Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityNevada&Alek - Détente et bien-être. - Page 2
Le deal à ne pas rater :
LEGO Icons 10331 – Le martin-pêcheur
35 €
Voir le deal


Nevada&Alek - Détente et bien-être.

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Nevada

• Qui n’a jamais rêver d’écrire un livre sur sa vie ? Pouvoir raconter ce qui lui est arrivé, ces moments de bonheurs mais aussi de malheurs ? Ne sachant pas vraiment par quoi commencer et ne voulant pas faire dans le cliché en commençant par un simple « Il était une fois, dans une petite ville de France, dans une maternité blablabla naquis par un beau temps d’été cet enfant qui aura pour prénom… », vous chercherez par quoi commencer, vous aurez envie d’être original, est-ce que raconter votre naissance est vraiment si important que ça ? Après tout, tout le monde s’en fou de l’endroit où vous avez pu naître et du prénom de vos parents… Alors vous allez réfléchir et vous allez zapper cette partie de votre enfance jusqu’à votre dixième année, vous pouvez en parler, mais seulement si quelques choses d’exceptionnel a pu se passer dans cette période, quelques choses qui nous aiderait à comprendre pourquoi vous êtes comme ça, mais autrement, ignorez cette partie, votre première dent, vos premier mots, tout le monde s’en tape. La rencontre d’une personne avec qui vous êtes toujours en très bon contact pourrait vous faire un bon début. Par exemple, un ami, votre meilleur ami, cette personne pour qui vous serez prêt à tout lâcher, à tout sacrifier si il vous le demandait. C’est avec cette personne que vous avez vécu vos plus beaux moments, vos plus belles conneries, vos prises de tête, tout le monde pourrait se reconnaitre dans cette partie-là. Savoir que votre cœur a été brisé ? On s’en fou sérieusement ! Qui n’a jamais ressenti ça ? Vous ne cherchez pas à ce que les personnes lisant votre livre prenne pitié de vous, loin de là, vous voulez les faires sourires, les amuser un peu. Vous allez commencer par raconter vos plus belles conneries, vos plus beaux fous rires, que ça soit celui en cour ou bien celui dehors avec vos amis. Et puis, à une période, vous allez devenir un peu plus sérieux, vous allez parler de certains malheurs qui auraient pu vous faire devenir la personne que vous êtes. Car n’allez pas écrire quelques choses, racontant la vie d’un adolescent heureux et souriant, et puis du jour au lendemain, vous montrer mélancolique ou bien froid, distant, sans aucun but précis. Vous allez raconter vos plus beaux voyages, ceux qui vous ont ouvert l’esprit, et puis, vous allez changer quelques choses, cherchant à être original, vous allez laisser une trentaine de page blanche à la fin. Certaines personnes se demanderont, et puis, en réfléchissant, vous comprendrez, durant toute cette histoire raconter vous aurez fait attention à ne pas dire une fois votre nom ou votre prénom, c’est seulement la dernière phrase qui dévoilera votre identité, par exemple, pour le cas de notre ami Lewis-Kennedy, la dernière phrase de son livre sera tournée à peu près comme ça : « Voici le début de mon histoire qui commence seulement, enchanté, moi c’est Alek Ezra Lewis-Kennedy… » Les pages blanches seront là pour continuer d’écrire cette histoire, car oui, ce n’est pas à mon âge que j’allais voir ma vie s’arrêter, j’en avais aucune envie, trop de belles choses m’étaient arrivé pour vouloir tout arrêter ici, quitter ce corps et rejoindre un autre monde… •

• Peut-être que des fois je partais trop loin, peut-être que à certain moment, j’oubliais cette chance que j’avais d’être en vie, en bonne santé et d’être à Harvard, mais, qui n’est pas comme ça de nos jours ? Qui ne va pas se remettre en question ? S’imaginer un avenir parfait ? Rêver tout simplement ? Peu de monde je pense. Colombe, cette fille c’est une longue histoire en fait, j’m’étais vraiment accroché, et, j’avais vu ce que ça faisait de se faire jeter. Se réveiller un beau matin, voir que tu es seul et que tu as pour seul ami cette vague odeur qu’elle a pu laisser en partant. "Je suis désolée, tu me tapais pour avoir été trop curieuse, je le mérite. Si ça peut te rassurer, je pense que son geste signifie clairement qu'elle ne te méritait pas." Ne pouvant m’empêcher de sourire à sa réponse, je n’allais pas la taper pour ça, après tout c’était la vie, et si elle n’était plus à mes côtés au jour d’aujourd’hui, c’est que ce n’était pas la bonne, c’est tout, je ne vais pas me prendre la tête. Alors, relevant la tête pour plonger mon regard dans le sien, j’essaya de la rassurer, lui montrer qu’elle n’avait pas besoin de s’excuser. « T’as cru que j’allais te frapper ? J’suis pas un violent moi ! Mais, t’en fais pas, si elle est plus là, c’est que ça devait être ainsi, j’m’étais impliqué dans cette histoire, mais, je regrette rien en fait, c’est la vie et j’y peut rien, c’est que c’était pas la bonne ! » C’est ce que je m’étais rentré en tête, que Colombe n’était pas la bonne, car autrement, elle ne serait pas partie. Bref, tout ça, c’est du passé. Maintenant, je laisse les jours venir à moi, je laisse les choses se faire… "Ah non t'inquiètes aucun abruti viendra esquinter ton visage. Au pire pour me faire pardonner, je t'aurais payé la chirurgie pour que tu sois tout beau de nouveau. Je m'en serais voulu, tu sais." De la chirurgie ? Cette fille est folle, mais, c’est ce que j’aime chez elle en fait, cet humour assez spécial qui te pousse à sourire, car elle sait détendre l’atmosphère, elle sait mettre les gens en confiance en un claquement de doigts, comme si avec elle, on risquait rien. Secouant la tête, je la vis essayer de remettre ces cheveux en place, cheveux qui étaient complètement mouillé, comme quoi, ça chauffe bien ces merdes là ! Le sauna je parle hein, pas les cheveux. Bref, voulant l’embêter un peu, je passa ma main dans ces cheveux pour les ébouriffer un peu pour ensuite prendre la parole. « Genre de la chirurgie ! T’imagine la tête bizarre que j’aurais après ? Une tête à la Stallone un peu ! » Niveau humour débile, j’en tient une bonne couche moi aussi, mais, je m’en suis jamais caché. •




© fiche créée par ell

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Alek & Neva' "Détente et bien être"



