Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitylove me, hate me. ✯ (tate) - Page 2
-38%
Le deal à ne pas rater :
Ecran PC gaming 23,8″ – ACER KG241Y P3bip à 99,99€
99.99 € 159.99 €
Voir le deal


love me, hate me. ✯ (tate)

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
On pouvait dire que le fait que j’agissais de cette façon avec Tate, c’était dans l’unique but de lui prouver que j’étais toujours accroché malgré tout, à lui. Sympathique de ma part d’agir comme ça, sauf que c’est plus fort que moi. Tate allait toujours être important pour moi et il allait toujours y avoir cette attraction qui nous hantaient tous les deux. Sauf qu’il venait de faire un pas en arrière quand il me bousculait à son lit. Je détestais lorsqu’on s’en prenait par la force avec moi. Rouge de rage, je l’envoyais donc promener avant de sortir de sa chambre en furie. Sur mon passage, je bousculais presque un passant sans dire un mot et claquait la mienne. Certains de la Eliot allaient se poser des questions, sauf que je ne pouvais pas faire autrement. Laissant échapper un long soupir de ma bouche, je me laissais tomber sur mon lit quand j’entendis du bruit près de ma chambre. « Willow ouvre la porte...désolé de t'avoir pousser sur mon lit, je me sens mal mais encore une fois, tu avais l'intention de t'en prendre à moi en détruisant ce qui me reste de plus précieux. » Me redressant donc sur mes jambes, j’approchais mon corps de la porte afin d’y coller ma joue contre celle-ci. « Mais qu’est-ce que tu n’as pas compris dans ‘je veux plus te voir ?’. » Dis-je presque sur un ton colérique. Je déteste la bagarre depuis que je suis arrivée au monde. Dans mon jeune temps, j’avais été souvent confrontée à une bande de jeunes sans cervelles qui me faisaient mal sauf que maintenant je ne suis plus cette petite fille. Restant donc accrochée contre le bois, je m’attendais à ce qu’il me laisse tranquille. Tate avait sans doute changé, sauf qu’il est hors de question qu’un homme comme lui ne puisse me toucher de cette manière. J’aimais mieux garder les oreilles fermées que de faire un pas de plus.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Parfois sous la réaction de la colère, je ne pouvais pas expliquer mes faits et gestes. Déjà de voir Willow débarquer dans ma chambre pour me parler d'Athéna m'avait mis en colère parce que sa m'énervait sa petite vendetta personnel contre elle. Depuis le début, c'était un match de ping-pong et décidément il n'y allait jamais avoir de gagnant. Je n'avais pas frappé Will ou lui casser un bras, juste pousser contre mon lit pour qu'elle arrête de faire sa chieuse en me déchirant mes photos de notre voyage d'Italie. Cela me faisait chier royalement que son premier réflexe était encore de me faire mal, elle me voulait quoi? Depuis son retour en ville, je m'étais assuré d'éviter son regard, de lui laisser tout l'espace qu'elle voulait mais c'était elle qui venait me voir , alors je ne comprenais plus rien. Une chose était sûr, même si je lui en voulais, je n'aurais pas dû faire sa mais comment j'aurais pu l'arrêter? En lui gueulant dessus? En la laissant faire? Bref, je ne pouvais pas aller au lit fâché alors je traversais le hall pour aller à sa chambre pour m'excuser. Elle me connaissait, c'était pas moi sa. Je collais ma tête contre la porte, tentant de faire des exercices de respiration que m'avait conseiller ma psy. Elle le pensait pas impossible. Je dis tout simplement: ''C'est vraiment ce que tu souhaites? Je t'aimerais toujours Willow. Tu n'as qu'à le dire et je disparaîtrais de ta vision pour toujours...''.