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Tremblez Harvard, Wildinford is back

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  Hippo était furieuse, le contraire aurait été étonnant. Ca encore ça ne m’effrayait pas. On avait essuyé trop de tempête elle et moi pour qu’on ne s’en sorte pas non ? Je nous pensais naïvement inséparables. « Toi aussi t’en as fait des conneries, dois-je te le rappeler ? » fis-je, laissant tomber mon air amusé, plus de trace d’humour dans la voix, répondant à son regard assassin par le même genre de regard sombre. Mes mots faisaient clairement référence à son ‘incident’, vite réglé certes, mais lorsqu’elle s’était retrouvée enceinte de son inintéressant plan cul de l’époque, dont j’avais oublié le nom, peu de temps avant son départ. Alors oui, tape moi sur les doigts pour avoir mis en cloque Lucky si tu veux Hippo, mais il faudrait peut être un peu balayer devant sa porte avant de donner des leçons. « Peut être que Lucky et toi pourriez vous rendre ensemble à un cours du style ‘la contraception, comment ça marche’ qu’en penses-tu ? » J’attaquai sur un sujet sensible et elle faisait de même en avouant avoir été celle qui avait fait entrer la mather chez nous, à la Eliot, à l’époque de mon couple avec Kyla. Les pièces du puzzle se mettaient peu à peu en place. Et ça me fit répliquer que c’était finalement ELLE, qui faisait tout foirer. « Tu m’as débarrassé de rien du tout Hippo, je me débrouille très bien tout seul. » …pour faire foirer mes relations. Cole Wildingham futur auteur de –comment se faire larguer pour les nuls- Bon pour mon histoire avec Kyla, l’issue avait été quelque peu différente, puisque je l’avais largué en apprenant sa liaison passée avec Wade, mais whatever, vu la façon dont elle avait tourné la page dans les bras d’un de mes supposés amis, ça revenait au même. On sera tous d’accord sur le fait que qu’importe qui larguait l’autre, au final c’était toujours moi qui faisais tout foirer. Un talent inné. Mais peut être que pour le cas présent, j’avais besoin d’Hippo. Dans tous les cas, je ne pouvais me résoudre à la laisser filer et je l’avais donc retenu. Le jeu revint, et ma cravate termina sur ses poignets, la soie se refermant sur sa peau pour attacher ses mains dans son dos. Je lui soufflai, mes doigts sur sa joue, mon souffle contre sa peau, à demi mots, que je voulais qu’elle m’accompagne pour le bal. Quelques secondes, elle parut désarmée, mais elle répliqua très vite. « Sois ma cavalière Hippo… » Mes lèvres se posèrent un instant au creux de son cou… « …pour le bal et... » Ma main se perdit le long de sa cuisse, faisant remonter quelque peu le tissu de sa robe, alors que je déposai un nouveau baiser en ponctuant ma phrase : « …et pour tout le reste. » Pour les soirées à venir, mes futurs mauvais coups, mes plans diaboliques, pour le meilleur, ces instants magiques où l’on dominera le campus, et pour le pire, les conneries que je ferais, celles qui sont déjà faites et qu’elle devra rattraper, celles qu’elle fera aussi peut être… Pour le meilleur et pour le pire.
