Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityLove, love, me - Page 3
-25%
Le deal à ne pas rater :
PC Portable Gamer 16,1” HP Victus 16 – 16 Go /512 Go
749.99 € 999.99 €
Voir le deal


Love, love, me

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Le saut dans le vide qu’imposait cette nouvelle forme de relation éprouvait les forces d’Alysse. Grisant et revivifiant, il lui procurait une sensation de renouveau et de puissance. Rien ne pourrait la blesser maintenant logée tout contre le brun. La multitude d’hormones relâchées se mêlait à l’étrange substance ingurgitée plus tôt sans qu’Alysse ne pense à s’en inquiéter. Son souffle entre les lèvres de Declan s’accélérait dans une course folle à la satisfaction de ses sens. Sa maladresse égalait la passion avec laquelle son corps s’imprimait contre la carrure masculine, bien différente de la sienne.  Perchés sur un nuage, les nouveaux démons que devenaient Declan ou Alysse s’adonnaient à un étrange rituel. De son point de vue, la détective avait été balayée par une vague de sensations trop intenses pour y tenir tête. La drogue tintait le moindre sens d’une expression décuplée et différente. Ce genre d’échange n’avait rien de coutumier où elle pouvait s’accrocher à une longue expérience pour essayer de comprendre ce qui se passait. Aussi, elle peinait parfois à répondre convenablement, trop emportée par le raz de marée que maître de la situation. Ce manque de pratique n’entravait en rien sa curiosité et ses mains trainèrent le long du dos de son partenaire de crime. Avide, chaque parcelle de sa peau se tendait vers la chaleur humaine qui lui faisait face. Elles auraient exigées le retrait immédiat du haut du policier, histoire de rendre la situation plus équitable, si elles n’avaient pas trouvé un moyen de se glisser dessous pour le presser plus encore contre elle. Pourquoi éprouvait-elle sans relâche l’impression que la distance entre eux restait trop importante ? Pourquoi devait-elle continuellement chercher à la réduire ? Est-ce que tout ça n’était qu’une pulsion animale qui se soulagerait une fois satisfaite ? Alysse ne parvenait plus à réfléchir. Entre ses sens en fusion et la drogue qui trompaient chacun d’eux, elle n’était sûre que d’une chose, d’avoir Declan contre elle. Il ne lui causerait jamais de tord alors Alysse restait confiante dans la suite des évènements, même si, elle, elle était tout bonnement incapable de réflexion et de raisonnement.... au moins jusqu'à ce que son corps décide de lui jouer un vilain tour. L'intensité de la passion ou de l'excitation provoqua une brusque impression de brûler. Lorsqu'elle ouvrit un oeil, les illusions s'étaient faites plus symboliques. Alysse fronça les sourcils, en regardant le jeune homme.

"Tu brûles."Murmura-t-elle sans parvenir à paniquer. La logique des champi! S'ils étaient démons, ils ne pouvaient pas cramer! Sans réfléchir, sa main tapota sur l'épaule "en feu". Ses doigts furent rapidement contaminer par les flammes imaginaires. Son cerveau agissait étrangement, traduisant la passion et l'émotion par un langage plus clair et compréhensible: les flammes. Alysse fixa alors sa main puis Declan maintenant totalement en feu. "C'est magnifique" Soupira-t-elle en caressant ses cheveux.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Alysse & Declan

© Kaiji

Sentir sa peau sous la sienne lui rappelle bien des souvenirs. Et à sentir les réponses qu'Alysse lui fait, il se doute qu'elle se souvient elle aussi. Du moins son corps. Mais à l'heure actuelle, il ne cherche pas à comprendre le pourquoi du comment Alysse n'en a jamais reparlé, bien trop heureux de la retrouver tout à lui même si c'est temporairement. La raison abdique et les sens prennent le pouvoir. Il sent les mains agiles de la jeune femme passer sous son haut et également un frisson en réponse parcourir son échine. Alors que les doigts de la Brunette se font curieux, il se gonfle d'orgueil furtivement et ne regrette pas d'avoir pratiqué le sport assidûment ces derniers mois. Le corps de son amie est également bien musclée et fin, et ses courbes le rendent légèrement incontrôlables. C'est bien simple, il pourrait être capable de tout lui faire contre ce mur. C'est alors qu'elle lui prononce ces paroles sur la chaleur. Les prunelles délavées se relèvent vers le visage familier. « C'est le moins qu'on puisse dire. » rétorque-t-il avec humour puisqu'il croit que c'est à cet art qu'elle s'exerce. Il sent ensuite sa main lui passer dans les cheveux et voit bien qu'elle voit quelque chose qu'elle seule voit. Il mordille alors sa lèvre, se sentant coupable, tout à coup. « C'est ce truc que tu as pris. Je brûle pas vraiment. Mais métaphoriquement oui. » Sa bouche s'approche de l'oreille de la Brune alors qu'il murmure. « Je ne sais pas si c'est très sage de continuer avec ce que tu as pris, j'ai l'impression d'abuser de toi. » Et alors il se recule légèrement pour la regarder en souriant. C'est peut-être plus sage finalement, mais ça brûle encore drôlement.


