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Happy birthday babe

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Isaiha espérait vraiment que Paris puisse lui accorder au moins le bénéfice du doute. Il souhaitait réellement rendre Capucine heureuse et prendre soin d’elle. Après tout, elle était en premier lieu, sa meilleure amie. En tous les cas, il ne comptait pas s’écraser car sa petite-amie méritait qu’on se batte pour elle. La seule chose, c’est qu’il ne voulait pas gâcher cette soirée en l’honneur de Summer. « Oh tu es plus jeune que moi, je pensais que c’était le contraire » s’étonna-t-il tant la Dunster lui paraissait être quelqu’un de vraiment mature. « En tous les cas, je vois exactement ce dont tu parles » reprit-il avec un petit sourire amusé. Tendrement, il attrapa la main de Capucine dans la sienne, réalisant que ce dîner entre couple était vraiment une bonne initiative. Il avait vraiment envie de s’afficher avec sa jolie brune mais également de vivre ce genre d’expérience. Malheureusement, Paris venait de le ramener à la réalité en lui donnant un léger coup sous la table. Sérieusement, il voulait jouer à ce petit jeu avec lui ?! Le Lowell était un pacifiste dans l’âme mais depuis son agression, il avait tendance à tendre l’autre joue beaucoup moins facilement -ce qui n’était pas plus mal en soi. « Bien sûr qu’on a prévu un cadeau, c’est la tradition lors d’un anniversaire » répliqua-t-il en donnant le paquet à Capucine pour qu’elle puisse lui offrir son cadeau. Un présent assez spécial qui faisait encore rougir l’étudiant tant il trouvait cela osait d’offrir ce genre de chose. De la lingerie ?! Cela ne lui viendrait jamais à l’idée surtout qu’à ses yeux, Summer était aussi intouchable qu’une sœur. Il n’avait guère envie de l’imaginer dans un tel habillement. « Oh.. Euh non du tout ! Je pourrais pas… enfin c’est une jolie lingerie mais non, je peux pas » bafouilla-t-il en rougissant légèrement. Dieu qu’il se sentait gauche dans ce genre de moment. « Je t’ai fait un cadeau aussi » ajouta-t-il rapidement, étant intimidé pour le coup. Il espérait que cela plaise à la jeune femme. Isaiha lui tendit alors une boite et attendit qu’elle l’ouvre pour lui expliquer. « J’ai demandé à Paris de me prêter une de vos photos de famille pour pouvoir la reproduire à l’identique » dit-il alors que la Dunster découvrait une sculpture en bois du couple Pammer tenant Ashlynn dans leurs bras.

Paris intervint alors pour réclamer le cadeau qu’il leur avait confié et Isaiha s’empressa de lui tendre afin qu’il puisse l’offrir à sa femme. Ils étaient vraiment adorables tous les deux songea-t-il en regardant tendrement Capucine. Il espérait pouvoir vivre une aussi belle histoire d’amour avec elle. Summer le sortit de ses pensées en proposant de faire une photo. Il hocha la tête pour la remercier tandis que Paris venait s’asseoir à côté de sa meilleure amie. « Quel mot doit-on prononcer alors ? » demanda-t-il car il avait lu que pour prendre une photo, les personnes prononçaient un mot pour les faire sourire. Oui, le jeune homme fonctionnait de temps en temps comme une encyclopédie mais c’était sa façon à lui d’apprendre les us et coutumes régissant sa nouvelle vie.




