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À notre chez nous - OSKA

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À notre chez nous À notre chez nous - OSKA - Page 2 1f496
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J'aime tellement quand elle est comme ça, comme ce soir là, taquine et joueuse vous savez. C'est pour ça que j'en suis amoureux en fait, ce caractère qu'elle a. Bon aussi parce qu'elle est canon mais voilà c'est surtout son tempérament que j'aime, j'le surkiff à mort même. Ce soir elle est joueuse et ça me va parfaitement! Sur la piste de danse elle lance déjà les hostilités et vous me connaissez hein, j'y réponds direct moi, tête baissée! Sauf qu'elle en vient à me pincer les fesses la garce et genre c'est moi le faible avec ça « Arrête de te chercher des excuses Cobain ! », je grimaçais d'un tirage de langue en guise de réponse avant d'entrer en mode super danseur comme je sais si bien le faire. Elle aime quand je danse, mais bon ce soir c'était un peu chelou. Faut dire que ça ressemblait à... Rien? Fin voilà on délirait on se lâchait et y'avait pas de mot pour décrire à quel point c'était cool. Elle le faisait aussi et limite tout les gens autour suivaient et ça c'est top génial sauf... Que je partais en couille. J'sais pas mais tout s'est mis à tourner autour de moi, mon coeur bat vite et j'me sens plus tenir debout. Certains visages changent, j'vois des formes étranges, j'entends des trucs en fond là-bas derrière eux, j'aime pas du tout ça alors j'tente de retourner sur ma chaise comme possible. Je tangue, bouscule du monde et j'ai même plus la force de m'excuser. Alaska voit bien vite que je me sens mal du coup elle me suit sans hésiter. Attrapant la chaise c'est limite ma chérie qui me posait dessus d'un « Tu vas bien ? Bois mon Ice tea, ça va te rafraîchir... » poussant son verre devant moi en touchant mon front. Moi je me mettais à respirer fort par la bouche, fixant droit devant moi comme ci... "J'crois que j'ai du mal à respirer." j'sais pas pourquoi, j'sais pas comment mais j'me sens enfermé d'un coup, comme dans une boite ce qui est un jeu de mot vu le lieu où nous somme. Je sens comme les murs qui rétrécissent autour de nous et je regarde ce plafond descendre d'un "Oh mon dieu...." les flash qui n'en finissaient plus. Je mis alors mes mains de chaque côté de ma tête d'une grimace "Bordel ce que j'ai mal à la tête!" me levant d'un coup "Il faut que je sorte d'ici j'me sens pas bien du tout là..." respirant toujours aussi fort, prenant la main de ma chérie pour la tirer avec moi. Le décor bougeait toujours bizarre alors que ce putain de plafond me tombait sur la gueule et là c'est comme ci le sol se levait pour venir s'éclater sur mon visage sauf qu'en réalité... C'est moi qui m'écroulait par terre, visage sur le béton, comme une masse.


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J'avais beau être enceinte, genre vraiment enceinte, je ne refusais pas une danse comme celle-ci. C'était le moment de faire des folies, les dernières très certainement. Enfin bon, vous voyez de quelles folies je parle ? Il y a quelques mois de cela, faire des folies aurait rimé avec finir ivre morte, se shooter et finir dans le lit d'un homme. Comme quoi, j'avais changé et en bien, qui l'aurait cru ? Ce soir, j'allais me retrouver dans le lit d'un homme, mais pas n'importe lequel, le mien, mon homme, mon amoureux. C'était finalement la meilleure des folies que de danser avec un large sourire aux lèvres, pouvoir profiter et surtout savoir que le lendemain, nous n'aurons pas oublié ce moment. La soirée était parfaite et clairement, c'était ce dont j'avais besoin juste avant l'accouchement. Seulement, rien ne se passait jamais comme prévu. Osean ne se sentait pas bien, il commençait à se montrer bizarre et il quitta précipitamment la piste de danse. C'était encore un de ses malaises de fou qu'on n'arrivait pas à comprendre. Que JE n'arrivais pas à comprendre. Je le suivais jusqu'à notre table, le forçant à s'asseoir et à boire un peu de mon ice tea. C'était froid, sans alcool et avec du sucre, ça allait lui faire du bien non ? Il avait vraiment une drôle de tête et il avait chaud aussi, il respirait vite la bouche entre ouverte. « J'crois que j'ai du mal à respirer. » Je relevais le regard à la recherche d'un responsable de la boîte de nuit afin de lui lancer un regard de panique. De toute façon, avec le monde autour de nous, c'est clair que je n'étais pas seule pour lui porter secours et ça me rassurait. « Oh mon dieu.... » - « Quoi ? » lui demandais-je en paniquant tout de même. « Bordel ce que j'ai mal à la tête! Il faut que je sorte d'ici j'me sens pas bien du tout là... » s'exclame-t-il en se levant subitement et en attrapant ma main. « On va prendre - » l'air. Pas le temps de finir ma phrase qu'Osean s'effondrait lourdement, m'entrainement dans sa chute avant que je ne sente des mains me rattraper. Dieu merci. « Il n'est pas ivre, il n'a pas eu le temps de voir, il.. il est malade, il faut l'emmener à l'hôpital.. » que je débitais à toute vitesse aux personnes qui m'entouraient, ne sachant absolument pas quoi faire. Il respirait et quelqu'un était déjà en train de le mettre en position de secours alors qu'une autre personne était au téléphone. La musique se coupait et les lumières s'allumaient dans la partie où nous nous trouvons. Mon ventre était tellement handicapant que malheureusement, mis à part tenir sa main dans la mienne, je ne pouvais pas l'aider plus. Au moins, je restais avec lui, même dans le camion de l’ambulance.
