Denleigh - Et un jour on rencontre une personne sans même le vouloir, puis elle devient notre plus belle histoire

  Si elle me rendait mon maillot quoi ? Je me glissais à nouveau dans mon short, je lui rendais son haut, elle cachait à nouveau cette somptueuse poitrine et quoi ? On fait des brasses et au dodo ? Non, ce n’était pas bonne question, parce que tout simplement ce n’était pas la bonne solution… La version où elle ne me le rendait pas, justement, ce fameux short de bain, ça, ça m’intéressait plus… J’avais surement beaucoup trop bu, pour oser faire ça, pour l’attirer alors qu’elle est déjà presque nue, que pour ma part je l’étais intégralement, pour ne laisser que quelques centimètres entre nos deux visages en reformulant donc la BONNE question, la répétant tout contre ses lèvres, lèvres qui se décalèrent lentement, soufflant sur ma peau, venant jusqu’à mon oreille pour dans un murmure me faire cette réponse… Une réponse digne de notre alcoolémie surement. Qui laissait ainsi la porte ouverte à tout… Sa bouche déposa un baiser sous mon oreille, glissant dans mon cou, électrisant ma peau, alors qu’elle se reculait un peu ensuite, accrochant mon regard quelques secondes.  S’enfonçant dans l’eau, mouillant ses cheveux, avant de redresser de nouveau la tête… « T’es magnifique Ashleigh Strauss… » soufflai-je en la contemplant, l’observant s’approcher, se reculer, jouer ainsi avec le feu… « Tu veux vérifier ça alors ? Que si tu ne me rends pas mon short, je vais devoir te retirer ton bas, que si je te retire ton bas, mes mains vont frôler ton ventre, mes doigts vont caresser tes cuisses… T’es sûre ? » Et puis, sans lui laisser le temps de répondre, plongeant sous l’eau à mon tour, je saisis de nouveau l’élastique de son vêtement, laissant comme promis mes doigts s’attarder et s’égarer sur son bas ventre, tirant ensuite doucement le tissu vers le bas, le faisant glisser le long de ses cuisses lentement, jusqu’à le lui retirer complètement. Remontant ensuite à la surface, juste face à elle, brandissant un instant la petite culotte devant son visage avec un air fier… Mes mains voyagèrent ensuite dans son dos, glissant doucement le long de sa colonne, jusqu’à la chute de ses reins, nos visages tout proches à nouveau, je reprenais : « Et moi j’ai envie de vérifier un truc aussi : et si y’avait pas de défi ? Et si on n’était pas meilleurs potes ? Il se passerait quoi là ? » Mettons des si, refaisons le monde allez…

Ce bain de minuit était censé te remettre les idées en place et te faire t'éloigner du jeune homme ainsi que de cette tension sexuelle très palpable. Comme un gros échec, à la place, ce bain de minuit avait l'effet contraire. Il t'attira que plus à lui, jouant l'un et l'autre avec le feu, attisant les étincelles déjà bien présentes, qui risquaient de flamber le bois en une fraction de seconde. Si tu rendais pas son short, ce qui allait se passer, il voulait le savoir. Et toi, c'est le chemin du danger que tu pris, le défiant dans un murmure de vérifier si avec des si on refait le monde, tout en déposant un baiser sous son oreille, au début de son cou, tentant encore plus le diable. C'était pas comme ça que la tension allait s'éteindre, surement pas. T'éloignant à nouveau, tu ne cessais de jouer avec lui, ton regard plantait dans le sien, te mouillant les cheveux et faisant des pas pour te rapprocher de lui mais aussi reculer. T'étais douée pour jouer à ce petit jeu, à chercher l'autre, mais t'avais un bon adversaire aussi sous tes yeux. Son compliment t'arracha un sourire en coin, t'en donnant presque des frissons. Il aurait pu se contenter de cette simple réplique et basta. A son tour, il annonça la couleur. Ce qui allait se produire si tu lui rendais pas son short c'est que tu perdrais le tien, ses mains parcourant ton bas ventre et tes cuisses. Et en l'écoutant, tu te mordis la lèvre inférieure. Ses paroles avaient déjà la magie de te faire de