Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityCoky - et tu comprendras finalement pourquoi les tempêtes sont nommées comme les gens
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Coky - et tu comprendras finalement pourquoi les tempêtes sont nommées comme les gens

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 Si au départ j’avais fanfaronné comme un paon, tout fier de ma parade, de la sortie de Lucky de la MH, pensant que cela suffirait à berner mes camarades, plutôt satisfait également de la façon dont je m’en étais sorti avec cette hystérique d’Agathe, sans la culotte de qui je n’aurais pas reconquis l’amitié d’Abé, c’était désormais une toute autre histoire. Pauvre de mon téléphone volé, c’était pas mail qu’il me fallait donc communiquer avec le monde, handicapant je vous l’accorde. Mais je ne voulais pas d’un autre téléphone, celui là, celui que cette garce de Léo m’avait volé, c’était celui qu’Abé m’avait offert. Valeur sentimentale oblige, je devais le récupérer. Mais en ce moment, et grâce à Jona, l’objet était devenu un précieux atout pour moi. Piraté, en mode micro, il enregistrait des petites brides de vie de la blonde et j’allais avoir bientôt acquis assez d’infos pour bien la faire chanter. Ha oui, notez bien : ne jamais s’attaquer à Cole Smythe Wildingham. Bref, même le vol de mon propre portable, j’avais l’impression d’avoir finalement retourné ça à mon avantage. Je me sentais le maître du jeu, des règles, au dessus de tous et de tout… Jusqu’à ce mail. Je me figeai en voyant qu’Oksanna était l’expéditrice. Oksanna, ma demi sœur mais aussi la présidente. Les mots défilaient sous mes yeux et mon sang ne fit qu’un tour. « Putain de bordel de… » Pour que j’en sois injurieux, c’était qu’il y avait dans ce message de quoi fortement me déplaire. J’attrapai le fixe de l’hôtel, composai le numéro de Miss Petrova et tombai sur sa messagerie. Hurlant presque, je perdis mon calme : « Alors on ne répond pas à son cher frère ? C’est comme ça que ça va se passer entre nous désormais ? Une petite pétasse se plaint pour un morceau de dentelle et toi tu marches dans son jeu ? Oksanna, je te préviens ça va se payer… ET puis tu sais quoi, je m’en fous. Ca va me faire des vacances. J’en avais marre d’être ton larbin, parce que clairement c’est moi qui faisait tout dans cette baraque. Je te donne pas deux semaines à tenir sans moi. Tu vas me SUPPLIER de reprendre mon poste, je… » Votre message a atteint la durée maximale. Si vous voulez le modifier, tappez un. Si vous voul… Je raccrochais ce fichu fixe énervé, agacé, hors de moi, ne réalisant qu’à ce moment là que j’avais largement haussé le ton alors que ma petite amie était en train de dormir dans mon lit juste à côté. « Excuse moi, je t’ai réveillée ? » demandai-je, soudain plus doux en voyant les draps bouger…

@Lucky E. Burberry
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Un soupir qui se répétait depuis le début de la journée, autant entre mes lèvres pulpeuses et rosie naturellement que dans ma tête. Je me demandais en fait, quand j'allais pouvoir profiter pleinement de ce spring break parce que depuis notre arrivée, on ne peut pas dire que je passais de belles vacances. Ou que nous passions de belles vacances mon petit-ami et moi. Remarquez, tout ça est de sa faute. S'il arrêtait ses magouilles le temps de profiter un peu, nous en serions pas là. S'il oubliait un peu cette guerre mather/eliot, qui je dois avouer, prenait une trop grande place dans sa vie, il aurait pu éviter tout ce cirque. Si surtout il prenait conscience qu'il était en train de blesser des gens autour de lui et principalement celle qui a pris pour son gain sans broncher et malgré tout est encore à ses côtés portant le fruit de son amour pour lui, il aurait une vie beaucoup plus paisible. Mais avec des si, on refait le monde paraît. Cole, je me demandais quand il ouvrirait les yeux. Peut-être jamais en fait et je ne suis pas certaine de pouvoir arriver à les lui ouvrir. Je crois même que ce sont les miennes que j'étais en train d'ouvrir petit à petit. Yeux que j'avais fermé