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Si le couple s’était mis d’accord sur leurs projets à court terme pour la suite de leurs achats, il leur restait quelque chose de beaucoup plus sérieux à régler : les problèmes financiers du Lowell qui avait tout fait pour les minimiser jusque là. Il n’aimait pas l’idée qu’on puisse lui faire la charité. Dans le fond, c’était un homme avec une fierté vraiment très mal placée et cela, Capucine le savait parfaitement. Néanmoins, il avait fait la promesse à sa petite-amie de ne rien lui cacher et il dévoila que les fins de mois étaient beaucoup plus compliquées depuis son agression. Son oncle détournait l’entièreté de son salaire au centre équestre pour se rembourser mais au-delà de ce geste, il avait souhaité également lui donner une bonne leçon : dans ce monde moderne, l’argent était le nerf de la guerre et il devait apprendre à le gérer avec sérieux et non avec oisiveté comme il l’avait fait jusque-là. Le problème c’est qu’Isaiha avait du mal avec le fait d’être entretenu par Capucine. Il était bien trop fier et macho pour accepter sans grimacer. « D’accord mais en échange, permets moi au moins d’être utile. Je pourrais sortir Rags ou faire du bricolage si tu as besoin. Je ne sais pas encore cuisiner parfaitement mais je pourrais t’offrir des repas » tenta-t-il de parlementer légèrement sur les termes de leur accord. Il acceptait son aide songea-t-il alors qu’elle l’embrassait tendrement mais il avait besoin d’être utile, de mériter en quelque sorte son aide financière. Le lowell s’excusa tout de même d’être si peu fiable mais la réponse de sa brune adorée le soulagea et lui redonna en quelque sorte, sa virilité mise à mal. « Je te le promets Capucine… Merci d’être là pour moi » dit-il avant de l’embrasser à nouveau comme pour sceller leur promesse.

Capucine se détacha de lui en lui prenant la main pour le forcer à quitter son coffre qu’elle referma derrière lui. « Allons-y car je ne suis pas un grand passionné de shopping » avoua-t-il avec un petit sourire. Il se sentait toujours gêné quand il essayait des vêtements car il n’était pas idiot, de temps en temps, les vendeuses en profitaient bassement en lui conseillant des vêtements bien trop près du corps. « Je me demandais… est-ce que tu portes des maillots de bain une pièce ? » tenta-t-il maladroitement de savoir les habitudes de Capucine en matière d’habillement de plage. Isaiha n’avait pas encore été confronté à la chose avec sa petite-amie donc il avançait comme sur des œufs. Il ne pouvait pas d’emblée lui dire : j’aimerai que tu sois couverte un minimum car je n’aime pas les femmes en bikini sur les plages, trouvant cela bien trop vulgaire. Que voulez-vous, il avait encore des progrès à faire de ce côté-là.



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« Alors, ça tombe bien que tu me proposes ça !! Papa a besoin de faire des travaux dans sa maison de campagne ! Tu pourrais l'aider, ça lui ferait plaisir de pas être tout seul ! Et puis, pour ma part, j'ai deux trois trucs à faire à l'appartement si tu t'en sens le courage ! Alors, si ça peut t'aider à te sentir mieux vis à vis de ta « dette » envers moi, tu es libre de faire les travaux manuels ! » Après tout, Capucine n'allait pas cracher sur un peu d'aide pour des travaux. Elle devait repeindre les murs des deux autres chambres et faire d'autres modifications. Si Isaiha avait envie de se rendre utile et que ça le soulageait, Capucine n'allait pas l'empêcher de le faire.

