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I Will Always Love You.

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« Inutile de me poser la question bébé, tu n’en auras pas la réponse » dit-il sur un ton amusé car il voulait conserver la surprise jusqu’au dernier moment. Le Dunster était un peu plus détendu maintenant que le dîner était passé. Il voyait bien que Summer se régalait de cette soirée et la pression sur ses épaules commençaient doucement mais sûrement à retomber. Il allait pouvoir réellement profiter de sa femme et de leur soirée -bien qu’il n’avait pas boudé son plaisir de toute la soirée. « Nous aurons tout le loisir de recommencer cette croisière une autre fois mais ce soir, je voulais t’avoir rien que pour moi » répondit-il avec tendresse. Il connaissait son amour pour la photographie mais ce soir, il avait voulu la voir concentrée sur une seule chose : eux. « Je suis heureux dans ce cas ! Je voulais que tout soit parfait à tes yeux » avoue-t-il comme un gamin qui serait tout content d’avoir ramené une excellente note à ses parents. Paris était ainsi : il voulait décevoir personne et encore moins les personnes chères à son cœur. Etant donné que Summer y tenait la première place, il était d’autant plus ravi d’avoir pu la surprendre aussi agréablement. Néanmoins, l’étudiant reconnaissait bien volontiers que de la voir dans cette robe toute la soirée avait été un vrai défi pour sa libido comme il vint lui en faire la remarque en butinant son cou, remontant vers son oreille pour y mordiller son lobe. « Encore un peu… mais je saurais patienter, et toi ? » rigole-t-il doucement avant de s’écarter pour prendre ses lèvres dans un tendre et langoureux baiser. Visiblement, Summer était toute aussi impatiente de pouvoir déclencher un véritable feu d’artifice entre eux. « Alors j’ai bien fait de prévoir des vêtements de rechange là où l’on va » s’amuse-t-il à répondre avant que Joe ne lui donne le signal comme quoi, ils approchaient de leur dernière étape.

« Tu sais ce que cela me rappelle quand je te vois les yeux bandés ? Ce fameux après-midi chez tes parents où tu as crié comme jamais » murmura-t-il à son oreille. « On gardera peut-être l’idée pour le dessert en effet » reprit-il avec un petit rire tandis que la limousine s’arrêtait. Paris l’aida à sortir de la voiture avant de la prendre dans ses bras pour épargner ses chevilles. Le terrain n’était franchement pas propice aux talons haut. Il avait tellement hâte de découvrir sa réaction face à cette surprise que c’était presque avec impatience qu’il marchait vers leur petite bulle d’amour. Fébrilement, il ôta son bandeau, lui laissant tout loisir de prendre connaissance des lieux. Summer n’en avait pas conscience mais il la dévorait littéralement du regard mais ce fut une énorme dose d’amour qui se déversa sur son cœur quand elle vint se blottir dans ses bras. « Je suis ton mari Summer, il est normal que je fasse ce genre de choses pour toi. Je ne me rappelle pas des vœux que nous avons échangé à Vegas mais je suis certain d’une chose : je t’ai promis de t’aimer et de te chérir jusqu’à ce que la mort nous sépare. Je t’aime mon amour et tant que j’aurais un souffle de vie en moi, je ferais tout pour te rendre heureuse » dit-il d’un ton sérieux en la serrant dans ses bras. « Cette bulle est à nous jusqu’à onze heures demain alors profitons-en » dit-il en lui prenant la main pour la faire pénétrer dans leur bulle, passant par le sas d’entrée avant de pouvoir enfin pénétrer dans cette bulle « glamour » où du champagne les attendait. « Trinquons à nous avant que je ne craque définitivement ! » dit-il en se saisissant de la bouteille. Il avait fait attention toute la soirée à ce qu’elle ne boive aucune goutte d’alcool afin qu’elle puisse savourer cette coupe de champagne dans l’intimité de leur refuge.



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J’étais blottie dans les bras de mon mari alors que ce dernier me répondait sincèrement qu’il faisait tout cela parce qu’il était certain de m’avoir promis de me chérir et de m’aimer jusqu’à ce que la mort nous sépare. Et moi ? je savais au fond de moi que je lui avais sans doute promis le jour où l’on s’était mariés –bourrés – que je ne passerais pas un jour sans lui rendre au centuple tout l’amour qu’il me donnait.
Je restais lovée contre Paris, sans savoir quoi lui dire tant l’émotion était trop forte pour mon petit cœur ! Toute cette soirée était idyllique, un rêve éveillé ! Si bien que je n’osais même plus faire un pas, par peur de quitter les bras de mon homme…pourtant, quand il me prit la main pour me guider vers notre petite maison bulle, je me laissais faire docilement, toujours sous le choc de tout ce qu’il avait organisé. Je n’arrivais même plus à retenir ces petites larmes qui menaçaient de couler depuis un moment.