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je pouvais comprendre que Tate était fâché contre ma façon d’agir en sa compagnie. Pourquoi j’étais ainsi avec lui ? Dans l’unique but d’être fermée sur tout sentiments qui puissent naitre en moi. Pour moi, ça voulait simplement dire que j’étais faible, tout le monde pouvait s’attaquer en ma petite personne. Marchant d’un pas décidé vers ma chambre, je me laissais donc emportée dans mon lit. Jamais je n’avais pensé que mon ex serait revenu proche de ma chambre afin de s’excuser. Glissant l’une de mes mains dans mes cheveux, j’étais tellement perdue dans ce que je ressentais que je ne voulais pas encore faire souffrir quelqu’un, surtout pas Tate. Je crois qu’il en avait assez baver en ma compagnie. Lorsque je m’approchais de la porte, je gardais ma joue devenue froide contre le bois de cette dernière. « C'est vraiment ce que tu souhaites? Je t'aimerais toujours Willow. Tu n'as qu'à le dire et je disparaîtrais de ta vision pour toujours... » J’étais surprise de constater qu’après tout ce qu’il a vécu à cause de moi, il possédait toujours des sentiments envers ma petite personne. Fermant les yeux, je lâchais un nouveau soupir. J’avais la tête qui tournais de plus en plus sauf que je ne voulais pas me montrer faible, céder ma place on va dire. Posant ma main contre la poignée de porte, j’ouvris donc cette dernière avant de faire face à Tate une bonne fois pour toute. Le fait qu’il ait agit de cette manière avec moi tout à l’heure, j’étais vraiment surprise. « Tu le sais très bien que je ne veux pas ça. Pourquoi tu restes autant accrochée que ça à moi. Je t’ai fait souffrir alors tu devrais aller vers une fille qui va te respecter. » Si je n’avais pas eu ce démêlé avec Adriel, peut-être que ma vie serait mieux qu’elle ne l’est à l’instant. Je ne quittais pas Tate du regard, j’avais cette envie de l’embrasser sauf que malheureusement pour moi, je ne pouvais pas vraiment passer à travers tout ça.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Les sentiments, choses qu'on nous apprenait à apprendre dès qu'on fréquentait l'école, à les reconnaître et surtout en vieillissant à les redouter. Ils étaient puissants, dévasteurs et pouvait changer votre vie en influençant des décisions qu'on devrait prendre dans notre vie. Je voulais être heureux, j'avais la richesse oui, j'avais des amis supers, une famille que j'adorais mais le sentiment d'être amoureux me fragilisait, me déstabilisait, me rendait stupide et m'avait fait souffrir plus que de m'avoir montrer ses bons côtés. Je pouvais dire que j'étais tombé amoureux deux fois dans ma vie. Willow la première et Athéna la deuxième. Malheureusement, j'étais seul aujourd'hui, j'avais souffert dans l'histoire et désormais j'étais loin de me douter que cela me changerait au point d'être capable de faire souffrir des personnes, j'étais au point que cela me dérangeait plus parce que je voulais rendre la monnaie de la pièce à ses personnes qui m'avait fait souffrir, j'attendais pas que le karma s'occupe d'elles, je devenais la karma carrément. Willow me lâchait pas, alors pas question qu'on se quitte en étant en colère tous les deux. Je l'avais touché, j'avais frappé une corde sensible et cela m'avait prouvé que je pouvais l'avoir et que malgré ses airs de princesse coincé par l'orgueil et la fierté, elle tenait encore à moi, qu'au fond d'elle, j'occupais encore ses pensées. C'était cette motivation qui m'avait sortie du lit pour aller la revoir à sa chambre cette fois, on était des personnes obstinées qui n'arrêtait que lorsque j'aurais le dernier mot. Je lui donnais un ultimatum, tout ce que jouait en ce moment malgré l'heure avancé de la nuit, elle n'avait qu'à ouvrir la bouche et c'était fini, game over, je disparaîtrais en échange qu'elle me fout la paix une fois pour de bon. J'étais content de voir la porte s'ouvrir, une petite victoire à mettre à mon tableau. Je la regardais, avec l'envie terrible de vouloir l'embrasser mais je ne pouvais tout simplement pas en ce moment, c'était trop tôt et surtout sa ne voudrait rien dire. Je riais légèrement avant de caresser son visage d'un main doucement: ''Je sais pas, peut-on vraiment oublier son grand Amour? Lui qui te boulverse, lui qui te change, lui qui veut que tu battres pour l'obtenir? Je sais que je pourrais voir ailleurs mais j'ai pas envie de facile, j'aime le compliqué et la difficulté quoi....''. Je lâchais sa joue, respectant cette distance entre nous. ''Encore une fois, je suis désolé Will. Je ne le ferais plus, depuis que je me suis des limites, la colère m'habite un peu trop souvent...je ferais mieux de retourner à ma chambre.''.