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Tremblez Harvard, Wildinford is back

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Installé dans le sofa, planifiant les derniers détails de notre prochain plan anti mather, savourant mon succès contre cette Léo désormais partie du campus, mon téléphone vibra. Hippo. Je regardai le dernier sms reçu, un peu ébahi, pour ne pas dire carrément surpris : elle m’invitait à ouvrir ma porte, non sans glisser une remarque sur mes goûts, qu’elle avait toujours trouvé discutables, en matière de femmes, et ni une ni deux, je me retrouvais devant l’entrée, ouvrant cette dernière, percevant une augmentation palpable de ma fréquence cardiaque. Là, dans l’encadrure de la porte, resplendissante, ce sourire inimitable aux lèvres, ma meilleure amie était devant moi. « T’es vraiment épatante. » Ouais elle ne cessera jamais de me surprendre. Et sans lui laisser le temps de répliquer, ma main avait saisi la sienne pour l’attirer contre moi et la serrer dans mes bras. Et comme promis lors de notre appel, mes lèvres glissèrent jusqu’à son oreille, pour lui souffler ces mots qu’elle m’avait tant réclamé : « Tu m’as terriblement manquée Hippolyte Dunford… » Ha oui, qu’avais-je promis d’autre déjà ? De l’attacher à mon lit pour l’empêcher de partir à nouveau ? Ca pouvait très bien se faire également. Même si pour l’heure, nous allions avoir beaucoup à nous dire et du temps à rattraper.

@N. Hippolyte Dunford
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Il m'était impossible de reporter à demain les retrouvailles avec Cole. Impossible d'attendre encore un peu plus de retrouver mon meilleur ami, j'avais l'impression que nous nous étions quittés depuis déjà bien trop longtemps à mon goût.. Alors c'est les pieds en miette, la fatigue à son comble que j'attends devant sa porte qu'il apparaisse. Contente oui, je l'étais mais ma discussion avec Nina m'en avait appris une belle en ce qui concerne mon meilleur ami ! Et une chose est sûre, il n'allait pas s'en tirer comme ça d'avoir gentiment proposé à ma soeur de coucher avec le président des toxicos pour encore l'un de ses plans malsains. J'étais pour de détruire la Mather, mais pas d'y impliquer un membre de ma famille comme vulgaire pion de son manège. Et la porte s'ouvre enfin, c'est un Cole comblé qui s'offre à moi. J'hoche la tête, fermant les yeux avec un sourire aux lèvres face à son premier compliment.. Parce que je présume que j'en aurais droit à d'autres. - Toujours. À peine quelques secondes écoulés qu'il m'attire contre lui, me prenant dans ses bras et il profite de cette brève étreinte pour me murmurer à quel point je lui ai manqué. - À quel point ? Demandais-je en venant attraper son regard du mien. - C'est pas suffisant ce que tu me dit.. Non, je voulais savoir encore plus. Savoir combien je lui avait manqué, combien de fois il a bien pu penser à moi. - J'espère que tu ma place dans ton minuscule organe qui te sert de coeur est toujours la même.. Soufflais-je en faisant glisser mon index jusqu'à sa poitrine. - Et unique. Surtout. Je n'accepterait pas de la partager avec une autre, peu importe qui qu'elle soit.
