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I got a problem with parties 'Cause it's loud in my brain (denleigh + azarin)

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Alors qu'il essayait de te faire prendre conscience que ta meilleure ami c'était sentie trahie de ton geste, face à son exemple à lui, toi ce qui te sautait à l'oeil en premier, c'est pas la trahison s'il ferait ça, juste le fait d'en conclure qu'il n'avait pas envie de partager deux mois avec toi. Juste toi. Okay ça serait pas aussi génial de rester encore à Boston plutôt que le Laos, plutôt que faire des activités de fous, rencontrer des nouvelles personnes. Mais au moins, tant que c'était toi et lui, c'était suffisant à tes yeux. Encore plus après deux mois et demi séparés. Ses doigts serraient toujours plus les tiens, tandis que tu fis de même quand il exprimait que c'était pas le cas, qu'il le ferait pas et qu'il voulait te garder que pour lui. Un mince sourire aux lèvres. C'était exactement ce que tu pensais. Plutôt contente que tout le monde se barre là bas, vos colocs y comprit. + de Denys pour toi. Pas besoin de le partager avec les autres au moins. Et encore pour tenter de te remonter le moral sur Ivy, il proposait de s'occuper de Marin, le transformer en nana et d'en faire un Ivy 2.0. Rien a voir. T'adores le winthrop. Parfait partenaire de crime mais... Ivy c'était Ivy. Personne pouvait la remplacer. Pas après vingt ans d'amitié et des tas de souvenirs. Tu rigolais tout de même, faisant l'effort pour Denys de plaisanter sur la chose. Me dit pas ça, je rêverais tellement de lui faire subir ce sort ! Puis vous en aviez parlé au sb quand vous aviez saccagé la chambre du grec et il t'avait clairement menacé de ne pas essayer. Tu soupçonnais ses sœurs d'en avoir fait leur cobaye plus jeune. Et si ça allait, si son contact te faisait du bien, ses mots également. Tout basculait, en un rien de temps, avec le sujet de Cléo et de ses frères. Il voulait sortir, et toi tu ne voulais plus. C'était comme ça. Quand y a un qui dit blanc, l'autre noir. Un qui fait ci, l'autre ça. Si t'avais été aveugle par le passé, l'aveuglé c'était lui désormais... Pas question de vous en aller. Tu veux savoir, tu veux des réponses, pourquoi il esquive comme ça la chose ? Malgré toi, tu ne peux t'empêcher d'être froide sur un quelconque tir de flèche de cupidon a faire pour lui et ta demie sœur. Gênant qu'il ait couché avec ta sœur, ouais, fin bon c'était avant qu'il te connaisse. Toi spas ça qui te 'chagrine'. C'est plus ce qu'il en est actuellement, après l'avoir revu, lui avoir reparlé. Parce qu'il s'amourache vraiment facilement, et LA oui ça serait gênant qu'il s'amourache à nouveau d'elle, quand toi t'es tombée pour lui. Alors que quoi ? Alors que je sais quoi ? tu demandes, à la fois ne sachant pas, à la fois ne voulant pas mal interpréter ce qu'il disait. Ca pouvait signifier plein de choses, alors tu voulais y mettre des mots, et non y laissait des points de suspension. Lui aussi avait un ton de voix différent, froid. Et tu préférais ne rien répondre à son 'ça met mal à l'aise que moi'. D'abord tu voulais savoir la fin de son autre phrase, afin de répondre juste et pas à côté de la plaque. Pas en agrandissant ce malaise entre vous. Alors que je sais quoi ? que tu répètes, d'une voix plus faible, plus douce, insistant un peu oui et essayant de le dérider.