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Summer était une jolie femme. Pleine d'assurance. Tout ce que n'était pas Capucine en vérité. Même si elle avait une grande gueule avec les gens qu'elle connaissait, Capucine restait une demoiselle assez réservée et renfermée. Elle avait toujours été comme ça mais c'était bien pire depuis que Jorah avait passé l'arme à gauche. Elle était tellement heureuse que Paris ait trouvé une demoiselle aussi fantastique que Summer. En plus d'être jolie, elle était drôle et intelligente. Alors, si elle pouvait la complimenter, elle n'allait certainement pas se gêner pour le faire. Une fois à table, Paris commença son petit manège avec Isaiha, l'embêtant pour voir s'il était assez bien pour Capucine. Cette dernière se demandait de quel droit Paris se permettait de tester son petit-ami. Avait elle agit comme une conne avec Summer quand il le lui avait présenté la première fois ? Elle n'en avait pas le moindre souvenir. Elle faisait tout son possible pour prouver qu'elle, elle n'avait rien à reprocher à Summer tant qu'elle rendait Paris heureux. Enfin bon, Capucine n'allait pas lui faire la guerre ce soir. C'était la soirée de Summer et elle avait bien averti Paris d'un regard qu'elle lui ferait payer plus tard. La jeune femme changea d'ailleurs de sujet. Elle voulait que Summer ouvre ses cadeaux avant qu'ils ne commencent à manger. « Aaaah... Tu sais, j'adore cette marque. Il y a un bon d'échange si jamais ça ne te va pas mais vu que j'ai réussi à fouiller dans tes sous-vêtements la dernière fois que je suis allée chez vous, normalement c'est bon !! » Ça, c'était les coups fourrés de Capucine pour que personne ne sache rien. « C'est du push-up » Murmura t-elle tout en articulant les mots, les accompagnant du geste.

« Oh mais attend Summer... On va demander au serveur de nous prendre tous les quatre... J'ai pas envie que tu sois pas sur la photo de ton anniversaire ! » Lança t-elle en agitant la main, manquant de la mettre dans la figure de Paris. Capucine se leva pour venir s'installer sur les cuisses de Isaiha, lança un regard plein de provocation à Paris alors qu'un serveur s'approchait. Dans un espagnol avec un accent pathétique, la brune lui demanda de les prendre tous les quatre en photo avec l'appareil de Summer mais aussi avec son propre téléphone. « Aller, il faut dire Banane Isaiha ! » Se moqua t-elle gentiment avant de lui voler un baiser. « Sinon tu peux dire Cheese ! »


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HJ : Désolée c'est tout pourri...
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Personne dans ce restaurant ne pouvait douter de l’amour qu’il portait à sa femme, aujourd’hui célébrée pour son vingt-quatrième anniversaire. Paris était fier de la voir aussi belle, aussi femme. C’était la seconde fois qu’on lui donnait la possibilité de fêter l’anniversaire de l’être aimé et ce soir il espérait secrètement que sa femme passe une excellente soirée. Pour cela, il s’était tourné vers des personnes de confiance à savoir sa meilleure amie et l’autre. Bon okay, c’était dégueulasse de prendre Isaiha de cette façon mais il avait été témoin de la déchéance de Capucine après la mort de Jorah et il ne voulait pas qu’il lui brise le cœur en retournant vivre chez les amish. Ce risque, il ne voulait pas le prendre pour elle car elle lui était précieuse, un peu comme une sœur pourrait l’être. La dernière fois qu’il avait parlé du passé du Lowell, Isaiha n’avait pas été foutu de lui dire si oui ou non il comptait rester sur Boston. Certes, cela datait de sa relation avec Amanda mais Paris n’oubliait jamais rien. L’exclamation de Summer le ramena à la réalité et il afficha un sourire amusé. « C’est pas ma faute, je suis toujours trop pressé de te faire l’amour pour attendre que tu enlèves ta petite culotte » dit-il avec une véritable tête à connerie. « Mais bon… là j’aurais quelques regrets de le faire car c’est un super choix que tu as fait la naine » salua-t-il la beauté du cadeau. « J’aime beaucoup l’ouverture sur ton petit derrière » murmura-t-il à l’oreille de sa femme, sur un ton plein de promesses.