par amour pour lui. Mais yeux que j'ouvrais par amour pour mon futur gosse. Néanmoins, je suis encore là parce que s'il y a un tout petit espoir, je veux pouvoir le saisir. Et s'il faut que je commence à sévir, je le ferais également. Enfin, c'est en dormant paisiblement près de lui que je fus retirée brutalement des bras de Morphée. La voix de mon petit-ami résonnait dans toute la pièce m'obligeant à écarquiller des yeux, restant néanmoins immobile jusqu'à ce qu'il termine de parler. Heureusement que je ne suis pas cardiaque me direz-vous. Finalement, lorsqu'il raccrocha, je me retournais face à lui. « Non non, je viens de passer à côté d'une crise cardiaque, mais sinon ça va. » Dis-je en riant et me redressant histoire de calmer les moeurs et de détendre un peu l'atmosphère. « Qu'est-ce qui se passe  ?. » Je n'ai pas tout suivie. Mais en tout cas, il se prenait le choux avec sa sœur. « Qui a osé t'énerver que j'aille lui donner une fessée !. » Lucky ou comment s'adonner au même jeu que lui. Vous savez, il suffit de servir une ribambelle de belles paroles et le tour est joué. Non mais ouai, vaut mieux le détendre ou sinon, c'est sur moi qu'il se défoulera. Je suis la plus proche et a porté de main pour passer ses nerfs.


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 Le mail d’Oksanna, ce communiqué, ça m’avait mis dans une rage folle. Découvrant ainsi les –punitions- qu’elle m’imposait, je descendais d’un coup de mon petit nuage. Fini le maitre du jeu, je venais de bien me casser la gueule. Je réalisais avec une fureur incontrôlable que je n’étais pas le roi du pétrole à la Eliot. Y’avait Oksanna au dessus de moi, et malgré notre lien privilégié miss Petrova n’allait pas me faire de cadeau. Je ne me mettais pas du tout à sa place, je n’imaginais pas les pressions qu’elle subissait, des autres présidents des confréries, le poids de ces pétitions qui circulaient contre moi, ou encore la trouille qu’elle devait avoir que ça arrive plus haut, que j’ai des ennuis plus sérieux. Non, à aucun moment je n’envisageais que ma demi sœur puisse s’inquiéter pour moi, que ses mesures qu’elle prenait étaient peut être à visée protectrice. Alors, je décrochai mon téléphone fixe, et aboyai sur la messagerie de la jeune femme. Je ne réalisais les décibels émis qu’en voyant les draps bougés et le visage de ma petite amie se tournait vers moi. « Je suis… un peu agacé, excuse moi. » Un peu agacé, doux euphémisme. J’étais DEJA en train de cogiter à un moyen pour la faire tomber. Lucky m’arrachait à mes pensées songeuses en me questionnant sur l’origine de mon énervement, glissant avec humour une remarque sur le sort qu’elle réservait à cette personne. Pas une trace de rictus amusé sur mon visage. Imperméable à toute forme d’humour pour l’heure, je répondis avec un air grave : « C’est pas une fessée qu’il lui faut, c’est la raclée de sa vie. Elle va payer… Ils sont tous me le payer. » Tous ceux qui avaient apposés leur putains de signatures sur ces fichues pétitions. Ha oui, et bien sûr, la cerise sur le gâteau serait pour cette chère eliot en carton d’Agathe. J’allais lui faire bouffer sa dentelle bleue moi ! Je repris la parole pour que Lucky soit au courant : « Elle vient de m’imposer une mise à pied. Je ne suis plus VP. Elle va même pas tenir deux jours sans moi tu verras. C’est moi qui faisais pratiquement tout en plus… Tout ça à cause des accusations de ma pétasse de bizut. » Je rageais. « Et tu vas être contente, je suis également interdit de bizutage jusqu’à nouvel ordre. Elle doit savoir que j’aurais dressé une armée de bizuts contre elle sinon. » Soupir las. « Et puis l’event eliot aussi, j’en suis privé… » Mais sérieusement elle se prenait pour qui là ? Enfin, retrouvant un peu le contrôle de mes nerfs et de mon esprit, je décidais de profiter de ce revirement de situation néfaste pour moi pour me victimiser un peu. Allant me laisser tomber dans le lit près de Lucky, j’annonçai : « Je commence vraiment à penser que l’adage –pour vivre heureux, vivons caché est vrai… » Nostalgique de la période –secret- ? Oui peut être un peu… Ou