HO-NA ♦ « Tu voulais me fuir hein? »

Lun 10 Sep 2012 - 18:33

l'appel de la nature

hoël t. fitzmartin & naël p. firestone

J'étais allonger dans le parc, je profitais de la belle journée. Le soleil était présent j'étais habiller assez léger, un bermuda genre maillot de bain. Je dois dire que le vent était très agréable. Mais soudain j'entendis mon portable vibré. Ce fut un appel d'un numéro que je connaissais pas, je laissais donc faire le répondeur. Les lunettes de soleil sur mon nez et les écouteurs de mon téléphone qui était en marche. Quelque instant après j'écoutais le messages, la voix était familière trop familière. J'avais reconnu la voix de Hoël l'homme avec qui j'ai couché il y a une semaine. L'homme que hélas j'avais des sentiments... Mas hélas j'ai cru perdre tout mes moyens rien qu'au son de sa voix. Je lui envoya directement un sms... Après une dizaine de sms recu, je réussissais a le faire craquer, il allait me rejoindre dans Cambridge Common Je suis restais la allongé en écoutant la musique. Je me demandais combien de temps ils allaient mettre...

« C'est l'extase langoureuse, C'est la fatigue amoureuse, C'est tous les frissons des bois Parmi l'étreinte des brises » ► VERLAINE

Code by Anarchy

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Lun 10 Sep 2012 - 19:23

Tu as craqué , ouais et tu te sens salement pathétique. Pourquoi? Parce qu'il a gagné . Tu pourraise fuir pendant dix ans rien à faire au fond même si tu ne veux pas l'avouer tu as plus qu'envie de le revoir . C'est limite un supplice , mais tu as de bonnes raisons de refuser de le voir. Il est tombé dsns ton filet et tu n'est qu'à faire souffrir les gens . Enfin c'est ce que tu pense depuis l'accident. Il a des sentiments pour toi tu l'as sentie pendant cette nuit . Ce moment que tu aimerais tant repéter tant c'était bien être dans ses bras et l'entendre soupirer de plaisir à tes oreilles. Tu étais resté un moment lasse sur ton sofa en te disant qu'il n'y avait pas pluz stupide. Comme une statue tu ne bougeais pas d'un poil et tu avais envie de lui renvoyer un sms pour dire que tu ne viendrais pas , mais il est déjà trop tard. Qu'allait-il se passé au parc? Il allait se rapprocher de toi et te posé des tas de questions . Ton cerveau explosait en mie morceaux juste à y penser. Il t'a fait craqué oui , mais pas seulement pour venir et ça te tord de douleur. Son sourire qu'il fait est sur le point de te rendre complètement fous et tu dis que c'est de la triche. Tu pris une grande respiration et tu sortie rapidement , car tu avais tout de même pris 30 minutes de courage. Tu le voyais encore jouer du violon à moitié nu et ton coeur faisait un bond. Tu te mordais la lèvre frustré par toi même en sachant très bien que tu ne devrais pas y aller . Tu t'enfonce dans un labyrinthe un jeux si dangereux qui pourrait en ressortir avec des blessures. Tu avais failli faire demi-tour deux ou trois , mais tu devais te rendre compte que tu étais rendu au parc après toute cette tourmente. Il était là assie sur le banc plongeant dans la lumière qui le rendait divin. Tu venais par en perdre tout tes moyens . Tu t'avança en passant une main dans tes cheveux nerveux . hey... alors que au fond de toi tu te disais tu es vraiment beau et je dois y aller je suis mauvais

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Lun 10 Sep 2012 - 19:53

l'appel de la nature

hoël t. fitzmartin & naël p. firestone

Cela faisait déjà une bonne demi heure que j'étais partit de ma place sur la pelouse, j'alla m'asseoir sur le banc j'avais toujours ma musique... J'avais certain flash back qui revenait de cette soirée... C'était si délicieux j'étais aux anges... Mais tous les mauvais souvenir revenait de ce que j'avais eu avec lui il y a deux ans et la une larme coula sur sa joue qu'il essuya rapidement. Il vit au loin Hoël qui s'approcha. un sourire s'illumina sur son visage cachant son état d'ame. « Hey... » Me dit il en s'approchant de moi, je leva la tête retirant mes oreillettes je lui laissa echappé un sourire avant de me lever. Ranger mes ecouteurs au fond de ma poche et de lui lanca: « Hey... Ta fait vite » Je lui lanca un sourire, j'avais une envie de l'embrasser, mais il semblait distant. Je ne savais pas ce qu'il se passait dans la tête de Hoël et j'aimerais le savoir vraiment... Je savais que quelque chose le perturbé... Je sentais bien que quelque chose le bloquait dans ses sentiments. je m'approcha de lui essayant de prendre mon courage à deux mains, je ne savais pas quoi lui dire j'étais bloqué autant prendre son courage à deux mains : « Ca te dirait qu'on marche? Je me suis allongé toute la journée j'ai besoin... De me dégourdir les jambes. »