Une fois à l’intérieur, je découvrais le décor, et souriais pour le choix de la déco avant d’enfin répondre à cette histoire de temps pour profiter de cette maison. « On peut en faire des choses jusqu’à onze heures demain, n’empêche » C’est vrai quoi : surtout que les grasse mat’, cela faisait longtemps qu’ils ne les avaient pas faites tous les deux, Ashlynn leur prenant beaucoup de temps ! « Sérieusement Paris, c’est magnifique !! Cette idée est juste géniale !! Et t’as vu ce ciel !! » M’enthousiasmais-je en pointant du doigt le toit transparente de cette maison bulle. « On va avoir l’impression de faire l’amour à la belle étoile » Oui, parce qu’autant le dire, on n’allait certainement pas profiter de cette maison pour uniquement DORMIR !! Franchement, ce ne serait pas HONORER Paris que de se contenter d’un tout petit câlin, d’un bisou et d’un gros dodo !!

Je déambulais dans la maison, pour observer ce qui serait notre chambre pour la nuit, faisant tout le tour du lit en glissant ma main sur les draps, les touchant du bout des doigts « Comment ils ont amenés tout ça n’empêche ? Tu sais ?? » Demandais-je, ne sachant même pas si Paris avait participé à l’aménagement de cette bulle. Je revenais alors vers mon époux qui servait deux coupes de champagne et après qu’il m’ait tendu la mienne, je lui souriais chaleureusement, les yeux encore brillants en oubliant même que j’avais pleuré de joie. « C’est du vrai champagne, cette fois ? » je riais gentiment en trinquant avec Paris, en annonçant « A cette belle soirée si bien organisé ; a ce mari génial que j’ai en face de moi, et à nous ! à notre mariage, nos futurs projets, et….à cette vie merveilleuse que j’ai la chance de partager avec toi » et je penchais ensuite mon verre vers Paris, prête à le faire tinter avec celui du Dunster………………. « Bon une gorgée et après on se saute dessus ? » plaisantais-je, même si il ne me fallut pas deux secondes et une grosse gorgée pour ôter mes talons, poser mon verre, et courir pour finir par un saut en vol planer sur le lit !!! « Je veux le même lit à la maiiissssoooonnn !!!!!! » criais-je en riant avant de me retourner comme une crèpe pour faire face aux étoiles au dessus de moi



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Avoir sa femme dans ses bras était toujours un instant magique car Summer lui disait par ce simple contact qu’il ne serait plus jamais seul et que quelqu’un l’aimait. C’était peut-être idiot pour certains mais Paris avait trop été habitué à souffrir, à être abandonné également. Il avait cette sale manie de toujours perdre ceux qu’il appréciait. A force, il développait une faculté de se détacher des autres, de se dire que les gens allaient et venaient dans votre vie sans forcément y rester. Cela ne l’empêchait pas de s’attacher à certaines personnes mais rien n’était éternel. Summer lui prouvait le contraire et lui donnait envie d’y croire avec une force herculéenne. Elle était plus que son épouse, elle était toute son humanité. Quand il cauchemardait, persécuté par son sinistre passé, elle n’avait qu’à lui sourire pour chasser ses démons, elle n’avait qu’à s’offrir à lui pour l’apaiser. Ce soir, il voulait simplement lui montrer qu’il pouvait en faire tout autant de son côté. Ce soir, il avait laissé s’exprimer toute sa sensibilité. Une sensibilité refoulée loin derrière sa colère et sa méfiance naturelle. En somme, elle était la seule pour qui, il acceptait réellement de se mettre à nu et cette soirée en était la plus belle preuve. « Hey… j’espère pour toi que ce sont des larmes de joie hein » murmura-t-il avec tendresse en venant cueillir une petite larme sur le bout de son doigt.

