You need me and I love that ⊰ Bambi

Lun 9 Jan 2017 - 20:57

❝ You need me
and I love that. ❞
BAMBI & LOUKAS

J’étais tranquillement dans mon canapé à siroter un verre. Bordel j’étais franchement épuisé. La nounou de Hailee venait tout juste d’arriver, la petite était malade depuis une semaine et je ne dormais plus depuis qu’elle n’allait pas bien. J’avais besoin de prendre l’air, de penser à autre chose et surtout de picoler. Je soufflais longuement tout en regardant dans le vide, écoutant d’une oreille la nounou en train de border la petite. D’un coup, mon portable s’mettait à vibrer et je l’attrapais d’un geste nonchalant et je regardais le message qu’on venait de m’envoyer. Bambi, la douce et belle Bambi. J’me mettais à sourire, elle me demandait carrément de l’aide, elle avait besoin d’une bonne présence afin de mettre un peu d’ambiance dans une soirée. J’me mettais à rire tout seul puis je répondais par l’affirmative après avoir demandé à la nounou d’Hailee si je pouvais la laisser cette nuit avec la petite. Je l’autorisais à faire comme chez elle, en même temps elle l’était un peu ces derniers temps. J’me préparais rapidement après une rapide douche et j’me dirigeais en voiture dans le centre ville puis vers Along pour terminer par me garer près d’un bar, le Paint Bar. Ce n’était pas vraiment le lieu où j’avais l’habitude d’y aller mais j’appréciais la peinture, c’était même un de mes péchés secrets. J’entrais alors dans le bar puis je cherchais la brune du regard. J’enfouissais mes mains dans mes poches puis je m’approchais d’elle, me penchant près de son oreille. « Alors on est une jeune demoiselle en détresse ce soir ? »

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Mar 31 Jan 2017 - 13:09

Proposer une soirée à Loukas, c'était l'évidence. Depuis qu'ils s'étaient connus en cellule de dégrisement, à chaque fois qu'il fallait faire la fête ou des conneries, c'était plutôt vers lui qu'elle se tournait, curieusement... ou pas. Disons que Bambi savait très bien cerner les gens rapidement et le jeune homme, ça s'était fait naturellement. Pourtant, dieu sait combien ils avaient été en mode déchets dans cette fameuse cellule, lorsqu'ils s'étaient rencontrés. Mais ça ne leur avait pas empêché de s'apprécier et de se revoir à de multiples reprises, comme ce soir. Rendez-vous au Paint Bar, c'était le deal. Pourquoi ? Pour changer les habitudes, opter pour un peu de body painting peut-être ? C'était le bar des artistes et tout pouvait arriver en tout cas. Au moins, ils étaient dans un lieu neutre où personne n'allait les juger... du moins il ne valait mieux pas pour eux. Demoiselle en détresse ? Mmh... je ne crois pas, mais demoiselle assoiffée, peut-être ! s'amusa-t-elle à répondre à l'arrivée de Loukas, avant de le serrer dans ses bras et de lui faire une grosse bise, comme à chaque fois qu'ils se voyaient. T'es venu et ça me fait trooop plaisir !

@Loukas S. Jefferson comme une gourde je pensais t'avoir répondu et non j'ai honte You need me and I love that ⊰ Bambi 1779901633

sorryyyyyyyyyyyyy You need me and I love that ⊰ Bambi 2442039969

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❝ You need me
and I love that. ❞
BAMBI & LOUKAS

Combien de fois je m’étais retrouvé en prison ou simplement en cellule de dégrisement ? Bien trop de fois, pour être honnête, je ne les comptais plus. Autrefois, être le fils du maire de New York était une bonne combine, on me faisait patienter puis on finissait par me relâcher sans aucune charge, le deal parfait. Désormais, ce n’est plus pareil. J’ai beau le cacher, mon emploi du temps à bien changer depuis un an. Depuis un an je suis le père célibataire de Hailee et à vrai dire ce n’est pas de la tarte. Bien sûr seules quelques personnes sont au courant mais bordel c’est dur de ne plus être autant fêtard, si mon esprit pouvait me donner des coups de pied au cul, il le ferait sûrement. « Oh j’aime quand tu me parles comme ça ! » Voilà pourquoi je ne refusais jamais une soirée avec Bambi, car je savais qu’avec elle, il n’y avait pas de limites, que c’était toujours dans la démesure et croyez-moi, à l’heure actuelle, c’est dur de trouver de sublimes femmes avec ce mode de pensée et de vie. « Je ne peux jamais te dire non, tu devrais le savoir. Alors… tu comptes te mettre toute nue pour que je te peigne dessus, c’est ça ? » J’me mettais à rire, ouais le choix du bar était audacieux mais au moins on ne risquait pas de se faire emmerder.