Ce fut au tour de son cadeau d’être offert et c’est avec un peu d’appréhension qu’il le tendit à la vedette pour cette soirée. Sa réaction lui arracha un soupir de soulagement ainsi qu’un sourire à la fois fier et heureux. Elle l’aimait, c’était tout ce qui lui importait. « Je sais… pourquoi crois-tu que j’ai fait en sorte de regarder ce reportage sur les techniques des plus grands photographes avec toi l’autre soir… ça me permettait de te questionner en même temps » dévoila-t-il sa technique. D’ailleurs… « Attends Capucine, quand est-ce que tu as fouillé dans sa lingerie toi ? » demanda-t-il. En tous les cas, le cadeau du Lowell lui plaisait également. Isaiha avait vraiment fait un superbe boulot. « Je savais que tu étais doué avec un bout de bois entre les mains mais pas à ce point-là… Chapeau l’artiste » complimenta-t-il ce dernier avec un sourire sincère. Finalement, ce n’était pas si terrible d’avoir Isaiha en presque beau-frère n’est-ce pas ? Bon, il faudrait quand même qu’il le menace de castration s’il allait voir ailleurs ou s’il quittait Capucine pour un autre motif que le caractère parfois casse-bonbons de cette dernière -et encore, ce n’était pas un argument valable à ses yeux. Summer tint alors à tester son nouveau joujou et Paris alla s’installer près de Capucine qui décida de le provoquer en se mettant sur les genoux de son petit-ami. « Quoi ? fallait quand même que je marque le coup » lui dit-il tout bas pour être entendu que d’elle pour mieux attirer sa belle blonde sur ses genoux pour la photographie. « Banana » s’exclame-t-il à la manière des minions qui pour lui, étaient les parfaites mascottes pour la Dunster House. La photographie prise, tout le monde regagna son siège pour savourer la coupe de champagne qui venait de leur être servie. « A Summer ! » porta-t-il un toast avec un petit sourire en coin. « Et à ce premier repas à quatre car si je comprends bien, vous deux, c’est pour durer ? » dit-il. Une façon personnelle de dire à sa meilleure amie : okay ça me va mais je l’ai à l’œil juste pour la forme.



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C’est encore amusée par l’inconfort d’Isaiha face à la lingerie que je l’avais soupçonnée de prendre part, que je me mettais maintenant à rougir comme une tomate au propos de Paris à mon oreille. Je me pinçais les lèvres pour me retenir de lui dire d’arrêter ses allusions, par peur de nous dévoiler face à nos deux amis. Mais pour toute réaction de ma part, je posais une main sur la cuisse de Paris, à la naissance de son genou, et y exerçais une légère pression avant de finir par une caresse. J’aurais bien voulu laisser ma main où elle se trouvait, mais je n’aurais pas pu prendre le cadeau qu’Isaiha m’offrait sinon. La sculpture du blond avait eu de quoi me surprendre et me laisser sans voix. « Isa...c'est...woaw, c'est magnifique ! Je...Vraiment, MERCI ! »C’était si beau, si ressemblant…tellement bien fait que j’avais dû me faire justice pour ne pas me mettre à pleurer ! Oui parce que tous ses cadeaux, du plus pimentée au plus adorable, tout en passant par celui que Paris m’avait offert et qui m’avait prouvé que mon époux, en plus d’être intelligent, beau, sexy, et bon père, réussissait à se montrer attentif et à l’écoute de mes centres d’intérêt ! Il m’en fallait vraiment peu ce soir, pour me mettre à fleur de peau. Tant de générosité d’âme, et d’attention me réchauffait le cœur, et je me sentais chanceuse, tellement chanceuse en cet instant !

