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L’anniversaire de Summer tombait toujours en plein Spring Break et il ne savait jamais ce qu’il devait faire. Cette année, c’était pire que tout : entre Amanda qui avait déserté et Bonaventure qui était finalement resté sur Boston car il devait subir son opération, sa femme se retrouvait sans ses deux meilleurs amis. Or, même s’il savait qu’elle aurait tendance à minimiser les choses, il savait combien cela la pesait. Paris n’en parlait jamais mais il observait son bébé à chaque instant, craignant à tout moment qu’elle ne craque. Summer était bien trop sensible par moment. Du coup, il s’était tourné vers sa meilleure amie pour prendre conseil d’où la raison pour laquelle, il se trouvait attablé dans un restaurant à attendre le nouveau couple d’Harvard. Oh le Dunster n’était pas vraiment enchanté de savoir Capucine et Isaiha en couple. Loin de là même ! Il faisait simplement un effort pour offrir à sa femme, un repas d’anniversaire comme elle le méritait à savoir entourée de son homme et de ses amis. « C’est pas vrai, elle est incapable d’arriver à l’heure une seule fois dans sa vie ?! » râla-t-il alors qu’il avait le bras sur le dossier de la chaise de sa femme, attendant qu’Isacine ramène ses fesses. « Au fait, t’aies-je déjà dit combien j’adore quand tu mets des robes ? » murmura-t-il à l’oreille de sa femme avant de déposer un baiser sur sa joue. Le restaurant dans lequel ils se trouvaient, était relativement calme. Il y avait pas mal de touristes dont des russes à une table d’eux. Paris le savait car il parlait à présent couramment cette langue. « Bébé… je sais que cela ne remplacera pas Amanda et Bonaventure mais je suis certain qu’on va passer une bonne soirée pour ton anniversaire » dit-il d’un ton tendre en posant sur elle un regard à la fois inquiet et amoureux.

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Attablée dans ce restaurant choisi par Paris, nous attendions patiemment lui et moi que Capucine et Isaiha débarque. Enfin patiemment….Paris râlait déjà sur le retard de sa meilleure amie et moi, je posais une main apaisante sur son bras, lui incitant silencieusement à prendre son mal en patience en profitant de l’instant. Mais si je suis honnête sur mon propre état d’esprit, je ne suis pas non plus en train de pleinement profiter de la soirée. Quelque chose me tracasse. Cette année n’a rien à voir avec les autres. Bien que mon anniversaire tombent à chaque fois en plein Spring Break et qu’aujourd’hui cela ne déroge pas à la règle, il y a deux personnes qui manquent à l’appel. Je me souvenais encore de mon anniversaire l’année dernière et comment je l’avais partager avec mes deux meilleurs amis, partageant mon bonheur avec eux, leur expliquant les attentions qu’avait eu Paris le matin même….tout cela était bien loin, et bien que mon époux avait été des plus adorables toute la journée, je ne pouvais m’empêcher d’avoir ce petit pincement au cœur à l’idée de ne pas avoir Amanda ou Bonaventure près de moi. J’avais tenté de mettre sous silence cette petite déception, pour ne pas inquiéter Paris, mais depuis une petite heure, je n’avais eu de cesse de checker mon téléphone, avec l’espoir d’avoir un texto de l’un de ses deux amis. Bonaventure avait peut-être une excuse en étant à l’hôpital mais… Amanda ? elle était partie du jour au lendemain sans donner de nouvelle, mais qui sait ? peut-être penserait-elle à moi ce soir ?

Paris me ramenait à la réalité en parlant de ma robe, et je relevais la tête de mon téléphone pour sourire son compliment « Tu te doutes bien que j’ai pensé exclusivement à toi en la mettant ce soir ?! » je tendais instinctivement la joue à son baiser, puis observait les lieux, perdant espoir de recevoir un message de Bona ou Amanda…après tout, c’était peut-être pas plus mal ? Isaiha et Capucine n’allait pas tardé et ils seraient PRÉSENTS eux….tout comme, Paris ! C’est à eux que je devrais me raccrocher.