Main dans la main, il la fit entrer dans cette petite bulle qui allait devenir leur cocon pour cette nuit et surtout pour leur grasse mat’. Celles-ci étaient rares depuis Ashlynn. « Quelque chose me dit que tu as plein d’idées en tête » rigole-t-il en s’amusant de son ravissement quant à l’endroit. « C’est pour  cela que j’ai choisi ce lieu entre autre » dit-il en attrapant la bouteille de champagne. Ils allaient enfin pouvoir fêter dignement leur saint valentin. En attendant, Summer faisait le tour rapide du propriétaire. Il n’y avait pas grand-chose à visiter étant donné que la bulle n’était pas très grande. « En fait, c’est un complexe de camping insolite. Nous ne sommes pas vraiment exactement à l’endroit où je t’ai amené la première fois mais de l’autre côté de la forêt. J’ignorai que ça existait avant de me renseigner sur les possibilités de camping dans le parc national » répondit-il. Disons qu’il n’avait pas souhaité qu’un nouveau garde forestier ne vienne les emmerder et surtout les tazer. Cela faisait un mal de chien ! « Du vrai de vrai » s’amusa-t-il à répondre avant de trinquer avec elle pour mieux éclater de rire. « Et on va dire après que c’est moi l’impatient dans notre couple » rigole-t-il en secouant la tête de droite à gauche. Amusé, il la regarda sauter sur le lit tandis qu’il se tournait vers la petite table pour déposer également sa coupe de champagne.

Paris se retourna vers sa femme pour l’observer avant d’enlever ses chaussures et ses chaussettes. Puis, sans la quitter du regard, il ôta son gilet sans manche et déboutonna sa chemise qu’il jeta négligemment sur une chaise présente à ses côtés. Torse nu, il s’approcha du lit pour mieux attraper une de ses chevilles et lui caresser le mollet, remontant dans un tendre massage jusqu’à son genou. « Dans notre prochain appartement, on s’achètera un lit king size » s’amuse-t-il à dire tandis qu’il redescendait vers sa cheville pour mieux la tirer à lui et se pencher vers elle pour l’embrasser tendrement. Cette nuit, il était décidé à prendre son temps, à savourer leur union. Aussi, l’aida-t-il à se relever pour mieux glisser ses mains dans son dos et glisser la fermeture éclair de sa robe qui ne tarda pas à chuter au sol. « Tu es toujours aussi magnifique qu’au premier jour… en fait non… tu l’es davantage » murmura-t-il en déposant un baiser sur le bout de son nez pour mieux la soulever dans ses bras afin qu’elle vienne enrouler ses jambes autour de sa taille. Paris grimpa sur le lit pour mieux l’allonger, la surplombant de son corps. Ses lèvres elles, étaient déjà parties à la reconquête de son cou où elles laissèrent une marque possessive et voyante.


