais. Ton regard se releva sur son visage, lui demandant confirmation et avouant à ton tour que tu ne le supporterai pas. Tu l'avais toujours pensé, encore plus en cet instant. Mais il en fit la promesse, ses prunelles plongeaient dans les tiennes, et sa main venant caresser ta joue. Simple geste qui te fit fermer les yeux, profitant de ce doux contact. Tes paupières se rouvrirent aussitôt, Denys promettant une nouvelle fois qu'il serait toujours là. Ajoutant qu'il serait là, à la place que tu souhaites. Et là, là, ton cœur se resserre. Tu le sens qu'il cherche à te dire, encore une fois, qu'il veut plus que la place du meilleur ami. Pas besoin de le dire, tu le sais, il a assez été clair sur la plage alors qu'il s'en souvient pas, puis récemment par messages. Cette question qui tomba; qu'est ce que tu voulais ? La fameuse question à dix mille points. Celle où tu demanderais le vote du public, ou l'appel à un ami. Oui enfin, l'appel à un ami tu l'avais 'eut'. Maxime. Qui t'avait assuré que c'était pas car tu passais plus ton temps a coucher avec Denys qu'à faire d'autres choses que tu étais son plan cul. Selon le mather c'était qu'il voulait toi et que toi. Selon lui, il comprenait pas ce que vous attendiez. Le problème ? C'était toi dans toute cette histoire, cette fixette que tu faisais, d'avoir peur de le perdre, de lui faire du mal, de pas savoir t'y prendre. D'un autre, c'était pourtant évident non de cette façon dont tu le regardes, dont tu passes tes nuits avec, tes journées à lui envoyer des messages. Sans compter la vitesse à laquelle ton cœur s'emballe, quand il te touche, comme cette simple caresse sur ta joue, quelques minutes plus tôt. Ou quand ton monde c'était effondré avec son arrestation. T'avais besoin de lui plus que jamais et savoir qu'il puisse retomber pour Cléo, qu'il puisse vouloir plus avec Ivy, fallait être honnête, ça t'avait déplu, ça t'avait fait de la peine. Tu voulais qu'il n'y est que toi, que lui. Et c'était pas de l'égoïsme mal placé, c'était plus que ça. Plus fort. Plus vrai. Je sais pas... Si tu savais en fait, juste que ton cœur et ta tête n'était pas en accord. Ta tête elle te faisait voir que les mauvais côtés, les risques à prendre, les conséquences si ça tournait au vinaigre. Tandis que ton cœur, y avait plus besoin de le dire, il voyait juste lui. Lui seul. Lui qui te donnait le sourire même quand ça n'allait pas. Lui qui te rendait meilleure. Lui qui prenait toute la place, qui croyait en toi plus que n'importe qui. Je sais plus... Bordel Ash', t'es incroyable. C'est si compliqué à admettre ? Peut être. C'était pas un oui, certes, c'était pas un non, non plus. C'était signe que t'étais plus indifférente à lui, à la situation. Juste paumée, effrayée...
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Si je culpabilisais, j'avais à peine fini ma phrase qu'elle délestait ma conscience de ce poids. Personne pouvait savoir et donc c'était arrivé, aussi injuste et révoltant que ça soit. "Je supporte pas l'idée que qu'on ait pu te faire du mal Ash..." l'éclat de ma voix rageant contre ces types tout à l'heure pour preuve. Ashleigh était bien trop précieuse, elle était tout. Et elle me faisait promettre d'être toujours là, promesse que je n'eus aucun mal à faire, à confirmer en me noyant dans ses yeux, en me perdant dans le bleu de ses iris... Magnifique. Même là avec l'émotion de ses aveux, même bouleversée par tout ce que ces révélations devaient secouer en elle. Elle restait superbe. Merveilleuse. Inégalable. Et moi j'en restais toujours complètement amoureux. Même si je venais d'avouer être prêt à rester à la place qu'elle voulait que j'ai. Celle d'ami à qui elle dissimulait certains faits,ou celui à qui elle disait tout, son meilleur ami, son confident... ou bien plus encore. Cette place que je rêverais d'occuper et qui me donnerait le droit de lui offrir en plus de cette accolade et de cette caresse sur son visage, un doux baiser... Mais, aujourd'hui encore plus que jamais, je lui laissais les cartes à elle. Elle ne savait pas. Elle ne savait plus. Et le ton de sa voix, la lueur de peur dans ses yeux, tout ça me poussa à faire ce que je savais faire de mieux : plaisanter quand le sujet devenait trop sérieux. Du grand Denys. " Panique pas. C'est pas une interro surprise.  Je vais pas te coller un D si t'as pas la réponse." Mes lèvres prirent alors le chemin de son front.  Doucement. Tendrement et je repris : " Merci de m'avoir tout raconter Ash. J'imagine que ça a du être éprouvant pour toi de devoir garder ça tout ce temps..."