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 Je savais, je l’avais compris lors de notre appel, qu’elle allait revenir. Mais la surprise de la voir là devant ma porte. C’était jouissif. Un sourire radieux et je l’attirais contre moi sans attendre, lui murmurant, dans un souffle au creux de son oreille, qu’elle m’avait manqué. Ca ne suffit pas à combler l’éternelle insatisfaite qu’était ma meilleure amie. « Je peux pas te montrer à quel point ici, sur le pas de la porte… » Ma main glissa dans son dos, se plaquant au niveau de la cambrure de ses reins pour ajouter sur un ton bien allusif : « Ce genre de chose ne se démontre qu’à l’abri des yeux indiscrets… » Et je m’écartai d’elle pour l’attirer dans la pièce, refermant d’ailleurs derrière nous. Et pour rebondir sur la suite de ses mots, sur l’interrogation que ces derniers semblaient cacher, à savoir sa place dans ma vie et dans mon cœur, j’eus un petit rire. « Mon ex-mather de copine m’a largué… Si c’est ce que tu cherchais à savoir. » Ton détaché, regard blasé. Faisons comme si cette rupture ne m’atteignait pas. Et m’avançant jusqu’au mini bar installé dans ma chambre, je nous servis deux verres de mon meilleur scotch, m’avançant ensuite vers elle à nouveau pour lui tendre le sien : « Et toi alors Hippo ? Tes goûts en matière d’hommes se sont-ils un peu améliorés pendant ton absence ? » On parle du nid à MST de Royce qu’elle s’était tapé, ou encore de son clodo qu’elle avait hébergé ? Ha oui, parlons de ce type tiens… Parce que l’aide de la demoiselle pour notre futur plan pourrait m’être précieuse. Fallait croire que miss Dunford était vraiment la femme qui tombait à pic. « Comment il s’appelait l’autre que tu as logé ? Denys c’est ça ? Il se pourrait bien qu’il ait des ennuis, très bientôt. Tu n’hésiteras pas à parler de ses consommations douteuses et du trafic dont tu le soupçonnais si on t’interroge. Dis même que c’est à cause de ça que tu as été obligée de le mettre à la porte. » Hippolyte ayant vécu avec lui l’an passé, elle allait être une témoin précieuse pour les enquêteurs…  

@N. Hippolyte Dunford
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À peine avais-je franchis le pas de la porte que je me retrouve collé à mon meilleur ami. Cette proximité me fait un bien fou, j'étais en manque de tout ça. De lui, de nous, de ses propositions subtiles et indécentes qu'il me murmure encore. Rien n'avait changé, c'est comme si je n'étais jamais partie ou presque.. Un rictus un tantinet coquin vient se dessiner sur mes lèvres, je crois bien que je suis pratiquement l'une des seules femmes à ne pas s'être perdue dans les draps de ce chère Cole. Et probablement la plus intelligente pour le coup. - Des promesses, toujours des promesses.. Soufflais-je joueuse, mordillant ma lèvre inférieure alors qu'il m'entraîne dans son salon. Je dévisageais les lieux, cette endroit m'avait manqué. Faisant alors quelques pas dans la pièce, mon regard se tourne rapidement vers mon meilleur ami. - Ton ex quoi ?! Rétorquais-je en priant pour que j'ai de gros problèmes d'audition. C'est une blague ? J'ai entendu trop de fois le mot "Mather" aujourd'hui. - Tu m'aurais parlé de ça lors de notre dernière appel, je ne serais pas là ce soir Cole. Je lui lance un regard noir, partant m'installer sur le sofa sans même poser les yeux sur lui. Il ne comprendrait décidément jamais. J'attrapais le verre tendue brusquement, et gouté au liquide amer. J'en avais besoin ce soir malgré que l'alcool ne soit pas vraiment mon dada.. -Je n'étais pas au courant de cette histoire "d'ex mather". Il faut croire que tu es toujours bête quand il s'agit des femmes. Je relevais les sourcils, lassée de répéter encore et encore les mêmes choses à un meilleur ami qui n'a visiblement pas envie de comprendre. Tout faire pour détruire la Mather c'est une chose, rester crédible ça en est une autre. - Mes goûts restent toujours meilleurs que les tient ! Regard de travers avant de tremper de nouveau mes lèvres dans mon verre. Esquivant la question qu'il venait de me poser, esquivant aussi le fait que j'avais revu Hardin à Paris. Seul et unique amour gâché, je n'avais clairement pas envie d'en parler. Mon meilleur ami glisse sur le sujet Denys, sourcils froncés et incompréhension sur mon visage.. Je ne comprenais pas pourquoi la conversation venait à tourner autour de lui, mais bon, soit. Je buvais ses paroles, un rictus en coin, comment pouvais-je refuser une telle proposition ? - Oui monsieur le commissaire, il faisait entrer des gens douteux chez moi et m'a menacé de s'en prendre à moi si je venais trouver la police.. Dis-je en mimant un visage apeuré sur joué, la bouche tordue. Ce sera une véritable partie de plaisir d'enfoncer ce chère Denys qui, se pense un peu trop supérieur à mon goût. On connait le proverbe, donnez de l'importance à un âne et il se prend pour un cheval. - Ça te va comme ça ? Je suis assez crédible ? Demandais-je en pouffant un rire.
