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« L’amour c'est comme les photos, ça se développe dans le noir. »

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L’amour c'est comme les photos, ça se dévéloppe dans le noir.
Arwy & Ethan

Arwen m'avais entrainé dans une petite brasserie proche de la faculté et m'avais gentiment proposé de m'offrir quelque chose à manger. J'aurais bien voulu lui dire que je payais mais je préférais la laisser faire, et comme ça je serais bien obligé de l'inviter la prochaine fois et c'est moi qui réglerais. Nous arrivâmes très vite devant le petit restaurant ou nous y entrâmes. Un jeune serveur nous proposa une table dans un petit coin à l'abri des regards indiscrets et nous donna la carte. « Tu prends ce que tu veux ! » s'exclama la jeune femme avec un large sourire. " Je vais tout avouer, je crois que je n'ai pas énormément faim, je suis stressé " j'avais mordillé ma lèvre inférieure et n'arrêtais pas de bouger sur mon siège. " Je vais prendre comme toi et on verra si j'ai eu raison " Je fis une grimace apeurée et repris " J'espère que tu n'as pas de goûts bizarres, vu que t'es pas comme tout le monde " Arwen était pour moi une fille mythique, mystérieuse, bien à part. Et pourtant elle le démentait à chaque fois.Pour elle, elle était une fille banale.

Le serveur revint quelques temps après à la charge, Arwen commanda rapidement. Nous étions de nouveau seuls, en tête à tête. Il n'y avait plus d'échappatoire possible pour moi. " Alala Arwen, parles moi je me sens tout con " J'avais attrapé au passage la main d'Arwen et avait plongé son regard dans le sien avec un grand sourire niais. " Tu me rends minable là " Plus je passais de temps auprès d'elle et plus l'envie montait. Ses mimiques me rendais dingue, ses lèvres m'envoutaient de plus en plus. Me sentant me perdre petit à petit dans mes fantasmes, j'avais laché sa main et avais enfoui mon visage dans mes deux mains pour me cacher. " Fiou faut que je me calme " j'avais laissé échapper cette phrase et m'étais donné une petite baffe pour me re concentrer.



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« Je vais tout avouer, je crois que je n'ai pas énormément faim, je suis stressé ». Je relevais la tête afin de scruter le visage du jeune homme. Je me rendais compte alors que je l'avais embarqué dans cette brasserie en ayant pensé à mon estomac qui grondait et non aux attentes d'Ethan. Mes joues se colorèrent et je fis une petite grimace. « Je suis désolée, j'ai écouté mon estomac sans me préoccuper de toi ! Mais, si tu n'es pas obligé de manger tu sais, tu peux juste prendre un verre ou … manger une glace ! ». Je faisais à mon tour référence à notre première rencontre. Il était vrai qu'il était un peu tôt et donc qu'Ethan n'avait pas forcément envie de manger lui aussi. Pour ma part, je n'avais pas pris le temps de prendre une pause le midi même et je commençais à être affamée. Quant à la nervosité du jeune homme, je finissais par me dire qu'il ne tenait décidément pas en place sur une chaise. Quand un serveur arriva pour prendre nos commendes, Ethan s'exclama avec une mine faussement apeurée, « Je vais prendre comme toi et on verra si j'ai eu raison. J'espère que tu n'as pas de goûts bizarres, vu que t'es pas comme tout le monde ». Je fis un sourire et demande une assiette de pâtes bolognaise. Je ne pouvais pas faire plus simple. « Je ne vois pas en quoi je suis si différente des autres et je pense même qu'il n'y a que toi pour dire ce genre de chose ! ». Je lui tirais la langue comme une petite fille pour qu'il se détente et qu'il arrête de se tortiller dans tous les sens sur sa chaise. « Alala Arwen, parle moi je me sens tout con ». Je lui adressais un de mes plus beaux sourires alors qu'il attrapait ma main qui se trouvait sur la table. Il avait plongé son regard dans le mien et j'avais beaucoup de mal à m'en défaire. Et alors que je m'apprêtais à lui parler, il lâcha ma main pour cacher son visage. « Tu me rends minable là. Fiou faut que je me calme ». Bizarrement, je le trouvais mignon quand il était comme ça. Je me penchais légèrement vers lui et attrapais ses mains pour qu'il les baisse. « Respire Ethan ! Je n'ai rien fais ou dis pour te mettre mal à l'aise. » Entre-temps, le serveur nous apporta nos deux assiettes. Je ne savais plus quoi lui dire pour qu'il se calme. « Tu étais pareille à notre premier rencard, je sais pas... tu as quelque chose d'important à me dire ? Tu m'aimes ? tu m'aimes plus ? tu veux sortir avec une autre fille ? tu as oublié de faire quelque chose ? tu dois partir ? Tu détestes les pâtes bolognaises ? Tu veux dormir avec moi ce soir ? Il y a quelqu'un que tu peux pas sentir dans cette brasserie ou tu ne te sens pas bien ? » Je m'arrêtais et le regardais avec un sourire, je venais de le canarder de questions auxquelles je n'attendais aucune réponse. Je voulais juste qu'il se détende et qu'il me dise une bonne fois pour toute ce qui n'allait pas. Je ne voulais pas le stresser, au contraire, juste qu'il se détente parce que s'il continue dans ce chemin, il allait finir par faire des bêtises sans le vouloir.
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Comme je m'y attendais la belle brune se défendit bec et ongles, elle n'était pas différente des autres, pourtant pour moi c'était un compliment. Arwen commanda deux assiettes de pâtes à la bolognaise, j'adorais sa et sa m'avais même ouvert l'appétit. Son regard me déstabilisé et alors que je m'étais réfugié dans mes mains, la jeune femme les ôta et me ramena sur terre « Respire Ethan ! Je n'ai rien fais ou dis pour te mettre mal à l'aise. » " Oui je sais…mais…" le problème avec moi c'est qu'il y'avait toujours un mais. Heureusement le serveur nous servit à ce moment la et repartis en toute discrétion. Arwen devint soudainement une pipelette et m'harcela de questions auxquelles je n'aurais pas pu et su répondre. « Tu étais pareille à notre premier rencard, je sais pas... tu as quelque chose d'important à me dire ? Tu m'aimes ? tu m'aimes plus ? tu veux sortir avec une autre fille ? tu as oublié de faire quelque chose ? tu dois partir ? Tu détestes les pâtes bolognaises ? Tu veux dormir avec moi ce soir ? Il y a quelqu'un que tu peux pas sentir dans cette brasserie ou tu ne te sens pas bien ? » Je l'avais regardé un long moment sans broncher et l'air choqué. Sa ne lui ressemblait pas et c'était étonnant. Puis après avoir retenu ma respiration pendant presque une minute, j'avais relâché la pression et exploser de rire. " Eh ben dis donc, je vais me calmer pour éviter la tempête Nympheas " je n'utilisais pas beaucoup ce prénom car de toute façon tout le monde l'appelait Arwen et je m'étais familiarisé avec celui ci mais il était tout aussi spécial qu'Arwen.

