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Coky - et tu comprendras finalement pourquoi les tempêtes sont nommées comme les gens

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D’un moment sulfureux à mes maladresses, il n’y avait qu’un pas. Parce que si l’inquiétude m’envahissait, c’est avec les pincettes façon Cole que j’abordais la question de cette fichue grossesse. Il n’était même plus question de ma réput, de la sienne, de sa vie, ses études, son avenir, il était question de sa santé. Même les toubibs s’accordaient à dire qu’elle était à risque cette grossesse. Un argument en plus dans mon panier, pour faire pencher la balance vers un curetage. Je l’annonçais ainsi, cash, texto, présentant les choses aussi simplement que comme je les voyais : on enlevait le vermicelle, un petit coup d’aspiration, bye bye la grossesse, bonjour la santé. Au pire, j’voulais bien adopter un chien. Je lui trouvais déjà son prénom au clebs même. Mais ma petite amie se vexa aussitôt. Ok, j’aurais peut être du y mettre un peu plus de tact. Mais encore faudrait-il que je connaisse la définition de ce mot. Lucky était formelle : elle avait pris sa décision, personne ne la ferait changer d’avis. « J’ai pas mon mot à dire super… Tu lui diras quoi au môme plus tard ? Que j’étais le donneur de sperme ? » Non parce que ça avait le don de m’agacer, cette façon de ne pas en discuter ensemble, cette manière de balayer tous mes arguments d’emblée. Bon peut être que j’avais un peu dépassé les bornes avec le chien. Mais elle pouvait pas comprendre simplement que je l’aimais plus elle que je n’aimais ce gosse même pas fini qui ne ressemblait à rien, que j’avais pas du tout investi, imaginé, projeté, cet espèce de grain de riz sur l’écran quand on avait été à l’hosto ensemble ? Comment elle pouvait croire que j’allais m’attacher à un grain de riz quand elle me révélait qu’il mettait potentiellement sa vie en danger ? Je soupirai à ses mots, son ordre, son envie de clore le débat… Je me laissais tomber dans le lit, agacé, boudeur. « Ouais c’est ça, bonne nuit… » Difficile de croire que quelques minutes plus tôt, sous cette douche, on se dévorait mutuellement de baisers brûlants… Ambiance ambiance…
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Sayez, c'est moi qu'il venait de mettre en pétard et c'est lui qui s'énervait maintenant. Cole arrive toujours à retourner la situation vers lui et surtout en sa faveur. Je voudrais qu'il arrête de se comporter avec moi comme il le fait avec tous les autres. Je voudrais qu'il arrête de me mettre dans le même sac que tous les autres. Je voudrais qu'il sache faire la différence entre sa petite amie et quelqu'un de pas si important à ses yeux, quelqu'un dont il pourrait facilement se passer. Et j'ai l'impression de vouloir l'impossible en fait. Regardez à quoi il compare notre futur gosse, à un vulgaire petit chien. Et après il se plaint pourquoi on lui fait la tête. Sérieusement, il n'arrête pas de me blesser depuis qu'on se connaît et moi je commence à fatiguer. Pourtant, je ne suis pas obligée de subir tout ça, mais malgré tout ce qu'il fait, je n'arrive pas à rester loin de lui. C'est quel genre d'amour ou j'ai niqué mon estime de moi-même pour pouvoir encore rester à ses côtés ? Ashleigh avait raison, je suis exagérément amoureuse. « Ça changerait quoi que je lui dise ça plutard ? Il ne t'intéresse pas maintenant et il ne t'intéressera pas plutard non plus... » Allô, ce n'est pas lui qui ne voulait pas de ce gosse ? Alors pourquoi aurait-il son mot à dire dans toute cette histoire ? Difficile à suivre le Wildingham ein ? J'haussais les épaules fatiguée de me prendre la tête avec lui alors qu'on aurait pu s'acharner sauvagement sur nos corps s'il n'avait pas tout gâché. Je stoppais finalement court à la discussion histoire de pouvoir m'allonger sur le lit. Fallait que je me calme parce que je n'avais pas envie de faire une crise ici et surtout devant lui. Sinon bonjour sa paranoïa de retour. Demain, il pensera que je n'ai plus que quelque temps à vivre. Monsieur me rejoint d'ailleurs en mode ronchon. Je ne peux pas le voir étant de dos, mais je peux le sentir. Je ferme les yeux quelques instants, je fais le vide, mais au fond ça me tue parce que je n'aime pas me prendre la tête avec lui. Je déteste ça... Je déteste quand il m'oblige à le faire. Je me retourne face à son corps qui a son tour était de dos. Je le regarde quelques instants en me mordant la lèvre accompagnée d'une petite idée soudaine. Puis, je me glisse doucement vers lui pour tendre une jambe et plaquer mon pied sur ses fesses afin de le pousser par un bon petit coup, au sol. Sourire aux lèvres, je m'arme d'un coussin et je m'approche du bord du lit à quatre pattes. « T'as fini de bouder oui ? » Je lui tire la langue en éclatant de rire. Je sais que Cole ne cassera jamais sa tête, fier comme il est, je devais toujours être celle qui essaie de calmer les moeurs. « T'es même pas beau quand tu tires une tête de ronchon ! » Et hop, je rajoute un coup de coussin sur son torse. Bah ouais, je le provoque et aloooors, il peut faire quoi ? Je suis enceinte moi, je suis ultra protégée de toutes attaques.