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  Ce ton joueur, cette voix, ce son, même si c’était pour ma railler, se moquer, répliquer, oh que ça m’avait manqué. Ma Hippolyte à moi, devant moi, dans mes bras. Je me détachai pour la faire entrer, pour refermer la porte avec un rire, sait-on jamais, protégeons nous des regards indiscrets, il se pourrait bien que je finisse par mettre mes fameuses promesses à exécution. En attendant, c’est vers le mini bar que je me dirigeai, nous servant un verre en lâchant quelques paroles qui eurent l’effet d’une bombe chez mon interlocutrice. Tiens, les rumeurs n’étaient pas parvenues jusqu’à Paris. « Oh, ex mather. Tu sais toi tu les héberges, tu les nourris, tu les dorlotes, moi je leur fais carrément quitter leur confrérie, ça fait davantage de casse. » Petit regard amusé, fier comme un paon, préférant afficher clairement cet aspect de mon histoire avec Lucky, plutôt que tout le reste. Mais je savais qu’Hippo n’allait pas être dupe, déjà qu’elle s’énervait en disant qu’elle ne serait jamais venue si je lui en avais parlé au téléphone. « Attends, bois un coup, car c’est pas tout. » Je lui glissai le verre entre ses doigts avant de lâcher ‘l’autre grosse bombe’. « Il se pourrait qu’elle soit tombée malencontreusement enceinte. » Miss Dunford était contrariée, ayé, et là je venais d’en rajouter une couche. Pas un regard, des paroles assassines. Ok, elle voulait jouer à ça, c’est que j’en avais aussi sur elle, des jolis dossiers. Je me plaçai à côté d’elle sur le sofa et contre-attaquais sur ses propres goûts. Son regard aurait du me faire taire, mais y’avait le plan. Et l’arrivée d’Hippo pile poil quand on finalisait notre coup, Abé Hadès et moi, ça ne pouvait pas être un hasard. Elle allait pouvoir pimenter les choses et en rajoutait avec ses témoignages contre ce crétin de mather. Un rire franc s’échappait de mes lèvres devant le numéro d’actrice de ma meilleure amie, dans le rôle de la fille inquiète et apeurée, elle assurait. « Je te décerne un oscar… » Une gorgée de mon whisky et j’abandonnais mon verre pour laisser ma main glisser le long de sa jambe, mes doigts remontant dangereusement sur sa cuisse alors que je me rapprochais pour lui murmurer à nouveau au creux de l’oreille : « T’es encore fâché alors ? Parce que je t’ai pas encore tout raconté… » Fallait que je lui dise que j’étais mis à pied, que j’avais volé la culotte de ma bizut après avoir parié sur ses fesses avec Abé, que j’allais être privé de voyage eliot…

@N. Hippolyte Dunford
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À peine étais-je rentré à l'intérieur que les nouvelles de mon meilleur ami me crispent. Il s'était donc encore encombré d'une pauvre fille dont les valeurs sont l'exactes opposées des nôtres. Si on dit qu'elle en a, des valeurs, parce que clairement ça n'était pas le maître mot de cette maison. M'enfin, il souligne le fait qu'elle n'en était plus et il ne manque pas de me piquer sur Denys. Sauf que, manque de chance, pour moi ça ne marche pas. - Tu n'as pas le droit à la parole sur ce moins que rien de Denys, il était Winthrop.. Dès lors qu'il a opté pour la mather il s'est retrouvé à la rue. Je sirote une gorgée avant de reprendre froidement. - Là où est sa place. À peine l'ombre d'un rictus s'affichant, qu'il me le faisait ravaler aussitôt. J'avais l'impression de tomber de dix huit étages, que je venais d'imaginer toute cette conversation et je clignais des yeux à plusieurs reprises. Me redressant sur le canapé d'un bond, je me retourne vers Cole, la bouche entrouverte et les yeux écarquillés. C'est une blague ? Un cauchemar dont je vais me réveiller.. - Malencontreusement Cole ? Que je dis en haussant la voix. Le regard sévère, les traits fermés. Non, il était juste qu'un pauvre con qui tombé entre les filets de n'importe quelle garce ! Un mâle tellement faible. - C'est quoi l'histoire ? Elle est tombé sur ton engin par "accident" sur le trottoir ? Ou tu l'as payé aussi celle-ci ? Je ris nerveusement, posant mes mains contre mes tempes probablement gonflées par les nerfs et la fatigue. Trop de choc d'un seul coup, trop pour que je puisse rester calme. - Et dire que par téléphone tu me disais avoir changé.. J'étais vraiment conne d'être revenue pour ta pauvre personne Cole. Je soupirais, tout ce voyage pour arriver ici et apprendre ce genre de chose ? J'avais l'esprit assez perturbé à cause de ma mère, je pensais trouver une sorte d'apaisement ici mais non. Cole était toujours.. Cole. - Je n'ai qu'une envie, c'est de sauter dans le premier vol qui passe par là. Je n'avais même pas envie de croiser son regard, pas envie qu'il me touche non plus alors je retirais délicatement ses doigts qui se frayaient un chemin sur ma cuisse. - Ah, parce qu'il y encore des choses à savoir ? Je ne sais pas si j'en ai l'envie. Non, la nouvelle venait de m'achever. Je venais le rejoindre, encore une fois je revenais à Harvard pour lui et toujours la même récompense. Je me levais, finissant mon verre d'une traite et je m'empressais de récupérer mon manteau. - Je pense que le mieux, c'est que je rentre. Sinon, il risque de finir mort et enterré au fond de son jardin ridicule. Lui et sa mather. - Merci aussi d'avoir manipulé Nina, ma propre soeur pour coucher avec un Mather. Sourire sarcastique. La liste commence à s'allonger, j'étais déçue.