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Le combat verbal qui ne cesse de faire feu s'obstine encore. Je fronce les sourcils, j'étais loin de saisir ce à quoi il faisait allusion jusqu'à ce qu'il fasse référence à l'enfant que j'ai lâchement abandonné. Je serre les dents, déglutissant difficilement ma salive alors que mon regard était planté dans le sien. Il venait d'oser me parler de ça ? Maintenant ? Pour mon retour ?! Il venait clairement de piquer là où ça fait mal, j'étais déçue. Déçue de lui, parce que même si je portais ce masque de l'insensible encore et toujours sans relâche.. Cette histoire m'avait atteinte, j'en avais souffert secrètement. Je n'avais rien dit à personne, même pas à Hardin le principal concerné. - Va te faire voir Cole.. Soufflais-je alors froidement. Il venait de mettre le doigt sur un point sensible, il n'avait pas le droit de toucher à ça. - Continue et c'est de moi que tu seras débarrassé à force. J'étais à deux doigts de claquer la porte, maintenant plus que jamais quand monsieur a eu le culot de parler de mon enfant, si on peut appeler ça comme ça. Faudrait d'ailleurs que je dise à Cole que j'ai revu Hardin, qu'on s'est "retrouvé" tout le temps où j'étais à Paris.. Mais pas ce soir, pas maintenant, je voulais profiter de ce moment avec mon meilleur ami. Profiter de ce rapprochement, son odeur m'avait tellement manqué. Son touché me faisait tellement bien au final que j'en oublie presque tout le reste. Je ferme les yeux, mes doigts qui s'emmêlent dans mon dos alors qu'il chuchote encore.. Ses lèvres qui viennent titiller ma peau, elle réagit à ses caresses, à son baiser. Je penche la tête sur le côté inconsciemment, guidé par l'atmosphère charnelle qui vient de se réveiller. Je ferme un peu plus fort les yeux alors que le fin tissus de ma robe remonte légèrement, que le bout de ses doigts chatouillent mon épiderme qui crie son nom en silence. - Je suis tienne.. Complètement. Depuis le début, depuis le premier regard, depuis la première guerre. Je suis tienne et je le serais probablement toujours. - Pour le bal et pour tout le reste.. Mon regard vient accrocher le sien, mon front contre son front, mes lèvres cherchant les siennes sans jamais les approcher de trop près.
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  Bas. Petit. Mesquin. Voilà ce que c’était. De ressortir cette histoire. Cette douloureuse épreuve qu’elle avait traversé l’année passée et que j’utilisais contre elle à l’instant précis où elle me piquait un peu trop au sujet de Lucky. Elle s’était débarrassée de ce truc, ce gosse, mais on ne pouvait pas appeler cette chose ainsi, et la vérité c’était que j’avais voulu que Lucky fasse de même. « J’essaie juste de t’expliquer que nos situations sont plus ou moins similaires… » A la différence que ce n’était pas mon corps, mais celui de mon ex et qu’ainsi je n’avais aucun moyen de la faire renoncer à cette grossesse. J’avais tenté, avec douceur, avec diplomatie, parfois avec une délicatesse un peu spéciale, comme quand je lui avais suggéré d’adopter un chien à la place, bref, j’avais tenté par tous les moyens mais Lucky voulait garder le vermicelle qu’elle portait. Envers et contre tout. Bref, trop tard mes mots avaient blessé mon interlocutrice qui prenait la direction de la sortie. La retenant, liant ses mains, je tentais de retarder sa fuite, de l’adoucir à nouveau pour faire passer la pilule de mes aveux précédents. Parce que la vérité c’était que je ne voyais pas d’issue sans Hippo. J’avais besoin d’elle. C’est un peu ce que ça voulait dire, mon souffle sur sa peau, mes lèvres au creux de son cou, mes doigts sur sa joue et cette invitation… Au bal et pour tout le reste. Et finalement, l’énervement était surement toujours là chez la belle, mais il avait quelque peu disparut de son regard, remplacé par un tout autre brasier alors qu’elle lâchait ces mots : mienne… Nos fronts accolés, nos regards accrochés, ses lèvres à quelques millimètres des miennes, jouant à s’en approcher, sans s’en emparer… C’était un moment trop tentant, trop intense, pour que je ne le scelle pas d’un baiser. Profitant qu’elle soit là, contre ce mur, poignets liés littéralement, ma cravate nouant toujours ses mains ma bouche se saisit donc de la sienne…  
