Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityBecause you live my world has twice as many stars in the sky • Denleigh
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Because you live my world has twice as many stars in the sky • Denleigh

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Dans ta chambre, sur ton lit, la musique en fond sonore, tu regardais le plafond, réfléchissant. A comment tu allais lui en parler. Quels mots utiliser. Tu ne voulais pas dire quelque chose de travers, quelque chose qui pourrait le contrarier. Mais t'étais consciente qu'il pouvait t'en vouloir. Lucky t'avait bien dit que tu avais déconné, que tu aurais dû lui dire tout de suite, et que plus tu attendais, plus il risquait de se braquer. Elle avait pas tord, mais comment expliquer une telle chose sans qu'il culpabilise ? Sans que son regard change ? Tu ne voulais pas de la pitié, juste qu'il sache, qu'il comprenne. Puis allait-il encaisser que tu te sois joué de lui avec ce faux couple ? Trop de questions sans réponses. Tu ne pouvais pas prédire ses réactions, tu devais juste foncer et voir ce qu'il adviendrait... C'était le moment d'ailleurs. La porte d'entrée qui claque, preuve qu'il rentrait du travail. Fermant les yeux un instant, inspirant une grande bouffée d'air, tu te mets assise sur le lit, puis te lève. Tu le vois dans la cuisine, et tu repenses à tes discussions avec Maxime, Lucky, ou lui, sur la plage. Pas trop longue la fin de journée ? que tu commences pour ne pas débuter par un 'faut qu'on parle' trop direct. Tu lui a dit hier que tu voulais lui parler. Et tu l'a vu y a quelques heures au garage. Mais devant le fait accompli ça devient stressant, angoissant...

@Denys Zacharias
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Fin de journée. Journée bien calme, sans le boss et qui avait donc été l'occasion de faire visiter à Ashleigh mon nouveau lieu de travail. Je l'avais aussi invitée à me rejoindre parce que sa présence m'apaisait,  m'empêchait de cogiter au silence de mon aîné. Priape savait. L'arrestation, les accusations contre moi, le procès, le verdict... Il savait que j'étais renvoyé d'Harvard à cause de cela et il avait crisé. M'engueulant au téléphone, me raccrochant ensuite au nez sans me laisser une chance de m'expliquer, restant injoignable depuis... Et je me sentais... terriblement mal. Y'avait qu'Ash pour me faire aller mieux. Sa visite au garage avait donc été une vraie bouffée d'oxygène dans mes ruminations. J'en oubliais pas qu'on devait parler. C'était ce qu'elle m'avait dit la veille. Forcément je m'imaginais le pire, craignant un gros frein, un stop à cette pente que l'on prenait. Mais elle était restée évasive et c'est songeur que je rentrais à l'appartement après mon après midi au taf. Direction la cuisine, direction le frigo, pour me sortir une bière et en voyant ma blondinette préférée arriver, en sortir une deuxième. " Sans toi c'était interminable..."  En d'autres mots, tu m'as manqué Ash. Je m'avançais jusqu'à elle, déposant mes lèvres contre sa joue, même si j'aurais aimé les poser ailleurs, sur les siennes... Je savais que ces démonstrations d'affection la mettaient mal à l'aise et je craignais d'ailleurs que ce ne soit ça le problème qu'elle voulait aborder ce soir. Lui tendant sa bière, je lui retournai ensuite sa question :  "Et toi ça a été ?   " J'aurais pu lancer en disant 'alors tu devais me dire quelque chose' mais je crois que je redoutais un peu cette discussion.
