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Annalynne était quand même bien mystérieuse, c’était par moment assez déroutant. Leonidas avait l’habitude que le terrain avec les femmes soit clair et précis : du sexe et rien de plus. Là, au-delà de ce mensonge, il y avait comme une lutte pour savoir lequel ferait plier l’autre en premier. Elle gagnait : il retirait ses billes du jeu. Elle perdait, il la possédait. Néanmoins une petite voix lui souffla que posséder réellement cette femme ne devait pas être aussi facile. Elle pourrait certainement donner son corps mais l’idée de ne pas la conquérir réellement l’empêchait de réellement entrevoir la possibilité de profiter de leur petite joute verbale pour conclure. Cette femme semblait indomptable et quelque chose dans sa manière de réagir lui faisait penser qu’un homme avait réussi à la toucher plus que de raison. Chagrin d’amour ? Aucune idée mais il s’en foutait dans le fond. Il n’était pas le genre à verser dans le sentimentalisme : chacun ses emmerdes. Puis, honnêtement, il n’allait pas pleurer sur les déboires d’une femme. Ces créatures n’avaient que ce qu’elles méritaient. Pourtant, il restait intrigué par cette femme, suffisamment pour ne pas dévoiler son jeu afin de savoir où cette soirée allait les mener. « Proposition intéressante mais gardons cela pour la fin de la visite… » rétorqua-t-il avec un sourire entendu. Il avait bien entendu saisi le sous-entendu mais Leonidas avait envie qu’elle comprenne que malgré sa plastique de rêve, il restait maître de ses désirs et qu’il ne comptait pas jouer aux admirateurs idiots et impatients. « Après tout, ne dit-on pas qu’il faut garder le meilleur pour la fin ? » demanda-t-il en la tirant un peu vers lui pour qu’elle s’arrête. Laissons les provocations faire grimper les enchères petite fille semblait dire son regard. Joueur, il l’était. D’ailleurs, il avait une certaine passion pour le poker. « J’ai envie de voir votre bureau, après tout, il y a une chance pour qu’il devienne le mien » s’amusa-t-il à dire, une étincelle moqueuse dans le fond de son regard. Luxure contre taquinerie, allez savoir lequel des deux remportera le match si serré. « A moins qu’il vous prenne une envie subite de danser pour moi ? »

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Leonidas et Annalynne.

 

C’est d’une évidence que j’aime pousser le vice à son paroxysme, mais pour ceux qui me connaissent, tout à son inverse, ils savent parfaitement que ce n’est qu’un jeu, qu’une de mes lubies durant laquelle je définis sans cesse les règles, à mon bon plaisir. « Proposition intéressante mais gardons cela pour la fin de la visite… » Un soupir moqueur s’échappe de mes lèvres, un brin provocateur aussi, n’allons pas mentir. La fin de la visite, après tout pourquoi pas, puisqu’à la vérité, il n’en ressortira que la même chose, un jeune homme frustré, la queue entre les jambes qui finira la nuit chez lui … à se palucher. Enfin, pour ce que j’en sais. Dans mon élan, cependant, il se permet de m’arrêter, et aux yeux du Nirvana tout entier, on offre cet étrange tableau, celui où il fracasse mon autorité et mes idéaux spéciaux. « Après tout, ne dit-on pas qu’il faut garder le meilleur pour la fin ? » Et dans ses prunelles je lis sa motivation, cette même force qui orne mes iris même si dans le fond, autant lui que moi, nous savons qu’il n’est seulement question que de passer le temps, de le rendre étonnamment plaisant. Une soirée perdue au milieu d’un bordel organisé, à ne pas se laisser flancher à cause d’une marée de pensées. « J’ai envie de voir votre bureau, après tout, il y a une chance pour qu’il devienne le mien » C’est beau de rêver, petit, tu sais. « A moins qu’il vous prenne une envie subite de danser pour moi ? » J’en lève les yeux au ciel, soulignant par ce geste le fait qu’il radote, et d’ailleurs qu’il le fait pour du vent, parce que j’ai déjà répondu à cette demande là, il me semble. En quelle langue dois-je préciser que je ne suis pas l’une de mes prostituées ?

Pourtant, ça ne m’empêche pas de sourire, de laisser sur mes lèvres ma langue s’amuser, pour finalement, claquer avec arrogance sur mon palais. Qu’on se le dise, monsieur Smith, le pourcentage de chance pour que cela arrive un jour s’apparente de près comme de loin à jamais. « Soit. » Je conclue cet intermède pour finalement reprendre avec lui notre visite factice de l’endroit, et si c’est le bureau qu’il désire observer en premier, pourquoi pas. Bien que les personnes y étant autorisées restent bien déterminées. C’est mon monde, un univers que je cultive à la perfection, et que j’aime manier d’une main de fer sans être dérangée. Malgré cette volonté, je me dis que ce soir, ça ne me coûtera rien, juste le plaisir de le faire un minimum baver sur ce que jamais il ne pourra obtenir. Et nous voilà donc, après quelques pas face aux escaliers qui vont nous mener dans mon antre. Celle que certains considère comme celle du diable, mais le fait est, que mon âme a été vendue il y a bien longtemps … « Les dames en premier. » que je lui glisse avant de commencer mon ascension, devançant ce pauvre con.