Comme si Paris avait pressentit ce qu’il se passait en moins depuis plus d’une heure, il me parlait de mes deux amis, et me rassurait sur la finalité de cette soirée. C’était à mon tour de le rassurer tout en concluant sur mon état d’esprit final « Ca va aller Paris…Je suis ravie de cette soirée, et j’ai hâte de la passer avec vous trois ! » Voilà, je n’attendais plus rien de Bona et Amy, préférant me concentrer sur l’arrivée du couple qui faisait son apparition dans le restaurant « Regardes, ils sont là ! Tu vas pouvoir te jeter sur le menu !! » plaisantais-je avant de tirer ma chaise pour me lever et accueillir Isaiha et Capucine, deux personnes chers à nos cœurs !



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Isaiha était allongé sur le lit, le regard perdu sur une petite fêlure au plafond. Il attendait que Capucine soit enfin prête pour aller dîner au restaurant. Ce soir, c’était l’anniversaire de Summer et il espérait vraiment qu’elle passe une bonne soirée. Paris lui avait demandé d’éviter certains sujets comme Amanda ou même Bonaventure et il avait accepté étant donné qu’il estimait beaucoup la Dunster. Summer avait été d’un grand soutien quand Amanda était tombée enceinte puis quand elle avait perdu le bébé. Il la respectait et l’appréciait énormément. D’ailleurs, ils s’étaient trouvé une passion commune pour les jeux vidéo de karaoké ou encore pour les cours de cuisine auxquels ils assistaient tous les deux. « Capucine… on est en retard » dit-il sur un ton amusé et fataliste. Oh il avait essayé la technique de lui donner une fausse heure de rendez-vous mais même là, elle avait trouvé le moyen de ne pas être à l’heure. Le Lowell se redressa sur le lit, lissant sa chemise blanche qu’il portait sur son pantalon noir. Il avait tenu à être bien habillé mais pas trop. Sa petite -amie sortit enfin de la salle de bain, aussi belle qu’à son habitude. « Tu es ravissante » la complimenta-t-il en lui souriant avant de l’embrasser.

Dix minutes plus tard, ils pénétraient dans le restaurant et Isaiha repérait aussitôt la haute stature de Paris et celle plus petite de Summer. Tirant sa petite-amie par la main, il la conduisit vers le couple, ôtant ses lunettes, soulagé de ne pas se sentir agressé par la luminosité du lieu. L’étudiant avait demandé à Paris de choisir un restaurant aussi calme que peu agressif lumineusement parlant. Après tout, il voulait pouvoir profiter également de la soirée. « Bonsoir… Désolé du retard, je ne trouvais plus mes lunettes » mentit-il afin que Capucine n’encourt pas la colère de son meilleur ami mais à la vue de l’air dubitatif de ce dernier, son mensonge n’était pas crédible pour un sou. « Bon anniversaire Summer, tu es très belle » dit-il en déposant un baiser sur sa joue avant de tirer une chaise à Capucine pour qu’elle puisse s’asseoir.



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« Oui, oui, oui, oui, je me dépêche oh lala !! Ça va, c'est Summer et Paris ! C'est pas le président des États-Unis ! J'ai le droit d'être en retard hein !! » Râla t-elle depuis la salle de bain, peinant à attacher sa boucle d'oreille. Un peu en retard, oui. Tout le temps, elle poussait le bouchon quand même. Enfin, voilà elle était prête, apparaissant dans la chambre en allant fouiller dans son dressing pour récupérer une paire de sandales à talon compensé qui iraient avec sa jupe longue et s'empressa de les enfiler. « T'as les cadeaux ?? » Alors qu'elle se tournait vers lui, Isaiha la complimenta, ponctuant ses paroles d'un baiser. Souriant doucement, Capucine vient effacer la trace de rouge à lèvres sur celles de son Lowell. « Attends... Il était pas encore tout à fait sec, tu en as du coup... » Ria t-elle doucement en frottant les lèvres de l'Amish. « Voilà. Tu es beau toi aussi... » Elle ne l'avait même pas regardé mais elle s'en fichait, il était beau c'est tout.