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Il est là, il vient de rentrer et si les autres jours ceci te mettait le sourire aux lèvres et de bonne humeur, là ça te donnait presque des nausées. Fallait lui parler et ne sachant absolument pas la réaction qu'il aurait a tes aveux, t'étais pas bien. Peut être que c'est maintenant que tu allais le perdre... Pense pas a ça, ça t'aidera pas Ash'. Le voyant dans la cuisine, tu préfères aborder la chose en douceur, commençant par savoir comment était sa fin de journée puisque tu étais venue lui rendre visite, à sa demande, au garage. Interminable sans toi. Sa réponse étire un sourire, à la fois te met encore plus la boule au ventre. Un baiser sur ta joue, et une bière qu'il te tend. Tu ouvres cette dernière qui tombe a pique, qui t'aidera un peu au moins a te lancer. Banale. T'avais rien fait de spécial, hormis aller le voir et ensuite réfléchir, envoyer des messages et écouter de la musique. T'avais trop réfléchi, mais tu savais pas pour autant comment commencer cette discussion. 'Hey, j'ai été kidnappé fin mars, j'ai pas eut d'accident' 'J'étais pas en couple tout ce temps, c'était bidon'. Ouais ça sonnait vraiment pas bien dit comme ça, même si ça serait radical et bref pour ensuite te lancer dans les explications. Tu te décides a avaler une gorgée de ta bière, une bonne gorgée... Je sais pas par où commencer mais... j'ai besoin que tu me laisses parler, que tu écoutes tout ce que j'ai a dire, me coupe pas, sinon je suis pas sûre d'y arriver Den', d'accord ? Qu'il soit attentif surtout, c'est important ouais, et qu'il te laisse finir avant de dire quoique ce soit. Tu verras déjà bien sur son visage ce qu'il pense au fur et à mesure que tu diras toute la vérité, tout ce qui te pèse depuis plus de deux mois et demi. Un regard vers lui, tu attends qu'il accepte pour pouvoir te lancer...
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Ambiance étrange. Contrastant avec la bonne humeur qui nous avait animés plus tôt au garage. Moi, quelque peu crispé, redoutant le discours de la jeune femme, et elle, particulièrement tendue aussi, ce qui n'avait rien pour me rassurer... Une bise, une bière et le point classique sur nos fins de journée respectives... Un silence s'installait, nos bouches trouvant nos bières respectives comme un refuge pour éviter encore un peu la discussion annoncée, que je n'étais pas sur d'avoir envie d'entendre. J'essayais de me rappeler nos échanges de la veille, moi, blaguant sur le larguage impossible vu qu'on n'était pas en couple, elle, m'assurant que ce n'était pas cela, que j'allais devoir la supporter longtemps... Oui je repensais à cela en buvant ma bière et en la regardant faire de même, comme si j'avais besoin de me rassurer, de me défaire de ma crainte de la voir me filer entre les doigts... Et elle brisa le silence, lançant le sujet, émettant ses conditions auxquelles j'acquiesçai : "OK. " Et sa mine grave et sérieuse ne me rassurait pas. J'attrapai sa main libre pour l'attirer avec moi vers le salon. "Viens on va s'installer là. On sera mieux." Fis-je en l'entrainant vers le canapé sur lequel je m'assis avant de tourner le visage vers elle, petit air d'enfant sage et attentif, zipant symboliquement ma bouche de mon pouce et mon index, lui faisant comprendre avec une touche d'humour que je ne dirais rien et que je respecterais ses consignes.
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Quand il faut y aller, il faut y aller. Le moment était venu de lui dire, tout, plus ou moins. Il avait fait appel à toi quand son frère avait apprit pour la prison et Harvard, alors c'était la moindre des choses, d'enfin prendre ton courage à deux mains et de lui dire. C'était ton meilleur ami avant tout, tu ne voulais plus lui cacher quoique ce soit. Tu voulais pas que tes sentiments t'empêchent de te livrer à lui. Tu concevais pas votre relation, votre amitié comme ça. Autant ne pas tourner autour du pot et aller droit au but, avant tu veux mettre a plat quelques points; qu'il écoute tout et qu'il te coupe pas. Il accepte et t'entraine, de sa main dans la tienne, vers le canapé. Ce simple contact affole ton coeur et agrandit cette boule au ventre. Et si c'était le dernier contact que vous aurez ? Assise à ses côtés, face à lui, tu souris en