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Plus ou moins similaires ? Il n'y avait rien de semblable à sa situation. Je n'étais pas tombée enceinte d'une droguée, d'une ex prostituée ou encore d'une vulgaire Mather. Non, Hardin était loin de tout ça, c'est juste moi et moi seule qui n'était pas prête à endosser cette responsabilité. Et j'avais le temps avant de l'être, je voulais conquérir le monde avant d'engendrer quoi que ce soit. - Elles n'ont rien de similaires Cole. Le ton sec, le regard évasif et fuyant. Il venait de me titiller sur un sujet qui fâche, et si ça n'était pas Cole que j'avais eu en face de moi sûrement que je lui aurait déclaré une guerre interminable pour avoir osé sortir ces quelques mots. Mais il savait faire, il savait comment m'apaiser.. Il me connaissait sur le bout des doigts ou presque, reprenant à nouveau ce jeu dangereux qui a toujours existé entre nous. Caressant mon désir par sa voix sensuelle, par cette proximité dérangeante, perturbante qui vient brouiller ma lucidité. Prise au piège par sa cravate parfaitement nouée, je crois que je n'avais pas envie d'être délivré à ce moment-là. Je crois que j'aimais être à sa merci le temps d'un instant. Je pouvais sentir sa respiration, imaginer le goût de ses lèvres simplement en fermant les yeux. Je n'avais plus envie de penser à tout le reste, pas envie de penser à demain ni même aux conséquences que ça pourrait engendrer. Ses lèvres s'emparent des miennes, et je rends ce baiser inattendu et attendu sans jamais l'avouer. Ma cuisse vient rencontrer la sienne, un besoin de contact urgent alors que mes mains soient mises hors services. - C'est petit de profiter d'une femme ligotée.. Soufflais-je avec sarcasme aux bout de ses lèvres.
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   « C’est un accident de contraception, dans un cas comme dans l’autre. » Voilà où elle était la similitude. Excusez la froideur, j’appelais un chat un chat. Un bébé était un bébé, un fœtus un fœtus, un embryon un embryon. Et y’avait des lois pour régir le tout. On pouvait m’accuser de machisme pour beaucoup de choses, mais sur la question de l’IVG je gardais ma position plus que féministe approuvant le droit des femmes à disposer de leur corps et à renoncer volontairement à une grossesse imprévue si elles le souhaitaient. Je n’avais jamais jugé ni Aria, ni Hippo, ni aucune femme qui allait interrompre intentionnellement et médicalement sa grossesse et la vérité c’était que j’aurais souhaité que Lucky le fasse également. Mais raviver ce souvenir et cette épreuve dans l’esprit de ma meilleure amie semblait une très mauvaise idée puisqu’elle se ferma et s’énerva encore davantage, essayant de prendre la fuite. Mains liées, plaquée contre ce mur l’instant suivant, l’ambiance changea du tout au tout… Mon invitation pour le bal acceptée, nos propos chargés de sous entendus, tout cela finit par me conduire à sceller nos lèvres dans un fiévreux baiser… Sa position, ma cravate sur ses poignets dans son dos, bien sûr ça l’empêchait de se débattre et de me repousser, mais il y avait aussi cette façon dont ses lèvres se pressaient sur les miennes qui la trahissait : Hippo répondait avec envie à ce baiser volé. Nos bouches s’écartèrent, juste de quelques millimètres, le temps de reprendre nos souffles, temps qu’elle utilisa pour me reprocher, avec un certain sarcasme, de profiter d’elle… Mon index se posa alors sur ses lèvres : « Chuuut… » Mon regard plantait dans le sien, brillant encore plus intensément après ce contact, je repris : « Je t’avais promis tout ce que tu voulais à ton retour alors… Laisse moi tenir ma parole pour une fois : qu’est-ce que tu veux de moi miss Dunford ? Que je te libère ? Que je te laisse filer ? » commençai-je à suggérer, mes doigts jouant quelques instants avec la soie qui la ligotait. « Ou… au contraire… » Mes phalanges voyagèrent le long de sa cuisse que j’avais senti bouger contre la mienne, remontant subtilement, en une lente caresse, entraînant le tissu de sa robe, jusqu’à venir effleurer du bout des doigts sa petite culotte… « Ou au contraire que je te retienne encore un peu… » 