Isaiha avait presque couru pour arriver un peu moins en retard. Capucine manqua de se vautrer plus d'une fois en râlant qu'il marchait trop vite et le menaça de lui couper les oreilles si jamais il lui demandait de la porter. Elle prenait ses précautions quand même. Et en plus, il faisait super chaud dans ce pays à la con. Se giflant le bras pour tuer un moustique en jurant comme un charretier, Capucine entra à la suite de Isaiha dans le restaurant, bénissant la climatisation. Elle orna son visage d'un large sourire en voyant le couple déjà à table. « Oui !! Ces lunettes de soleil franchement hein !! Toujours à les chercher partout ! » Capucine se racla la gorge en venant déposer un bisou sur la joue de Paris dans l'espoir qu'il ne râle pas trop qu'elle était en retard. Puis, elle vint glisser son bras autour des épaules de Summer et lui embrassa la joue. « Joyeux anniversaire jolie blonde ! Je suis contente de vous voir ! Enfin surtout toi parce que Paris va encore me crier dessus, je le vois dans ses yeux ! J'adore ta robe ! Elle te va vraiment bien. » Capucine lâcha un petit rire, surtout pour montrer qu'elle en avait rien à faire que Paris crie. Il criait si souvent après elle que c'était quand il était gentil qu'elle était étonnée. La Dunster posa ses fesses sur la chaise en remerciant Isaiha puis posa ses coudes sur la table, se retenant de dire qu'elle avait très faim.


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Paris plongea son regard dans celui de sa femme avant de l’embrasser légèrement sur les lèvres. « Si tu avais pensé à moi en la mettant, tu n’aurais pas mis de petite culotte » la taquina-t-il avant de déposer cette fois-ci, un baiser sur sa joue. Il espérait vraiment que cette soirée permette à Summer de se sortir de ses pensées tristes. Il n’était franchement pas aveugle et cela lui donnait envie d’envoyer un sms bien senti aux deux principaux intéressés. Paris avait toujours détesté quand sa moitié était triste ou pas bien. Il suffisait qu’elle soit malade pour qu’il arrête tout ce qu’il avait en cours afin de rester à ses côtés. Ce soir, il espérait vraiment réussir à lui changer les idées. « Tu es certaine ? Je ne suis pas con bébé… Tu attends des sms » soupire-t-il inquiet. L’arrivée de sa meilleure amie et de son nouveau petit-ami leur offrit une distraction et Paris se releva pour les saluer. « Te fatigue pas Isa, je connais la naine par cœur, elle est jamais en avance. A côté d’elle, le lapin d’Alice au pays des Merveilles serait déjà interné pour dépression à tendance suicidaire » rétorqua-t-il en embrassant la joue de sa meilleure amie avant de serrer la main d’Isa avec peut-être un peu trop de force. Quoi ?! Il fallait bien qu’il veille sur Capucine n’est-ce pas ?! Il l’avait promis à Jorah et ce n’est pas parce qu’il appréciait le Lowell qu’il allait lui accorder le moindre traitement de faveur. « Hey, je te crie pas tout le temps dessus non plus… Et ça se dit ma meilleure amie ?! Elle n’est même pas contente de me voir. Fais gaffe Isa, elle a peut-être de nouvelles tendances bisexuelles et tu vas te faire larguer pour une nana » s’amusa-t-il à dire au couple avec un sourire narquois. Après tout, pourquoi serait-il le seul à devoir se méfier des femmes ?! Franchement, quelle idée d’être marié à une bisexuelle… D’ailleurs, cela lui faisait se poser une question existentielle : est-ce que Summer aurait craqué pour le même genre de nanas que lui ? Quand il voyait Alysse, il avait tendance à répondre que non mais sait-on jamais.