Parfois tu te poses des questions sur ta vie. Notamment si tu as fait le bon ou le mauvais choix, si cela valait le coup. Choisir entre le bien et le mal peut s’avérait parfois difficile car après tout en chacun de nous vit le bon et le mauvais et c’est sûrement ça qui complique les choses, tu es en réalité tiraillé par les deux facettes de toi sans t’en rendre réellement compte. Pendant des années, tout le monde a cru et moi aussi d’ailleurs que je n’étais habité que par le bien, que j’étais un ange tombé du ciel comme par miracle, offrant ainsi le plus cadeau à mes parents : l’enfant parfait. Hélas personne ne l’est, c’est impossible et en plus ce serait complètement dommage car ce sont autant nos défauts que nos qualités qui font ce que nous sommes. La partie la plus sombre de moi a longtemps était caché, sûrement parce que je ne la voyais pas ou que je ne voulais pas le concevoir par peur de décevoir mes parents. Mais elle est bien présente, je ne le cacherai plus parce que j’ai appris à vivre avec, supportant mon côté parfois impulsif, le fait que j’ai du mal à faire confiance aux autres, celui d’être maladroite, trop curieuse, un brin perfectionniste. En bref la femme fatale indépendante qui attend juste qu’un jour quelqu’un l’apprécie pour toutes les facettes d’elle-même y compris celles qui sont parfois cachés parce que personne ne les soupçonne. Après tout quand on aime quelqu’un c’est pour le tout quitte à s’engueuler, à ne plus se parler pendant quelques jours car oui rien n’est parfait dans la vie sinon celle-ci ne serait plus un jeu et ne mériterait pas d’être vécu. Moi je prends la vie comme un grand jeu d’échec où les pions représentent tes choix, parfois ça marche, parfois ça, selon tes coups et ceux de ton adversaire le karma. Et jamais au grand jamais, je ne laisserai quelqu’un contrôlait ma vie quitte à me séparer de certaine personnes, car cela serait bien trop dangereux et signerait ma perte, alors que je cherche au contraire à vivre pleinement ma vie jusqu’au bout.

Mon dieu on se croirait en enfer, tellement il fait chaud dans ce truc. Tellement c'est la fournaise, là dedans, j'ai l'impression d'avoir le cerveau qui ramollit. Ce qui en soit est pas totalement faux, vu les réflexions pourries que je sors toutes les deux minutes. Le pauvre, il doit se demander si je suis pas folle à vrai dire, enfin bon il s'est pas encore enfui en courant donc la situation pourrait être pire. "T’as cru que j’allais te frapper ? J’suis pas un violent moi ! Mais, t’en fais pas, si elle est plus là, c’est que ça devait être ainsi, j’m’étais impliqué dans cette histoire, mais, je regrette rien en fait, c’est la vie et j’y peut rien, c’est que c’était pas la bonne !" Et qui plus est il gentleman pour la 3ème fois de la journée en refusant de me taper alors que je l'autorisais. Ah mais en fait il préfère peut être se taper moi dans le sauna, plutôt que de me taper... Sérieusement il faudrait songer à baisser la température de ce machin car ça en devient très dangereux! Quoique j'ai bien l'impression qu'il n'y a pas que le sauna qui fait que je n'ai plus tout mes esprits. *Respire Neva, respire* Moi qui avait arrangé mes cheveux, mon dur travail venait d'être réduit à néant par le geste d'Alek qui voulu emmêler ses mains dans mes cheveux, juste pour me faire rager. Quel vilain celui là, non mais je vous jure. Je ne pus m'empêcher de mettre mes mains sur ma tête pour aplatir mes cheveux. Je préfère passer pour une débile qu'être moche, voilà tout. " Genre de la chirurgie ! T’imagine la tête bizarre que j’aurais après ? Une tête à la Stallone un peu ! " La vache il a du sacrément réfléchir pour la sortir celle là. Il veut ma mort en fait car je n'ai pas pu me retenir d'exploser de rire. Tellement que pour éviter de me casser la figure sur le sol du sauna, je dus me retenir à la première chose qui fut à portée de main. La jambe d'Alek s'avéra donc être d'une très grande aide, me sauvant ainsi d'une humiliation. Retrouvant ma position d'origine c'est à dire, assise confortablement mais sans que ma main est bougé, je pus enfin ouvrir la bouche sans manquer de m'étouffer de rire. " Oh mais il est pas mal Stallone. Bon OK moins sex que toi." Et là gros moment de solitude, moi qui m'étais promis quelques secondes plus tôt de réfléchir avant de parler à voix haute, pour le coup c'était raté surtout que ma main commençai à jouer toute seule sur la jambe d'Alek. Voilà que je n'étais même plus maître de mon propre corps. Le pire dans tout ça, c'est que je faisais ça tout en continuant de le regarder comme si de rien n'était. En fait j'avais juste l'impression d'être apaisée en faisant cela, un sentiment que je n'avais jamais connue auparavant.
CODE BY ISOBEL
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Nevada

• On s’est toujours tous demandé ce qu'était le monde avant, comment était-il fait, comment les personnes y vivaient, comment ils s'en sortaient, à cette époque où seul la chasse et la cueillette étaient le seul moyen de se nourrir et de se fabriquer des vêtements. A cette époque-là ils n'avaient pas besoin de toute cette technologie pour vivre, qu'il n'avait pas besoin d'avoir la voiture la plus puissante, la dernière veste à la mode, le dernier jean tendance, d'un ordinateur pour suivre l'actualité de sa star préféré, de se tenir au courant de l'information, ou encore d'avoir le dernier écran plat dans sa grotte pour regarder les plus grands films en très bonne qualités. Non, tout ça, nos ancêtre s'en moquait, ils n'en avaient rien à faire de tout ça, d'être à la mode, d'avoir de l'argent, d'être comme nous tout simplement. Ces ancêtres vivaient en clan, en groupe, en famille, passant leurs journées à chasser et à dessiner. Leur histoire reste présente depuis des milliers d'années, que ça soit par les livres ou par les pseudo films que l'on peut voir, car oui, détrompez-vous, mais tous ces films parlant de ces époques nous disent trois quart de mensonge, essayant de tricoter autour de ce qu'ils ont pu lire dans un petit article d'un magazine ou autre... Qui n'a jamais creusé la terre de son jardin espérant trouver un os ou un crane ? Y passer une après-midi creusant de plus en plus, voulant faire comme Indiana Jones, car oui, vous avez vu son dernier film et vous avez eu envie de faire pareil, beaucoup de personnes l'ont déjà fait, qu’il soit enfant ou non. De son côté, l'étudiant en troisième année de philosophie la déjà fait, plusieurs fois. Il passait des après-midi entière à creuser dans son jardin à l'aide d'une petite pelle, sans jamais rien n'y trouver à vrai dire. Vouloir faire archéologue ? Non, jamais, il n'y avait jamais pensé et ce métier ne l'inspirait pas vraiment, en passe-temps oui, pourquoi pas... Vous arrivez à imaginer cette terre sur la quelle vécu des dinosaures, des homo-sapiens puis nous, cette terre ou les habitations étaient des grottes, puis des habitations précaires, pour ensuite avoir ce qu'on connaît, ces grandes villas, ces gymnases, ces buildings, de grands buildings... Et puis, dans tout ça, on va trouver des bâtiments qui changeront de l’ordinaire, que ça soit par leur fonction ou leur forme. Aujourd’hui, c’était la fonction du bâtiment ou j’avais mis les pieds qui changeait, ce n’était pas un salon de thé ou un bar, non, c’était un spa, un truc de bien-être, un truc ou quand t’en sors, t’es limite en train de planer tellement ça t’as fait du bien, tellement t’as apprécié ce moment que tu as passé. J’aimais bien ces trucs-là, certains diront que c’est plus pour les filles, d’autres en auront rien à faire, mais moi, j’aimais, c’est tout. •

