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silonidas ; you are my lighthouse in the darkness

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You are my lighthouse in the darkness.


— silonidas
Tu te trouvais dans l'ascenseur qui allait te conduire jusqu'à ton appartement, cet appartement où tu allais sans doute retrouver Leonidas, que tu avais éviter jusqu'à la fin du spring break. Pourtant tu n'étais pas rentré de suite, tu avais décidé d'allée voir ton frère Noam. Tu devais parlé à quelqu'un de ce qui c'était passé, exprimer tout ce que tu ne comprenais pas depuis que vous aviez fait l'amour à Negril. Tu avais besoin de faire le vide, changer d'air et ton frère était sûrement la personne qui pouvait t'aider ayant été trahis par sa petite amie il te dirait de ne pas recommencer. Ayant passé trois jours chez lui, c'est finalement bien décidé à ne pas reproduire la même chose que tu rentrais chez vous. Pourtant, tu étais nerveuse à l'idée de te retrouver face à lui, tu ne savais pas ce que tu allais lui dire mais tu étais tout de même heureuse de pouvoir le retrouver enfin. Il faut dire que tu l'avais planté dans la villa et que tu étais parti, c'était toi qui avait filé pas lui. Alors que les portes de l'ascenseur s'ouvrait devant la porte de ton appartement tu en sortais pour rentrer chez toi, tu tombais face à face avec Leonidas et l'une de ces conquêtes habituels. Sous le choc et envahit par la colère tu t'échappais avec ta valises et tentait de filer au plus vite dans l'ascenseur. Tu entrais dedans et alors que tu pensais être à l'abris à l'interrieur les portes s'ouvrirent sur Leo qui entrait dans ton ascenseur. « Qu'est ce que tu fou là , retourne à ce que tu faisais. » Lâchas tu les bras contre ta poitrine remonté et en colère. D'accord ça n'aurait pas du te surprendre mais à quoi tu t'attendais ma vieille.
MAY
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Siloë,

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Leonidas avait passé le reste du Spring Break en demie teinte depuis ce fameux après-midi où il avait couché avec Siloë. Il n’arrivait pas à regretter ce moment d’égarement et en même temps, il s’en voulait d’avoir céder car toutes les cartes étaient redistribuées à présent et il ne savait plus à quel saint se vouer. En prime, sa colocataire n’avait fait que de le fuir et à son retour de Jamaïque, elle n’avait pas non plus réapparu. Une absence qui l’inquiétait autant qu’elle l’énervait. Bon sang, ils s’étaient rien promis alors qu’il arrête de l’attendre à chaque fois qu’il franchissait la porte de leur appartement. Si elle ne voulait plus vivre ici qu’elle se tire, ça lui ferait des vacances avait-il pensé dans un mouvement d’humeur. Il se refusait à se prendre la tête à son sujet. Okay ils avaient couché ensemble mais c’était tout, il n’avait rien promis et elle non plus. De tout de manière, elle était toute aussi contre que lui concernant un engagement quelconque. A tous les coups, elle s’était trouvé un amant et en profitait pour s’envoyer en l’air. Cette idée le dégoutait autant qu’elle lui donnait envie de la localiser afin de lui dire qu’elle n’appartenait qu’à lui. A la place, il était sorti, avait couché avec d’autres femmes en se répétant qu’il se fichait bien de ce qu’elle faisait de son cul ou de sa vie. Cela avait fonctionné, partiellement car le grec s’était rapidement rendu compte qu’il avait jeté son dévolu uniquement sur des blondes aux yeux bleus. La dernière conquête en date était occupée à lui enlever son T-shirt quand la porte d’entrée s’ouvrit sur Siloë. Une pointe de soulagement mêlée de culpabilité lui traversa rapidement le cœur avant qu’il ne la chasse d’une pensée. « C’est qui celle-là ? » lui demanda sa conquête alors que sa jolie blonde, elle, quittait précipitamment leur appartement. « Dégage, j’ai plus besoin de toi » lâcha-t-il sans se retourner en courant après Siloë pour la rattraper, entrant in extremis dans l’ascenseur avant que les portes ne se referment. « Bordel t’étais où ?! » se contentait-il de demander, l’œil ombrageux tandis qu’il reboutonnait son pantalon. Son t-shirt était resté à l’appartement mais il s’en foutait complétement.
