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silonidas ; you are my lighthouse in the darkness

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You are my lighthouse in the darkness.


— silonidas
« Bien sûr que j'allais revenir, je t'ai dit qu'on se verrait à l'appartement c'était bien parce que j'allais revenir. Comme si j'aurais pu te laisser, ça m'a pas traversé l'esprit comme le fait de te voir avec cette fille chez nous. Vu comment tu l'as lâcher pour me suivre je pense qu'elle serait conne si elle pensait te voir revenir avec elle. » Tu le laissais téléphoner alors que clairement vous aviez décider de vous parler sans filtre, les choses devaient être dites une bonne fois pour toute. D'accord par la suite vous alliez encore vous disputer mais ça faisait parti de vous, c'était comme ça. Tu pensais même que si vous vous disputiez pas ça ne serait sûrement pas la même chose. « J'aime pas non plus ce que tu me fais ressentir, je comprends pas ce qui m'arrive. C'est une première et je suis perdue, je sais pas ce que je dois faire. Tu aurais sans doute du me foutre dehors mais ça ne changerait rien à ce qui nous arrive. » Tu n'avais jamais été en couple, tu ne savais même pas si tu étais faîte pour ça. Comment faire alors quand on en désire qu'un seul et que les autre paraissent si fade à côté. Fallait t'il que tu continue encore et encore de voir des hommes pour espérer voir cette envie s'essouffler ? Lorsqu'il te demandait ce que tu attendais de lui, tu ne savais pas quoi lui répondre parce que même si tu le savais, qu'est ce que ça aurait changer, est ce que lui savais ce qu'il voulait ? « Je sais pas ce que j'attends de toi, ou de nous, c'est une première pour moi Leo. Je n'ai jamais été en couple, je ne suis jamais tombée amoureuse. Et oui c'est une surprise hein ? » Lâchais tu alors que tu te doutais bien qu'il devait penser que tu étais comme les autres à attendre le grand amour. Aucun homme n'avait su te faire ressentir ne serais ce qu'une partie de ce que lui produisait en toi et c'était très perturbant. Alors qu'il te proposait une solution alternative comme le fait d'être dans un cocon chez vous, sans hommes ni femmes pour venir pourrir votre relation l'idée te plus seulement tu te demandais ce qui se passerait si vous en veniez à tomber l'un sur l'autre en dehors de chez vous, est ce que tu serais assez forte pour ne pas lui faire une crise de jalousie, tu étais possessive à l'excès et tu le savais. « Je pense pas qu'on soit capable d'être que des colocataires parce que là j'ai très envie de faire l'amour avec toi et c'est comme ça tout le temps. Je ne veux plus voir de filles chez nous, parce que c'est chez nous, juste nous deux, toi et moi. Puis tu ferais quoi si tu me voyais avec un homme franchement ? »
MAY
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Siloë,

you fill my lungs with sweetness and i fill my head with you





« J’espère bien qu’elle a dégagé » grogna-t-il. De tout de manière, il l’avait déjà zappé de son esprit et cela dès que Siloë avait franchi la porte de leur appartement. D’ordinaire, il s’en serait totalement foutu, il l’aurait laissé partir pour aller s’envoyer en l’air mais pas cette fois-ci. Qu’est-ce qui avait changé entre eux ? Leonidas ne voulait pas croire que le simple fait de faire l’amour à sa blonde pouvait lui retourner l’esprit de cette façon mais à quoi bon se voiler la face ?! « Je peux encore te foutre dehors si tu y tiens » lâcha-t-il pince sans rire. Il n’en ferait rien car après toutes leurs disputes, leurs prises de tête, s’il avait dû le faire, il l’aurait fait depuis un sacré bout de temps mine de rien. Le grec aimait vivre avec elle, il aimait cuisiner pour elle, la retrouver le soir après une longue journée d’études ou alors après une nuit de garde à la morgue. Il appréciait de l’entendre jacasser au téléphone avec ses amies, l’entendre parler de tout et de rien tandis que lui, restait muet en faisant semblant de ne pas l’écouter, trop plongé dans un bouquin de cours ou dans un dossier pour son père. Le problème maintenant, c’est que les cartes étaient redistribuées, qu’il ne savait absolument pas ce qu’elle attendait de lui. « J’avoue… je pensais que tu étais déjà tombée amoureuse » dit-il en fronçant les sourcils. Ce n’était pas le propre des femmes de tomber amoureuse à chaque coin de rue ?! Leurs sentiments étaient aussi prévisibles que changeants. Une raison de plus pour ne pas leur faire confiance, pour ne pas s’attacher à elles. Leonidas se gardait bien de la vie de couple et puis, à quoi bon se lancer dans un projet en sachant que son grand-père lui cherchait une parfaite épouse grecque depuis au moins un an. Un jour ou l’autre, il allait être obligé de s’engager auprès d’une parfaite inconnue pour donner un héritier. Pas d’amour au programme, juste une transaction, un contrat.

Siloë était d’accord avec lui, ils n’étaient pas faits pour être de simples colocataires. La tension sexuelle entre eux était bien trop forte pour être ignorée une nouvelle fois. Negril avait bien foutu la merde entre eux mais Leonidas n’arrivait toujours pas à réellement le regretter. Il avait faim d’elle, il voulait pouvoir la serrer dans ses bras, lui faire l’amour dès qu’il en aurait envie. « Je lui casserai la gueule avant de le foutre dehors et te sauter dessus pour te rappeler à qui tu appartiens » dit-il en toute transparence, l’attrapant par les hanches pour mieux l’attirer contre lui. « Plus de conquêtes à l’appartement et si tu as une envie irrépressible de me sauter dessus quand on est chez nous, fais toi plaisir » murmura-t-il contre ses lèvres avant de les capturer dans un baiser passionné.  