@Alysse Frank :loukas:
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
L'enfance laissait sa griffe sur chacun d'entre nous. Elle devait être le temps béni, le temps chéri. Cette époque si idyllique se montrait fragile. Chaque rencontre pouvait nous troubler pour toujours. Pour la Brunette, la marque laissée par Declan demeurait la plus merveilleuse. A contrario, la drogue avait gâché nombres de précieux moments. Tant de fois, elle avait juré à son ami que jamais elle ne picolerait, elle, que jamais elle goûterait aux affres de la poudre ou des herbes. Susan Frank, la mère d'Alysse avait été un exemple à ne pas suivre. Combien de fois avait-elle oublié Alysse les soirs, préférant s'aligner quelques verres? Combien de fois Juan, son père, avait été contraint de la ramasser dans sa bagnole de service parce que Susan ne pouvait assurer? Alysse avait appris à ses dépens l'état dans lequel vous plongent toutes les drogues. La voir consommer restait donc surprenant. Et lorsque le policier chuchota à son oreille, Alysse continua un moment à caresser les cheveux du jeune homme.

"Tu veux que je te signe une décharge?" Taquina Alysse en laissa ses doigts venir sur la joue de Declan, glisser sur son épaule et attraper maladroitement sa main pour la poser sur son coeur. Les battements s'enchainaient à un rythme effréné. "J'ai besoin de toi à l'intérieur " Formulé ainsi, ça semblait totalement vulgaire mais sincère et direct. " pour bruler plus fort ici. C’est lui qui commande." Le propos sonnait maladroitement. Alysse n’avait jamais été une poète. En réalité, elle avait besoin de ses attentions pour remplir son cœur de chaleur, cœur qui se trouvait évidemment à l’intérieur de sa poitrine. Mais peu importe, finalement, car Alysse passait ses bras autour du cou de Declan pour glisser quelques baisers sur sa peau jusqu’à son oreille. "On ne pourra pas avant des semaines après."

Autant son esprit visualisait d’étranges choses, autant elle ne perdait pas le nord. Effectivement, sa hâte pouvait aussi s’expliquer par leurs obligations respectives. Après les Spring break, ils n’auraient plus d’excuse pour se voir et Declan autant qu’Alysse se noieraient à nouveau dans le travail. Cette parenthèse devait être consommée à son maximum. Pour la détective, cette petite exploration de Declan et de ses nouveaux horizons lui ouvraient des portes jusqu’alors inconnues.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Alysse & Declan