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Pas question qu'il se blâme, il n'y était pour rien. Au contraire, il avait vraiment aidé. Quand tu avais vécu les pires jours de ta vie, dans ce sous sol, enfermée, seule, abandonnée, battue, il avait été là, sans le savoir, à te faire tenir, à ne pas céder, ne pas craquer. Il t'avait aidé à traverser cette horrible passe rien qu'en repensant à la semaine des petits déjeuners. A tous les mots qu'il avait pu te dire, aux baisers qu'il avait déposé sur tes lèvres, aux envies qu'il avait manifesté quand vous ne formiez qu'un dans son lit. Il avait aidé à traverser ces mauvais jours, y apportant un peu de lumière, de chaleur. Mais tu comprenais, qu'il ne supporte pas qu'on te fasse du mal. Tu ne supportais pas qu'on s'en prenne à lui. T'avais frappé Hippolyte pas pour rien. T'avais rayé ta sœur de ta vie quand elle c'était marré de sa situation. T'avais vu rouge tout le temps où il était là bas. T'avais fait tout ton possible pour obtenir le nom de ceux qui l'ont enfoncé et t'avais mené ta vengeance. Tu la continuais toujours d'ailleurs. Alors tu savais ce qu'il ressentait. Tu te sentais rassurée que ça soit réciproque, que tu comptes autant qu'il comptait. Et ça n'aidait pas à ne pas te faire tomber un peu plus dans ses filets. Tu voulais juste qu'il promette ne jamais partir, jamais te laisser tomber. Toujours être là. Y avait plus d'Ashleigh sans Denys. Il le promettait, venant finalement à la question fatidique. Celle que tu craignais. Cette fois, il était pas bourré. La réponse, il s'en souviendrait. Mais c'était quoi ta réponse ? Toi même tu étais perdue. T'arrivais plus à voir clair dans tout ça. Ce qui semblait évident, était plus compliqué que ça. Pas question de le repousser. C'est une réponse évasive, bancale, que tu lui donnais. Une réponse qui était entre deux réponses. Et tu t'en voulais de ne pas savoir en donner une claire, nette, précise. Tu lui faisais encore de la peine, c'était sûr. Il avait beau essayer de plaisanter, de répondre avec détachement et humour, tu le connaissais trop bien pour savoir ce que ça cachait. Ses lèvres se posèrent ainsi sur ton front, tandis qu'il te remerciait de lui avoir confié ça. Éprouvant était un euphémisme. Ca t'avait bouffé de devoir mentir de la sorte, surtout à lui. Je sais que j'ai besoin de toi... que tu murmuras. Oui ça t'en était certaine, t'avais besoin de lui comme jamais. Donne moi une raison... une seule raison... que je devrais pas avoir peur... Peur de faire une connerie, de te faire du mal, de te perdre.