" Mais je veux bien que ma tornade dorme avec moi ce soir et toute la nuit cette fois " j'avais accompagné ma phrase d'un haussement de sourcil pour la taquiner. Puis j'entamai mes spaghettis en les enroulant autour de ma fourchette et fini par plonger cette dernière dans ma bouche. " Hmm C'est délicieux Arwen, tu vas me faire grossir en m'ouvrant l'appétit comme ça à tout bout de champ " Je servis ensuite le verre de la jeune femme puis le mien et en bu une grosse gorgée. " Eh oui je t'aime mais s'il te plais ne te sens pas obligé de me le dire à ton tour " mes joues étaient bouillantes, je profitai de mon assiette pour y reconduire mon regard et éviter celui d'Arwen par la même occasion.

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J'avais toujours eu l'impression d'être un livre ouvert. Que tout le monde pouvait lire en moi sans problème et que chacun pouvait déceler mes moindres secrets. En réalité, je me montrais plus compliqué que cela, et Ethan ne cessait pas de me rappeler à quel point je pouvais être différente. Je l'avais noyé sous une vague de questions auxquelles il ne pouvait répondre. Je voulais simplement le détendre et qu'il se sente mieux, mais, malgré de nombreux essaie, le stresse revenait toujours. Quand je ne dis plus un mot, Ethan resta à son tour silencieux. Il avait été surpris par mon excès de paroles. Et tout à coup, le jeune homme se mit à rire. Je ne put m'empêcher de mêler mes rires au sien et de plonger ensuite mon regard sur mon assiette afin d'enrouler les spaghettis autour de ma fourchette. « Eh ben dis donc, je vais me calmer pour éviter la tempête Nymphéas ». Il y avait bien longtemps que quelqu'un avait prononcé ce prénom. Pour cause, tout le monde m'appelait Arwen, un prénom elfique sortie tout droit de l'imagination de ma mère que je n'ai jamais connue. Elle aimait l'art, et Nymphéas étaient en référence aux superbes peintures de Monet.