© Kaiji

La lâcher-prise était réel mais la raison jamais bien loin. Et alors qu'il avait constaté qu'Alysse voyait des choses étranges, la culpabilité était venue assaillir son désir. Toutefois, ce fût bien furtif parce que la Brune elle avait laissé toute réserve au placard et se permettait un trait d'humour. « Je vais y penser. » un même sourire éclaire ses traits précédemment sérieux. Une décharge c'était une idée pour avoir la conscience tranquille et puis au diable la paperasse. Voilà qu'il sentait maintenant le tambour de sa poitrine à l'intérieur, cela lui arracha une amorce de sourire alors que ses yeux reposent sur les siens. Il ne peut pas vraiment se moquer, ça doit être le même genre de concert à l'intérieur de son propre corps. Ses dernières paroles achevèrent de le décider. Ils ne pourraient pas pendant des semaines après. Cette parenthèse était précieuse puisque rare. Ensuite, le boulot reprendrait le dessus comme toujours. Les sentiments et pulsions seraient mis à l'écart, comme toujours. Alors quelque part c'était maintenant ou jamais. Il était facile de reculer, de se dire que tout ça serait trop compliqué, mais Declan n'avait pas envie d'être raisonnable, même si il savait qu'après ça, ce ne serait plus vraiment pareil. Où la raison l'avait-elle mené jusqu'à présent ? A aucun endroit enviable. « Pas ici. » murmure-t-il avant de s'emparer de nouveau furtivement de ses lèvres et d'attraper sa main. Il prit ainsi direction de sa chambre en compagnie de la jeune femme. Il n'avait pas envie de prendre possession d'elle contre un mur banal, un minimum d'intimité devait embellir ce moment.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Alysse avait suivi son lapin blanc, un tout nouveau genre de tentation, jusqu’à la chambre d’hôtel. Là, un monde merveilleux lui ouvrit les bras. La conscience s’y assoupissait, bercée par les coups de reins de Declan, chahutée par les ondulations du corps qui l’abritait. A sa place brûlaient d’autres langages, d’autres exigences.  Ses soupirs alimentaient la flamme de la passion avant d’échouer entre les draps souillés d’une nuit agitée. Alysse reprenait lentement vie, essoufflée et repue.  

Quelques heures de sommeil avaient permis à Alysse de récupérer son bien le plus précieux : sa conscience ou sa raison. Sa nudité perturba sa concentration quelques minutes avant qu’un élan de paresse ne la traverse. Le nez se plissa sous le poids de la nostalgie ou d’une légère déprime passagère. Foutus champignons ! Alysse pestait en son for intérieur. Jamais elle n’aurait dû faire confiance à un petit vendeur du marché. Plat local… merci beaucoup. Un long soupir lui échappa pour tenter de faire fuir ce sentiment de cafard. Tout était bien plus beau avant, lorsque les couleurs illuminaient sa vie, que tout sonnait en harmonie avec tout et surtout avec…Les yeux s'ouvrirent en grands, ronds comme des soucoupes. A croire qu'ils avaient vu un extraterrestre. Lentement, très lentement, elle souleva le drap pour jeter un regard en arrière. Pourvu que ça ne soit pas un fou! Elle devait voir pour être sûre comme si cette information serait tatoué sur...Jolies petites fesses! Au moins, elle avait bon goût.  En souriant bêtement, un flash traversa Alysse!

« Oh mon Dieu ! » forma sa bouche sans pour autant le prononcer. La mémoire lui revenait. Elle venait de comprendre son erreur, son horrible erreur ! C'était un étudiant! Elle allait le réveiller comme ça!

Pour l'heure, elle devait sauver l'honneur et ensuite se rappeler l'identité du monsieur étalé à côté d'elle. Toute personne normalement constitué aurait penché le buste pour voir le visage dans la pénombre mais Alysse réfléchissait déjà à la façon dont elle allait piquer le portefeuille pour trouver le permis ou comment dégager de la pièce sans se faire pincer ou mieux trouver la sortie ! Une profonde inspiration tenta de calmer la panique. L'odeur qui lui chatouilla les narines la tranquillisa aussitôt. Declan! Aussi, elle abaissa le drap pour protéger la vertu de Monsieur! Il allait tellement être fâché après ce qu'elle avait fait. N'avait-elle pas mis en péril sa mission? Est-ce qu'il avait couché avec elle juste pour sauver la mission? Non. Il ne lui ferait jamais un truc pareil! Et s'il ne voulait plus d'elle? Si elle avait tout gâché? Et si...il lui fallait de l'air avant d'affronter la réalité.

D’un pas de velours, elle attrapa ce qu’elle estimait être l’un de ses vêtements et se faufila jusqu’à la porte. Il devait être quatre heure du matin et quelques ivrognes trainaient en contre-bas. Une fois que le pas de la porte fut franchi et lorsque le claquement de celle-ci raisonna dans son dos, elle frissonna. C’était le slip de son amant qu’elle avait entre les mains et non son paréo. Evidemment, être sorti cul nu avait été la solution la plus évidente à son problème. La panique avait pris le pas sur la raison et continuait à l’envahir ! Les bruits des ivrognes en contre bas alertèrent Alysse. Elle enfila tant bien que mal le sous vêtement en question et toqua à la porte qu’elle venait de quitter. Cette saloperie ne pouvait que s’ouvrir de l’intérieur ou avec une carte magnétique.