le voyant faire cette mime comme quoi il va se taire. Une inspiration, une gorgée de ta bière, et tu te lances.Y a quelques mois j'ai eut une aventure avec un prof, on couchait juste ensemble mais, un soir en rentrant de chez Lucky, je l'ai vu se faire tabasser par des gars, alors je l'ai aidé à le ramener chez lui. J'ai aussi découvert qu'il avait des soucis d'argent avec eux et qu'ils l'ont menacé de s'en prendre à moi... Tu le regarde un instant, bien qu'il va pas comprendre tout de suite, ça c'est la partie encore 'facile'. Tu te souviens de mon week end dans le New Hampshire ? Celui où je suis allée voir des amis et que je suis jamais rentrée le dimanche ? Tu le regardes, voyant qu'il s'en souvient, tu reprends : je suis en faite rentrée le dimanche, je n'ai pas eut d'accident... Je suis tombée sur ces mêmes hommes qui essayait de trouver des choses de valeur au loft. Et... Et... Ils m'ont... enlevé.... T'oses pas le regarder, voir l'expression de son visage, parce que t'as pas fini encore. Si je suis encore là, a te parler... c'est parce que Darren m'a sauvé... Ce Darren, cet 'ex' c'est pas du tout ce sue tu crois... C'est pas un étudiant, c'était pas mon petit ami mais, un flic sous couverture. J'ai pas eut le choix de devoir jouer cette comédie si je ne voulais pas qu'ils me fassent changer d'identité et me faire 'disparaître'... Têtue que tu es, tu avais préféré rester avec tes proches et craindre ta vie, plutôt qu'être saine et sauf et devoir jouer à la morte. Tu oses toujours pas le regarder, ton regard fixé sur tes doigts et le sol aussi. Je pouvais pas t'en parler, ni à toi ni à personne, et avec ton arrestation c'était encore pire... Si je dors mal, c'est à cause de ça, à cause du procès qui est bientôt... Trop bientôt même. Ça t'angoisse complètement de devoir témoigner et parler devant des inconnus, a dire ce que t'as subit, te le rappeler encore et encore. Tu voulais juste oublier ces souvenirs. Darren, si tu l'as déjà pas deviné c'est... Declan... que tu lâches finalement. Ouais le faux étudiant, flic au final, c'était bien l'inspecteur qui s'est occupé aussi de son enquête. Le but n'était pas de te blesser, absolument pas... c'est sur ça que tu termines, histoire d'être claire, même si tu te demandes s'il va y croire ou pas. Tout ce qui te préoccupe là c'est qu'il croit que t'as joué avec lui, que tu lui a fait du mal volontairement. Ta bouteille en main, tu essayes d'enlever le papier autour de celle ci, comme pour t'occuper, te destresser en attendant qu'il dise quelque chose à son tour. Le coeur serré, la boule au ventre, tu sens ta gorge sèche et tu avale péniblement ta salive. La peur de poser tes yeux sur lui, de croiser ses pupilles, et d'y lire une quelconque déception ou amertume, tu ne relève pas le visage. Les secondes qui défilent te semble des heures. Telles des aiguilles qu'on planteraient dans ta peau, t'as mal de partout. Mal de repenser a ces trois jours, à tous tes mensonges, à lui. Tu sais plus où te mettre, pas à l'aise dans cette discussion, dans cette situation, tu gigotes. Avoir attendu tout ce temps, ça a peut être envenimé les choses, parce que ça vous a laissé le temps de grandement vous rapprocher et peut être de le faire se sentir encore plus trahie.

Hj : c'est long car elle raconte tout d'un coup et encore je suis pas rentrée dans les détails exprès xD ça sera court après, à nouveau Because you live my world has twice as many stars in the sky • Denleigh 3619069448
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Cette crispation, cette ambiance, j'aurais fait n'importe quoi pour la détendre pour me détendre, pour faire s'évaporer mes peurs idiotes. Alors je me répétais mentalement ses textos rassurant, je nous mettais plus à l'aise en l'entrainant sur le canapé puis je fais le zouave deux secondes en zipant mes lèvres, donnant ainsi mon accord  à la jeune femme quant à ses conditions. J'allais me taire et l'écouter jusqu'au bout. Alors ça commençait mal. Un prof. Elle allait me larguer pour ce prof. TG Den, elle a dit qu'elle te larguerait pas. Écoute un peu. Je clignant des yeux, me recentrant sur ses débuts de révélations. Le mec tabassé. Je fronçais les sourcils en écoutant ça, les problèmes d'argent, les menaces sur Ash. Son regard accrocha le mien. J'ouvrais la