•Aujourd’hui, ça changeait, j’avais beau aimer ce genre d’endroit, aimer en ressortir en planant, là, c’était différent, une autre touche de bien-être était assise à mes côtés, me déstabilisant légèrement par moment. C’est vraiment étrange la sensation qu’une femme peu vous faire lorsque vous augmentez la chaleur dans la pièce, t’as tout de suite l’air plus con, tes mains trembles, tes pieds s’agitent sans raison valable, ton cœur accélère et rate tes étages à certain moment, et c’est là que tu te dis que putain, si tu laisses partir cette fille sans avoir au moins tenté quelque chose, c’est vraiment que t’es un gros caca prêt à être envoyé dans les égouts alors. J’pensais pas que Nevada allait avoir cet effet là sur moi en fait, peut-être la chaleur qui décuplait nos sens ou je ne sais quoi, mais là, j’étais vachement attiré par elle en fait. Bien sûr, n’allez pas croire qu’avant ça, je la trouvais moche chiante et puante, loin de là même, j’ai toujours dit que c’était une belle femme, agréable, et qui sent bon. C’est ce sauna, cette chaleur, ce moment qu’on passe ensemble qui m’autorise à m’imaginer demain à ces côtés, c’est étrange, mais j’aime, j’aime cette sensation qu’elle me procure. J’avais légèrement ébouriffé ces cheveux pour l’embêter, et, la petite tête d’enfant vexé qu’elle fit tout en aplatissant ces cheveux me fit rire. Sans vraiment avoir le temps de voir quelque chose, je la vis se rattraper à ma jambe pour ne pas tomber. Bon, je vous l’avoue, j’ai rigolé quand je l’ai vu manqué de tomber, mais, qui ne l’aurait pas fait, sérieusement ? " Oh mais il est pas mal Stallone. Bon OK moins sex que toi." Mais… Elle est folle ! Stallone pas mal ? La chaleur lui est monté à la tête je crois là, réellement ! D’un côté je m’en moque en fait, car la fin de sa phrase ma fait assez plaisir. Sa main était là, toujours posé sur ma jambe en train de faire je ne sais quoi, se balader doucement, ces doux doigts chaud en contact avec ma peau me faisait sourire. « Stallone il est pas beau attend ! Il a une tête en rectangle, j’vois pas comment tu peux le trouver pas mal, mais… Si j’suis plus sex que lui, ça me convient ! » La regarda en souriant, sa main toujours sur ma jambe, j’avais moi aussi envie d’effleurer sa peau du bout de mes doigts. Alors, j’allais le faire. Après tout, qu’est-ce que j’avais à perdre ? Approchant ma main de son dos, je caressa doucement ce dernier du bout des doigts. « Ça te fait une peau ultra douce… Et aussi… j’suis pas responsable des choses qui vont pouvoir se passer dans cette pièce ou ailleurs… » Je ne sais pas si elle allait comprendre ma dernière phrase, j’en avais aucune idée, mais j’avais préféré prévenir. C’était étrange cette sensation, ce bien-être mais à la fois cette appréhension, appréhension de savoir si vous êtes le seul à ressentir ça ou non… •





© fiche créée par ell

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Alek & Neva' "Détente et bien être"



Moi je n’aime pas raconter ma vie, non pas que je n’aime pas ma vie au contraire, elle est enrichissante surtout ces derniers temps où j’explore de plus en part des parts de moi-même. Je préfère que le gens me connaissent au fil du temps, qu’ils me découvrent un peu plus à chaque instant passés avec eux, je veux qu’ils lisent mon histoire petit à petit, que chaque jour ils en apprennent un peu plus sur moi, une anecdote, une expérience. Laisser une part de mystère c’est bien, ça rend la chose plus excitante, et ça te donne envie d’en savoir plus, qui plus est ça cultive aussi ton imagination. Ca me ferait d’ailleurs rire si les gens diraient de moi que je suis en fait une écolo activiste le jour mais une héroïne aux supers pouvoirs la nuit ! Enfin les gens peuvent toujours rêver je n’enfile pas une combinaison en latex noir lorsque le soleil se couche pour venir au secours des petits chats en danger même si la chose pourrait s’avérer être marrante. Qui sait peut être que je rajouterai peut être cela sur ma liste des choses à faire durant mon existence. Mais pour l’instant mes priorités sont notamment de finir mes études haut la main, de faire le tour du monde et de trouver la personne qui saura faire battre mon cœur qui hibernent depuis ma dernière histoire à laquelle j’ai mis fin prématurément pour réaliser mon vœu numéro un. Je n’y pouvais rien si à l’époque mes études étaient plus importante à mes yeux, que l’amour, et puis de toute manière je suis loin d’être pour vivre le grand amour à distance. Très peu pour moi ce genre de choses, je ne vois pas l’intérêt d’aimer quelqu’un sans qu’on puisse le toucher ou même lui parler en face à face. Enfin cela ne sous entend pas que je suis le type de fille à être sur le dos de mon copain toutes les deux minutes loin de là. Mais bon après chacun ses croyances et peu m’importe si les miennes plaisent aux autres ou non, tant qu’elles me conviennent à moi alors je le vis bien, soyez en surs. Je n’ai nullement honte de mes convictions, et encore moins qu’on me prenne pour une folle à cause de mes activités extra scolaires. J’assume totalement qui je suis, j’ai appris à m’aimer tel que je suis réellement durant l’année passée alors tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.

Un monde qui à vrai dire devient bizarre en cet instant, enfin bizarre n’est pas vraiment le mot, je me sens toute chose en fait, et le fait que mon cerveau soit réduit en compote par cette chaleur sèche n’aide pas vraiment à me ramener à la réalité. Une réalité auquel je n’aurais pas songé quelques heures plus tôt quand je me trouvais encore dans ma chambre chez les Quincy pour me préparer à cet après-midi. Visiblement faut croire que le destin m’avait poussé à accepter de venir ici en sa compagnie. Le destin se jouait de moi à vouloir prendre possession de mon corps à moins que ce ne soit une partie de moi qui m’avait forcé à me rattraper de justesse sur la jambe d’Alek provoquant ainsi une atmosphère pleine de sous entendus qui n’attendent qu’à être compris pas les personnes en questions. En une fraction de seconde, j’avais l’impression de devenir faible, comme si quelque chose venait de se réveiller en moi. Quelque chose d’enfoui depuis trop longtemps mais qui veut refaire surface, là maintenant tout de suite, pour une raison que je n’ose même pas concevoir, comme si ouvrir les yeux sur ce qui se passait véritablement me semblait être la chose la plus compliquée du monde. " Stallone il est pas beau attend ! Il a une tête en rectangle, j’vois pas comment tu peux le trouver pas mal, mais… Si j’suis plus sex que lui, ça me convient ! " Qui plus est, il avait fallu qu’il me regarde et que je croise son regard. D’ordinaire je me serais plus concentrée sur ce qu’il venait de dire mais là mon esprit divaguait ailleurs et c’est plus le son de sa voix que ses paroles en elle-même qui résonnait dans ma tête. " Tu sais il ne faut pas toujours prendre au sérieux ce que je dis … hum … t’as vraiment cru que je trouvais Stallone sexy !" Un hoquet dans ma voix avait même coupé ma phrase en deux tandis que des frissons me parcouraient le dos. Toute gênée, j’avais glissé un sourire timide sur mes lèvres, le genre de choses que tu fais quand tu ne sais pas quoi dire face à une situation que tu ne contrôles plus. " Ça te fait une peau ultra douce… Et aussi… j’suis pas responsable des choses qui vont pouvoir se passer dans cette pièce ou ailleurs… " Des allusions auxquelles j’avais répondu par un pied, qui par l’opération du Saint Esprit, vint à l’encontre de sa jambe comme une invitation à en découvrir plus. Mon esprit était tout embrumé, je n’étais plus capable de réfléchir, et c’est visiblement mon cœur qui m’indiquait la marche à suivre à présent. " Je serais bien curieuse de savoir ce dont tu ne sauras pas responsable." finissais-je par dire dans un murmure alors que j’avais finis par glisser sur le banc pour me rapprocher de lui comme un aimant rejoignant un autre. Tout cela pouvait paraître dingue mais l’idée que cela soit une erreur ne m’effleurait même pas l’esprit, car tout ce que je voyais là c’était une belle lumière attrayante et qui m’appelait à poursuivre l’aventure, comme si au bout de cette lumière aveuglante se trouvait la chose la plus précieuse à tes yeux.
CODE BY ISOBEL
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Nevada

