baby's back (gally)

La force de Sally autant que sa faiblesse, c'était bien que tu pouvais autant l'apprécier que la détester et souvent ça basculait d'une minute à l'autre. La preuve, vous vous étiez quelques pris le bec avant leur voyage, et si ça c'était apaisé tu avais été ravi de la voir il y a pas moins d'une heure et quelques quand elle s'est pointée avec Zoé. Maintenant, elle te gonflait. Tu l'as voulu cette fille, Sally, alors encore heureux que tu as été foutu de te débrouiller. Voilà votre plus gros sujets de discorde qui se repointait, pourtant tu avais comme fini par lui pardonner. Inconsciemment, elle avait même potentiellement provoqué cette grossesse, tant son désir de maternité avait été fort, et qu'elle te reproche le petit choc qu'apprendre tout ça t'avait causé, c'était affreusement bas. Nos désaccords, Sally. Comment est-ce que tu veux que j'envisage quoique ce soit si on ne voit pas les choses de la même manière ?! Tu diras ce que tu veux je suis pas un salop. Je m'excuserai pas d'en assez dans le crâne pour éviter de te vendre du rêve sans en être à la hauteur derrière. Voilà c'était dit. Tu ne voulais pas être avec Sally parce que tu savais que tu la ferais souffrir, plus encore que tu ne l'avais déjà fait mais cette fois tu en serais responsable. Parce que je t'ai forcé la main quand tu me confiais que envisager difficilement de te séparer de Zoé ne serait-ce que pour une nuit ? Je t'ai laissé le temps Sally. Je me suis adaptée à tes besoins, et j'ai entendu tes craintes. Pour Zoé, pour toi, et que pour tout ça se passe au mieux. Tout ça pour rien ? Difficile à dire. Mais tu avais vu juste : il fallait toujours se méfier et au fond de toi tu savais que Sally pourrait aisément te réserver de mauvaises surprises. Cette conversation en est une. Très bien ! Mettons sur papier alors !

(Invité)

Je n'avais jamais regretté Zoé c'est vrai et la seule et unique fois ou j'ai péter les plombs c'est depuis que Gavin était entré dans nos vies, j'avais péter une seule fois les plombs au point de me retrouver à l'hôpital mais il me semblait qu'à côté de ça j'avais su me débrouiller. "-Cette fille- Tu utilise ce mot comme ci Zoé était un morceau de chiffon et oui je l'ai voulu, oui je ne regrette pas même si ce n'est pas ce que toi tu voulais, je ne pourrais jamais regretter d'avoir Zoé dans ma vie." Bien sûr que j'avais voulu un enfant, fille ou garçon mais je n'avais pas prédit que ce serait avec Gavin je n'avais pas non plus prit mes précautions mais quand c'était arrivé et que j'ai su que j'étais enceinte je n'avais pas été désolé une seule fois et oui j'ai été égoïste parce que j'en étais heureuse mais aujourd'hui je ne pourrais pas m'en vouloir à moi même de tout ça parce que Zoé était parfaite à mes yeux et qu'elle remplissait ma vie de bonheur. "On ne voit pas les choses de la même manière mais parce que tu met des barrières entre nous, parce que tu le veut tout ça et tu l'utilise justement comme excuse. Ce n'est jamais ce que je t'ai demander, j'ai voulu essayer, je voulais qu'on essaye d'être une famille mais j'ai été la seule à le vouloir alors reproche le moi si tu veut je peux le supporter." Qu'on est des désaccord ok mais que ce soit une excuse pour lui un peu moins, tout les couples et parents avaient des désaccords et ce n'est pas pour ça qu'il jetait l'éponge, qu'il divorçait ou qu'il n'avait pas d'autres enfants mais pour moi Gavin ce cherchait des excuses, il répétait que j'étais son genre de femme, que j'aurais toujours une place évidente dans sa vie et qu'on était une famille sans compter qu'on avait eu nos moments de faiblesse l'autre jour mais à côté de ça il cherchait tout et n'importe quoi pour qu'on reste loin l'un de l'autre. "Et ce que j'ai dis le contraire?? De toute façon quand je t'écoute je suis toujours celle qui fait les mauvais choix ou qui a le mauvais rôle, encore aujourd'hui je suis revenue plutôt malgré notre dispute pour que tu vois Zoé pour t'annoncer qu'elle dit papa mais là encore tu ne voit pas l'effort tu ne décrit que les tiens." Je ne lui avais jamais mit à l'envers, quand 'ai pensé à quitter le pays avec Zoé je lui en avais parler, je lui avais parlé de mon envie d'amener Zoé avec moi au SB même si je n'y allais pas pour ça parce que Zoé n'avait rien à faire au milieu d'étudiants dans des fêtes délurés, je lui avais donné des nouvelles tout les jours et je lui envoyais des photos de sa fille à la plage et de toutes les activités qui rythmaient notre journée alors qu'il puisse douter et qu'il veuille écrire sur papiers alors que je ne lui ai jamais fait de coup de travers bien que la garde me soit accordés me rendit vraiment folle pour le coup. "Mais qu'est ce que tu attend à la fin?? Je me fou de ce bout de papier, ce n'est pas ce qui définira les sentiments que j'ai pour ma fille et jusqu'à présent on s'en est sorti sans, tu vois ta fille quand tu veut il me semble non."

