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Anna',

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Il est vrai que la vie n’était pas un conte de fée sinon cela ferait longtemps qu’il pourrirait en enfer avec les autres méchants dans les histoires. Les femmes l’entourant avaient tendance pourtant, à le voir comme un prince charmant ténébreux. Le genre d’homme qui cache un cœur immense sous une tonne de glace. Foutaises ! Les femmes pouvaient s’inventer des rêveries pour se donner bonne conscience mais jamais, il ne serait le prince charmant de qui que ce soit. Il était bien trop égoïste, bien trop dérangé pour cela. Un jour ou l’autre, il finirait par épouser celle que son grand-père lui désignerait, sans sourciller car son ambition personnelle prévalait sur tout et surtout sur ses sentiments. De toute manière, il ne désirait pas éprouver la moindre émotion car ces dernières vous empêchaient de prendre les bonnes décisions. « Il est vrai, j’en conclue que vous êtes une femme pragmatique et non une rêveuse. Finalement, vous remontez dans mon estime » se moqua-t-il ouvertement.

Annalynne n’était pas le genre de femmes à tomber toute cuite dans le bec d’un homme. Elle était plutôt du genre inaccessible et cela devait en exciter plus d’un. Pour sa part, il trouvait cela aussi charmant que frustrant. D’ordinaire, il n’avait pas à faire d’effort pour qu’une donzelle lui tombe dans le lit… Au moins, cela occupait sa soirée surtout que la voir avec autant d’animosité et de mépris vis-à-vis de lui, l’amusait pleinement. Se confondrait-elle en excuse au moment où il lui annoncerait la couleur ? Non, pas le genre de la maison. Elle serait bien capable de le traiter de connard et de lui en coller une. Son mouvement de recul lui, n’était pas passé inaperçu, arrachant un sourire à l’homme responsable de ce réflexe inconscient. « Une seule bonne raison… voyons-voir… Votre intérêt personnel ? Après tout, il vaut mieux apprendre à connaitre ses ennemis n’est-ce pas ? A moins que vous n’ayez peur de rien ni de personne et que vous avez que faire de vous occuper de la concurrence parce que vous êtes au-dessus de tout cela, rien ne vous arrive à la cheville blablabla… Vous connaissez le refrain. En fait, pour être honnête, je m’ennuie et votre mépris à mon égard est stimulant du coup, je me demande simplement si vous êtes vraiment intéressante ou simplement une pouf qui se croit meilleure que les autres » lâcha-t-il avec un sourire en coin. Qui a dit qu’il n’avait pas le droit d’être impertinent ?

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« Il est vrai, j’en conclue que vous êtes une femme pragmatique et non une rêveuse. Finalement, vous remontez dans mon estime » Son estime, qu’on se le dise, c’est dans l’estime de personne que je veux être. Me contre fous de ce que l’on peut penser de moi. Et plus particulièrement lui, sans trop savoir pour quoi. Bon sang … Il se fiche totalement de moi, et j’en sors de mes gongs, je parviens si peu à garder un tantinet de contenance. Le fait est que ça faisait longtemps que je ne m’étais pas heurtée à une telle … arrogance.