l'effet... Alors quand il plongea effectivement sous l'eau, ses mains sur ton bas ventre, tu tentas de l'empêcher d'aller plus loin. Nuit obscure, eau sombre, tu voyais rien et même s'il allait doucement, tes mains étaient incapables de trouver les siennes pour le stopper dans sa course. Gigoter n'aidait pas vraiment, à part lui faire obtenir plus vite ton bas, qu'il brandit comme un trophée, le secouant sous tes yeux. Complètement nue, il avait les deux parties de ton maillot et toi le sien. C'état du propre tout ça. Tu essayas de lui reprendre des mains mais raté, cible manquée. Et si c'était pas suffisant, il fit glisser ses mains dans ton dos, descendant sur tes reins, se rapprochant à nouveau de toi, vos visages si proches. C'était encore plus compliqué de te tenir à carreau en le sachant nu, te sachant nue, et vous sachant à quelques centimètres. Il suffisait d'un rien pour que ça dérape... Face à ses questions, tu soufflas aussitôt, d'une voix sûre et sérieuse : il se passerait que je t'aurais déjà sauté dessus. Franche, directe, passant pas par quatre chemins, il n'était plus question de le nier. Tu avais bel et bien envie de lui, c'était indéniable. Attrapant sa main, tu plaças son index et majeur sur ton cou, au niveau de ta carotide, lui faisant ainsi sentir ton pouls qui était plus fort qu'à la normale. Tu sens ? C'est ce qui se passe quand tu es torse nu... que tu glisses des sous entendus ou... que tu crée un contact entre nos peaux... Ton pouls devenait bien plus fort quand y avait ce jeu d’ambiguïté entre vous, quand tu posais juste ton regard sur lui torse nu. Parce que les flashs de ses lèvres sur ta peau, ses doigts sur ton corps, revenaient, et cette attraction devenait impossible à cacher et lutter. T'y prenais peut être même goût, malgré ce défi. Satisfait ? D'avoir cet effet sur toi ? D'être pourtant bloqué par ce défi ? Par votre amitié ?

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  J’avais terriblement envie d’elle, envie d’Ashleigh, là en face d’elle, mes doigts effleurant sa peau alors que je lui ôtais ce dernier vêtement l’esprit joueur, puisqu’elle avait voulu vérifier, défiante, ce qui se passerait si elle gardait en otage mon propre maillot… J’avais envie d’elle, maintenant, comme si ces vacances passés à se chercher et se taquiner, cette première journée aussi où elle était venue dans ma chambre pour clairement m’allumer, ce frein qu’elle m’avait mis alors, celui qu’elle m’avait mis plus tôt quand j’avais évoqué la simple idée de le refaire, comme si tout ça m’avait fait accumuler trop de désir envers elle pour que je me tienne à carreau ce soir. Alors oui, je m’amusais encore à laisser mes mains courir sur sa peau, le long de son dos, se perdant sur la cambrure de ce dernier, à la naissance de ses fesses désormais libérées de tout vêtement. Et c’est sur le même ton joueur, dans un murmure, que je la questionnais avec de nouveau –si- La réponse de ma blonde préférée se fit directe et claire : elle m’aurait déjà sauté dessus. Et comme pour le prouver, comme pour l’illustrer cette affirmation, sa main s’empara de la mienne, guidant mon index et mon majeur sur son cou, là où son pouls battait à un rythme soutenu… Mon regard accrocha le sien alors que sous mes doigts, je continuais de sentir les pulsations effrénées de son sang. Satisfait de la réponse ? « Non. » répliquai-je alors, corrigeant, reformulant le vrai sentiment que cela provoquait en moi de la savoir si proche, si excitée et à la fois complètement inaccessible. Parce que même bourré, j’avais conscience que le défi, ok, un jour il serait levé, mais que pour l’autre obstacle, celui de notre amitié, il serait toujours là, pour la freiner… Ce –je t’aurais déjà sauté dessus- resterait un si, une hypothèse fictive qui ne se produirait jamais alors non, ça n’avait rien de satisfaisant. « Frustré. » C’était plutôt le mot…  Et pourtant je restais là, tout proche d’elle, incapable de me détacher, dénué de toute volonté de résister ou de lutter contre l’irrésistible attraction qu’elle exerçait sur moi. « Ashleigh… » repris-je alors que mes doigts glissaient sur ses joues. « Ton défi il m’interdit pas de faire ça ? » Main glissant jusqu’à sa nuque, mes lèvres s’approchant des siennes, réduisant à néant la distance entre nos deux visages pour venir l’embrasser…