alors, c’était calculé, pour arriver précisément à la conclusion suivante : « Lucky Burberry, accepterais-tu qu’on se sépare faussement publiquement ? » Ok, prendre la formulation un peu cérémonieuse d’une demande en mariage c’était surement too much. Je tournai mon visage vers elle, mes doigts venant caresser doucement son bras, remontant de son poignet vers son épaule en expliquant : « Réfléchis y : on était tranquille à l’époque. Alors on reprend la comédie, on simule une grosse dispute, on se sépare en public, devant tout le monde, et je retrouve ainsi ma place de Vp. Et on nous fichera la paix ensuite… »

HJ : j'ai changé le gif t'as vu, un peu moins fâché (a)
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Apparemment ma blague servant à le calmer et détendre l'atmosphère n'était pas bien passée. Au contraire, il gardait un ton plutôt grave ce qui était pour me déplaire fortement vu la façon dont il venait de me réveiller. Il semblait vraiment en colère et moi, je préférais plutôt opter pour de l'humour. En me risquant à lui demander ce qui se passait, j'étais loin de me douter qu'on venait de le descendre au plus bas. Je n'étais plus mather par sa faute et donc je ne pouvais plus savoir ce qui se passait vraiment. Mais la surprise fut lorsqu'il expliqua le pourquoi du comment de son état actuel. Je peine à retenir tout ce qu'il racontait, ils allaient tous le payer, une mise à pied, plus de Vice-Président, plus de bizutage, plus d'event... Olalala, il n'allait pas survivre à ça. Cole allait devenir encore plus dangereux dans le sens où sa vengeance sera terrible. Est-ce que c'est le moment où j'invente quelque chose à faire pour déguerpir d'ici avant de manger toute sa colère  ? Ou bien je tente une nouvelle fois de le calmer  ? « Honnêtement Cole  ? Tu vaux mieux qu'être Vice-Président d'une confrérie de coincés trop peu intelligents pour ton niveau. Ils ne connaissent pas ta valeur. » Lucky bouche sucrée, prise deux, action  ! « Tu devrais les envoyer tous paître sérieux  ! T'as rien à prouver, pas d'ordre à recevoir, tu fais ce que tu veux. » C'est comme ça que t'as réussi à me manipuler après tout non  ? Mais bon, à partir de maintenant, t'as en face une nouvelle Lucky. D'ailleurs, il essayait encore de me manipuler en m'imposant un nouveau plan qui comme toujours, lui permettra de s'en sortir lui, mais moi, d'en souffrir. Il sort de nouveau les violons, ou les gestes violonistes plutôt, ce qui a eu pour don de m'énerver à mon tour. Mais au lieu d'hausser la voix, je retire doucement ses doigts de mon bras avant de me redresser du lit. « Ou bien je te propose mieux. On se sépare tout de suite pour de vrai, comme ça tu n'as pas à mentir, tu récupères ton poste de vice-président, tu récupères ta réputation à la Eliot ainsi que tes potes et moi, ben, tu m'oublies  ! » Le tous, avec un sourire. J'attendais juste le moment où je verrais qu'il n'était pas sincère et que ce n'était pas le type au tel qui s'excusait -comme toujours avant de faire une nouvelle gaffe- et je crois qu'il vient de tomber pile dedans. Il ne pense qu'à lui, ne se dit pas que dans tout ça, j'allais me faire laminer par son entourage et que je ne pourrais rien dire parce que monsieur voulait qu'on garde ça secret. S'il voulait descendre notre histoire si bas et bien tant pis, je ne me montrerais plus autant investie qu'avant. À croire qu'il a peur de son entourage et qu'il se cache derrière de la manipulation pour ne pas les "offusquer". Je n'ai pas encore oublié les sms d'Ayma, son plan pour me faire quitter les miens, son pari avec son meilleur ami et si je suivais à nouveau ses magouilles, j'allais m'en prendre plein la gueule. « En gros, je ne marche plus dans tes magouilles. Je suis enceinte, si ça ne compte pas pour toi, pour moi ça compte et j'suis désolé, mais il passera avant tout désormais. » Je me passe évidemment de lui dire que je risque gros à le garder, qu'il devrait me laisser en dehors de tout ça, que ma santé est plus faible que je ne laisse paraître. Je le veux ce bébé avec ou sans lui et peu importe si ça me coûte la vie.