• Encore un jour qui passe, une semaine qui défile devant vos yeux sans que vous puissiez la voir passer, des années qui défilent sans que vous vous puissiez vous en rendre compte. Combien de dois vous êtes-vous dit que vous feriez ça demain, que vous auriez le temps, et que toute façon, ce n’est pas vraiment pressant, après tout, vous avez toute la vie devant vous pour pouvoir le faire, non ? Puis, un matin, vous vous levez et vous faîtes le même rituel que tous les matins, vous allez dans votre salle de bain, vous vous passer un coup d’eau sur le visage avant d’aller vous doucher, pour vous réveiller, et là, à ce moment précis, vous relevez la tête et vous êtes face à cette dure réalité, vous vous voyez dans le miroir, et vous ne comprenez pas tout de suite, hier, vous vous êtes regardez de la même façon, mais étrangement, vous aviez dix ans de moins… Vous comprenez à ce moment précis que le temps passe trop vite pour tout repousser au lendemain, pour ne pas profiter de la vie qui ce même miroir qui lui n’aura pris aucune ride et sur qui le temps n’a aucun effet, vous vous rendrez compte que vous avez déjà soixante ans, et que de votre vie vous n’aurez fait que tout reporter au lendemain sans même en profiter comme vous auriez dû le faire. C’est à ce moment-là que vous subissez un électrochoc, les ambulances viennent vous cherchez, vous vous retrouvez avec un drap qui recouvre votre corps, c’était votre première crise cardiaque et votre dernière, vous quittez le monde des vivants pour rejoindre celui des morts, des âmes perdues, sans vraiment avoir profité de votre vie… C’est une étrange façon de penser qu’avait notre ami Lewis, mais il y croyait, vraiment, il n’avait aucune envie de se réveiller un matin et de se rendre compte qu’il n’avait rien fait de sa vie, qu’il était resté le même, sans aucune évolution, sans rien de plus, toujours les même vêtements, les mêmes phrases, comme si il était resté bloqué dans la fin des années quatre-vingt-dix, début des années deux milles. Il avait changé de style, troquant ces t-shirt Spiderman contre des hauts unis, arrêtant de parler comme un enfant mais se laissant retomber dans cette période aux côtés d’Elena, au fond, il était resté le même, à quelques choses près et quelques centimètre de cheveux en plus… Et puis, un jour, tout s’arrêtera… La mort, qui était cette personne si demandé mais si repoussé. Si l’on cherchait son origine, on apprendrait qu’elle est présente sur terre depuis la première minute de sa création. Plusieurs légende font part de son apparition et lui donne des noms, comme connu sous le pseudonyme de « La Faucheuse » par presque tout le monde, mais aussi par d’autre nom qui diverge selon les pays. Fille unique ? Non, loin de là, c’est la sœur jumelle de la vie mais aussi du sommeil. Ce trio familiale qui sont à l’origine de ce qui ce passe sur cette terre, faisant marcher le mieux possible ces petits humains qui pour elles sont vraiment étranges et sans grand intérêt. Pour beaucoup de personne, la mort est méchante et cruelle, se moquant de la vie des personnes et n’ayant aucune pitié. C’est juste son travail, venir toucher les vivants, que ça soit le vieillard sur son lit d’hôpital ou le nourrisson dans son berceau qui aperçut la vie quelques heures plus tôt, et les emmener dans un monde ou tout sera meilleur, tout sera plus beau et plus chaleureux pour eux. Est-ce que Lewis avait peur de la mort ? Est-ce qu’il désirait vivre encore longtemps et se mettrait à pleurer comme un enfant à qui on aurait volé son jouet si on lui apprenait que son heure était arrivé et qu’il ne lui restait plus que quelques jours à vivre ? Désirer vivre encore longtemps oui, mais pleurer, à vrai dire, il ne sait pas… •

• J’avais pas prévu que tu se passes comme ça à la base, je pensais juste passer une après-midi en compagnie de Nevada, se détendre dans le sauna pour ensuite rentrer chacun de son côté et se dire au revoir, rien de plus. Sauf que là, tout était différent, tout était en train de changer, et, étrangement, j’appréciais ce retournement de situation. Plus mon regard était plongé dans celui de la belle Nevada, et plus je m’autorisais à rêver d’un lendemain à ces côtés. Peut-être était-ce de l’utopie, peut-être que la chaleur qui avait envahi cette pièce avait aussi envahi mon cerveau, je ne sais pas trop, mais, j’étais sûr d’une chose, sûr que j’aimais cette sensation et cette nouveauté. " Tu sais il ne faut pas toujours prendre au sérieux ce que je dis … hum … t’as vraiment cru que je trouvais Stallone sexy !" Ne pouvant m’empêcher de sourire à cette façon qu’elle avait eu de me répondre, je restai là, comme un con, à la regarder et à sourire bêtement. Non, je ne l’avais pas pris au sérieux, je savais très bien qu’elle rigolait, qu’elle n’était pas réellement sérieuse dans ces paroles. Alors, faisant comme si je venais juste de comprendre que c’était de l’humour, comme si j’étais légèrement retardé, je répondis. « Ah ? Il est pas si moche que ça je crois… » Beurk, j’pensais pas dire ça un jour dans ma vie, des conneries j’en dis, des trucs débiles sans sens aussi, mais là, je crois que c’était la pire. Mais, j’en avais rien à faire, je n’avais pas besoin d’enfiler un costume lorsque j’étais avec Nevada, j’avais juste besoin d’être moi. " Je serais bien curieuse de savoir ce dont tu ne sauras pas responsable." Et là, c’est comme si je chutais, comme si je me cassais la gueule d’une chaise à deux pieds, bien violement quoi. Venait-elle de dire ce que j’avais entendu ou alors était-ce une fois de plus la chaleur qui me faisait entendre des choses ? Non non, c’était bien réel, rien était inventé, j’avais bien entendu, et sans m’en rendre compte, voilà que sa jambe était là, posé sur les miennes. Plus que quelques centimètre nous séparais. Laissant ma main caresser doucement ces jambes chaudes et mouillé, je ne pouvais que lui montrer. « Et bien je commencerais par faire ça… » Sans trop lui laisser le choix, je m’étais servi de sa jambe pour la tirer un peu plus contre moi, laissant mes lèvres s’approcher de sa nuque ou je déposa un léger baisé. Je m’aventurais dans quelque chose que je ne pouvais contrôler, et, je n’avais pas l’habitude de ça, j’étais déstabilisé, mais, j’aimais ça… •


