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Coky - et tu comprendras finalement pourquoi les tempêtes sont nommées comme les gens

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  J’essayais de ne rien laisser paraître, et si mon ton parvenait à rester calme, mes yeux eux, lançaient déjà des éclairs lorsqu’elle soufflait l’éventualité de finir dans d’autres bras que les miens. Elle l’avait déjà vu, ma réaction, lorsqu’elle m’avait avoué pour Noah et elle, elle savait que malgré toute la maîtrise et tout le contrôle dont je savais faire preuve, je pouvais aussi ne plus être maître de mes nerfs dans certains cas… Mais aujourd’hui, pas de scope pour me trahir. Mon pouls devait surement être accéléré, mais de mon agacement intérieur je ne laissais rien transparaitre, l’écoutant simplement, serrant les poings sur les draps quand elle évoqua son ex, comment il s’était montré insistant pour obtenir un verre avec elle. « Parce que t’es du genre à reproduire deux fois la même erreur ? Retourner avec un ex c’est ça non ? Reproduire une erreur… » Puis elle osait me demander mon avis sur le sens que l’acharnement de ce gars pouvait signifier. « Je sais pas, il s’est passé quoi pendant que vous buviez ce verre, il a essayé de t’approcher ? De t’embrasser ? De te toucher ? » Garder son calme, encore quelques secondes, pour savoir exactement ce qui s’était produit. Sauf qu’ensuite, ce fut au tour de Lucky de perdre complètement son calme. L’aveu de l’ultimatum d’Ayma, les violons et excuses que je sortais pour défendre mon amie d’enfance, ça eut le don d’énerver outre mesure ma petite amie, qui dans son flot de paroles lâcha quelques mots qui me firent réagir : « Comment ça c’est risqué ? » Elle parlait encore de son allergie à la mifégyne et la réaction qu’elle avait faite au moment de l’IVG ou il y avait autre chose qu’elle ne me disait pas ? Je crois que ma question se noya dans le flot des siennes, accusatrices, regard meurtrier. Oui j’aurais surement du garder ma remarque sur le threesome pour moi, car toute envie de plaisanter semblait avoir disparu chez ma copine. « Arrête Lucky, je rigolais… Le prends pas com… » Trop tard, elle se levait, ma main tenta d’emprisonner son poignet pour la retenir mais elle se défit aisément de mon emprise et fila directement vers la salle de bain. Me laissant en plan dans ce lit, avec mon envie d’elle et le sentiment d’avoir été une nouvelle fois le pire petit ami de la planète. Je m’extirpai du lit en soupirant, me levai, jetai un regard vers mon ordi encore allumé et ce communiqué publié par Oksanna, puis mes yeux se portèrent vers la porte de la salle de bain d’où émanaient des bruits de douche. Un, deux, trois… Trois secondes, allez peut être quatre avant que je ne pousse la porte pour me faufiler dans la pièce. Mes prunelles détaillèrent le corps ruisselant de la brune avec envie, avant de me rappeler qu’on était fâchés… « Moi aussi j’ai besoin d’une douche froide. » Pas pour calmer ma colère, mais pour calmer mini Cole frustré après ces baisers et frustré devant cette scène de Lucky complètement nue sous l’eau…  J’ôtai mes habits pour m’avancer jusqu’à la douche : « Tu me fais une petite place ? »
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Bordel, je me délecte de ce spectacle, mon copain affreusement jaloux, essayant de garder son calme alors que je le sentais bouillir au fond de lui. Rien que son regard suffisait à le prouver. « Bien-sure que non, ce n'est pas mon genre. Mais j'essayais juste de comprendre pourquoi il tenait tant à ce verre. » Quoi de mieux que demander à un homme qui savait mieux que quiconque intercepter les signaux d'un autre homme. « Bah il est du genre provocateur, autant dans ses gestes que dans ses petites piques, mais je suis sûre qu'au fond c'est pour ne pas assumer qu'il a envie de renouer avec moi. Pas forcément amoureusement, mais peut-être amicalement... Ou alors, il ne supporte pas le fait d'être ignoré lorsque je le croise. » Et puis pourquoi j'aurais envie de retourner avec un ex alors que je suis déjà amoureuse d'un autre homme ? Parfois, il avait de ses questions. Cole qui a tant confiance en lui, peut-être que se sentir en danger le ferait cogiter. Je crois que si on n’avait pas ouvert le sujet Ayma, je me serais amusée à le provoquer toute la