Mais c’est grâce à celle là même qu’il parvient à me retenir, à piquer un peu plus ma curiosité, à se rendre plus intéressant que ce qu’il ne le devrait. Je le sais, que je vais m’en mordre les doigts, que c’est une mauvaise idée, qu’on se risque à du n’importe quoi. Son regard me toise, une fraction de seconde où je l’observe aussi, curiosité aiguisée, il se joue de ma patience avant de commencer sa plaidoirie. « Une seule bonne raison… voyons-voir… Votre intérêt personnel ? » J’en hausse les sourcils, sans trop comprendre, mon propre intérêt ? Je ne vois qu’une perte de temps s’élever dans mon horizon de luxure contrôlée. « Après tout, il vaut mieux apprendre à connaitre ses ennemis n’est-ce pas ? » Mon ennemi ? Non, je vois juste un idiot qui convoite mon club, ce n’est pas encore assez. Je suis certaine qu’il peut mieux négocier. « A moins que vous n’ayez peur de rien ni de personne et que vous avez que faire de vous occuper de la concurrence parce que vous êtes au-dessus de tout cela, rien ne vous arrive à la cheville blablabla… Vous connaissez le refrain. » Ce n’est pas question de ça, c’est simplement que de la concurrence, il n’y en a pas. Je refuse de vendre, point, là aussi il ferait mieux de l’ingurgiter le refrain. « En fait, pour être honnête, je m’ennuie et votre mépris à mon égard est stimulant du coup, je me demande simplement si vous êtes vraiment intéressante ou simplement une pouf qui se croit meilleure que les autres » Un rictus un brin satisfait s’échappe de mes lèvres qui se tendent en quelque chose de souriant. Et mes dents s’en vont mordre cette amorce de « sympathie », bien que le mot est mal choisit. Je ne suis pas de celles qui apprécient l’amitié. C’est son honnêteté soudaine qui me plaît, qui me convainc. C’est cet infime instant où il lâche sa prise, où il se déride. Où sans le voir, je gagne parce qu’il abaisse, pour que je reste avec lui, ses dernières cartes. « Les deux. » Je lui réponds tout en faisant claquer ma langue sur mon palais. Aussi bien intéressante que meilleure que les autres, c’est l’évidence même.

Mes paupières plissées, je détaille son visage, le jeu qui caresse ses traits. Et finalement, je balaie la salle du regard, tout semble, à la perfection, rouler. Nul besoin de moi ici ou là. Ma langue effleure ma bouche, le temps de jauger. Je me remémore mes livres de comptes, mes commandes en attentes dans mon bureau … Il y a des moments, des intenses laps de temps, où tout semble se flouter, de ceux où l’on envoie les choses valser sur le côté. Des infinités. Des milliers de possibilités. D’accord, je vais rester. « Vous êtes donc le seul homme à vous ennuyer ici. » Etrange pour quelqu’un qui dit vouloir acheter, mais puisqu’il est homme, il est forcément menteur aussi.
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D’ordinaire, je vous rassure, Leonidas Vasilis était un meilleur négociateur que cela mais étant donné qu’il n’avait aucunement l’intention d’acheter un club de striptease, il n’avait guère envie de faire d’effort. En fait, cette histoire l’amusait énormément surtout cette femme. Elle était si droite dans ses bottes, si fermée à la discussion que c’était amusant de jouer à être son ennemi. Il se demandait si elle serait du genre violente ou non pour protéger son bien… A moins qu’elle ne soit plus sournoise que cela ?! Peut-être bien. « J’ai tiré le gros lot si je comprends bien » lâcha-t-il toujours avec son rictus amusé. Cette conversation n’avait aucun sens : elle, elle était bloquée en mode méfiance et colère d’avoir un type qui voulait racheter son bébé et lui, hésitant entre arrogance et amusement pour éclairer sa soirée sous un tout nouvel angle. « Oh mais je ne demande qu’à voir du spectacle. Je vous l’ai dit, vos danseuses ont des qualités non négligeables mais je suis un public très exigeant. Ce n’est pas quelques mouvement du bassin qui vont me faire oublier mes responsabilités » dit-il. Leonidas était un grand amateur de striptease et qu’on se le dise, comme pour toute passion, il se montrait très critique. Les danseuses du Nirvana étaient talentueuses mais il manquait un brin de spectacle. Certaines donnaient l’impression d’être à l’usine et ça, c’était un peu ennuyeux à ses yeux. « Prenez la brune là-bas. Je suis étonné qu’elle ne soit pas en train de regarder sa montre toutes les cinq minutes. Elle bouge bien mais voilà, elle ne donne que le strict minimum. Un œil d’ivrogne n’y verrait que du feu mais on sent qu’elle ait pas dans ce qu’elle fait. Boulot d’appoint pour payer ses études très certainement mais elle ne me vend pas du rêve. La blonde par contre, elle manque un peu de pratique mais elle compense avec son énergie » détailla-t-il rapidement ce qu’il voyait avant de se tourner vers elle. « Et puis, il n’y a rien de mieux qu’un show personnel pour réellement apprécier à sa juste mesure, un striptease » ajoute-t-il avec un sourire en coin. « Je suis curieux de savoir si vous savez bouger ou non » la taquine-t-il de bon cœur. Annalynne l’enverrait sûrement paitre mais qui ne tente rien n’a rien après tout.