© fiche créée par ell

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Alek & Neva' "Détente et bien être"



L'esprit, cette chose invisible, impossible à toucher à mains nus, tellement mystérieuse mais qui nous contrôle. Tout nos actes, paroles et pensées sont régies par celui-ci sans que parfois on ne s'en aperçoive, comme si une autre personne nous habitait, nous possédait pour nous faire faire ce qu'elle veut. Je suis certaine que ça vous est déjà arrivé à vous aussi de ne pas réellement comprendre pourquoi vous avez fait ceci au lieu de cela, pourquoi vous avez dit oui au lieu de non, pourquoi vous êtes allés à droite et non à gauche, comme pousser dans un sens par une main en vous laissant faire, pensant que si vous devez le faire alors c’est que ça doit être la bonne solution à vos problèmes. Oui car parfois c’est bien de ne pas réfléchir, de ne plus se poser de questions, avancer dans la vie tout simplement sans regarder en arrière, ne pas regretter ses choix en se disant que ça ne changera pas qui nous sommes dans l’instant présent. La seule chose qu’on peut changer c’est notre futur, en faisant les bons choix et en s’entourant des bonnes personnes principalement. Faire sa vie seul, ce serait la gâcher, et puis de toute manière l’homme n’est pas fait pour vivre seule en autarcie, c’est psychologiquement impossible. Imaginez ne pas pouvoir parler à quelqu’un pendant toute votre vie, ce n’est pas humain à moins que ça soit moi qui soit bizarre ou bien ai-je tout simplement peur de la solitude comme les enfants ont peur du noir. Je n’imagine pas une seule seconde vivre seule sachant que durant ma vie j’ai fait énormément de rencontres. Certaines m’ont déçus, d’autres fait rire, grandir mais encore aucune d’entre elles m’a assez éveillé pour me faire vouloir imaginer un futur bonheur avec elle. Six milliards de personnes sur terre mais seulement une seule qui importe à trouver, c’est comme chercher une aiguille dans une botte de foin, il faut du temps et de la patience et j’espère que j’en aurai assez car pour le temps je n’ai toujours pas trouver la fontaine de Jouvence donc cela risque d’être assez compliqué. Puis chercher c’est épuisant, hélas je ne sais pas si cette personne veuille elle aussi me trouver. Je suis donc dans une impasse et seul mon cœur et non mon esprit pourra m’aider dans cette lourde tâche même si pour le moment ce n’est pas le but principal de ma vie, mais elle le sera un jour c’est certain.

Aujourd’hui mon cœur m’a guidé dans un lieu plutôt insolite avec une personne que je connais pourtant, peut être pas par cœur mais je pense la connaître assez pour savoir d’Alek qu’il agréable, rigolo (et notre conversation le confirme), ouvert, plutôt charmant et encore le mot est faible. Je ne sais pas s’il sait que je pense ça de lui, peut être devrais-je lui dire un jour ou le laisser découvrir ce que je pense de lui voir même ressent. Si seulement je m’entendais, j’en rigolerai ! Bizzarement je commençais à m’attacher, et dès je vois cela arriver avec quelqu’un je m’empresse de fuir mais là je reste comme si une petite voix exigeait de moi que je reste ici pour découvrir la suite des évènements et pousser par la curiosité je restai plantée là, tremblant un peu, limite désarçonné. Est-ce cela qui arrive quand notre cœur comme à prendre vie, à vraiment battre car ça je l’entendais dans ma poitrine, cette douce symphonie qui te berce. « Ah ? Il est pas si moche que ça je crois… » je n’entendais même plus ce qu’il disait, juste des bribes de mots, j’étais à présent plus concentrée sur mon rythme cardiaque, ma respiration lente et mes yeux qui étaient plongés dans les siens. J’avais peur que tout cela tienne plutôt du rêve que je n’osais même plus cligner des yeux pensant que d’une seconde à l’autre je me réveillerai seule. Il y eu un long blanc après ma question, l’avais-je pris au dépourvu ? Ou m’étais-je juste imaginer quelque chose qui n’existait que dans ma tête ? Comme pour me rassurer j’avais effacé la distance entre nous, laissant même mon pied divaguait contre lui alors que ses mains glissaient dangereusement sur mes jambes. « Et bien je commencerais par faire ça… » Il ne me laissa même pas le temps que sa phrase arrive jusqu’à mon cerveau que je me trouvais déjà collé contre lui et qu’il allait explorer mon cou de ses lèvres. Je ne savais même plus où j’étais, au paradis peut être alors que le sauna ressemblait plutôt à un enfer dont la température ne cessait de s’élever non plus par le lieu en lui-même même plus par mon corps qui venait de s’enflammer de lui-même. Je me consumais petit à petit mais c’était tellement agréable comme sensation. Jouer avec le feu, c’était tellement tentant et puis je voulais en découvrir plus, plus sur moi-même, me rassurer sur le fait que ce pouvais penser sur le moment était bel et bien réel. Plus vite que l’éclair, je me retrouvai assise sur lui, mes fesse confortablement installé sur ces jambes. Son baiser avait été pour moi une invitation et je donnais là ma réponse. M’approchant de son oreille, je murmurais faiblement « Et je continuerai comme ça… » Ma main frôlant son torse brûlant tandis que ma tête étais toujours nichait sur son épaule. Dans cette position, je sentais même son souffle caressait la peau de mon corps déjà bien dévoilé, avantage indéniable. Mon esprit ne réfléchissait plus à présent, seul mon coeur parlait de lui même.
CODE BY ISOBEL
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Nevada

