Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityHO-NA ♦ « Un sale temps pour te revoir! »
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HO-NA ♦ « Un sale temps pour te revoir! »

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it's rain in nightmare
hoël t. fitzmartin & naël p. firestone



Cela faisait quelques soir que je pensais mes soirées aux Boylesque. Emma me forcait a passer à autre chose et aller coucher ailleurs. Je dois dire que dans ma chambre a part être dans les bras de mon lionceau je me sentais mal a chaque fois. Je ne savais pas pourquoi mais depuis une semaine, mais j'avais l'envie de rien, même ici je me sentais mal j'avais qu'une envie m'enfuir avec mon violon. Tant dis qu'un Appolon me faisait un show devant moi, j'avais le regard fuyant je me leva un peu deçu. lui donnant son argent je m'en alla du club. Il faisait beau et je sentais bien que ca allait rester, je voulais marcher tranquillement dans les rues de Cambridge et effectivement pendant que je marchait quand soudain je vis un homme au loin marchant aussi sans destination fixe, je m'approchais sans savoir pourquoi. Je sentis quelque gouttes d'eau tomber, mais ce fut que provisoir c'est en voyant la lumière de reverbère se refletait sur lui que je vis son visage. Ce fut comme un coup de foudre je le reconnaitrait entre mille... Ce fut Hoël Fitzmartin, un jeune homme que j'ai rencontré il y a deux ans à New York quand j'étais encore à Broadway. c'était le premier homme dont je suis tombé amoureux... Je doit dire que j'ai passer de très merveilleux moment avec lui. On était presque partit pour faire "la chose" Qu'il c'est enfui depuis je suis partit pour Cambridge j'avais vraiment envie de changer d'air j'ai coupé les ponts avec New York. Hoël me plaisait beaucoup mais j'ai vite compris pourquoi il voulait pas que je m'attache à lui. C'était comment dire trop dur à supporter. En le voyant tous ses souvenir me revenait en tête, même je venais de comprendre ma depression en cemoment, cela faisait deux ans jours pour jours que j'avais Hoël qui a disparut du jour au lendemain. Je m'approchait de lui les mains dans les poches. J'avais un jeans ainsi qu'un t-shirt blanc pardessous une chemise a flanelle rouge. Et je lui dit :

« Hoël... T'es a Harvard maintenant? »

Je dois dire que cela me faisait bizarre de lui reparler. Rien qu'à voir son visage me rapellait tant de souvenir qui se bousculait dans ma tête. Une envie de l'embrasser me venait sans cesse mais je me retenais. La Nostalgie est mauvaises pour la santé.

« C'est l'extase langoureuse, C'est la fatigue amoureuse, C'est tous les frissons des bois Parmi l'étreinte des brises » ► VERLAINE
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23h , 24H , 1H ? Tu en avais aucune idée , car tout autours défilait rapidement. Cigarette au coin de tes lèvres tu avais délaissé le joint pour quelque chose de moins hypnotiseur. Les étoiles flottantes au dessus de ta tête tu les regarde une par une. Libre elles n'ont qu'un but dans la vie , s'éclairer au rythme de la lune laiteuse qui apparait après la dernier rayon de soleil. Tu sens que tout à l'intérieur de toi est léger , car tu ne te sens pas retenu par quelque chose. La façon parfaite dont tu as toujours voulu vivre ta vie. Mais au fond de toi tu le sais si bien que tu as fuis , que tu as pris peur et surtout un grand remord qui te brouille les entrailles. Les États-Unies ? Pour combien de temps ? Les jours nécessairement pour apprendre une nouvelle langue et terminé ta quête du monde et même si tu devais échouer rien ne t'empêcherait de faire tes valises pour t'envoler de nouveau. Tu longes les rues comme tu aime bien les faire quand tu n'évapore pas ton esprit dans les gouttes d'alcool et le sons de la musique. Capuche sur la tête on arrive encore à percevoir tes traits par les lumières des lampadaires. Tu avance sans but précis , car de toute façon c'est ce que tu fais toujours et c'est assez pour dessiner un sourire sur tes lèvres. Tu peux apercevoir une ombre au loin qui finit par former une personne bien distingue qui se dirige dans la même direction que toi. Tu plisse les yeux et tu n,as pas tant envie de parler ce soir . Tu continueras donc ton chemin sans te soucier de qui tu aurais bien pu croiser. Oui il a souvent cette envie palpable d'avoir une personne dans ton lit , mais pas ce soir. Mais au même moment ou tu arrive l'inconnu t'adresse la parole et ses mots résonnent à tes tympans. Une voix si familière qu'elle t'en fige les membres. Tu le reconnaissais très bien. Tu l'avais abandonner sans même pensé à ce que tu avais pu l'avoir fait. Tu avais croisé bien des personnes dans ton voyage , mais il reste que Naël était resté gravé dans ta tête d'un certaine façon. Tu dirige ton regard vers lui en lui offrant ton sourire charmeur habituel. «Oui il faut croire... Ah ce que je vois tu ne m'as pas oublié» Tu ris et tu te rapproche un peu plus de lui. Ce que tu peux ressembler à un prédateur qui guette sa proie parfois...