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Je fermais les yeux alors que Paris m’embrassait la joue, et souriais à sa remarque sur ma petite culotte. D’habitude, je le reconnais, j’aurais sans doute rebondi sur le propos. Mais ce soir, je ressentais comme un pincement au cœur qui m’empêchait pour le moment d’en profiter. J’avais refoulé ce ressenti du mieux que je pouvais : d’abord ce matin, dès le réveil alors que mon père m’avait envoyé un texto pour me souhaiter mon anniversaire en me déclarant de la plus jolie des façon que sa vie s’était illuminé quand on ptit rayon de soleil était née ; puis quelques secondes plus tard quand Paris m’avait enlacer dans ses bras alors qu’il était à peine réveillé et qu’il m’avait murmurer à l’oreille qu’il m’aimait et qu’il était heureux que je sois née ! Ces attentions m’avaient donné le sourire, m’avait donné l’impression que ce jour compterait encore plus que les autres années précédentes….mais les heures avaient passé, je recevais des messages ou des appels, mais n’avais pas ceux les plus espérés… Jusqu’à ce soir, dans la salle de bain en me préparant pour ce dîner… et encore plus tard, maintenant, assise à cette table à scruter mon téléphone. Toujours rien.

L’inquiétude de Paris me fit comprendre qu’il fallait que j’arrête ! De même : j’avais passé ma journée à attendre des réactions, sans finalement profiter de toutes celles qu’avais eu les autres et qui avaient été égoïstement de ma part relayées au second plan. Alors oui, pour cela, il fallait que je ne cherche plus à attendre quoique ce soit, que je me reprenne. J’avais alors dit à Paris que tout allait bien, mais lorsqu’il me parlait de ses fameux textos que j’attendais, j’avais pris ma décision : Je posais mon téléphone sur la table, à plat, écran contre la nappe, et je redressais la tête en la secouant un peu comme pour paraitre plus déterminé et moi attristé. « C’est fini. Je n’attends plus rien… » Avais-je fini par dire à Paris, avec une voix qui malheureusement trahissais quand même ma tristesse et ma déception. Heureusement pour moi, deux têtes firent leur apparitions et devenaient soudain ma nouvelle attention du moment : Ils étaient là eux, et ils concluaient à eux trois cette journée spéciale pour moi. Je souriais alors, un peu, puis beaucoup lorsque Capucine et Isaiha m’avait complimenté. Et je souriais encore plus à les voir tous les deux aussi complice pour un retard dont on en connaissait l’instigatrice. Mais contrairement à Paris, je jouais le jeu moi, et acceptais de croire Isaiha et son histoire de lunette, tapant du bout des doigts l’avant-bras de Paris qui accusait sa meilleure amie « Rho mais laisse la un peu tu veux ? Et puis même si c’était elle qui avait été la raison du retard : elle a tous les droits ! Surtout pour ce genre de résultat » concluais-je vivement avec le sourire en pointant du doigt la jolie brune, lui retournant les compliments qu’elle m’avait servi « Tu es splendide Capucine, et les talons ? Ils sont parfaits pour la robe ! Très bon choix »

Avant que les mecs ne se mettent à se plaindre de notre conversation, je faisais signe à tout le monde de s’asseoir à table, m’intéressant bien vite à Isaiha et sa vue. « Comment tu vas ? La lumière te convient ici ? Si jamais ce n’est pas la meilleure place, on peut échanger si tu veux ? » M’inquiétais-je bien vite, parce que je voulais absolument que Capucine et lui soient à leur aise…lls étaient venus pour fêter mon anniversaire…ils n’imaginaient pas l’importance que cela avait pour moi, maintenant ! « Je suis contente que vous ayez pu vous libérez pour cette soirée » déclarais-je sans trop osé en dire, bien que l’une de mes mains venaient de passer sous la table pour partir désespérément à la recherche de celle de Paris, afin de la serrer fort pour lui signifier que je le savais présent à mes côtés, que j’en étais heureuse et surtout, que je l’en remerciais tellement c’était vital pour moi



