HO-NA ♦ « Tu voulais me fuir hein? »

l'appel de la nature

hoël t. fitzmartin & naël p. firestone

Ce moment était comme mélancolique, il glissas ses bras autour de moi comme si il m’emprisonnais sans le vouloir, je regardais devant moi en faisant en sorte de ne pas non plus faire mal, je ferma les yeux evitant de trop penser c'est dans ce genre de moment que je n'ai qu'une envie c'est de penser et la si je me met a reflechir je penserais, à certaine chose qui ne me feront que du mal, comme par exemple Hoël qui s'enfuit encore loin de moi... Où la réaction de Emma quand je lui raconterais tout, c'est cool d'avoir une meilleur amie Mather mais faut la supporter! Je sentis ses mains froler mes cuisses, je glissa ma mains sur la siennes pour entremeler mes doigts au siens et ne voulant vraiment ne plus bouger... Je sentais son baiser sur mes cheveux sa respiration faisant bouger mes cheveux cela me berçait j'avais qu'une envie c'était de m'endormir... Je me sentais si bien a présent. Je perdis lentement conscience pour somnoler ma main libre joua sur le cuisse de Hoël la sensation du jeans me donnait de leger frisson qui me garda à moitié réveiller... On dit souvent que les Lionceau avaient besoins de dormir au moins 16heure par jour c'était surement vrai a présent

« C'est l'extase langoureuse, C'est la fatigue amoureuse, C'est tous les frissons des bois Parmi l'étreinte des brises » ► VERLAINE

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C'est comme si une chanson berçait l,endroit. L"herbe dansante caresser par le vent , vos gestes simples dans la plus tendre caresses , les branches qui se entremêlaient dans leurs feuilles. Tout ça se coordonnaient bien et finissait par venir chercher un apaisement loin dans ta tête.Tu passas tes bras plus proche de son ventre en le serrant contre toi , maintenant c'était toi qui avait peur que il s'enfuit.Même si la douleur te tortillais encore plus à l'intérieur de toi tu voulais que ce moment soit calme et magique pour vous deux.C'est la suite des choses qui fait peur , si tu pouvais arriver à supporter tout ça sans l'idée de partir au plus vite. Tu te surprend même à trembler un peu à sa main dans la tienne , mais tu ne refuse pas ce contact qui devient si agréable.Peut-être que tu tremble de peur? Oh Naël qu'a tu donc fait ? Tes yeux te embrasent dans un feux de l'enfer alors que tes mains te font frissonner par millier. Il faut le fuir , comme tu reste à proximité. La souffrance pour toi semble être la prochaine étape , c'est la seul chose que tu sais faire de toute manière. Ton instinct vagabond te suit à la trace , tu as besoin de te sentir le vent dans les voiles. Je le sais déjà ce qui m'attends d'une voix si brisée je me dit que..«Naël... je vais te faire du mal...»Même si je ne veux pas

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hoël t. fitzmartin & naël p. firestone

«Naël... je vais te faire du mal...» ses paroles semblait si sensé, que j'eu du mal a comprendre tout de suite, je me redressa en soupirant il ne comprenait donc rien alors! Je n'attendais pas a ce qu'il me dise ça, je me redressa doucement me retournant me mettant a genoux entre ses jambes le fixant dans les yeux et je lui dit : « Hoël regarde moi... Je t'apprecie et je crois que tu le sais bien. Mais dit toi que notre relation se fait si toi tu le veux... Effectivement on risque de souffrir hoël, mais c'est normal c'est ça les relations y a du bien comme du mal... Je prend le risque... » Je m'approchais de lui pour l'embrasser, je prenais certes de gros risque vu le personnage qu'étais Hoël mais pourquoi ce prendre la tête maintenant, alors qu'ils sont tranquilles posé sur la pelouse devant un lac plus que magnifique le temps était radieux. Je me disais bien qu'il ne fallait pas penser au futur que je savais bien que j'allais m'en mordre les doigts tôt ou tard.