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Ma main dans la sienne, je resserrais ma prise, lui assurai ensuite que j'avais jamais véritablement eu l'intention d'un tel plan, parce que je la voulais pour moi, avec moi. La pression de ses doigts répondit aux miens et un faible sourire pointa sur ses lèvres. "On va se faire des supers vacances à Boston tu vas voir."  Y'avait des plages sympa pour surfer ici, et dieu sait que ça m'avait manqué ça, ma planche de surf. Je reprenais mon rôle de prof quand elle voulait. Et puis elle me devait toujours des cours de guitare. Sans compter qu'elle m'avait promis de m'emmener sur une de ses courses de voiture... Et puis, délire sur un Marin travesti pour la bonne cause, en blonde, BF de remplacement, juste en attendant que les tensions passent entre Ivy et elle . "L'épilation ou la perruque ? " Demandai-je lorsqu'elle me révéla qu'elle rêvait de lui faire subir ça.  Une telle scène m'amusait sauf que mon hilarité fut brève. Le sujet Cléo ne me faisant pas rire du tout. J'évitais les questions, je me levais, essayais de trouver une échappatoire... Et Ash ne comprenait pas, elle insistait, accentuant mon malaise. Je tachais de me justifier, confusément... En en disant trop. Ou pas assez selon elle. Ashleigh réclamait la suite. Ce qui se cachait derrière les points de suspension de mon explication. Mes yeux vrillaient à nouveau vers la porte, maudissant soudain Marin et sa complice. Ouais en fait c'était un piège pour me faire me prendre une énième claque, un énième vent ? Et mon visage se retournait vers le sien pour l'entendre répéter à nouveau ma phrase laissée en suspend, me réclamant la fin, sur un ton un peu plus posé, plus doux... " Ash..." soupirai-je en faisant un pas vers elle. Je tendis ma main jusqu'à son visage, mes doigts venant caresser sa joue... " Y'a que toi..." Soufflai-je. Alors non, ça m'avait rien fait de la revoir Cléolya. Parce qu'il n'y avait plus qu'Ashleigh qui occupait toutes mes pensées.
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Heureusement il n'avait pas vraiment l'intention de mettre son exemple à exécution. Il comptait pas t'envoyer au Laos pour l'été, sans ton accord. Il voulait te garder, auprès de lui, et c'était ce que toi tu voulais. Si t'avais attendu impatiemment le summer camp, c'était avant, quand il n'avait pas été en prison, avant qu'il soit libéré et coincé ici à Boston, pour les six prochains mois. Le summer camp il t'intéressait avec lui, pas sans lui. Tu lui avais fait cette promesse, de ne plus rester aussi éloignés que les deux derniers mois et demi, et t'allais t'y tenir. Je n'en doute pas. Si y avait Denys ça serait super. Vous êtes pas trop mal loties ici, y a la plage donc de quoi faire du surf, du paddle, du scooter de mer. Vous pouviez même aller faire des randonnées s'il voulait et faire du kayak. Ou l'emmener à des courses de voitures, lui faire enfin faire ce cadeau qu'Ilhan t'avait demandé d'offrir à un gars et que tu avais choisi lui. Cette occasion de monter derrière le volant d'une ferrari ou lamborghini, sur un circuit. Et puis, il te changeait les idées sur ton embrouille avec Ivy, évoquant Marin en travesti. L'épilation, surtout l'épilation que tu rigoles, voyant la scène : un Marin criant de douleur. Quand il c'était prit la vitre de chez vous il avait fait sa chochotte comme pas possible. Alors se faire arracher les poils à la cire ? Tu donnais pas cher de sa peau. Tu rigolais, mais ton rire se fanait bien vite. Sujet Cléo, sujet ex, sujet attirance. De quoi mettre de l'eau dans le gaz et laisser des idées se faire, à l'un, comme à l'autre. Mais non, tu ne voulais pas te contenter de points de suspension. Ni t'imaginer la suite de ses mots. Ni en deviner le sens. Tu voulais une réponse, claire, nette, précise. Alors t'insistais, tempérant ta voix pour apaiser l'atmosphère tendue, tout comme l'inciter à te parler. Ton diminutif prononçait dans un soupir, il s'avance vers toi, sa main se levant à ton visage. Suivant la trajectoire de ses doigts sur ta joue, tes paupières se fermant aussitôt, avec ta tête qui se pencha légèrement du côté où sa main se situait, tu profitais que plus de ce contact. Contact accompagné des mots qui disaient qu'il n'y a que toi. Tu ne voulais pas le faire souffrir, encore. T'en avais marre d'avoir le mauvais rôle alors... faisant un autre pas vers lui, resserrant l'espace entre vos deux corps, tu soulevais ton visage jusqu'au sien, afin de déposer tes lèvres sur les siennes... Furtivement, presque hésitante, appuyant un peu plus ce baiser, les yeux toujours fermés, ne réalisant pas vraiment le pas que tu venais de faire. L'instinct, l'envie, qui avaient parlé.