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«Oui il faut croire... Ah ce que je vois tu ne m'as pas oublié» J'hallucinais sur ses paroles... comment aurais-je pu l'oublier, enfait j'étais a deux doigt de lui décrocher une droite pour tous ce qui c'est passé après son départ, tellement de question se bousculer dans ma tête je me demandais encore pourquoi était il partis alors qu'il semblait aller si bien la veille... « Comment aurais-je pu t'oublier sincérement. » Il s'approcha de moi et dans ma tête j'entendis une alame me disant. NON Il s'approche trop prés. Instinctivement mon poing atterissa sur la joue de Hoël. Mon corps avait du mal je crois a la vu de Hoël si prés de moi. Le jeune homme se retrouva un genoux à terre je fus surpris en m'agenouillenant aussi : « Oh merde excuse moi! Je... C'était pas voulu enfin j'en rêvait depuis deux ans que mon corps la fait tout seul. » Je ne comprenait plus ce qui se passait la pluie commencer a tomber, mes cheveux commencèrent à prendre l'eau et dégoulina sur mes cheveux. Mon regard se plongea dans celui de Hoël je ne savais plus quoi dire a present. J'étais comme tétaniser devant se que je devait faire. On ma toujours dit que j'étais trop hyperactif que mon corps ne réflechissait pas assez pour arriver a me canaliser. Je fis attention a son regard, ce regard qui me plaisait tant il y a deux ans. Je ne faisait plus attention à la pluie tous ce qui m'interessais c'est l'abruti pardon le vagabond devant moi je voulais tellement qu'il reste que j'étais a deux doigts de m'éffrondais tel un enfant qui voudrait son jouet. Je sent que c'étais mal partit pour rentrer chez moi se soir!