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Je préférais ne pas répondre. Le silence est le meilleur des mépris paraît-il.. Je faisais plutôt abstraction de ce qui venait d'être dit, de ce qui était sortit de sa bouche lors d'un pareil moment, il avait entre autre gâché nos retrouvailles. C'était bien loin de ce que j'avais imaginé pour ce retour, j'avais l'impression d'accumuler qu'un tas  de mauvaises nouvelles. Et j'étais sous tension avec la tumeur de ma mère, ça devenait dur de garder mon self contrôle ces temps-ci. Mais Cole avait ce don inexplicable de me calmer, de me faire tout oublier pour quitter ce monde qui nous emmerde un peu trop. Je le suivais pour une fois, j'avais envie de pousser le jeu plus loin comme jamais on ne la fait, de le suivre dans un autre univers où seuls nous deux comptent. Où il n'y a que Cole et Hippolyte. C'est sur ses lèvres que je m'envole, que je me trahis en autorisant pour la première fois ce rapprochement. Pourtant.. J'aime ça, j'adore ça même, plus que ce que j'avais pu penser lors des multiples fois où je l'avais imaginé. À peine le contact rompu que sa bouche manque à la mienne, que mes lèvres me brûlent de désir inavoué. Je froisse la bouche, remuant brièvement mes mains attachées avant d'ouvrir les yeux pour y découvrir les siens, plus près que jamais. - Je n'ai pas envie de gâcher mon vœu pour ça.. Non, je sais qu'un jour ça me servira, que j'en aurais besoin. Et ses doigts se mêlent à ma robe qu'il remonte habilement, caressant à peine le textile de mon sous-vêtement, son geste m'arrache un léger tremblement. La bouche entrouverte, mes yeux se ferment sans que je ne puisse rien contrôler. - Ce que je veux ?.. Me mordillant la lèvre, mon visage glisse sur le côté, caressant sa joue de la mienne, glissant encore jusqu'à la minime parcelle de peau visible de son cou. Je venais y déposer un premier baiser, puis un autre, encore un autre, emprisonnant le lobe de son oreille un instant, traçant un chemin jusqu'à ses lèvres que je retrouve enfin. - Détache moi et je te montrerais.. Que je susurre entre deux baiser. Je me retourne contre lui, mes mains en contact direct avec sa cuisse que je viens caresser doucement, lentement. Je veux que tu me touche encore, que ma bouche s'imprègne du goût de la tienne.
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   Si l’avalanche de nouvelles, l’annonce de mes conneries et des galères dans lesquelles je m’étais mis, tout ça l’avait bien mis en pétard, au point qu’elle veuille s’en aller et s’échapper, l’instant suivant, l’ambiance changea radicalement... Après le feu de la colère, c’est des flammes d’un tout autre genre que je parvins à allumer dans son regard. Jeu dangereux, flirtant avec l’ambiguité, avec les limites de l’amitié, comme toujours, comme ça avait toujours été le cas entre nous, mais peut être de manière encore plus poussée… Mes lèvres se séparèrent des siennes après un baiser passionné et je repris ma promesse lors de notre précédent appel : elle aurait tout ce qu’elle voulait de moi pourvu qu’elle revienne. Oui cette histoire de pétition, de mise à pied, de déchéance de la EH, ça m’avait poussé à joindre miss Dunford pour exiger son come back urgent. Et à présent qu’elle était là, je comptais bien tenir parole. Donc, que voulait-elle de moi ? Que je la libère ? Elle ne voulait pas gâcher ça pour une exigence aussi banale. Mes doigts se frayèrent un chemin jusqu’entre ses cuisses, effleurant le tissu de son sous vêtement. J’en profitais certes, mes yeux en disant long sur toutes les pensées inavouables qui