Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility« Just like old time » ∇ AARON - Page 2
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« Just like old time » ∇ AARON

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Qu'importe comment ça a commencé, l'essentiel c'est qu'un jour, on a été l'un vers l'autre. Et que depuis on continue à le faire, sans vague dans notre océan. On se taquine sur celui qui a fait en premier, les pas vers l'autre. Toi, c'est certain..  Fronce légèrement les sourcils, de celle qui doute. Doute, mais à peine. Les deux sont possibles, en nous connaissant. On a dû se jauger de loin, et s'apprécier d'un peu plus près, jusqu'à goûter de nos lèvres. D'ailleurs, mes lèvres s'amusent d'un fin sourire malicieux. « Y a beaucoup de filles qui te résistent ? » Ca me traverse l'esprit, maintenant que j'y pense. J'en fais pas partie. J'suis trop faible quand l'envie me prend le ventre, quand la séduction envenime mon être. Et toi, tu me balances que t'as un gosse. J'peux pas empêcher la surprise, j'peux pas contenir qu'elle transparaisse sur mes traits. Ca doit te faire rire. Ca arrive souvent, non ?  Elle s'appelle Clarke, elle a un an et demie et sa mère, c'est.. disons que c'était compliqué à l'époque, elle était sur Harvard, d'ailleurs. S'attendait à plus jeune, forcément. « Vous étiez ensemble ? » J'ai jamais fais trop attention à tes autres conquêtes, j'avoue. « Et là.. tu.. vas la voir ? Vous partagez la garde ? » T'en veux, de cette gamine ? T'en occuper, avoir ce rôle de père qu'on t'apprend. Je sais ce que c'est, de ne pas être prêt. Surtout quand c'est pas une décision réfléchie en amont, que ça te tombe sur le coin de la gueule, sans prévenir. Qu'importe l'âge, puisqu'on y vient.  Il faut bien, j'ai dépassé les vingt-cinq ans, quand même ! Hausse doucement les épaules. « C'est encore jeune, vingt-cinq ans. » C'est ce que je me répète, quand je vois la trentaine qui arrive, fourbe comme elle est. « J'ai un an de plus que toi, j'te rappelle. Alors j't'interdis de me contredire là-dessus. » Qu'elle s'amuse d'un rire, absorbant une gorgée de bière. « Tu vas faire quoi, à la fin de l'année ? » Le grande stress de l'après. Le mien est tout traçé, j'ai pas d'inquiétude. Ennuyeux. Et toi, qu'est-ce qu'on pourrait te souhaiter ? Des informations croustillantes à me dévoiler ? Fais-moi, rêver.. Secoue la tête, le sourire à la bouche. « J'ai rien qui fais rêver.. » Pas de grandes infos, en comparaison avec la tienne. « Franchement, en ce moment.. J'aime plutôt bien ma vie. » Se pince les lèvres. « Alors, me souhaiter que ça continue. Que j'foute pas tout en l'air. » J'ai un certain potentiel dans l'art de tout détruire.