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je voulais aussi passer à autre chose. Malheureusement pour moi, c’est beaucoup trop difficile d’oublier Tate. Il avait été beaucoup trop important dans ma vie pour pouvoir faire une croix sur son prénom. Bien sûr, le jeune homme n’allait tout de même pas être au courant puisque je gardais ça dans mon cœur, entourer d’une chaine en métal qui ne pouvait être brisée par rien. L’Italie m’avait fait du bien, afin de me ressourcer un peu et mon père m’avait avoué qu’il y aurait toujours une place si je voulais passer les vacances d’été là-bas. J’y songeais déjà, sauf que je ne voulais tout de même pas laisser mes amis seuls encore une fois de plus. Restant en face de Tate, ce dernier était revenu près de moi afin de s’excuser de la façon qu’il s’est comporté envers ma petite personne. Je dois avouer que j’y était aussi pour quelque chose, mais jamais il n’allait le savoir. Croisant donc mes bras contre ma poitrine tandis qu’il s’excusait, je laissais échapper un soupir avant de hausser les épaules. Au moins, il l’avait fait et c’était ça qui comptait. « Je sais pas, peut-on vraiment oublier son grand Amour? Lui qui te boulverse, lui qui te change, lui qui veut que tu battres pour l'obtenir? Je sais que je pourrais voir ailleurs mais j'ai pas envie de facile, j'aime le compliqué et la difficulté quoi.... » Je détestais aussi quand c’était tout beau, tout rose. Nous n’avions pas besoin d’être comme cela et par ailleurs, je ne voulais absolument pas devenir comme ça. J’étais célibataire, j’aimais être seule ou même m’amuser quand bon me semble. Ça avait toujours été ainsi quand j’étais avec Tate, sans doute parce que je n’aimais pas quand c’était facile. « Tu sais très bien que je suis moi-même comme cela. Je n’aime pas le facile, je veux vivre à fond ma vie… » Il y avait le truc de la police qui s’estompait graduellement et j’étais tout de même contente de ça. Sentant sa main contre ma joue, un long frisson parcourut mon corps entier. C’était bien cette douceur qui me manquait quand on y pensait bien. Une fois qu’il reprit une distance convenable, il vint à me dire qu’il devrait sans doute retourner dans sa chambre. Soudain, au moment où il s’en allait, je glissais ma main contre son avant-bras, l’empêchant de bouger. « Reste… » Soufflais-je avant de faire quelques pas en sa direction et garder mon corps non loin du sien.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Comment lutter contre le désir de se rapprocher de quelqu'un et en même temps voir cette personne souffrir comme j'avais pu souffert après son départ? C'était tellement dur. Moi-même je devais tenter de rester dans le jeu pour ne pas tomber dans son piège de nouveau. J'étais prêt à endurer, à vivre et surtout à répliquer à son petit jeu vu que c'était seulement sa qu'il l'intéressait en fin de compte. Elle me connaissait bien et je le connaissais, du moins, c'était ce que je croyais. Willow n'était pas au courant de l'enfer que j'avais vécu, célébrer le premier anniversaire de la mort d'Ingrid m'avait terrassé, j'avais même sombrer du côté obscur de la force en flirtant avec une mather au point de coucher avec elle, chose que je n'aurais jamais fait avant, j'avais touché le fond, me voilà tranquillement entrain de revenir à la surface. J'étais capable de me montrer cruel, sans pitié mais j'avais un coeur aussi voilà pourquoi je n'avais pas attendu une seconde pour aller voir Willow et m'excuser de l'avoir bousculer sur mon lit. C'était pas moi de toucher une fille sous le coup de la colère mais quand on me poussait à bout parfois, je n'étais pas responsable de mes faits et gestes. Profitant du fait qu'elle me hurlait pas dessus et qu'elle semblait m'octroyer quelques secondes pour m'écouter, je lui expliquais indirectement comment j'étais encore d'elle comme un abruti et que plus c'était difficile le mieux que c'était, les films de filles c'était bon que pour les fillettes. M'appuyant contre le cadre de porte, je hochais la tête et lui dit sérieusement: ''Oui je sais, j'ai appris à le découvert avec le temps. Je te dirais même depuis que tu as décidé de me donner une nouvelle chance à la boutique de vêtements....''