Dark Dreamsfeat. Maxyte
Je vois bien qu'elle est pas bien dans cette villa, et je tente un esprit de compassion. Mais je ne sais pas si c'est mérité au vue de comment elle m'a traité depuis qu'on s'est retrouvé à Boston. Mais c'est comme ça, je ne sais pas si on pourra un jour retrouvé notre relation de Paris. Dans le fondj'aimerais, parce que je tenais à elle à Paris, parce qu'on s'entendait vraiment bien, parce qu'on avait cette relation spécial là bas. Je ne dis pas que j'ai envie de retrouver ce petit plus qu'on partageait, mais au moins cette amitié qu'on avait. Après ce qu'elle me dit me fait plaisir. Elle se sentait vivante à mes côtés, elle se sentait elle même. Ca veut dire quoi ? Qu'avec sa confrérie, elle n'est pas elle même, qu'avec la plupart des gens elle n'est pas elle même ? Voilà ce que ça veut dire. Sauf peut être avec ses proches comme elle le dit.
" Tant mieux... Mais ce que j'ai vu à Paris, c'est celle que t'es vraiment ? " Celle qu'elle est avec ses proches Eliots ? J'espère en tout cas. Parce que vraiment j'ai apprécié la fille que j'ai rencontré.
" Celle que j'ai revu à Boston, au bal, non, parce que t'as changé juste pour une histoire de confrérie... Celle en début de soirée non plus, mais maintenant un peu plus. " Lui répondis-je tout simplement. Je lui dis la vérité. Je n'aime pas celle qu'elle est avec moi depuis notre retrouvaille et ça peut se comprendre.
" Et si t'oubliais pendant au moins une soirée que je suis un Mather, et qu'on retrouvait notre relation de Paris... " Lui proposais-je en terminant mon verre de Whisky, alors que je me rapproche d'elle.
Accueil
Je laissais échapper un bout de ma faiblesse, un bout de tristesse et je n'en avais pas pour habitude. "J'espère que ça s'arrangera." Qu'il se laisse aller dans la gentillesse. Je souris simplement, je n'avais rien à dire là-dessus. C'est pas tes mots qui ramèneront Cole, pas tes espérances non plus, et je me passe bien de ta douceur, j'en ai pas besoin. Ça ne marche pas sur moi, ça ne me fait même pas le moindre bien en fait. Rien ne m'en fera tant que je resterais sans nouvelle, tant que je ne saurais pas où il est, ce qu'il fait et si il est juste encore en vie. C'était ça le pire dans l'histoire, de rester dans l'ignorance la plus totale, de ne rien savoir et de se sentir impuissante face à tout ça. Et on se laisse aller à quelques confidences sans savoir pourquoi, qu'est ce que sa réponse pouvait bien changer à ma vie au fond ? Rien. On était pas compatible et probablement qu'on ne le sera jamais. Certainement même. "Comme quoi il n'y a pas que la Eliot et que tu caches celle que t'es vraiment dans cette confrérie." Faux. Je suis vraiment ce que je suis, la seule chose sur laquelle je mens c'est mon insensibilité, cette façon de dire que rien ne me touche. Ça c'est un mensonge, une protection pour moi. - La Eliot, c'est ma seconde famille. Ceux qui comptent pour moi, savent qui je suis ! Il n'y a qu'avec mes proches amis que je tombe le masque, que j'ose montrer la partie humaine de mon âme. Je bois encore, je pense que j'avais besoin de ça pour assumer la présence de Maxime ce soir, pour me trouver une excuse pour l'avoir inviter à entrer. "J'aimais bien cette fille vivante." Elle est encore là, mais elle a plus envie de sortir. Plus avec toi. C'est transgresser ma règle d'or, mais au final, est-ce qu'elle vaut encore quelque chose cette règle depuis que je couché avec Ezio pour me vider de mes maux ? - Et celle que t'as en face de toi ce soir, tu l'aime bien aussi ? Je sais bien que non. Pourtant, c'est ce que je suis et c'est pour ça que toi et moi, ça sera jamais possible. Que jamais on trouvera un terrain d'entente.