soirée avec mon ex, jusqu'à ce qu'il craque. Mais fallait que cette vielle peau vienne tout gâcher, même en étant pas là quoi. C'est fou comme je commence à ne plus pouvoir la supporter. Moi qui me fichais d'elle il y a encore tout juste un mois. Je n'avais pas le temps de m'amuser avec une fille aussi capricieuse et prétentieuse dans son genre, mais maintenant qu'elle m'avait cherché, elle allait me trouver. Cole ou pas Cole, je m'en fiche, elle allait payer cette salle gosse. Et j'aurais tout le temps de réfléchir à comment descendre cette garce, mais là pour l'heure, j'avais besoin d'une bonne douche pour digérer tout ça. Mon petit-ami me rejoins dans la salle de bain et demande à avoir une petite place. Les yeux fermés, je tourne discrètement le contrôle de température vers le froid uniquement et je me pousse pour lui laisser le passage. « Vas-y. » Avant qu'il s'en aperçoive, je le pousse carrément sous l'eau glacée. « Ça va ? Elle est assez froide pour toi ? » Demandais-je en croisant les bras contre ma poitrine. Je le fixe, il était de dos et mes yeux se lassaient un peu égarés sur ses fesses musclées. Non tu ne craques pas Lucky ! C'est vrai que t'as plus envie de sexe que de Nutella depuis ta grossesse, mais craque pas ! Non non non... Le regarde pas... « Et puis zut ! » Pffff, comment le voir nu et ne pas lui sauter dessus ein ? M'approchant de lui, je laisse mon corps épouser le sien, poitrine contre son dos, mes mains glissent et se plaquent contre son torse. « J'te déteste au point de t'aimer, crétin. » Pas très compréhensible comme phrase, mais osef. Je m'étire sur la pointe des pieds afin de poser mes lèvres contre sa nuque, descendant lentement mes baisers vers son épaule.


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Mon ton se faisait un peu plus sec alors que je la questionnais sur l’utilité d’un bis repéta avec un ex, recycler ses propres déchets c’est écolo certes, mais en amour ? Mon intonation, mon regard, ma bouche qui se crispait, tout cela trahissait le véritable tour de sang qui s’opérait en moi. « Comment il s’appelle déjà cet ex ? » Que je le mette en tête de liste de têtes à abattre. Parce que les paroles de Lucky étaient savamment calculée, de l’huile sur mon feu, pour me faire bouillir de l’intérieur, et pas dans le bon sens… Sauf que de nous deux, c’est elle qui finit par bouillir le plus, cédant à la colère en se levant du lit et en m’abandonnant là, entre colère et frustration sexuelle, tout ça pour quelques mots de trop, quelques malheureuses interprétations d’un sujet que je ne pensais pas si épineux de son côté. Je me relevai à mon tour, et attiré en moins de deux par les bruits de la douche, je filai dans la salle d’eau, le spectacle de ma petite amie sous le jet suffit à me faire retirer mes vêtements, réclamant une petite place. Elle se poussa, me laissant passer, me poussant même et c’est en sentant le liquide qui s’échappait du pommeau, froid, gelé, que je compris la vengeance vicieuse de ma petite amie. « Put…. » Je retins mon juron en entendant sa voix railleuse dans mon dos. Ma main agrippa le robinet pour le faire retourner à une température correcte en ronchonnant : « J’sais pas à quoi tu j… » Sauf que pas le temps de finir de grogner, je sentis son corps qui épousaient le mien, ses mains glissant sur mon torse. Pas de vague de froid cette fois mais bien une de chaleur… Les mots suivants de la brune m’arrachèrent un sourire : « C’est une déclaration d’amour ou de guerre que tu me fais là ? » demandai-je, souriant, sourire qui s’élargit en sentant ses lèvres contre ma nuque, descendre sur mon épaule, contact qui permit au mini Cole de retrouver un peu de sa vigueur malgré la douche froide qu’il venait de prendre…  J’attrapai ses mains toujours sur mon torse, les amenai à mes lèvres, embrassant ses doigts avec tendresse alors en reprenant : « Depuis quand tu te sens menacée par Ayma Lucky ? Depuis quand tu te sens menacée par qui que ce soit ? » Depuis quand Lucky Burberry laissait-elle quelqu’un se mettre sur son chemin ? Relâchant ses mains, faisant volte face vers elle alors, mon regard plongea dans le sien. Mes doigts remontèrent le long de ses courbes, jusqu’à venir caresser son visage avec délicatesse. Mon front se posa sur le sien, et dans un souffle je lâchai, imitant ses mots mais en les détournant un peu : « Je t’aime au point de te détester… »
