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walk the line (alaska)

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C'est comme ça qu'il encaisse le coup.. pourtant la première fois qu'il a su, pour cette grossesse, il l'a plutôt bien pris. Tellement, qu'il était prêt à tout assumer. Mais les révélations et le départ ont tout chamboulés, qu'il ne sait pas comment réagir. Surtout que ça fait plus d'une année. C'est quoi, la réaction normale face à tout ceci ? Il aimerait vraiment avoir la réponse. Comme il n'arrive pas à l'obtenir, il boit. Pas de véritables raisons, pas pour oublier.. juste qu'il sait le faire et que ça lui permet de penser à autre chose. Il sait qu'il va devoir assumer et affronter les choses. Pour le moment, il retrouve Alaska sur le chemin, non loin de la Mather House et connaissant son statut, il se mit à la questionner. Il n'est pas du genre à crier la nouvelle sur tout les toits. Ses proches et parfois l'alcool.. lui font avouer la nouvelle. Tu crois ? Parce que lui, il n'est pas convaincu.. pour le moment. Les bêtises, ça le connaît. Et il ne sait pas comment s'arrêter. Le temps aura la réponse, de toute façon. Oui, ça l'est.. parce qu'il l'aime déjà. Je sais pas... ce n'est pas prévu. Disons qu'il préfère en parler avec la mère. C'est le mieux, sinon, ça va faire des étincelles. Du moins, c'est ce qu'il imagine. Puis, voir la mère... ça va être encore plus difficile. La vie change, à quel point ? Alaska, la conseillère.. Il ne se rend pas compte des questions, qu'il peut poser.
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Aaron avait perdu une année dans la vie de sa fille. Je crois que je préférerais mourir qu de ne pas voir ma fille pendant si longtemps. Le pire, c'est que je disais ça alors que je ne l'avais pas encore rencontré. Mais en même temps, Aaron ne connaissait pas l’existence de cet enfant alors il ne pouvait pas s'en vouloir, ce n'était pas de sa faute. Et puis finalement, peut-être qu'il loupait beaucoup au premier coup d’œil, mais il était encore temps pour lui de se rattraper. « Tu crois ? » - « J'en suis certaine ». Après tout, j'étais toujours là et on savait tous les deux que des bêtises, j'en avais fait et des terribles en plus. « Oui, ça l'est.. » Je souriais en le regardant, puis finalement mon expression changeait à nouveau. « Je sais pas... ce n'est pas prévu. » - « Tu dois te battre pour ça, c'est ton droit » Ouais, on ne peut pas cacher l’existence d'un enfant pendant un an et ensuite ne pas vouloir le partager. Il pouvait limite demander la garde. Enfin, c'était compliqué. « La vie change, à quel point ? » Je laissais échapper un soupir avant de lui répondre rapidement, sur de moi « Elle va devenir le centre de ton univers, tu planifieras les choses en fonction d'elle. » Ouais, c'était aussi simple que ça. « C'est la meilleure thérapie qui existe pour ma part, c'est juste du bonheur » Et elle n'était pas encore là.
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Il aurait pu. Il aurait pu rencontrer sa fille, depuis bien longtemps mais les choses ont fait que non. Il ne regrette pas, parce qu'l ne savait pas. Ce n'est pas tant ça qui le dérange. C'est plus profond. Mais maintenant, qu'elle est la bonne réaction à avoir ? Il n'a pas encore parlé à la mère, il n'en sait pas plus, que cette lettre. Je préfère attendre qu'elle m'invite à la rencontrer. Surtout vis à vis de leur relation et du passé. Bien que dans quelques jours, il n'attendra pas l'avis et il viendra à l'improviste. Direction New-York, un peu avant les douze coups de minuit pour la nouvelle année. Il trouve de bons conseils auprès d'Alaska, du moins c'est ce qu'il espère. Elle n'est pas encore maman mais presque... c'est comme si, pour lui, elle savait tout sur : avoir un enfant. Et voilà qu'un sourire apparaît sur son visage aux paroles de son amie. C'est drôle mais j'ai l'impression que c'est le cas. Et il ne la connaît pas encore. Mais arrivera-t-il à arrêter ses conneries . Seul le temps pourra en témoigner. Et toi, comment c'est ta grossesse ? demande-t-il, marchant vers la Mather House, respirant l'air frais, parce que ça fait du bien et ça le fait redescendre, petit à petit.