bouche pour commenter et me ravisais en me rapellant ma promesse. Je crois qu'à ses yeux, l'étincelle qui y brillait, particulière, je sus à cet instant que le pire restait à venir, que mes petites craintes débiles et égocentriques d'un rival, d'un stop étaient complètement débiles. Elle reprenait, évoquant son week-end dans le New Hampshire. J'hochai lentement la tête pour signifier que oui, je m'en souvenais. Et ce que je redoutais, ce que j'avais pressenti dans ses yeux la minute d'avant se confirma. Je déglutis difficilement. Ash se faisait hésitante dans le choix de ses mots. Elle avait détourné les yeux, manquant l'expression horrifiée qui peignait soudainement mes traits. Mon envie de l'ouvrir, de pester. Mes poings qui se serraient, la jointure de mes doigts qui blanchissait,  mes dents qui se serraient. Ash enlevée. Et je me souvenais à merveille de ce week-end là.  Sa disparition. Le loft sans dessus dessous. Le stress. L'angoisse. Sans nouvelle... Et sa réapparition. Ses bleus. Son visage tuméfié. Comment j'avais pu ne pas le voir ? Ne pas comprendre ? Et elle n'avait pas finit. Elle parlait de Darren et me révélait alors ce que miss Burberry avait pressenti : pas son ex. Ce type était flic sous couverture qui avait tenu ce rôle de petit ami pour assurer sa protection. J'avais envie de la couper d'un "pourquoi tu me l'as pas dit" mais j'avais promis de rester silencieux. Puis elle ajoutait qu'elle n'avait pu en parler à personne. Et quand à nouveau la lumière se fit sur ses problèmes de sommeil que j'avais bien noté, je me foutrais des baffes de ne pas avoir compris plus tôt,  d'avoir mis ça sur le compte de l'état de son père, ou plus récemment ses prises de têtes avec Ivy. Et puis nouvelle information : Darren n'était pas Darren mais en fait Declan. Le lieutenant Yates-Hamilton. Et sa dernière phrase je l'entendais à peine. Abasourdi  par toutes ces révélations. "Ces gars là ils les ont arrêté ?  Je vais les buter..." rageai-je entre mes dents. Et dieu sait que dans la bouche d'un peace and love dans mon genre, ce genre d'expression de violence c'était fort. Incapable de penser à moi-même, à tout ce que cela provoquait en moi, qu'elle m'ait menti, qu'elle m'ait caché tout cela, ce que ça disait de la fragilité de sa confiance en moi, de la fragilité de notre lien; sur le coup je n'y pensais pas du tout. De toute façon c'était de ma faute. Si elle ne me parlait pas. Si elle ne s'était pas confié avant. C'était parce que j'étais un piètre meilleur ami, probablement obnubilé par mes sentiments pour elle. J'étais donc d'abord fou furieux contre ses agresseurs. Et lorsque mon regard se posa sur elle, ma colère se changea en inquiétude. C'était juste à elle que je devais penser. Et elle avait pas besoin de me voir péter un plomb. Et ses yeux rivés sur sa bouteille, ses doigts s'activant sur l'étiquette, elle paraissait si... mal.. . "Ash..." Mes doigts stoppèrent les siens, doucement. Et tirant délicatement sur sa main, j'ecartais les bras pour venir l'enlacer. "Ash... Je suis désolé..." Soufflai-je en la serrant contre moi. Désolé de ce qu'elle avait du endurer. Ce qu'elle avait vécu. Ce qu'elle du garder pour elle.
 
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T'avais seulement vu le hochement de sa tête qui signifiait qu'il se souvenait bien de ton week end dans le New Hampshire. Comment oublier ? Pour toi c'était un peu là que votre relation avait prit un tournant. Après tous les petits déjeuners, après les multiples phrases remplies de séduction, de drague, durant cette semaine là, le week end avait accentué tout ça avec des textos plus que explicite sur vos envies. Envies clairement pas chastes, qui avaient déjà bien dépassé le stade de l'amitié. A partir de là, t'avais baissé le regard, n'osant plus l'affronter si tu voulais continuer. Tu essayais d'être clair, de dire ce qui avait a dire sans trop rentrer dans les détails. Il avait pas besoin de savoir ce que t'avais subit dans ce sous sol. T'avais pas besoin de l'inquiétait plus. Tu allais jusqu'au bout de ton récit, expliquant aussi pour Darren, aka Declan. Et une fois finit, tu n'osais toujours pas l'affronter. A la place tu torturais l'étiquette de cette bouteille de bière pour dissimuler tout stress, toute angoisse, inquiétude. S'il le prenait