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Comment s'appelle déjà cet ex ? Je connaissais ce genre de phrase. C'est celle qui veut dire que si je lui donne son prénom, je peux être certain d'entendre une mauvaise nouvelle comme quoi, Loukas serait à l'hôpital tabassé jusqu'à la moelle épinière. Ou je ne sais pas, mais un truc qui signalait rien de bon quoi. « Il s'appelle pas. » Le provoquais-je accompagné d'un petit tirage de langue. Espiègle que je suis, je n'allais pas lui donner l'information aussi facilement, mais le connaissant, je savais qu'il réussira à me faire parler. Tenez, rien que dans cette salle de bain ou nos corps s'épousent avec perfection et où ses lèvres viennent embrasser mes doigts avec tendresse. Je pose ma joue contre son dos, fermant les yeux et savourant cet instant. L'écoutant parler, il essayait de me rassurer sur Ayma. Sur le fait que je n'ai pas à me sentir menacée ni par elle, ni par quelqu'un d'autre. Je le sais ça, mais dernièrement, je ne sais pas, je doute de tout et même de moi. « Depuis les derniers événements... Depuis que j'ai pris conscience qu'on ne nous laissera pas tranquille tant que nous ne serons pas séparés... Depuis qu'Ayma m'a avoué qu'elle était la future Wildingham et belle-mère de mon gosse... Depuis que je n'arrive plus à réfléchir correctement... Depuis que... » Il se retourne pour poser son front contre le mien, me stoppant ainsi parce qu'il avait dû sentir à quel point je suis mal. À quel point j'en souffre de tout ça, à quel point je doute même de moi. J'ai peur. Je n'arrête pas de me poser des questions sur ce que sera le prochain plan pour nous séparer et si mon copain allait encore marcher et magouiller contre sa propre copine. J'ai peur de lui, de n'être effectivement pas assez bien pour lui, pour n'être que de passage dans sa vie. Qu'il va épouser réellement Ayma, qu'il ne m'aimait pas. On ne pourrait pas faire mieux pour me briser complètement, ça je l'avoue. Puis alors que je ne m'y attendais pas du tout... Ces mots sortaient de sa bouche, ces fameux mots magiques que j'attendais depuis toujours. Mon cœur cogna ma poitrine, mes yeux s'ouvraient grand malgré l'eau qui coulait sur nous. J'eusse un petit geste instinctive de reculer pour plonger mon regard dans le sien tellement la surprise était grande. Je ne retiens pas le reste de sa phrase, juste le "Je t'aime" que je me repasse en boucle ne pouvant sortir un mot après cette déclaration. Mais parle, dis quelque chose, ne reste pas planté là ! Pauvre de moi, c'est ce que j'ai toujours voulu entendre et je suis incapable de dire un mot de plus. Alors, je devrais me pincer pour voir si je ne rêvais pas. Oui voilà et au lieu de me pincer, je pose mes doigts sur le bras de Cole que je pince assez fort avant de me rendre compte que je venais de me tromper de cible. « Oh pardon... J'voulais pas... C'est moi... » Ta gueule Lucky ! Je me rattrape en me pinçant la joue suffisamment fort pour ressentir la douleur et me rendre compte que... « Je ne rêve pas... » JE NE RÊVE PAS PUTAIN ! Il venait enfin d'avouer qu'il m'aimait et il ne le dit jamais comme ça, sans le penser, sans être sûre de lui. J'étais mieux placée pour savoir ce qu'il pensait de ces mots magiques. J'ai galéré pour les entendre, mais ils sont enfin là. Je ne pouvais rêver mieux comme moment. Moment que j'allais peut-être rêver ce soir encore et encore et puis demain et les autres jours. J'étais excitée comme une puce et regardez mon sourire. « Tu en as mis du temps... » Que je balance enfin, vaut mieux tard que jamais non ? Je pose mes mains sur ses joues, sourire qui ne me quitte plus. Je le regarde quelques instants, me noyant dans ses prunelles, battant des cils à cause de l'eau. « C'est toi et moi... » Contre le reste du monde. Mes lèvres se posent amoureusement sur les siennes, un baiser remplis de tendresse. Un baiser mouillé, aussi bien au contact de nos langues à l'intérieur qu'à l'extérieur au contact de l'eau. Je grimpe sur lui me sentant presque munis d'ailes. On dit que l'amour donne des ailes, why not ? Mes jambes se croisent contre ses fesses musclées, mes lèvres s'activent un peu plus fougeusement, tandis qu'une main glisse contre sa nuque pour agripper son cuir chevelure.