(Invité)

Ne me fais pas dire ce que je n'ai pas dit ! L'entendre se lancer des fleurs parce qu'elle s'était débrouillée seule t'avait farouchement agacé parce qu'au fond, tout ce qu'elle avait eu à faire c'était assumé ses désirs les plus profonds, même en ayant provoqué le destin sans jamais te le préciser. Ta mâchoire se contractait comme pour te pousser à te retenir de lui répondre. Tu n'avais pas besoin de lui dire que tu aimais ta fille, et que jamais tu regretterais de l'avoir maintenant qu'elle était là. Qu'elle se sente supérieure parce qu'elle avait désirée ce bébé, tu devais passer au dessus. Un père qui fait semblant, c'est pas ce que je veux être, et c'est pas ce que je serai pour ma fille, Sally. La famille que je veux pour notre fille, c'est le respect et la confiance. Crois moi ce n'est pas le fait d'être un couple qui offrira ça à notre fille. Au contraire tu savais que tout cela ne ferait que vous diviser. Tu avais connu l'amour et tu savais que tu ne pouvais pas offrir ça à Sally. Tu ne la rendrais pas heureuse, et tu ne voulais pas être cet homme dans les yeux de ta fille. Ta main passait nerveusement sur ta barbe naissante, et tu te surprenais à te demander si elle le faisait exprès. Tu pensais quand même pas que j'allais te lancer des fleurs et te flatter alors tu me blâmes pour mes choix en me faisant passé pour le parent absent. Tu ne m'as pas forcé la main, mais je l'ai pas fait non plus, même quand il s'agissait de mes droits. A coup sûr la rancune qu'elle te portait ne la rendait pas lucide. Elle n'était pas objectif. Quant à toi tu te sentais pris au piège. Je te pensais plus responsable et plus lucide que ça. En attendant si ce n'est pas trop te demander d'y penser, ce serait bien que tu le fasses. Tu ne t'es même pas posé la question ce qui pourrait en être, et tu vois tout de suite à tort que ça pourrait te desservir, mais crois moi mais c'est le minimum qu'on doit à Zoé. Ce n'était pas faut d'avoir voulu clarifier juridiquement votre situation. La responsabilité financière, le rôle des parrains, les temps de garde, les accords entre vous, le non-rôle des beaux-parents, les volontés de chacun en cas de disparitions de l'autre. Tout ça tu y pensais.

(Invité)

Ce qu'il n'avait pas dit, pourtant c'est lui qui parlait de Zoé comme une fille que j'ai voulu mais là tout de suite je n'avais pas envie de le reprendre, j'en avais en fait marre d'être revenue pour apaiser les tensions, pour qu'il puisse voir sa fille, pour qu'il sache qu'elle dise papa et au final devoir régler des comptes, même en faisant des efforts pour effacer une dispute qui nous avait diviser avant mon départ rien à ces yeux était assez et j'en avais assez. "Oui tu es celui qui souhaite toujours offrir le mieux à notre fille et je suis celle qui gâche tout comme toujours, à force je suis habituer, je suis une horrible mère, désolé de ne pas être celle avec qui tu souhaitais avoir un gosse." J'avais simplement envie de creuser un trou et m'y cacher pour le coup, j'en avais marre de tout ce cirque, de devoir me justifier, de devoir entendre que j'étais responsable de tout ça et je ne revenais pas de vacance pour m'engueuler encore une fois. "Okay très bien je suis le parent irresponsable, je suis la cause de tout ça maintenant stop je viens e revenir ce n'est pas pour ça.." Aujourd'hui je savais exactement que j'étais pas une mère irresponsable et tout ce que j'aurais pu pensé par le passé, aujourd'hui je savais que je donnerais tout pour Zoé et qu'elle n'était pas une petite fille malheureuse au contraire. "Je sais exactement ce qui est bien pour ma fille tu vois et pour le coup je pense que le mieux pour nous c'est que je m'en aille." Je ne savais pas si je devais m'en aller avec notre fille par contre, je n'étais pas le genre à prendre ma fille et me barrer j'attendais juste qu'il me dise si je devais la récupérer ou non.