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« J’ai tiré le gros lot si je comprends bien » J’en mords mon sourire face à son arrogance, ne sachant plus très bien sur quel pieds danser, entre réticence et véhémence. L’entre deux joué ici prend ce tournant qui a ce côté plaisant. Amusant. Mais il en est impossible de douter, si telle est son imagination de me positionner comme un lot à décrocher, il est clair que je suis l’un des plus beaux. Oui, j’en suis intimement persuadée. Bien que ma confiance a été, il y a quelques mois, écorchée, c’est petit à petit que je suis en train de la retrouver. A croire que John Smith ici présent pourrait m’y aider. C’est grisant comme les rôles peuvent si vite évoluer. « Oh mais je ne demande qu’à voir du spectacle. Je vous l’ai dit, vos danseuses ont des qualités non négligeables mais je suis un public très exigeant. Ce n’est pas quelques mouvement du bassin qui vont me faire oublier mes responsabilités » Au fil de ses mots, j’observe les danseuses présentes sur scène, et je ne saurai définir s’il parle sérieusement ou s’il cherche seulement à m’agacer encore plus que ce que je ne pourrai l’être. S’il cherche à me provoquer tout en ayant conscience que je suis possiblement un volcan déjà prêt à exploser. « Prenez la brune là-bas... » Alors il commence une tirade que je n’écoute qu’à moitié, peut-être pourtant que je devrai tendre l’oreille, me montrer plus assidue, en prendre … comment dire … de la graine. Mais il est une chose que je ne supporte pas, en plus de toutes les autres, n’est-ce pas ; c’est que l’on me conseille, qu’on se pense meilleur pour juger, alors que mon point de vue ne m’a jamais trahit. Ou tout du moins, qu’une seule fois, fourvoyée au point d’aimer et d’abandonner tout un empire servi sur un plateau doré. « … elle manque un peu de pratique mais elle compense avec son énergie » Mhm ? Toujours debout à ses côtés, j’accuse ses quelques paroles, mes nostalgiques pensées, tout en inclinant le visage, tentée de lui expliquer le fait que tous les hommes ne sont pas excités des mêmes façons, et que dans la suite des représentations, il trouvera forcément l’une d’elle capable de voguer sur le cour de ses songes fantasmés. « Et puis, il n’y a rien de mieux qu’un show personnel pour réellement apprécier à sa juste mesure, un striptease » Il n’a qu’à le demander, après tout, c’est un service que le Nirvana octroie à ses clients les plus généreux. « Je suis curieux de savoir si vous savez bouger ou non » Ce coup ci, il ne m’agace même pas, parvient à obtenir un rire de moi. C’est presque du tac au tac que je lui réponds « Alors en fait, vous êtes de ce genre ? » Celui à ne pas se laisser abattre, à refuser la réponse « non » comme une véritable option. J’en secoue le visage, lorsque finalement, c’est à ses côtés que je prends place. Fauteuil d’une couleur pourpre qui semble manger mes bras dénudés. « A votre avis ? » Je lui demande sans le regarder forcément, contemple la danseuse, sans trop savoir si oui ou non elle me donne envie. Je crois que des shows j’en ai trop vu pour que cela agisse sur moi, mais comme elle se sent observée par la patronne, le fait est qu’elle manque un mouvement, et que ça me dépite, vraiment. « Rassemblez les éléments que vous avez. » Je suis propriétaire, selon lui je connais les lieux