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« Voyons, il s’agit tout de même de nos amis » protesta Isaiha en levant les yeux au plafond. Il était habitué au comportement de sa petite-amie et cela le faisait plus sourire qu’autre chose. « Dois-je comprendre que quand tu étais en retard à nos rendez-vous, je n’étais qu’Isaiha et non le président des Etats-Unis » la taquina-t-il tendrement en jetant un coup d’œil amusé vers la porte de la salle de bain. Il termina tout de même par se redresser, lissant sa chemise au moment où elle apparaissait, magnifique. « Je les ai » répondit-il avant de la complimenter et de l’embrasser. Apparemment, son maquillage avait décidé de changer de propriétaire. « En somme, le maquillage, c’est comme la peinture : il faut mettre un panneau, attention, peinture fraiche » plaisanta-t-il avant de lui sourire alors qu’elle terminait d’effacer toute trace sur ses lèvres.

Summer et Paris les attendaient déjà au restaurant. Il avait bien tenté de couvrir sa petite-amie concernant le motif de leur retard mais Paris n’était pas dupe bien que sa femme volât à leur secours. « Merci Summer… Oui, elle est magnifique » dit-il avec un sourire amoureux, laissant les deux femmes partir dans leur conversation chiffon pour mieux serrer la main de Paris qui lui arracha une légère grimace. Il ne comprenait pas trop le comportement du Dunster sachant qu’il le considérait comme un ami. Se pourrait-il qu’il n’approuve pas le choix de Capucine ? Dans ces cas-là, ils allaient au-devant d’un sérieux problème car Isaiha ne se laisserait pas faire. « Tout va bien, rassure toi. La luminosité est parfaite » répondit-il à Summer tandis que les deux couples prenaient place autour de la table. « C’est normal voyons, nous fêtons le jour de ta naissance, c’est important. A ce sujet, cela te fait quel âge ? » demanda-t-il curieux en prenant la main de Capucine dans la sienne, fronçant les sourcils en sentant un coup de pied contre son tibia. « Paris, si tu cherches à faire du pied à Summer, tu te trompes et tu ferais mieux d’y aller plus en douceur sous peine de lui faire des bleus » lâcha-t-il tout simplement en regardant le Dunster droit dans les yeux. Le message était clair : si tu veux la guerre, tu l’auras ; Isaiha avait d’ailleurs une tactique bien à lui : compter sur la gentillesse de Summer pour rappeler à l’ordre son mari et à la fougue de sa petite-amie pour emmerder son meilleur ami.



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« C'est exactement ça !! » Et elle ne comptait pas être plus en avance ou à l'heure parce qu'il était devenu son petit ami. Au moins, elle soignait ses entrées ! Enfin, voilà qu'elle était prête. Et elle venait de peinturer les lèvres de Isaiha, riant légèrement. « Oui, c'est ça, j'y songerais la prochaine fois ! » Quoi qu'il était sexy avec du rouge à lèvre. Enfin, les voilà dans le restaurant, un peu en retard. La jeune femme fit une moue un peu boudeuse. « Oui mais si j'étais en avance, ce serait pas moi... Alors tu serais déçu ! Plus je me fais désirer et plus tu es content de me voir non ? » Lâcha t-elle avec un petit sourire avant de lui tirer la langue. Ce n'était pas lui ni elle le centre du monde ce soir. C'était Summer ! Et cette dernière vint au secours de Capucine, amusant celle ci. « Ah !! Dis pas n'importe quoi ! C'est toi la plus jolie ce soir !! Mhmh ? Tu aimes ? Merci ! » Elle se sentait toute contente d'être ainsi complimentée mais espérait ne pas non plus faire de l'ombre à Summer. Elle s'en voudrait terriblement.