J’avais ressenti l’énorme besoin d’immortaliser ce moment, et profiter par la même de la nouvelle acquisition de l’appareil photo instantané. Et quand Capucine proposait qu’on y soit tous les quatre, je ne me fis pas prier pour venir rejoindre leur petit groupe, le sourire jusqu’aux oreilles alors que je prenais place sur les genoux de Paris, en riant de bon cœur à l’accent de Capucine et à ses grands gestes maladroits. Après un rapide baisé sur ses lèvres de Paris, je me plaçais en biais sur ses genoux tout en entourant mes bras autour du cou du Dunster. Personnellement, je n’avais pas eu besoin de prononcer le moindre mot : mon sourire, je l’avais déjà. Illuminé ! L’air heureux, mes yeux brillaient, traduisant l’émotion qui me gagnait. Il ne faut pas pleurer, même si c’est de joie.

Le serveur a pris deux photos, comme on lui avait finalement demandé juste après la deuxième prise, et je prenais les films bien vite en main –ainsi que l’appareil – en le remerciant alors que l’on reprenait place sur nos chaises respectives. Laissant les films prendre leur couleur et permettre à l’image d’apparaitre, Paris porta un toast, et encore une fois, je ne pus m’empêcher de les remercier en rectifiant son « A Summer » en un « A vous, merci d’être là ! » Une gorgée but, je posais mon verre en observant le couple en face de moi et de dire avec enthousiasme « Mais bien sûr que c’est fait pour durer. Ça se voit ! » Il n’y avait même pas à penser le contraire selon moi. Mon regard se posait ensuite sur les instantanés, attendant avec impatience de voir le résultat, étant déjà sûre que Capucine et Isaiha repartirait avec l’exemplaire de ce souvenir magique à mes yeux.



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L’échange de cadeaux d’anniversaire était quelque chose d’habituel pour Isaiha. Ce n’était pas la première fois qu’il se prêtait à l’exercice mais cette fois-ci c’était pour une amie et non un membre de sa famille. Clairement, cela changeait tout et il se plaisait vraiment dans cette soirée. Le seul point négatif était peut-être l’attitude de Paris à son égard. Isaiha ne la comprenait qu’à moitié dans le sens où il avait toujours eu l’impression d’être un ami pour le Dunster. S’était-il trompé ? Il ne voulait pas y croire. Il savait que le grand rouquin tenait énormément à Capucine alors peut-être ce n’était qu’un acte visant à la protéger. Dans tous les cas, il comptait bien faire en sorte de s’imposer face à lui car il était hors de question qu’une tierce personne vienne à gâcher sa relation. Il tenait trop à sa petite brune pour permettre ce genre de choses. Enfin là, l’ambiance était beaucoup plus légère ce qui lui permit d’oublier les petits incidents précédant. « Je suis heureux que cela te plaise » dit-il avec un petit sourire ravi. Il était tout de même gêné, n’étant pas très habitué à avoir autant de compliment. Le pire fut quand Paris s’en mêla car il avait à la fois envie de bomber le torse et de se cacher sous la table. A la place, il tourna son regard vers Capucine pour lui sourire, les yeux emplis de joie. Il était heureux de ce moment avec elle, avec eux.

Cette dernière proposa de prendre une photo et les voilà à se faire immortaliser. Isaiha en oublia toute sa gêne pour nouer ses bras autour de la taille de Capucine, posant son menton sur son épaule. Son cœur lui souffla deux petits mots à dire et il hocha la tête. « Et si je disais Capucine ? Cela me fait sourire du pareil au même » la taquina-t-il avant de déposer un baiser sur sa joue pour mieux offrir un visage bienveillant à l’objectif du polaroid. La photo faite, tout le monde regagna sa position et Paris fit sabrer le champagne. Le Lowell, lui, regardait cette coupe avec un peu d’appréhension car il n’en avait jamais goûté. « A Summer » s’exclama-t-il. « J’espère que cela durera toute une vie entre Capucine et moi mais c’est à elle de décider de combien de temps elle voudra de moi » s’amuse-t-il à répondre avant de gouter une gorgée de champagne. Il s’empêcha de grimacer de dégout pour ne pas attirer l’attention sur lui mais il reposa sa flute rapidement sur la table. « Dis… tu veux pas boire mon verre ? » demanda-t-il à sa belle le plus discrètement possible. « C’est…pas bon » avoua-t-il avec une grimace de dégout.



