Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityThought we built a dynasty that heaven couldn't shake ✻ MAXWAN - Page 2
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Thought we built a dynasty that heaven couldn't shake ✻ MAXWAN

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« Non on sait pas pourquoi. On le sait pas, je le sais pas, car t'es pas foutu d'être honnête. » L’impression d’être en slow motion. Que tout ce qu’il y a autour ne bouge plus. Que même la respiration est trop calme pour la suractivé de la tête. Il n’y a qu’elle, qui se rapproche de lui. Et Antwan qui la fixe, un soupçon de dégoût sur les traits. Comme si elle n’avait pas le droit de balancer cette dernière phrase. « C’est pas.. » Tu sais pourquoi je reste, s’il te plait, dis moi que tu le sais. Que tu le vois. « Je t'ai jamais demandé de l'oublier, de ne plus t'inquiéter pour elle, ou de couper tout contact. » C’est vrai que les mots n’ont pas été prononcé. Et il est vrai que ca n’est pas une décision de Maxym ou même d’Elizabeth. C’est celle d’Antwan. Il n’avait pas envie de perpétuer la douleur dans le cœur de son ex, ni même dans celle de McAllister. S’il devait repenser au passé, se serait seul, n'impliquant aucun autre protagoniste.  « Mais t'es même pas foutu de me le dire. Puis ça.. » Cet ordi, ces images. Celles qui semblent être synonyme de fin du monde. « Comment veux-tu que je sois honnête quand je te vois défaillir ? C’était de simple photos et regarde nous maintenant. » Je ne crains pas tes colères ou tes coups, mais le jour où tu prendras la décision d’abandonner. Je nous protège de tes choix. Inconsciemment. « Et, tu ne m'as pas répondu. Je t'ai demandé si tu l'aimais encore, tu ne m'as pas répondu. Enfin si, t'as répondu. » Elizabeth a toujours des pouvoirs sur lui. Comme le faire sourire, ou lui faire du mal. Aimer, c’est ouvrir les portes, laisser entrer malgré les risques. Bon nombre de coups auraient pu être asséné au brun, mais l’ancienne étudiante a toujours été trop gentille. Alors il s’est fait mal tout seul, s’est fait sa propre justice. « C'est le passé. Ne m'oblige pas à m'en rappeler. », menaçant. J’te hais pour ça, McAllister. Parce que toi tu les utilises correctement, tes armes. Habillement. « Elle m’a aimé et j’lui ais fait du mal. Et même si ça fait un an qu’elle est partie, je suis incapable d’oublier. Je suis coupable, et ça me tue. » Marque une pause. J’vais te servir de l'honnêteté, ma belle. « J'suis pas uniquement coupable d'un baiser, mais d'avoir fait battre son cœur. Un putain d’égoïsme, parce que ça a toujours été toi. Dans une partie bien ensevelie par les valeurs de l’amitié, mais toujours toi. » Entend l'évidence. « Et, à ce que j’ai compris, t’as toujours pas compris que même si je regarde des photos et que je t’expose ma nostalgie, je pourrais pas te laisser. Peu importe si on se déteste, tant que tu seras en vie, je serais toujours là pour te surveiller. Loin, près, ensemble ou séparé. » Respire, plaque ses mains sur son visage, ses yeux. Puis, les prunelles brillantes reviennent se poser sur le visage adverse. « Je t'aime. Tu l'vois pas ? »