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 Non mais elle était sérieuse là ? Tirage de langue et silence sur le nom de ce type que je voulais étriper ? Elle voulait clairement que je sorte de mes gonds ? Mais pas le temps de me fâcher, de me vexer, car c’est elle qui le fit avec le sujet Ayma. Si elle était douée pour appuyer où ça faisait mal, moi aussi apparemment, et sans même le vouloir… J’avais même pas cherché à l’énerver en fait, je le prenais vraiment à la légère ce sujet et j’étais pris de cours soudain en la voyant prendre le large et me laisser en plan à cause de ça, réalisant combien finalement cela pouvait l’atteindre. Je finis par la rejoindre rapidement dans la salle de bain, sous cette douche, et si d’abord c’est un accueil glacé, métaphoriquement et littéralement qu’elle me réserva, l’ambiance se réchauffa rapidement, déjà parce que je me dépêchais d’inverser le sens du robinet et de deux, parce que son corps épousa vite le mien, et ses lèvres ma peau… Et ses mots… Y’avait quelque chose d’incompréhensible dans sa déclaration… Moi j’embrassais ses doigts en la questionnant sur le pourquoi d’une telle crise, depuis quand elle avait peur comme ça ?  Je réalisais un peu, moi l’éternel détaché que rien n’atteint, combien les autres pouvaient parfois être toxiques, parce que là on était en plein dedans non ? Elle venait de menacer de me quitter ? De se tourner vers d’autres ? Tout ça à cause de toute cette agitation injustifiée autour de nous non ? On avait tout fait pour être dans les règles, enfin j’avais magouillé pour qu’on y soit, faisant ainsi partir la brune de la MH, et pourtant… Et me doutant que ce n’était pas trois bisous sur le bout de ses doigts qui suffirait à la calmer, je me retournai vers elle, mon front contre le sien, lui soufflant cette déclaration qui imitait la sienne, inversant volontairement quelques mots. Petit recul de la demoiselle et lueur surprise dans ses yeux, je réalisais à ce moment là le poids de mes mots, le sens surtout des trois premiers, ceux là même que je m’étais refusé à lui dire quand elle, elle les clamait avec facilité depuis notre mise en couple officieuse du 2 janvier. Résultat immédiat elle… me pinçait ? « Aïe, bon là ça penche plus vers le détester que le aimer… » grimaçai-je en pouffant à moitié devant sa réaction et en me massant un instant le bras avant de la voir s’attaquer à ses propres joues, les pinçant pour vérifier la véracité de ce moment. « Non non, tu rêves pas, vas-y ne me pince plus sinon je ne le répéterais plus jamais. » m’empressai-je de lui assurer en me reculant un peu pour échapper à ses doigts alors qu’elle finit par me souffler le temps mis pour les lâcher, ces fameux mots, se rapprochant finalement, ses mains sur mes joues ses yeux dans les miens, l’eau ruisselant sur nous. « Toi et moi… » répétai-je contre ses lèvres avant que l’ambiance ne se réchauffe un peu plus avec nos bouches qui se réunirent, ses jambes qui s’enroulaient autour de moi, et nos langues qui se mirent à danser un balai endiablé. La plaquant contre la faïence de la douche alors, mes lèvres délaissèrent quelques secondes les siennes, reprenant mon souffle pour commenter : « J'aime mieux cet effet là en fait... » Déposant des baisers tout le long de son cou, venant mordiller son lobe d’oreille, c’est au creux de cette dernière que je répétai alors dans un souffle : « Je t’aime, je t’aime, je t’aime… » Cette fois sans blabla autour…