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Capucine lança un large sourire à Paris. Elle n'allait certainement pas lui répondre que lorsqu'ils avaient le dos tourné, elle en avait profité pour se glisser dans leur chambre et fouiller dans les sous-vêtements de Summer. Il fallait bien qu'elle ruse pour avoir les tailles de Summer sans éveiller les soupçons de Paris. Parce que même si c'était un cadeau pour Summer, Capucine savait que ce serait Paris qui en profiterait le plus. « J'aime beaucoup le cadeau de Isaiha ! » Elle détournait la conversation là non ? Carrément et elle ne s'en cachait même pas. Elle n'avait pas envie de se justifier sur sa façon de connaître certaines choses privées chez Summer quand elle voulait lui faire une surprise. Au moins, elle faisait recette. La jeune femme s'installa sur Isaiha pour faire la photo de groupe, lança un regard à Paris. « C'est ta tronche que je vais marquer si tu continues... » Siffla t-elle entre ses dents avant de tirer la langue pour la photo. Capucine ne savait pas faire de photos sérieuse sauf si c'était vraiment pour quelque chose d'important.

La soirée se déroulait bien, du moins aux yeux de Capucine. Elle admirait le couple en face d'elle avec un petit sourire attendri, toute contente de les voir si heureux. Tout comme les autres, elle leva son verre. « À Summer ! » Et elle manqua de s'étouffer avec sa gorgée de champagne. Là, on parlait d'elle. Non, pire. On parlait de Isaiha et elle. Capucine avait soudainement baissé son visage, occupée à tamponner sa jupe pour éponger le peu de champagne qui avait coulé. Paris abusait de poser une question aussi délicate et son pied alla frapper violemment son tibia. La, c'était sa faute. Summer en rajoutait une bonne couche en confirmant le tout, faisant rougir Capucine qui continuait d'éponger du tissu sec. Mais ce fut Isaiha qui acheva la pauvre Capucine en parlant carrément d'une durée. Un rire nerveux franchit les lèvres de la demoiselle tandis qu'elle releva son visage rougi par son embarras bien palpable. Capucine se racla nerveusement la gorge alors qu'elle venait de vider sa coupe de champagne d'une traite, manquant de la poser de travers et de la faire tomber. « On ne... On... Hum... Oh vous avez vu la taille de ce homard ?? » Elle avait presque hurlé en pointant de l'index un serveur qui passait à côté d'eux. Mais Isaiha semblait surtout embêter par le fait qu'il n'aimait pas le champagne. Capucine récupéra sa coupe sans se poser de question et la vida tout aussi rapidement que l'autre, se massant ensuite la tempe. Boire aussi rapidement alors qu'elle n'avait rien mangé n'allait pas arranger ses affaires et elle savait que dans cinq petites minutes, elle commencerait à avoir la tête qui tourne. La demoiselle attrapa son téléphone et envoya discrètement un sms à Paris. « Continue comme ça et je te jure qu'on retrouvera ton cadavre dans la piscine de l’hôtel avec un couteau entre les omoplates !! Putain Paris !!! Arrête de poser des questions comme ça, ça fait un mois que je suis avec lui !! Occupe toi de ton cull ! » Capucine soupira discrètement et lâcha son téléphone dans son sac, le mettant à côté. « Oh putain !! » Elle était tellement perturbée par la réponse de Isaiha, qu'elle en faisait n'importe quoi. Après avoir remis son téléphone dans son sac à main, Capucine se redressa si brusquement que son épaule percuta la table, reversant les coupes de champagne. À ce moment là, Capucine se figea sur sa chaise. « Ok, je ne bouge plus, c'est promis ! »


