HO-NA ♦ « Tu voulais me fuir hein? »

Mer 12 Sep 2012 - 17:42

l'appel de la nature

hoël t. fitzmartin & naël p. firestone

« Je...» Putian Boulette! je n'en revenais pas de la réaction de Hoël il c'est refermer comme une huitre, comme si il ne voulais plus rien dire, il tremblait presque j'étais très inquièt je ne savais plus quoi faire il rajouter ensuite: « Je n'avais pas le choix de partir.» Quoi de mieu de me ruiner, il était si évasif que cela me rendait encore plus mal a l'aise...Il continua de marcher mais de plus en plus vite comme si il voulait s'en aller il me depassa largement, je me hâta vite pour le rattraper j'attrapa sa main en disant: « Hoël! Attend!!» Je l'arreta mais le bougre il avait de la force, Je l'aida a se retourner en lui disant: « Hoël... Désolé. Je ne t'en pris t'en vas pas reste...» J'en avais marre de faire semblant pour l'instant je voulais juste être avec lui. Tout allais si bien et je venais de tout gacher... Je me sentais si con, mais je repensais encore a ce qu'il c'est passer il y a deux ans tout ce que cela a engendrer.

« C'est l'extase langoureuse, C'est la fatigue amoureuse, C'est tous les frissons des bois Parmi l'étreinte des brises » ► VERLAINE

Code by Anarchy

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Mer 12 Sep 2012 - 18:02

Une balle dans la tête ferait moins mal que de repenser à tout ça. Il te retenait de nouveau et ton visage semblait être démoli par toute sorte d'émotions qui revenaient à la surface. Ta main dans la sienne , une douce chaleur si apaisante qui commençait à t'atteindre en plein cœur à présent. Tu serras sa main la caressant même de ton pouce sur sa paume pour après la retiré de vitesse. Il était encore derrière toi t tu restais là en silence sans rien dire. Dos à lui tu respirais longuement pour rapporter tout les mauvaises choses au profond de ton esprit là où elle devait être. Tu te retournas dans un coup de vent l’empoignant sur ses bras au niveau des épaules en lui plaquant un long baiser tendre . Il te paru douloureux au début puis tu te détendis en finissant pour les éloigné Ton front restais contre le siens paupières closent , lèvres entrouvertes .«Je suis tellement désolé Naël» Habituellement c'est à ce moment là que tu fuirais en courant , mais tu restas contre lui , car au fond tu étais si bien . Le temps d,une larme aurait été bien placé , mais elle restait tout au fond de toi.«Mais si seulement parfois tu pouvais m'oublier , même si je n,ai pas vraiment envie que tu le fasse»

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Mer 12 Sep 2012 - 18:50

l'appel de la nature

hoël t. fitzmartin & naël p. firestone

Je le regardais dans les yeux, j'avais trop de mal a quitter ses yeux, il sera ma main en jouant avec son pouce, bizarrement ca avait le don de me calmer légèrement je ne savais plus quoi dire je n'avais qu'une envie c'étais de pleurer. Mais je finissais par voir que Hoël lacha ma main pour reprendre la marche il était dos à moi, je rebus une gorgée de jus d'orange pour enlever le goût de l'amertume au fond de ma gorge. C'est alors qu'il se retourna pour plaquer ses mains sur mes épaules et il m'embrassa d'une façon tendre. je continua le baiser. La scène était si triste et attendrit, il posa son front sur le mien. Nous avions les yeux fermés et il me dit: « Je suis tellement désolé Naël.» Il resta contre moi, je glissa ma main sur son torse je n'arrivais même pas a le regarder et il me dit: «Mais si seulement parfois tu pouvais m'oublier , même si je n,ai pas vraiment envie que tu le fasses» dans ma tête je souriais a cette phrase, mais en dehors non. Je le regardais les yeux legerement vitreux. Je me colla un peu plus. Mon coeur sans que je le veuille s'accellera enormement et je lui dit : « Je n'ai pas envie de t'oublier hoël... Je n'ai... vraiment... Pas envie » Je n'arrivais même plus a parler je n'avais qu'une envie c'était de me cacher dans un petit trou de souris... Je m'approcha un peu plus pour l'embrasser une nouvelle fois. En arretant le baiser je me décala de lui et passant a coté de lui, je lui pris sa main en lui disant: « Viens! » Je marcha trainant limite Hoël avec moi, nous quittions le chemins pour partir dans le petit bois qui menait au lac du parc, arrivé devant je m'asseya directement. en voulant qu'il se pose a coté de moi.