depuis des années, je connais les chorégraphies, les secrets, et qu’on se le dise, ma perversité n’est pas une qualité que je m’évertue à cacher. Un sourire en coin, et je le coupe dans son élan. « Vous connaissez déjà la réponse. » L’art de l’effeuillage, je le connais et pratique à la perfection. Seulement pas pour des … petits cons. « Ravalez vos fantasmes, vous n’y aurez pas droit. » Claire, nette et précise sur ce point là, et pourtant j’en ovalise mes lèvres, mon égo redoré, c’est encore que je plais. C’est juste qu’à Clay, je n’ai pas plu assez… Volontairement, je le chasse de mes pensées. Il est temps d’oublier. De mettre de côté. Bien que cette idée reste des plus difficile à effectuer. Et lève la main avec nonchalance afin de signifier à la serveuse que nous prendrons une autre tournée. « Pourquoi mon club ? » Puisqu’à l’évidence, ici, rien ne lui plaît.  
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Il est vrai que Leonidas n’était pas le genre d’homme à se contenter d’un non. Son grand-père avait tendance à lui dire qu’un non n’était qu’un oui en devenir. Il fallait préserver, ne jamais accepter l’inacceptable ou l’impossible. « Et encore, vous n’avez pas idée de tout ce que je suis capable de faire pour obtenir une autre réponse qu’un non » répliqua-t-il avec cette arrogance qui le caractérisait tant. Il détestait qu’on lui résiste ou ne pas obtenir ce qu’il désirait. Est-ce qu’il désirait cette femme ? Aucune idée. Il ne se posait pas ce genre de questions quand cela concernait les femmes : il faudrait qu’il leur accorde bien trop d’intérêt pour cela et il s’y refusait. Une femme, ça se prend et rien d’autre. Annalynne représentait un challenge, une occupation comme une autre. Elle ne se donnait pas facilement et c’était ce qu’il appréciait. Si elle avait eu la langue aussi bien pendue que ses jambes écartées, cela aurait été une perte de temps. Là, elle le narguait, elle lui agitait quelque chose sous le nez consciemment ou inconsciemment tout en lui affichant un non définitif. « Vous savez ce que l’on dit du pas le droit ? Prenez le gauche » hausse-t-il des épaules. « Ce n’est quand même pas à vous que je vais l’apprendre ?! Je suis certain que vous obtenez toujours tout ce que vous souhaitez… Sachez juste qu’il en va de même pour moi » ajoute-t-il avec un sourire suffisant. Elle pouvait lutter autant de temps qu’elle voudrait, il avait réussi à la faire passer de l’agacement à l’amusement. Dire qu’elle n’avait pas voulu converser avec lui au départ et qu’à présent, elle prenait plaisir à cette petite joute verbale, c’est bien un signe qu’il avait la fâcheuse manie à réussir tout ce qu’il entreprenait. Un signe à la serveuse et voilà une autre tournée de commandées pour sa plus grande satisfaction. « Pourquoi pas ?! Je pourrais vous dire que j’ai vu de la lumière et que je suis entré. Pour être honnête, on m’a conseillé votre établissement et j’avais envie de me faire ma propre opinion. Je ne suis pas un mouton qui suit l’avis général, j’aime avoir ma propre opinion… Je ne regrette pas ce choix car vous êtes d’une compagnie distrayante. En fait, je dois dire que dans ce club, vous êtes l’attraction la plus divertissante… A voir à présent où peut aller ce divertissement » lâcha-t-il tandis que son regard la détaillait des pieds à la tête.