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Comment faire partir en couille une soirée qui avait si bien commencée? Bah avec une belle grosse crise de moi voilà. En une seconde je me sentais au plus mal et en besoin de m'enfuir le plus loin possible. Alaska qui me suivait, je lui prenais sa main par réflexe mais c'était une erreur, dans un moment comme ça je ne devrais toucher personne en fait. Ma belle m'aidait à m'asseoir mais ça n'arrangeait rien, vraiment j'allais pas bien du tout là et ça me rendait fou la sensation que j'avais. Paniquant à son tour elle me criait presque « Quoi ? » je me levais toujours accroché à elle pour tenter de sortir d'ici mais pas le temps de passer la porte... « On va prendre - » que je m'effondrais sur le sol manquant presque de la faire tomber elle aussi. Heureusement elle a de bons réflexes, pour son ventre ça aurait pu être grave et encore une fois à cause de moi. S'adressant aux gens autour ma belle appelait à l'aide « Il n'est pas ivre, il n'a pas eu le temps de voir, il.. il est malade, il faut l'emmener à l'hôpital.. », moi je perdais connaissance bien que je sentais encore tout ce mouvement autour de moi, les bruits, entrevoyant les lumières et sa silhouette, le son de sa voix... Et j'entre ouvrais les yeux pour tendre autant que possible ma main vers elle d'un "Laska je..." avant d'avoir des convulsions tel un épileptique en pleine crise chose que je n'étais clairement pas de base. Ça fait super mal... Et on est impuissant. J'crois même que j'ai conscience de rien de ce qu'il se passe là. La crise dure un moment avant que je me stop net, d'un coup, me figeant lourdement à nouveau et surtout plus inconscient que jamais. Je ne sens rien de ce qui suit, la piste qui s'allume, les gens qui sont tous là autour, les urgentistes qui se pointent pour venir me chercher, le brancard, l'ambulance et l'arrivée à l'hosto', tout ça passe comme dans un rêve parfois éveillé. Sauf qu'arrivé à l'hôpital, en plein couloir une nouvelle crise me prends à point tel... Que j'ai fais un arrêt cardiaque. L'heure est grave. Les médecins m'emmènent alors rapidement en réanimation et après trois tentatives, je suis revenu... J'ai encore parfois l'impression de sentir des choses, de les entendre parler et pourtant je ne suis pas là. C'est étrange comme sensation... Après un temps en observation mon état se stabilise et il décide d'aller me placer dans une chambre. Le médecin explique à Alaska que cette fois c'était grave et que si ça me reprenait... Je risquais de ne pas en revenir. Après quelques heures, j'arrivais enfin à sortir des vapes, difficilement mais sûrement j'entre ouvrais les yeux même si j'y voyais pas clair du tout. J'me sentais complètement paumé là.


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Je détestais cela. Oui, je pouvais l'affirmer, ce n'était pas la première fois que ça nous arrivait. Osean s'écroulait lourdement alors que l'instant précédent, nous étions en train de nous amuser. La panique me gagnait aussitôt, mais par chance, je n'étais pas seule et plusieurs personnes venaient à mon secours. Dieu merci. « Laska je... » Mon regard inquiet se posa sur mon petit ami et j'attrapais la main qu'il me tendait pour le rassurer du mieux que je le pouvais. Mais je la retirais bien vite quand il se mit à convulser. Je déteste ça. Le voir perdre le contrôle de lui même, si vulnéraible et de n'avoir pas d'autre choix que de m'écarter pour notre bien à nous deux. D'ailleurs, d'un geste vif, tout ce qui se trouvait autour de lui se mit à glisser plus loin par sécurité. Il ne fallait pas qu'il se fasse mal et il fallait que nous attendions que ça passe. On ne pouvait rien faire d'autre. L’ambulance arriva rapidement, je prenais nos affaires et je montais à bord. Je n'étais pas au bout de mes surprises et le cauchemar ne faisait que commencer. Une fois à l’hôpital, Osean fait une nouvelle crise et son cœur s'arrête, le mien avec. J'étais en train de perdre mon petit ami et j'en pleurais, laissant couler les larmes sans pouvoir controler et notre fille, notre fille je voulais qu'il soit là pour la voir grandir. Et, et je voulais qu'on fasse notre vie ensemble, je voulais d'autres enfants. Il n'avait pas le droit de m'abandonner. J'étais mise à l'écart, interdiction de voir ce qui se passe, mais bien vite, on venait m'informer que la réanimation fut difficile. Au bout du compte, je me retrouvais dans une chambre d'hôpital avec mon Osean allongé dans un lit, il était stable, mais il risquait gros. J'en étais malade. Je pleurais comme une madeleine, loupant presque le moment où le dunster se mit à ouvrir les yeux. Je me levais de la chaise, m'approchant de lui en gardant sa main chaude dans la mienne et venant caresser sa joue tout doucement. « Mon cœur... » soufflais-je doucement, lui laissant le temps de reprendre ses esprits.