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Mes pas cherchent la fuite, pour ce silence. J'partagerai pas ton affection, je l'ai déjà trop fait. J'ai trop peur que tu partes, pour accepter de te voir déjà un pied dans sa direction. Je tiendrai pas debout, si c'est le doute qui fait sa demeure dans mon quotidien. J'le sais, que parfois tu me détestes. Surement même que souvent, ce sentiment a suplanté tous les  positifs. Tes traits parlent pour toi. Ils me crient que je que j'ai pas le droit de faire ça. J'le sais aussi, que je nous abîme. Mais j'y arrive pas, je peux pas freiner. Quand le doute s'infiltre dans mes veines, qu'il asphyxie mon être, je t'inflige la même peine. On sera debouts, brillants, ou gisant tous deux au sol. On sera heureux ou malheureux. Pas l'un sans l'autre. « Comment veux-tu que je sois honnête quand je te vois défaillir ? C’était de simple photos et regarde nous maintenant. » C'est vrai McAllister, comment tu veux attirer la vérité quand tes yeux virent au noir au moindre mécontentement ? Princesse lève légèrement le menton. De la fierté qui laisse un point en face. Mais c'est faux, ce n'étaient pas de simples photos. On ne fait pas défaillir le solide Antwan avec quelques photos. « C'est le passé. Ne m'oblige pas à m'en rappeler. » J'te laisserai pas dire ça. « C'est toi, qui a regardé en arrière. » Pas moi. Moi j'suis une idiote, je vois que toi, j'me fous des bonheurs précédents. Ils étaient pas si biens que ça, finalement. Le truc, c'est qu'Elle, elle était vraiment bien. Si j'avais un fils, j'la voudrai en belle-fille. J'la voudrai même en meilleure amie, si j'étais pas si jalouse. « Elle m’a aimé et j’lui ais fait du mal. Et même si ça fait un an qu’elle est partie, je suis incapable d’oublier. Je suis coupable, et ça me tue. » Les doigts laissent filer la veste. J'aimerai prendre ta douleur, mais c'est la mienne qui gagne, pour l'instant. « J'suis pas uniquement coupable d'un baiser, mais d'avoir fait battre son cœur. Un putain d’égoïsme, parce que ça a toujours été toi. Dans une partie bien ensevelie par les valeurs de l’amitié, mais toujours toi. » Avale sa salive, lionne perd de sa royauté, dégringole dans l'échelle des fauves. Il t'en as fallu du temps, pour sortir ça. Quelques mots qui font l'office de clé, débloque des souvenirs-obstacles, panse les plaies mal cicatrisées de notre passé. Assèche ces larmes versées dans le silence de cet abri hivernal. « Et, à ce que j’ai compris, t’as toujours pas compris que même si je regarde des photos et que je t’expose ma nostalgie, je pourrais pas te laisser. Peu importe si on se déteste, tant que tu seras en vie, je serais toujours là pour te surveiller. Loin, près, ensemble ou séparé. » Elle inspire, ayant oublié d'en faire battre son cœur, d'en respirer. T'as pas le droit de me faire ça, quand je suis déterminée à te détester. « Je t'aime. Tu l'vois pas ? » Les cils battent vite, idiote d'émotive. « J'le vois. » J'viens juste de me le prendre dans la gueule, laisse-moi me relever. « Antwan. Maintenant, j'le vois. » Qu'elle murmure. KO technique. Je le vois et je l'entends. « Désolée si... » Inspire, encore. « J'suis nulle, d'accord ?Je.. je sais pas faire, je sais pas décoder. » J'ai jamais su t'entendre quand il le fallait. « T'avais l'air si heureux, ... j'ai cru que c'était elle. » Tu sais, celle qu'il te fallait. Les lèvres se pincent, faisant se réduire ce sourire qui veut éclater. « Et t'as pas le droit de dire ça pour gagner une dispute. » Parce que moi j'vaux rien quand j'l'entends. J'peux que faire le dernier pas, refermant mes bras autour de ton cou. Puis si j'serre tellement que j'vais finir par t'étrangler, c'est pas très grave.