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« Et encore, vous n’avez pas idée de tout ce que je suis capable de faire pour obtenir une autre réponse qu’un non » Présomptueux. Et tout à fait illusoire parce que pour ma part je ne suis pas de celles qui se laissent convaincre facilement. Qui accèdent aux requêtes. Qui écartent si bien les cuisses qu’il n’y a finalement, aucune envie, aucun défi. Le désir, et il doit le savoir, il est plus apprécié, lorsqu’il est de prime abord freiné. Quand il a le temps de lentement monter. Que c’est bien mieux lorsqu’on se permet de le faire … gonfler. Et pourtant, putain pourtant, malgré tout ce que j’ai pu lui affirmer, je suis presque tentée de savoir ce qu’il est capable de faire, juste pour connaître ses manières. Sûrement pour mieux lui donner une finalité qu’il garderait, de sa gorge, en travers. Pourtant j’aurai pu, vraiment, me faire tringler de tous les côtés, faire comme les femmes qui ont été bafouées et qui se rassurent en devenant plus faciles à prendre qu’un train de gare. Mais c’est mon âme dans toute son entièreté que Clay a damné. C’est tout un monde qui s’est écroulé, et c’est mon univers que je peine à recomposer.

Mais cela ne m’empêche pas, de jouer, de lui donner de quoi agrémenter un peu plus ses lubriques pensées. Lui révélant que je sais danser, et tout aussi bien me déshabiller. Les tissus savent si bien glisser le long de ma peau halée. « Vous savez ce que l’on dit du pas le droit ? Prenez le gauche » Insistant. Mes paupières se plissent, mon sourire s’étend … pour le peu il n’est qu’à un fil de devenir … charmant. Et mon côté masochiste n’est tellement plus à prouver que je pourrai en rire. Les gentils garçons ? Non merci, très peu pour moi. J’aime mieux ceux capables de me briser, c’est si simple, n’est-ce pas, à s’en relever. « Ce n’est quand même pas à vous que je vais l’apprendre ?! Je suis certain que vous obtenez toujours tout ce que vous souhaitez… Sachez juste qu’il en va de même pour moi » Etrange que de penser qu’il pourrait croire que nous sommes tous les deux esquissés en un même schéma. Mais malgré cela, le fait est qu’il souligne un réel trait de caractère de ma personne. Puis en un sens, il me semble, que c’est un compliment joliment détourné. Oui, j’obtiens, quitte à y laisser quelques plumes, parfois.