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« Je préfère attendre qu'elle m'invite à la rencontrer ». J'agitais la tête de haut en bas pour acquiescer, un léger sourire aux lèvres et le regard triste. Ouais, je pouvais le comprendre. Attendre que l'autre donne l'autorisation. Mais lui, il avait son mot à dire désormais qu'il n'y avait plus de secret. Il pouvait reconnaître son enfant et avoir les droits. Il avait le droit de ne plus être un étranger. Mais bon, je supposais que ce n'était pas tellement le bon moment pour ce genre de discourt. Aaron était ivre et clairement, autant s'en tenir aux choses qu'il me dit, surtout s'il ne se souvient pas tellement le lendemain, alors ça n'aura servit à rien. « C'est drôle mais j'ai l'impression que c'est le cas. » Un large sourire vint illuminer mon visage en le regardant alors que nous marchions toujours en direction de la mather house. « Tu as encore le temps pour réfléchir à tout ça, mais je suis certaine que tu feras un bon père et j'espère de tout cœur que d'ici quelque mois, le fait de ne pas l'avoir auprès de toi ne soit plus qu'un lointain souvenir. » Je l'espérais de tout cœur, vraiment. « Et toi, comment c'est ta grossesse ? » - « Bien, c'est à la fois bizarre et agréable. Mais j'ai vraiment hâte qu'elle soit là. J'avais envie de voir si elle va ressembler à son père ou bien à moi » m'amusais-je alors. D'ailleurs, Osean voudrait bien qu'elle me ressemble, mais seulement physiquement et non pas psychologiquement. Faut dire que j'étais sacrément têtue et je supposais qu'il n'en voulait pas deux comme moi.
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Avec la mère de sa fille, il préfère attendre son autorisation. Surtout vis à vis de leur dernière rencontre, de leur dernière conversation. C'est assez complexe, entre eux. Certainement, qu'il lui renverra une lettre pour lui demander. Il ne pense pas qu'elle refuserait, sinon, à quoi bon de lui avouer tout ceci ? Mais, il vaut mieux passer par là. C'est vrai, cette petite file, c'est déjà son univers, c'est même la femme de sa vie et à l'heure d'aujourd'hui, il ne l'a toujours pas rencontré. Il pense déjà aux prochains mois, à ce qu'il fera. Il doit y réfléchir, le temps passe vite. Merci Alaska.. pour tes paroles. Parce que même s'il a bu et qu'il n'est pas totalement sobre, il est conscient de ce que lui dit la jeune femme, il entend bien. Et quelque part, au fond de lui, ça le rassure. C'est une chance de tomber sur elle, à ce moment-là. Une vrai amie, sur qui, il peut compter, il s'en rend compte au fur et à mesure que cette amitié évolue. Je suis content que tu puisses construire cette famille. Tu le mérites. Et à son tour, d'avoir cette petite parole gentille et réconfortante. Tu nous imaginais parent ? dit-il un peu plus amusé, avant de reprendre. D'ailleurs, tu vas faire quoi, l'an prochain ? Rester sur Harvard ou... ? Partir, en gros, arrêter les études. L'air frais est tellement agréable qu'il tente même de marcher normalement. Il essaye.
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« Merci Alaska.. pour tes paroles. » Je lui offrais un sourire, puis un petit haussement d'épaules. C'était à ça que ça servait les amis après tout. Et puis, c'était sincère, j'espérais vraiment que tout allait de mieux en mieux dans la vie d'Aaron. Il n'y a pas si longtemps, j'avais moi aussi une vie décourageante et il se passait des trucs décevants, mais il fallait rester debout et affronter les étapes. Je voyais que son taux d'alcool descendait petit à petit et c'était bien, comme quoi, j'avais bien fait de tomber sur lui. J'allais le ramener à la mather, il aurait décuvé tranquillement et il aura eu le droit à une discussion importante. « Je suis content que tu puisses construire cette famille. Tu le mérites. » Je souriais, touchée par ce qu'il venait de me dire « Merci ». Ça faisait toujours du bien à entendre, on ne va pas se mentir. « Tu nous imaginais parent ? » Je me mettais à rire en l'écoutant. « Pas vraiment.. » Ouais, il y a quelques mois, j'étais encore à côté de la plaque hein. Et si ma fille faisait autant de connerie que moi, je ferais certainement une crise cardiaque. « D'ailleurs, tu vas faire quoi, l'an prochain ? Rester sur Harvard ou... ? » Je lui tenais son bras alors qu'il essayait de s'en sortir tout seul. « Ouais, je vais finis mon année et obtenir mon diplôme et ensuite, essayer de me faire embaucher dans la maison d'édition où je fais mon stage, à Boston » Ma famille était ici et je n'avais pas tellement envie de partir.
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C'est une chance de tomber sur Alaska et de pouvoir en parler, librement. Il ne compte pas crier cette annonce sur tout les toits non plus. Ce n'est pas son genre. Mais il doit bien avouer qu'il a besoin de certains conseils. Et Alaska peut lui en apporter quelques uns, déjà. Donc, oui, il la remercie parce que ça lui fait du bien ce qu'elle lui dit. Il y a quelques mois, il aurait été difficile de s'imaginer, père. C'est venu tellement de façon soudaine. Mais l'idée de l'être ne lui dérange pas... c'est juste qu'il pensait construire cette famille autour. Peut être un jour. Peut être qu'un jour, il retrouvera cette femme qu'il a tant aimé. Il se rendit compte, à la réponse de la jeune femme, que cette année est la dernière pour beaucoup. D'un côté, c'est cool, il ne laissera pas tout ses proches derrière lui, à être encore à l'université. D'autres feront comme lui. C'est un bon plan de carrière. avoue-t-il. Au moins, elle a tout prévu. Si lui, il pouvait faire la même chose.. Parce que son travail actuel, il ne le voit pas sur du long terme. Nous sommes beaucoup à finir l'université, cette année. Et il ne sait pas encore ce qu'il fera, dans quelques mois. Boston ou New-York ? Ou... ouais, il ne peut pas trop prévoir parce qu'il attend d'avoir son diplôme entre les mains avant de faire quoique se soit. Mais c'est certain, ça sera en rapport avec sa fille.