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Tu ne savais pas trop ce que toi-même tu faisais. Peut-être qu'il t'attire comme un aimant ce cher jeune homme et que malgré le fait que tu as pu le faire dû mal tu as bien envie de le toucher de nouveau. Tes peut-être qu'un sale bâtard en fait. Mais tu le sens au plus profond de toi que quand tu te sens trop attaché à quelque chose tu le sais qu'il est le temps de partir , tu as déjà commis une grave erreur déjà. Alors l'engagement est venu à être à proscrire de ton vocabulaire. Encore Naël ne sait rien et tu lui as fait tout subir par accident. Tu pouvais déjà sentir la colère qui bouillonnait à l'intérieur de lui, qui illuminait son regard et qui éveilla ses poings afin de te marteler le visage. Le choc fut si surprenant que tu te retrouvera au sol. «MAIS TES MALADE ?» Autant tu peut-être le gars le plus sympa , mais gare à ne pas te frapper. Tu tapotais la joue la massant un peu pour te remettre de l'impact. Il avait déclencher quelque chose à l'intérieur de toi que tu ne lui laissas que le temps de finir sa phrase avant de lui renvoyer son coup tel un boomerang. «La prochaine fois garde ta violence pour toi...» Un moyen de se venger ? Oui tu l'avais sentie. Tu relevas la tête et tu vis que le ciel s'était couvert et c'est d'ailleurs pour ça que vous commenciez à être deux âmes bien trempe sous le seul projecteur , le lampadaire le plus proche. Tu n,avais pas envie de te lancer dans une bagarre sanglante n'était pas le gars le plus violent qui soit. Sauf que tu es du genre bien provocateur , du coup tu t'approcheras encore plus de lui pour voir sans réaction . Bientôt tu serais assez coller pour le sentir contre toi et atteindre son oreille.
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Ces mots se fracassait dans ma tête, était-je si malade que ça? Au point de coller une tarte à celui qui ma abandonné. J'ai essayé de l'oublier pendant un an, mais impossible j'ai rêvé souvent de lui sans me soucier a mon reveil que j'avais encore le coeur a la shamade que mon corps suait de désir et ma tête explosait sans cesse durant toute les nuit. Je le regardait agenouillait sur le sol comme si le coup l'avait bien amoché. Il se massa la joue tentant de faire disparaitre la douleur, il me regarda un regard noir comme si j'allais prend un coup de riposte, mais il me demanda juste de me calmer. Qui était il pour me dire cela lui? Je me calmais j'essayais, mais cela était trop dur. Soudain je le vis qui s'approchais encore, mon coeur s'accelerra... Je posa ma main sur son torse, rien que le contact de mon épiderme sur le torse de Hoël me donna un frisson qui me courba l'échine. J'ai essayais de dire.. « Non... N'approche pas... » Je n'arrivais même plus a parler dans ma tête ce fut comme Bagdad, mon coeur faisait les quatre cent coup, J'entendais les tambours qui se fracassait tel des kinders qu'on aurait jeter sur la voiture de Mr Propre, j'en perdait mes pensées... Il s'approcha encore comme si tous ce qu'il y avait autour de nous n'existait plus, je n'étais capter que par son regard. Ce regard qui m'avait tant plus il y a deux ans... Nos deux corps allaient se froler je serra ma main qui aggripa son t-shirt humide en essayant de dire: « J'ai essayé... » J'ai essayé de l'oublier, rien que de l'avoir revu me faisait perdre la tête, je n'avais qu'une envie c'était de l'embrasser et de le giffler une nouvelle fois aussi parce que putain quand j'y repense qu'est ce que c'etait bon. J'étais perdu totalement perdu mes derniers mots furent: « de t'oublier, mais en vain » Mon corps ne répondait plus, Docteur mon corps est déréglé comme un oublie de pilulle. Mes lèvres touchèrent celle de Hoël j'étais comme foudroyait... Tant de scène s'entrochoquait dans ma tête tel un flashback en répétition je me croirait dans une scène de film à l'eau de rose c'était tellement pathètique, nos lèvres s'entrouvirent pour laisser nos langues dansaient ensemble pour un baiser tendre. Des larmes coulères sur mes joues comme si je goutais au supplice divin d'une attente interminable.

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Une scène si étrange , que vos deux esprits n,arrivent même pas à expliquer. Vous vous perdez dans la masse d'eau qui coule autours de vous et la vos sens sont donc en éveille au moindre contact. Tu le sens son souffle chaud qui s'approche de ton visage et qui d'ailleurs en retire quelque picotement sur tes joues glacées. Tu voulais que le toucher prenne de la partie , mais il te tenait toujours un peu à l'écart te prenant par le t-shirt et tu lâchais un soupire d découragement de ne pas sentir vos torse se frôler. Ton sourire jouer dans la partie et tu n,as qu'une seule envie en ce moment c'est qu'il craque. Tu aimerais entrechoquer tes lèvres au sienne et l’agripper à toi . Il te disait dans des paroles brisée qu'il avait essayé de te oublié , mais ces paroles te passaient à dix mètre au dessus de la tête. Tu sentais vos bouches qui se rapprochaient encore plus . Tu voudrais lui susurrer à sa gentille oreille de le faire comme tu sens son envie à des kilomètre à la ronde. Il te repoussera sans doute , comme il aurait aussi sans doute pas le choix tant il est envouté.«Fait le...»Tu ne comprenais pas en même temps à l'Intérieur de toi, pourquoi tu l'avais tant marqué pourquoi il s'était tant attaché en peu de temps . Tu avais été aussi coupable dans la situation alors que tu le savais qu'il était destiné à souffrir comme tu allais l'abandonner d'un jour à l'autre. Tu vis aussi ses perles salées qui ne provenaient pas du ciel , mais de ses yeux expliquant la douleur qui restait imprégné dans sa chaire. Tu devins doux comme un agneau en les essuyant de ton pouce en gardant ton sourire charmeur par contre et tu effleuras ses lèvres de nouveau. Pas question de craquer le premier. Tu te penchas à son oreille dont tes soupires lui caressait cette partie.«Je le sais que tu en as envie de toute manière». Tu n’eus pas besoin de le prier plus longtemps que vos bouches se mêlaient à des baiser chaud qui s'approfondissaient déjà. Tu l’agrippas par le t-shirt et si tu ne te contrôlais pas tu le plaquerais au sol. Tu le collais contre toi et tu ne voulais pas finir les baiser pour voir jusqu'à où il pouvait tenir. Tu lui mordillais gentiment la lèvre dérivant des baiser sur sa mâchoire
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Il me poussait a bout comme si j'allais perdre la tête a lui repondre. Ces fait le me rendait dingue comme si ma tête allait exploser effectivement je perdait a chaque fois qu'il essayait de me tenter. Mes mains furent comme glassé. Ses tentatives de me rendres dingues ne faisait que me perturbait encore plus, ses mots se laissa rechauffer mon oreilles. Je ne pouvais attendre nos lèvres s'entrochoquèrent, je sentais sa langue qui m'avait tant manqué. Nos baiser devenèrent plus passioner pousser à l'extreme, il s'agrippa a moi se collant contre moi il faisait tout pour me faire craquer mais il dévia ses baisers sur ma machoire, je posa mes deux mains sur son torse en essayant de me débattre je réalisais la connerie que je faisait: « Non... Attend! » J'essayais de le repousser, ma tête me faisait mal. Tout ce chamboulait entre malheur et bonheur... Le noir et le blanc tout allait mal... J'ai envie de vomir! « Hoël...Arrete... » J'ai réussit enfin a me débattre, je le regardait qui me désirait tellement... J'eus un sourire pour cette pensées mais je ne pouvais pas pas après ce qu'il m'avait fait! Je le regardais assez triste pour ce qui arrive, mon coeur se brisa a nouveau et je lui dit: « A Quoi sa sert? » Oui la question qui tue, a quoi cela servait il qu'il soit comme ça, alors qu'il allait sans doute partir demain matin pour une nouvelle destination: Le texas? Le nevada? « Tu vas encore partir le lendemain sans rien me dire ? » Je ne le connaissais pas mais son habitude était tellement frequente pour moi que je ne pouvais lui refaire confiance si facilement, il était tellement convainquant que je ne pouvais pas me laisser berner à nouveau. Je fus trempé jusqu'au os... La scène aurait pu sembler magnifique mais pas pour moi...