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— silonidas
Le problème, c'est qu'il t'avait hanter en permanence depuis que tu avais quitté le spring break, à chaque fois qu'un ami de ton frère avait tenter de te séduire tu n'avais pas pu t'empêcher de le comparer à Leonidas. Aucun ne pouvait satisfaire tes désirs parce que tu ne pensais qu'à cet Apollon, il n'avait pourtant rien qui pouvait la rendre complètement accroc, il détestait les marques d'affections, il se montrait toujours froid et bourru et il avait beaucoup de conquêtes. Tu avais tout fait pour te persuader qu'il n'était pas fait pour toi, que tu n'avais aucun sentiment, aucun attachement mais impossible de passer à autre chose. Alors tu étais vraiment ravie de rentrer de le retrouver de pouvoir enfin savoir comment réagir avec lui, que ça serait sans doute plus claire. Tu ne t'attendais pas à le trouver avec une autre, pourquoi ça te blessait autant ? Après tout c'était habituel, finalement rien n'avait changé entre vous, c'était comme si Negril n'était jamais arrivé. Comment avait il pu te zapper comme ça, toi qui pensait qu'il y avait vraiment eu quelques chose entre vous, un truc, n'importe quoi mais quelques choses. Tu étais dans l'ascenseur voulant fuir le plus loin possible de cet homme, fuir pour ne pas assassiner cette fille, qu'est ce qui pouvait bien trouver à cette blondasse. « Où j'étais ?! . » Tu venais de le trouver avec une autre femme et tout ce qu'il lui préoccupait c'est où tu étais. Le comble. Tu le fixais alors qu'il n'avait même pas prit le temps de remettre son tee shirt, tu avais envie de l'étrangler. « Tu n'as aucun droit d'avoir une réponse à cette question ! » Tu ne comptais pas lui répondre parce que tu voulais qu'il imagine plein de chose, tu voulais lui faire payer puis tu étais trop en colère pour être coopérative. Puis l'ascenseur se stoppa net, il ne bougeait plus, tandis que tu te retrouvais coincé avec lui. « Non mais il manquait plus que ça. »
MAY
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Siloë,

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Elle était enfin de retour et il s’en sentait soulagé car il ne lui avouerait sans doute jamais mais il s’était inquiété en ne la voyant pas rentrer. Leonidas avait imaginé tous les scénarios et pour travailler à la morgue comme assistant légiste, je peux vous assurer qu’il s’est imaginé le pire. Les psychopathes, ce n’était pas ce qui manquait dans Boston et ses environs. Néanmoins, les retrouvailles n’étaient pas tendres et amicales mais plutôt lourde de tensions et de colère. Elle était furieuse de l’avoir surpris avec une conquête et lui, il était satisfait d’avoir toujours cette emprise sur elle. Rien n’avait changé dans le fond, elle restait aussi jalouse et possessive qu’elle l’avait été. Un constat séduisant. « J’ai tous les droits de savoir où tu étais ! » rétorqua-t-il en la fusillant du regard. Il ne supportait pas l’idée qu’elle ait pu s’envoyer en l’air avec d’autres hommes. L’hôpital qui se foutait de la charité car de son côté, il ne s’était pas gêné. Le grec ne savait pas donner : il prenait ce qu’il voulait. Voilà pourquoi il ne savait pas être en couple avec une femme. Les attentions, les moments de tendresse, ce n’était pas son truc. On pourrait croire que la désertion de sa mère quand il avait huit ans était la principale cause mais ce serait mentir. Son grand-père l’avait rendu ainsi et il s’y était plié de bon cœur. Leonidas n’avait jamais parlé de cette éducation qu’il avait reçu chaque été en Grèce de la part de son parent. Certaine nuit, il en faisait encore des cauchemars comme si son âme d’enfant se refusait à le quitter et le tourmentait de ses choix de vie. Tout ça pour dire que Leonidas ne savait pas aimer, ne savait pas se poser. Il avait déjà été en couple une seule fois durant son adolescence. L’histoire avec Summer avait duré quelques mois avant qu’il ne la quitte car il s’attachait trop à elle. Il fuyait les histoires sentimentales avec la même rapidité qu’il mettait ses sentiments de côté. L’ascenseur se bloqua et il profita que Siloë soit distraite pour la plaquer contre la paroi, ses mains enserrant ses poignets au-dessus de sa tête. « Dis moi où tu étais Siloë » ordonna-t-il. Il n’avait pas envie de jouer, il voulait des réponses. Maintenant.