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 Je pensais lui ouvrir les yeux sur Ivy, tout ce que j’avais réussi à faire d’abord c’était éveiller ses doutes et craintes quant à mon envie de passer l’été avec elle. Alors je les dissipais bien vite, doigts entrelacés aux siens, répétant encore que je la voulais avec moi, rien qu’à moi, soufflant que cet été serait super quoi qu’on fasse et où qu’on soit. La condition être ensemble, tous les deux, étant remplie. Puis je venais de passer deux mois et demi en taule, alors rien qu’une sortie au jardin public à aller faire les cons sur une aire de jeux pour enfant, ça serait Disney land pour moi. Je tâchais de dissiper son petit air soucieux en évoquant le rôle de remplaçante temporaire qu’on pourrait confier à Marin, et c’est l’idée d’imposer l’épilation à notre meilleur pote qui faisait jubiler miss Strauss. Je riais un instant en cœur avec elle, jusqu’à que l’ambiance ne vrille du tout au tout lorsqu’elle parla de Cléo. Gêné, mal à l’aise, je n’arrivais vraiment pas à croire que j’avais dans ma liste d’ex la sœur de la fille que j’aimais, c’était juste trop embarrassant. C’était pire que d’être sortie avec l’une de ses potes pour le coup. Alors nos mains se détachaient, je me levais, j’essayais de sortir, me défilant devant ses questions. Mais c’était Ash. Et comme toujours, même quand je ne le voulais pas, elle parvenait à me soutirer des aveux, réussissant à me faire une énième fois me dévoiler. Je finis donc par baisser les armes, ma main sur sa joue, ses paupières se fermèrent, sa tête se penchait pour venir chercher un peu plus le contact de mes doigts quelques instants et puis je lâchai l’explication. Pourquoi c’était si gênant. Pourquoi ça ne touchait de revoir Cléo. Pas à cause de sentiment pour sa demi sœur non, à cause de mes sentiments pour elle, Ashleigh Strauss. Sentiments toujours là, que j’exprimais par un ‘y’a que toi’ juste un peu plus allusif que mes déclarations précédentes, encore sur le coup surement de ses réactions les autres fois. Alors je m’attendais à tout, aux arguments sur l’amitié, à l’excuse qu’on venait à peine de se retrouver, ou même encore qu’elle ne me croit pas, qu’elle pense que je dise cela uniquement parce que chamboulé par le retour de Cléolya, oui pourquoi pas avec Ash tout était possible... Je m’attendais à tout donc… Sauf à ça.  La demoiselle s’avançait, réduisant la distance entre nous, je retenais mon souffle. Ouais j’étais en train de rêver. C’était juste inespéré que ça soit réellement en train de se produire, que son visage soit vraiment en train de s’approcher du mien. Mais sa bouche se posa sur la mienne. Mes yeux se fermèrent pour mieux savourer ce contact, doux, délicat, un vrai baiser pas comme le smack un peu plus tôt dans l’après midi… Un baiser libérateur. Juste trop bref. Alors quand nos lèvres se séparaient, mon visage resta tout proche du sien, mes doigts continuant de caresser sa joue alors que mes yeux se rouvraient et plongeaient dans les siens. Souriant, comblé, le cœur tambourinant, mille questions me brûlaient la langue. Quel sens donnait à ce baiser qu’elle venait de m’offrir déjà ? Et puis flippé aussi… C’était peut être juste pour me faire plaisir ? Pour pas m’envoyer bouler ce soir parce que c’était ‘ma’ soirée. Alors comme trop souvent, quand les choses devenaient un peu trop tendus, j’optais pour la même parade : « T’embrasses carrément mieux que Brent. » Référence aux bisous taquins et enflammés de mon pote tout à l’heure. Et à l’instant où j’avais prononcé cette plaisanterie, je le regrettais. Je ne voulais pas que ça fasse s’éteindre, s’étouffer, le truc qui l’avait poussée à venir m’embrasser. Alors, dans la seconde suivante, je plongeais de nouveau sur elle pour l’embrasser à mon tour. Mes mains glissant dans ses cheveux, mes lèvres se pressant contre les siennes, approfondissant notre baiser...    