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Hj: mdrrrrrrrr là c'est Lucky qu'il a énervé Coky -  et tu comprendras finalement pourquoi les tempêtes sont nommées comme les gens 166564858
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 Raconter mes –punitions- fit s’assombrir un peu plus mon visage. Je m’étais tellement persuadé d’être intouchable, au dessus de tout cela que la descente était encore plus raide pour moi. Pourtant, mon interlocutrice y mettait du sien. En effet, Lucky, ayant déjà pratiqué plus d’une fois le Wildingham énervé, me connaissait bien. Elle savait me brosser dans le sens du poil pour apaiser ma rancœur, blâmant ceux qui m’avaient évincé, insistant sur le fait qu’ils ne me méritaient pas en tant que VP, qu’ils ne connaissaient pas ma valeur… J’hochais la tête, pour approuver. Les envoyer tous paître ? « C’est ce que je vais faire… J’en ai rien à faire, ça va me faire des vacances, et après mon mois de mise à pied, c’est eux qui vont ramper pour que je revienne. » Et déjà le scénario se dessinait dans ma tête, alimenté par les paroles de ma petite amie. Tous les Eliots, Oksanna en tête, s’excusant, me suppliant de reprendre mon poste, et moi leur lançant des regards dédaigneux, leur répliquant que je ne savais pas, que j’allais y réfléchir… D’un coup, grâce à ses mots, je n’étais plus un gosse qu’on punissait mais un évincé injustement qui allait fait la preuve de sa valeur au cours de son absence. Oh oui, j’allais tellement leur manquer qu’ils allaient pleurer pour que je revienne. Ces pensées étirèrent un presque sourire sur mon visage alors que je venais me laisser tomber près d’elle sur le lit, profitant néanmoins de cette situation pour en tirer profit façon Cole. Mes doigts courant sur sa peau, j’en rajoutais des caisses en prenant un air complètement préoccupé, avant de lancer ce nouveau plan. Une rupture publique, tranchante, sanglante, histoire que l’on nous fiche la paix une fois pour toute. Et histoire d’alimenter la promesse faite un peu plus tôt à Ayma. Gagnant sur tous les plans, l’objectif de tout Wildingham qui se respecte. Sauf que… Relation secrète, relation parfaite. Relation publique, relation détruite. Fallait croire que ce précepte était vrai également, vu la réaction de la demoiselle. Elle retira sèchement mes doigts, se redressa, et si elle gardait son calme et son sourire, je sentis bien dans ses propos que mon petit sketch du plus malheureux avait échoué. C’était qu’elle commençait à trop bien me connaître. Et avec un détachement affiché, elle proposait son option à elle : une séparation immédiate et réelle, me permettant de retrouver mon poste sur le champ, ma réputation, mes potes, et de l’oublier elle… Un petit sourire étira mes lèvres devant le sien, je comprenais que j’avais surement blessé la demoiselle, même si elle s’appliquait à ne pas le laisser paraître. « Très bon plan Lucky. » approuvai-je donc en imitant son sourire, avant de me redresser à mon tour pour me rapprocher d’elle et lui soufflai à l’oreille : « Le seul hic c’est que que… je n’en ai absolument pas envie. » Mes lèvres se posèrent alors doucement sur son omoplate, dans le haut de son dos, avant de reprendre : « Parce que toi, c’est ce que tu veux ? » Mes lèvres se posèrent alors son épaule, glissant ensuite dans le creux de son cou, parsemant sa peau de baisers, en poursuivant dans un murmure : « Ca ne te manquerait pas tout ça ? Parce que tu n’as qu’un mot à dire et j’arrête… » Dis le donc que tu me largues, que tu me jettes, que tu ne veux plus de ça, de mes lèvres sur ta peau… Ma main saisit son menton avec douceur pour lui faire tourner délicatement le visage vers moi et c’est sur sa bouche que ma course de baisers se termina.  