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Code by Anarchy

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Mer 12 Sep 2012 - 20:21

Le temps s'arrêtait de nouveau , et enveloppé telle dans une bulle protectrice vous voguiez sur quelque chose de si innocent. Tout était embrouillé à l'intérieur de toi et tu ne saurais expliqué ce que tu ressens à ce moment si. La douleur qui te contorsionne dans tout les sens mélangée à l'effet que Naël te fait à chaque battement à chaque fois qu'il tourne ses prunelles vers toi. Il ne voulait pas t'oublier et ta gorge se nouait même si un sourire en coin trahissait tout. Il devait le faire , car tu ne savais pas combien de temps tu allais tenir comme ça. Tu craquais encore plus et tes jambes allait fléchir .Il t'embrassa et tes mains serraient ses épaules comme signe que tu n'avais pas envie de le lâcher pour le moment. Il prit ta main et traîna sans que tu puisse dire un seul mot ce pourquoi tu gardais un visage aux sourcils froncés. Les végétaux devenaient plus nombreux dans l'endroit qu'il te transportait et l,intrigue ne quittait pas tes traits. «Euh.. Naël ?» C'était quoi une façon pour que tu n'es aucune issue pour partir rapidement ? Tu fourras tes mains dans tes poches pour regarder une seconde l'endroit qui était super jolie tout de même , puis tu t’assoyais. «C'est une façon pour pas que je m'enfuis ?» Ton ton de voix restait sérieux sans l'ombre d'un rire.

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Mer 12 Sep 2012 - 20:36

l'appel de la nature

hoël t. fitzmartin & naël p. firestone

« Euh.. Naël ?» Je ne savais pas ce que je faisais non sérieusement, je crois que je fais n'importe quoi. Je ne savais pas pourqui cette endroit, mais j'avais envie d'être loin de toute civilisation quelque chose qui se rapproche plus de la nature sauvage que d'un chemin parsemer de gravillon qui aller encore se retrouver coller dans ma chaussure si je continuais a avoir le pas lourd comme ça. Il c'est assis à mes cotés. Je respirais, mais fort comme si j'étais essouflé où que j'avais enfin ma dose de ventoline, il semblait furieux mais je m'en foutais royale. Il me lanca quand même: « C'est une façon pour pas que je m'enfuis ?» je me suis retourné vers lui en arquant un sourcil je ne savais pas quoi faire... D'un coté j'étais a deux doigts de l'envoyer boulet, j'ai mal au coeur j'avais la nausée... Surement le jus d'orange qui a du me retourner l'estomac avec toutes ses mésaventure je lui sortis: « Tu crois vraiment ça? Alors qu'on sait bien tous les deux que rien ne t'empêche de t'enfuir? Tu l'as déjà fait deux fois depuis qu'on se connait... Certes je veux que tu restes, mais qui suis je pour te demander une chose pareil...» Me voila de forte parole en cette journée de Septembre. Je quitta son regard pour perdre mon regard au loin j'ai plié mes jambes pour prendre le moin d'espace possible tel un enfant ayant peur. Je repense encore à ses excuses, je crois que c'est cela qui me retourne l'estomac, cela faisait deux ans que j'attendais que Hoël s'excuse... Même si c'est encore trop tôt il est vrai que j'ai encore de l'amertume pour le jeune vagabond... Mais quelque chose m'attire en lui et je ne sais pas encore quoi.