Jeux de mains, jeux de vilains ? Vous étiez en plein dedans là. S'il te restait ton bas de maillot, il avait vite subit le même sort que ton haut et que le bas de Denys. Nus, comme si c'était pas suffisant pour nourrir cette tentation bien existante, il fallait qu'il te questionne avec cette question. Réponse toute trouvée depuis des jours, tu lui répondis du tac au tac. Sans ton défi, sans votre lien de meilleur ami, il aurait pas duré bien longtemps avec ses fringues et encore moins là alors qu'il était complètement dénudé. Tu lui aurais déjà sauté dessus. Pas de gêne, ni de honte à l'avouer. Et pour lui faire comprendre, pour appuyer tes mots, tu guides son index et majeur à ton cou, histoire qu'il sente bien l'accélération de ton pouls, lui expliquant la raison de cette accentuation. A chaque fois que tu le voyais sur la plage, dans son simple short de bain ou bien aux sous entendus qu'il pouvait glisser, ainsi qu'à ses gestes, ses regards et les rapprochements qu'il faisait, t'étais pas indifférente. Ca te donnait juste envie de succomber, pourtant tu te bloquais à cause de votre amitié. Tu voulais pas le reléguer au simple plan cul, ni prendre le risque de le perdre. Mais ce soir c'était dur, c'était compliqué. Il t'avait déjà embrassé plus tôt et ça t'avais un peu bouleversée. Et t'étais pas au bout de tes "peines". Non il n'était pas satisfait de savoir l'effet qu'il avait sur toi, pour la bonne raison qu'il était frustré. Cette révélation eut le don de te faire sourire. Pas besoin de le dire mais cette réponse te ravissait. Au moins tu n'étais pas la seule à être frustré, vous étiez les deux dans la même merde, même si lui il se fichait du statut amical... Puis, toujours proche de lui, ses mains dans le bas de ton dos, celles ci remontèrent sur tes joues tandis qu'il avait prononcé ton prénom. Sa question, te demandait à la fois ton avis mais aussi était comme une affirmation. Alors à son regard, à sa façon de poser ses doigts sur tes joues, tu compris. Tu ne dev... Ses lèvres se posèrent sur les tiennes brisant, une nouvelle fois, toutes les barrières que tu t'imposais. Et si tout à l'heure tu avais été prise au dépourvue, n'ayant pas le temps de réagir car il avait déjà rompu tout contact entre vos lèvres, cette fois... tu y répondais. Tes mains attrapèrent sa nuque, répondant à son baiser avec fougue. Aux oubliettes votre amitié et votre nudité. Aux oubliettes le défi. Tu te laissais porter par le moment, toute cette frustration que tu retenais depuis déjà une bonne semaine, ressortant ce soir, à cet instant. Tu cédais et tu te laissais guider pendant de longues secondes, pour finalement rouvrir les yeux. Séparant vos lèvres, tu laissais ton front se coller au sien, ton regard droit dans ses yeux. Tu aurais pas dû... Parce que maintenant t'avais pas envie de te contenter que de ce baiser. Tu voulais plus... Mais c'était pas possible. Les jours à venir seraient que plus pénible en sa présence après ce baiser. T'étais foutue, cuite, grillée, cramée. Tu posas ta main sur son torse, celle qui tenait son short de bain. Remet le, s'il te plaît... Et ta voix montrait que toi même ça te faisait chier de lui demander ça. Tu le suppliais presque dans ta demande, sous entendant clairement que s'il ne le faisait pas, tu ne pourrais pas te retenir. Bon sang ce que tu détestais ce défi ! Tu déposas tout de même un simple baiser sur ses lèvres, preuve que tu avais envie de ce moment mais que tu étais coincée. Preuve que tu baissais les armes devant l'obstacle de votre amitié...