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  Je toussotai pour manifester ma non approbation à ses mots concernant Denys, me permettant même de corriger : « A la rue sa place ? Ou peut être ailleurs… » lançai-je, allusif. Elle allait comprendre très vite. Quand j’allais lui dérouler notre plan. Je n’avais pas du tout lui révéler lors de notre coup de fil mais c’était sûr que je ne pouvais rien cacher à la jeune femme. Un jour, j’avais essayé de lui cacher ma relation avec Kyla, de lui mentir, la sentence avait été terrible : Hippo était partie. Alors, même si j’avais tendance à être une vraie tête de pioche, sur ce point j’avais retenu la leçon : jouons carte sur table. Son verre remis entre ses mains, j’annonçai la couleur, lui conseillant de boire pour digérer la nouvelle : Lucky enceinte. Mon amie sembla effarée. Reprenant mes mots avec sarcasme, notamment mon ‘malencontreusement’. « Excuse moi, je pensais que toutes les femmes modernes connaissaient la contraception… » répliquai-je, piqué, boudeur, surtout quand Hippo m’attaquait en disant que je n’avais pas changé, qu’elle voulait prendre le prochain vol. « Vas y pars, t’as vu ce que ça donne quand t’es pas là… Je fais n’importe quoi. J’ai besoin de toi Hippolyte Dunford. » Et ça, ça c’était plus fort que tout dans la bouche d’un Cole Wildingham. Elle finissait son verre, énervée, se levant, attrapant son manteau. Je la rattrapai avant qu’elle n’atteigne la porte, mes mains emprisonnant ses poignets fermement pour la retenir, venant la plaquer contre un mur pour la stopper. « Tu ne peux pas partir Hippo… J’ai pas que des mauvaises nouvelles… » Allez, déroule le tapis rouge, déballe le plan, offre lui ce présent sur un plateau. « Ton clodo là, ton jouet de l’an dernier… Il va finir très prochainement en prison… » Sourire diabolique. « Considère ça comme un cadeau de ma part… Tu vois, je ne suis peut être pas complètement irrécupérable Hippolyte. » Est-ce que ça allait suffire à me ‘racheter’ ? A la faire rester ? Je ne sais pas, mais dans tous les cas, mes mains restaient bloquées sur ses bras, maintenant mon emprise juste au cas où elle essayerait encore de filer. « Dis que tu partiras pas… Sinon je t’assure que je le fais… Je t’attache… »
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Bien sûr que j'allais marcher dans ce plan, vengeance personnelle oblige. Je ne le faisais pas simplement pour les beaux yeux de Cole, j'avais mon intérêt à moi aussi là-dedans, la petite blondasse sur mon canapé ne passe toujours pas. Mais les prochaines paroles de mon meilleur ami viennent me heurter de plein fouet, le problème était réel et non pas comme avec Kyla, qui elle, avait inventé cette histoire de toute pièce pour le garder. - On ne prend pas de moyens de contraceptions quand on est une pauvre fille qui ne trouve que cette alternative ridicule pour garder son mec à proximité. J'avais l'impression que le cerveau de Cole n'était plus quand il croise le chemin d'une jupe ras la salle de jeux. - Cette fille est un tapin ambulant. Tu crois qu'à l'époque où tu étais encore avec Kyla, et qu'elle s'est faufilé dans ta chambre n'était qu'un pur hasard ? Pouffais-je avant de m'emballer, prête à quitter les lieux, je balançais mon manteau par dessus mes épaules rapidement. - Raté. C'est moi qui l'avait envoyé ce jour là, elle voulait juste récupérer "son plan cul" et moi mon meilleur ami. Et le meilleur, c'est que j'ai pas eu à gaspiller un rond. Un tapin bénévole. Si c'est pas beau ça, voilà de qui Cole aura prochainement un enfant.. Mes muscles se décrispent, tombant la tête légèrement en arrière fatigué de tout ça. Mes bras viennent se croiser contre ma poitrine, je