Enfin, la jeune femme avait les fesses posées sur sa chaise, face à l'emplacement de son assiette qui était vide. Elle avait faim mais se retenait de dire quoi que ce soit avant que Paris ne lui balance que si elle avait été plus en avance, elle serait déjà en train de manger. Ce qui était vrai mais elle ne voulait pas donner le privilège à Paris de lui en mettre plein la figure. « Libérer ? Tu plaisantes j'espère Summer ! J'avais bloqué cette soirée exprès pour toi ! Hors de question de faire autre chose quand c'est l'anniversaire de la femme de mon meilleur ami !! » Capucine tendit la main pour prendre celle de Summer en souriant. Elle n'était pas forcément très au courant des mœurs qui animaient la blonde intérieurement mais elle espérait que sa présence lui faisait du bien. Mais forcément, être présente avec son nouveau petit ami au dîner d'anniversaire de la femme de son meilleur ami donnait alors le loisir à Paris de s'en prendre à Isaiha. Capucine observa les deux hommes puis darda un regard à la fois noir et emplit de déception à Paris. Franchement, au bout de quatre années de célibat, il ne pouvait pas être un peu moins protecteur envers elle ? La jeune femme avait envie de lui cracher son venin à la figure mais elle préféra orner son visage d'un sourire en regardant Summer. « Ah !! Avant manger tu vas ouvrir tes cadeaux !! » D'un petit coup de coude à Isaiha, la demoiselle l'encouragea à donner le paquet à la demoiselle. Dedans, il y avait un bon pour un séance de spa pour la journée entière. Elle pourrait y faire ce qu'elle voudrait. Et aussi, un adorable ensemble de sous vêtements Aubade (Soutif et culotte). « Ne le montre pas trop à tout le restaurant... » Mais au moins, ça allait occuper Paris. « Et puis, essayez de ne pas le déchirer... » Capucine les observa les deux avec un fin sourire entendu.


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Ce n’était plus de l’inquiétude qu’il ressentait mais bien une jolie angoisse à l’idée que Summer ne puisse pas passer une bonne soirée d’anniversaire. Putain mais il avait envie de les égorger ces deux-là songea-t-il avec humeur. Il détestait savoir sa femme aussi triste et être impuissant de la sorte. Que pouvait-il faire pour qu’elle se détourne de ce téléphone portable, qu’elle se concentre sur cette soirée qui s’offrait à elle ? Il n’était pas stupide, il savait pertinemment après qui, elle attendait des nouvelles. Des nouvelles qui tardaient à arriver visiblement. « Hey… je t’interdis d’être triste… Tu peux peut-être berner les autres mais pas moi bébé ! S’ils sont assez cons pour ne pas penser à ton anniversaire c’est que tu n’as rien à attendre d’eux… profites des personnes présentes » l’encouragea-t-il avant de l’embrasser tendrement. Il n’eut pas loisir d’en faire davantage que Capucine et Isaiha arrivaient enfin. « Ravi de voir que tu me considères quand même comme ton meilleur ami vu que je suis un ogre à tes yeux » bougonna Paris alors qu’il broyait les doigts d’Isaiha. Okay il était peut-être trop protecteur mais c’était plus fort que lui : il tenait à Capucine et il ne voulait pas que le premier type dont elle s’amouracherait, lui briserait le cœur. Le Dunster leva les yeux au ciel quand les deux demoiselles se mirent à discuter chiffon. Franchement, ce n’était pas le genre de conversation qui le passionnait du coup, autant emmerder le seul autre mâle ici présent en lui donnant des petits coups de pieds sous la table. Le hic, c’est qu’Isaiha ne semblait pas vouloir se laisser faire. Intéressant : sous cette couche dégoulinante de bon sentiment, se cacherait un homme ayant des couilles ?! Paris soupira avant de faire une grimace d’excuse à Capucine qui le faisait presque culpabiliser avec son regard. L’attaque de front ne marcherait pas. Tant pis, il trouverait toujours une bonne occasion de coincé le Lowell pour lui faire comprendre sa façon de penser. Il l’aimait bien, c’était un ami mais il se devait de le mettre au courant : si Capucine devait pleurer à cause de lui, il lui briserait les deux genoux. Point final. « Vous avez pensé à ramener le mien j’espère » s’inquiéta-t-il car il ne pouvait décemment pas garder le cadeau de sa femme dans leur valise. Du coup, il avait demandé au couple de garder son cadeau avec eux et de l’amener au restaurant. Isaiha hocha la tête et lui donna son paquet avant de tendre celui de Capucine afin qu’elle puisse le remettre en main propre à Summer. « Tu lui as pris quoi ? » demanda-t-il en jouant les curieux car il avait bien reconnu la marque de lingerie mais il était intrigué du coup par le choix de l’ensemble. « Tu sais que je t’adore la naine ?! » dit-il avec un grand sourire car cela promettait d’être très sexy sur sa femme.