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— silonidas
Non mais pour qui il se prenait à te parler ainsi, il n'était pas ton père, ni ton frère et encore moins ton petit ami.Tu te sentais trahis parce que tu n'avais pas couché avec un homme depuis que vous vous étiez vu à Negril, tu n'avais pas réussi parce que tu le voyais partout. Et maintenant, tu le détestais de te faire ressentir ça, tu le détestais de l'emprise qu'il avait sur toi. Pourquoi fallait il que ça t'arrive à toi, tu étais contre l'amour, contre l'attachement, la seule chose qui comptait vraiment pour toi c'était ta famille. Finalement, tu avais sûrement besoin de ça, une bonne claque pour te remettre les idées en place et te faire comprendre combien tu étais naïve n'avoir cru que ça avait compté. Tu ne devais voir les choses que d'un point de vue physique. Seulement, tu ne supportais pas ce que tu venais de voir, cette fille qui caressait son corps, sa peau et qui posait ses lèvres là où tu les avais posé quelques jours plus tôt, bon sang il avait sûrement du voir une tonne de filles en ton absence. Tu le détestais encore plus mais alors que tu y pensais tu te retrouvais plaqué contre la paroi de l'ascenseur, il te maintenait les bras. « Arrête de faire ça ! » Grognas tu en te débattant alors qu'il ne faisait qu'insister pour savoir où tu étais. Franchement, qu'est ce que ça pouvait bien lui faire, à le voir à ton entrée dans son appartement. « Lâche moi, qu'est ce que ça peut bien te foutre. » Tu le regardais dans les yeux, il pouvait bien y voir la lueur de colère qui t'envahissait, mais tu étais sûrement plus en colère contre toi même, de t'être attaché et de t'être fait des illusions. Tu avais envie de te venger, de partir d'ici et d'aller trouver un homme avec qui coucher et ne plus penser à Leonidas. Seulement vous étiez coincé ici tout les deux, tu ne pouvais pas partir et tu devais faire face à l'attirance que tu ressentais en l'ayant si près de toi dans cette position.
MAY

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Siloë,

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Plus elle se débattait et plus ses doigts se resserraient sur ses poignets, son corps se plaquait contre le siens. Il ne la lâcherait pas temps qu’il n’aurait pas eu la réponse à sa question. Combien d’homme avait eu le droit de se glisser entre ses cuisses, de la toucher, de l’embrasser. Cela l’avait rendu dingue durant ces trois jours d’absence et il s’était vengé à sa manière en couchant avec ces femmes. « ça ne regarde que moi ! Réponds à cette putain de question Siloë » rétorqua-t-il en la fusillant du regard. Elle était aussi furieuse que lui mais il pouvait lire également qu’il l’avait blessé. A force de la côtoyer, il savait lire en elle comme dans un livre ouvert. Elle s’était brûlée les ailes, elle s’était attachée à lui et venait de prendre la vérité en pleine face : il n’était pas un homme dont on ne devait tomber amoureuse. Leonidas ne ferait que la faire souffrir et même en sachant cela, il était incapable de la laisser partir, de la laisser à un autre homme. Egoïsme, sadisme, rayez la mention inutile. Cette panne d’ascenseur tombait à pic songea-t-il car entre ces quatre murs, elle ne pouvait pas lui échapper. « Dis-moi où tu étais » reprit-il sur un ton moins colérique presque comme une supplique. « J’étais inquiet » avoua-t-il à contre-cœur. Bon sang, il n’aimait pas la tournure que prenait les événements. Pourquoi lui avouait-il cela ? Siloë le rendait dingue et pour la punir, il écrasa ses lèvres sur les siennes dans un baiser aussi violent qu’exigeant. Il la détestait à cet instant précis car elle rendait les choses beaucoup trop compliquées entre eux. Pourquoi ne pouvait-elle pas se contenter de ce qu’il pouvait lui donner ?! Sa conscience lui souffla qu’il fallait qu’il la relâche, qu’il s’éloigne d’elle. L’un comme l’autre devait prendre leurs distances pour laisser l’épisode Negril derrière eux. Avec un grognement, il se détacha pour mieux reculer et se tourner vers le panneau de l’ascenseur pour écraser son doigt contre le bouton d’appel. Il fallait qu’il sorte de là.