passais ma langue sur l'email de mes dents, hésitante. Je serre les dents, ses mots me touchent, surtout les siens. La seule voix qui arrive à m'atteindre, les seuls faits et gestes qui savent me piquer au vif. Me perturber. Ceux de Cole.. - Tu fais toujours tout foiré. Lançais-je blasée, penchant la tête sur le côté alors que mes yeux fixaient le sol. Je préfère finalement lui tourner le dos, avançant vers la porte quand ses mains s'agrippent à mes poignets et que je me retrouve contre ce mur. Face à lui, mes yeux tombent vers mes membres emprisonnés. - Je l'avais compris ça, tout à l'heure quand tu m'as demandé ton service. C'est tout ce que tu as à me proposer ? Je ris, relevant un sourcil, le regard froid qui revenait au galop. - Il va falloir que tu trouves mieux. Denys n'était pas si important. Je baisse la tête, une partie de moi a envie de lui dire d'aller se faire voir, l'autre se veut de rester là. - Met tes promesses à exécutions pour une fois.. Comme si j'en étais incapable, comme si rien ne pouvait faire pour que je le lâche complètement. Ma moitié, celui qui fait ressortir la partie de moi la plus malsaine, la plus sombre. Amour inconditionnel, irréaliste ou un amour qui frôle la folie, c'était ça Cole et Hippolyte. Hippolyte et Cole, encore et toujours, impossible d'y mettre un point final.
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  Je me défendis de tout, forcément, ce n’était JAMAIS ma faute. Bon ok, j’avais pas trébuché dans son vagin non plus, ça, je savais que c’était ma faute, pour la grossesse par contre, rien de voulu, d’intentionnel ou de calculé, il m’avait juste semblé logique que vu l’absence de précautions prises, ça signifiait que Lucky avait une contraception… La réplique de ma meilleure amie, son explication et point de vue sur la chose m’arrachèrent un rire : « Très mauvaise technique avec moi… C’est surtout une alternative pour que je me barre très vite… » C’était d’ailleurs dans un premier temps ce qui s’était passé. De grosses tensions entre Lucky et moi avaient commencé à voir le jour quand elle m’avait envoyé ce fichu test positif… Et depuis, on avait oscillé entre du mieux et du moins bien, jusqu’à ce qu’elle me jette. Mais c’est sur un autre moment de mon histoire avec l’ex mather que miss Dunford revint. Cette nuit où Lucky s’était faufilé à la Eliot, dans ma chambre, à l’époque où j’étais encore avec Kyla… Une nuit à vous en filer des crampes sous la ceinture, j’ignorais encore comment j’avais fait à l’époque pour ne pas coucher avec la jeune femme. Bref, j’appris de mon interlocutrice que c’était elle même, Hippolyte Dunford, qui avait alors missionné Lucky de cette visite nocturne. L’étonnement se peignit sur mon visage : « T’es sérieuse c’était toi ? » Tout s’éclairait maintenant : parce que la jeune femme n’avait pas eu à fracturer ma porte, ni même l’entrée de la confrérie, c’était donc bien qu’elle avait eu un complice pour se faufiler. Une complice en l’occurrence. Ma meilleure amie. « Pourquoi ? » Non parce que là je ne comprenais pas. C’était quoi le but de me pousser dans les filets d’une mather ? Mon regard se fit suspicieux alors, toisant la jeune femme avec insistance. « C’est toi qui fais tout foirer. » Puisque c’est toi qui l’as renvoyé vers moi. Facile hein, ce revers de responsabilité. Mais je venais à peine de retrouver mon acolyte, je refusais qu’elle ne se vexe et ne s’en aille. Elle pourrait m’avoir envoyé une horde de mathers dans mon lit, je crois qu’en fait, je lui pardonnerais. Parce que c’est Hippolyte et que j’avais beaucoup plus besoin d’elle que je ne me plaisais à l’avouer. Mes mains enserrèrent ses poignets pour la retenir, la plaquant contre