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Je levai les yeux au ciel à sa réplique. « Tu sais très bien comment ça marche… Ce n’est pas parce qu’on ne s’intéresse pas à quelqu’un que ce quelqu’un ne s’intéresse pas à nous… » Et ça allait être un bordel monstre d’avoir un mioche dont je ne voulais pas, je le savais d’ici. J’avais du mal à le concevoir comme un enfant pour le moment. Il n’était qu’un danger, une petite bombe intra utérine à retardement. Regardez le, c’est qu’un petit tas de cellules en développement et je le détestais déjà pour ce qu’il faisait endurer à sa mère. Je l’avais vue trop mal après sa tentative d’IVG, quand elle avait fait une réaction allergique à la mifégyne, j’avais cru qu’elle allait y passer, et là maintenant, elle pensait me dire que c’était à risque, qu’elle avait tous ces symptômes inquiétants, et que ça allait passer crème. Non, ça m’inquiétait, et forcément, je ne le montrais pas comme il fallait. Je me couchais donc, dos à elle, hôtel des culs tournés bonjour, chacun de notre côté, lâchant un bonne nuit ronchon. Je sentis quelques secondes plus tard les draps bouger à côté de moi, restant obstinément dos tourné, bourdeur… Sauf que ça me valut un coup de pied éjecteur du lit… Je me redressai ensuite en ronchonnant de plus belle : « Mais ça va pas… Si t’es pas contente et que tu veux pas dormir avec moi tu peux toujours retourner dans ta chambre. » Mauvaise humeur était un euphémisme, sauf qu’elle, elle s’en amusait, me tirant la langue avant d’exploser de rire. Ce rire, bordel, irrésistible, qui finit par étirer un sourire sur mes propres lèvres que je mordis pour essayer de garder mon air renfrogné/fâché. Je repris ma place sur mon côté du lit en répliquant un : « Non » à la question de si j’avais fini de bouder, même si je me doutais que mon visage attendri par son rire me trahissait sûrement. Un coup de coussin sur mon torse et une remarque sur ma tête de chonchon me poussèrent à répliquer : « Et toi, t’es trop belle quand tu ris… Ca devrait être interdit. » Fondant sur elle, ma tête s’enfouissant dans son cou, mes mains se perdant sur ses côtes pour la chatouiller, contre attaque plus douce, son état oblige, mais redoutable également. Et alors que mes doigts s’activaient en guillis contre sa peau, mes lèvres, elles, aspiraient la peau de son cou pour y laisser leur trace dans un suçon sonore.