@Ashleigh H. Strauss
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A quoi avait été le but de cette manoeuvre de la part de Marin ? Faire en sorte que vous vous embrouillez ? Non quand même pas, le winthrop est le meilleur ami de Denys, comme de toi. Tout ce qu'il veut c'est votre bien, pas que vous vous disputiez. Pourtant, ça partait presque sur cette voie. Le sujet épineux de ta sœur venait de mettre de la tension négative entre vous. Il voulait s'en aller mais pas question. Tu voulais des réponses, pour savoir pourquoi il répondait pas ou bien qu'est ce que tu savais qu'il insinuait. Les non dits, les devinettes, t'aimaient pas ça. Avec toi, ça passait par un seul et unique chemin, que ça soit positif ou négatif. Que tu aies droit à une réponse que tu voulais entendre ou qui te ferait mal. Rester sur des points d'interrogations non merci. Si le sujet était lancé alors tu allais droit au but, comme là, à lui tirer les vers du nez. Appréhendant qu'il parle de ce que tu pensais et espérais, ou bien de tout son contraire. T'allais le découvrir. Vite. Avec sa main contre ta joue, la caressant. Contact qui te fit fermer les yeux et approfondissant son geste en appuyant ta joue un peu plus contre ses doigts. Emportée, guidée, suite à son 'y'a que toi', ton visage avançait jusqu'au sien, venant enfin briser toute distance entre vos lèvres. Agréable, apaisant. Mais baiser qui se brise bien vite, sans trop de réaction de sa part. Okay, tu venais de faire une connerie là ? T'avais mal comprit ses paroles ? Ses doigts s'agitaient toujours contre ta joue pourtant... Perdue alors que ta langue passait sur ta lèvre du bas, lui il plaisantait comparant tes baisers à ceux de Brent. Le temps de réaliser, que tu venais de l'embrasser et qu'il semblait presque indifférent, tu te voyais déjà tambouriner à ton tour contre la porte, à hurler qu'on t'ouvre. Prête à vraiment menacer celui qui ne te prendra pas au sérieux. Tu te voyais déjà vouloir sortir à tout prix, le plus vite, pour ne pas t'énerver contre lui, ne pas lui pourrir sa soirée, et attendre demain pour le faire. Sauf, que dans tes pensées, il vint t'en sortir, ses lèvres entrant en contact avec les tiennes, encore. Ses mains dans tes cheveux, les tiennes passèrent sous ses bras, tes paumes de mains plaquées dans son dos. Tes doigts se crispèrent sur sa peau tandis que tu le laissais faire tout en y répondant. La douceur de ses lèvres, le goût de celles ci, c'est comme si t'avais rien oublié, comme si ça ne faisait pas plus de deux mois et demi que tu n'y avais plus testé. Ta langue vint chercher la sienne alors que tu sentais que ton cœur allait sortir de ta poitrine. Pourquoi c'était aussi agréable ? Pourquoi tu te sentais aussi soulagée ? Pourquoi tout ton corps tremblait presque à ce contact ? Faudrait qu'ils nous libèrent... que tu murmures entre vos lèvres. Non que t'avais envie de stopper le moment, mais plus car c'était sa soirée, ses invités et que tu allais te l'accaparer comme jamais, là.
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Y’avait que Ashleigh. Y’avait qu’elle, si bien que de découvrir que l’une de mes ex lui étaient apparentées, étaient de sa famille, ça me foutait mal à l’aise, ça me gênait. Est-ce que ça n’allait pas avoir raison de notre complicité ? Est-ce qu’elle n’allait pas m’en vouloir ? Y’avait cette règle, que l’on s’était imposé l’un à l’autre, ne pas coucher avec les potes de l’autre. Alors oui, là, sa sœur, imaginez le désastre… Sauf qu’à l’époque, je ne connaissais pas Ashleigh, la règle ne s’appliquait donc pas ? Voilà, tout ce qui s’était passé ce soir dans ma tête quand j’avais découvert la vérité, alors là, la voir indifférente, distante, plaisantant presque de ça, ça me mettait un coup… C’était comme une nouvelle claque et pourtant, elle arrivait encore à m’extorquer des aveux sur le pourquoi j’étais si gêné. Y’avait qu’elle. Ce simple aveu, mes doigts sur sa peau, cela provoqua une réaction inespérée. Ash qui s’avançait, qui venait poser furtivement ses lèvres sur les miennes. Un baiser qui ressemblait déjà nettement plus à quelque chose