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Quelle idiote je fais à le pincer lui après une aussi belle déclaration. Honnêtement, comme réaction, j'aurais pu faire mieux, mais voilà, j'étais tellement surprise que je ne savais plus ce que je faisais ou ce que je devais faire. Il me rend dingue et malheureusement, je le suis devenue. Il recule pensant que j'allais encore le pincer, m'affirmant que si jamais je recommençais, il ne me répétera plus ces mots et même si je voulais les entendre encore et encore, cette unique fois me suffirait. Cette unique fois restera surtout gravée dans ma tête. Ce jour là également, cette nuit, cette ville, cette salle de bain. Absolument tout. Finalement, je garderais un plus beau souvenir de ce spring break. Le premier "je t'aime" de mon copain. Et je sais qu'il ne le disait pas parce que j'avais envie de les entendre. Je n'arrivais toujours pas à y croire, alors oui je ne rêvais peut-être pas, mais cet instant était magique parce que j'avais abandonné l'idée de les entendre un jour peut-être. Là, il me surprenait carrément. Et voulant lui prouver à quel point j'étais heureuse, mes lèvres épousent avec perfection les siennes, grimpant même sur lui tandis qu'il vint à me plaquer contre la faïence de la douche. Rajoutant qu'il aimait mieux cet effet-là. Oui, c'était lui et moi contre le reste du monde. C'était nous. Il glisse ses lèvres dans mon cou alors que je redresse légèrement la tête pour fermer les yeux et me mordre la lèvre inférieure tant j'aimais sa façon de m'embrasser à cet endroit. Il me glisse à l'oreille un je t'aime à nouveau et trois fois de suite. Bordel ! Je vire au rouge, pas de colère, mais celui où mes joues rougissent totalement, ou je sentirais presqu'une vapeur s'échapper de mes oreilles, ou je me sentais totalement fondre comme une bougie. « Encore... » Soufflais-je haletante, comme si je venais de courir un marathon. « Encore... » Répétais-je en agrippant ses épaules à l'aide de mes doigts. Une invitation à me prendre là toute suite, à me faire l'amour comme jamais. Bébé ou pas bébé, je m'en fiche, je veux qu'il me fasse l'amour ou sinon j'allais finir par le violer sur place. D'ailleurs, je glisse le long de la faïence, coupe l'eau, puis agrippant ses lèvres et le poussant avec une hâte à sortir de cette salle de bain. Je quitte tantôt ses lèvres pour reprendre mon souffle et je les ré-embrasse de nouveau. Une fois devant le lit, je le pousse sauvagement avec une telle force que Cole rebondit presque. « Arrête-moi si tu peux ! » Sourire coquin, je grimpe sur lui en glissant mes doigts dans les siens et les serrant très fort. Mon bassin s'amuse à titiller le sien, à frotter, à chercher son érection et à le réveiller bien plus qu'il ne l'est déjà. Mes lèvres se posent sur son front, descendant lentement le long de son nez pour terminer leur course sur ses lèvres que je mordille dans un premier temps en faisant semblant de vouloir l'embrasser, sauf que lorsqu'il tend ses lèvres, je recule doucement la tête histoire de mettre sa patience à rude épreuve. « Fais-moi l'amour Cole ! » Ordonnais-je dans un souffle coupé contre ses délicieuses lèvres.