• On a tous cherché à atteindre le bonheur, et certain y travaille encore, vous pourrez trouver plusieurs définitions en posant la question à différente personnes, que ça soit la définition classique, celle qui dit que ce sentiment est un état durable de plénitude et de satisfaction, état agréable et équilibré de l'esprit et du corps, d'où la souffrance, le stress, l'inquiétude et le trouble sont absents, ensuite vous aurez la définition d’une personne ne voyant que par l’argent, cette personne aura surement une belle vie, un père avocat et une mère médecin, ne manquant jamais de rien, voulant être le meilleur, le plus fort dans tous ce qu’il entreprend, la plus grosse voiture, la plus belle villa, la plus grande piscine, les vêtements les plus cher, il sera surement marié pour la quatrième fois à une bimbo blonde refaite de partout avec des lèvres énormes et tout ça à seulement trente-deux ans, et pour cette homme aux cheveux plaqués en arrière, il vous dira que le bonheur est d’avoir plusieurs comptes en banque comptant plusieurs millions de dollars et de pouvoir se moucher dans un billet tellement il en a, définition qui, notons-le, est complètement débile et déplacé devant une personne dans le besoin. Ensuite, on aura la définition totalement opposé, celle d’un vieil homme atteignant la cinquantaine mais à qui on pourrait donner limite soixante ans, cet homme qui a l’âge de dix ans a arrêté l’école pour aller travailler dans d’immense champs ou il ramassera des pommes de terre ou bien des cailloux, tout ça pour un misérable salaire. A vingt ans il sera parti travailler en usine, il aura fait plusieurs petits boulots pour pouvoir vivre, décharger des camions, ranger des pièces dans des cartons, bricoler par ci par là, il aura une grande expérience, mais depuis ces douze ans, il n’aura pas arrêter de travailler, ayant quelques vacances de temps en temps, il en profita pour faire un peu de travaux chez lui ou bien chez des amis, ayant passé sa vie à travailler pour pouvoir se nourrir sa famille et lui, payer le loyer, faire plaisir à ces enfants car son bonheur sera passé après le leur, cet homme n’aura pas eu une vie à nager dans l’argent, alors pour lui, il restera simple en répondant à sa question, il vous répondra que le bonheur est pour lui la vie en général, le fait d’avoir vécu sa vie sans avoir beaucoup d’argent ne le dérangeait pas car son bonheur à lui était sa famille, sa femme, ces enfants, pour lui, la phrase bien connu qui dit que l’argent ne fait pas le bonheur sera en parfaite association avec sa façon de penser, sa façon d’être et d’agir. Maintenant, changeons de personne, car là, on a fait les total opposés, d’un côté l’on trouvé le connard friqué se croyant au-dessus de tout le monde, et de l’autre, le père de famille attachant et ayant ces propres valeurs, alors maintenant, tournons-nous plutôt vers un jeune, le jeune moyen de nos jours arrive à avoir de l’argent normalement, que ça soit en travaillant ou en touchant une bourse, pour la plupart, ils sont encore au lycée ou bien à l’université continuant leurs études de droits ou de médecines pour citer les matières qui reviennent le plus. •

• A la base j’étais prévoyant comme gars, je faisais attention à tout, histoire de ne pas me faire surprendre par je ne sais quoi ou je ne sais qui, sauf que cette après-midi, je n’avais pas pu prévoir tout ça, ça me dépassait, c’était bien plus fort que moi, bien plus fort que mon petit cerveau. Le cœur avait pris le dessus, et face à lui, j’étais comme un paysan face au Roi, je ne pouvais rien faire, et, au fond, je n’avais aucune envie de faire quelque chose, de gâcher ce moment je veux dire. J’avais envie d’en profiter pleinement, de nous laisser aller par nos envies, nos désirs les plus profonds et les plus fous. Après qu’elle m’ai demandé ce que je ferais, je n’avais pas cherché à comprendre et j’avais rapidement glisser mes lèvres dans sa nuque, y déposant de léger baisé qui devait rafraichir un instant sa peau brulante. Sans avoir le temps de contrôler quoi que ça soit, elle se retrouva assise sur moi, son corps humide et mouillé contre le mien, approchant ces lèvres de mon oreille pour venir me chuchoter une phrase. « Et je continuerai comme ça… Ces mains se baladant contre mon torse, me laissant apprécier ce moment de bien être qu’ont étaient en train de passer. Passant à mon tour mes mains dans son dos, je caressais doucement ce dernier, pour venir déposer mes mains sur les belles fesses rebondis de la belle. Mettant ma tête face à son doux visage angélique, je murmura à mon tour d’une voix assez douce. « Et je finirais en t’embrassant… » Et, sans plus attendre, mes lèvres se posèrent contre les siennes, m’emportant dans un autre monde. Ce parfum si doux, ce gout, je n’avais aucune envie d’enlever mes lèvres des siennes… Son corps contre le mien, j’appréciais ce moment de bonheur. J’avais laissé mes envies prendre le dessus, je l’avais embrassé, et, vu la position dans laquelle elle était, je ne pense pas qu’elle allait me repousser. Ce lendemain que je m’autorisais à entrevoir se faisait de plus en plus réelle, comme si chaque minutes passés en plus avec la belle me laissait avoir un avenir, laissait mon cœur et mes sentiments sortirent. •



© fiche créée par ell

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Alek & Neva' "Détente et bien être"



Il y a des jours où on se dit qu’on aurait mieux fait de ne pas se lever, ca peut être pour diverses raisons de la plus bête comme renverser sa cafetière le matin, apprendre une mauvaise nouvelle au téléphone ou tomber sur ton mec dans ton lit avec une autre fille. Oui il y a des jours, où parfois tu as la poisse, tu te dis que tu les accumules, en voulant même à Dieu de t’infliger tout cela alors que tu n’es pas croyant et que tu ne pries jamais. En fait t’as juste envie de rejeter la faute sur quelqu’un pour ne pas te sentir responsable et c’est plus facile d’en vouloir à quelqu’un qui n’existe pas réellement. En tout cas ce qui est certain c’est que même si la vie est un cadeau, elle n’est pas parfaite tous les jours, loin de la, non ce serait trop facile, et puis c’est grâce à toutes ses embuches qu’on apprend à grandir. Après c’est certain, lorsque les tracas ne cesse de te tomber sur la tête, le ras le bol se fait ressentir et c’est parfois une minuscule goutte d’eau qui peut faire déborder le vase. Dans ce cas ils nous aient tous arrivé de se dire que la seule solution pour fuir nos problèmes serait de partir, de quitter ce monde qui n’en a qu’après toi. On est tous passé par là, on a tous pensé à faire ce geste horrible ce jour et se serait mentir que de dire non. De toute manière, c’est presque normal d’envisager cette idée lorsqu’on est au fond du trou et que selon nous la mort serait la seule porte de sortie possible. Mais heureusement, on est parfois toujours beaucoup trop attaché à certaines personnes qu’on préfère chasser cette mauvaise idée de notre tête parce qu’après, si une vie après la mort existe, on s’en voudrait trop d’avoir laissé ses proches seuls dans la tristesse. Ce qui nous raccroche à la vie, ce n’est pas la vie elle-même ni notre cœur qui bat dans notre poitrine mais bel et bien les personnes qui nous entourent et qui font en quelque sorte parti de nous. C’est d’ailleurs ces mêmes personnes qui peuvent nous sauver de nos périodes les plus sombres en nous ramenant vers la lumière par le simple fait de se tenir entre nous. Parfois il n’y a pas besoin de mots pour faire passer un message, il suffit juste d’un regard, d’un geste pour répondre, rassurer et un simple contact peut parfois valoir toutes les paroles du monde. Tout de suite, tout devient plus beau quand tu es dans les bras de quelqu’un qui te console, au lieu de broyer du noir tu redécouvres un monde plein de couleurs. Puis c’est agréable de se sentir aimé, d’être important aux yeux de quelqu’un. Tu te sens vivant comme tu ne l’as jamais été auparavant berçait par l’amour qui t’entoure.