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— silonidas
Tu ne comprenais pas pourquoi les choses ne pouvaient pas être simple entre vous, après tout ça fonctionnait avec les autres hommes alors pourquoi pas lui. Tu n'avais jamais cru les histoires sur le premier, ce gars à qui tu te donnes et qui compte pour le reste de ta vie. Tu avais toujours cru que c'était des conneries, pourtant depuis que vous vous étiez retrouvé c'était le bordel complet, plus rien n'avait de sens. Bloqué contre la paroi, tu ne t'étais jamais senti aussi fragile , tu te sentais faible de ressentir autant de connerie à son égard, la colère laissait place la tristesse, tu n'étais pas seulement triste de cette situation il y avait aussi le fait que tu t'accrochais à lui depuis la mort d'Eliot et que tu avais terriblement de le perdre. Il était à toi, bon sang tu l'avais décidé, tu ne voulais plus imaginé ces filles avec lui. Il était furieux autant que toi alors que tu ne lui avais absolument rien fait. Il avait pas le droit de se comporter de la sorte, enfin tu le pensais jusqu'à ce qu'il se calme et qu'il plaque ces lèvres sur les tiennes, tu t'accrochais à ses lèvres, leur goût t'ayant manqué, ça faisait tellement de bien. Lorsqu'il te relâchait tu réfléchissais à ce qu'il venait de dire, il s'inquiétait pour toi à cette pensée, tu te sentis mal de ne pas avoir donné de nouvelles. « J'étais chez mon frère, j'avais besoin de le voir, de lui parler.. » C'était tellement difficile de le voir comme ça, voilà que tu commençais à t'en vouloir de ne pas l'avoir repoussé, tu t'en voulais d'être revenue dans sa vie. Bordel, tu aurais pas pu rester en tête à tête avec ta bouteille de vodka, dans le trou dans lequel tu étais avant de répondre à son annonce. La culpabilité dans le ventre, tu te laissais glisser le long de la paroi passant tes mains sur ton visage alors que Leo allait finir par casser le bouton à force d'appuyer dessus. « Arrête ça ne sert à rien. » Dis tu en le regardant, vous étiez coincé tout les deux dans un ascenseur alors que la tension entre vous était à son maximum tant sur le point émotionnel que physique.
MAY

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Sentir ses lèvres sous les siennes lui avait plus manqué qu’il ne voulait l’admettre comme sa présence à l’appartement. Leonidas avait détesté rentrer et découvrir les lieux déserts. Tout était calme, trop calme alors il avait fait ce qu’il savait mieux faire : trouver une maitresse et la ramener à l’appartement pour oublier sa solitude. Le hic c’est qu’elles étaient toutes blondes, au corps de rêve et il n’avait pas besoin d’avoir fait des études de psychologie pour comprendre qu’il avait recherché sa présence dans ces femmes. Siloë consentit enfin à lui dire où elle était et il poussa un discret soupir de soulagement. Elle était chez son frère, chez personne d’autre. « J’ai pas envie de rester bloqué durant des heures dans cet ascenseur. Pas que ta compagnie me gêne mais j’ai une parfaite inconnue dans notre appartement et j’ai pas envie qu’elle foute n’importe quoi » râla-t-il en se rendant compte qu’il n’avait pas son téléphone portable. « Tu as ton téléphone sur toi ? » demanda-t-il en se laissant glisser à ses côtés pour s’asseoir contre la paroi. La tension n’avait jamais été aussi forte entre eux et le grec commençait à en avoir assez. « On passe un deal ? L’appartement devient un territoire vierge. Je ramène plus personne et en échange on arrête de se prendre la tête… » dit-il en lui donnant un léger coup d’épaule pour la sortir de ses pensées. « Je suis pas le type qu’il te faut trésor mais en attendant que tu le trouves, on peut dire que quand on est à la maison, je suis tout à toi » ajouta-t-il légèrement mal à l’aise. C’était tout ce qu’il pouvait lui offrir : une exclusivité relative. L’idée qu’elle puisse aller vers un autre le fit serrer les poings. Il ne supportait pas le simple fait qu’un autre homme la touche mais quand il voyait sa tristesse, il ne pouvait pas se résoudre à lui faire plus de mal que cela. Même lui savait prendre en considération les sentiments d’une femme. « Tu es une des rares à réussir à me rendre aussi dingue » soupira-t-il. Siloë faisait voler en éclat son contrôle et il n’y pouvait rien car ces trois jours sans elle lui avaient montré combien elle lui manquait dès qu’elle n’était pas dans les parages.