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Autant être honnête, Leonidas se fichait bien de la décoration de son bureau ni même de son agencement. Il n’avait aucunement l’intention de racheter son club mais il avait simplement envie de contrarier les plans de cette femme qui devait certainement être habituée à ce qu’on lui fasse ses quatre volontés. Il était ainsi : provocateur, manipulateur et un brin connard. L’autorité, il ne l’acceptait qu’à une seule condition : qu’il en soit le fier détenteur. Le grec n’aimait ni les femmes ni se faire commander par une femme. Or, Annalynne était tout ce qu’il détestait et pourtant, il ne ressentait aucun ennui en sa compagnie. Mieux, elle l’amusait, le divertissait. Cette soirée n’était finalement pas si mauvaise songea-t-il alors qu’il continuait son petit speech de séducteur. Qu’est-ce qu’il ne fallait pas dire pour séduire une femme bien que là, c’était plus un rôle qu’il tenait pour amuser la galerie et convenir aux préjugés qu’elle devait sans doute avoir à son égard. Sa manière de lever les yeux au ciel, de montrer son agacement vis-à-vis de lui, c’était quelque chose de particulièrement jouissif.

« Oh mais honneur aux femmes » lâcha-t-il d’un ton nonchalant alors qu’elle commençait à monter les escaliers, lui offrant une magnifique vision de son postérieur. Il n’allait surtout pas la forcer à le précéder n’est-ce pas ? La galanterie voulait qu’il reste derrière elle en cas de chute. Oui, voilà, il avait une très bonne excuse pour se concentrer sur ses courbes. Arrivé en haut des marches, Leonidas ne pouvait dissimuler son sourire aux coins. « La visite est déjà séduisante, j’ai hâte d’en voir davantage » dit-il sur un ton sibyllin bien qu’elle ne pouvait douter du sens réel de ses propos. Il n’allait tout de même pas insulter son intelligence n’est-ce pas ? « Alors votre bureau ? » insista-t-il en la dépassant pour visiter les lieux comme s’ils lui appartenaient déjà, un main dans la poche de son pantalon noir, l’autre effleurant quelques objets au passage. S’il n’était pas tactile avec les êtres humains, le grec l’était avec les objets. Il éprouvait d’ailleurs un immense respect pour les objets anciens, chargés d’histoire. Le moderne ne l’intéressait pas.

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« Oh mais honneur aux femmes » Et malgré mon aigreur envers les hommes et leurs désirs, j’avoue seulement en pensées, que c’est un étrange fait que d’apprécier se sentir désirée. Parce que je ne suis pas tout à fait dupe et je sais sur quelles parties de mon corps son regard doit glisser. Un semblant sourire sur les lèvres résultant de mon égo, alors que je n’ai que faire de ce qu’il pense, nous arrivons finalement en haut des escaliers et il se permet de souligner « La visite est déjà séduisante, j’ai hâte d’en voir davantage » Baratineur, que je me permets de penser, si bien que j’en hausse les yeux au ciel, avant de avant de laisser mon regard s’étendre sur son visage, sur le reste, me disant qu’à la vérité il ne suffirait que d’un mot de ma part pour que lui et moi on en vienne à … Mais bien que l’idée possède ce côté plaisant, il y a cette chose en mon âme, cette cicatrice qui n’en est pas une. Une plaie béante qui peine a se refermer bien que les mois n’en finissent pas de passer. Pourtant, lorsque John Smith est arrivé, j’ai voulu me convaincre qu’il était temps d’oublier, qu’une vie toute entière ne peut être vécue sous l’emprise d’un homme qui n’en a, à présent, que faire. « Alors votre bureau ? » Son audace, les souvenirs renaissants de Clay, elle les efface. Et mon mal intérieur, je tente de le colmater au plus profond de mon coeur.

Il me devance, trouve seul le chemin qui mène au fief de ce qui m’appartient. Alors côte à côte on passe la porte, et je lui laisse le loisir d’observer. Peut-être que mon attitude cache un semblant de fierté, et moi-même je me perds à regarder les choses qui m’appartient. Les écrans qui se trouve dans l’un des coins, une caméra dans chaque salle prévue pour les shows privés, afin de surveiller qu’aucune des filles ne soit maltraitée. Ce n’est pas de voyeurisme mais simplement de la … bienveillance perverse. Je me refuse de croire qu’une chose pourrait être laissée au hasard et qu’un accident pourrait arriver. Mais au milieu de tout cela, mon bureau en bois, mon fauteuil en cuir, et l’autre juste en face de celui là. Une oeillade encore vers celui qui est avec moi ici, une manière de le détailler, de marquer mon esprit de son visage, de son allure, pour ne jamais perdre de ma mémoire celui qui un jour aura voulu me prendre ce club. Et conclue … « Vous avez vu, vous avez combattu ... » et je m’approche de lui, juste après avoir appuyé sur un bouton souligné d’une estampille « sécurité » et je lui souri, laisse courir deux doigts sur lui. « Mais vous avez perdu. » Parce que même si le jeu aurait pu franchement me plaire, il est clair que j’ai autre chose à faire. Et dans l’attente de voir l’un des videurs arriver, je détache ma main de lui comme si le contact pouvait me brûler. Dans quelques secondes, il sera mit dehors, et je lui aurai prouvé à quel point de convoiter, il a eu tort.

Certaine que jamais, je ne le recroiserai.

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