« Hey… » Comment c’était son prénom déjà ? Dar...il? Da... A cette idée, la brunette frappa de plus en plus nerveusement à la porte. Elle sautillait sur place. Mais pourquoi est-ce qu’elle avait fui ? Elle se sentait si stupide ! Si seulement, elle pouvait trouver un truc pour se planquer. Si la porte s’ouvrait, Alysse aurait le premier réflexe de jeter le caleçon à la figure de Declan avant de forcer le passage à l’intérieur. Son plan se huilait petit à petit. Elle ne pouvait pas hurler le prénom de Declan alors qu’il était en mission. Elle avait bien assez gaffé, non ?
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Alysse & Declan

© Kaiji

Coucher avec sa meilleure amie pouvait paraître compliqué, bizarre ? Mais non, en réalité, ça ne l'avait pas été du tout. C'est comme si leurs corps se connaissaient depuis longtemps et s'était parfaitement apprivoisés. Declan avait pris trop de plaisir à partager ce moment pour culpabiliser. Les prunelles claires avaient absorbé le lâcher-prise de la Brune et s'étaient repues d'un désir allumé il y a déjà quelques temps sans bien sûr que les lèvres ne l'aient jamais avoués. Et puis naturellement, le sommeil était venu clore les affres de passion. Alysse était sous l'emprise d'un truc bizarre et quand à lui quelques flots d'alcool coulaient dans son sang, il fallait être honnête. Il n'en avait pas pour autant perdu un semblant même de conscience.

C'est les martèlements contre la porte qui le ramenèrent à la réalité. En sursaut. Declan retrouve une stature verticale aussi vite que son bond. Des années de conditionnement, d'entraînement ne l'ont pas vraiment ménagé dans son repos. Les phalanges s'arment du revolver gisant dans sa table de nuit, dans un second mouvement tout aussi rapide. Et Don Juan réalise alors qu'il est nu. Et il reconnaît la voix féminine échouée de l'autre côté de la porte. Ses sourcils se haussent. Alysse alias Miss Boulette. Il tâte le lit à la recherche de son sous-vêtement, mais rien hormis un paréo. Hors de question. Il saute dans son jean, toujours armé de son arme qu'il glisse dans la poche avant. « C'est un peu tôt pour me ramener les croissants, tu crois pas ? » lance sa tête partagée entre exaspération et amusement lorsqu'il contemple de nouveau les boucles brunes. Sa main attrape solidement l'avant-bras de la fuyarde avant qu'il ne referme la porte derrière eux. « Tu ne t'échapperas pas tout de suite Mademoiselle Frank. » Non, elle l'avait conduit ici, elle l'avait poussé à lui infliger ce plus doux des traitements alors elle ne s'en irait pas sur la pointe des pieds tel le lapin blanc.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Les apparences jouaient contre elle. Lorsque la porte s’ouvrit, son temps de réaction fut ralenti par un éclat de bouteille brisée en contre bas. Ses réflexes la titillaient, menaçant Declan de subir une clef de bras. Cependant, ses doigts préféraient s’accrocher au maigre vêtement suspendu à ses fesses. L’élan l’envoya rapidement contre son ami. La réponse tomba assez rapidement. Dans un rire enjoué, elle passa la main sur l’arme planquée dans la poche de jean de Declan. Son geste s'accompagna d'un clin d'oeil.

« Crâneur.  Tu vas me passer les menottes en prime ?» Taquina Alysse.  

La jeune femme leva les mains en signe de reddition. Elle s'occupait le temps de trouver ce qu'elle cherchait. Le regard balaya la pièce en quête d’un vêtement. Où était sa culotte ? Bon sang Declan ne l’avait pas mangé pourtant !

« Je sais de quoi ça à l’air Monsieur l’agent mais je vous jure j’ai rien fait. »

La réplique culte, classique et immuable des suspects pris la main dans le sac. Tous les deux la connaissaient par cœur. Dans le fond, est-ce que ça ne manquait pas à Declan, cette partie de son travail ? Probablement pas. Il était en plein terrain, dans le vif de l’action. Elle tira sur le drap en riant doucement à nouveau. Parfois, la jalousie la secouait vivement. Sa vie serait bien différente si elle avait pu entrer dans les forces de l’ordre. Un temps d’arrêt la poussa à gommer cette sensation. Autant se recentrer sur ce foutu drap. Il était juste sous son nez autant en  profiter pour l’enrouler autour d’elle. Finalement, elle pivota à nouveau, maintenant drapée, vers Declan.