Le jeune homme semblait se sentir mieux et Capucine sentit son cœur se gonfler de fierté. Elle était heureuse de pouvoir l'aider. De ce dont elle se souvenait, Jorah n'avait jamais accepté son aide, quid à ce qu'ils se disputent, proche du point de rupture. Au moins, Isaiha savait garder sa fierté dans sa poche durant quelques temps le temps de se refaire. Jorah aurait préféré être à la rue plutôt que d'accepter que Capucine lui tende la main. Elle se serait faite envoyer balader violemment et la discussion aurait été close rapidement sans que la brune ne puisse argumenter quoi que ce soit. C'était la raison pour laquelle Capucine avait mis du temps à se mettre en appartement avec Jorah Au moins, Isaiha écoutait son point de vue et essayait de le coupler avec le sien, tout en minimisant les compromis. Capucine pouvait comprendre que dans la tête des hommes, les femmes n'avaient pas à les assumer et qu'ils devaient avoir les épaules assez larges pour eux deux. Mais Capucine n'avait pas envie qu'il soit au plus bas avant de réussir à remonter la pente. Elle voulait l'aider sans pour autant le rendre oisif. Si elle l'aidait, c'était avec sa participation à lui et si Isaiha voulait faire des travaux manuels pour ça, alors la jeune femme acceptait qu'il le fasse. « J'aime pas non plus ça. Les vendeuses pensent toujours mieux savoir ce que j'aime que moi même... Je préfère commander sur internet. » Glissant sa main dans celle de son Lowell, la brune se dirigea vers les magasins de vêtements dans le but de trouver un maillot de bain pour la Jamaïque. Elle n'allait pas trouver grand chose, ce n'était pas encore la saison pour les maillots de bain. « Oh... Non, je porte des deux pièces en général mai je ne met que le bas, je n'aime pas avoir la trace du maillot en haut. Du coup, je l'achète en deux partie pour retirer le haut une fois sur la serviette... Toute façon, pour ce que je bronze... Je rougis plus que je ne brunis. Je ferais mieux de rester à l'ombre ou enfermé des qu'il y a du soleil. » Alors là, Capucine ne se doutait même pas qu'elle allait créer une polémique parce que mademoiselle aimait bien faire du seins nus sur la plage. Enfin, pour elle s'était totalement naturel et personne n'en avait jamais rien dit. Elle en faisait depuis qu'elle avait seize ans et ça n'avait jamais gêné personne. Sauf peut être son père qui avait pas mal râlé à l'époque avant d'abdiquer en voyant que sa fille ne changerait pas d'avis.
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Il était important pour Isaiha de pouvoir donner au lieu de ne faire que recevoir. Capucine lui assurait que ce n’était qu’un prêt mais en attendant, il avait besoin de se rendre utile, de pouvoir lui apporter quelque chose en retour. Ce n’est qu’ainsi qu’il pourrait se sentir bien et non entretenu comme un vulgaire gigolo bien qu’il eût conscience que sa petite-amie ne le voyait pas ainsi. Le Lowell avait une fierté vraiment mal placée mais c’était bien depuis peu qu’il en mesurait les conséquences. Il était tout de même heureux que sa petite brune veuille lui venir en aide tout en ménageant sa virilité. Rien que pour cela, il aurait pu l’embrasser en public de manière passionnée. Il se retint tout de même, étant de nature très pudique. « Je n’ai jamais commandé sur internet mise à part un week-end mais je me suis complétement trompé dans les réservations » soupira-t-il. En fait, à bien y réfléchir, il avait effectué deux achats : le premier pour le Summer Camp et le deuxième pour un week-end en amoureux avec Amanda. Week-end qui n’avait pas réussi à souder son couple soi-dit en passant. « Par contre, je vais avoir besoin de ton aide… pour les couleurs » dit-il après une légère hésitation. L’étudiant ne voyait plus qu’en noir et blanc. Il s’était entrainé durant deux jours pour s’exercer mais en dehors des contrastes, il n’avait pas encore trouvé de quoi l’aider à différencier les couleurs. Casey lui avait proposé de coudre un code couleur sur chacun de ses vêtements pour l’aider et il avait trouvé l’idée intéressante.

Pour l’heure, il était surtout intéressé par les coutumes de Capucine en matière de vêtements de plage mais peut-être aurait-il mieux fallu qu’il se taise. « Tu ne peux pas te promener seins nus sur la plage !! » s’exclama-t-il complétement outré. « Tout le monde va… enfin… ça ne se fait pas » ajouta-t-il complétement effaré. Où était la pudeur de Capucine ? et puis, égoïstement, il n’avait pas envie que quelqu’un d’autre que lui puisse voir et être tenté par son percing. « Il en est hors de question » marmonna-t-il en la toisant d’un regard sévère bien que l’effet était un peu compliqué à percevoir derrière ses verres teintés. « Hors de question que ma petite-amie soit à moitié nue sur la plage, à la merci des regards masculins. De tout de manière, si tu fais ça… je m’en fiche, je te cacherai de mes mains ou je t’enterrerai jusqu’au cou dans le sable » grommela-t-il tandis qu’ils pénétraient dans une boutique de maillot de bain. Isaiha ne supportait même pas d’être en slip de bain à la piscine, songeant qu’il montrait bien trop de choses alors impossible de s’imaginer une Capucine à moitié nue. Une petite voix lui souffla que son désarroi face à cette pratique était également motivée par le fait qu’il lui était difficile de s’imaginer rester de marbre devant une telle vision. Attrapant le premier bermuda de plage à sa taille et pas très cher, il le glissa en travers de son bras avant d’en prendre un second juste au cas où.