© MADE BY LOYALS.

HJ : Ah bah bravo, tu mérites la fessée :loukas:

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Bambi elle-même s'était pas mal assagie depuis quelques semaines. Et pour cause, se mettre en couple n'avait pas été du tout dans ses plans - surtout avec son passif si chaotique avec son ex d'il y a trois ans - mais Ciarán, le beau Mather, avait brisé une à une toutes ses certitudes pour atteindre son cœur de la plus délicieuse des manières. Elle ne regrettait pas une seconde d'avoir vécu ce Noël avec lui, ni que leur date anniversaire soit si symbolique... malgré tout, dès qu'il s'agissait de faire la fête avec un pote, qui plus est avec Loukas, l'italienne ne disait pas non. Cela permettait au jeune père de quitter un peu sa sphère raisonnable, et à Bambi de laisser sagement réviser son homme. Un deal plutôt honnête, n'est-ce pas ? Tu vois, je te connais bien chou ! s'amusa-t-elle à répondre, papillonnant des yeux, pas peu fiérote de son coup. Mais ici, tester le bodypainting était presque une obligation, surtout lorsque la soirée au Paint Bar y était consacrée. Aussi, l'italienne laissa échapper un petit rire : rêve pas Loukas-Roméo ! Nue, non. En soutif, okay. Mais si tu te mets en boxer après pour que je teste mon côté artiste aussi, y'a pas de raison que je sois seule à galérer sous la douche après ! Petit clin d’œil taquin.

HJ : je sais, je sais You need me and I love that ⊰ Bambi 166564858

You need me and I love that ⊰ Bambi 3997999705

(Invité)

❝ You need me
and I love that. ❞
BAMBI & LOUKAS

J’me mettais à rire, ouais pour une fois, j’pouvais l’admettre, Bambi me connaissait bien. En même temps à ses yeux je n’étais pas difficile à cerner comme elle ne l’était pas aux miens car on se ressemblait sur plusieurs points. Et passer des soirées ensemble dans des cellules de dégrisement à dessaouler, fallait avouer que ça nous avait bien permis de nous connaître. J’la regardais rire, être dans ce genre de bar m’étonnait un peu d’elle. Personnellement j’adorais l’art, je peignais depuis mes jeunes années mais au final, ce n’était qu’une face cachée du jeune Loukas. Je ne parlais pas de ma façon de peindre des paysages ou des portraits ou encore ma façon de jouer du piano, tout ceci c’était mon jardin secret, les choses dont je ne parlais jamais. « Ma belle, quand tu verras l’œuvre que je vais peindre sur toi, tu ne voudras plus jamais te laver. Allez, viens. » Mais j’acceptais le challenge. J’en profitais même pour enlever ma veste et nous commander deux verres. J’demandais au serveur où est-ce qu’on allait pouvoir poser nos affaires et j’accompagnais Bambi jusqu’à l’endroit. J’en profitais pour me dévêtir aussi, elle voulait jouer, je n’avais pas froid aux yeux et je savais qu’elle non plus.

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De son côté, ce n'était pas tant la peinture qui passionnait Bambi mais plutôt le dessin en général et surtout le portrait. Peu de gens connaissaient son coup de crayon incroyable qui aurait très bien pu lui valoir une entrée aux Beaux-arts parisiens, ou bien dans la confrérie des Lowell. Cela restait une sorte de talent caché qu'elle ne montrait qu'à ses potes les plus proches, Ciarán étant bien le seul à avoir un accès illimité à son bloc de croquis. Pour les autres, et bien... il fallait montrer patte blanche. Mais aujourd'hui, point de croquis ou de portrait qui tienne. La peinture, seulement la peinture. Ce domaine là, l'italienne le maîtrisait nettement moins et forcément, cela risquait d'être cocasse. Mais cela prouvait à quel point elle aimait les défis. Ah ouais, à ce point là ? T'as intérêt à être bon parce que sinon je vais crier remboursé ! Pour la peine, tu vas commencer reprit-elle en esquissant un petit clin d’œil, attrapant son verre tout juste commandé par les bons soins pour Loukas pour mieux se rendre dans un petit coin tranquille, où elle n'eut pas franchement de mal à se déshabiller. Après tout, la brunette n'était pas forcément prude sur les bords. On trinque et on s'y met ?