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C'était mauvais tout ça. De le retenir ainsi sans vouloir lui donner une seul issue. Sans t,en rendre compte c'était comme le pousser directement dans un gouffre et aggraver encore plus ses blessures. Tu ne partirais pas pour un autre pays cette fois ayant des études sous la main , mais tu n,aurais sans doute pas la force de rester jusqu'à qu'il ouvre ses yeux pour son premier battement de cille. Dure d'avoir le vagabond plus que l'instant d'une nuit qui ne veut rien dire il vous échappe toujours malheureusement. Malgré les baisers qui devenaient plus désirable et qui s,aventuraient plus loin sur sa peau irrésistible, il te repoussa tant bien de mal ce qui ne t'étonna pas en même temps , mais qui te fâchait un peu. Tu aurais aimé qu'il ne le fasse pas et qu'il oublie pour instant , mais il faut croire que le petit Naël ne voulait pas être faible ce soir. «Faut-il vraiment avoir une raison pour faire ce genre de choses ?» Tu vis ta vie à 100 à l'heure et tu te fous bien des conséquences qui en suivent. Le temps est devenu précieux et tu ne veux plus en perdre une minute. Tu te mordis la lèvre un peu mal à l'aise , car il n,avait pas tord tu allais partir sans crier garder et le laisser pleurer entre ses draps sans le moindre remord. Ce qui est pourtant tellement en contraire avec le caractère du si attachant Hoël.«Peut-être que les choses changerons cette fois ? Pourquoi toujours se tourmenter l'esprit». Oui tu déteste les prises de tête alors que tout peu être simple. Au fond de toi peut-être que tu es aussi attaché à lui qu'il est à toi , mais tu refuse de t,engager de nouveau et tu le repousseras toujours même si une partie de toi veut le contraire. Tu secoue la tête et tu reviens à lui.«Faut pas avoir peur Naël...»
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«Faut-il vraiment avoir une raison pour faire ce genre de choses ?» Il me faisait perdre la tête avec ses bonnes paroles, faut dire que j'étais vraiment tenter de me laisser aller. Mais ma tête disait vraiment autrement, je ne voyais que Hoël dans mon lit tout se melangeait dans ma tête faut dire qu'on a pas réelement couché moi et lui. Puisqu'on était bien trop ivre cette fois si. Il me fallait une raison, une raison valable qu'il me dise qu'il restera. Que je ne le verrais pas encore partir loin d'ici, loin de moi... Je ne savais même pas quoi lui répondre tout se chamboulait dans ma tête.«Peut-être que les choses changerons cette fois ? Pourquoi toujours se tourmenter l'esprit» Je me suis mit a rire à cette phrase, peut être... Toujours dans cette incertitude qui me donnait envie d'une chose... Continuer, le mystère pouvait me rendre dingue , la curiosité me perdra c'est moi qui vous le dire, je lui répondit en baissant les yeux: « C'est cette esprit qui me fait te dire de ce que j'ai vécu à été un enfer... Voila pourquoi cet incertitude... » Je soupirais, mes larmes coulèrent sans que je m'en rende compte que ce passait il dans ma tête pour que je pleure ainsi... Je l'aimais vraiment? Ou était ce encore une facade pour essayais de l'oublier pour de bon. Je sentais bien que Hoël était moins vagabond avant il m'aurait déjà jeter ses bel paroles de liberté et de voyages... Mais la c'est comme si il désirait resté au fond de lui... Je m'approchait de lui posant mon front sur son épaule ecoutant ses dernière paroles... «Faut pas avoir peur Naël...» J'eus un sourire, cela faisait si longtemps que je ne l'avais pas entendu prononcer mon prénom cela me paralysait de plus en plus mais surtout c'étais comme entre le glas des cloches d'un dimanche matin je lui dit en me laissant un peu plus aller glissant mes mains sur ses hanches: « Laisses moi te dire que si tu t'enfuis de nouveau loin de cette ville... Que la prochaine fois que je te revois ce n'est pas un poing dans la gueule que tu aura... Mais je me battrait a mort... » Cela en suivit un rire mais je n'ai qu'une envie... Finir dans ses bras pour la nuit, faire l'amour avec lui et m'en souvenir... Que ce moment reste magique et a jamais dans ma mémoire. Je me colla a lui j'avais froid et son corps était bouillant, je releva la tête pour ainsi l'embrasser de nouveau collant son corps au mien je pouvais ressentir son corps comme avant. On faisait presque la même taille je crois que c'était moi qui était plus grand. Mais en tout cas il savait comment me faire craquer.