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Je faisais de mon mieux pour qu'il ne sente pas une énorme pression sur les épaules à cause de ce futur gosse. « Cole, j'ai décidé de garder ce gosse alors c'est à moi d'assumer. Je ne t'oblige à rien vraiment. T'as peut-être mis la graine, mais ça ne t'oblige pas à assumer si tu ne le veux pas. Je suis assez grande et assez forte pour assumer ça toute seule. Ton gosse sera en droit de savoir qui est son père et je ne lui parlerais pas en mal de toi peu importe ce qui arrive. » Et si un jour il changeait d'avis, si un jour il se sentait prêt à devenir papa, il saura où trouver son gosse. Je ne suis personne pour les empêcher de se voir et ce, peu importe si ça me plaît ou pas. Moi je veux juste qu'on arrête de se disputer à cause de ce bébé. Il n'est même pas encore arrivé et ça porte malheur. Et voulant détendre l'atmosphère vu que monsieur tirait une tronche à faire peur, j'avais décidé de casser ma tête et de plutôt le provoquer. L'éjecter au sol n'était pas la meilleure idée, mais mon esprit sadique ne pouvait faire autrement. Il se redresse encore plus ronchon, mais dans un semblant puisque je peux enfin voir sur ses lèvres, s'étirer un petit sourire. Bingo ! Comme toujours, je m'en sortais plutôt bien. Je croise les bras sous ma poitrine, fesses sur lit. « Si je ne voulais pas dormir avec toi, je serais partie depuis longtemps BAAAAA-KA ! T'vois, tu m'fais même parler japonais. » Secouant la tête, je ris de nouveau avant de me pousser pour qu'il s'installe sur le lit et qu'il objecte d'un "non" pour déclarer qu'il n'avait pas fini de bouder. « Ton sourire, il a l'air de montrer le contraire. » Mon index se pose sur le coin de sa lèvre histoire d'appuyer mes dires avec un large sourire satisfaite. Cependant, je ne m'attendais pas à ce qu'il complimente mon rire et qu'il fonde littéralement sur moi pour m'envahir de chatouille. Je retombe sur mon dos, lui complètement sur moi et sa tête enfouie dans mon cou. Prise de rires incessantes, je penche la tête en arrière en essayant de me libérer, mais en vain. Et la seule façon pour moi d'y échapper, c'est d'utiliser ma grossesse. Petit vermicelle sauté, je te revaudrais ça. « Aïe aïe, attends... » À peine ma phrase terminée qu'il se redresse en panique. « Monsieur apprenez qu'une femme c'est beaucoup plus maline... Tu te crois malin avec tes chatouilles ein ? Je vais te montrer une catcheuse en action moi ! » Je me redresse en passant derrière lui, mes deux mains sur ses épaules, je ne nous fais tomber sur le lit. Lui, nuque contre ma poitrine. J'entoure son cou de mes bras, sa taille de mes jambes et c'est tout sauf une prise de catch, mais osef. « J'ai été ceinture arc-en ciel petite, tellement j'étais trop forte pour les autres et que les ceintures rouge, blanc, noir n'auraient pas suffi  ! Oui oui. » Nawak, j'aurais été un danger pour les autres si j'avais pris des cours d'art matiaux. « C'est qui la meilleure maintenant ? » Je le maintiens de mes rikiki forces pour l'empêcher de s'échapper. Mes dents allaient agripper son oreille que je mordais non sens utiliser ma langue. « Et en plus, je suis hommenivor !. » Cannibale aurait été plus approprié, mais encore une fois, on s'en fiche.


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Elle me faisait rire avec ces grands discours de je vais assumer. Elle allait assumer quoi, si elle y restait, dans cette grossesse à risque… On était qu’au début de cette grossesse et y’avait déjà des répercussions sur son état, je me rappelais trop bien la peur panique qui m’avait envahi le jour où elle avait fait sa réaction. Alors non, mais impossible de me projeter avec un rejeton dans les bras quand je sais que c’est ce petit machin qui était en train de flinguer sa santé. J’écoutais donc distraitement les tentatives de la demoiselle quant à l’alien dans son bide, me renfrognant de plus belle alors qu’ensuite, dos à elle, je sentis ses pieds froids contre moi, quelques secondes avant de me retrouver par terre, éjecté du lit. Je reprenais ma place en grommelant, incapable néanmoins de contenir un début de sourire devant son rire, son petit air enfantin quand elle me taquinait. Et ça ne lui avait pas échappé, elle sut bien me le faire remarquer de ses doigts contre mes lèvres. Ma main s’empara de la sienne, chassant ses doigts de mon visage, emprisonnant ensuite ses poignets en répliquant : « C’est pour mieux riposter… » Et fondant sur elle, je contrattaquais donc, visage enfoui dans son cou, doigts partant voguer sur son corps, ses côtes, pour la chatouiller, la sentant se débattre en riant sous moi. Quelques secondes de jeux de gamins avant de me reprendre, m’écartant et la libérant en l’entendant se plaindre… Merde, c’est vrai, le toubib avait dit repos et prudence et moi je venais de me jeter sur elle. Lueur inquiète dans les yeux, me reculant, j’interceptai son regard alors qu’elle me lançait malicieusement qu’elle était plus maline que moi, me