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Là n'était pas le question et tu es si innocent Naël. Je me sens comme un filet qui attendait que tu tombe dedans pour se refermer et te ligoter à l'intérieur jusqu'au jour ou tu ne respire plus. Meurtrier encrer à l'intérieur de mon âme et ce mot est si tâchée dans on encre qu'il ne quittera jamais sans doute . Et si il parvenait par s'en aller son ombre guetterait encore sur ma chaire. Je le regardais et les envies de larmes revenaient au plus profond de moi me brûlant la gorge sans remord et je voulais le serrer contre ma poitrine battante en lui disant de jamais s'enfuir. De le sceller à moi pour toujours sentir sa peau contre la mienne qui m'arrache des frissons à chaque fois. Je me répète ces mots dans sa tête. La souffrance est inévitable ? Mais crois moi tant que j,aimerais l'éviter. J,aimerais même me dire que je n,ai pas envie que se soit éphémère. Tu deviens un souffle si important que j'en oublie la poudre blanche et l'herbe dansant dans sa fumée autours de moi. Je veux le hurler bien haut et fort. Me tordre les cordes vocales pour que tu le sache aussi que tu n'es pas rien qu'un ami pour moi. Pas rien qu'un objet pour satisfaire mes désir fort et charnelle. Tes lèvres touchent les miennes et j,en redemande toujours plus autant que je peux t'embrasser aussi tendrement possible pour exprimer mon affection qui nait en moi. Oui je le veux ne me vois-tu pas te réclamer malgré le fait que je m'enfuis à chaque fois ? Ne le vois-tu pas que malgré moi si je suis venu à toi c'est que 'est un signe. Mais comprend que même si je le veux jusqu'au profond de mes entrailles je ne peux pas. Dangereux comme un prédateur qui guète sa proie jusqu'à pouvoir la dévorer complètement. Tu revenais à moi et je restais silencieux face à tout ces mots même si tout se frappait l'un contre l'autre à l'intérieur e moi. Je te retenais serrant mes bras dans le bas de ton dos. Mes lèvres tremblent quand je te regarde et je te ramène à moi pour un baiser qui me prend tout mon souffle , car je ne veux point m'éloigner. Je sens une larme qui perle et vient toucher nos bouches entrelacées et à ce moment là mes mains te serrent encore plus fort. La douleur s'éveille. Elle bat de son plein. Ce genre de contacts tu en a pas eu depuis quatre ans. C'est si bien comme tout le contraire. À quoi bon te repousser aujourd'hui ? J'en suis incapable même mon cerveau ne répond plus à cette demande. Chaque membre est déconnecté.«Naël...»Ta voix s'étrangle dans ta gorge avant d'arriver à la surface.«Reste avec moi...» Oui j,ai prononcé ces mots. La dernière étape serait de te dire que je le veux , mais crois moi ces mots ne semble plus exister dans mon vocabulaire.

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«Naël... » Je ne comprenais plus ce qu'il se passait dans la tête de Hoël, mais ce fut à ce moment précis de l'histoire entre Hoël et moi que je comprenais ses sentiments à mon compte, il m'embrassais comme si il y avait un gout de tristesse dans sa salive, je me serrais cru dans un roman à l'eau de rose, mais j'aimais ça. Hoël me boulverser, sentir cette larmes dévié sur mes lèvres me surpris, nous nous détachions, il voulais me dire quelque chose... Ce fut les trois mots qui resta a jamais gravé dans mon coeur... Surtout dites de sa part. J'étais comme étourdit: «Reste avec moi» je fus si surpris, que je me colla encore plus à lui me cambrant limite il me serra par les reins nous tombions à la renverse, la gravité n'était pas avec moi me retrouva sur lui un leger sourire sur mes lèvres, mes cheveux un peu chambouler par la chutes je ne quitta pas ses lèvres, j'aurais voulu lui dire, mais tout ce qui fut sortit fut une larmes qui tomba sur la joue de Hoël, ce qu'il m'avais dit m'avais retourner le coeur ainsi que la tête. J'étais comme pétrifié. JE ne savais plus quoi dire. Je glissa une main dans ses cheveux, se moment sera inoubliable... Je voyais bien une averse tomber cela aurait rendu la scène encore plus magique... Ma tête allait prendre feu, je perdait tout moyen je glissa mon pouce sur sa joue récupéré ma larmes qui se faufile glissant sur ses lèvres je m'approcha doucement de lui lui disant doucement descendant jusqu'à son oreille: « Je resterais toujours à tes cotés Hoël... » ses mots me dechiquetèrent de l'intérieur, comme si mes poumons voulait hurler d'autre mots bien plus fort. Mais je crois qu'il a compris ce que je ressentais j'étais peu être naif, mais je savais ce qui pourrait m'attendre tout de même!

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J'avais l'impression d,avoir atteint la partie où je ne pouvais plus reculer. Que j'aurai beau vouloir partir en grande enjambé , mes jambes flancheraient et m'empêcheraient de partir. Mon corps perdrait toute l'énergie qu'il me faut m'obligeant à rester contre lui au creux de ses battements à l'unissons des miens. L'océan de la naïveté , le bonheur si facile à détruire qui nous noyais. Le destin bougeait déjà les pions nous dirigeant sans doute vers un amas de souffrance. Je suis pourtant complètement déconnecté et il faut croire que je n'ouvre plus les yeux sur les conséquences. Je n,arrive toujours pas à comprendre ce qu'il a pu créer en moi. Comment a-t'il pu s'infiltrer aussi facilement sans que ma tête ne crie garde à l'inconnu. Faut-il dire que ce qui c'est passé il y a deux ans est devenu inévitable et sans doute le futur proche qui m'attends. Oh , mais Naël te rend=tu compte dans quoi tu t'embarque ? Tu t'attache à un vagabond qui ne supporte pas être au même endroit trop longtemps. Une personne qui chérie sa liberté comme jamais et ne sait même pas s'il va être là pour toi demain. Lui contre moi allongé sur l'herbe mes mains ne changeait pas de positions , mais elles remontaient tout d'un même un peu dans une lignée de caresse sans desserrer mon étreinte. Lui aussi une larme ne l'échappa et malgré toute les émotions qui venaient s,abattre sur mes traits , un sourire venait se poser sur ma bouche en sentant la larme tomber sur ma joue. Il venait la chercher tout aussi rapidement en te disant qu'il ne me quitterait jamais. Je t'en supplie ne dit pas ça. Qui peut lire l'avenir ? Je le serrais tout de même plus fort l’amenant le plus proche de moi que possible tout contre moi en cachant mon visage au creux de son cou. Quelques baisers fut déposé pour éveiller sa peau. «Qu'est-ce qui nous arrive bon sang?»