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Je ne sais pas gérer le bonheur, il faut que je vois le sombre. Il me faut une sorte d’équilibre, non devenir aveugle par ses journées heureuses. Alors ces photos, elles me permettent de revenir à la réalité. Celle où je ne suis pas celui qu’il te faut. Celle où un jour, on se détruira. Et si ce n’est pas par ma nostalgie, se sera par ta jalousie, par ma possession, par nos cris, nos regards, nos larmes. Nos certitudes. Nos je t’aime. Je suis incapable de voir autre chose, incapable de profiter du présent.  « J'le vois. Antwan. Maintenant, j'le vois. Désolée si... J'suis nulle, d'accord ? Je.. je sais pas faire, je sais pas décoder. » Menteuse. Tu ne voulais pas le voir, pas l’admettre devant ton miroir. « T'avais l'air si heureux, ... j'ai cru que c'était elle. » La femme de ma vie ? L'amour ultime, celle qu'il me fallait ? Ce n’est pas la question. L'amour c'n'est pas être heureux avec quelqu'un. L'amour c'est être incapable de se passer de l'autre, et ceci, même si l'autre protagoniste ne ressent pas la même chose. « Et t'as pas le droit de dire ça pour gagner une dispute. » Ce que j’veux maintenant, ce n’est pas tes bras. C’que je veux c’est reprendre mes masques abîmés par mon cœur, les remettre. Reprendre ce rôle de mur, d’insensible. Retourner dans ce monde certain où n’importe quelle action peut être contrôlées et devinées. Comme si ça effacerait ma déclaration. Comme si je pouvais récupérer la clé cédée. Mon cœur à vif ne pourra pas supporter tes attaques calculées. Plus maintenant que tu te sais indispensable. Tu es celle qui ressent, qui explose. Je suis celui qui absorbe et qui implose. Jusque-là, il était simple d’attiser tes colères, difficile de contrer mon froid. Toujours un de nous qui marche sur l’autre. Devine qui a pris les commandes. J'te serre, mon visage se réfugie dans ton cou. Quelques secondes nécessaire. Puis j'm'éloigne, j'attrape ta main et j't'emmene jusqu'à cette porte qui mène au jardin. C'est qu'il ne fait même pas froid. J'm'assois par terre, regarde le ciel noir parsemé de petites lumières. « Au lieu de se compliquer la vie, on pourrait simplement revenir dans le passé. Regarder le ciel et s'imaginer un autre monde. » Allongé, simplement. Etre des innocents.
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On a le choix de notre perte, on a qu'à sélectionner. Comment veux-tu qu'on se détruise ? Moi, j'te propose le feu, tandis que tu me tends la glace. Avec un peu de chance, j'réussirai à réchauffer tes froides reculées, j'insuflerai de mes éclats de voix à tes silences. Tu calmeras les sacades de mon battant, tu mettras des points à mes tirades énervées. On s'est toujours équilibré. On est pas bons dans le timing, mais on finit toujours par se stabiliser. Là, quand on manque de se fracasser en bas de la falaise. Juste quand nos pieds freinent avant la grande chute. On a toujours sû se retenir avant de se balancer des « au revoir ». Que je veuille tourner les talons, ou que je veuille prendre un avion. Tes doigts retrouvent vite les miens. On a qu'à se jurer de toujours se rattraper, même, surtout, quand on a aucune envie de le faire. Puis, me dire tout ça, t'avais pas envie de le faire non plus, j'me trompe ? C'est pas comme ça qu'on marche. On arrive pas à les sortir, ces belles phrases. Quand ça passe la barrière de nos lèvres, on veut courir derrière, vite les récupérer. Les mettre dans la poche et les cacher derrière ce joli mouchoir de fierté. Promis, j'ferai semblant que je les vois pas. Je me laisse guider jusqu'à l'extérieur, et je respire mieux. On laisse tous ces problèmes à la con à l'intérieur, on les barricade derrière ces murs. « Au lieu de se compliquer la vie, on pourrait simplement revenir dans le passé. Regarder le ciel et s'imaginer un autre monde. » Assis sur le sol, puis allongés. Le regard se perd dans l'étendue étoilée, les doigts s'amusent dans l'herbe. « Y a quoi dans ton monde ? » Le passé, je sais pas bien si c'est mieux. J'aime pas celle que j'étais plus jeune. Mais me déporter dans ce monde où l'on avait ni responsabilités ni angoisses, je le fais avec délice. « Tu voulais faire quoi, quand t'étais petit ? C'était quoi ta vie rêvée ? » Je sais qu'il y a des choses que t'aurais gommé, des proches que t'aurais imaginé là plus longtemps.