Cet après-midi, j’ai l’impression de retrouver goût à la vie tel un phoenix qui renait de ses cendres, comme si une nouvelle vie s’offrait à moi. Une partie de moi se réveillait peu à peu, celle que j’avais laissée de côté pendant des mois, celle dont le cœur était enchainé mais je venais de trouver la bonne clé visiblement, celle qui me permettait à mon cœur d’éprouver à nouveau quelque chose. Mon corps tout entier réapprenait à vivre avec ces sentiments longtemps enfouis, celui du désir, de la passion, de la tendresse. J’osai même songer à un avenir auquel je croyais presque dur comme fer, c’était un temps soit peu rapide mais je ne pouvais m’empêcher de rêver. J’avais ces petites étincelles dans les yeux, celle qu’on a quand notre cœur bat trop vite la chamade. Oui j’étais émerveillé comme si j’assisté à un spectacle féérique. Les baisers sur ma peau avait été le prémice et j’en avais d’ailleurs frissonné de plaisir qui m’avais parcouru tout du long et j’osais avancer sans crainte d’être rejeter en prenant place sur lui allant à la découverte de son torse qui s’offrait à moi, c’était tellement tentant alors je me laissais aller, habitait par des milliers de pulsions. D’habitude avec les autres je faisais cela par simple amusement mais là ce n’était pas le cas, je ne sais pas si cela se voyait, je l’espérais au fond de moi. Mon regard se reporta vers lui comme animé par l’envie de lire en lui. " Et je finirais en t’embrassant… " Même pas le temps d’analyser sa phrase que nos lèvres étaient déjà scellés. Le moment de grâce par excellence, je sentais déjà les papillons dans mon ventre. Ca me faisait tout drôle mais c’était tellement agréable, que je ne me gênais pas pour lui rendre ce baiser si délectable. Je n’avais jamais goûté quelque chose d’aussi parfait. J’enroulais mes bras autour de ses épaules, animé par l’instinct de ne pas vouloir le voir s’envoler. J’avais envie de prolonger ce moment à l’infini, d’arrêter le temps si cela m’était possible. Je voulais dire quelques mots mais je ne savais pas quoi dire tellement les pensées se mélangeaient dans ma tête et heureusement d’ailleurs que je me trouvais assise, si l’on peut dire, car j’avais tellement les jambes en coton que je ne savais pas si j’étais capable de tenir debout par moi-même. Je n’avais pas envie que mes lèvres s’éloignent des siennes mais je devais reprendre ma respiration, sinon j’allais finir par mourir dans ses bras, mourir privée d’oxygène mais également mourir de plaisir. " C’est plutôt agréable quand tu n’es pas responsable de tes actes. " révélai-je encore un peu étourdie par tout ce qui se passait autour de moi que j’en avais oublié le sauna et même la chaleur qui y régnait. Je me risquai même à aller chercher sa main pour enrouler mes doigts dans les siens. Un geste que je n’aurais pas imaginé faire mais c’est fou ce que vous pouvez faire à cause de l’euphorie qui vous entoure.
CODE BY ISOBEL
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Nevada

• Vous connaissez ça vous la gueule de bois ? Vous savez, quand vous allez vous réveillez votre crane entendra chaque son en mode multiplication des bruits, tous ces sons, ces bruits, ces paroles vous feront mal à la tête et vous allez vouloir vous isolez sous votre couverture, dans votre lit. La fatigue gagnera votre corps, mais impossible de dormir, vous n’y arrivez pas. Vous avez aussi la pâteuse suivi d’un mal de ventre, des douleurs d’estomacs, et puis le pire, c’est votre halène… Au moins dieu qu’est-ce que vous avez une halène étrange, aucun mot ne pourrait l’à décrire. Bref, t’es mal hein ? Tu te sens pas bien et tu regrettes presque d’avoir bu autant hier soir hein ? Tu te demandes comment tu as fait pour encore être en vie non ? Et puis, tu te rends compte que t’as de la chance de ne pas avoir vomis, du moins, c’est ce que vous pensez, car après tout, cette soirée reste encore très confuse pour vous, seulement des brides de souvenirs, des bruits et des paroles de cette soirée vous reviennent, tout n’est pas encore tout à fait clair, alors vous ne savez pas vraiment ce que vous avez pu faire ou pu dire pendant toute cette soirée, ce qui au fond de vous, vous fait rire, car vous savez que vous avez endossé une dose d’alcool supérieur à la moyenne mais que vous êtes encore là, encore en vie. Bon, d’accord, vous avez un mal de crane énorme et vous vous demandez quand votre tête explosera, vous avez l’impression d’être déconnecter de la réalité et vous avez du mal à manger, votre estomac est noué, bref, t’es complètement mal mais qu’est-ce que t’aimes ça ! Tu as passé une soirée extraordinaire, tu ne recommenceras pas de sitôt, mais tu ne regrettes rien de cette soirée qui restera gravé dans ta mémoire, ou plutôt du moins, les souvenirs que tu en as qui resteront. Bref, pourquoi parler de gueule de bois et d’alcool ? Vous ne voyez pas le rapport et je pense ne pas me tromper en avançant ça. Regarder, si on fait un arrêt sur image de la scène qui était en train de se dérouler à ce moment précis dans l’appartement de Lewis, on aurait pu voir dans le regard du jeune homme que l’alcool n’était rien comparé à Nevada, pas dans le sens où elle va vous faire mal à la tête et vous faire mal au ventre, non, mais dans le sens ou vous allez vous sentir accro, ne voulant plus vous en séparez, continuer encore et encore d’être à ces côtés, Nevada était la drogue, l’alcool, les envies, les désirs de Lewis-Kennedy, à ces côtés, le jeune homme qui aurait pu vous trouvez différente hypothèse sur cette façon qu’il avait d’être à ces côtés n’en avait pas besoin, à côté d’elle, il se sentait comme emporté sur un petit nuage et ayant aucune envie d’en redescendre, de monter encore et encore en altitude. Une altitude imaginaire qui faisait tant de bien. J’étais comme dans un cocon, personne ne pouvait nous atteindre, comme si ensemble ont étaient invisible, comme si rien ne pouvait nous atteindre. C’était un sentiment si bon, un sentiment si parfait que j’avais oublié avec le temps. Le redécouvrir m’emportait dans un monde que j’avais malheureusement oublié depuis le temps. Monde si parfait, ou tout était rose, tout était beau avec Nevada. •