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« Ah oui ? Oh pourtant ce n'est pas très compliqué ! Je pourrais t'aider si jamais tu veux commander sur internet, j'ai des sites sympas ! » Après tout, elle était là pour l'aider avec ça aussi. Même si elle appréciait de passer du temps avec lui hors de l'appartement. La jeune femme était prête à l'aider pour n'importe quoi si ça pouvait lui faciliter la vie. Et à supporter des choses qu'elle n'aimait pas. Pour Isaiha, elle ferait n'importe quoi pour qu'il soit bien. Après tout, c'était son rôle non ?

Parcourant les rayons des vêtements, Capucine exprimait alors sa façon d'être sur la plage. La réaction de Isaiha ne se fit pas attendre, figeant Capucine qui avait hausser les sourcils tout haut. « Quoi ? » La jeune femme le fixait, hébétée de sa réaction et surprise qu'il soit si outré de ce qu'elle pouvait bien faire de son corps. Inspirant profondément, Capucine posa ses mains sur ses hanches, fixant le Lowell, consternée qu'il lui interdise quoi que ce soit. « Excuse moi Charles Ingalls mais je fais encore ce que je veux de mon corps non ? » Secouant son visage, la jeune femme s'éloigna vers le rayon des maillots de bain, soupirant doucement. « Non mais... N'importe quoi... Il en est hors de question ? Et puis quoi encore ? » Grommela t-elle en observant les maillots de bain d'un air distrait. Elle n'avait même plus envie d'acheter quoi que ce soit. Elle n'avait même plus envie d'aller en Jamaïque. « Si ça continue tu vas y aller tout seul au Spring Break, tu pourras sauter de la Lily-Rose à ta guise et j'irais me reposer en Angleterre moi... » Bien sur elle n'en pensait pas le moindre mot, elle n'allait certainement pas le laisser y aller tout seul. Mais sa réaction était blessante et pénible. Elle n'était pas sa chose mais sa petite amie. Un être humain libre de penser et de faire ce qu'elle voulait. Elle ne se prostituait pas ni ne tournait des films pornos alors elle ne voyait pas ce qui le mettait dans tous ses états. Lâchant un lourd soupir, Capucine attrapa un maillot de bain simple, rose vif avec des motifs tribaux très colorés sur les bandes. Elle se dirigea vers la cabine, sans adresser un mot ou un regard à Isaiha et se glissa dans une cabine pour essayer le maillot de bain en marmonnant. « Il en est hors de question... On dirait mon père... Franchement. C'est pas comme si j'avais des seins à montrer en plus. » Capucine enfila le maillot de bien entièrement, vérifiant que tout allait bien. Elle l'aimait bien celui là et elle n'avait pas envie de chercher pendant trois heures. C'était donc celui qu'elle prendrait pour le Spring Break.
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Visiblement, Isaiha n’avait pas eu la bonne réaction face à la révélation de l’année à savoir une Capucine adepte du monokini sur la plage. Il ne pouvait réagir autrement ! « J’ignore qui est cet homme mais je me doute que tu ne dois pas le porter dans ton cœur » répliqua-t-il avant de froncer les sourcils. « Tu es ma compagne Capucine et je refuse que tu me parles sur ce ton » dit-il avec un peu plus de froideur en croisant les bras sur son torse. Il n’aimait pas son allusion concernant Lily. « Je ne suis pas une de tes connaissances à laquelle tu peux manquer de respect ou de lui souhaiter une aventure sexuelle pour te défouler. Je n’ai aucunement l’intention d’honorer une autre femme que toi et encore moins que tu puisses en être indifférente à ce point » ajouta-t-il à la fois blessé qu’elle puisse s’imaginer qu’il nourrisse un tel désir envers une autre femme et encore moins qu’elle rejette de cette manière. Il ne savait pas comment exprimer à la fois son mécontentement mais également sa peur de la voir être séduite par un autre homme. Il avait bien compris qu’elle mésestimait son pouvoir de séduction ou qu’elle était complexée par son corps. Il avait beau avoir des lacunes, il n’en restait pas moins très observateur. D’ailleurs, c’était justement ce qu’il redoutait : qu’un autre homme puisse la séduire alors qu’elle s’imaginait ne pas être aussi belle et sexy qu’une autre. Au contraire, à ses yeux, elle était magnifique, son corps était parfait. Il n’y avait qu’elle pour être aussi aveugle quant à son pouvoir de séduction. Certes, elle n’avait pas les mensurations d’un mannequin mais sa personnalité flamboyante, cette lueur de fragilité qu’on pouvait lire parfois dans son regard… Dieu que c’était un cocktail redoutable pour un cœur masculin.