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hoël t. fitzmartin & naël p. firestone

««Qu'est-ce qui nous arrive bon sang?»» Je ne comprenais plus ce qu'il se passait ma tête vacillait dans un quart d'heure américain sans robe de princesse... Il me donna des baisers après m'avoir poser cette question, je ne savais pas alors quoi lui répondre sur le moment... Effectivement qu'est ce qui nous arrivait, aurais-je cru Hoël capable de ça envers moi? Lui qui me fuyait comme la peste il y a deux ans, lui qui avait remis ça il y a une semaine, il m'aurait refait le coup je pense que j'en aurait eu marre de jouer à Titi et Grominet, prendre le rôle de Grominet pour chasser le Titi jusqu'à l'avoir en ma possession... Je ne savais plus quoi penser soudain je me suis mis a lui dire en me redressant légérement: « Je ne sais pas Hoël... Que... Qu'en penses tu toi? »... Je m'installa à cheval sur lui posant mes mains de chaque cotés de sa tête, plongeant mon regard dans le sien attendant une réponse pertinente enfin vu dans l'état où nous nous trouvions c'était fort impossible! Je me demande alors si j'aimais Hoël? Si ce sentiment qui brula ma poitrine etait alors bien ca? C'était encore un brouillard sans nom pour decortiquer ses multiple sentiment que j'éprouvais pour lui... je pouvais me dédié corps et âme pour lui, mon corps pouvait lui appartenir si je voulais... Je descendit mon visage, je sentais son souffle sur ma peau, ma peau se transforma en chair de poule avant de l'embrasser doucement et tendrement... J'étais si bien là...

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Je cherche sans doute trop à comprendre. Les réponses qui ne me viendront sans doute jamais. Je creuse sans cesse à deux mains me terrant sous terre jusqu'à ce que qu'il s'y jette aussi m’attrapant dans ses bras pour que je goûte à l'aire pure. Il ne pouvait pas plus répondre à mes demandes et je fermais les yeux le sourire un peu dissipé. Je n'arrivais pas à rassembler toute les parties , tout les indices ce pourquoi mon esprit te crie en appel , mais à ce que je vois tu es tout autant perdu que moi. J’entrouvris mes lèvres en les refermant aussitôt , je changeais ma bouche de direction pour se coller à la sienne de nouveau. Lui me chevauchant je me collais autant à lui qu'il y a quelques minutes en déposant de longues caresses dans son dos en venant me loger dans son cou. Comme une poupée je me livrais à lui insouciant.«Peu importe ne me lâche pas..»Je pourrais lui hurler de ne pas le faire et de rester coller contre moi jusqu'à ce que ses mains deviennent engourdie tant qu'il me serre. Jusqu'au moment que nos chaires viennent à se coller tant elles s'effleurent.«C'est effrayant...»

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hoël t. fitzmartin & naël p. firestone

«Peu importe ne me lâche pas...» J'avais du mal a peu a comprendre ce qui se passait dans la tête de Hoël ainsi que de la mienne, tout se chamboulait si vite, il ne voulait plus que je le quitte cela se sentait dans ses geste il se colla a moi je sentais ses mains dans mon dos, cela me donna comme un frisson qui me dressa encore et toujours... il me lanca un dernier mot qui me laissa bouche bée: «C'est effrayant...» C'est effrayant c'était le cas de le dire, Je me glissa pour l'embrasser, un baiser qui ne se laissa pas indifferent. Je pouvais rester des minutes comme ça à l'embrasser quand soudain, les nuages plus sombres les un que les autres se formèrent au dessus de nos têtes pour entendre un grondement d'orage aussi puissant que les titans... Je me redressa limite en mettant a genoux, je regardais Hoël, en voyant une goutte tombé sur son nez je me suis mis à rire aux eclats avant que l'averse ne tombe comme vache qui pisse.. Je me leva prenant la main de Hoël pour l'aider a se relever, nous allions nous abriter sous un arbre je le pris dans mes bras pour le rechauffer en lui disant: « Viens on rentre... » Je le regardais il etait tout mouillé, son t shirt lui colla a la peau on pourrais voir son torse en transparence, Hoël était pas le genre de garçon super bien musclé, il avait un petit ventre plat à bière, mais ca faisait son charme je le trouvais beau et c'est ce qui m'importait pour moi. Nous partions pour Harvard... Mouillé jusq'au os!

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