• Comme si ont étaient en couple depuis plusieurs mois, ont se laissaient aller sans aucune gêne, comme si tout était normal et surtout, comme si ont avaient l’habitude de se retrouver dans ce genre de situation. C’était plutôt agréable de voir que la complicité qu’ont avaient eu en tant qu’ami était toujours valable lorsqu’ont étaient plus que ça, situation que j’aimais. Désormais, je n’avais plus envie d’être juste ami avec elle, je voulais plus. C’est lorsqu’elle passa ces bras autour de mon coup que je vis cet avenir, ce lendemain en sa compagnie, et qu’un petit sourire se dessina sur mon visage, comme si c’était normal, comme si c’était juste logique. Ça me frappa, heurta mon cerveau comme une illumination. C’était peut-être précipité, mais, je ne voulais pas d’une autre personne, je ne voulais pas qu’une autre fille prenne la place de la belle française, c’était elle et pas une autre. Elle était là, assise sur moi, prolongeant encore plus ce baisé qu’ont étaient en train d’échanger. Savourant ce doux parfum et ce doux gout que dégageait ces lèvres, je découvrais ce qu’était la perfection, ce qu’était un baisé parfait. Ont avaient beau être dans un sauna, la chaleur n’avait plus aucune importance, je ne ressentais plus que mon cœur qui battait à une vitesse folle et qui n’avait aucune envie que ce moment s’arrête. Faite un arrêt sur image, stopper le temps, je ne sais pas, mais faite en sorte que ce moment dure pour l’éternité et que rien ne puisse nous arrêter, que rien ne puisse nous séparer. " C’est plutôt agréable quand tu n’es pas responsable de tes actes. " Nos lèvres venaient de se détaché les unes de les autres, mais l’avoir dans mes bras, la sentir contre moi me faisait apprécier encore plus ce moment de calme. Ces doigts étaient venus pour enlacer les miens, et un beau sourire était figé sur ce visage angélique qui était le sien. Amenant l’une de ces mains à mes lèvres, je déposa un doux baisé sur cette dernière avant de la serrer un peu plus contre moi, passant mon autre main dans ces cheveux pour replacer les quelques mèches qui étaient devant ces yeux. « J’ai plus envie d’être responsable, j’ai envie de t’embrasser encore et ne plus m’arrêter… Tu vas peut-être rigoler mais… J’suis bien avec toi, et j’ai envie d’être bien demain, et après-demain, et encore après… » C’était peut-être enfantin, c’était peut-être débile, mais j’en avais rien à faire, j’étais bien avec elle et je ne voulais pas qu’on s’arrête à ça et qu’on reparte chacun chez soi, je voulais pouvoir me réveiller le matin et la voir encore endormi paisiblement à mes côtés, de passer d’autres moments du genre avec elle, des moments pour nous, des moments à nous, moment où nous seront coupé du monde, ou rien d’autre que notre bonheur n’aura d’importance… •




© fiche créée par ell

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Alek & Neva' "Détente et bien être"



Pourquoi le ciel est bleu ? Pourquoi les chats ils font miaou ? Pourquoi je suis une fille et pas un garçon ? Des questions idiotes, qu’on ne peut pas s’empêcher de poser à nos parents quand on est gamin. La curiosité éveille nos sens, elle nous permet de nous éveiller dans le monde. Il y a tant de questions dont on aimerait connaître la réponse. Hélas certaines d’entre elles ne peuvent être résolues, elles tiennent du mystère que même les scientifiques sont incapable d’élucider. La plus grande inconnue dans ce monde reste sans conteste l’amour, ce sentiment qui nous fait chavirer dans une autre dimension mais qui peut tout de même devenir destructeur. Mourir d’amour pour certains cela semble grotesque mais pour les plus romantiques d’entre nous, ceux qui croient encore aux contes de fées, c’est possible. En tout cas j’espère sincèrement qu’un jour je ne mourrais pas d’amour, cela doit être une véritable torture de voir la personne, à laquelle vous vous êtes accrochés, s’envoler comme un grain de sable emporté par le vent. Imaginez un temps soit peu que tout votre monde s’écroule, seconde par seconde, que du jour au lendemain vous n’êtes plus rien, juste un simple petit point sur Terre qui dépérit à petit feu, cela doit être la pire des tortures d’entendre son cœur battre de plus en plus lentement. Longtemps le mien ne battait uniquement pour me permettre de vivre, pour la simple et bonne raison que je m’étais promis de ne plus éprouver aucuns sentiments. Un châtiment que je m’étais moi-même infligée pour éviter de répéter certaines erreurs dont je n’étais pas réellement fière et je ne me suis pas privée pour cacher cette partie de moi dont j’avais tellement honte durant longtemps. J’étais apeurée de voir vivre cette partie de moi qui fait qu’un jour j’ai été assez égoïste au point d’en avoir des regrets et de couper tout pont avec certaines personnes, ne voulant pas assumer ce que j’ai osé faire. Mais voilà s’il faut endurer tout cela pour comprendre véritablement qu’on ne peut pas vivre sans amour alors je le referai sans aucun problème et ce n’est même pas la peine de me demander si je souhaiterai échanger ma place avec quelqu’un d’autre parce que je le refuserai tout bonnement ne voulant pas perdre ce que j’ai de plus précieux. J’ai envie de découvrir le futur qui m’attend car j’ai la nette impression que celui-ci risque de changer ma vie, notre vie. Ca me fait bizarre d’employer le mot nous, mais c’est tellement agréable de l’entendre, de se dire que tu as rayé le mot solitude de ton vocabulaire et tu espères que ça le sera pour toujours.

J’avais l’impression que depuis de longues minutes, le nom d’Alek était inscrit en moi comme un poison qui entre en vous. Quelque chose dont vous ne pouvez vous détacher par peur de tomber dans le vide. J’étais totalement enivrée, et cette sensation était amplifiée par ses lèvres posées sur les miennes. Cette exaltation de sentiments tous plus grandissants les uns que les autres me rendait encore plus folle de lui qui avait su me libérer des chaînes, m’ouvrant ainsi les porte du bonheur qui avant me paraissaient si lointaine et intouchable. J’avais ressenti ce besoin de l’entourer dans mes bras comme un signe lui prouvant que j’étais prête à aller plus loin, à l’inviter dans ma vie qu’il pouvait à coup sûr rendre plus belle. J’avais vu un sourire apparaître sur ses lèvres, et ce sentiment de rendre heureux quelqu’un me rendait moi-même euphorique. Ma main dans la sienne tremblait, non pas par peur mais par joie. J’étais si heureuse que j’en oubliais parfois de respirer. Toute cette ivresse si délectable, je voulais la crier au monde entier mais avant je voulais la partager avec lui, prouver que j’étais capable d’aimer à nouveau, de réapprendre à vivre aux côtés de quelqu’un. Les gens pourront très bien dire que c’était fou, insensé mais je me contrefichais car dorénavant il passerait avant tout le monde que ça plaise ou non. Et de toute manière si c’est lui qui a réussi à raviver la flamme en moi, alors c’est que ça doit bien signifier quelque chose. J’étais toujours concentrée dans son regard où je me perdais déjà, bercée par une douce mélodie. Un léger baiser déposer sur ma main et le geste tendre de passer sa main dans mes cheveux avait manqué de me faire succomber de plaisir. " J’ai plus envie d’être responsable, j’ai envie de t’embrasser encore et ne plus m’arrêter… Tu vas peut-être rigoler mais… J’suis bien avec toi, et j’ai envie d’être bien demain, et après-demain, et encore après… " A l’entente de ces douces paroles, je m’envolais et seul lui pouvait me rattraper. Je resserrais ma main dans la sienne pour acquiescer, lui dire que je ressentais la même chose. Ces paroles firent chavirer mon cœur car je les avais entendu longtemps et voilà que quand je ne m’y attendais plus, il débarquait dans ma vie répondant à mon appel de détresses. Déposant sa main, sur le côté gauche de ma poitrine, je voulant qu’il entende mon cœur. " S’il bat, c’est grâce à toi. Si tu le veux alors il t’appartient. Saches qu'en acceptant alors je serais comblée. " Ce n’est pas chose aisée d’offrir son bien le plus précieux, mais je savais que dans ses mains il serait en sécurité, j’en étais persuadée au plus profond de moi. J’étais prête à me laisser aller avec lui, à goûter de nouveau à toutes ces émotions immenses que sont le désir, la passion, la fougue et l’envie parce que c'est si délectable.
CODE BY ISOBEL
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)