En parlant de Summer, il lui tendit son cadeau. « Voilà pour moi bébé » dit-il en espérant que cela allait lui plaire. C’était une boite rectangulaire, de taille moyenne. Paris avait longuement hésité quant au choix de son cadeau car il voulait vraiment faire plaisir à sa femme et il espérait vraiment que cela lui plaise. « Bon anniversaire trésor » murmura-t-il à son oreille avant de l’embrasser. « Allez, exceptionnellement, j’offre le champagne » dit-il en faisant signe au serveur de leur ramener une bouteille.

Le cadeau



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J’avais beau rassurer Paris sur le fait que je n’étais pas attristée par le manque de nouvelle de certaines personnes, il n’était pas dupe. Je grimaçais en pinçant les lèvres tandis qu’il m’interdisait d’être triste ce soir, sachant que dans le fond il avait raison : je devais m’intéresser aux personnes présentes, si bien que j’acceptais ses dire en hochant la tête et ravaler ma tristesse comme je le pouvais, juste avant que Capucine et Isaiha n’arrivent.

La brune et moi ne t’arrisions pas d’éloges envers l’une et l’autre, et je rougissais quant aux propos de la meilleur ami de Paris, qui m’allait droit au cœur « Arrête de me faire rougir, tu veux ?! Asseyons-nous plutôt » proposais-je avant que chacun ne prenne place. Je m’intéressais bien vite à Isaiha et à la possible lumière qui pourrait venir l’incommoder, mais le blond me rassura tout en me rappelant qu’ils étaient tous deux ravis d’être là ce soir. Je leur souriais comme jamais, n’osant même pas leur dire à tel point leur présence me réchauffait le cœur, et me permettait d’apprécier cette soirée bien plus que j’aurais pu au départ… « 24 ans… » Déclarais-je à l’attention d’Isaiha en haussant les épaules timidement « 24 années dans ce monde, et cette impression de n’avoir encore rien vu parfois ! Alors que de manière contradictoire, j’ai aussi le sentiment d’avoir vécu bien plus que je ne l’aurais imaginé il y a quelques années » C’est vrai quoi ? Qui aurait pu imaginer qu’à 24 ans, je me retrouve encore à Harvard, avec un cursus tout autre que celui prévu, mariée, et avec un enfant en prime ? Certainement pas moi ! Tout en disant cela, j’avais pu remarquer Isaiha prendre naturellement la main de Capucine dans la sienne, mais ce geste ne m’étonnait pas le moins du monde étant le couple qu’il formait. J’en étais même heureuse pour eux ! Mais apparemment, il y a quelqu’un pour qui les choses ne sont pas tout aussi évidente. Je sentais Paris s’agiter à côté de moi, et voyais Isaiha regarder le Dunster avec insistance, jusqu’à ce qu’il annonce de but en blanc que Paris venait de lui donner un coup. Je tournais vivement la tête pour observer Paris, tentant de lui faire comprendre qu’il devait éviter de faire le coq ce soir, parce que ça allait mal se terminer, et sincèrement je ne voulais vraiment pas de ça !