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Paris grogna face aux paroles de sa meilleure amie. « Pff je te rends service » râla-t-il tout bas avant de se concentrer sur sa femme qui venait de rejoindre ses genoux et de l’embrasser. Il s’excuserait plus tard auprès de sa naine en lui donnant les raisons de son comportement. Il s’inquiétait pour elle, c’était aussi simple que cela tout comme il s’inquiétait pour Summer car même si elle ne le montrait pas à leurs amis, elle ne pouvait s’empêcher de songer aux grands absents de la soirée : Amanda et Bonaventure. Bon, dans le cas de la première, cela aurait mis une sacrée ambiance. Imaginez le topo : Isaiha au milieu de sa petite-amie et de son ex-petite-amie, sympa la soirée songea-t-il avec un brin de sadisme. Enfin bref, Paris avait décidé d’être sympa et de laisser le lowell tranquille par amitié pour la brunette. Et puis, il ne voulait pas non plus gâcher la soirée de sa femme qui souriait à nouveau et semblait s’amuser réellement. La photo prise, ils se remirent convenablement à table et le Dunster fit sabrer le champagne pour porter un toast avant de mettre les pieds dans le plat. « Ouch…putain de bordel de merde » grogna-t-il avant de tousser pour camoufler ses injures. Elle n’y avait pas été de main morte avec son coup de pied. S’il n’avait pas un bleu, il ferait beau.

Par contre, voir sa meilleure amie rougir et s’embrouiller était un spectacle très amusant car il avait bien compris ce qui se tramait dans sa petite tête et son sms ne fit que le confirmer dans cette idée. « Arrête de paniquer, il a pas parlé de mariage alors calme toi, respire, tout va bien se passer… » écrivit-il rapidement avant d’éclater de rire alors qu’elle faisait preuve de maladresse. « Oui arrête de bouger avant de tuer quelqu’un » se moqua-t-il gentiment, poussant la boite avec l’appareil photo afin que cette dernière ne souffre pas du champagne renversé sur la table. « Bon, vous voulez boire un apéritif ou on commande tout de suite ? » demanda-t-il car mine de rien, il commençait à avoir les crocs. « Sinon, vous passez un bon Spring Break ? » reprit-il la parole en s’adressant tout aussi bien à sa femme qu’au couple. Un brin paternaliste ? Totalement. Depuis qu’il était président, il veillait sur ses petits jaunes comme une maman ours. « Au fait, Summer est la seule à le savoir pour le moment mais je vais participer à une session de recrutement pour intégrer l’armée à la fin de mes études qui sont pour cette année »



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Capucine avait beau tout faire pour dévier la conversation, sa réaction ne laissait aucun doute sur son malaise. Qu’il y avait-il de dérangeant dans le fait d’affirmer que son couple était fait pour durer ? Je ne suis pas une lumière en soi, et n’ai pas la parole divine, mais je me base sur des faits, à savoir : Isaiha n’est pas un homme comme les autres ; il a des principes, des valeurs qui font de lui un homme droit, loyal et fidèle qui s’investi dans ses relations corps et âmes. Donc déjà, pour lui, les choses sont établies. Pour Capucine, c’est vrai que je la connais moins. Mais de ce que m’en a dit Paris, Capucine non plus n’est vraiment pas du genre à changer de mec comme on change de draps ! Et si Isaiha n’était pas un homme fiable pour elle, elle n’aurait jamais pensé à se mettre en couple avec lui, nan ?

Je souriais alors simplement face à cette maladresse qui caractérisait son stress, et posait un regard bienveillant sur Isaiha, lui faisant comprendre d’un simple regard que j’étais heureuse pour lui, qu’il avait selon trouvé la bonne. Peu importe ce qu’il avait vécu avant avec celle qui avait pris la place de ma meilleure amie pendant longtemps, aujourd’hui il semblait plus lumineux, plus en sécurité. Et c’est en soit une énorme chose, quand on connait les circonstances actuelles, par rapport à sa santé !