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C'était facile de lui promettre ça. C'était facile d'oublier tout, les mois à me cacher la vérité, les fausses explications pour son accident, le remue ménage suite à son faux  couple. Facile d'oublier tout ça, malgré la peine que ça avait pu me faire, parce que tout ce que je voyais c'était sa peine à elle. L'épreuve de ces mensonges, ces secrets, ce qu'elle avait du garder pour elle, nous cacher à tous, tout ça en plus du traumatisme et des séquelles de son agression, l'angoisse qui avait du l'habiter avant que ces salopards soient derrière les barreaux. Oui aucun mal à m'oublier pour le coup, à m'en tenir à mon  rôle de meilleur ami. Sauf que c'était sans compter ses yeux. Cette lueur. Cette panique dans sa demande de promesse. Est-ce qu'on peut être aussi stressée, touchée, aussi angoissée, à l'idée de perdre un simple pote? Et si je me trompais ?  Voilà comment elle m'avait échappé malgré moi, LA question. Que voulait elle, elle, Ashleigh Strauss ?  Question que je me voulais presque d'avoir posé en la voyant perdre pied un peu plus. Paumée. Déroutée avec son 'je sais pas' 'je sais plus' que même ma tentative d'humour ne réussit pas à alléger complètement. Peut être parce que moi j'ai rarement été aussi sur de moi qu'à cet instant, que pour ma réponse à cette question. Peut être parce que donc, elle le lisait dans mes yeux que malgré mon apparente décontraction ça me touchait. Un baiser sur son front pour diluer ça, me remettre à sa place à elle, en repensant à ce qu'elle avait vécu, en soulignant le côté éprouvant que ça avait dur être de tout garder pour elle. Mais comme si elle ne voulait pas laisser ma question s'envoler, elle reprit comme si elle continuait d'y répondre..Elle savait qu'elle avait besoin de moi. Et elle me réclamait une bonne raison de ne pas flipper. Mes yeux toujours dans les siens, je la détaillais un instant songeur. Je pourrais lui dire que la bonne raison c'est que ça faisait déjà depuis ma sortie qu'on agissait presque que comme un couple, je pourrais lui dire que ça ne changerait pas grand chose de plus, qu'au pire si ça ne marchait pas on tomberait pas dans le drama parce qu'on était avant tout meilleurs amis. Je pourrais lui dire qu'elle était ma seule avec qui je me voyais en couple, en couple qui marche. Ou je pourrais simplement lui dire que je l'aimais. Mais... Mais c'était Ash. Je la connaissais assez pour savoir que c'était peut-être le genre de paroles qui accentuerait ses peurs. Alors mes doigts glisserent jusqu'à son menton, l'accrochant pour lui faire doucement relever me visage vers le mien. "Une bonne raison tu dis?." Et petit sourire aux lèvres, je fondis sur elle pour venir poser mes lèvres sur les siennes. Baiser lent, posé, ma bouche contre la sienne, s'entrouvant ensuite pour laisser ma langue aller à la rencontre de la sienne. Baiser doux et intense à la fois. Oui, voilà une très bonne raison. Et lorsque nos visages s'écartèrent, mes lèvres glissaient malicieusement dans son cou en soufflant : " Et voilà une autre raison..." Et rigolant en parsemant des baisers guilis dans son cou, mes mains se perdaient sur ses cotes pour la chatouiller. "Et encore une autre bonne raison..." Ouais pas capable d'être sérieux cinq minutes. Ça aussi c'était une bonne raison de pas flipper non ?
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Tu lui avais tout dit, enfin libéré de ce poids, de ces mensonges. Et en plus, il avait pas l'air de t'en vouloir. T'allais pas le perdre et ça t'enlevait un autre gros poids. Il était encore là, près de toi, te faisant cette promesse de toujours y rester. A tes côtés. Mais il exprimait bien le fait que cette place de meilleur ami, c'était pas celle qui lui convenait le plus. Il y tenait, clairement, et n'était pas d'accord pour la céder à n'importe qui. Ni la céder tout simplement. Il voulait tout de même plus. Cette autre place prestigieuse dans ton cœur, dans ta vie. Ce qu'il captait pas, c'est qu'il l'avait déjà, cette place. Ce rôle, de celui qui te changera. Celui qui te fera prendre conscience que toi aussi tu peux t'attacher à un gars, que tu peux avoir des sentiments. Ce rôle de celui qui arrivera à voler ton cœur. Oui il l'avait. Il l'avait volé plus que ce qu'il ne l'imaginait. Tu ne pouvais pas lui faire croire encore qu'il n'avait que le rôle du meilleur ami. Tu pouvais pas lui faire penser qu'il n'en valait pas la peine, qu'il n'était pas assez bien. Indirectement tu lui confiais ne plus savoir où en être. Perdue. Tu cherchais toi même des réponses. A ce que tout cela signifiait. A ce que ça allait engendrer. Et entre tes désirs et tes craintes, c'était un beau bordel. Tu comptais sur lui pour t'aider. Tu lui laissais la chance, la possibilité de te donner une raison, une seule, de ne pas flipper, ne pas te braquer. Reprenant tes mots, il releva ton visage, tandis que le sien s'approchait du tien, ton cœur rata immédiatement un battement. C'était comme s'il tombait dans ta poitrine. Comme si les papillons dans ton ventre se réveillaient et s'agitaient. Ses lèvres contre les tiennes, c'était doux, lent, agréable. Sa langue vint rejoindre la tienne et une de tes mains se posa sur sa joue, appuyant ce baiser. Le