. Des souvenirs si loin désormais dans mon esprit. Je m'étais approché d'elle, ma main sur son délicat visage, la caressant comme si c'était ce qu'il y avait de plus précieux au monde , appréciant ce que j'avais sous la main. Je la lâchais de voulant pas qu'elle se fâche ou un truc dans le genre, c'était le temps qu'on se dise au revoir, il était tard dans la nuit et ainsi on pourrait fermer l'oeil sans se soucier du reste. J'arrêtais brusquement lorsque je sentis son bras se poser sur mon avant-bras pour m'arrêter dans mon geste, je la regardais et quand elle me dit de rester, j'en croyais toujours pas mes oreilles? Je me disais que ce n'était sûrement pas une bonne idée mais je me retournais et venait prendre son visage dans mes mains lui souriant tendrement avec de l'embrasser jusqu'à reculer à sa porte et d'une main l'ouvrit pour nous pousser dans sa chambre et je la refermais avec mon pied.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Qu'est-ce que je foutais la? Aucune idée. Est-ce que j'aurais dû continuer à lui servir une froideur qui pourrait faire concurrence avec celle du Pôle Nord? Probablement. Je lui en voulais à sa petite personne, c'était horrible. Il y avait temps de questions qui restait sans réponse et je me disais que c'était peut-être mieux d'oublier que sa en valait pas la peine de reparler du passé comme l'histoire du bébé, j'étais blessé et mes blessures étaient profondes. Près de sa porte, ce regard dans le mien me chavirait, je me disais que c'était peut-être dans notre intérêt de reprendre des chemins différents et qu'on recommence à se prendre la tête dès demain matin mais elle voulait que je reste. J'aurais dû la priver de ce plaisir sauf que c'était exactement le contraire qui se produisait. Je me disais que j'aurais l'occasion de me rattraper, de lui refuser ce genre de plaisir, qu'elle ne pouvait pas faire de moi ce qu'elle voulait sauf qu'à ce moment précis, je ne voulais pas faire le con et rater une chance qui pourrait ne plus jamais se présenter. Je me retournais vers elle, me forcer? Comme elle était mignonne. Je venais plaquer mes lèvres sur les siennes doucement avant d'augmenter l'intensité de ce baiser rapidement devenu passionné. On pourrait me dire que j'étais taré de jouer son jeu, de lui donner cet avantage sur moi mais personne pouvait comprendre notre relation, oh complexe qu'elle pouvait être. Je n'étais pas Tate Murray sans Willow Sanchez-Prada, point à la ligne. Je nous poussais ensemble dans sa chambre en prenant soin de refermer derrière elle. Mes mains autour de son visage, je ne pensais pas aux conséquences de coucher avec mon ex, je voulais simplement profiter de ce moment d'intimité entre nous deux. Je souriais en coin en me laissant tomber sur le dos sur son lit. Je ne la quittais pas des yeux, elle était toujours aussi belle quoi. Je pouvais sentir mon rythme cardiaque s'accélérer, quand elle grimpa sur moi, j'en profite pour caresser ses cuisses jusqu'à son derrière. Le désir naissait en moi et ce qui comptait le plus en ce moment, c'était Willow.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
J'allais finir en enfer, c'était une chose confirmé. Je me sentais presque dans un vidéoclip du chanteur de The Weekend ou que je mettais simplement dans de beaux draps encore. J'aurais dû rester plus ferme, lui montrer que j'étais en colère contre elle, de ne pas lui laisser prendre le dessus sur moi mais surtout de lui montrer que j'avais changé, je n'étais plus dupe et surtout, je pouvais me montrer sans pitié comme elle. À l'amour comme à la guerre? En ce moment, c'était peut-être le principe qui s'appliquait à nous en ce moment. Demain matin, je la maudirais, demain matin je serais fâché contre moi pour avoir été faible et d'avoir céder à mes désirs au plus profond de moi qui la désirait presque d'un désir torturant mon esprit, je devais la chasser de ma tête, de ne pas lui faire à croire qu'elle pouvait avoir un avantage sur moi mais c'était difficile. J'aurais jamais penser me retrouver dans sa chambre mais au diable mes principes pour une soirée, une nuit à goûter l'interdit, à caresser chaque partiel de sa peau comme si c'était ce que je voulais posséder le plus au monde, à lui faire l'amour comme si c'était la dernière fois.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)