Capucine changea bien vite la discussion, souhaitant absolument que j’ouvre mes cadeaux avant le repas. Je les regardais, un peu surprise « Vous…vous avez prévu un cadeaux ?? » Je passais nerveusement une main dans mes cheveux, replaçant une mèche derrière mon oreille avant de tendre les bras vers le paquet qu’Isaiha me donnait « Il ne fallait vraiment pas…cette soirée me suffisait amplement » leur avouais-je sincèrement, avant de me sentir curieuse au moment où Capucine me demandait de ne pas ouvrir le cadeau aux yeux de tous. J’ouvrais alors délicatement le paquet, et soulevait le fin papier à l’intérieur pour découvrir une lingerie. Je reculais ma chaise pour poser le paquet sur mes genoux et avoir mes deux mains pour tout de même, prendre la culotte entre mes mains et observer le tissu. Et là je riais aux éclats quand Capucine nous rappelait de ne pas le déchirer : « Dis-le lui, à LUI ! » m’exclamais-je avant de ranger la culotte, le sourire aux lèvres avant d’oser demander « Mais euhm…Isaiha….C’est de ta part à toi aussi ?! » je le regardais, complètement surprise, connaissant la pudeur que l’homme m’avait habitué à voir « Woaw...Je suiiiisss….surprise…mais RAVIE ! » le taquinais-je. Puis je fermais la boite, avant de regarder le couple en face de moi, et de leur sourire de plus belle « Merci beaucoup, vraiment !!! C’est super jolie et sexy, et… » Je jetais un œil à Paris avant de dire d’un air amusé « Il n’y a pas qu’à moi que cela plait, apparemment ! ». Je fis un clin d’œil à mon époux, puis articulais des mots, sans pourtant les prononcer « TU LES DECHIRERA PAS ! » J’y tenais à ceux-là déjà !! Ils étaient bien trop beaux pour finir ainsi négligés.

Je pensais qu’on allait enfin pouvoir passer commande, mais ce fut au tour de Paris de me surprendre avec un cadeau dissimulé jusqu’ici par Isaiha et Capucine. Et alors que je déballais le cadeau, l’image du cadeau imprimé sur la boite se fit remarquer, me faisant ouvrir la bouche en grand, sans qu’aucun son ne sorte au départ. A la place, je m’excitais un peu plus pour ouvrir la boite et une fois sûre, je m’exclamais enfin « Un instantané !!! Je l’ai pas ce modèle là en plus !!! » En ce moment, les prises de photos instantanées étaient mon p’tit délire, et Paris avait sans doute plus que compris cela, vu le cadeau qu’il m’offrait ! J’approchais ma main vers le visage de Paris pour l’attraper par le menton et venais l’embrasser de bon cœur « Merci mon cœur !!! J’adore !! » Puis les yeux brillants, je répétais ma reconnaissance à tous ceux présents à ma table « Sincèrement, Merci !! Merci pour tout ! » Tandis que Paris proposait de prendre le champagne, moi je déballais un instant l’appareil, déjà équipé de quelques films à l’intérieur, et enthousiasme à l’idée d’immortaliser ce moment, je demandais « Paris, tu veux bien te mettre à côté de Capucine s’il te plait ?? Il faut que je vous prenne tous les trois en photo !! Vraiment. » Ce souvenir, je tenais à l’inscrire sur une photo. Je tenais à me rappeler de leur visage enjoués, de leur présence à mes côtés, et d’immortaliser par la même le bonheur de nos deux amis. « J’enlève le flash, Isaiha, promis ! »

HJ : JE VOUS ASSURE QUE J'AI ESSAYÉ DE NE PAS FAIRE LONG !!


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