lui rendant totalement. Tu te sentais plus que bien à cet instant, rien qu'avec ce baiser, ce contact. Et tu te rendais compte que t'en voulais plus. Que t'en voulais encore. Que c'était trop court. Pas rassasié pour un sous. Sauf que ses lèvres glissent dans ton cou répétant que c'est une bonne raison ça. Et il continue, venant te chatouiller de ses doigts sur tes côtes. Tu rigoles un peu, te débattant, avant de reprendre ton sérieux. Stop, Den' stop... Plus perdue que jamais, la réponse que tu cherchais, il te l'avait pas donné, au contraire, il t'avait encore plus embrumé le cerveau. Attrapant ses mains des tiennes pour l'empêcher de continuer ou de reprendre, tu attrapais ta bière et te leva du canapé. La terminant d'une traite, tu la jetais dans la poubelle à recycler. Est ce que c'est juste sexuel ? Tu savais que non au fond, tu savais que pour lui, comme pour toi, c'était pas le cas. Tu savais qu'il te voyait pas juste de cette façon, mais les baisers dans ton cou avaient juste accentué cette pensée, cette crainte. Ou bien toute excuse était bonne à prendre pour fuir ? Je veux pas que ça, je sais pas ce que je veux. Tu t'étais toujours contenté du sexe, juste ça, mais tu ne voulais pas être reléguer à cette étiquette avec lui. En tout cas t'avais jamais été aussi compliqué que maintenant. C'était noir ou blanc avec toi, et là c'était gris, un gris dans toutes les nuances possibles. Ou c'est ce que tu te convainquais que c'était, du gris, juste du gris.
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Je pouvais pas être sérieux. Faculté de concentration : cinq minutes. Et dès que ca devenait trop intense, que le moment s'imprégnait d'une certaine gravité, fallait que je fasse le con. Comme à cet instant, quand après avoir répondu d'un baiser à sa question, c'était dans une séance de guilis en règle que je me lançais.. Ash rigola quelques secondes en se débattant, avant de m'ordonner d'arrêter en reprenant son sérieux, en chassant mes mains et en se levant ensuite. " Ash..." soupirai-je désolé,  perdant mon sourire, un peu penaud en la voyant ainsi s'éloigner, l'observant finir sa boisson d'une traite. Et à son tour, elle questionnait, elle enquêtait, elle essayait d'étiquetter tout ça . "Non. Absolument pas... Je... Je veux pas que tu penses ça." Répondis-je directement et sans hésiter, m'en voulant d'avoir pu lui donner cette impression. Sauf que mes excuses se noyèrent dans ses paroles suivantes. Je ne devrais pas. Mais je m'y accrochais. Comme un naufragé s'accroche à une bouée  de sauvetage. Elle ne voulait pas que ça soit QUE du sexe. Je souriais. Malgré moi. Même si elle précisait qu'elle savait pas ce qu'elle voulait. Je repris  : "Comme t'as l'air d'être bien au point sur ce que tu veux pas, on va jouer à un petit jeu. Je vais annoncer des possibilités et tu vas me dire si oui ou non c'est ce que tu veux. Ok ?"  Partons ainsi. Savoir ce qu'on ne voulait pas c'était déjà une avancée. "Tu veux qu'on redevienne de simple pote et qu'on arrête tous nos... extras ? "  Demandai-je prudemment, presque à contre coeur, mon pouls s'affolant, redoutant un oui de sa part. Après tout mon baiser lui avait fait fuir notre canap alors...
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T'avais mal interprété ses baisers. Ou plutôt tu te les interprétés mal, peut être pour avoir une excuse pour ne pas tout gâcher. Ainsi, ça serait plus simple, non ? Ou pas, parce que quand tu lui demandais si c'était juste sexuel, il semblait troublé. Peut être prit au dépourvu par ta question, tes insinuations ? Il certifiait que c'était pas le cas, que ça signifiait pas que ça. Et tu te sentais mi soulagée, mi encore plus paumée. L'award de la chieuse, c'était pour toi. Ou de la nana indécise, qui sait pas ce qu'elle veut. Ouais plutôt ça. Car tu ne voulais pas juste du sexe avec lui, mais tu savais pas ce que tu voulais non plus. C'est ce que tu lui confiais. Et lui, il optait pour un petit jeu, vu que tu savais juste ce que tu ne voulais pas. Haussement de sourcil, t'étais intriguée. Le jeu d'Ivy c'était pas le moment de le sortir là. Pas le moment de se déshabiller avec des questions. Pas le moment de tomber encore dans le vice de l'attraction, du désir, du sexe. C'était tout autre qu'il avait en tête. Des possibilités qu'il allait citer et à toi de dire oui ou non à ceci. Donc y a que moi qui joue ? Ou bien lui aussi allait avoir son lot de questions, ou juste répondre à ses propres questions ? La première tomba. Si tu voulais enlever toute ambiguïté, tout sexe, entre vous et redevenir ces potes purement platonique que vous étiez y a plus de six mois en arrière. Je... ne sais pas. Ces mots ne furent jamais prononcés puisque tu te rendais compte que c'était ni oui, ni non. Puis surtout, que tu allais te mentir et lui mentir. Non... que tu lâchais donc dans un souffle, comme si tu t'agaçais toi même. Non que tu ne voulais pas arrêter. Ou si tu aimerais d'un côté, mais tu savais que c'était impossible. T'y avais prit trop goût désormais. A lui, à son corps, à ses lèvres. Non tu ne pouvais pas t'en passer à présent. T'étais instinctivement menée à lui. Attirée comme un aimant. Impuissante. Tu te retenais déjà pas mal de fois. Tu ne pourrais pas te retenir h24...