m’habitaient alors que je scrutais chacune de ses réactions, ne manquant rien de son léger tremblement, de ses paupières qui papillonnèrent et se fermèrent malgré elle sous mes caresses… Elle finit par rapprocher son visage, se perdant dans mon cou, parsemant des baisers jusqu’à mon oreille qu’elle mordilla un instant. A son tour de provoquer des frissons tout le long de mon échine… Et elle me demanda de la détacher, et lorsqu’elle se retourna, effleurant mes jambes de ses mains prisonnières, s’en fut trop pour tout mon self contrôle. Même si l’idée de l’avoir attachée, à ma merci, cela avait ce côté pleinement excitant, elle avait su de ses mots attiser toute ma curiosité et mes doigts s’activèrent pour dénouer les menottes de soie que je lui avais imposé temporairement. Mes lèvres se perdirent dans sa nuque, son cou, remontant jusqu’à son oreille pour à mon tour lui murmurer : « Montre moi Hippo… »
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Et si ce soir le jeu inlassable qu'on avait entreprit il y a des années en arrière, venait à nous consumer ? Et si pour une fois on devait se laisser tenter.. Que se passerait-y-il après ? Est-ce que le jeu en vaut autant la chandelle ? Est-ce que l'envie de qui me brûle est aussi forte que ça ? Tant de questions, mais rien n'y fait, la seule chose à laquelle je pense c'est aux images indécentes qui défilent dans ma tête à ce moment là. Malgré que l'idée d'être sous son contrôle était fortement tentante, je lui demandais alors de me détacher.. Profitant au passage pour lui caresser la cuisse, le tissus entre nous un peu trop dérangeant et irritant. Il s'exécute quasi immédiatement et défait le lien à ses poignets, j'étais enfin libre et mon premier réflexe fût de passer ma main à sa nuque, y exerçant une mince pression pour l'avoir un peu plus contre moi. Je me retourne, retirant mon manteau pour le laisser glisser au sol, et c'est à sa chemise que je venais m'attaquer, je prenais mon temps pour la déboutonner sans jamais lâcher son regard. Je voulais qu'il lise dans mes yeux le désir qui y brille, qu'il puisse sentir les battements de mon coeur qui se sont accélérées. Plus de boutons, mes mains glissent alors de son bas ventre à son torse pour s'échouer sur ses épaules et le libérer de cette chemise gênante. Je retirais ma paire d'escarpin, et mes lèvres se plaquèrent une nouvelle fois sur les siennes. Plus fermement, avec plus d'entrain, plus affirmé. J'échangeais les places, moi en face de lui, lui contre ce mur et ma cuisse entre ses jambes qui venait le caresser adroitement. Mordant sa lèvre, mon rythme respiratoire qui s'affole. J'étais en train de jouer à un jeu que je ne contrôlais plus.. Ou presque. - Tu m'as terriblement manqué Cole Wildingham. Et je laissais tomber mes mains sur sa ceinture, jouant avec un instant avant de la défaire lentement.
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  Ca a toujours été ainsi, mais peut être que cette énième séparation, ces nouveaux mois de séparation avec la demoiselle en France et moi à Harvard, cela avait rendu la tension encore plus palpable, le désir encore plus électrique, le jeu encore plus incontrôlable. C’était toujours elle le frein, le stop, habituellement. Et lorsqu’elle me demandait de lui libérer les poignets et que je m’exécutais, attisé et impatient de découvrir ce qu’elle voulait de moi, l’espace de quelques secondes, je réalisais que sa liberté elle pourrait l’utiliser aussi pour mieux éteindre le feu, pour me repousser… Après tout, on y était abonnés, aux ratages de peu, aux possibles irréalisés, on était passé cent fois à deux doigts de ce moment… Mais aujourd’hui tout semblait différent. Dans notre bulle, dans la fièvre de ces retrouvailles, ses doigts voyagèrent dans ma nuque, m’attirant un peu plus à elle. Son manteau glissa, et elle se concentra sur ma chemise qui finit au sol à son tour, la laissant ensuite inverser nos places, notre baiser reprenant plus mordant, plus avide, plus fougueux