« J’avais besoin d’un peu d’air… genre beaucoup d’air  et vite. »

Son attitude avait été ridicule tant en sortant que sous l’emprise de drogue. Nerveusement, elle se mordilla l’intérieur de la joue droite. Une question centrale lui bouffait l’esprit mais, elle savait que c’était toujours délicat. Surtout que ça tombait dans la discussion comme un cheveu sur la soupe.

« Comment… comment est-ce que tu vas ? Je veux dire… ta sécurité, ton moral… tout ça. Ca fait longtemps que l’on ne s’est pas vu alors, je me demandais si tu étais heureux dans ta vie. »

Avec la pénombre, le visage de Declan lui était interdit. Sa silhouette se dessinait difficilement. Peut être qu’elle devrait allumer la lumière. Seulement, l’ambiance en serait grandement changée car cette pénombre camouflait aussi toute l’inquiétude et le manque qu’elle ressentait.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Alysse & Declan

© Kaiji

Un sourire s'étire sur ses lèvres presque paresseusement alors qu'elle semble en mauvaise posture. Il a tôt fait de la rapprocher de lui et de refermer la porte sur eux à l'abri des fauteurs de troubles en contrebas. « Tu as toujours de bonnes idées. » Au sujet des menottes. Cela l'empêcherait peut-être de s'enfuir, la  Demoiselle. Il s'amuse encore de la voir s'emmêler dans les draps pour cacher sa nudité. Dommage, le spectacle était charmant, mais bref. « Si tu avais besoin d'air, tu pouvais ouvrir la fenêtre tu sais. Et surtout prendre le temps de ne pas sortir à poil. Pas que je n'apprécie pas le spectacle, mais il mérite de ne pas être offert à tous les spectateurs.» Le voilà donc qui se repose sur le lit, passant un bras sous sa tête, l'air presque nonchalant. Comme si tout ça, c'était normal. Ouais, l'habitude de s'envoyer en l'air avec Alysse. Bien sûr. Son regard se pose sur elle, alors qu'elle l'interroge. Au moins, elle se semble plus en proie à la fuite, ni à hurler son vrai prénom au milieu des bars. « Viens. » souffle-t-il doucement en tendant son bras libre vers elle. Parce qu'il ne se voit pas lui faire la conversation allongé et elle debout. Et parce qu'il est encore très tôt et qu'il est légèrement dans le cirage faut avouer. « ça va. » Ok. Super. On développe Declan. Ses billes se relèvent vers elle, comme pour savoir si il peut continuer. « Tu me manques. » avoue-t-il en souriant une nouvelle fois. Parce que Alysse c'est Alysse, on s'ennuie pas avec elle. « Mais les choses avancent alors je garde le moral, j'ai espoir de clôturer les choses avant la fin de l'année universitaire. » Si tout se passait bien, parce qu'il ne savait pas comment il vivrait de devoir faire une nouvelle rentrée universitaire. Sa vraie vie lui manquait. « Et toi ? » Parce qu'il n'y avait pas que lui. Si Elle allait bien, alors ça l'aiderait à tenir plus longtemps.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Viens lui disait-il ! Alysse resserra son drap sur sa poitrine comme si l’invitation de Declan menaçait de la laisser à nue.  Pourtant, l’envie de le rejoindre gorgeait son cœur. Le retrouver contre sa peau apporterait son lot de douceur.  Mais Declan avait l’air si détendu, si calme. Chacun de ses gestes dénotait d’une assurance si naturelle qu’Alysse jurerait qu’il avait l’habitude de ce genre de situation. Pas elle.  « Ca serait plus équitable si tu retirais ton pantalon. » Tenta Alysse pour cacher un brin de sa gêne.

A pas de fourmi, pour ne pas marcher sur un morceau du drap et s’entraver, Alysse tentait de se dépêcher de rejoindre l’autre bout du lit sur lequel s’assoir et se poser à côté de son…amant ? C'était si nouveau qu'elle réalisait à peine. Rapide dans l’enchainement du geste mais peu dans l’avancée, elle grogna après quelques secondes.  Elle était aussi risible que la dernière limace d’une course d’escargots ! Heureusement, le ridicule ne tue pas.  Tant pis. Elle jeta le drap sur le lit avant de se ruer dessous et venir aux côtés de Declan. Devait-elle se blottir contre lui ? Rester à distance ? Dans cet état de sobriété, la détective peinait à savoir comment se comporter. Elle était nue… Fallait-il encore le rappeler ?  Mais puisqu’il lui avait tendu les bras, autant saisir la chance au vol et venir se caler contre lui.