« Tu as des seins à montrer, il n’y a que toi pour ne pas t’en rendre compte » dit-il après l’avoir suivi dans le coin réservé aux cabines d’essayage. « Tu es belle Capucine et la poitrine que tu as si souvent tendance à incriminer est parfaite. J’aime… J’aime tes seins, ils sont parfaits à mes yeux tout comme le reste de ton corps. Tu n’as pas conscience de combien tu es magnifique à mes yeux, combien tu es séduisante, attirante. Tu n’as pas besoin de ressembler à un mannequin pour être sexy. Tu as une personnalité attrayante, un cœur immense et la beauté de ton regard vaut bien tous les trésors du monde. Si je ne veux pas que tu t’affiches sur la plage ainsi, c’est bien parce que je crains qu’un autre homme voit la manière dont je peux te voir et ne décide à te courtiser. Ce trésor, j’ai envie de le garder jalousement pour moi » termine-t-il son long monologue débité à voix basse pour n’être entendue que d’elle. « Alors soit, c’est ton corps, tu peux en faire ce que tu veux mais je ne changerai pas d’opinion à ce sujet »



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Capucine trembla d'effroi en entendant les paroles de Isaiha. Il lui donnait la sensation d'être bridée et de ne pas avoir son mot à dire dans l'histoire. Comme à chaque fois qu'elle était exaspérée, Capucine parlait exactement comme elle le pensait. Elle n'avait aucune envie qu'il ait des aventures sexuelles avec d'autres qu'elle mais c'était plus fort qu'elle. Elle ne pouvait pas s'empêcher de dire exactement ce qu'elle pensait de tout ça. Isaiha ne l'engueulait pas, il lui disait sincèrement ce qu'il pensait de tout ça et lui parlait avec une froideur qu'elle n'aimait pas. Jorah aurait pété une durite et serait parti au quart de tour avant de lui hurler dessus et de la planter dans le magasin, partant d'un air furibond. Au fond, elle ne savait pas ce qu'elle préférait. Une discussion clôturée brutalement ou une explication pénible à supporter. La jeune femme gonfla les joues. « Ok je suis désolée, c'est bon !! » Siffla t-elle entre ses dents. Il ne l'énervait pas. Ce n'était pas lui qui l'énervait mais bien le sujet de la conversation et le fait qu'elle ne réfléchisse pas quand elle parle.

Capucine était occupée à enfiler le maillot de bain dans la cabine, écoutant Isaiha. Elle leva les yeux au ciel en retenant un soupir alors qu'elle se rhabillait mais se figea en entendant la suite. Il était tellement adorable quand il lui parlait de ses sentiments. Elle était contente qu'il ne puisse pas la voir, affichant un léger sourire remplit d'amour et de tendresse, le rouge aux joues, touchée par ses mots. Isaiha n'était vraiment pas le genre d'homme à être méchant dans ses paroles. Il expliquait toujours ce qu'il avait en tête avec calme et détermination. Le flot de paroles qu'il déversait était réfléchit, censé. Capucine se sentait sienne, désirée par cet homme particulier, unique, dont elle ne voulait pas se séparer. Mais pas au prix de concessions si ridicule. Soupirant doucement en perdant son sourire, Capucine savait que Isaiha n'aimerait pas qu'elle le fasse mais c'était elle, elle était comme ça. Elle n'avait aucune pudeur à montrer sa poitrine aux inconnus, se fichant pas mal qu'on la regarde, surtout s'il était là, avec elle. La Dunster ouvrit doucement le rideau et observa le Lowell, le tirant doucement dans la cabine avant de refermer le rideau. Elle s'installa sur le petit fauteuil, son maillot en main. « Essaie les tiens... » Lança t-elle calmement en lui montrant les maillots qu'il avait choisi. Elle savait qu'elle devait lui répondre mais ne savait pas si c'était vraiment approprié. « Écoute... Bébé... J'ai passé quatre années à faire du seins nus sur la plage et je suis restée célibataire. Ce n'est pas parce qu'on est ensemble, que je vais avoir une foule de prétendants. Et puis, sincèrement, je t'ai toi, ça me suffit. J'exhibe pas ma poitrine pour racoler du mâle, un mâle j'en ai déjà un et il me convient parfaitement. Je le fais parce que je me sens plus libre et que j'ai pas de traces de maillot comme ça. Je te jure Isaiha, tu dois t'ouvrir plus à mon monde et moins rester coincé dans ton passé. Je suis pas la seule à le faire et ça change rien. Tout ça, tout mon corps, mon âme, mon esprit mais surtout mon cœur, tout ça c'est à toi et ça sera pas à un autre. Je me fiche d'être courtisée par d'autres tant que toi, tu continues de me courtiser... » Elle espérait faire mouche avec ce qu'elle venait de dire, s'étonnant elle même d'être si calme dans ses propos.