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« C'est un bon plan de carrière. » Je souriais en le regardant. C'est vrai que c'était un bon plan. J'avais toujours su ce que je voulais faire, ce à quoi mes études allaient découler. J'étais fière de moi d'avoir réussi aussi bien à remonter la pente et j'espérais vraiment que ça allait durer. Je crois que je le méritais et ma fille, elle méritait de grandir dans un milieu sain, bien loin que ce que j'avais pu connaitre avec mes parents. Je voulais qu'elle grandisse dans le bonheur, qu'elle soit tranquille jusqu'à ses dix-huit ans au moins et que c'est seul soucis soit ceux d'une adolescence "normale". Je voulais qu'elle ait une vie parfaite parce que j'étais la mieux placée pour savoir que sans ça, on finissait par devenir fou. On le devenait tous. Et en imaginant le nombre de bêtises que j'avais pu faire dans la vie, j'osais espérer que ma fille n'en arriverait jamais là. Qu'elle prendra son temps et qu'elle n’expérimentera pas trop les choses interdites comme ses parents ont pu le faire de manière malsaine. C'était flippant d'avoir un enfant, mais ça donné aussi beaucoup d'espoir. « Nous sommes beaucoup finir l'université, cette année. » - « Ouais, c'est vrai. Harvard sera bientôt du passé... » J'aimerais pouvoir dire qu'on gardera tous contact, mais ça me semblait difficile. Je préférais imaginer que nous auront une réunion des ancien un jour et qu'on pourra se retrouver quelques heures tous ensemble.
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Alaska a déjà un plan de carrière. Elle sait ce qu'elle fera dans les prochains mois. Elle n'est pas seule et elle a tout prévu. D'un côté, il l'envie. Mais il pense aussi à ce qu'à pu éprouver et vivre, la mère de sa fille, pendant la dernière année. Elle était seule. Bon, pas tellement, à en croire avec qui, elle est partie de Boston, la dernière fois. Non, vaut mieux pas imaginer ou penser à ce genre de chose. C'est ce qui l'avait blessé, lors d'un Spring Break et qui l'avait mis dans un sale état. L'amour, ça rend fou. C'est la dernière année pour beaucoup. Et d'un côté, ça fait bizarre parce que c'est une page qui se tourne. C'est un nouveau chapitre, une nouvelle vie, un nouveau départ. Ouais, beaucoup de nouveau. Va falloir se préparer, Aaron, parce que là, tu es mal partie, je te le dis. Du passé. répète-t-il légèrement avant de finalement, reprendre la parole. J'ai l'impression que c'était hier.. tout ça.. Puis, il pense aussi à la Mather, il va aussi devoir les quitter. Oui, ça va faire bizarre. certes, il les avait déjà quitté, pendant une année mais il était toujours là, c'est la seule différence. Peu à peu, pas à pas, tout deux finissent par trouver le chemin de la Mather, enfin carrément, la maison en elle-même. Mais, à force, il va mieux, prendre l'air, ça fait du bien. Marcher doucement et penser à autre chose, aussi.
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« J'ai l'impression que c'était hier.. tout ça.. » Il avait raison. Moi-même, j'avais l'impression que c'était hier que je prenais l'avion pour les états-unis, que je me retrouvais face à mon père après des années de silence, que je sortais du coma à deux reprises, que je me mettais à fréquenter les hommes sans gêne, que je fais mon overdose ou encore ma fausse couche. Ouais, j'avais vraiment l'impression que c'était hier que je faisais n'importe quoi, que des bêtises. Puis en fait, il m'avait fallu que je rencontre la bonne personne, du moins, que j'accorde toute mon importance à une seule personne qui est aujourd'hui l'homme de ma vie et que je tombe enceinte pour que je me cadre et que je sois sur le droit chemin. Je ne doutais pas pour Aaron, j'étais certaine que tout allait bien se passer pour lui, surtout quand il aurait commencé à prendre contact avec la petite. Puis, nous arrivions devant la mather house où j'allais bientôt ne plus pouvoir entrer. « Je vais te laisser là, il faut que je rentrer chez moi et tu es sain et sauf » lui confiais-je en riant. Au moins, il n'allait rien lui arriver. Je lui faisais un accolade pour lui dire au revoir et je le regardais en fronçant légèrement les sourcils. « Arrête de picoler comme un trou ou je te botte le cul » Légèrement protectrice que j'étais.
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