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Je vis son air perplexe, son petit haussement de sourcil et malgré moi un petit rire s'échappa et taquin, je précisai : " T'as les idées mal placées Ash. Pas un jeu comme ça." Peut-être même que j'aurais pas du annoncer ça comme un jeu. Plus comme une technique pour l'aider à y voir plus clair. Définir tout ce qu'elle ne voulait pas pour finalement déterminer avec ce qu'il nous restait comme option, ce qu'elle voulait. Et finalement elle me demandait si elle était la seule à jouer. " Bah oui. Moi je sais ce que je veux ." Un petit sourire ourla mes lèvres entre tendresse et tristesse. Oui je savais ce que je voulais. Elle. Et j'avoue que si à la question d'abandonner toute ambiguïté entre nous, elle répondait oui, ça allait me mettre un coup. Mais je le ferais. Pour elle j'y renoncerais. Parce qu'elle était ma meilleure amie, que je mettrais mes sentiments et mon attirance entre parenthèses si elle me le demandait. Mais après quelques secondes d'hésitation où mon pouls s'accélèra, Ashleigh répondit finalement que non, elle ne voulait pas ça non plus. " Donc tu ne veux pas que ça soit que du sexe. Tu ne veux pas que ça soit que de l'amitié." Résumai-je avec douceur. Patience aussi. Conscient que c'était pas l'exercice qui devait le plus la ravir. Définir une relation. Je poursuivis donc le jeu, toujours avec des pincettes : "Tu veux quoi continue comme ça ? Amis pour tous, et un peu plus de temps en temps, sans que les autres ne le sachent et sans qu'il n'y quoi que ce soit d'officiel ou d'exclusif ? " Une amitié améliorée, ou relation libre comme c'était la mode en ce moment. Quelque chose de pas sérieux, qui n'engageait pas trop, qui n'effrayait pas trop ? Est-ce que c'était ce qu'elle voulait ? Les avantages d'un couple sans les contraintes ?
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Ce moment intrigant où il proposa un jeu, où toi tu t'imaginais que c'était celui d'Ivy, l'étonnement qui te gagna, il le remarquait. Il s'en amusait et tu ne pus t'empecher de sourire, malgré toi. Tu voyais bien qu'il cherchait a détendre l'ambiance, a te détendre même, puisque celle qui était en plein doute, paumée, c'était juste toi. Mais il ne parlait pas du jeu de ton ex meilleure amie. Soulagée, tu 'e savais pas si l'autre 'jeu' risquait d'être une bonne idée. Tu t'y prêtait quand même, essayant de savoir s'il allait y participer. Évidement que non. La seule qui compliqué tour, c'était bibi. D'ailleurs son 'moi je sais ce que je veux' il t'arracha le coeur. Bien consciente a ce moment là que tu devais encore lui faire de la peine. Et bon sang ce que tu détestais ça, savoir que toi même tu étais celle qui lui faisait le plus de mal. Celle qui le 'protégé' de tous, mais qui était la plus nocive. Tu répondais alors à sa question. T'appretant a dire un 'je sais pas' signe que tu étais perdue et pas fan de ça jeu, tu abandonnais, avouant la vérité : non. Il résuma la situation de façon si facile, que les mots te frappèrent. 'Pas de sexe' 'pas d'amitié'. Et c'était quoi le juste milieu ? Y en avait il un au moins ? Il proposa la suite, évoquant le fait que personne ne sache pour vous, vos coucheries et que ça soit donc non officiel, ni exclusif. Je me moque qu'ils sachent, je l'ai dit à Marin, à Maxime, à Ivy. Tu en avais parlé à tes meilleurs amis, preuve que tu n'y voyais pas de problème. Tu ne souhaitais pas cacher ça et fallait qu'il le sache. Il semblait persuader que tu tenais a ce que personne ne soit au courant, hors non. Quant au reste, au non officiel et exclusif, tu réfléchissais. Je sais pas si j'ai envie de passer après d'autres que tu annonces avec une facilité