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Les bras écartés, à plat dos sur le lit, je contemplais les étoiles en mode étoile de mer, y’a pas d’autre comparaison. Le sourire aux lèvres, je commençais à déblatérer tout un tas de choses sur les raisons qui avait dû pousser le parc national à créer des maisons bulles. Parmi toutes mes hypothèses, j’avais osé avancer des choses sur genre : « Ça coute moins cher qu’un mobile-home ou qu’un chalet », « C’est pratique, parce que par temps de grand froid, on les dégonfle et HOP, rangé ! », « Tu crois qu’il y a des gens que si on se ballade dehors, on risque de voir des gens tout nus dans leur bulle ? » et enfin, la dernière et non la moindre « Je suis sûre qu’ils ont décidé de créer des maisons bulles à cause de tous ces couples qui voulaient s’envoyer en l’air en pleine nature !! Les gardes forestiers de l’autre fois, ils n’en étaient pas à leur premier coup d’essai ! » …mais je m’arrêtais bien vite de parler des que j’avais relevé légèrement la tête pour apercevoir Paris, et ainsi le découvrir en train de se déshabiller lentement, retirer chaussure et chaussette et en se mettant torse nu. Appuyer sur mes coudes, je ne loupais pas une miette du spectacle qu’il m’offrait, me mordant la lèvre d’anticipation « OOOOhhh toi…j’ai l’impression que tu vas vouloir faire durer le plaisir ce soir, je me trompe ? » Cette lenteur à se déshabiller et à venir…je ne la lui connaissais pas ! « Ce n’est pas que ça ne me plait pas mais….je suis pas sûre de ne tenir avec ce rythme jusqu’au bout. » Pourtant, dieu sait qu’on s’était souvent promis de prendre notre temps tous les deux ! Et je voulais faire l’effort. Pour lui. Pour ce qu’il avait réussi à faire de toute cette soirée. Alors je me faisait violence – mais quand je dis violence, c’est VIOLENCE ( en mode, dans ma tête je suis dans un ring ou je me met des uppercut pour me sonner à mort, afin de ne pas réagir) – pour résister à la tentation de me redresser devant Paris qui me massais la jambes, enveloppant mon genou d’une caresse…Je me hurlais intérieurement dessus de ne surtout pas bouger une mèche de cheveux au moment il me tirait par la cheville pour me faire glisser vers lui. « Oh ouais…un King Size ! Mais pas pour creuser le fossé entre nous, hein ?! Hors de question…compte sur moi pour continuer de jouer au koala avec toi ! » Oh nan, j’avais plus envie d’un king size pour de multiple galipettes, autant le dire ! Finalement, j’avais craquer, et avais réagi physiquement lorsque Paris me complimentait sur mon apparence : je m’étais relevée, bien guidée par Paris, pour me laisser effeuillée par ce dernier, mais mes mains n’étaient inactives : elles parcouraient déjà le torse puissant de mon époux qui me donnait déjà envie de le parsemer de baiser « En fait, je crois que tu aimes ça …me faire rougir » lui déclarais-je suis à son compliment alors que mes joues viraient au rouge. Je passais mes bras autour de son cou au moment où ma robe glissait au sol, et sur la pointe des pieds, je venais picorer les lèvres de Paris, lui avouant à mon tour « Je te trouve moi aussi, encore plus beau chaque jour…. » Précisant même les détails qui me rendait folle « Je ne sais pas si c’est le fait que tu sois un homme marié, ou un père de famille –ou encore le fait qu’on prend de l’âge – mais…tu as ses petites, juste là, quand tu souris, qui sont bien plus visibles et qui te rendent trop craquant… » je déposais un baiser justement sur le bord de ses lèvres et profitait d’un moment d’inattention pour quitter le cou de paris de mes mains et venir poser ces dernières sur le bas de son dos, avant d’ajouter avec un petit sourire malicieux « Et ses petites fossettes là aussi, je les aaadddoooorrreee !!! » Avouais-je rieuse, en venant chatouiller le creux du dos de Paris, juste à la naissance de ses fesses encore cachées par son pantalon « Je craque à chaque fois ! » Finalement, Paris me fit comprendre – en prenant mes mains pour les repasser autour de son cou – qu’il souhaitait me soulever de terre. Instinctivement, j’enroulais mes jambes autour de sa taille, et l’embrassait amoureusement, tandis que Paris grimpait sur le lit, m’allongeant sur le lit en se posant au-dessus de moi. Je ne le lâchais pas des yeux, mon regard bien ancré dans le sien. Ce sont ces moment-là que je chéris le plus à chacun de nos ébats : c’est cette connexion, les regards que l’on s’échange, comme si l’on communiquait tous les deux uniquement grâce à cela….je compris d’ailleurs le message qu’il m’adressait en plantant ses yeux dans les miens, et, lui souriant, je lui murmurais « Promis, on y va lentement cette fois… » Je lui donnais ma parole de ne pas me précipiter, de ne pas tout faire foirer… Ses lèvres s’engouffrait dans le creux de mon cou et je fermais les yeux de plaisir en sentant ses baisers et les sucions qu’il s’appliquait à faire sur ma peau. Mieux encore, je l’y encourageais en passant ma main sur l’arrière de sa tête pour enfoncer mes doigts dans sa chevelure et lui masser le crâne « Je l’avoue pas souvent mais : J’aime quand tu marques ton territoire comme ça…j’aime t’appartenir. » C’est une vérité qui n’était plus à démontrer. Paris devait savoir que je lui étais dévouée et que je lui laissais volontiers la position de dominant. Parce que : DIEU qu’il en avait la carrure !!