encore. Et elle me souffla cet aveu, le manque terrible, tout en laissant ses mains s’activer sur ma ceinture. « Et moi je t’interdis de partir à nouveau Hippolyte Dunford… » répliquai-je avec un sourire, laissant à mon tour mes doigts courir sur sa peau, remontant de ses poignets jusqu’à ses épaules, jouant un instant avec les bretelle de sa robe, avant de les faire glisser, mes lèvres venant s’enfouir dans son cou pour y parsemer des baisers enflammés. Mes mains tirèrent doucement sur le tissu de sa tenue, commençant ainsi à faire glisser le vêtement au sol, commençant simplement parce que soudain, la porte de la pièce s’ouvrit. J’en avais oublié le lieu, l’endroit, le monde, les autres… Y’avait plus qu’Hippo et moi et cette porte qui s’ouvrait à la volée était juste là pour faire exploser la bulle, pour nous faire, une fois n’était pas coutume, rater notre moment. Mon roomate, probablement, qui en me voyant en plein déshabillage de la demoiselle, qu’il ne reconnut surement pas cette dernière étant de dos, referma la porte en s’excusant rapidement. « Tate ! Bordel ! » ronchonnai-je à l’égard du garçon qui avait déjà disparut. Je savais que j’aurais du verrouiller, ou peut être qu’on aurait du se voir ailleurs qu’à la Eliot, tout simplement. C’était une vraie auberge ici, trop de passage, trop d’allers venus pas assez d’intimité. « Hippo attends… » Ma main saisit la sienne, l’amenant à mes lèvres doucement… « On finira ça dans un lieu plus adéquat… » Ou peut être que ça s’inscrirait encore dans notre série de manquements éternels. On se manque, on se loupe, on se rate et pourtant… Pourtant j’en étais persuadé, Hippolyte et moi ferions plus que des étincelles, ça serait un vrai brasier si un jour on venait vraiment à réaliser mes fantasmes…
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Il semblait que e soir le manque de lui m'avait cruellement manqué. Une partie de moi toujours aussi joueuse me hurle de continuer ce petit manège, de le torturer et me torturer par la même occasion. Ce jeu me brûle, me consume au plus haut point à chaque fois et décider d'y mettre un terme, c'était comme si je crevais entre ses mains. À l'intérieur de cette distance que je m'amusais à mettre à chaque fois ! Peut-être que ce soir je soufflais sur mes limites, je soufflais sur cette distance qui me fait aussi mal. Que mon corps ne pouvait faire autrement que de succomber à ses caresses épineuses. Tellement que ma peau en tremble, tellement que je ne supportais plus de rester ligoter, que mes mains étaient lourdes de ne pouvoir le toucher. Cravate à terre, mes doigts s'activent à sa ceinture alors que sa chemise n'était qu'un lointain souvenir. Ma robe arpente mes formes jusqu'à venir s'écraser à mes hanches. Je soupire une énième fois face à cette pluie de baisers au creux de mon cou, ma main vient s'agripper à sa nuque. Un moyen de lui dire de continuer, qu'il ne laisse pas ses lèvres quitter ma peau. - Plus jamais.. Que je susurre d'une voix mielleuse à son oreille, mordillant doucement la fine chaire de son lobe quand j'entendis soudainement la porte s'ouvrir. Le prénom de Tate qui claque de la bouche de mon meilleur ami, je serre les dents en penchant la tête en arrière dans un long soupire. Un mal pour un bien ? Peut-être. Mais j'étais pleine de frustration maintenant, les idées inavouables continues d'assaillir mon esprit, je me recule doucement alors que sa main s'empare de la mienne, mes doigts contre ses douces lèvres que je caresse du dos de mon index. - Ou peut-être qu'on ne finira jamais.. Que je réplique en lui adressant un regard insistant. Peut-être qu'on est pas fait pour continuer, que tout ça ne doit toujours s'arrêter qu'au jeu. Je faisais glisser ma main hors de la sienne pour venir attraper les tissus de ma robe, la faisant remonter petit à petit jusqu'à enfiler mes bretelles. - Remonte la fermeture éclaire. Que je demandais à mon meilleur ami en lui tournant le dos.

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