J’en commande d’autres verres, preuve que je vais rester plus de temps que prévu, qu’il a piqué ma curiosité de façon, je l’avoue, inattendue. « Pourquoi pas ?! … » Intéressant. « Je ne regrette pas ce choix car vous êtes d’une compagnie distrayante. En fait, je dois dire que dans ce club, vous êtes l’attraction la plus divertissante… A voir à présent où peut aller ce divertissement » L’attraction … c’est aussi galvanisant que dégoûtant. Relayée au rang de femme objet. Qu’un joli morceau qu’on envisage de dévorer, qu’on contemple avec envie, dont on se délecte par avance. Ses prunelles s’aventurent sur les courbes de mon corps, que très peu vêtu, pour le bien de mon travail, c’est une panoplie comme une autre, et c’est un de ces regards qui brûlent assez. Sans m’en apercevoir, sur mes lèvres sont allés se poser le bout de mes doigts le temps de laisser volontairement plusieurs secondes s’effilocher. L’art de se faire désirer. Toujours maîtrisé. « Alors dites moi ... » que je reprends finalement, d’un air détaché. Mon attention n’étant plus sur ma danseuse mais bel et bien planté dans ce regard qui ne m’a pas quitté. « Ce serait quoi ? » Une fois n’est pas coutume, je me fonds dans un mensonge, dans des idées qu’il me plaît de faire s’insinuer en son esprit, il est vrai. « A l’étage ? Sur mon bureau ? A le faire trembler ? » J’ai déjà essayé … Je n’y suis pas arrivé. C’est moche, pas vrai ? Je suis marquée à vie, par tous les maux que sur moi, il a tatoué. Mais en apparence, j’en reste de marbre, je poursuis mon chemin mensonger d’un : « Ou mieux, je sais. » Lève un doigt, comme si une idée miraculeuse venait de germer. « Dans un box privé ? Après un show improvisé ? » Je n’en remarque même pas, la serveuse qui s’avance déjà. « Et ensuite quoi … sous prétexte que vous m’auriez faite crier, c’est avec plaisir que je vous laisserai mon club ? » Tirade presque achevée, j’en hausse les sourcils, en deviens mutine. Quand de mes dents, ma langue, avant de conclure, s’acoquine. « Bien trop cliché. » Déjà tenté. Ca ne fait pas partie des choses qui maintenant pourraient m’intéresser. Je veux plus, je suis persuadée de le mériter. Et mon regard oscille faiblement, en direction des verres venant d'être déposer.  
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Suspendu à ses lèvres, Leonidas attendait que le couperet tombe, qu’elle livre le fond de sa pensée. Il était certain de savoir sa réponse mais l’attente valait son pesant d’or. Qu’allait-elle lui répondre ? Sûrement non ! Annalynne ne semblait pas être le genre de femme à jouer les girouettes. C’est fou ce que c’était agaçant quand on vous bassinait non puis oui, puis non. Le grec avait tendance à se désintéresser de pareille créature, bien trop instable pour lui. Lui, il préférait celles qui savaient ce qu’elles valaient et surtout ce qu’elles voulaient. Des femmes qui n’auraient rien contre quelques heures de plaisir sans chercher plus loin et certainement pas une relation sentimentale. Il ne voulait pas de ça dans son quotidien ! Un sourire amusé étira ses lèvres alors qu’elle venait à nouveau de l’envoyer gentiment et dans les formes, paitre. « Vous avez raison, ce serait bien trop cliché et bien trop facile… Après tout, quand on est chieuse, il faut l’être jusqu’au bout. Si vous cédiez aussi facilement, en quoi cela serait intéressant ? Je serais même tenté de me dire qu’en réalité, ce club ne vaut pas un tel investissement » ajoute-t-il avec un sourire en coin tandis que la serveuse posait les verres sur la table. Leonidas se pencha et attrapa celui d’Annylynne pour le lui tendre, en bon gentleman. Il ne cherchait pas à l’impressionner mais simplement à lui souligner le fait qu’il l’estimait comme un adversaire à sa hauteur ou du moins, suffisamment intéressant pour qu’il s’attarde ce soir. « En revanche, il n’y a aucun mal à se faire plaisir dans la vie n’est-ce pas ?! Ce n’est pas comme si j’avais besoin du sexe pour obtenir votre établissement. Je ne vous ferais pas l’affront de vous traiter comme une prostituée… Vous êtes loin de l’image que l’on se fait des poules de luxe » poursuivit-il avant de boire une gorgée de sa boisson, gardant le silence quelques instants. « Pour ce qui est de vous faire crier de plaisir, je me demande si cela est possible… Après tout, qui me dit que vous n’êtes pas frigide et que vous serez peut-être une perte de temps » se moqua-t-il ouvertement pour la provoquer.

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Leonidas et Annalynne.

 

Ma vision posée précédemment sur les verres se redresse finalement pour en revenir à lui, tout sourire. Visiblement, ce ne sont pas mes phrases qui pourraient l’arrêter, et si je me devais d’être honnête, j’avouerai que ce n’est pas pour me déplaire. J’en suis presque à m’habituer à son insolence, à en redemander. Il est une distraction inattendue, un agréable passe-temps. Un faible souvenir d’antan, celui d’accepter d’être … désirée. « Vous avez raison, ce serait bien trop cliché et bien trop facile… Après tout, quand on est chieuse, il faut l’être jusqu’au bout. Si vous cédiez aussi facilement, en quoi cela serait intéressant ? Je serais même tenté de me dire qu’en réalité, ce club ne vaut pas un tel investissement » Ma langue perfide passe sur mes lèvres, un brin arrogante quand je ressens bien trop celle se trouvant dans ses dires. Chieuse … vraiment, j’aurai penché pour d’autres d’adjectifs, quelque chose de plus classe sûrement. Et puis quoi donc ? Le Nirvana ne se mesure qu’à mon aptitude à tenir mes jambes écartées ? Fais gaffe, John faute de m’amuser, tu pourrais finir par me vexer, et là, pour toi, forcément ce serait mauvais.