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Lun 10 Sep 2012 - 21:02

Sa voix. Son jolie ton de voix de la façon qu'il te disait salut ça te retournais de plus en plus. Tu te convaincais le plus possible de ne pas t'enfuir en courant , mais en même tout est dure de faire face à tout ça. Tu étirais tes sourires même s'ils restaient inquiet dans les coins. Tu suppliais le ciel qu'il ne pose pas de questions , mais en même temps c'était un peu impossible un jour la vérité voudra être su à tout pris. Personne n'est au courant pas même ton père dont tu n'as pas eu de nouvelles depuis bientôt quatre ans. Il ta vu partir en pleure , impuissant face à tout ça . Tu n'oses même pas penser comment il est à présent. Tu hochas seulement de la tête quand il te proposa de marcher un peu. Distant et froid rien d'agréable il fallait que tu change au plus vite en te voilant le visage de nouveau. Tu pouvais exercer ton cotée charmeur comme tu le souhaite , mais à des moments il refuse de sortir. Tu fis le premier pas et il te suiva. Vous marchiez dans l'herbe sans but fixe . Les mots non présent devenait lourd sur vos épaules . Tu lui lança donc d'un ton moqueur. Avoue le tu mourrais d'envie de me revoir ! Tu te mis à rire en tournant ton regard vers l'horizon peut-être trouverait-il ton commentaire stupide et même déplacé , mais c'est bien toi ça parler pour détendre l'atmosphère sans but ni fixe.Tu voulais t'excuser pour il y a deux ans et pour la semaine dernière , mais tu n'y arrivais pas . Une tornade passait à l'intérieur de toi . Sans vraiment t'en rendre compte tu effleuras sa main que tu éloignas aussi rapidement en levant les yeux vers les nuages. Si tu continue comme ça tout sera encore plus pénible...

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Mar 11 Sep 2012 - 16:47

l'appel de la nature

hoël t. fitzmartin & naël p. firestone

Hoël venait de me rejoindre, dés son arrivé on pouvait sentir une tension dans l'air comme de l'electricité je me demandais encore ce qui allait se tramer à se moment là, je n'étais pas du genre à sauter sur tout se qui bouge tout le temps. Hoël était peut être fort séduisant, mais je prenait un maximum de mon self control pour calmer ma testostèrone. Son simple Hey aussi discret que possible m'avait retourner l'estomac, il semblait si triste. On dirait qu'il voulait s'enfuir, j'avais peur de mon impression et peur que se soit de ma faute si Hoël veut partir. Mais c'est comme si je lui rapellais un mauvais souvenir, je me suis levé en le saluant je sentis que ma voix lui avait fait une réaction je ne voyais pas quoi mais cela faisait plaisir qu'il etait si intriguer par ma voix. Je lui demanda si cela lui plairait qu'on marche, mais il ne me répondit pas et lança directement la marche, je me mis à ses cotés, nous marchions quelque pas et le silence fut présent c'était assez pénible je trouve. Mais je ne savais pas quoi dire. J'aurais aimé reparlé de la dernière fois, mais j'avais l'impression que chaque mots que j'allais dire il allait s'enfuir comme un animal sauvage... Hoël était mon animal sauvage et il fallait que j'apprenne à l'aprivoiser, c'est alors que le jeune homme se lanca dans l'humour en lancant une petit vanne avec un rire en prime. Je soupirais finissant par rire: « Avoue le tu mourrais d'envie de me revoir ! » je lui ai repondu en lui donnant un leger coup sur l'épaule: «Tu peut parler toi! C'est toi qui ma rejoins...» Je lui tira la langue, et je continué de marcher avec le sourire... Soudain je sentis sa main se froler à la mienne, le contact de sa peau m'electrisa le corps en entier et je le vis prendre de la distance... Nous continuons de marcher et une discussion se metter en place. Nous parlions un peu de tout et de rien... Nous faisions connaissance si je puis dire. Ce qu'il faisait à Harvard, quel était sa couleur préféré etc... Et nous approchions d'un kiosque un jus de fruit très Upé dans Cambridge je lui demanda: « J'ai une tite soif, tu veux quelque chose? »