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« C’est ce que je vais faire… J’en ai rien à faire, ça va me faire des vacances, et après mon mois de mise à pied, c’est eux qui vont ramper pour que je revienne. » bah voilà, il n'avait pas à être en pétard parce qu'une nana avait fait un caca nerveux pour une culotte alors qu'il y a eu bien pire comme histoire de bizutage. C'est à croire que la nana elle n'avait pas confiance en elle. Ça va, si elle savait qui elle était, elle aurait pu simplement le laisser dire ce qu'il voulait. Pas besoin d'en arriver à faire un scandale pour une pauvre petite culotte et quelques mensonges sur sa personne. Ayma, elle mytho sur mon compte et pourtant, je la laisse jacasser ce qu'elle veut du moment que je sais qui je suis. On traite les mathers de putes et j'en passe, pas pour autant que nous en faisons tout un drame. Mais bon, si elle voulait jouer la pauvre victime qu'on a presque violée, c'est son droit après tout. Tout le monde n'est pas aussi coincée qu'une eliot. « Et tu devrais profiter de cette mise à pied pour profiter enfin de ton spring break plutôt que de t'occuper d'une bande de gamins capricieux et prétentieux. » Cole n'était pas capricieux, mais prétentieux  ? Ça oui, comme là plupart des Eliots et fort heureusement, pas tous. Suite au plan qu'il m'avait proposé, je fusse assez mécontente, mais je ne voulais rien laisser paraître. Je voulais me montrer plus forte et moins faible en lui proposant un autre plan, chose qu'il refusa presque catégoriquement, jouant à un nouveau jeu, celui dont je ne savais point résister. Il est cruel. Je ferme malgré moi les yeux, appréciant et profitant de ses délicieuses lèvres sur mon épaules et puis mon cou. Frissonnante et tremblante. Puis dans un moment de lucidité, je pose mes mains sur son torse et je le pousse sauvagement sur le lit, prenant place aussitôt sur ses cuisses. « Non, évidement que ce n'est pas ce que je veux... » Mes doigts agrippent fougueusement sa mâchoire, alors que mes lèvres provoquent les siennes, les titillent sans jamais se presser contre elles. « Mais si je me retrouve obligée parce que tu n'es pas capable d'assumer notre histoire devant tes chers camarades, alors oui, je serais bien obligée de me séparer de toi. Et je le ferais pour mon bien, parce que je ne veux pas d'un homme sans couilles. Je ne veux pas d'un homme capable de faire des crasses à sa propre copine pour le bien des autres. Je ne veux pas d'un homme qui est prêt à me rabaisser pour que son univers soit satisfait. Et je ne veux surtout pas d'un homme infidèle, un homme qui ne pense qu'à lui... » Murmure contre ses lèvres, je plaque fougeusement ma bouche contre la sienne pour un sulfureux baiser, valsent contre sa langue, retenant presque son souffle. Et puis je recule d'un coup ma tête. « Alors oui, je suis prête à prendre le risque de perdre tout ça si encore une fois, je me fais manipuler par mon propre petit-ami. » Plus sérieuse que jamais dans mon regard et dans mon petit rictus, plus déterminé aussi. Au moins maintenant c'était clair. Il savait à quoi s'attendre s'il continuait sur cette voie. Et s'il doit choisir entre sa confrérie, ses potes ou moi, je ne serais pas surprise qu'il choisisse son univers. Au contraire, je m'y ferais avec. Now, je ne veux plus me laisser atteindre par qui que ce soit, y compris l'homme que j'aime.