Mais bien que j’aimais sa domination, j’avais envie de reprendre le dessus pour quelques minutes, afin de lui permettre de profiter de cette soirée, de réaliser qu’il en est le roi, pour moi. C’est pourquoi, d’un coup de bassin, je le poussais à se mettre de côté et me laisser me dégager de cette position sur le lit. « Allonge-toi sur le ventre, s’il te plait » lui demandais-je poliment. Et bien vite je me plaçais au-dessus de lui, pour lui prodiguer un massage bien mérité ! Ainsi, j’avais une vue imprenable sur ce dos musclé qui était pourvu de quelques marques…des cicatrices de longues dates. Je me souvenais encore de l’émotion qui m’avait gagné les premiers temps où j’avais compris à quoi était dû ces cicatrices. Aujourd’hui, je ne manquais jamais - à chaque fois que je les voyais – d’y déposer un baiser sur chacune d’entre elle, et faire disparaître leurs existences le temps d’une nuit…ce que je fis encore, ce soir, alors que mes doigts s’affairaient à pétrir la peau douce de Paris, bien aidée par mes lèvres ci et là, savourant la chaleur du cœur de Paris sous moi… « J'espère que ça te fait du bien ?... »



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Les questions de Summer lui arrachèrent un petit rire. Il n’y avait pas à dire, elle savait se montrer pipelette mais c’était ce qu’il aimait chez elle : sa fraicheur, son naturel enthousiasme. Elle était son rayon de soleil, sa bouffée d’oxygène ; Lui qui n’avait connu que galère sur galère avant de la rencontrer. Aujourd’hui encore, la malchance le poursuivait mais tout avait changé : une petite main reposait dans la sienne comme pour lui dire : je suis avec toi, quoiqu’il arrive. « Je crois que tu m’as perdu à ta première question » la taquine-t-il avant de rigoler. « Je ne pense pas que le complexe appartienne à l’Etat mais plus à un professionnel du tourisme. Je te montrerai la brochure à l’appartement, comme ça, ta curiosité sera étanchée » répondit-il tandis que peu à peu, il se déshabillait. Summer prit conscience de la chose et il sourit, ravi d’avoir enfin toute son attention. « Bonne déduction Sherlock » s’amuse-t-il à répondre en ôtant sa chemise. Ce n’était pas la première fois qu’il tentait de calmer ses ardeurs afin de lui offrir une nuit d’amour et de tendresse. Cette nuit, il voulait oublier ses démons pour se concentrer sur l’ange qui partageait sa vie depuis un an à présent. Cette nuit, il allait lui montrer combien elle l’avait fait progressé dans le domaine de l’amour et de la maitrise de soi. Ce soir, il voulait lui offrir son amour dans sa plus belle nudité. « Tu y arriveras et si tu échoues, je serais là pour réfréner tes ardeurs » répliqua-t-il avec sa naturelle autorité. Paris pouvait se montrer excessivement dominateur quand il le voulait et ce qui lui plaisait, c’était que sa femme, elle, en était l’exacte opposée.

Un sourire amusé étira ses lèvres. « Tu as décidé de parler ce soir toi » la taquine-t-il à nouveau, simplement heureux d’entendre sa voix au creux de son oreille. Il pourrait l’écouter durant des heures et des heures. Summer n’en avait pas conscience mais même quand il jouait à la console, il l’écoutait, mémorisant chacune de ses intonations dans sa mémoire. « Tu n’imagines pas à quel point j’aime te voir rougir » avoua-t-il en penchant la tête sur le côté tandis que sa robe s’échouait au sol et qu’il sentait sa poitrine s’écraser contre son torse. « Bébé, si tu continues comme ça, c’est moi qui vais rougir » grogna-t-il car une chose ne changerait jamais : il était toujours aussi peu habitué à accepter les compliments. Sa femme pourrait le faire toute sa vie, il aurait toujours cette même retenue car chacun de ses mots se révélait être un baume sur ses blessures morales. Un petit rire s’échappa à nouveau de ses lèvres alors qu’elle le chatouillait. Il écarta rapidement ces petites mains baladeuses pour mieux la soulever dans ses bras et venir l’allonger sur le lit, la surplombant de son corps. Ses lèvres ne tardèrent pas à chercher la peau sensible de son cou pour y laisser leur marque. Elle était sienne. « Et j’aime que tu m’appartiens Summer… Tu es à moi, rien qu’à moi. Je tuerai quiconque essaiera de te voler à moi. Je ne rigole pas… Je ne te laisserai jamais t’enfuir » dit-il d’un ton mortellement sérieux. Elle était bien plus que sa femme, elle était sa moitié. Sans elle, il ne vivait plus. Si un homme ou une femme venait à se glisser entre eux, il n’était pas certain de pouvoir garder son calme. Possessif, il l’était pour le meilleur et pour le pire. « Tu m’appartiens autant que je t’appartiens » ajouta-t-il d’un ton adoucit avant de l’embrasser longuement comme pour effacer son excès de possession.