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Il revenait peu à peu à toi et comme un filet tu refermais tes bras autours de lui il était tout simplement maintenant impossible pour lui de filer tu n'avais ps l'intention de le laisser faire comme ça. Tu ne peux pas effacé le passé , car tu l'aurais déjà fait et tu ne saurais pas à Harvard en ce moment , mais on peut amélioré le présent non ? Tu ne savais ps trop comment t'y prendre tu étais perdu dans tout ça.Tout était trop compliqué ce que tu évite tant. Un vrais labyrinthe autant tu veux rester coller à lui autant tu veux te décoller et t,enfuir , car tu le feras à un moment. Il t,en voudra à mort et tu essayeras d'oublier en tournant une autre page fumant un bon joint en buvant une bière. Tu te sens comme un beau parleur qui se cherche une proie à chaque soir , mais ce n'est pas du tout le cas tu essaie seulement de te sentir libre. Ta liberté la chose la plus importante maintenant à tes yeux. Ses mains voguant à tes hanches t'en tiraient déjà des frissons et cette fois tu te mordais la lèvre d,envie. Pauvre de toi tu ne tenais déjà plus en place , mais en même temps Naël est un homme difficile à résister surtout pour toi avec tes pulsations qui reviennent trop souvent. «Je ne partirai pas de cette ville en fait je ne peu pas vraiment...»Tu laissais cette dernière phrase en suspension plein de mystère. Non tu ne quitterais pas la ville , mais tu ne compte rester avec lui le matin comme tu ne lui en fait ps la promesse. Tu en serais incapable de toute façon. Tu le collais à toi comme un couple le ferait. Le moment se mélangeait à du romantisme et ça te perturbait au plus au point. Tu pris capture de ses lèvres laissant tes mains baladeuses aller vers ses fesses déjà que tu avais quitté sa bouche pour son cou.Tu le fais reculer un peu comme si tu allais à la recherche d'un mur invisible pour le plaquer. Mais sans vraiment vous en rendre compte vous êtes en plein milieu de la rue. Tu bouillonne contre lui et tu tire sur son t-shirt impatient. «Tu veux rester dans la rue?»Tu te mets à rire doucement en plongeant ton regard dans le siens. Tu es déjà désolé en avance pour cet tendre âme qui te fait craquer en silence.
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