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  Je ne la laissais pas protester, parce que d’une part je connaissais la fin de sa phrase –je ne devrais pas faire ça-, je le savais, je le pensais aussi, mais j’avais juste pas envie de l’écouter, cet avertissement. Pour une fois, je voulais juste ne pas faire ce que je –devais- mais ce dont j’avais véritablement envie. L’alcool aidait à faire taire la petite voix de la sagesse surement, parce qu’Ash aussi, se décida à ne pas l’écouter, ses lèvres répondant aux miennes, se pressant avec envie contre ma bouche, alors que ses mains voguèrent derrière ma tête. Approfondissant ce baiser salé, mes mains se perdant dans ses cheveux alors que ma langue venait jouer avec la sienne, quelques secondes encore de paradis, de délice, là contre elle, dans les vagues et dans la pénombre de la nuit… Et puis, il fallait reprendre son souffle, nos bouches se séparèrent, mais le visage de la jeune femme resta tout proche du mien, nos fronts toujours en contact. « J’en avais trop envie… » me défendis-je alors qu’elle répétait encore que je n’aurais pas du. Et d’ailleurs, pas besoin de parler au passé : « J’en ai trop envie. » corrigeai-je. Envie de ses lèvres, de ce baiser, de tous les autres que je rêverais de lui donner. Envie de son corps, envie d’elle et d’être avec elle et… Et sa main se posa contre mon torse, me remettant le vêtement qu’elle m’avait dérobé un peu plus tôt, me demandant de le remettre, avant néanmoins de revenir poser ses lèvres sur les miennes, plus doucement, plus furtivement mais baiser qui suffit à me faire fermer les paupières plusieurs secondes. Je les rouvris ensuite, faisant un petit pas en arrière pour me reculer, sentant mon cœur qui battait à tout rompre dans mon thorax, elle devait le sentir aussi, sûrement, vu l’endroit où sa main était posée. Mes doigts se saisirent alors de mon maillot, effleurant les siens, volontairement peut être, comme si rompre le contact entre nos visages m’obligeait à aller chercher sa peau ailleurs…  Et puis, je fis un nouveau pas en arrière, entrainant mon short de bain sous l’eau, glissant une jambe puis l’autre, avant de faire quelques brasses vers la plage, ayant bien pris soin de garder son maillot à elle en ma possession. C’est une fois hors de l’eau que je faisais volte face vers elle, retrouvant mon petit air taquin : « Bah alors, tu viens le chercher ton maillot de bain ? » Je voulais la voir sortir de l’eau entièrement nue. Bah quoi ? Si je ne pouvais pas l’embrasser, ni la toucher, laissez moi au moins la regarder et régaler mes yeux. Et puis j’ajoutai, reprenant ses propres mots : « Tu dis toujours que t’es pas pudique, prouve le. »

Une certaine phrase, connue, d'un certain Oscar Wilde, dit que : la seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder. Ce soir, c'est bien ce que tu aurais envie de faire; de céder. La tentation est clairement présente, sous tes yeux, répondant au doux prénom de Denys. Comment ne pas vouloir succomber face à lui ? Face à ce physique, à ce regard et cette façon de te chercher et de jouer avec toi ? C'était dur, vraiment dur. Alors tu te laissas emporter au contact de ses lèvres sur les tiennes. Cette fois tu n'allais pas le repousser, à la place, tu scellais encore plus vos lèvres, laissant vos langues se retrouvaient, profitant de ce baiser. Ce contact tu en avais eu envie depuis des jours alors il était plus question