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Ambiance sulfureuse à souhait, passant des étincelles de la colère aux flammes du désir. Elle n’avait pas besoin de demander, j’allais embrasser, dévorer, caresser chaque parcelle de sa peau. J’avais envie d’elle, plus que jamais après ces tensions, après cette douche, après ce petit manège aguicheur de la jeune femme sauf que… Dans un éclair de lucidité, ses paroles me revinrent… Son visage se crispa, moue désolée, et elle me demandait de reporter la discussion, ce qui ne me disait rien qui vaille. Je restais muet, mais mon visage sérieux que je secouais de gauche à droit en guise de non était parlant : je voulais savoir ce qui se passait. Plus de sourire sur ses lèvres, elle se cacha derrière son bras pour me lâcher cette vérité. « A risque ? Comment ça à risque ? » Extincteur immédiat. Effet douche froide sur la passion qui m’habitait quelques secondes plus tôt. Bon déjà, le sujet grossesse, bébé et couche culotte avait un effet assez radical sur ma libido, mais là en plus de savoir que ce fichu vermicelle faisait encore des siennes, ça avait le don de me calmer direct. Je me laissais glisser sur le côté, assis à côté d’elle, attendant la suite, attendant des explications qui ne tardèrent pas. HTA, avec tous les symptômes habituels, et si je voulais en savoir plus je pouvais toujours taper pré-éclampsie et grossesse sur google, j’aurais un petit aperçu des ravages de cette pathologie gravidique sur la femme enceinte quand elle avait le malheur d’en être la victime. « Hey, pleure pas Lucky… C’est grave à ce point ? » soufflai-je alors, en voyant ses larmes, passant doucement mon bras autour de son épaule alors qu’elle me répondait en affirmant que la grossesse était à la fois à risque pour le môme, dont soit dit en passant je me foutais fichtrement, et pour elle… « Attends attends… On en a rien à battre de ton gynéco, là on est encore dans les termes légal d’une IVG. Alors oui ok, le cachet a pas marché l’autre fois, mais cette fois tu vas faire un curetage. On vire le vermicelle et hop histoire réglé. Plus de risque pour toi. » Non mais déjà qu’avant je n’en voulais pas, mais alors là le petit truc il venait de passer du statut de vermicelle à bombe à retardement. J’en voulais encore moins. Et, pensant bien faire, j’ajoutai même, pour la consoler : « Au pire, c’est pas grave, on achètera un chien si tu veux… » j’aurais peut être du m’en tenir à ça. Sauf que l’idée d’adopter un toutou en fait, ça l’emballait. Alors je renchéris : « Une chienne tiens… On l’appellera Agathe, je trouve ce prénom adapté aux clébards. »

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Cole avait le chic pour tout gâcher alors que nous passions finalement une fin de soirée assez sulfureuse, assez riche en émotion. Franchement qui pourrait vouloir couper un moment aussi ardent pour parler de choses fâcheuses ? Nous étions sur le point de faire l'amour les gars. Et monsieur avait mal choisi son moment pour parler des risques de ma grossesse. Mais bon, puisqu'il insistait pour que je lui annonce cette mauvaise nouvelle, je me lançais assez douloureusement. J'aurais préféré ne pas avoir à la raconter de cette façon. J'aurais préféré ne pas m'être prise d'affection pour ce futur gosse, mais maintenant c'était trop tard parce que je pourrais haïr de toutes mes forces ceux qui m'obligeront à le faire descendre. Je le voulais et cette décision était décisive. C'est pourquoi lorsque je l'entendais me parler de curetage, je ne pouvais m'empêcher de serrer le rideau un peu plus fort tandis que mes dents agrippaient nerveusement ma lèvre inférieure. « Un curetage ? C'est si facile pour toi de dire ça... » Allez on se fiche de ce que tu portes Lucky, on va simplement le tuer et puis basta, rien à foutre. Il propose même une chienne à la place. Je lui ôte son bras de mon épaule et je me dirige vers le lit où je m'allonge. « J'ai déjà pris ma décision Cole. Ni toi, ni personne d'autre ne me fera changer d'avis. » C'est comme ça malheureusement. Je suis têtue et il connaissait très bien ce côté-là de ma personnalité. « Si on pouvait arrêter de parler de tout ça maintenant. Premièrement, ce n'était pas le moment et deuxièment, il se fait tard. Viens t'coucher et arrête de t'inquiéter. J'suis quand même assez forte pour supporter tout ça. » Après toutes les couleurs qu'il me faisait voir lui, je suis encore là et debout la tête haute, alors je peux supporter une grossesse à risque. Je ne suis ni la première et ni la dernière qui passe dans tous ces problèmes, il y a pire.


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