(Invité)

Au fond tu savais que ces sentiments pour toi, n'avait que tout compliqué. Si il n'y avait pas eu cette période là, tout aurait certainement était différent. En attendant tu étais coûte que coûte celui qui l'avait fait souffrir. Bon sang, Sally ! C'est toujours que blanc ou noir avec toi ! Si je pensais que tu étais une horrible mère je te l'aurais dit, et encore une fois, par dessus tout on serait certainement en pleine procédure judiciaire. Oui, sauf que tu ne pensais nullement qu'elle était une horrible mère. Tu ne devrais pas te contenter d'un homme qui est avec toi, uniquement pour jouer au papa et à la maman. Je suis pas assez enfoiré, pour ça. Tu n'arrivais nullement à lui dire que ce que tu pensais au fond de toi. Mais la vérité, c'est que tu étais persuadé que ces problèmes avec son père l'avait enfouie dans un mal chronique. C'était certain, tu le voyais dans ses agissements, dans son manque de confiance. Toi, tu avais eu une relation avec ta mère, aux antipodes de tout ça, alors oui tu n'avais pas tant de problèmes dans ton rapport aux femmes. Si vraiment je devais te reprocher quelque chose c'est le simple fait d'être le parent qui ne prend pas en compte l'avis de l'autre. Voilà ce que je te reproche. Je suis là sans être là. Tu fais à ta sauce. La Jamaique, le refus du contrat parental.. Cet accord, c'est tout ce dont on a besoin, et je comprends pas ce que tu crains. Ce n'est pas un document que je veux t'imposer, c'est des engagements que je veux qu'on prenne ensemble. Ce n'était pas la mer à boire pourtant ! Bon sang, tu avais cette impression de ramer en permanence avec elle et pourtant tu avais toujours tout fait pour l'arranger. Ne pas jouer avec elle, accepter le fait qu'elle ait besoin de temps avant d'être trop longtemps loin de Zoé, la Jamaique et encore aujourd'hui en te contentant de lui dire. Peut-être que tu finiras par le réaliser, du moins je l'espère. Je vais prendre l'air. Tu n'auras qu'à claquer la porte derrière toi quand elle se sera réveillée. Tu allais finir par perdre tes cheveux avec tout ça, c'était certain. Tu as pris quelques secondes pour aller embrasser ta fille, que tu ne pourras voir que le surlendemain, étant donné que tu étais de garde dès demain matin pour vingt-quatre heures.

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Je le voyais vraiment comme le méchant et je savais qu'il ne l'était pas je n'arrivais juste pas à me faire à l'idée qu'il est la garde partagé et qu'il puisse avoir le droit de refaire sa vie avec une autre, une autre femme qui serait près de ma fille. "Il y a rien de jamais assez bien pour toi non plus, arrête de toujours remettre la faute sur mon dos. Parce que je t'es soit disant fait un enfant dans le dos je suis celle qui est toujours responsable." Je soupirais en le regardant. "Je ne voulais pas être avec toi simplement pour ça." Je le regardais dans les yeux et je n'arrivais pas à lire ces sentiments pour cette fois, d'habitude je savais s'il me détestait ou autre mais là je ne voyais rien que du vide. "Qu'est ce que tu veut qu'on planifie, peut être que je suis partie en Jamaïque mais en t'en parlant avant.. Je te demande toujours ton avis je ne fais pas à ma sauce." Je ne voyais que le bien de Zoé aussi, jamais je ne faisais les choses pour moi mais aussi pour ma fille et jamais je n'avais fait quelque chose sans lui en parler, que ce soit pour les vacances, pour noël, pour son anniversaire je ne faisais jamais sans lui pour le coup. "Je serais très vite partie t'en fait pas, dès quelles sera réveiller." Si moi non plus je ne m'endormais pas en fait, je me pinçais les lèvres en le voyant réagir ainsi.

(Invité)

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