Capucine se leva et vint se coller contre son Lowell, l'observant avec une envie non dissimulée. Elle glissa ses mains sur son torse, descendant doucement vers son pubis. « Puis... Si tu m'en veux tellement, je peux me faire pardonner... » Pas vraiment consciente qu'elle allait le mettre mal à l'aise.
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Isaiha n’aimait pas être fâché avec Capucine et cela ne datait pas d’hier. Il détestait l’idée qu’elle puisse lui en vouloir pour une raison ou une autre. Ses excuses ne le satisfaisaient pas mais il appréciait le geste pour ainsi dire. En réalité, il voulait qu’elle comprenne que ce n’était pas l’amish en question qui lui parlait mais bien l’homme pudique qui détestait l’idée qu’un autre homme puisse la contempler à moitié nue. Sa petite brune n’avait pas conscience de combien elle était désirable, de combien elle était magnifique car pour elle, la beauté venait des formes. Or pour lui, c’était avant tout l’âme d’une personne qui la rendait belle. Il avait déjà croisé la route de femmes aux traits symétriques, aux formes généreuses etc. mais il était resté indifférent car il était beaucoup plus réceptif au cœur d’une personne qu’à son physique. Capucine elle, avait une beauté intemporelle. Elle pouvait appartenir au siècle passé comme au futur… Il ne saurait décrire exactement la richesse de sa personne mais une chose était sûre : il en était profondément amoureux et sensible à ses charmes.

Il fut soulagé qu’elle le tire dans sa cabine d’essayage. Il voyait en ce geste, un signe d’apaisement, de paix entre eux. A quoi servait de crier quand on pouvait s’expliquer ? Crever l’abcès ? Il la connaissait parfaitement pour savoir que l’affronter directement était le seul moyen pour qu’elle se mette à crier plus fort uniquement pour avoir le dessus. Aussi, conserver son calme et mettre une certaine distance entre eux, était la meilleure façon d’obtenir une réaction plus posée et cela ne manqua pas un seul instant. « C’est là que tu as du mal à comprendre Capucine » soupira-t-il en commençant à se déshabiller pour essayer l’un de ses bermudas. « Ce n’est pas l’amish ou l’homme croyant qui a du mal avec le fait que tu puisses t’afficher publiquement mais bien l’homme pudique. Je ne suis pas à l’aise face à la nudité en public que ce soit la mienne ou celle d’une autre personne. Je sais bien que je ne pourrais jamais te faire changer d’avis ni même te forcer à faire quelque chose que tu ne souhaiteras pas seulement, je suis contre l’idée de ne pas m’exprimer, de ne pas dire quand je n’aime pas quelque chose. Je ne vais pas me taire parce que nous sommes en couple tous les deux : si quelque chose me gêne ou me choque, je te le dirais car j’estime être dans mon droit. Cela n’a rien à voir avec mon passé… J’ai des valeurs, des principes de vie comme tu as les tiens et je ne les abandonnerai pas pour toi comme je refuse que tu le fasses pour moi. N’oublie pas qu’avant d’avoir été un amish, je suis un homme qui a un cerveau et des valeurs morales qui lui sont propres. Je ne m’écraserai pas ni pour toi, ni pour personne » termine-t-il de dire en déposant un baiser sur ses lèvres pour nuancer ses propos. Sa petite brune devait apprendre à composer avec sa personnalité comme il le faisait avec elle. « Qu’est..Qu’est-ce que tu fais ?! » dit-il en lui attrapant les poignets. Elle ne songeait tout de même pas à… ça… ici ?! « Nous sommes dans un magasin ! »