Les photos apparaissaient maintenant définitivement, et alors que je refusais l’idée d’un autre apéritif, je tendais un exemplaire de la photo au couple en face de moi, tout en rangeant l’autre dans mon sac. Ce n’est qu’au moment où je réapparaissais au-dessus de la table que je prenais part à la conversation, écoutant Paris annoncer à nos deux amis qu’il participerait à une session de recrutement pour l’armée. J’hochais la tête timidement, confirmant que j’étais au courant. Mais mon cœur se serrait dans ma poitrine, sachant ce que cette session de recrutement impliquerait. Il intégrerait l’armée l’année prochaine, et commencerait sa carrière militaire…je me suis toujours montré d’un réel soutien pour Paris, et consciente de ses projets de vie…mais aujourd’hui, maintenant – avec cette sensation d’être un peu esseulée par mes proches – l’idée que Paris ne vienne à s’engager marquait encore plus ma peur d’être distancer de lui. Mais devant nos amis, pour cette soirée, je tâchais de faire bonne figure, de garder le sourire et de ne pas me laisser envahir par mes émotions. A la place je cherchais la main de Paris pour la prendre dans la mienne au-dessus de la table, et de prouver mon soutien sans borne. « Avoues que l’idée de ne plus être Président des Dunster va te manquer ! » tentais-je d’amener comme discussion, bien qu’à la place, j’avais eu au départ envie de dire « avoue que tu as hâte de passer les recrutements »…si j’avais dit cela, je suis sûre que j’aurais eu très vite peur de sa réponse et que mon cœur ne le supporte pas…



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Isaiha ne comprenait pas trop le soudain changement d’attitude de sa petite-amie. Il la connaissait trop bien pour savoir qu’elle était stressée. Sa maladresse avait tendance à empirer dans ces moments-là. Avait-il dit une bêtise quand il avait dit espérer que leur relation dure toute une vie ? Dans le fond, il n’avait fait qu’énoncer une vérité : il désirait réellement qu’elle dure très longtemps. Sa petite brune paniquait-elle parce qu’elle ne se projetait pas dans l’avenir ? Avec la mort de Jorah, il comprenait sa réticence à s’engager une nouvelle fois mais il craignait de vivre à jamais dans le doute. Le jeune homme ne savait donc pas s’il devait rassurer sa petite-amie ou se sentir blessé de sa réaction. Sur quel pied danser ?! « Tout va bien ? » lui demanda-t-il en prenant sa main dans la sienne pour tenter de la rassurer. Son regard tendre et un peu inquiet se porta sur elle, cherchant le sien afin de pouvoir comprendre ce qui lui arrivait. Il n’était pas idiot, elle avait subitement changée à la question de Paris. Au moins le regard de Summer lui apporter un petit réconfort songea-t-il. Le Dunster apporta sans le vouloir une porte de sortie au couple et le Lowell se concentra cette fois-ci sur la petite blonde. Elle ne semblait pas heureuse, son regard exprimait toute sa détresse et sa tristesse vis-à-vis de la décision de Paris de rentrer dans l’armée. Pourtant, il pouvait lire son soutien, comme si malgré tout, elle se rangeait à cela. « C’est une grande décision que tu prends Paris, es-tu certain que c’est ce que tu veux ? De ce que je sais de l’armée, c’est dangereux surtout dans le monde où l’on vit. Tu pourrais être envoyé dans une zone à risque alors que tu es responsable de famille » tenta-t-il de le faire changer d’avis pour le bien de son ami mais également de Capucine. Il savait qu’elle tenait énormément au Dunster et que le voir s’éloigner serait compliqué. Dans un sens, les rôles étaient inversés entre les deux hommes : il était celui qui retenait ! « A notre dernière soirée poker, tu avais parlé d’un travail au MIT il me semble » mit-il cette fois-ci les pieds dans le plat car il n’avait pas osé avouer à Capucine qu’il s’était remis à jouer bien que cette fois-ci, il pariait des bonbons et des chocobons. Un mal pour un bien car cela lui permettait de ne pas se ruer dans un casino le plus proche pour céder à son addiction. Le problème, c’est qu’il aurait aimé ne pas avoir à jouer pour du faux mais son médecin le lui avait conseillé lors de leur dernière rencontre afin de canaliser ses penchants. Malheureusement, même s’il avait le droit, il n’en ressentait pas moins de la honte.