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On est incapables d'être comme les autres, de n’pas penser au point final. Toi comme moi. Faut qu’on discerne le noir dans le blanc. Qu’on voit la fin avant le début. Pour ne pas être surpris, ne pas croire en une union qui fera plus de mal que de bien. On sait qu'on n'est pas aussi beau qu'on veut le montrer. Notre passé est encore là. Inscrit, quelque part, au fond. J'aimerai l'ignorer. Faire de notre duo celui d’autrefois, l'innocent. J’tente de le redevenir, là, allongé sur l’herbe. Tu m’suis, merci. « Y a quoi dans ton monde ? » J'fixe le ciel. Cet univers qui s'étend sous nos yeux, celui qui nous rend tellement insignifiant. « Du bruit. Et tout un tas de papillons et de licornes roses. » J'me tourne vers toi, j'souris. A vrai dire, j'vois rien. L’imagination hors service. J’te balance c'qu'il est bon d'entendre. « Tu voulais faire quoi, quand t'étais petit ? C'était quoi ta vie rêvée ? » Pas celle-ci. J'm'imaginais pas, à terre, dans le noir, sans trop savoir pourquoi. « J'avais déjà la vie rêvée. J'avais tout. La famille, ces potes qu'on se faisait en jouant aux billes à la maternelle. L'argent. Ce bonheur qu'tu comprends des années plus tard. » Maître du monde. De mon monde. Un sourire. Nostalgie des premières expériences sociales. Après on devient sélectif. Et ceux qu’on choisit pour nous accompagner deviennent les pires. « J'dessinais tout le temps, partout. ‘doit même y avoir des dessins que j't'ai jamais donné. Et y a ceux qui représentaient des tours. Et maintenant des plans banals. » Avec un nouveau cap à chaque changement de dessins. « Ma vie rêvée c’est celle où je suis encore le membre d’une famille. » Pas celle détruite par le terrorisme, la drogue et l’instabilité des derniers hommes. « Et toi ? »
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Je regarde nos errances par-dessus l'épaule, avec une bienveillance risible. Comme si elles étaient si loin qu'elles ne pouvaient plus nous abimer. Comme si elles ne venaient pas de se rappeler à nous, il y a encore quelques minutes. Ma peau est marquée de rayures encore fraîches que tu m'as fais, et, j'ai de ta peau sous mes ongles. Mais on détourne le regard, on se persuade qu'on est bien plus solide. Puis, ça fait même pas mal. On accumule les pansements, pas le temps de désinfecter, de vérifier que c'est réparé en dessous. Superposons, et voyons ce que ça donne. « Du bruit. Et tout un tas de papillons et de licornes roses. » Ca donne une Maxym qui en pouffe. Parce que cette fille là, elle te pardonnera tout si tu la laisses pas tomber. Elle s'en fout si ça pique. Elle sera désespérée, puis accrochée à ton cou, pourvu que tu la rattrapes toujours à temps. « J'avais déjà la vie rêvée. J'avais tout. La famille, ces potes qu'on se faisait en jouant aux billes à la maternelle. L'argent. Ce bonheur qu'tu comprends des années plus tard. » Ce bonheur qui n'est pas le vrai. On se dit que ça durera toujours, et.. on s'casse la gueule, un jour ou l'autre. « J'dessinais tout le temps, partout. ‘doit même y avoir des dessins que j't'ai jamais donné. Et y a ceux qui représentaient des tours. Et maintenant des plans banals. » Je l'entends, l'homme désabusé. Moi j'ai pleins de crayons de couleur dans les mains, mais j'vais pas pouvoir tout recolorer. « Elle te plait pas, ta vie comme elle est ? » Tu peux en changer, pour la plupart. « Ma vie rêvée c’est celle où je suis encore le membre d’une famille. » Là, on touche à la limite des possibilités. Comme tu es bien inutile McAllister, à juste attraper les doigts masculins là, et les serrer doucement. T'es pas douée pour ces conneries. « Pour moi la famille c'est un truc qu'on se fait, un cercle qu'on se construit. » Mais c'est peut-être juste car je n'ai jamais eu cet attachement pour la mienne. Que ce lien du sang, moi j'm'en fous. « T'es le membre d'une famille, c'est juste.. pas la même. » Tu fais partie de celle que je me suis construite. « Et toi ? » Se pince les lèvres, hésite. « J'en sais trop rien. Je suis plus heureuse maintenant, qu'ado ou gamine. » J'l'aime bien, ma vie actuelle. Chaotique et précaire, mais bien plus apaisée, bien plus aimée, aussi. Le sourire s'écarte, amusé : « Avant, mon rêve c'était de reprendre le cabinet et d'y foutre le bordel. » Assainir ce napalm, ne défendre que les gens qui le méritent. « Maintenant.. c'est d'être dessinée nue par Wayans, et d'être exposée. » L'ingénue qui rigole, miss fuyarde du sérieux.