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J'sais pas ce qu'il se passe... J'sais pas où je suis. J'saurais même pas dire comment j'me sens là, à la fois paisible et oppressé, comme si j'étais bien mais que quelque chose d'inquiétant était là, en fond. J'entends comme des sons étouffés là tout autour, j'en arrive pas à décrire ce que c'est ni ce que ça dit. Puis il y a ces lueurs par moment, comme des lumières passantes, une impression d'y voir quelque chose entre deux rêves. Est-ce que je rêve au moins? Ou... J'sais même pas, j'sais plus. Je sens que ça bouge ou que je bouge et pourtant je ne contrôle rien. J'ai mal aussi puis d'un coup plus rien. Mais qu'est ce qu'il se passe? J'comprends pas ce qui est entrain de m'arriver... Et soudain j'me sens revenir. Doucement, j'entre ouvrais les yeux, ma tête tournais tellement que je peinais à voir ce qu'il y avait autour et là je me rendais compte de sa présence, ma Laska qui était près de moi à me tenir la main. Je vois son visage mais pas clairement et j'entends étouffé son « Mon cœur... » alors que je la fixe quelques secondes, clignant des yeux sans rien dire ni rien faire. Je n'avais pas la moindre expression sur le visage tellement j'étais perdu et dans le gaz. Je clignais à nouveau des yeux, tâchant de lever doucement ma main libre pour l'écraser sans trop la contrôler sur ma face. Je soupirais avant de cligner à nouveau des yeux retournant mon regard vers ma femme pour lui dire en fronçant les sourcils, me rendant compte de ses larmes "Laska pourquoi tu pleure?" j'me rends pas compte des choses encore, de ce qu'il s'est passé ni d'où je suis mais ça va revenir.


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C'était ça le délire ? Tous les deux mois on allait devoir se rendre à l'hôpital à cause d'une crise ? La prochaine fois, il allait mourir. Ils avaient été clair à son sujet, son cœur n'était pas assez solide pour assurer encore une fois. J'étais triste parce que je ne voulais pas le perdre, je m'inquiétais pour lui, j'avais peur pour lui. Et s'il ne peut pas rencontrer sa fille ? Il était trop jeune pour partir maintenant, c'était injuste. Je pleurais, même s'il allait "bien". J'étais à ses côtés et je tenais sa main, attendant qu'il se réveille. D'ailleurs, c'était le moment. Ses paupières se mirent à bouger et je venais caresser sa joue, ses cheveux le temps qu'il reprenne ses esprits, faisant de mon mieux pour l'aider. J'étais soulagée de la voir ouvrir les yeux et j'espérais qu'il n'ait aucunes séquelles suite à sa crise d'épilepsie. « Laska pourquoi tu pleures? » - « Mon cœur.. nous sommes à l'hôpital, tu ne te souviens de rien ? » Et peut-être qu'il avait une légère perte de la mémoire, c'était possible ? Je pinçais mes lèvres, le laissant se remettre, caressant toujours ses cheveux. « Prends ton temps » ça ne servait à rien de le précipiter.
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Est-ce que ce sont ses pleures qui m'ont réveillé? J'en sais trop rien mais c'est bien la première chose que je comprends en ouvrant les yeux. Je n'aime pas l'entendre pleurer ça doit être pour ça que ça m'interpèle autant. J'comprends pas ce qu'il se passe et je capte pas encore où je suis non plus, juste... Qu'elle est là à mon chevet et en larmes. Je sens sa main dans mes cheveux et j'en ferme quelques secondes les yeux d'un soupire avant qu'elle ne me réponde « Mon cœur.. nous sommes à l'hôpital, tu ne te souviens de rien ? », je la fixais un instant, clignant des yeux dans l'incompréhension, entre ouvrant la bouche avant de regarder autour de moi "Je... J'sais pas." ça fait vraiment un drôle d'effet le trou de mémoire surtout là quoi, genre c'est vraiment le gros blanc absolu quoi. Inquiète, elle reste à me regarder d'un « Prends ton temps » tout en caressant mes cheveux et là l'illumination me vint "La boite! On était en boite. On y était pour... Notre appartement oui. On est allé danser et..." hésitant je détournais le regard pensif un instant avant de réaliser "J'suis tombé." je reposais alors mes yeux sur elle d'un "J'ai fais une nouvelle crise c'est ça..?" et là je sentais le bad monter en moi quoi... Une fois de plus j'avais tout foutu en l'air.