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Capucine avait envie d'encastrer son téléphone dans la face de Paris. Elle l'aurait bouffé tellement il venait de la mettre mal à l'aise. La Dunster sentait ses joues devenir rouge, lui brûlant le visage. Honnêtement, elle avait beau adorer Isaiha, parfois elle avait envie de lui arracher la tête et le donner à manger aux requins tellement il avait ce don particulier de l'énerver et de la mettre mal à l'aise. Certes, Capucine éprouvait un amour palpable pour Isaiha mais elle ne se sentait pas prête à lui dire et ni à l'entendre. La jeune femme pinça les lèvres, se statufiant sur sa chaise. « Oui, ça va... » Lança t-elle calmement en caressant tendrement la main de Isaiha dans la sienne. Mais l'angoisse qui la prit par la suite fit s'envoler sa colère à l'encontre de son meilleur ami. Soudainement, ce fut comme si elle ne pouvait plus respirer, comme si cette boule dans sa gorge avait pris un forme réelle et qu'elle allait l'empêcher de respirer ou de parler. Paris comptait s'engager dans l'armée et ça ne plaisait pas vraiment à Capucine. Déjà parce qu'elle allait moins le voir mais surtout parce que, dans l'armée, des gens risquaient leur vie en allant sur le terrain. Capucine en restait silencieuse, fixant Paris avec une certaine inquiétude dans le regard. La jeune femme finit par regarder Summer, se demandant comment elle faisait pour accepter une telle chose. Enfin, quand on était en couple, il fallait savoir faire des concessions pour l'autre. Isaiha prit la parole, ôtant presque les mots de la bouche close de Capucine. Instinctivement, elle serra légèrement sa main, comme pour se rassurer. « Wow... Paris... C'est... C'est un super décision. Je te souhaite de réussir ! » Dit-elle en lui adressant un petit sourire encourageant. Même si c'était un odieux mensonge, elle le soutiendrait. Mais elle soutiendrait surtout Summer qui risquait de se retrouver toute seule. Rien que cette pensée rendit Capucine triste qui lança une moue malheureuse à Summer.

Les mauvaises nouvelles auraient pu s'arrêter là si Isaiha n'avait pas fait lâcher la révélation de l'année, telle une bombe. Il avait lancé ça avec un détachement presque cruel que Capucine pensait même qu'il le faisait exprès pour se moquer d'elle. La Dunster tourna vivement son visage vers Isaiha, le fixant alors. Était il sérieux ? En tout cas, il le semblait bien. Qu'il joue ne dérangeait pas Capucine, surtout si c'était avec Paris. Mais il ne lui avait rien dit. Ne lui avait-il pas promis de tout lui dire ? Visiblement, la promesse était passée à la trappe. Capucine retira bien rapidement sa main de celle de Isaiha et se redressa sur sa chaise, posant ses coudes sur la table. C'était bien les hommes ça, ils lâchaient toujours des nouvelles de ce genre dans les mauvais moments. Malgré son sale caractère, Capucine prenait sur elle pour éviter de faire une esclandre et hurler sur Isaiha en exigeant des explications. Elle ne voulait pas gâcher l'anniversaire de Summer. « D'ailleurs Summer, si jamais Paris passe les tests, tu sais que tu pourras venir dormir à la maison quand tu auras besoin de compagnie. Ou tu pourras m'appeler, je ne te laisserai pas toute seule... » Et comme ça, Isaiha aura tout le loisir d'entretenir son petit jardin secret.


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