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  Je retrouvais un peu d’entrain aux mots de ma petite amie. Attitude désinvolte et je m’en foutiste, j’allais pas les laisser m’atteindre. Surtout pas Oksanna qui se disait ma sœur et me plantait un couteau dans le dos en se rangeant aux côtés de cet ex mather de mes deux qu’était ma bizut, enfin ex bizut devrais-je dire, puisqu’apparemment finito pour moi de jouer les grands sages manitous accueillant les petits nouveaux. La suggestion de Lucky restait donc la seule envisageable : profiter de mes vacances. Enfin, ça s’entendait que ça ne serait pas pour me reposer et me dorer la pilule, mais bien pour échafauder ma vengeance contre ceux qui m’avaient fait tomber. Et si ensuite sur ce lit, mon plan pour faire tourner la situation dans une nouvelle direction, une direction où j’allais gagner sur tous les plans, échoua complètement, la phase suivante, alors que Lucky me soufflait qu’on pouvait tout aussi bien en rester là elle et moi, et que j’apposais donc mes lèvres au creux de son cou pour remonter jusqu’à sa gorge puis ses lèvres, calculant savamment la pression de ma bouche sur sa peau pour faire s’affoler un peu son pouls, cette technique là sembla fonctionner un peu mieux. Paupières closes sous l’effet de mes baisers, je pus sentir les frissons qui faisaient réagir sa peau et un petit sourire victorieux étira mes lèvres lorsqu’elle affirma que ce n’était pas non plus ce qu’elle voulait, mettre un terme à notre relation. Mais elle me poussa sur le matelas, se positionnant sur mes cuisses pour poursuivre : « J’assume complètement Lucky, je suis prêt à te le montrer… »Physiquement, et là installée comme elle l’était, elle pouvait surement les sentir mes attributs qui réagissaient au quart de tour à notre proximité, aux baisers que je venais de parsemer sur son corps, allumant son désir mais le mien aussi au passage.  Oh non, elle pouvait pas m’accuser de ne pas avoir de couilles à cet instant précis, surtout lorsque ses lèvres s’emparaient ensuite avec fougue des miennes. « Ok… Tu m’as eu, j’avoue… J’ai peut être essayé de t’influencer pour que tu acceptes cette idée de fausse rupture… » avouai-je, haletant après ce baiser sauvage. « Ayma m’a lancé un ultimatum. » avouai-je donc finalement. La dernière fois, avec ces histoires de magouilles et de pari, elle m’avait dit que je devais être honnête, que c’était que comme ça qu’on avancerait, alors autant cracher le morceau non ?  
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Je ne peux pas me battre contre ce que je ressens pour lui, mais je peux l'étouffer jusqu'à ce que le temps me permettra de l'oublier. Je ne peux pas effacer en deux secondes, l'effet que chacun de ses baisers procure à mon corps, mais je peux laisser un autre les remplacer petit à petit. C'est pourquoi au moindre faux pas à l'avenir, je ne me retiendrais plus, je ne faiblirais plus, je déciderai ce qu'il y a de mieux pour moi sans me soucier du reste. Alors oui, toute peine, à finalement un remède. Il suffit juste de laisser le temps faire les choses. Je ne veux pas qu'une fin aussi pitoyable nous arrive à Cole et moi. Je crois qu'il y a plus qu'une banale histoire entre nous et au fond, il le sait. Sinon qu'est-ce qui pouvait l'empêcher de me dire adieu ? Rien. Le seul hic, c'est qu'il est trop fier et pour avouer être accro à une nana, il faudra lui passer sur le corps. Franchement, il n'y avait pas de mal à ça, au contraire. Assumer est sans doute l'une des plus belles preuves qui prouve que c'est un homme, un vrai qui sait ce qu'il veut. En tout cas, pour l'avoir cerné à présent, je pourrais garantir ne plus tomber dans ses plans foireux destinés à me faire passer pour la cocue, la stupide petite-amie qui se fait manipuler comme une merde par son copain. Aussi difficile qu'étais de couper le cordon avec lui, il savait aujourd'hui que je pourrais le faire. Et que j'étais prête à le faire si jamais il me mentait ou me manipulait encore. « Jusqu'à présent, je ne te vois qu'assumer au lit et si je savais m'en contenter avant, stupide et aveugle que j'étais... Aujourd'hui ce n'est plus le cas. » Est-ce que tu as saisi mon sous-entendu