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— silonidas
Cette situation vous bouffaient tout les deux parce que plus vous cherchiez à vous éloigner et plus ça vous rendait fou. Tu ne savais pas où tu en étais avec tout ce qui se mélangeait dans ta tête. Pourtant, tu tenais à lui, même si tu ne savais pas ce que tu ressentais parce que c'était une grande première tu te rendais quand même compte qu'il t'avait manqué. « Qu'est ce que je m'en fou qu'elle soit chez nous sérieux, si tu avais pas encore penser avec ton pénis on en serait pas là. Je sais même pas pourquoi je m'énerve ça aurait tellement pas dû me surprendre. Tiens appelle là ! » Avouas tu en lui donnant ton téléphone. Vous le saviez tout les deux, c'était Leo et il ne pouvait pas s'en empêcher, sûrement qu'après ce qui venait de se passer tu allais sortir pour rejoindre Ael à son hôtel et tu lui sauterais dessus évitant un dialogue non désiré pour te faire oublier cette jalousie. Tu ne voulais pas qu'il pense que tu tombais amoureuse, qu'est ce que c'était l'amour, tu n'en savais foutrement rien mais ça devait être quand même moins compliqué que votre relation. Il s'installait à tes côtés alors que tu étais perdue dans tes pensées, alors que tu ne voulais qu'une chose te retrouver dans ses bras et l'embrasser à nouveau. Seulement tu n'en avais pas le droit, même si il tu aurais aimé qu'il t'appartienne ça ne serait jamais le cas alors tu devais te faire à cette idée. Tu le regardais alors qu'il tentait de te sortir de tes pensées, un léger sourire sur les lèvres. « Tu sais très bien pourquoi on se dispute sans arrêt et je n'ai jamais ramener d'hommes chez nous parce que je ne veux pas créer d'attache avec eux. Seulement toi, toi tu changes toutes ses règles, le jeu n'est pas pareil. Je comprends rien à ce qui m'arrive pourquoi tu m'obsèdes autant. Je te déteste de me faire me sentir si bien quand on est ensemble et si mal quand tu n'es plus là. Bordel qu'est ce que tu m'as fais en Jamaïque Léo.. » Sans t'en rendre compte tu t'étais levé et tu faisais les cent pas dans l'ascenseur parce que fallait que tu vide ton sac, fallait que tu lui dises ce que t'avait sur le cœur que t'étais juste une paumé qui se trouvait mal sans lui parce qu'il avait prit une place énorme et qu'il pouvait plus te virer de sa vie.
MAY
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Siloë,

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« Fallait bien que je m’occupe pendant ton absence, je savais pas où tu étais ni même si tu allais revenir. Je me fiche complétement de cette nana, je ne sais même pas comment elle s’appelle. J’aime pas l’idée d’avoir laissé une étrangère chez nous, sans surveillance » râla-t-il. A la place, il tenta de joindre l’entreprise chargée de la maintenance de l’ascenseur mais manque de bol, il n’y avait aucun réseau. « On capte rien… Je crois qu’on est bons pour poireauter jusqu’à ce que quelqu’un veuille bien nous sortir de là et vue notre côte de popularité dans l’immeuble, je crois qu’on est pas prêt de sortir » lâcha-t-il avec un sourire sans joie. Leonidas s’était toujours moqué du qu’en dira-t-on. Les gens pouvaient bien baver sur son compte, il s’en foutait mais contrairement à la croyance populaire, l’avis de ses proches, eux, avaient bien une valeur. Celle de Siloë comptait sûrement bien plus à ses yeux que ce qu’elle pouvait imaginer. Elle termina par se relever et faire les cent pas, débitant un flot de paroles qui lui glaçait le sang tant il était criant de vérité. Elle ne le laissait pas de marbre et il n’avait qu’une envie se jeter sur elle encore et encore jusqu’à se sentir rassasier d’elle. « On a fait l’amour là-bas… On a pas couché ensemble » soupira-t-il en pointant le nœud du problème. Ils n’avaient pas eu qu’une partie de sexe ensemble, cela avait été plus profond que ça et il la détestait pour cela. Il se releva à son tour pour s’approcher d’elle jusqu’à poser une main sur sa joue pour attirer son attention. « On est dans la merde tous les deux trésor… J’aime pas ce que tu me fais ressentir, je devrais te foutre à la porte pour avoir foutu le bordel dans ma vie mais je sais malheureusement que je serais certainement le premier à te demander de revenir » dit-il sur le ton d’un condamné à mort. Entre eux, cela n’avait jamais été simple de tout de manière. Il la voulait tellement mais il se savait incapable d’être en couple, d’être monogame. Ce n’était pas son genre, ce n’était pas dans son ADN. « Qu’est-ce que tu attends de moi Siloë, qu’est-ce que tu veux ? Je t’ai fait une proposition, elle tient toujours. Les règles peuvent être différentes dans notre appartement : juste toi et moi, personne d’autre » murmura-t-il. Bon sang, si seulement elle savait à quel point il voulait l’embrasser à nouveau, lui faire l’amour. « Ou l’on peut stopper net ce qui se passe et s’en tenir à n’être que des colocataires qui se crêpent le chignon dès qu’ils en ont l’occasion »
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