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just like old time — Bien longtemps qu'il a croisé le chemin de la belle. Mais qui a commencé ? Il n'a pas la réponse, parce que ça peut être lui comme ça peut être elle. Ou tout simplement, les deux en même temps. Une passion dévorante naissait, accompagné d'un respect mutuel. C'est une relation rare qu'il a, avec elle. Et jamais, il ne voudrait que ça change. Il hausse les épaules, à sa question, avant de lui donner une réponse orale. Il y en a. Surprise ? Oui, certaines filles lui résistent, il est bien conscient qu'il ne plait pas à tout le monde. De plus, il accepte toujours un refus. Quand c'est non, c'est non. Parfois, il lui arrive de plaisanter sur le sujet et de montrer de l'insistance mais dans le fond, ce n'est jamais sérieux. Il le prouve souvent en employant ce ton amusé. Mais là, il devient plus sérieux, en annonçant la nouvelle de sa paternité. C'est bizarre, il le sait. Il voit à la tête de Maxym qu'elle n'en revient pas et lui, ça l'amuse. Parce qu'il réagirait de la même façon, s'il se retrouvait face à lui-même. C'était compliqué.. Avec Charline, c'était la passion, c'était l'intensité, c'était la fougue, c'était l'amour, c'est toujours l'amour. Ils n'ont jamais été officiellement un couple. La preuve, elle a couché avec son ex, faisant croire que le bébé était de lui, pour ensuite s'enfuir avec. Un épisode douloureux. Oui, je me rend autant que possible sur New-York. Après pour la garde, je préfère voir après mes études, dans quelques mois. Parce que ça sera plus facile. Il est heureux. Parce que de base, il a toujours cru que ce bébé était de lui avant de voir son monde s'effondrer. Ce monde là, s'est rallumé par cette lettre où il a su la vérité. Cet enfant a toujours été de lui. Il ne s'est jamais posé la question de s'il est prêt ou non, il l'a toujours voulu, au fond. Qu'est-ce qu'un an, de nos jours ? qu'il glisse d'un sourire amusé mais, c'est un bon âge pour accomplir certaines choses. Parce que s'il ne les fait aujourd'hui, le fera-t-il un jour ? Il sait quel genre de vie, il peut avoir.. et parfois, il n'y a pas vraiment de place pour les choses essentielles. Je sais pas, me trouver un job dans l'informatique ? Rester ici ou partir à New-York ? Je n'ai pas vraiment réfléchi. Non, il n'y arrive pas, pourtant il connaît ça, le changement. Il connaît que trop bien mais au fond, il a une certaine peur. Parce qu'il sait, il sait qu'il va devoir tourner une page. les autres fois, il ne le savait pas à l'avance, c'est beaucoup plus facile. Alors, je l'espère pour toi. Que cette vie là continue, que tu sois heureuse. Un sourire sincère s'élargit avant de boire quelques gorgées de sa bière. Il est vraiment heureux pour elle, parce qu'elle le mérite. Enfin.
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 Il y en a. Surprise ? Oui, un peu. Même si évidemment, nous avons chacun des goûts différents, mais j'ai dû mal à imaginer que certaines filles ne te trouvent pas le charme que j'y vois. Tu connais la séduction, tu sais comment regarder, que dire, quoi faire. « Un peu. » Qu'elle admets. « Mais j'suis sûre que pour la bonne moitié, c'est juste une stratégie pour que tu courres derrière. » Les filles sont comme ça. Elles jouent au « non » pour dire « oui », elles se la jouent impossible à obtenir, et râlent quand tu te détournes. J'ai jamais compris. Demoiselle McAllister assume ses désirs. Si je te veux, tu le sauras bien assez vite. C'était compliqué. Se pince les lèvres. « Tu l'aimes encore ? » Tu le sais, j'suis pas du genre à tourner autour du pot. J'vais pas enrober mes mots de tact. Je sais que t'es pas que ce type qui collectionne les aventures, que t'es plus que ça. Capable d'offrir d'avantage. La fille qui y aura le droit, a bien de la chance. Puis, c'est toujours compliqué. C'est jamais simple, quand tu choisis d'offrir une partie de ton être, et la partie la plus fragile, à un autre être.  Oui, je me rend autant que possible sur New-York. Après pour la garde, je préfère voir après mes études, dans quelques mois. Je sais pas, me trouver un job dans l'informatique ? Rester ici ou partir à New-York ? Je n'ai pas vraiment réfléchi. Maintenant que je sais pour ton gosse, j'essaye de t'imaginer avec, d'imaginer quel genre de père tu pourrais être. « Du coup, t'es devenu un pro des couches et des biberons. » Qu'elle le taquine, le sourire au bout des lèvres. « T'envisages de vivre à New-York pour t'en rapprocher ? » Reprend la belle. C'est une idée qui peut traverser l'esprit, et même plusieurs fois. C'est toujours plus compliqué quand il y a de la distance. T'as l'air d'y avoir déjà pensé. Et, j'commence à m'y faire, de voir mes amis quitter Harvard. Il viendra un temps où ça sera mon tour. Le sourire s'élargit à se dernière réplique. Je sais que tu ne veux que mon bien, et ça ne fait que le confirmer. « Alors, on a qu'à trinquer au fait d'être heureux. J'pense qu'on le mérite tous les deux. » Et sur ces mots, boit une gorgée de bière. Nous aussi, les êtres détraqués, on a le droit au bonheur.
