HO-NA ♦ « Un sale temps pour te revoir! »

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hoël t. fitzmartin & naël p. firestone

«Je ne partirai pas de cette ville en fait je ne peu pas vraiment...»
il était emprissoné a cette ville donc? Mon coeur semblait faire demi tour, je ne savais pas quoi lui repondre j'avais l'impression de mieu respirer avec lui, comme si c'était une ventoline qui me redonnait espoir en la qualité de mes poumons, nos baisers devenèrent de plus en plus fougueux, il essaya de trouver un support où me plaquait mais cela ne marchait definitivement pas il tira mon t shirt comme pour me dire partons de là! effectivement c'est ce qu'il ma lancait : «Tu veux rester dans la rue» Si je l'emmenais dans ma chambre, je revais simplement qu'il reste avec moi le lendemain matin, je prit son bras et commença à marcher... Je ne lui dit rien un peu trop pertubé pour lui et je vis ma voiture au loin j'ouvris la voiture laissant Hoël s'installait du coté passager. Je monta du coté conducteur, je mis le moteur en route. La radio se mit en route et passa une chanson d'un groupe de rock Américain la chanson s'apellait "Stay with me", je doit dire que j'avais qu'une envie c'était de couper cette radio, mais j'étais trop concentré sur la route pour ne pas perdre ma vie et celle de hoël dans un accident stupide, a un feu rouge je posa ma main sur la cuisse de Hoël la glissant legerement sur son entre jambes... Qu'est ce que cette endroit m'avait manqué n'empêche... Je venait de changé du tout au tout il avait raison en fait, il ne fallait pas que j'ai peur pour cette histoire, mais demain je l'attacherais au lit pour pas qu'il s'enfuis au moins pour demain matin. Nous arrivons dans ma chambre, Nevada devait dormir dans la chambre d'à coté, en rentrant mon Lionceau s'enfuya dans une autre pièce pour dormir et je fermit la porte à clef je regardais Hoël en lui disant: « Tu... Devrais te deshabiller tu vas attraper froid... » Mon dieu j'aurais pas cru dire ça de nouveau

« C'est l'extase langoureuse, C'est la fatigue amoureuse, C'est tous les frissons des bois Parmi l'étreinte des brises » ► VERLAINE

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Tu finis rapidement dans une voiture comme par simple geste pour ta question. Oui tu étais bien d'accord avec le changement d,endroit. Surtout que dans une rue c'est très inconfortable disons pour ce genre de choses. Les minutes pour se rende te paru interminable et excitante à la fois. Il te fit bouillir encore plus d'impatience quand il vint caresser ton entre-jambe. Mauvaise idée c'était déjà en train de s'agiter là dedans et tu t'étais tortillé sur le banc jusqu'à ce qui la ramène sur le volant. Tu avais tout de même lancer deux trois regards pervers à son attention pendant la route Tu e pouvais pas t'empêcher de le regarder lui et sa beauté irrésistible. Arrivé tu le suivais sans problème jusqu'à la chambre limite si tu ,avais pas envie de la pousser jusqu'à là pour faire avancer les choses. Oui ta patience est à travailler mon cher Hoël. Il t'a tellement attisé en même temps. Sa réplique te fit rire et tu le poussa sur le matelas ne le suivant pas et tu retira élégamment ton t-shirt et ton pantalon dommage il n'aura pas le plaisir de te les enlever. n même de temps c'est de sa faute comme il t'a demandé de retirer tes vêtements trempés.Tu le plaque heureux de pouvoir le dominer en te glissant sur lui comme à la recherche de chaleur. Tu pris contact avec son cou de nouveau et tu déboutonna rapidement son jean pour glisser une main habile sur sa virilité. Tu ne le ménageais pas en remontant son t-shirt de ta main libre en le caressant longuement. Le faire craquer à fond sans aucun doute. Tu ne veux pas qu'il reste indifférent à toi , que cette nuit le marque pendant de longs jours voir des semaines et que ça le hante. Ça te plait ce genre de moment et tu comprendras pas le futur ce qu'il va te réserver , mais tu préfère ne pas y penser.