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BAMBI & LOUKAS

J’me mettais à rire, j’étais un artiste né même si j’le cachais. J’étais un sportif aussi, c’était cette partie que j’voulais montrer au monde, cette partie de moi que j’voulais mettre en avant pour réussir et visiblement ça m’réussissait, jusqu’à ce qu’il m’arrive une couille comme on dit et que je n’ai plus le choix que d’arrêter ma carrière. Football Américain, Boxe, j’excellais dans ces domaines et je ne m’en cachais pas à vrai dire. « Mais ça ne me dérange pas le moins du monde chère demoiselle, sache que tu voudras me payer à la fin. » J’me mettais à rire et j’commandais deux verres au serveur. J’trinquais ensuite avec Bambi et j’le buvais cul sec. Je n’étais pas trop confiant à laisser un verre encore plein sur un bar, et puis j’avais soif, pourquoi se mentir. J’me dirigeais alors vers les vestiaires et j’commençais à me déshabiller. J’sortais alors et j’allais nous trouver un endroit tranquille, j’commandais également deux autres verres pendant qu’un professionnel nous amenait de quoi faire de l’art. J’attendais alors que Bambi arrive et j’me mettais à sourire alors qu’elle venait s’asseoir près de moi. « Allons-y, si madame veut bien se permettre. »

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Ce qu'il y avait de merveilleux avec Loukas, c'est qu'il restait joueur en toute circonstance, y compris alors qu'ils allaient chacun leur tour s'adonner au body painting. Pour lui ce n'était peut-être pas un baptême, mais pour Bambi, il s'agissait là d'une grande première. Une première qu'elle ne risquait pas d'oublier, et dont elle garderait sûrement des photos juste pour le délire - à ne montrer à personne, bien entendu. Mouais, te payer je demande à voir... parce que t'es du genre exigeant je parie ! Au niveau du prix, sous entendu. L'italienne s'enfila son propre verre cul sec avant de partir direction de petits vestiaires, histoire d'être en bonne tenue pour commencer. Ses sous vêtements feraient l'affaire, la demoiselle n'étant pas pudique. Un nouveau verre l'attendait ainsi que Loukas une fois qu'elle arriva dans la pièce, un large sourire aux lèvres. Tu peux commencer, fais-toi plaiz !

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❝ You need me
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BAMBI & LOUKAS

J’appréciais grandement l’art, j’avais déjà vu du body painting mais de là à le pratiquer, c’est vrai que c’était une première pour moi aussi, comme pour Bambi visiblement. Mais quelque chose me dit que j’allais apprécier l’expérience, disons que ça mettrait une nouvelle corde à mon arc d’artiste. « C’est pas faux, mais je suis également du genre à cacher mes compétences. » J’acquiesçais d’un bref geste de la tête, qui aurait pu imaginer que Mr Jefferson était un roi du piano ou un très bon peintre, sans me vanter bien sûr. Je m’installais alors sur notre espace et j’commandais deux verres. J’buvais alors le mien tranquillement en attendant qu’elle se ramène, qu’est-ce que ça pouvait être long une femme lorsqu’elle n’est pas déshabillée par un homme… J’la voyais arriver et j’me mettais à sourire. « Bien, si mademoiselle veut bien se permettre. Une préférence peut être ? Un portrait, un paysage ? » J’me levais et faisais une révérence afin qu’elle s’installe puis j’me redressais en regardant le matériel autour de nous.

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Sam 4 Mar 2017 - 11:51

You need me and I love that

Loukas & Bambi

Bambi arqua un sourcil de surprise, comme quoi, elle en apprenait tous les jours en présence de son pote. Cacher tes compétences, carrément ? s'enquit-elle, tout en sachant que de son côté, c'était un peu la même : très peu de gens connaissaient son don en dessin, ou même l'avait entendue jouer du violon. Il s'agissait de deux talents que seul Ciarán connaissait pour le moment. Le privilège de l'amour... quoi qu'il en soit, l'italienne finit par se pointer dans la bonne tenue pour le bodypainting et n'hésita pas à s'enfiler une nouvelle gorgée de boisson avant de laisser échapper un petit éclat de rire à la révérence de Loukas. Tout en cérémonie, ce jeune homme ! Un portrait, allez ! Celui que tu veux, surprends moi tiens ! lança-t-elle, son verre en main, une fois bien en place. Et autant dire que la curiosité était à son comble.

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