Elle lui manquait. Un doux sourire passa sur son visage pour marquer son manque à elle aussi. Un peu de pommade sur son cœur apaisait sa propre carence. Dans une douce caresse, Alysse passa sa main sur le torse de Declan avant de se résoudre à redresser le nez en sa direction. Honnêtement, elle n’avait pas la moindre idée de comment s’y prendre. Elle aurait voulu être à l’aise avec la situation pour être plus agréable à Declan.

« Je suis contente que tu ailles bien et j'ai hâte que tu reviennes, en bonne santé. »

Le nez dans les affaires, chacun pouvait oublier le danger qu'ils côtoyaient jour après jours. Plus encore en mission où aucun moment de répit ne vous était offert.

« Ca va aussi. » Souffla Alysse après une pause. Elle avait hésité à lui mentir. La vérité le renverrait sur le terrain avec des pensées obscurcies !  Car dans le fond, Alysse craignait le retour à la vraie vie. Pour l’heure, ça n’avait aucune espèce d’importance. Elle était bien et certaine qu’elle parviendrait à vaincre le monde. Se plaindre l’insupportait presque autant que de raconter sa vie. De toute façon qu’est-ce qui lui serait impossible dans les bras de Declan ?

« Y a juste un truc… » Pour qu’elle se mordille la lèvre le « truc » en question devait réellement prendre de l’importance.  « Quand on a… est-ce que… enfin tu as, on a…Tu, je parce que en faite je…C’est compliqué. » Trop de questions à la fois trottaient dans son esprit et Alysse devait parvenir à se concentrer sur une seule d’entre elles. « Il y a certaines choses auxquelles j’ai pas … et je me demandais si toi, tu l’avais… noté. » Nouveau jeu, la question à trous !
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Alysse & Declan

© Kaiji

Il ne peut empêcher son regard d'être plus provocant lorsqu'elle lui dit qu'enlever son pantalon serait plus équitable. « Certes, mais je ne garantie pas un bon comportement après ça. » Il ne fallait pas tenter le diable n'est-ce pas ? Il observe donc la Demoiselle s'asseoir sur un coin du lit alors qu'il lui avoue qu'elle lui manque. Vivre sous infiltration implique de s'oublier soi-même mais surtout d'abandonner les gens qui sont proches et c'était ça le plus difficile finalement. S'oublier pouvait parfois être confortable. Elle lui réplique qu'elle va bien elle aussi, et il n'est pas très convaincu par cette réponse de façade, il va d'ailleurs creuser davantage alors que Alysse relance un autre sujet. Et il doit avouer qu'il ne s'attendait pas vraiment à celui-là. « Euh... » rétorque-t-il en fronçant légèrement les sourcils. Les souvenirs d'hier était malgré tout un peu flous, mais il n'était pas le genre à ne pas se protéger. Sauf que... hier soir c'était Alysse, pas une inconnue et il aurait très bien pu sauter cette étape dans l'empressement du moment. Il observe la jeune femme qui a l'air tout simplement de se liquéfier sur place alors qu'il enfonce machinalement ses doigts dans la poche avant qui ne contenait pas le flingue. Depuis le début du Spring Break, faut être honnête, il sort toujours couvert, parce que les soirées sont parfois imprévisibles. Et Declan est un homme, il lui arrive de céder à la faiblesse parfois... Un sourire éclaire son visage alors qu'il ressort l'emballage vidé de son contenu et bien déchiré en haut, signe qu'il avait fait bonne utilisation de la chose. « Avoue que je suis parfait non ? » Et c'est toutes ses dents blanches qui la nargue maintenant alors qu'elle semble reprendre ses esprits. Alors il ne peut pas s'empêcher d'en rajouter une couche : « Pas de bébé Declan/Alysse pour cette fois, dommage non ? » Pure provocation, il savait son amie loin d'être prête, d'ailleurs ils n'étaient même pas un couple, c'était un peu trop le bordel leurs vies respectives, leur relation, et eux-mêmes pour ce genre de de projet mais ça le faisait rire de la faire flipper encore un peu.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)