déconcertante. Ça n'avait pas eut lieu jusqu'à présent, à moins qu'il te disait rien, qu'il te cachait des choses, mais t'étais pas certaine d'être okay pour passer entre des filles différentes. Est ce que ça voulait dire non au non officiel ? En fait, la réponse tu l'avais. Plus la discussion avançait et plus tu l'avais la réponse. J'ai envie... qu'il n'y ait... que moi. J'ai pas envie d'autres gars mais... pourquoi t'avais déjà fini ta bière ? ...mais c'est la notion de couple qui m'effraie. C'était trop définit, trop clair. Et à tes yeux c'était un mot qui emmenait trop de problèmes. Pourtant adepte de ça, pour le coup pas vraiment. C'était un statut qui détruisait plus qu'autre chose à tes yeux quand il était ajouté aux sentiments. Te posant sur un des tabourets autour de l'îlot central de la cuisine, tu semblais désespérée. Larguée. Peut être plus perdue que jamais.
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Petit rire, petite taquinerie, juste de quoi lui attacher un sourire parce que vit, elle se crispa à nouveau. Je m'en voulais presque de lui imposer cette "mise au point" mais je savais qu'à rester dans le flou, sans savoir clairement ses attentes, je risquais de la blesser, de la brusquer, de tout gâcher... comme lorsque ma main avait enserré sa taille à la vente de calendriers, geste de trop apparemment. Ça et le fait qu'elle ne se risquait à des baisers et des rapprochements que lorsque nous étions que tous les deux, ça me fit formuler cette nouvelle hypothèse. Celle d'un statut quo. On restait comme ça. Amis. Parfois plus. En privé. Rien d'officiel. Rien d'exclusif. Ces mots ça résumait au passage notre situation actuelle. Ash répliqua alors que les autres, elle s'en fichait. Révélant au passage en avoir parlé à trois de nos amis. Un petit sourire se dessina sur mes lèvres, soulagé, ayant craint que peut être elle avait 'honte' et qu'elle m'en voudrait des quelques infos que j'avais lâché à Marin.  "Pas que du sexe.  Pas que de l'amitié. Les autres peuvent le savoir..."  continuai-je de résumer façon aussi de marquer mon accord et que je partageais cet avis. Elle resta ensuite un peu songeuse. Mon coeur se serra, et je sentais une petite bouffée de stress monter. J'avais voulu savoir alors fallait que je me prépare à encaisser. J'avais toujours connue ma meilleure amie en croqueuse d'hommes. Plein de conquêtes à son actif.  Rarement le même gars plusieurs fois. Je l'avais même surpris au pieu avec un de ses plans culs au Spring break... alors quoi ? C'était l'exclusivité qui la bloquait dans l'histoire ?  J'allais accepter ?  Me lancer dans un truc ouvert alors que je ne voulais qu'elle ?  Supporter de la voir au bras d'autres ? Et verdict. Je me rendais pas compte du large sourire qu'ourla mes lèvres quand elle manifesta qu'elle ne voulait pas passer après d'autres avant d'affirmer avec une certaine hésitation qu'elle voulait être la seule.  "Y'a que toi Ash ." Lui assurai-je en écho à l'aveu déjà fait le soir de ma sortie, le soir de nos retrouvailles. Je repris une gorgée de ma bière, comme pour essayer de masquer dans l'houblon le sourire qui trahissait ma satisfaction quant aux avancées et au chemin que prenait cette discussion. Et puis je me levai du canap à mon tour la rejoignant en quelques pas alors qu'elle s'était posée sur un tabouret, lui tendant le reste de la bouteille, la voyant qui, elle, perdait plus pied qu'autre chose avouant finalement que c'était la notion de "couple" qui l'effrayait. "On dira qu'on est un duo... Si c'est qu'une question de mots..." La taquinai-je avant de reprendre plus sérieusement : "Dis moi ce qui te fait peur Ash ?"
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