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Je détestais le voir comme ça, dans un lit d'hôpital et inconscient. C'était comme s'il dormait, il était paisible, mais je ne pouvais pas m'empêcher de penser au fait qu'il avait failli mourir. Son cœur s'était arrêté et comment j'allais lui annoncer ça ? Je pourrais laisser faire les docteurs, mais je crois que je préférais lui dire les choses moi-même. Je le laissais se réveiller doucement, venant caresser ses cheveux en le regardant. J'essayais de sourire, j'étais heureuse de le voir se réveiller, mais très clairement, j'avais du mal à me contenir et à arrêter mes larmes. J'étais trop émotive, depuis toujours. Il ne semblait pas comprendre quand je lui indiquais du lieu où il se trouvait et je pinçais mes lèvres, venant essuyer mes joues. Il avait besoin de temps pour se réveille et se souvenir de la veille. « La boite! On était en boite. On y était pour... Notre appartement oui. On est allé danser et... » J'haussais les sourcils en le regardant, le laissant continuer et affronter mon silence de son regard triste. « J'suis tombé. J'ai fais une nouvelle crise c'est ça..? » J'hochais la tête de haut en bas pour acquiescer. « Oui, tu es tombé et tu as fait une crise d'épilepsie.. Tu as fais plusieurs crises en fait... » commençais-je en pinçant mes lèvres. Puis ma main venait caresser sa poitrine avant de reprendre. « Ton cœur s'est arrêté.. ».
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Ma belle en pleure, moi dans un lit moche, froid, qui sent le produit et tout ça dans une pièce totalement blanche et horriblement désagréable... J'ai déjà vu ça, bien que ma belle en pleure c'est en trop cette fois ci. La nouveauté c'est le trou de mémoire, bien que très vite les souvenirs me revenaient. J'ai fais une crise en pleine soirée, devant tout le monde, au beau milieu d'une boite de nuit. Tss, l'horreur... Elle hochait la tête pour me confirmer mes dires « Oui, tu es tombé et tu as fait une crise d'épilepsie.. Tu as fais plusieurs crises en fait... », je la fixais en silence, fronçant les sourcils avant de baisser les yeux grave embêté par la situation. Je me pinçais la lèvre inférieur en jouant avec mes doigts nerveusement quand Alaska venait caresser mon torse pour ajouter « Ton cœur s'est arrêté.. », là mon regard revint la fixer "Qu.. Quoi? Vraiment?" cette vérité me... Fait peur, ça me choc car je ne peux m'empêcher de penser à ma mère là tout de suite. J'commence à m'en sentir mal, respirant plus fort avant de dire le regard un peu humide "J'suis désolé." je fou tout en l'air, ça va vraiment pas. Je me redressais d'un coup pour appuyer sur le bouton afin d'appeler une infirmière.


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Au moins, ses souvenirs revenaient rapidement. Sa perte de mémoire était vraiment légère et franchement, c'était le plus important. Je lui expliquais vaguement qu'il était tombé et qu'il avait fait une crise d'épilepsie. J'aurais aimé lui faire croire que ce n'était pas si terrible, mais je n'arrivais pas à m'arrêter de pleurer et je n'avais pas d'autre choix que de lui expliquer qu'il avait faire un arrêt cardiaque. « Qu.. Quoi? Vraiment? » Je voyais dans son regard qu'il se mettait à paniquer et je pouvais le comprendre. Son cœur s'était arrêté et ce n'était pas rien. Je sentais la panique le gagner et quand il se redressait pour appuyer sur le bouton pour qu'une infirmière arrive, je comprenais que c'était la fin de la discussion. « J'suis désolé. » - « Ce n'est rien » que je chuchotais, dans le sens où il ne fallait pas qu'il s'excuse auprès de moi. Je me reculais quand une infirmière arrivait, tentant de faire bonne figure. Puis le médecin arrivait à son tour, gardant la main d'Osean dans la mienne le temps que je le pouvais, pour le soutenir. Je me levais finalement pour rejoindre la fenêtre quand ils vinrent l’ausculter. Le silence régnait dans la pièce et je n'avais aucune idée de comment le briser.
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