Mais il se joue de sa propre bêtise, me tend mon verre, toujours avec cette expression si fière. Persuadé, certainement, qu’il a tout pour plaire. « En revanche, il n’y a aucun mal à se faire plaisir dans la vie n’est-ce pas ?! Ce n’est pas comme si j’avais besoin du sexe pour obtenir votre établissement. Je ne vous ferais pas l’affront de vous traiter comme une prostituée… Vous êtes loin de l’image que l’on se fait des poules de luxe » A son image, j’en viens à boire aussi, juste avant de lui souligner. « Dois-je le prendre comme un compliment ? » de ne pas être qu’une simple pute mais une femme qu’il souhaite déposséder de son bien le plus précieux. C’est bien trop présomptueux. « Pour ce qui est de vous faire crier de plaisir, je me demande si cela est possible… Après tout, qui me dit que vous n’êtes pas frigide et que vous serez peut-être une perte de temps » C’est … finement joué. Ca pique, juste ce qu’il faut, là où il faut, la grandeur de mon égo. Une autre gorgée est avalée, avant que je ne me permets de mordre mon inférieur, tuant un sourire naissant. Un très bel avortement afin de ne pas lui démontrer qu’à la vérité, l’échange s’en devient de plus en plus intéressant. Les hommes fonctionnent tous de la même façon c’est d’un affligeant. A toujours vouloir prouver qu’ils sont meilleurs que les précédents, à se dire qu’ils peuvent relever le défi de nous faire faillir le temps d’une nuit. Et c’est pour cette raison, que je m’éprends de son propre jeu. Que j’étale les mêmes cartes, ou presque, voulant entaillée cette condescendance. « Vous doutez de vos capacités ? » Parce que frigide ou pas, si l’on s’y prend bien, ça fonctionne n’est-ce pas ? Qu’est-ce que j’en sais après tout, le fait est qu’en matière de sexe … qu’on se le dise, je n’ai absolument aucun problème à m’en délecter. Elle est sans égale, ma lubricité. Même si depuis le fiasco Clay, je n’en ai laissé aucun me souiller. « Vous avez certainement raison, vous ne seriez pas à la hauteur de mon insatiabilité. » Et celle là, très cher, elle est assez bien jouée ? Les mêmes armes, les mêmes manières de se battre. Mais dans ce combat, il n’y a qu’une issue possible à la vérité. Ma victoire assurée. J’en termine mon verre, en un seul trait, à mon tour arrogante quand je lui propose. « Vous voulez peut-être visiter ce que jamais vous n’obtiendrez ? » Le club, s’entend, pour lui cracher au visage ma luxure, et lui prouver que rien ne peut me faire flancher, même à l’usure.

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« Cela se pourrait bien, à vous de voir » hausse-t-il les épaules. Leonidas n’aimait pas les femmes qu’on se le dise mais il savait jouer de la flatterie quand cela était nécessaire. Néanmoins, il s’était toujours gardé de trop en jouer afin d’être clair sur la question : si une femme l’intéressait, il le faisait savoir… Jamais il ne s’abaisserait à quémander une attention ou encore à faire des pieds et des mains pour conquérir une femme. Il détestait l’idée d’être aux ordres de la gente féminine, c’était quelque chose qui avait le don de lui hérisser le poil. On aurait pu croire que s’attaquer à une femme de la trempe d’Annalynne s’avérait risqué mais qu’avait-il à perdre ? Le club ? Il n’était jamais venu dans l’intention de l’acheter. Au pire, il devrait se trouver une autre adresse pour étancher sa passion du striptease mais ce n’est pas comme si le Nirvana était le seul club dans les environs. A Boston ou même ailleurs, il trouverait toujours chaussure à son pied. Néanmoins, cette petite joute lui plaisait et le sortait de sa solitude habituelle. Rien que pour cela, il voulait poursuivre le jeu, marcher sur la corde raide de cette complicité naissante. « Aucunement… Vous vous attendez peut-être que je vous dise : je suis le meilleur amant des environs, rien de ce que vous aurez connu ne saura égaler le plaisir que je vous donnerai ? Voyons, laissons cela aux hommes qui ont un réel complexe d’infériorité. Je sais ce que je vaux et cela me suffit amplement. J’ignorai toutefois que vous étiez le genre de femme à exiger un CV avant d’accueillir un amant dans votre lit » se moqua-t-il. Elle s’attendait peut-être à ce qu’il joue les machos sans cervelle, bon à bander les muscles pour jouer au coq devant elle ?! « Votre insatiabilité ? Intéressant… Vous savez ce qu’on dit pourtant ? Ne pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué » rétorqua-t-il bien que piqué à vif par ses propos. Il avait beau ne pas jouer à qui à la plus grosse, il n’en restait pas moins un homme et sa virilité en venait à être malmenée. « Avec plaisir, je n’aurais pas pu rêvé mieux comme guide » termina-t-il par répondre après avoir terminé son verre.