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just like old time — Bien sûr que certaines femmes lui résistent et il peut comprendre ça. Il ne cherche pas plus loin. Mais il s'amuse de la réaction de la jeune brune. C'est qu'elle est surprise par ce scoop. J'aimerai mieux qu'elles me courent derrière. dit-il sur le même ton mais en même temps, ce n'est pas si faux. Il court trop derrière les filles. C'est souvent ce qu'il se passe, alors parfois, si ça pouvait être le contraire, ça ne lui ferait pas de mal, surtout à son ego. Mais son ton devient plus sérieux quand il parle de la mère de sa fille. Un sujet pas spécialement douloureux mais justement, compliqué. Et cette question.. il laisse quelques secondes avant d'y répondre. Je l'aimerai toujours. Jamais, il n'a réussi à l'oublier, cette fille a laissé une trace en lui. Une marque qui ne disparaîtra jamais. C'est aussi, a première femme qu'il a aimé et ça, ça ne s'oublie pas. Leur histoire a été trop passionnelle, trop intense, trop vibrante. Mais ça ne l'empêche pas de se lancer dans une nouvelle histoire. Il le sait, maintenant. Mais il y a quelques semaine,s c'était une autre histoire. Il lâche un rire à sa remarque. Attend, j'essaye ! Ouais, c'est drôle à voir, franchement mais au fur et à mesure, il apprend assez vite puis, c'est sa fille, il peut bien faire un effort. J'envisage, oui. Je verrais ça, avec elle et de ce qui se passera à la fin de l'année. Parce que je peux aussi foirer mon examen. Il prend en compte ça aussi, même si oui, il se dit qu'il va réussir mais on ne peut jamais être sûr. Tellement de possibilité, tellement de choix s'offre à lui et pourtant, au fond de lui, il sait très bien que New-York est le meilleur choix. Ce n'est pas si loin de Boston. Parce que mine de rien, en six années, il est attaché à cette ville. Vraiment. Il souhaite tout le bonheur à Maxym, parce que cette fille-là, elle le mérite. Tu sais, ça sonnerait presque comme un adieu, tout ça. J'aime pas du tout. dit-il en grimaçant, légèrement amusé mais oui, quand même, on dirait et il ne veut surtout pas s'imaginer un tel contexte.
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J'aimerai mieux qu'elles me courent derrière. Forcément, c'est plus agréable dans ce sens là. Même si, finalement, ne pas rencontrer de résistance, ça doit être ennuyeux. J'avoue ne pas en rencontrer beaucoup, les hommes sont faibles, quand l'envie est en jeu. Quand il s'agit d'ignorer un peu trop de peau montrée. « Tu ne saurai pas qui choisir, je suis sûre. » Qu'elle s'amuse d'un sourire taquin, au bord des lèvres. Les hommes sont des indécis, ça aussi, je l'ai appris au fur et à mesure des expériences. Ils ne savent jamais choisir entre la raison et passion, entre le passé et le futur. C'est la question qui se pose pour la suite, quand ils abordent le sujet de la mère de l'enfant d'Aaron. Ouais, j'ai dû mal à me faire à cette idée, c'est toujours particulièrement étrange de l'imaginer père. « Tu l'aimes toujours, mais t'as.. de la place pour quelqu'un d'autre ? » Tu vas réussir, à les pousser un peu, pour laisser un petit espace vide pour une autre fille ? J'ai cette théorie qu'on aime toujours un peu ses anciennes relations, qu'on garde cet attachement, comme une habitude. On a juste comprit qu'ils n'étaient plus pour nous. Je sais que je dépasse les limites d'une conversation banale, mais il sait que je ne connais que trop peu les limites. « Arrête, soit pas négatif. Je crois au pouvoir de la bière sur les neurones. » Qu'elle pouffe tout en finissant son verre, prête à se resservir. Le tout, c'est de savoir jongler entre les cours et les sorties. Parole de Dunster qui aurait pu finir chez les Mather. « Ca sera jamais un adieu, j'ai un bout de ma vie à New-York. » Clin d'oeil à l'appui, pour finir de te persuader que ça en a juste l'air. On a pas cette relation très soutenue, mais on peut compter l'un sur l'autre, et c'est dans la durée.
