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I need someone to rely on
ft. MAËLYATTOn avance quotidiennement dans la masse. Chacun essaie de trouver sa place et de mener sa barque comme ils le pouvaient. Ainsi, les relations sociales étaient égales. Trouver une personne avec qui l’on pourrait construire quelque chose. Pour Wyatt, la femme de sa vie était sans conteste Torrey. Il avait eu un moment de doute, mais il s’était ressaisi. Pourtant, aujourd’hui, ce n’était plus lui qui était à la place du confus. A présent, la mère de son fils, semblait être distante. En venant la chercher à Santa Fe, ils s’étaient promis d’essayer une dernière fois, mais cette promesse semblait être bien loin. Ce soir-là, Wyatt n’avait pas eu le cœur à rester à l’appartement. Torrey avait prévu de passer deux jours dans sa maison avec les enfants. C’était ses jours de repos et elle disait, vouloir souffler loin de la ville. Le jeune homme n’avait pas eu le cœur de refusé. Pour ce changer les idées, il avait pris la décision d’accepter une invitation pour une soirée. Celle-ci regroupait tous les anciens d’Harvard.
Arrivé devant la propriété, Wyatt resserrait sa veste autours de sa chemise noire. L’endroit était excentré du centre-ville. C’était une magnifique demeure type manoir des années vingt. La soirée promettait quelque chose de sophistiqué, mais sans trop l’être. C’est pourquoi, il avait revêtue un jean sobre avec une chemise sombre. Pénétrant à l’intérieur, il déposait sa veste au vestiaire. Croisant quelques visages connus, il discutait durant la première heure tout en buvant une bière. C’était là, le moyen de lui changer les idées et surtout, de ne pas penser à la tournure de sa relation avec Torrey. C’était une chose qui l’attristait considérablement, car il était impuissant. Seul la jeune femme, détenait les clés. Au bout d’une heure, il décidait de passer un appel. Pour plus de tranquillité, il arpentait la demeure pour trouver un endroit tranquille. Ironie du sort, il atterrissait dans une piscine intérieure chauffée. De grandes colonnes se détachaient sur toute la longueur de la piscine. Le fond représentait une énorme céramique représentant un blason. Sans doute celui du manoir. Le reste, était de marbre blanc veiné de beige. C’était un endroit luxueux qui ne lui correspondait pas. Seule la lumière de l’eau turquoise venait éclairer les lieux. Prenant son téléphone portable, il tentait un appel, mais aucune réponse. C’est au moment où il décidait d’abandonné, que son regard croisait une silhouette familière. « Maë… » Toujours présente dans les moments où il avait le plus besoin d’une compagnie rassurante. « Qu’est-ce que tu fais là ? »(Invité)