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Leonidas et Annalynne.

 

« Aucunement… Vous vous attendez peut-être que je vous dise : je suis le meilleur amant des environs, rien de ce que vous aurez connu ne saura égaler le plaisir que je vous donnerai ? » A la vérité, je ne m’attendais à rien de précis, ou si peut-être à voir son impétuosité s’amenuiser. Sauf que c’était peut-être trop lui demander, puisque notre petite guerre il la poursuit, et j’en suis bouche bée de constater que je n’ai toujours pas gagné. « Voyons, laissons cela aux hommes qui ont un réel complexe d’infériorité. Je sais ce que je vaux et cela me suffit amplement. » Vraiment ? Je le sonde, une seconde, tiraillée entre l’envie de – justement – savoir ce qu’il vaut, mais aussi de lui dire qu’à vrai dire, j’en ai rien à secouer. Ce n’est pas comme s’il … m’intéressait, tout du moins je le crois, c’est étrange la tournure de cette conversation, cela s’apparente de plus en plus à un énorme n’importe quoi. « J’ignorai toutefois que vous étiez le genre de femme à exiger un CV avant d’accueillir un amant dans votre lit » J’en ai fini avec ces conneries, celle de vouloir un homme aussi bien dans mon lit que dans ma vie. En manque, peut-être, mais au moins, une chose est certaine, je ne souffrirai pas. C’est bien que je me fourvoie.

« Votre insatiabilité ? Intéressant… Vous savez ce qu’on dit pourtant ? Ne pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué » Tout de même alors, il s’en retrouve un brin piqué par mes paroles visant sa fierté. Puisqu’en un sens il se défend, avoue à moitié, qu’il est bien assez endurant pour me combler. J’en pince mes lèvres, joue de ma langue sur ces dernières, une nouvelle fois. Et pour ne pas trop l’encourager sur le sujet, puisque décidée à ne pas céder, je lui proposer de faire un tour de l’endroit, peut-être pour faire passer le temps, sûrement pour faire perdurer ce petit jeu qui se pourrait devenir dangereux. « Avec plaisir, je n’aurais pas pu rêvé mieux comme guide » Je l’observe finir son verre, le trouvant – malgré moi – plaisant, et finalement je me lève, tends une main à son intention, pour mieux l’inviter à me suivre, à se lever.

Il ne faut cependant pas se leurrer, ce n’est pas comme s’il y avait beaucoup de choses à visiter ici, les vestiaires des filles ne comptant pas, sanitaires aussi, cela va de soi, il reste quoi ? Les boxs privés, pour les shows aux sens charnels un peu plus poussés, et l’aile réservée à la direction, la mienne, évidemment. Alors prise d’une envie dérisoire, à la limite de l’illusoire, je lui propose, sur fond de provocation mesurée. « Peut-être que vous voudriez commencer par l’observation d’une cabine privée ? » Non, sans aller jusqu’au point de non retour, celui où je me placerai comme fille de joie, encline à danser pour toi. Et déjà, sous les yeux de mes employés et des clients présents, je commence à marcher vers la direction indiquées, lui à mes côtés.

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