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T'es pas obligée de repondre à tout c'que j'admets. Pas obligée de te sentir obligé de m'aider. Et pourtant tu l'feras, parce qu'on est trop attaché l'un à l'autre pour se laisser tomber. « Elle te plait pas, ta vie comme elle est ? » Elle est c'qu'elle est. Aimer ou pas, dans tous les cas, j'dois la vivre, la supporter. C'est pas une question qu'on se pose. Tout dépend des autres, de ce à qui j'm'accroche pour être débout. « J'suppose que si. » Sinon, je ne me sentirais pas apaiser à tes côtés. Je ne vois pas que le noir.. et heureusement. « Pour moi la famille c'est un truc qu'on se fait, un cercle qu'on se construit. T'es le membre d'une famille, c'est juste.. pas la même. » Le visage se tourne, les traits s'étirent. J't'ai compris, et si on oublie les liens du sang, alors tu fais partie de la mienne McAllister. « J'en sais trop rien. Je suis plus heureuse maintenant, qu'ado ou gamine. Avant, mon rêve c'était de reprendre le cabinet et d'y foutre le bordel. » Détruire c'que les parents ont construit. Ça t'permettrait de faire une croix définitive sur la Maxym du passé. Celle qui suivait les ordres paternels. Et j'pensais que c'était toujours ton but. Alors vas-y, j'attends. Raconte moi ton rêve actuel. « Maintenant.. c'est d'être dessinée nue par Wayans, et d'être exposée. » Qu'il se s'attendait pas à celle-là. « Ah ouais ? », et d'un geste il passe au dessus d'elle. L'embrasse. La main dans les cheveux féminins. Les corps collés. On se fiche d'être sur l'herbe sale. « Il va falloir prendre un rendez-vous avec l'artiste. Et espérer qu'il ne te saute pas dessus avant l'oeuvre terminée. »
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« J'suppose que si. » Ca entraine un fin sourire sur mes lèvres. Comme si j'étais rassurée que ça soit le cas. Je sais que j'apporte quelques tourments sur tes jours, que ça serait plus facile avec une autre. Tu n'as pas fais les choix les plus simples, pas ceux qui entrainent la sérénité. Alors, ouais, que tu l'aimes un peu ta vie dans laquelle j'erre, ça me plait. Juste un peu. Et j'ferais en sorte que ça soit d'avantage, chaque jour. Ou un jour sur deux, au moins. Ma vie rêvée, j'te la nomme. Je la conjugue au passé, mais l'envie est toujours présente. Quand mes études seront finies, je détruirai l'empire familiale, je le ferai à mon image, pas à la leur. Oh, je perdrai à coup sûr ce qu'il me reste de famille de sang, mais j'n'en ai jamais vraiment tenu compte. Ca manque tellement d'amour, sous ce nom. Il y a tellement de vengeance qui dort, sous cette échine qui a dû se courber. C'est toujours présent, mais j'te sers n'importe quoi, parce que c'est plus marrant. Plus intéressant du coup, quand tu bascules au-dessus de moi. Que j'rigole en même temps que tu m'embrasses, mes jambes qui s'emmèlent aux tiennes. « Il va falloir prendre un rendez-vous avec l'artiste. Et espérer qu'il ne te saute pas dessus avant l'oeuvre terminée. » Je continue de te capturer, de mes bras autour de ton cou. « Si ça peut encourager son inspiration.. Qui suis-je pour contredire l'artiste ? » Qu'elle s'amuse l'ingénue, de son air de ne pas y toucher. Et j't'embrasse à nouveau, parce que je manque de volonté, quand t'es si proche. « On dort dehors ? » J'ai toujours de bonnes idées, je sais.