Il grogna cependant bien vite en la sentant le repousser. Paris fronça les sourcils avant qu’elle ne lui demande de s’allonger sur le ventre. Il se laissa faire malgré une certaine réticence. Elle le savait, il avait toujours un peu de mal à se laisser faire quand il ne pouvait pas voir les choses. Le Dunster supportait que difficilement qu’on se trouve dans son dos car cela lui rappelait de trop mauvaises choses mais sa femme était une exception. Il y avait des choses qu’elle pouvait se permettre bien que dans un premier temps, il persistait toujours une certaine tension dans ses muscles qui s’accentua légèrement quand elle déposa un baiser sur l’une de ses cicatrices. L’étudiant se détendit peu après. Il n’avait rien à craindre d’elle. Summer était bien la dernière personne à vouloir le blesser se sermonna-t-il en appréciant peu à peu le massage qu’elle lui offrait. « Oui… beaucoup de bien » répondit-il en toute honnêteté tandis qu’il fermait les yeux pour s’abandonner à ses mains.



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Paris me trouvait bavarde ? Je ne pouvais pas le contredire sur le sujet, mais lui rappelait mes raisons : « Si je parle, c’est pour m’empêcher de craquer. Une manière comme une autre d’occuper ma bouche » je lui adressais un clin d’œil malicieux avant de me laisser faire en laissant Paris mener la danse et amener un rythme lent à cette fin de soirée. Mais une fois en sous vêtement sous son corps, je ressentais soudain le besoin de porter toute mon attention sur le Dunster qui avait été parfait sur toute la ligne ce soir. Il m’avait fait reine, il était de mon devoir de lui rendre la pareille. Alors, après lui avoir demandé de s’allonger à plat ventre sur le lit, je m’appliquais à un massage pour le détendre, et lui offrir un doux moment de caresse. Je savais que cette position le mettait souvent mal à l’aise, et c’est justement pour cela que je lui demandais si le massage lui faisait du bien ; il en connaissait le message caché. Je ne voulais pas le brusquer, mais je ressentais le besoin de lui prouver qu’il pouvait avoir une confiance aveugle en moi, et que mon seul et unique but était de panser ses plaie, même les plus anciennes et les plus profondes.

Je penchais la tête en observant son dos, m’habituant depuis le temps à ces petites marques qu’il avait, sans pour autant leur faire perdre de leur valeur. Je déposais de temps en temps un baiser sur certaines d’entre elles, profitant de mon intention pour coller mon corps sur celui de Paris, mes seins se pressant légèrement sur son dos. J’approchais mon visage derrière son oreilles et le voyant fermer les yeux, je souriais avant de plaisanter gentiment « Tu ne t’endors pas par contre, hein ? J’ai d’autres projets pour nous…. » Puis je me redressais, pour me concentrer sur le massage que je lui prodiguais, insistant sur le bas de son dos maintenant, m’attardant sur le creux de ses reins et sur la courbe que formais la naissance de son fessier. Je descendais peu à peu du corps de Paris, jusqu’à quitter le lit, le temps de lui demander à nouveau de changer de position « Retourne-toi mon cœur » lui demandais-je avec douceur, et au moment où il se trouvait finalement face à moi, je prenais quelques secondes pour apprécier la vue, trouvant Paris toujours aussi beau et sexy, puis remontais petit à petit sur le lit, glissant au-dessus du corps de Paris à mesure que je me penchais sur lui pour venir poser mes lèvres que l’abdomen du Dunster, remontant Len-te-ment sur son torse, puis dans son cou où je le laissais à mon tour une marque de possession, happant la peau de mon homme tout en caressant l’autre côté de son cou d’une main. « Y’a pas de raison pour que je ne dépose pas ma marque moi non plus » marmonnais-je contre sa peau. D’ailleurs, si cela ne tenait qu’à moi, c’est le corps complet de Paris qui serait marqué de succion ! La main qui caressait le cou de Paris s’aventurait à nouveau en bas, descendant jusqu’à la ceinture du pantalon du Dunster, pour venir y ouvrir la boucle, et se loger sans préambule sous le boxer de Paris pour continuer un autre genre de massage en même temps que ma bouche ne cessait de dévorer son cou.



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