que celui du début d’après midi. Un baiser qui faisait remonter tout ce que j’avais tâché d’enfouir avec mes bonnes résolutions à la con. Dans un élan d’ultime tentative pour étouffer ça, pour faire taire les questions qui m’assaillaient quant au pourquoi, au sens de ce baiser, je tentais une vanne sur Brent, me référent à son bisou sauvage du début de soirée, regrettant presque mes mots à l’instant même où je les prononçais. En fait, j’avais envie de rien étouffer. J’avais envie de savoir pourquoi elle m’avait embrassé, et je n’avais pas envie de poser la question. Je voulais obtenir ma réponse autrement. La seconde suivante, je fondais sur ses lèvres pour m’en emparer à mon tour. Baiser plus long, pression plus marquée, mes mains dans ses cheveux, comme pour l’empêcher de se détacher de moi, même si la pression de ses doigts dans mon dos me fit penser qu’elle n’en avait pas l’intention. Je goûtais ses lèvres avec délice, profitant, la sentant aussi réceptive et réactive que moi alors, nos langues se trouvant alors pour rendre ce moment encore plus fiévreux. Lorsque nos lèvres se séparèrent quelques instants et qu’elle souffla alors la nécessité d’être libéré, moi je murmurais une toute autre réponse : « S’ils nous libèrent maintenant, je les tue tous les deux. » En d’autres mots, j’en voulais encore. D’ailleurs, ma bouche reprenait la sienne en otage, et mes mains glissaient alors le long de son corps, s’ancrant sur ses hanches pour venir la pousser lentement vers son lit…
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Avec vous, ça ne cessait de changer. D'une minute à l'autre ça pouvait mal tourner, à cause de sa naïveté comme pour le téléphone d'Hadès, ou bien de tes conquêtes comme pour Dimitri quand il l'avait découvert en prison, ou là avec l'évocation de Cléo, de leur relation et de ton manque de réaction, optant pour l'humour. Optant pour cacher ce que tu ne voulais pas qu'il détecte, pas avant d'avoir des réponses, sur ce qu'il ressent, envers elle, et peut être envers toi par la même occasion. Ne voulant pas prendre le risque qu'il sache, qu'il découvre, pour que les rôles s'inversent. Tu ne voulais pas du rôle de celle qui tombe pour son meilleur ami et du meilleur ami qui n'y portait aucune attention, qui n'avait aucune réciproque. Mais plus la discussion avançait, et plus tu voulais lui tirer les vers du nez, sur ta sœur, sur lui, sur toi, sur vous. Tu ne voulais pas le laisser croire que tu t'en moquais, pas s'il n'avait rien ressenti en la voyant. Et là, ce fut rapide, pour basculer dans le sens inverse. La tension était toujours là mais plus dans le même sens. Un simple geste, des simples mots, et tu te laissais guider à lui, à ses lèvres. Prit au dépourvu peut être, il préférait plaisanter. Et si habituellement ça passait, là non. Là tu laissais pas de place à la plaisanterie alors que tu venais de faire un pas vers lui. S'il l'avait comprit à ton visage ou si c'était sa propre envie, il revint sur tes lèvres, t'arrachant de toutes pensées. Pas besoin de te faire prier, tu étais réceptive, faisant ta langue rejoindre la sienne, tout en l'emprisonnant de tes bras. Alors que tu l'avais attendu ce baiser, en lisant ses lettres, durant vos appels, ou tout à l'heure quand il avait été plus d'une fois proche de ton visage, tu soufflais malgré tout qu'ils valaient mieux qu'ils viennent vous ouvrir. D'un tout autre avis, Denys envisageaient de les tuer s'ils osaient ouvrir maintenant. Un petit rire, voyant là le fait qu'il préférait rester avec toi plutôt que retourner auprès des invités, vos lèvres s'unissaient encore une fois tandis que tu finissais par buter contre ton lit. Allongée sur le matelas, lui au dessus, tes mains glissaient le long de son dos, venant se faufiler sous son haut. Du bout des doigts tu parcourais son torse, sentant chaque muscles qui se contractaient et faisaient ressortir ses abdos. T'es sûr tu veux pas profiter des invités ? Sûr qu'il voulait aller sur ce terrain là ? Tes mains glissant toujours sur sa peau pour aller à nouveau dans son dos, prêtes à faire valser le haut si besoin y était...