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La jeune femme n'était pas stupide, elle comprenait bien ce qu'il voulait lui dire. Mais peut être qu'elle ne voyait que l'Amish et pas l'homme, comme il le lui expliquait si bien. La Dunster se sentit extrêmement mal soudainement en songeant qu'au final, elle ne le comprenait pas tant qu'elle l'aurait voulu. L'étudiante pâlit légèrement, mal à l'aise à l'idée qu'elle pouvait le mettre mal à l'aise ou dans une mauvaise posture. « Excuse moi, j'ai pas trop réfléchis sur le moment... » Elle devait absolument se détacher de l'Amish et se concentrer sur l'homme. La jeune femme pinça les lèvres et l'observa avec tendresse et tourment. Elle ne voulait pas le blesser ou le rabaisser quand elle pensait bien faire. « Si tu ne veux pas que j'abandonne mes principes de vie, s'il te plaît, ne m'interdis pas de vivre comme j'ai envie tant que ça ne froisse pas ton honneur. Je ferais jamais rien qui te fasse honte ou te mette mal à l'aise. Ni même qui te fasse te sentir rabaissé. Et je t'assure que faire du monokini ne changera absolument rien. Je ne retire le haut que pour bronzer, pas pour me baigner. Mais si vraiment ça t'ennuie, je me collerai deux étoiles de mer sur les seins quand je voudrais tenter de bronzer devant... » Tenta t-elle avec une pointe d'humour. Elle n'avait pas envie de gâcher leur petite journée.

Et elle était prête à se faire pardonner comme il se devait. Mais elle n'eut rien le temps de faire qu'il lui attrapa les poignets, la faisant sursauter. Capucine observait le Lowell, interdite. Elle ne voyait pas en quoi le fait d'être dans une cabine d'essayage devait freiner ses envies. Elle se dégagea doucement et hocha la tête. « Oui je sais... Il suffit que tu ne sois pas trop bruyant et personne ne le saura à part nous... » Et à ces mots, elle se colla contre lui, recommençant à balader sa main sur son torse dans une moue boudeuse. « Tu n'en as pas envie ? » Murmura t-elle en glissant doucement sa langue sur ses propres lèvres.
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Il ne voulait pas la mettre mal à l’aise mais il était important pour lui qu’elle comprenne qu’être amish n’était pas partie intégrante de sa personnalité ou qu’il ne se résumait pas qu’à cela. « Tu n’as pas à t’excuser ni même à te tourmenter à cause de cela. J’ai toujours fait que parler de mon ancienne communauté sans vraiment me dévoiler réellement en tant qu’homme » avoua-t-il. Isaiha était un homme pudique qui ne parlait pas souvent de ses émotions ou même de ses envies. Il faisait l’effort pour Capucine car il était normal qu’il se confie à elle. Ils étaient un couple à présent et chacun devait apprendre à connaitre l’autre. Cette conversation avait au moins ce bénéfice-là. « D’accord… je ne veux pas t’interdire cette pratique mais je ne réponds pas de ma conduite si un homme passe. Il se pourrait bien que tes étoiles de mer soient replacées par mes mains » dit-il avec un petit sourire. Il devait faire des efforts pour ne pas étouffer Capucine tout comme elle devait lui accorder d’avoir des mœurs moins libérales qu’elle. Le tout était de trouver le bon compromis songea-t-il.

En parlant de mœurs différentes, il ne s’attendait pas à ce qu’elle veuille se faire pardonner de manière aussi singulière. « Mais… si une vendeuse vient te chercher ? » protesta-t-il mollement. L’idée était on ne peut plus plaisante, il n’allait pas s’en cacher surtout que collée ainsi à lui, elle avait tout loisir de prendre la mesure de son désir. « Non…Si… enfin… C’est pas ça… » bafouilla-t-il tandis que son regard se posait sur ses lèvres et cette langue mutine qui les balayait. Oh misère, Capucine aurait sa perte. « Tu es un petit lutin diabolique » soupire-t-il avant de se pencher vers elle pour l’embrasser langoureusement, ses mains venant se poser sur ses hanches pour la coller davantage à lui.




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