mal tu comprendras, et à la fois tu serai brisée. T'avais voulu le protéger à l'époque, de tout ça, de toi, de tes agresseurs. Les premiers mots qu'il libéra était concernant ces hommes, se faisant menaçant. Ta tête se redressa d'un poil, surprise d'entendre de tels mots sortirent de sa bouche. Il avait toujours été calme, pas du tout bagarreur. Toujours prêt a pardonner les personnes, a ne pas attaquer, ni se venger. Mais là... Était ce signe qu'il supportait pas qu'on est pût te faire du mal comme ça ? Oui... Fin mai, quand je t'ai annoncé que j'étais plus avec lui, avec Darren. Puis continuant de t'acharner sur cette étiquette, ses doigts vinrent stopper les tiens. Sa voix ne semblait pas en colère quand il prononça ton diminutif. Encore moins quand il t'attira à lui, dans ses bras, s'excusant même. Quoi ? C'était pas à lui de s'excuser quand même. C'est moi qui est désolée Denys... De t'avoir blessé, de t'avoir menti mais... j'avais peur qu'ils s'en prennent à toi. Puis il avait été en prison ensuite, ses propres problèmes pour ne pas rajouter les tiens sur ses épaules. Serrant tes bras autour de sa taille, un peu sur la réserve, un peu gênée. Je... je préférais prendre le risque que tu t'eloignes que... que tu sois blessé. Enfin bon au final tu l'avais blessé aussi, certes, mais ça n'avait pas été facile pour toi, tout ça. Je suis désolée... et puis t'avais flippé de tes sentiments, mais ça comment lui faire comprendre ? Quand il est incapable de voir les preuves déjà sous ses yeux ? Tu te sentais soulagée d'un poids de lui avoir dire mais tu angoissais toujours, de ce qu'il puisse penser de tout ça. Est ce que ça allait tout changer ? Est ce que Lucky avait raison que tu aurais dû lui dire tout de suite ?
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J'exprimais ma colère sur un ton haineux qui ne me ressemblait pas. Ces agresseurs... À cet instant précis j'aurais été capable de leur faire endurer le pire. Parce que je me rappelais des marques sur son visage, des ecchymoses sur son corps, ce qu'à l'époque j'avais naïvement pris pour des séquelles d'un accident. J'avais été bête de ne pas voir, de ne pas comprendre, et si je culpabilisais, si je m'en voulais, c'était d'abord avec une envie de trucider ces gars que je m'exprimais... Pulsion et expression de violence que je finis par réfréner en observant le malaise de mon interlocutrice. Elle n'avait pas besoin d'un Denys en crise. D'un Denys fou furieux. Elle ne m'avait pas tout révéler pour que je pète un câble alors je pris sur moi pour me raddoucir. Et savoir que ces salopards étaient arrêtés m'aida un peu. J'attirais ensuite doucement la jeune femme dans mes bras avec un désolé qui exprimait toute l'impuissance qui l'habitait face à ce qu'elle avait vécu. J'aurais voulu être là, plus présent, plus compréhensif, plus aidant. J'aurais voulu être un vrai meilleur ami et pas cet égoïste complètement nul qui n'avait pensé qu'à sa tronches et qui avait tapé sa crise de jalousie en la voyant en choisir un autre. Mes bras autour d'elle, une de mes mains se perdit dans ses cheveux alors que je lui soufflais :  "Chuut Ash. T'excuse pas. T'as géré les choses comme tu pouvais... Et si je suis désolé. Désolé de pas t'avoir facilité la tâche. " A être la. Jaloux.  Possessif. A l'embêter avec mes sentiments. Et si j'avais pu croire l'espace d'un instant que c'était par manque de confiance qu'elle n'avait rien dit, elle me livra une autre explication en reprenant sur la peur que ses agresseurs s'en prennent à moi.  "T'en fais pas pour moi Ash... T'en fais pas pour ça.." Fallait pas qu'en plus du traumatisme qu'elle avait vécu elle se préoccupe de mon petit amour propre blessé. Elle avait assez à gérer, à cogiter... Alors la seule chose que je pouvais faire, c'était de resserrer un peu plus mes bras autour d'elle en lui soufflant des mots rassurants  :  "Je suis là Ash. Je suis toujours là et je le serais toujours. Tu peux en être certaine." Qu'elle se sente bien, qu'elle se sente en sécurité... Que je lui enlève un peu la pression que mon insistance quant à nous deux avait pu faire naître en elle. Je ne bougerais pas.  Je ne la lâcherais pas. Pas pour ça. Pas plus que pour son indécision quant à nous. Je serais son meilleur ami. Son meilleur ami avant tout le reste.