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— silonidas
Tu ne savais plus où tu en étais depuis Negril, un million de questions qui te trottaient en tête. Tu étais entrain de changé, il était entrain de te changé toi qui ne pensais qu'à t'auto détruire, il t'en empêchais en ce montrant tendre, présent et franc envers toi. Tu n'avais jamais ressenti tout ce que tu ressentais et tu étais effrayé parce que ça te ressemblait plus. Tu ne voulais plus être la pétillante Siloë, celle que tout le monde adore, qui fait sourire tout ceux qui l'entoure. Non, tu ne pouvais plus être cette fille, tu n'avais pas le droit, tu aurais l'impression de trahir ton frère on ayant droit à un bonheur auquel toi tu n'avais plus droit. Tu n'avais jamais dit à personne que ce jour là quand le toit s'était effrondré Eliot t'avait poussé pour prendre les débris à ta place. Depuis tu ne cessais de revoir la scène en pensant que tu étais responsable, que ça aurait dû être toi à sa place. Reagan aurait sûrement aimé te voir sourire comme tu le faisais en la présence de Leo, elle t'aurait taquiner en te faisant remarqué que tu pouvais toi aussi t'attacher à un homme. Sans doute qu'elle avait raison, mais tu n'avais pas le droit d'être heureuse, tu voulais avoir mal, ne plus penser à ce vide en toi. Seulement auprès de Leo tu n'y pensais plus, il n'y avait pas besoin d'alcool pour ça. Tu ne fut pas surprise d'apprendre qu'il ignorait que tu n'étais jamais tombé amoureuse, vous aviez sans doute plus en commun qu'il ne le pensait. Tu avais toujours compris la raison pour laquelle il se protégeait en permanence des femmes, pourquoi il se comportait de la sorte mais tu refusais qu'il en soit de même avec toi. Tu le voulais pour toi toute seule, tu ne désirais qu'une seule chose depuis quelques temps, Leo.

Tu le regardais, alors qu'il osait se balader torse nu dans l'ascenseur, un endroit exiguë qui était sans doute l'endroit idéale pour réaliser des fantasmes. Tu secouais la tête pour oublier cette pensée qui venait de réveiller la douce sensation de bien être dans ton bas ventre. Tu le fixais du regard, tu souriais largement lorsque tu découvrais que tu n'étais pas la seule à êre super jalouse dans le fond. « Oh je t'appartiens. Je l'ignorais. » Dis tu en glissant tes bras autours de son cou, ton corps se collant au sien. Tu y prenais du plaisir l'avoir contre toi et à toi, juste toi. Au fond, ça te suffisait peut être de n'être qu'à lui juste chez vous, du moment que tu ne tombais pas sur lui et une autre fille ça irait. « Juste toi et moi à l'appartement. » Tu venais retrouver ces lèvres empoignant sa nuque, venant jouer avec ses lèvres et sa langue, une main caressant son torse que tu avais à disposition. Tu te souvenais que tu n'avais pas trop eu l'occasion d'y goûter à Negril, alors tu glissais tes lèvres dans son cou, glissant sur son torse sensuellement.
MAY
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Siloë,

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Il ignorait tout des sinistres pensées de sa jolie blonde. Il savait qu’elle vivait mal la mort de son frère jumeau mais il ne savait pas à que point. S’il l’avait su, sûrement aurait-il cessé de s’approcher d’elle car il avait beau agir comme un connard sans cœur avec la majorité des femmes, il n’en était pas de même avec elle. Siloë arrivait à percer sa carapace pour se faire une place parmi ses proches. Elle avait une place à part et il souhaitait la préserver. Il n’y avait rien de bon à rester proche de lui car au final, il terminait par détruire tout ce qu’il touchait. C’était dans l’ordre des choses : un Vasilis prend, il ne donne pas. Un Vasilis écrase toute personne en travers de son chemin. Il savait qu’il n’avait pas le droit de s’attacher à elle car si un tel malheur arrivait, il serait obligé de la jeter de sa vie, de la blesser de telle façon qu’il n’y aurait pas de retour en arrière possible car même s’il avait accepté de suivre l’éducation de son grand-père, Leonidas n’était pas prêt à recommencer depuis le début. Il en était resté traumatisé et la peur d’affronter une nouvelle fois son parent le clouait sur place.

Pourtant, dans cet ascenseur, il oubliait toute prudence, il osait même créer une intimité propre à un rapprochement. Leur appartement était un refuge pour l’un comme pour l’autre. Un lieu qu’il avait mainte et mainte fois désacralisé en amenant des maitresses en sachant pertinemment la colère et la jalousie que cela provoquerait chez sa colocataire. Une façon de la tenir à distance, de lui rappeler jusqu’à chez eux, qu’elle ne devait rien attendre de lui. « Tu l’ignorais ? Je pensais m’être montré convaincant à Negril » lâcha-t-il avec un sourire en coin tandis qu’elle entourait sa nuque de ses bras. Siloë termina par l’embrasser, scellant pour ainsi dire leur nouveau pacte. A l’abri de leur appartement, ils seraient juste tous les deux, pas de tierce personne pour se mettre en travers de leur chemin. « ça m’avait manqué » murmura-t-il alors que ses lèvres quittaient les siennes pour s’aventurer au creux de son cou. Une de ses mains remonta le long de son dos pour venir se perdre sur sa nuque comme pour l’encourager à poursuivre son exploration. L’étudiant n’avait pas envie de songer qu’à force de vivre dans une telle intimité chez eux, le retour à la réalité lorsqu’ils quitteraient leur cocon n’en sera que plus rude et violent.


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