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Qu'il le veuille ou non, l'homme arrive toujours à rendre les choses compliqués. Transformer le rien en tout. Le simple en complexe. Faute à son cerveau qui ne trouve pas la logique dans son quotidien. Comme si le bonheur ne lui était pas destiné. Dès qu'il en voit un bout, il perd toute confiance. C'est l'inconnu. Qui n'en a pas peur ? Et t'es son bonheur Maxym. C'est en te rejetant plusieurs fois qu'il l'a prouvé. En étant systématiquement peureux devant c'que tu pouvais lui apporter. L'amitié c'était simple. L'amour, c'est dangereux. Aujourd'hui, ca semble moins périlleux. Un ciel dégagé, même si tes nerfs ont chauffés quelques minutes auparavant. « Alors l'artiste a tous les droits. C'est bien ce que tu me dis ? » Il aime bien lorsqu'elle lui donne des arguments. Ca reste dans un coin de sa tête. Elle peut compter sur lui pour le sortir au moment propice. « On dort dehors ? » Dormir dehors.. Ouai, si on oublie que la nuit est froide, c'est une bonne idée. « Si tu veux, mais j'suis frileux. Faudra faire en sorte que je tombe pas malade. » Et une fois que la belle sera endormie, compter sur lui pour rejoindre le lit à l'intérieur. Un eliot dans l’âme. « On pourrait aussi partir loin d'ici. Dormir dans un pays un soir, et dans un autre le lendemain. » S'imaginer ailleurs que dans ce jardin. Voir plus loin que cette nuit.

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Tu vois, on s'en sort. On apaise les orages, on repousse les nuages, on fait battre le soleil, et si on s'est laissé quelques traces sur le corps, au pire on les ignore. Un jour, j'me dis qu'on arrivera à arrêter de se regarder les blessures qu'on s'est infligé. Je finis par aimer tes errances, puisqu'elles  ont créé un chemin tout droit vers moi. Et si tu t'apparentes à la glace, il faut bien ça pour atténuer mes flammes. On ne marche que dans nos excès. « Que s'il est brillant. » Qu'elle rectifie avec un sourire amusé aux commissures. Je ne te dirai jamais que tu les as tous, tu t'en doutes. Même si je te confie le pouvoir de mon humeur et des battements de mon être, le formuler torture bien trop mon ego. « Je peux juste te promettre que je ne te laisserai pas avoir froid. » Et j'ai les sous-entendus qui débordent de mes lèvres, qui viennent taquiner les tiennes. « Après, je peux pas lutter contre ta petite nature. » Quoi ? Oui, j'arrive pas à arrêter de t'emmerder, c'est plus fort que moi. Ton côté précieux m'a toujours fait sourire. « On pourrait aussi partir loin d'ici. Dormir dans un pays un soir, et dans un autre le lendemain. » Le sourcil se hausse, l'intérêt qui nait dans ses iris. Tu me surprendras toujours Antwan. « Ouais, on pourrait aussi partir. » Répète la belle, un sourire conquit à la bouche. « Tu sais.. » Elle sourit du coin des lèvres, puis elles se pincent. Hésitantes, pudiques. « Tu sais que j'te suivrai, si tu décidais de partir ? » Moi j'te réponds pas que je t'aime, parce que c'est trop évident. J'te dis que j'irai où tu voudras, que si je devais être la reine de New-York, si c'était prévu, je pourrai être la reine de n'importe où. Mes attaches à Harvard sont fragiles, et mon territoire s’agrandit de jours en jours. J'ai grandit, moi aussi


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