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Tu restais songeur face à cette situation. Tu lui avais fait un de ces effet ça se voyait et tu ne pouvais pas mentir non plus tu avais pris ton pied. Tu commençais à te sentir ligoter et tu détestais ressentir cette sensation. Tu aimerais ramasser tes vêtements et partir au plus vite , tu ne prendrais même pas le temps d'attendre le lever du jour. Son regard si tendre qui te transperçait la chaire. Tout devenait dangereux et tu t'en mordais la lèvre jusqu'au sang. Les prunelles de Naël qui semblait brillé une lueur d'amour te terrorisait . Autant tu voulais t'enfuir de nouveau comme tu voulais rester près de lui un petit peu plus longtemps. Une douleur au bas de ton ventre te prenait et tu repensais à Juliet , à cette femme que tu as créer sa mort par accident. Tu n'es pas fait pour aimer , au fond de toi tu décris comme un être horrible qui a fuit. Tu ne veux pas éclaircir les questions du jeune homme. Il faudrait éclaircir les pages jaunies de ton histoire et personne encore n'a pu admirer cet encre. Tu lui fais un sourire en coin ceux que tu sais si bien faire. Un masque est porté à ta figure en fait. Il vint t'embrasser tendrement et tu glissas une main à sa nuque en répondant à son baiser et tu te retournas par la suite pour t'endormir. Pétrifié que tu es.

Les rayons de soleil ont parsemé ton visage de leur chaleur. Tu soupire et tu passe une main dans tes cheveux en les tirant un peu. Tu te retourne et tu vois que ton compagnon de nuit à déjà un œil entrouvert. Bloqué tu as envie de sauter sur ton boxer au plus vite , mais tu t'allonge de nouveau et parcours la pièce d'un regard. Un instrument semble déposé sur le bureau et que par la forme de l’étui tu peux en deviner ce qui se cache à l'intérieur. Tu arques un sourcil en te retournant de nouveau avec un petit rire. « Tu en joue ?»

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Mes sentiments envers Hoël etait encore trop superflu pour être décrété comme un amour, déjà j'avais une vision bien bizarre de l'amour, on me trouvait généralement trop demandeur ou bien trop dans la lune... Tant que l'autre n'avoue rien ce n'est pas de l'amour ce n'est qu'un begun passager. Même si avec Hoël ca a tendance a beaucoup trop durer. Je sentais que Hoël voulait s'enfuir, il etait distant il se retourna pour s'endormir, Naël posa son bras sur lui et s'endormit comme un félin si je puis dire. Des images de la soirée se provoqua dans ma tête, comment j'en ai pu en arriver là? Il fallait vite que je voit Emma pour lui en parler je crois que même elle en sera choqué de ce qui sait passer. Je fis des rêves les plus bizarre les un que les autres. Je me posait la question de pourquoi Hoël était comme ça, j'étais tellement curieux de savoir pour l'aider je trouvais qu'il allait si mal en lui. Il y a un coté très noir chez lui qui me donna sensation à en savoir plus je crois que c'est pour ça que Hoël me plaisait beaucoup. On voyait rien qu'à son regard que l'aventure ne faisait que commencer.