bébé ? Je pense que oui et je pense que tu me prendras très au sérieux à l'avenir. « Ton but n'étant pas de m'envoyer dans les bras d'un autre et tout gâcher n'est-ce pas ? » Que je lâchais tout aussi haletante que lui après notre baiser. Une main agrippant sa nuque et l'autre, descendant sensuellement le long de son cou, puis son torse. Je pouvais sentir son entre-jambe prendre un peu plus de place sous mon bassin et ça ne pouvait que m'en réjouir. Puis soudain, il lance la bombe, il m'avoue à demi mot, son plan. Mais pas que ça, il prononce le prénom d'Ayma et mon sang ne fit qu'un tour. Je me glace, bloquant mes émotions, évitant de partir au quart de tour. « Un ultimatum ? Quel genre ? » Bitch please. Cette fille a carrément une tête de dindon, pas étonnant qu'elle soit encore célibataire. Pourquoi Cole la fréquente d'ailleurs ? Je veux dire, c'est clair que c'est une fouteuse de merde et qu'elle se cache derrière ses études de médecines pour ne pas révéler sa vraie profession. Fouteuse de merde professionnelle incapable de prendre sa propre vie en main. Mon cul à plus de classe qu'elle ouai. Gad, je fermais mes yeux pour canaliser ma colère. « Cette fille, elle doit faire une fixette sur moi, c'est peut-être une lesbienne refoulée qui sait... » J'hausse un sourcil, faisant mine d'avoir tout saisi. « C'est pour ça qu'elle n'arrête pas de me harceler par sms en me disant que tu voulais l'épouser et que si tu ne l'avais pas encore fait, c'était parce qu'elle refusait. Elle essaie de me faire comprendre indirectement qu'elle est lesbienne OMG. C'est pour ça que ça ne marche jamais avec les hommes. Alalalalalala c'est une petite nature, je la comprends tout de même, j'suis canon, elle a bon goût finalement. » Dis-je racontant nawak, mais ça me faisait du bien de pouvoir me moquer un peu d'elle. Avec tout ce que j'ai quand même encaissé par sa grande gueule.


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  J’assumais. Enfin j’affirmais que j’assumais complètement, et j’étais tout à fait prêt et opérationnel pour lui faire la démo de oh combien j’étais équipé du côté de mes attributs masculins. Elle comprit l’allusion salace de mon affirmation et répliqua alors qu’elle avait bien vu que j’assumais complètement au lit, mais qu’elle n’était désormais plus contentée par cela. Elle voulait plus. Pourquoi fallait-il toujours qu’elles finissent par vouloir plus ? Y’avait une publicité mensongère qui circulait à mon sujet ? Non parce que moi, en tout cas, j’avais jamais promis la lune à qui que ce soit. Mais il allait falloir que je le fasse surement, puisque Lucky se faisait presque menaçante, usant de sous entendus, insinuant qu’en cas de faux pas il se pourrait qu’elle trouve réconfort dans d’autres bras. « Et quel autre dis moi ? » Que j’aille l’égorger avant que cela se produise. Mon regard s’obscurcit, mes dents se serrèrent quelques instants, malgré mon pouls qui battait encore la chamade après ce baiser et avec cette proximité entre nous. Ses mains voyagèrent sur moi, et mon entrejambe durcissait au quart de tour. Elle m’avait à sa merci, littéralement et je finis donc par confesser mes pêchés. Ou plutôt ma tentative de… Comment cette idée de fausse rupture n’avait été guidée que par l’ultimatum lancé par Ayma. « Elle m’a demandé de choisir entre mon amitié pour elle ou ma liaison avec toi. Bien sûr, je t’ai choisie toi mais j’avais espoir tout à l’heure qu’on puisse lui faire croire à notre séparation et qu’ainsi je retrouve une certaine place dans sa vie. » Sortez les violons. « Ayma est l’une de mes plus vieilles amies, elle m’a sauvé la vie en dépistant et en m’aidant avec cette histoire de tumeur, en décembre dernier. Sans elle, je ne serais plus là pour t’embrasser Lucky. Alors peut être que tu ne l’aimes pas, peut être même que tu la haies, mais rappelle toi bien que tu lui dois mes baisers… » Lucky ferma les yeux quelques secondes, probablement agacée par mes révélations, et elle interpréta tout ça à sa sauce : intéressante interprétation. Ayma serait dingue de Lucky, lesbienne refoulée, elle voulait semer la zizanie entre nous. Petit rire de ma part avant de reprendre : « Tu penses à ce que je pense là ? » Non, le dis pas Cole, parce qu’elle ne pense absolument pas à ça. Mais trop tard, j’ouvrai déjà la bouche pour poursuivre : « Un threesome avec Ayma ? » 