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 Je venais dire à Ashleigh Strauss qu’il n’y avait qu’elle pour moi, euphémisme pour dévoiler en partie mes sentiments pour elle, et elle, elle m’embrassait ? C’était de la science fiction ? Un rêve ? Un de mes délires ? J’en étais complètement déboussolé, et comme toujours dans ces cas là, je faisais le pitre, j’racontais une connerie que je regrettais aussitôt et qui n’eut pas le temps de faire vriller l’ambiance parce que mes lèvres fondaient sur les siennes aussi vite… Nouveau baiser, à mon initiative cette fois, plus fiévreux, plus long, plus intense, mais auquel elle répondait avec la même envie, ses mains dans mon dos ou sa langue venant taquiner la mienne pour preuve. Pourtant, ça ne l’empêcha pas de souffler son besoin d’être libéré de la pièce. Ha non, c’est mort Ash. Tu ne m’échapperas pas. Et je soufflais à mon tour une toute autre conclusion : si ils nous libéraient maintenant, ils étaient morts. Et je l’embrassais à nouveau avec envie, la poussant en même temps doucement jusqu’au lit, l’allongeant sur le matelas, moi au dessus d’elle, frémissant sous ses mains qui s’aventuraient sous mon T shirt. « Ashleigh, merci pour tout ça, avoir réuni tout le monde, mais… c’est de toi dont j’ai envie de profiter, là, tout de suite, maintenant… » répondis-je. Surprise parfaite. Ravi d’avoir revu tout le monde. Mais ces frissons qu’elle m’arrachait du bout de ses doigts, voyageant dans mon dos sous le tissu de mon haut.  Et mes lèvres plongeaient de nouveau à l’assaut des siennes, glissant ensuite jusqu’à son oreille pour lui murmurer : « En fait, pour être exact, pas ‘là tout de suite maintenant’ parce que ça fait un peu plus de deux mois et demi que je ne rêve que de ça… »  Depuis nos retrouvailles après son accident, depuis cette fois dans la salle de bain de Lucky en fait… J’avais jamais cessé d’en avoir envie, malgré son mec, malgré la lettre de sa frangine, malgré mes résolutions et l’énergie que j’avais mis pour freiner ça…  
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Sans trop savoir comment, ni même quand, il avait chamboulé ton quotidien, ta vie. Il avait prit cette si grande place et rien n'y faisait, ça ne se dissipait pas, au contraire, ça ne cessait d'augmenter. Si les murs de la prison dans laquelle il avait été enfermé, aurait pu permettre de briser ce qui naissait en toi pour lui, ça avait fait tout l'opposé. Plus les jours avaient passé, plus ça c'était accroissait. Comment était ce possible ? Tu ne savais même pas répondre à cette simple question. Tu ne pouvais que constater l'effet dévastateur que son incarcération avait eut sur toi. Et tu craignais l'effet dévastateur que tes sentiments pouvaient avoir sur votre amitié. Mais tu ne pouvais pas lutter, t'avais beau essayé, il revenait toujours dans tes pensées. Son absence creusait un peu plus ce manque en toi, ce vide béant. Et tu craignais tout autant de le perdre que de le voir glisser entre tes doigts. Constater qu'il pouvait t'avoir oublié, qu'il pourrait s'amouracher encore de ta sœur, ça te faisait chier. T'étais plus indifférente. Tu ne voulais plus jouer au cupidon pour lui, ni l'entendre te parler de ses conquêtes. Rien que le strip tease demandait à Gaga t'avais refroidi. Il avait suffit d'un aveu, pour que tu fonces. Pas besoin de mot, juste l'embrasser. Et il avait fait de même, te guidant à ton lit, ne voulant pas que l'on vienne vous déranger, ne voulant plus sortir de cette pièce. T'en avais plus envie mais son bonheur, ses envies passaient avant et cette fête c'était en son honneur, pour lui. Tu ne voulais pas le priver de ses meilleurs amis. T'allais pas non plus te plaindre quand il affirmait qu'il voulait profiter de toi et non d'eux. Et quand il appuyait, dans le creux de ton oreille, son souffle dans celle ci et dans ton cou, qu'il en avait envie depuis plus de deux mois et demi, tes mains remontèrent aussitôt dans son dos, emportant le tissu avec tes mains pour le lui faire passer au dessus de sa tête. Aucune réponse, du moins verbalement. Tu te contentais de reprendre possession de ses lèvres. C'était ça ta réponse. Pas besoin de mots, de blabla, de futilité. T'arrivais pas à sortir quoique ce soit, à lui dire que toi aussi t'en avais eut qu'envie depuis tout ce temps, surtout que t'étais 'en couple' tout ce temps. Les actions, TES actions, allaient bien plus parler, plus que n'importe quels mots. Le haut volant sur le sol, une de tes mains agrippait ses cheveux, les ébouriffants. Tandis que tes lèvres, elles, descendaient dans son cou, et ses pectoraux. Ce corps que tu connaissais si bien, du nombre exact d'abdos qu'il avait, au V qui était visible en bas de son ventre, à ce grain de beauté qu'il possédait à côté d'un de ses tétons. Montre le moi... que tu soufflais juste. Montre moi combien t'as eut envie de profiter de moi tout ce temps, combien je t'ai manqué.
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