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Mer 12 Sep 2012 - 21:00

...Certes je veux que tu restes, mais qui suis je pour te demander une chose pareil...» «Une personne différente ...» Tu avais sortie cette phrase comme ça que même toi tu venais de te surprendre. Tu l'avais dit tout bas d'une part , mais sans doute assez pour qu'il l'entende. Oui il est différent dans ton cœur . Tu ne te serais jamais déplacé jusqu'à ici s'il ne le saurait pas . Tu ne passerais pas ton temps à le fuir , ces baisers ne te créera pas les frissons qu'ils te font à chaque fois , comme quand ses mains touchent ta chaire. Tu détestais l’entendre que tu l'avais abandonné deux fois même si c'était une triste réalité que tu ne pouvais pas nier. Tu t'approchas lentement de lui comme si tu avais à faire à une créature si fragile. Tu allas derrière lui à genoux en posant ses mains sur ses épaules en le massant un peu.«Puis qui as dit que je voulais m'enfuir en ce moment ?.» C'est vrais tu ne l'avais pas vraiment mentionner. La dernière fois elle était évidente que tu ne restais pas plus longtemps dans sa chambre. Tu revenais à ses cotées avec un sourire qui essayerait de refleurir à nouveau sur ta bouche en arrachant de l'herbe sous un petit stress qui restait à l'intérieur de toi. Bref je veux t'embrasser et fermer la boîte en oubliant la clef quelque part sur les fleuves antérieurs.

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Jeu 13 Sep 2012 - 16:03

l'appel de la nature

hoël t. fitzmartin & naël p. firestone

«Une personne différente ...» Il l'avait dit tellement doucement, je ne m'en doutais pas qu'il dirais ça... Différente? Que voulais t'il dire? J'essayais de reflechir à ceci, A repenser a ce que j'avais dit, je lui ai sortit qui j'étais-je pour lui dire ça... Etait ce sa réponse? Une personne différente? Différente de quoi ? Différente des autres pour lui ou bien Différent tout simplement. Cela me troublais et je rougissais espèrant que je sois dans son coeur. Mon regard était abaissé sur le soleil, la couleur de l'herbe etait tellement contrasté que c'était comme une photo qui aurait été mis en surcontraste comme si j'avais pris de l'acide c'était bien bizarre encore. Je n'avais pas remarqué que Hoël c'était installer derrière moi, c'est en sentant ses mains sur mes épaules que dos se redressa laissant pousser un petit gémissement de surprise, je tourna ma tête en le voyant du coin de l'oeil. Il avait littéralement changer, il semblait appaisé, je lui laissa échappé un sourire j'avais envie de me laisser posé sur lui et m'endormir tel un félin, il me massa pendant quelques minutes avant de me dire «Puis qui as dit que je voulais m'enfuir en ce moment ?.» C'est vrai qu'il n'avais pas tord le bougre, mais je commençais sérieusement a avoir l'habitude que monsieur s’enfuie dans les moments les plus beau qu'on ai pu avoir. Je ne savais plus quoi dire il se décala se posant a coté de moi. il souriais j'adorais son sourire on dirait qu'il faisait une grimace et a chaque fois je le trouvais mignon et j'avais qu'une envie c'était de lui sauter dessus. Je me suis approché de lui et je glissa ma main sur sa joue en lui disant doucement: « Je ne t'ai rien dit non plus... Par contre maintenant... » je m'approcha de Hoël doucement en déposant un simple baiser sur ses lèvres en lui disant juste après de mon accent British pur souche: « Stay with me... Hoël» Je m'approcha de nouveau, mon coeur anglais venait de parler je l'embrassa à nouveau d'une façon tendre carressant sa joue doucement descendant sur son bras...