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just like old time — Lui, il est habitué à courir derrière les filles, à devenir accro à l'une d'elles et tomber dans ce piège pour ensuite recommencer, encore et encore. Ouais, il est trop faible, c'est un défaut qu'il tente de maîtriser. Mais il est facilement intriguée par une jeune femme et il veut toujours en savoir plus. De plus, l'envie de se poser et de ressentir, à nouveau, ce sentiment amoureux reste présent. Alors oui, parfois, il aimerait bien qu'une fille lui court après mais... oui, il sera toujours aussi faible. Je peux toutes les choisir. qu'il répondit d'un sourire malicieux mais le sérieux revient quand le sujet de la mère de sa fille est mis sur le tapis. Non pas un sujet délicat mais qu'il ne plaisante jamais, là-dessus. Il avoue qu'il aimera toujours cette fille, elle est en lui et elle ne partira jamais. Mais Maxym tient quelque chose : elle a raison. C'est ça.. je sais que je peux aimer quelqu'un d'autre, que j'y laisserai une place. C'est une chose qu'il n'a compris que récemment, en fait. Avant, il ne prenait pas conscience des sentiments qu'il avait pour Charline, c'est seulement en la revoyant. Il l'aime et il l'aimera toute sa vie mais, d'un autre côté, il peut aimer quelqu'un d'autre et pourquoi pas, faire sa vie, avec. Mais cette mystérieuse fille, et bien.. ça sera la bonne. Je dois être intelligent, si tu le dis ! Je vais apprendre à te faire confiance.. Mais il reste amusé et continue de boire, tranquillement, sa bière. Ah oui ? Dis m'en plus.. Je veux te connaître, McAllister. Oui, parce qu'ils se connaissent parfaitement d'un point de vue, physique mais le reste ? Peut être qu'il est temps de se découvrir. L'envie y est, en tout cas.
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L'adrénaline de la séduction, la liberté du célibat, Maxym en fut longtemps la plus grande défenderesse. Oh, elle continue à brandir sa soif de la belle liberté, de son indépendance, mais elle n'est plus aussi catégorique. Si Ricardo l'avait aidé à faire un bout du chemin, Antwan semblait le finir. Demoiselle a comprit que le confort de bras connus vaut tous les hommes temporaires. On est pareil Aaron, et je pense que tu le sais. On a ce même feu qui consume notre sang, cette fragilité qui fout le cœur en vrac. « Et alors, t'as déjà un prénom pour cette place? » Qu'elle fait sa curieuse, un petit sourire aux coins des lèvres. Bien sûr que je suis indiscrète, mais ça m'intéresse. Choisit-la bien. Une qui te mérite, qui vaut le coup de te passer de toutes les autres. Je me demande à quoi ressemble la femme qui pourrait séduire l'homme, assez, tellement qu'il ne verra qu'elle. « J'ai très souvent raison tu sais, faut m'écouter. » Large sourire taquin, exagéré. « Qu'est-ce que tu veux savoir ? » Ca ne me dérange pas, de me confier en partie à toi. « J'y ai grandit et mes parents sont toujours à new-York, ils y ont le cabinet d'avocats que je devrai récupérer à la fin de mes études. » Tout est écrit, normalement, sauf changement de programme. « Tu m'aideras à traquer les méchants ? » Reprend la belle, les billes sur l'homme.