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Tu l'avais fait, t'avais enfin eut le courage de lui raconter, de tout lui dire. Il savait désormais ce que tu avais traversé. Il savait aussi que tu n'avais eut aucun accident, ni aucun petit ami tout ce temps. Il pouvait arrêter de croire que tes mots dans tes lettres n'avaient été que blabla pour te jouer de lui, l'apaiser, ou peut importe ce qu'il pensait d'autre. Indirectement, tu lui confiais que tout ce temps, il n'y avait eut que lui. Lui seul pour qui tu te battais, a faire sortir de prison, a garder ce qu'il ressentait pour toi, a te livrer sur ces feuilles de papier, en lui disant des choses que tu ne pouvais dire qu'à un seul homme, qu'à lui. Mais tout ça, c'était bien caché dans tes non dits. Seulement toi pouvait le voir, le comprendre, de vous deux. La preuve, il continuait de s'excuser de pas t'avoir rendu la tâche facile. Arrête Den', tu te rends pas compte que j'ai tenu grâce à toi, à tes lettres, tes appels... Si tu n'avais pas eut tout ça, tous les sous entendus, les aveux, tu te serai encore plus enfoncé dans ce trou dans lequel tu étais tombée à l'époque. Il fallait qu'il sache qu'il avait contribué, et pas qu'un peu, a ce que tu tiennes le coup. Oui, s'il avait été dehors ça aurait été mieux. Il aurait pu te prendre dans ses bras, comme il le fait là, pour te réconforter, te rassurer, te donner cette sensation de sécurité. Mais il avait fait beaucoup déjà et là encore il s'en rendait absolument pas compte. Il minimisait à lui seul ce que tu ressentais pour lui. Son importance. Il avouait au moins être là et qu'il le serait toujours. Fermant les yeux un instant, savourant son contact, cette étreinte, tu relevais le visage vers lui, tentant de supprimer ce regard inquiet qui brillait dans tes pupilles. Tu promets, tu promets que tu seras toujours là ? Parce que j'étais plus que sincère, si je te perds, je le supporterai pas... Est ce que c'était assez clair ça Zacharias ? Est ce que tu la vois la sincérité qui la gagne ? La bouleversation de cette pensée que tu t'éloignes d'elle ? La tristesse que tu la laisse derrière ? Est ce que tu la vois cette détresse qui l'habite de perdre le seul qui compte autant, qu'elle se perd elle même entre ce qu'elle ressent et ce qu'il faut faire ?
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"J'aurais voulu faire plus Ash. J'aurais du comprendre. J'aurais du être là pour toi. J'aurais même du te rejoindre comme on l'avait évoqué ce week-end là, j'aurais du..." Mais mes mots mouraient sur mes lèvres. Car rejouer tout ça, tout refaire à coup de 'si' ça ne servait à rien à posteriori. Tout ce que je pouvais faire c'était d'être là. Présentement. Maintenant. Et c'est ce que je fis en la serrant tendrement contre moi, en lui assurant que je serais quoi qu'elle se passe. Histoire qu'elle n'ait pas de craintes sur la suite. Quoiqu'il se passe, même si elle m'avait dissimulé tout ça, je lui en tenais absolument pas rigueur. Ça changeait rien. Je restais son meilleur ami et je le resterais. Elle relevait son visage vers moi, ses yeux dans les miens et elle me demandait de confirmer encore. "Je promets..." Mes prunelles dans les siennes, mes doigts se perdirent un instant sur sa joue,  caressant sa peau , petit geste attendri alors que mon regard ne vrillait pas, se noyant dans le sien. "Je serais toujours là pour toi. A la place que tu veux que je tienne." Ma main sur son visage, mes yeux dans les siens, je savais que cette promesse me coûterait peut être. Parce que la place qu'elle voulait que j'ai n'était pas forcément celle que je désirais, celle qui m'autoriserait à capturer ses lèvres des miennes à cet instant. Mais après de tel aveux c'était encore plus clair qu'avant : Ash avant tout. Ce qu'elle voulait. Ce qu'elle désirait. Ne pas la brusquer. Et pour être sûr de ce qu'elle souhaitait, sans laisser de place au doute je repris : "Qu'est-ce que tu veux Ash ?"
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