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Jeu 13 Sep 2012 - 17:14

Tu le sentais au fond de toi ce petit coeur qui palpitait lorsque sa main se baladait sur ton bras , ses lèvres si douces contre les tiennent prêtent à te faire fondre. Tu sentais qui tu fusionnaient à l'intérieur et que ton âme voulaient aller se fondre à la sienne. Mais tout au fond de toi tout se retournait , car tu ne semblais pas capable d'aimer , pourtant il avait réussi à t'accrocher. Un file invisible qu'il avait posé sur toi refermé dans sa main tenu bien fermement au moindre pas. Tu ne pouvais plus lui tourner le dos pour une troisième fois. Il te priait de rester . Tu fermais tes paupières et tu venais te coller le front contre le siens. Tu lui déposas de nombreux baiser si tendre dont deux amant ne s'offrent pas , mais bien des personnes ressentant quelque chose de différent. Tu pris sa main la serrant. Chamboulé , torturé et aimé , ses yeux te faisaient perdent les moindres batailles et t'obligeait à rester proche de lui sur l'herbe. Tes longs souffles se mêlaient au siens et des frissons venaient courir sur ta nuque au file que tu serrais encore plus ses doigts. Que se passera t'il demain ? Que fera-tu la prochaine fois que tu le verras ? Ton esprit ne sait répondre aux énigmes ce qui te donne un affreux mal de tête. Ta main dévia de sur son membre munie de doigt pour venir se déposer sur sa poitrine où tout juste son cœur battait et semblait s'accélérer. Encore contre son front tu relevas les yeux. «C'est bon je ne partirai pas...»

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Jeu 13 Sep 2012 - 18:47

l'appel de la nature

hoël t. fitzmartin & naël p. firestone

«C'est bon je ne partirai pas...» Je n'aurais pas cru entendre ça de lui vraiment. Cela m'étonnait, mais j'adorais ça! Mon coeur s'accellera de plus en plus il me donna des baisers, ce moment était si particulier j'adorais ça, je préférais se moment qu'avec le dernier
mauvais que j'ai pu passer avec lui. Il colla son front au mien et il me donna des baisers tendre, on n'en voyait pas souvent des histoires comme ça... il glissa sa main sur ma poitrine, rien qu'au contact mon coeur battait la shamade encore plus fort que d'habitude... Je glissa la mienne sur le torse de Hoël sentant son coeur battaire rapidement, je rougissais imediatement au contact de sa peau. je me colla a lui me retournant me mettant dos a lui me posant sur lui ma tête fut a coter de la sienne, je le regardait et je lui laissais des bisous dans le cou. Mon coeur battait tellement vite et l'adrenaline faisait tellement d'effet que j'avais l'impression de planer j'avais horreur de ça! Et je lui dit: «Tu sais... C'est dans ses moment la que j'ai envie de jouer du violon... » C'était completement hors sujet mais mon coeur était si gros que j'avais envie de sortir tous ca en jouant c'était tellement bon! Je ne savais pas quoi lui dire d'autre...

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Jeu 13 Sep 2012 - 23:12

Ton corps restait tendu même. Comme si tes nerfs ne voulaient pas répondre à la tendresse que t'apportait Naël. Comme si ton corps n'était juste plus habitué à recevoir autant de tendresse et il la refuse chassant l'inconnue hors de lui. Il glissait sa main sur ton torse et tu comprenais qu'il accélérait malgré toi et d'ailleurs il cognait si fort dans ta cage thoracique qu'on aurait dit qu'il allait exploser.Baiser dans le cou tu fermais les yeux en soupirant de bien-être.Et si tu lui faisais mal à son tour ? Et si tu l’emmenais directement à sa propre mort ? Tu n'osais même pas le regarder en pensant à tout ça et les mots qu'ils te disaient passait en coup de vent dans ta tête. Tu passas tes bras autours de lui les déposant un peu sur ses cuisses , ils ne se refermaient pas totalement. La distance revenait peu à peu , car soyons franc elle ne pouvait pas disparaître comme ça à un claquement de doigts à l'intérieur de toi. Pourtant tu restais dans des geste si délicat tu posais ton menton contre sa tête un moment lui déposant un baiser sur sa chevelure en regardant vers l'horizon. Tes pupilles ne se tournaient pas vers lui pour le moment et ton visage restait neutre. Sensation nouvelle , tu en rougissais presque.

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