Je me serrais pas douter que j'allais me lever aux aurores, au premier rayon du soleil, mes yeux s'ouvrirent et je fus legerement surpris de voir encore Hoël dans mon lit. Il dormait toujours, j'étais comme un enfants sage qui regardait autour de lui, carressant legerement la peau de Hoël. Je le trouvais si... Calme quand il dormait et soudain des flashback de la nuit me revenèrent. Je sentais que j'avais fait encore une belle boulette quand j'ai accepté qu'on vienne ici, je sentais déjà la colère de Nevada quand elle apprendra que j'ai couché avec un homme dans notre appartement. Soudain je le vis qui se reveil je faisait semble d'être a moitié réveiller... Même pas un bonjour, eh beh quel politesse... Je le vis qu'il regardait ma chambre, ma chambre avait rien de spécial elle avait les couleurs dominante entre un rouge sombre et le orange des Quincy... A coté de la porte de ma chambre se trouvais mon bureau ou etait entasser tout un tas de note mon ordinateur portable ainsi que mon violon que j'avais poser la pensant y jouer en rentrant du Boylesque. Il me posa une question en fixant l'étui: « Tu en joues? » Je le regardait en arquillant un sourcil riant legerement après l'avoir entendu rire en lui répondant: « Nan nan... Je fais du tir a l'arc avec... » Je disais sur le ton de l'ironie mais cela me faisait rire, je lui répondit plus sérieusement: « J'en joues depuis mes 6 ans... Mais t'es partit trop vite pour m'avoir entendu jouer à New York... » Je me redressa le grattant la tête essayant de chercher ou j'ai bien pu poser ce fichu boxer la nuit dernière, le trouvant sur ce qui etait le pouf de Simba je l'enfila en vitesse avant de me lever et je pris délicatement mon violon, il était si précieux pour moi. Mon père devait m'envoyer un cadeau depuis quelque mois ce devait être un Violon Electronique. Je ne savais pas si j'allais l'utiliser il est encore dans le carton au fond de ma buanderie... Je pris l'archer, posant délicatement le violon entre ma joue et mon épaule je regardais Hoël: « Ecoute... Et apprécie... » Je joua une note longue tel un la... Et je commencais à jouer un morceau que j'entendais souvent dans le marché de Noël de Londres

Je jouais cette musique apellé Celtic Carol, bougeant legerement mon corps au rythme de la chanson je prenait un pied fou un joué c'est un peu comme mon substitut au sexe.

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Question stupide , oui effectivement et sa réponse te fit rire autant que tu te sentais stupide pendant un moment d'avoir dit ça. Tu restais certes étonné , mais il faut dire en même que tu pouvais être surpris de bien des choses comme tu ne le connaissais à peine. Combien de temps exactement? Une journée et une nuit , par contre tu pouvais sourire à ça comme tu connaissais maintenant son corps par cœur. Tu n'aimais pas la situation et tu aimerais partir ou éviter de parler en le découvrant de nouveau de tes mains baladeuses , mais le voilà qu'il se levait en se dirigeant vers ton instrument. Il ne prit pas plus de temps pour se placer et se jouer et tu restais un peu indécis au fond tu ne le croyais pas vraiment capable de jouer c'était vraiment quelque chose que tu n'aurais jamais penser de lui. Et puis lorsque les premières notes de musique atteignent tes tympans tout tes membres se raidissent face à son talent. Le sons du doux violon te provoque un moment doux et apaisant et tu le regarder jouer de yeux admirateurs et tu ne le lâche plus. Tu as l'impression que quelque chose s'éveille en toi , mais cette sensation reste accroché bien loin et se cache le plus possible refusant de se mettre à nu. Tu fermas même les yeux te laissant balader le long du morceaux et lorsqu'il eu finit , ton cœur fit un bond et tu ouvris tes prunelles d'un coup sec comme si quelque chose t'avais brûler. La panique presque venait de s'installer au fond de toi. Tu te relevas et attrapa tes vêtements aussi rapidement en ne te tournant même pas une seconde vers Naël. «Je dois y aller...»La panique prenait l'emprise sur tout tes muscles et tes gestes qui s’exécutait à la vitesse d'une vrais éclair. Tu avais peur qu'il te coince contre un mur , qu'il barre la porte et t'empêche de t'enfuir. Tu te retournas , tu avais envie de l'embrasser une dernière fois , mais tu chassas cette idée de ta tête en te dirigeant vers la porte.

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