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Mar 11 Sep 2012 - 18:16

Tu te mis à rougir étrangement face à sa remarque. Du coup la seul façon de cacher son embarrassas c'est de lui renvoyer son coup et de rire avec un grand sourire. Pas question qu'il te voit rouge comme une tomate . Non Hoël fait rougir les personnes pas le contraire . Faut croire qu'il commençait à toucher des petits points qu'il ne te laissait pas indifférent. Comme si la situation changeait de direction tu devons donc rapidement changer les vents de nouveau. S'il devait prendre le dessus il te ferait encore plus craqué et ça serait donc encore plus difficile de s'éloigner de lui. Vous étiez rendu à un stand de jus. «Oui moi aussi.» Tu t'avanças pour commander et tu payas pour vous deux pour ressortir ton petit cotée généreux. Par la suite tu le poussas vers la prochaine direction inconnu en reprenant votre chemin. Tu glissas une main sur ses fesses en te penchant vers son oreille. «Alors que veux-tu savoir petit curieux ? » Tu lançais cette question alors que tu ne saurais sans doute même pas répondre à une seule de ses questions . Sauf si elles sont général .«Sauf que j'ai le droit de t'en poser aussi et tu n'as pas le droit de refuser.» Si tu pouvais d'ailleurs soutirer plus d'infos venant de lui ça serait bien. Tu aimerais rester encore plus longtemps mystérieux de ton cotée. Tu ne te rend pas compte que tu lui fais sans doute déjà mal. Tu lui sourie et tu semble encore vouloir le draguer comme tu t'éloigne de lui aussi vite que possible. Tu pourrais le fuir aussi longtemps que possible tu le sens déjà il est prêt à te coincer et t’attraper.

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Mar 11 Sep 2012 - 19:00

l'appel de la nature

hoël t. fitzmartin & naël p. firestone

«Oui moi aussi.» Cette réponse me réjouissais, je le vis s'approchais et demander deux gobelet de jus d'orange. Il posa un verre devant moi et je le pris. J'étais a deux doigt de sortir mon porte feuille pour payer mais Hoël fut plus rapide et paya, il m'emmena vite dans une autre direction. Nous marchions je venais de boire une gorgée, au même moment je sentis sa main qui se glissa sur mes fesses. Sursaut de surprise je me mis a avaler de travers toussant une ou deux fois en entendant cette phrase qui me glissa à l'oreille... «Alors que veux-tu savoir petit curieux ? » Serait il suicidaire? Je pense fortement que oui je le regardait en arquant un sourcil: « D'une! Je ne suis pas petit!» Non je ne fais pas une fixette sur ma taille, -o- et je continua à raler dans ma moustache: « De Deux! tu es serieux toutes les questions que je veux? » Et je sentis le coup à double tranchant me venir en plein ventre tel un Harakiri bien placé! Salté de méthode de samurai pourris suicidaire -o-: «Sauf que j'ai le droit de t'en poser aussi et tu n'as pas le droit de refuser.» Je sentais déjà la mauvaise blague. Mais je lui souris gaiment en lui disant: « Marché Conclu, je n'ai rien à cacher... » Contrairement à toi me dis je dans ma tête sans le vouloir cela sonnait si bien... Nous marchons et je bus une gorgée de jus d'Orange en lui disant: « Je vais une question con et une que j'ai dans la tête je ferais ça a chaque fois: Si tu serais un animal tu serais quoi? » Bah quoi? Petite question comme ça. Mais je refléchissais a ma prochaine question... Pourquoi est tu partit il y a deux ans? Que ressent tu pour moi?.

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Mar 11 Sep 2012 - 19:59

Tu pris le temps de boire une gorgée de ton verre. Il faut dire que c'était une bonne idée par cette journée ensoleillé. Tu l'écoutais attentivement. «Tu les as tes questions bizarre toi!» Tu fis mine de réfléchir alors que tu connaissais déjà la réponse. « Un oiseau. Parce que ainsi je pourrais m'envoler plus facilement où bon il me semble. Et je pourrais visiter tout les pays qui me plaît. Même si en fait c,est un peu impossible pour un oiseau et que j'ai les moyens sans problème de m'envoler demain matin où j'ai envie.» C'est là qu'on voyait sans aucun doute que ton esprit vagabond revenait à la charge. Oui ton tour du monde n'était pas au point , mais tu comptais bien le finir après tes études. Tu avais parlé plus que tu ne l'aurais voulu , mais sans trop en même temps. C'est un rêve depuis ta tendre enfance de voguer plus loin que l'Angleterre. Aussi peut-être que d'une façon cela pourrait l'éclairer du pourquoi tu étais partie cette fois là , mais ce n'était qu'une mince partie de l'énigme , la clef était loin d'être tendu.«Qu'est-ce que t'a emmené jusqu'à Harvard plutôt que de rester à New-York» Ah cette ville où tu as fais sa rencontre , mais tu as sans doute laisser des souffrances . Tu lui fis un petit regard comme du quoi tu étais excuser de ce moment là et que il n'était pas le seul à avoir passé de bons. Moments.