le mur pour l’empêcher de filer. J’évoquais ce plan, qu’elle avait déjà compris à demi mot, ce cadeau, son clodo en tôle, son clodo viré du campus, un mather de moins dans leur confrérie de raclures. Mais ça ne lui suffisait pas. Ma main droite  relâcha la sienne, venant dénouer ma cravate alors ma gauche la maintenait toujours fermement, et c’est ensuite avec l’accessoire en soie que je vins entourer ses poignets, liant ses mains ainsi dans son dos, sourire amusé, m’approchant d’elle pour venir lui murmurer à son oreille : « Ne pars pas Hippo… » Mes doigts resserrèrent un instant le noeud de soir, puis la relâchèrent, voyageant jusqu’à sa joue, la caressant doucement en ajoutant : « Ne pars pas avant que j’ai pu t’inviter pour le bal… » 
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Il avait le don de se défiler, de fuir ses erreurs mais pas cette fois. Non, pas cette fois puisque la malencontreuse erreur est en train de grandir dans le ventre de cette clocharde de Mather. C'était quoi son problème ? Il voulait à tout prix se casser la gueule c'est ça ? Il voulait à ce point gâcher l'image qu'il était parvenu à se faire juste pour une minable partie de jambes en l'air ?! Bordel, je pouvais même pas lui dire d'aller se payer une femme pour combler ses désirs pour éviter de taper chez les verts.. La dernière fois qu'il a fait ça, payer une pute, il est finalement sortie avec. No way ! Plus jamais cette histoire se répétera. Je tape du poing, je rage, je bouillonne intérieurement et il préfère encore prendre ça sur le ton de l'humour. - Ahah, très drôle. Que je disais en mimant une fausse expression amusée. - Oui, c'est bien connu.. Tu foires tout et t'assumes pas. Un méchant regard de travers que je lui adresse, lui faisant comprendre que si je pouvais le tuer sur place, je l'aurais fait depuis longtemps. Mais mes ongles sont encore nickels, alors inutile de les abîmer bêtement. Et un sourire arrogant étire mes lèvres, hochant la tête fièrement et lentement alors qu'il venait de comprendre que, ce soir là, avec Lucky.. C'était de moi. Signé Hippolyte, cadeau. - Évidemment que c'était moi, sinon comment aurait-elle pu entrer chez nous sans encombre ! Je soufflais, fatigué de ces explications futiles. L'histoire était passée depuis un moment, pourquoi ressasser ? - Pardon ?! Je me redresse, protestant ses dires quasi immédiatement. Comme si c'était de ma faute si monsieur avait une libido hyper active, tellement qu'il tapé dans tout et n'importe quoi. Et j'insiste sur le "n'importe quoi". - Je t'interdit Cole, elle voulait récupérer "son plan cul" comme elle t'as si bien nommé. T'as pas eu besoin de moi pour qu'elle atterrisse dans ton lit.. Je levais les yeux au ciel, m'impatientant toujours contre ce mur. - Remercie moi plutôt, je t'ai débarrassé de Kyla. Je pouffe un rire mesquin dans ma barbe, me souvenant de cette époque amer. Il met pour une fois ses paroles à exécution, je le regarde dénouer le noeud de sa cravate pour finalement l'entourer autour de mes poignets. Il me fait prisonnière de son emprise, je l'étais déjà au fond, pas besoin d'accessoire mais le jeu était d'autant plus.. Excitant ? Ses mots, son souffle qui caresse ma nuque m'arrache un long frisson. - Je.. Phrase écourtée quand il insinue vouloir m'inviter au bal de cette année. Je l'avais complètement oublié d'ailleurs. Je baisse la tête, un sourire aux lèvres. - Et qui te dit que c'est avec toi que j'ai envie d'y aller Wildingham ? Je venais murmurer alors contre la peau de sa joue chaude. Évidemment que c'était avec lui, avec qui d'autre sinon ? Personne n'était à la hauteur, personne sauf Cole.
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