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Lucky ou comment réveiller la jalousie de Cole. Bah ouai pour une fois que ce n'est pas moi, ça change un peu. Je trouve que je devrais un peu plus souvent titiller sa jalousie. C'est quand même beau à voir. « Bah je ne sais pas, j'imagine que je plais à beaucoup d'hommes qui veulent volontiers être à ta place... Puis, je ne t'ai pas dit ? Mon ex est encore venu me coincer à la bibliothèque insistant pour que je prenne un verre avec lui. Il voulait qu'on cause et résultat, il a reçu un coup de genoux entre son entre-jambe. Mais malgré ça, il m'a suivi jusqu'à ma caisse, m'empêchant de monter. Il tenait vraiment à son verre. Du coup, j'ai accepté en lui disant qu'après ça, il devra me foutre la paix. T'penses qu'il tient encore à moi au fond ? » Cela expliquerait pourquoi il voulait forcément son verre, histoire de pouvoir me séduire à nouveau parce qu'au fond, il s'est rendu compte que j'étais plus bonne que sa pute qu'il s'est tapé le jour de nos fiançailles. Fin, là pour l'heure, je pensais plutôt à provoquer la jalousie de Cole donc ne nous égarons pas trop de notre but. Puis, il m'avoue l'ultimatum d'Ayma et sans m'en rendre compte, j'agrippe les mèches de cheveux de sa nuque parce qu'entendre ça, j'ai encore plus la haine contre cette fille. « La garce ! » Lançais-je sans me contrôler. « Et bien-sûre tu allais me rabaisser juste pour les beaux yeux de cette conne ? » Je ne sais pas ce qui m'empêche de lui donner un coup dans son entre-jambe à lui aussi. « Tu me choisis pourquoi ? Pour voir la salle tête de ta soi-disant pote me rabaisser et se moquer de moi devant tout le monde ? Tu crois que tu seras gagnant sur tous les plans ? Tu crois que je serais restée avec toi une minute de plus si elle était venue me rabâcher qu'elle m'avait prévenu que tu sortais avec moi pour la venger ? Tu crois que moi aussi je vais me laisser salir à ce point pour tes beaux yeux Cole ? » Mon regard se voulait presque tueur, mes mots, sanglants. « Je me fiche royalement de ce qu'elle a fait pour toi, c'était son boulot de médecin et tu ne lui dois rien. Puis quoi encore ? Tu vas lui lécher encore un peu les pieds tout ça parce qu'elle t'a sauvé ? Elle a fait son devoir, un merci aurait été suffisant. S'il faut aller lécher le cul de tous les médecins qui sauvent des vies ein. J'irais carrément lécher les couilles de mon gynéco pour qu'il me permette d'avoir ce gosse alors que c'est risqué... » Dans la colère, je n'ai pas pu me contrôler en lui avouant que ma grossesse était risquée... Je m'en fiche. Là, je n'avais plus envie de rire. « Tu ne vois pas qu'elle t'utilise parce qu'elle veut se venger de moi ? Tu crois que c'est ta pote ? Une vraie pote serait heureuse pour son ami qu'importe qui elle ne porte pas dans son coeur. J'suis désolé, mais en te donnant cet ultimatum, elle a clairement prouvé qu'elle était jalouse de moi et elle se joue de votre amitié pour atteindre son but... Me faire descendre plus bas sous terre. Si c'est la guerre qu'elle veut, elle va l'avoir ! Et toi.... Toi... Qui est censé être mon petit-ami... » Que je lâche en secouant la tête avec un léger sourire, totalement sidérée face à tout ça. Je me redresse, blessée. Elle avait réussi à me blesser d'un côté la Ayma. Heureusement que je n'étais plus dupe de tout ça, sinon elle aurait eu ce qu'elle voulait, une rupture en publique visant à la choisir elle. Ouuuuh elle aurait bien jubilé. « Je pense que je vais prendre une douche bien froide. Vas te la taper si tu veux, de toute façon et apparemment c'est la future Wildingham alors ein, maintenant ou après... Qu'est-ce que ça change. » Quant à moi, je vais la prendre cette douche et peut-être que ça va m'aider à prendre une décision nous concernant. Parce que voilà, ce qu'il venait d'avouer était la cerise sur le gâteau. Ouvrant le pommeau de douche, je passe en dessous, laissant l'eau couler sur mon corps assez bouillant de colère.


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