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Mar 11 Sep 2012 - 20:20

l'appel de la nature

hoël t. fitzmartin & naël p. firestone

« Tu les as tes questions bizarre toi!» Je me suis mis a rire c'était très drole de l'entendre dire ça mais il a pas mis longtemps a me répondre «Un oiseau. Parce que ainsi je pourrais m'envoler plus facilement où bon il me semble. Et je pourrais visiter tout les pays qui me plaît. Même si en fait c,est un peu impossible pour un oiseau et que j'ai les moyens sans problème de m'envoler demain matin où j'ai envie. » Je fus surpris pas tellement, j'aurais dit un peu la même pour son point de vue, j'eu un sourire comme attendrit par son discours à la Into the wild. Je lui répondit « très bon discours... » je redoutais ça question, je me doutais bien que se serait un volatile... J'avais divers scénario en tête en melange félins et volatile... Genre tweety and Sylvester, mais j'avais qu'une envie c'était de le serrer dans mes bras, car Hoël a dégager une tel émotion en expliquant pourquoi... Je sentis a ce moment qu'il est vraiment différent de moi et cela me faisait peur. ««Qu'est-ce que t'a emmené jusqu'à Harvard plutôt que de rester à New-York»» Je fus surpris de sa question, je le vis à son regard qu'il parlait aussi de son depart, il était si chou comme ça essairait'il de s'excuser... De toute façon je n'accepterais rien sans l'avoir entendu, je fis donc le sourd d'oreille pour ca, mais je concentra sur la question. Pourquoi étais-je partit de New York? J'étais devenu un Acteur de Soap et cela m'ennuyais j'ai décidé de partir beaucoup de mauvais souvenir surtout avec lui enfin bref que dire la dessus je ne savais vraiment pas d'ailleur alors j'essaya de synthétiser.« Bah par où commençer... Je sais pas si tu le savais, mais quand je bosser au Studio 51 à Broadway à l'époque où on sait connu, je jouais le fils d'une bourgeoise... Je m'ennuyais enormement dans cette série, un genre d'amour gloire et beauté mélangé avec un SOAP Brezilien. J'ai quitté les studios et impossible de retrouver un rôle, j'ai donc décidé de reprendre mes études de droit ici... Et puis beaucoup de mauvais souvenir avec cette ville que j'aimerais volontier oublier. » Je baissa la tête un peu nostalgique mais surtout enervé de repenser à tous ceci. « Autant rester dans le sujet de New York, Question sérieuse alors... Pourquoi est tu partit cette fois Là? » Allons dans le vif du sujet j'esperais simplement qu'il allait être sincère et non se défilé tel un enfant qui aurait peur de se faire disputer.

« C'est l'extase langoureuse, C'est la fatigue amoureuse, C'est tous les frissons des bois Parmi l'étreinte des brises » ► VERLAINE

Code by Anarchy

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Mar 11 Sep 2012 - 20:57

Te voilà bloqué . Anéanti à l'intérieur , un vrais oragan qui te tord à l'estomac qui remonte en toi pour t'écraser le coeur et te nouer la gorge. Tu entrouvais les lèvres restant sans armes devant les mots qui ne sortaient pas . Ta bouche tremblant même un peu . Les souvenirs se cognaient l'un contre l'autre ne laissant pas tes parois de ton crâne qui se faisait marteler sans cesse. Une seule question te mettais dans un état horrible . Tu pouvais le fuir pendant longtemps , mais jamais les questions ne fuiront son esprit comme tes souvenirs qui te suivront à chacun de tes pas même si tu ne l'as pas compris encore . Tu as juste envie de partir encore et t'époumonné à une course folle . Tu baissas la tête et aucun regard n'était tourné vers Naël . Je... ça te brûlais , ça te consumme. Les larmes ont presque envie de perler au coin de tes prunelles , car au fond tu es déjà en train de faire du mal à une personne qui ne t'es pas indifférent. Il te retourne dans tout les sens et tu commence à sentir même des papillons qui font naissance. Je n'avais pas le choix de partir... tes mots sont sortis tout détruit , cassé et presque incompréhensible dans un tonde voix faible et presque pas sourd. Tu prend de l'avance et tu te mets à marcher plus rapidement en le dépassant.tu criais à l'intérieur de toi qu'il te pardonne.

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