promettant une démo de catch. Et les gamineries reprirent… « Lucky fais ga… » Trop tard, on tombait tous les deux du lit, par terre, mademoiselle essayant de reproduire je ne sais quel position de judo, karaté, catch ou je ne sais quoi, plaquant surtout sa voluptueuse poitrine dans mon cou, ce qui soit dit en passant n’avait rien de désagréable… Ses bras autour de mon cou, ses jambes autour de ma taille, des bêtises sur une ceinture couleur gaypride plus tard, c’est plus un sourire que j’avais sur les lèvres, j’étais carrément hilare, riant en déclarant : « Ok, ok, je m’avoue vaincu c’est toi la meilleure. » Et quand elle me mordillant l’oreille en se déclarant hommenivore, je riais de plus belle : « Tu sais, je préfèrerais que tu t’occupes d’une autre partie de mon corps… » C’était plus fort que moi… Même en pleine bataille, fallait glisser quelques remarques salaces. Ou alors c’était peut être ses seins contre ma tête qui me donnaient des idées, à moins que ça soit le fait que mini Cole était franchement resté sur sa faim après cette douche caliente…
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Une femme prête à avoir un bébé c'est une femme prête à tout et surtout, prête à se battre pour le voir. Alors il m'a peut-être vu en piteux état et le fait de savoir que cette grossesse était à risque ne le réconfortait pas, mais qu'il ait un peu confiance en moi. Si je dis qu'il ne m'arrivera rien, alors il ne m'arrivera rien. Et puis il y avait des gens autour de moi sur qui compter, alors il devait cesser de craindre le pire, car je ne vais pas mourir. En tout cas, mes occupations pour le moment, c'était de lui faire oublier tout ça et de détendre un peu cette atmosphère un peu tendue. Et ça avait plutôt l'air de marcher, je suis contente de le voir sourire et même de le voir rire aux éclats. Parfois, je peux être conne avec mes bêtises, mais d'un côté, ça fait aussi mon charme, puis le ridicule ne tue pas n'est-ce pas ?. Il s'avoue vaincu enfin et je libère son cou pour lever mes poings fermés en l'air. « En même temps, tu ne pouvais pas tenir face à moi ! » L'espoir fait vivre dit-on. J'aurais même pas tenue quinze secondes face à lui. Déjà avec ma taille de naine et ma force de moustique ouais ouais on y croit. Puis lorsqu'il me fait cette remarque un peu perverse que je compris bien vite, j'éclate de rire en posant mes doigts sur ses tétons et en pinçant un peu fort. « Tu veux parler de cette partie de ton corps ? » Faisant mine ne pas avoir capté de quel partie du corps il parlait, je me glissais sur le côté en laissant son dos heurter le sol, puis je passe au-dessus de lui. Ainsi debout, mes jambes de chaque côté de son corps, emprisonnant sa taille et rappelons que j'étais en peignoir, mes doigts glissent sur le bas de mes cheveux mouillés les faisant voler d'un revers de main en jouant la femme fatale. « Ou bien tu veux parler de cette partie-là.. » Je pose un pied sur son ventre, faisant exprès de dénuder ma jambe du peignoir, ce dernier glisse jusqu'à la moitié de ma cuisse. « Parce que je ne vois pas du tout de quoi tu parles. » Provoque pas Lucky, ou sinon tu vas le trouver. En même temps, c'est ce que je voulais. Jouer la chaudasse pour qu'il se languisse et craque.


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Comme toujours quand on s’engueulait, ça finissait en corps à corps… Devait y avoir un truc quand même, c’était toujours magnétique avec Lucky, on arrivait pas à maintenir une distance de sécurité entre nous, même après une discussion explosive sur cette fichue grossesse. Elle finit par me faire une démo de catch, on se retrouvait par terre et ma mauvaise humeur s’était évaporée, sous l’effet curateur de son rire et de ses pitreries. Je reconnus, aisément, en riant, qu’elle était la meilleure… Et soyons clair qu’alors, en prononçant ces mots, je ne pensais pas à ses talents de catcheuse. C’était à comprendre dans le sens large, bien plus général. Mais je la laissais fanfaronner, riant en l’entendant se vanter de plus belle avant de répliquer un truc salade en sentant sa bouche s’en prendre à mon oreille. Oh, je préférerais amplement qu’elle aille s’occuper d’une autre partie de mon corps cette bouche… Et ses doigts voguèrent alors sur mon torse, pinçant mes tétons en feignant avoir compris que c’était à cette zone que je me référais. « Aïe… C’est pas une attaque réglementaire en catch ça mademoiselle ! » ronchonnai-je alors qu’ensuite elle se redressa, debout au dessus de moi, faisant glisser son pied sur mon ventre, joueuse, dévoilant ses jambes. Mes yeux ne ratèrent rien du spectacle, se régalant, la dévorant littéralement avec une lueur fiévreuse. « Un peu plus bas encore… » répondis-je alors pour la guider vers cette fameuse partie de mon anatomie dont j’aimerais tant qu’elle s’occupe, zone de mon corps d’ailleurs, qui devant son petit manège avait retrouvé sa grande forme et toute son excitation…  
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