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just like old time — C'est quelque chose qu'il comprend depuis peu. Qu'il peut laisser une place à une autre personne. Avec son ex, c'est simple maintenant. Ils sont d'accord et peut être qu'un jour, ils se retrouveront, il ne peut prévoir ce genre de chose. Mais pour le moment, il est dans le présent et il est à Boston. Il hausse les épaules avant de lui donner la réponse. Non, la place est libre. Elle t'intéresse ? Il s'en amuse, parce qu'il connaît sa situation, maintenant. Mais aussi, parce qu'il n'est amoureux de personne. Certes, il est proche d'une fille, depuis plusieurs mois mais l'étape supérieure n'a pas encore été franchi. Surtout qu'ils s'éloignent en ce moment et il n'aime pas. Lui qui ne boit que des bières, s'il écoute Maxym, il doit être intelligent. Il pourrait même tenter la Dunster House. Oui mais c'est sa dernière année.. s'il réussit ses examens, en tout cas. Les parties intéressantes. dit-il de ce sourire en coin avant de boire une nouvelle gorgée de sa bière. C'est ce que tu veux ? Reprendre le travail familial ? Il s'intéresse, il s'interroge. Et là, le sourire revient de plus belle. Peut être qu'il sera sur New-York et certainement que leur contact ne sera pas rompu et il aime, il aime entendre ce genre de chose. L'amitié traverse les villes. Je répondrai présent mais qui te dit que je ne suis pas l'un des méchants ? Je suis... le genre qui s'attire les ennuis. Tellement. Bien qu'il a déjà pu s'en sortir, dans le passé. Mais rien ne se termine. Il sait que c'est quotidien, qu'il ne peut échapper, que c'est en lui.
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Les gens se succèdent dans nos esprits et tout le reste, ce n’est juste qu’une question de temps. Le temps que ça prend, de ne plus, ou de moins, être touché par les souvenirs. Il faut du temps pour qu’une place se libère, même infime. Tout en sachant qu’un bout de place sera toujours réservé aux personnes du passé. Tu me dis que la place est libre, et ça me rassure un peu. Ca a l’air tellement facile de rester le visage fixé vers l’arrière. Demoiselle esquisse une petite moue mi désolée, mi amusée. Rien de crédible. « Je vais devoir décliner l’offre, j’n’ai pas envie de m’attirer des jalouses hystériques. » Comme si ça pouvait me faire reculer. Au contraire, j’ai toujours adoré désespérer la concurrence. Mais tu le sais, je suis déjà prise ailleurs. Je me réessaye à la stabilité. « Mais j’aurais adoré te voir m’inviter au bal. » Qu’elle reprend avec un sourire en coin, taquin. « En parti oui. Enfin, j’veux faire le cabinet à mon image, et on verra ensuite. » En gros, tout remettre à zéro. Mais j’évite de trop l’ébruiter, les McAllister seraient bien foutus de foutre en l’air mon projet. La belle l’écoute ensuite avec attention, esquissant un large sourire, puis le réduisant, vient parler d’une voix plus effacée : « ..Et moi je suis le genre qui s’occupe des ennuis. » C’est notre spécialité, après tout. « On ferait une bonne équipe. » Qu’elle conclue en buvant une gorgée.
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just like old time — C'est un pas, qu'il a pu faire. Et le temps a beaucoup joué, là-dedans. Il en fallait. Pour mieux se retrouver et ainsi, voir où il en est. Maintenant, il se sent bien. Il est heureux. Heureux grâce à sa fille. Il arbore alors un sourire amusé, la taquinant sur cette place libre. Sachant bien qu'elle est en couple et c'est tellement dommage. D'accord. C'est un chanceux, son copain. Ne brise pas mon cœur, Maxym. qu'il lâche avec un sourire amusé, quand même. C'est cette dernière remarque qui le fait réagir. Le bal. Il n'y pense tellement pas, il avait pratiquement oublié que c'était bientôt. Devrait-il y aller ? Oui, surtout que ça peut être son dernier. Mais avec qui ? C'est la question à un million de dollars. Il ne sait pas. Peut être qu'il devrait amener sa fille, après tout, c'est sa princesse, c'est sa reine. Elle mérite d'avoir ce bal, avec son père. J'ai souvent un train de retard, avec toi. Mais j'espère partager une danse. Tu me dois bien ça. Toujours à sourire, la provoquant un petit peu. T'as raison. qu'il approuve son projet. C'est tout ce qu'il le souhaite. Lui, il s'attire les ennuis et elle, elle s'en occupe. C'est qu'ils font carrément la paire. Il n'a jamais vu les choses, de cette façon et cette idée le séduit, beaucoup. Je me laisserai bien tenter, pas toi ? et sur ses mots, il prend sa bière dont, il boit quelques gorgées avant de reposer le tout sur le comptoir et d'arborer un large sourire. Une belle soirée.
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