d'y mettre un frein. Pourtant, malgré cette folle envie qui s'enflammait en toi, malgré que tu aurais aimé passer tes jambes autour de sa taille et te laisser complètement aller avec lui, tu avais ce foutu défi. Oh ce que tu avais envie de l'envoyer valser, de prendre le risque d'en payer les conséquences rien que pour ce moment charnel avec lui, mais une part de toi ne voulait pas perdre. N'était pas prêt à tout envoyer bouler. A contre coeur, rompant ce baiser tu lui disais qu'il n'aurait pas dû car c'était le moyen parfait pour vous faire déraper si tu n'étais pas raisonnable... ou stupide. L'entendre dire qu'il en avait eut envie, non qu'il en a envie, étira un sourire sur tes lèvres, te pinçant celles ci. S'il savait combien toi aussi tu en mourais d'envie mais que tu te devais d'être raisonnable. Bon sang c'était pas toi d'être raisonnable. Pas toi de penser aux conséquences. Peut être que tu espérais que ça arrêterait de t'attirer à lui d'avoir un peu succomber. Ouais rêve ! Ca serait que pire. Ca te hanterais probablement jusqu'à la fin de votre séjour plutôt. Là, pour le coup, tu trouvas la force -tu ne sais pas où- de lui tendre son bas, le suppliant de le remettre. Tu lui donnas pourtant un autre baiser, plus rapide, plus doux, comme pour t'imprégner de ses lèvres, de son goût. Comme si ça allait être le dernier. Ca serait le dernier, tu ne pouvais pas remettre ça, ça serait trop tentant pour succomber à nouveau. Dieu merci, il ne répliqua rien pour te contredire, ni il replongea sur tes lèvres pour te dissuader. Tu sentis juste son coeur battre sous ta main et ça rendait que plus difficile la tâche... Il s'éloigne finalement pour remettre son short de bain et tu retrouvas ta respiration. Soulagée, mais aussi frustrée. Pourquoi il avait donné ce défi à Ilhan ? Pourquoi il avait posé ses lèvres sur les tiennes ? Pourquoi tu devais te contenter que de ça ? Ta vie était horrible, sisi. Tu ne le quittas pas des yeux, attendant ton maillot en retour, alors qu'il s'éloignait vers le sable, te laissant planter dans l'eau, entièrement nue. Denys, tu oublies quelque ch... Ou pas. C'était absolument calculé, tu le compris bien vite et encore plus avec sa question. Tu fronças tes sourcils mais trop loin, trop sombre, il ne pouvait rien voir. C'est ton rire qui résonna quand il te défia de prouver ton manque de pudeur. Tu perds pas le nord toi. Clairement pas. Mais ne reculant jamais devant un défi, minime soit-il, tu te mis à nager vers le bord de mer, te relevant finalement pour sortir. Passant tes mains dans tes cheveux, les pressant pour en faire écouler l'eau imbibée, tu marchais droit vers lui, complètement nue, un sourire aux lèvres. Si je tombe malade pour la fin des vacs, je t'assure que t'es obligée de rester à mon chevet, à mes petits soins, car ça sera ta faute le taquines-tu en riant puis marchant un peu rapidement pour aller rejoindre la couverture que tu avais hâte de retrouver. T'as assez profité, je peux récupérer mon maillot ? Ouais, il n'allait pas te faire croire qu'il ne c'était pas rincé l'oeil. C'était un homme hein et après votre baiser y avait encore plus de raisons de le faire. Ensemble, vous retourniez auprès de la couverture, toi remettant ton maillot, puis vous posant tranquillement à l'intérieur de la couette, la repliant sur vous, prêt à dormir à la belle étoile, l'un avec l'autre...

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