« Mais je veux bien que ma tornade dorme avec moi ce soir et toute la nuit cette fois ». Il n'en fallait pas plus pour que je relève les yeux avec un sourire. « Si tu es sage, je serais encore là quand tu te réveilleras ». Je lui offris un clin d'oeil sur mes derniers mots et me mis à manger par la suite. Les spaghettis bolognaise était un de mes plats préférés et j'adorais venir régulièrement à cet endroit pour en manger. « Hmm, c'est délicieux Arwen, tu vas me faire grossir en m'ouvrant l'appétit comme ça à tout bout de champ ». Je fis un sourire, heureuse que ce diner lui plaise alors qu'il n'avait pas l'air très emballé. Nous restions silencieux pendant quelques minutes, le temps de savourer nos plats. Mais, Ethan finit par rompre le silence pour répondre à une des questions que je lui avais posées. « Eh oui je t'aime, mais s'il te plaît ne te sens pas obligé de me le dire à ton tour » - « Je t'aime aussi ». Je lui avais répondu sans hésité. Je me souvenais très bien de sa réaction lors de la dernière fois qu'il me l'avait dit. Bizarrement, on aurait pu croire à un mauvais présage. Ce soir, j'étais plus posée et je ne me faisais pas trop de soucis pour la suite. J'avais bien entamé mon assiette, et je fis une pause, m'essuyant les lèvres avec une serviette. « Je... je veux pas m'imposer et être collante. Je veux pas non plus que tu t'obliges à me supporter. Alors, si parfois tu veux respirer un peu, dis-le-moi ! ». C'était bizarre que les mots sortent de ma bouche. La dernière fois, c'était Ethan qui faisait tout pour me laisser respirer. Mais, en réalité, j'avais tellement peur qu'il m'abandonne que l'effet inverse se produisait sur moi. Je voulais profiter de chaque moment un maximum.
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La jeune femme avait l'air plus libérée et moins réfléchie que la dernière fois lorsque nous étions presque en couple, puis en couple. Elle me répondit aussitôt lorsque je lui avait de nouveau avouer mon amour pour elle. Je l'avais laissé sans répondre me ressassant son je t'aime dans ma tête. Arwen reprit alors après une bouchée de son plat. « Je... je veux pas m'imposer et être collante. Je veux pas non plus que tu t'obliges à me supporter. Alors, si parfois tu veux respirer un peu, dis-le-moi ! » C'était surprenant de la part de la jeune femme puisque celle ci voulait que je la laisse respirer à l'époque. Maintenant c'était à moi de choisir. " J'aime quand on me colle, je suis un collant ne l'oublie pas " je terminai mon assiette sans grande difficulté et attendis qu'Arwen en fasse de même. Je m'étais adossé confortablement au siège et la regarder manger. Son assiette enfin terminé il lui restait un peu de tomate sur le bord de ses lèvres. " Approches " la jeune femme s'exécuta et je pu lui retirer ses vilaines petites traces orangées de mon pouce. " C'est mieux comme ça petit clown " j'avais tapoté le bout de son nez de mon index. " Maintenant on rentre hein " je regardais la demoiselle avec de grands yeux la suppliant. De toute façon je m'étais levé et avait déposé quelques billets sur la table. " Tu croyais que j'allais te laisser faire "

J'avais ensuite attrapé la belle brune par la main et l'avait tiré avec moi en dehors de la brasserie. Arwen n'aurait pas le choix je l'avais pris au mot et l'entraina chez moi de nouveau. Direction Central square. Et puis si la demoiselle voulait rentrer je ne lui en voudrais pas, je voulais juste encore quelques minutes avec elle. " On y est !" j'ouvris la porte et la laissa entrer avant d'attraper le courrier à l'intérieur par terre sur le parquet. " Ah ma mère m'a écris " je parlais tout seul et regarder les enveloppes une par une puis les déposa sur la console d'entrée avant de reporter mon attention sur la belle brune.

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« J'aime quand on me colle, je suis un collant ne l'oublie pas ». Je laissais échapper un petit rire. Je le connaissais assez pour savoir comment il était. Ethan était comme un enfant, toujours joyeux et surexcité qui ne tien jamais en place et qui avait toujours besoin d'un peu de réconfort. Je n'étais pas si froid que je pouvais le laisser paraître, le jeune homme avait pris l'habitude de me laisser respirer alors que moi aussi j'avais besoin de confort et de tendresse. Je mangeais la dernière bouchée de mon plat de spaghettis juste quelques minutes après le bellâtre. Je m'essuyais discrètement la bouche, mais quand je reposais la serviette à côté de l'assiette, Ethan approcha sa main de mon visage. « Approches ». Je m'exécutais silencieusement et le brun passa son pouce sur le bord de mes lèvres. « C'est mieux comme ça petit clown », dit-il en tapotant mon nez avec son index. Je m'étais perdu dans son regard entre-temps. J'esquissais un sourire pour masquer les couleurs que prenaient mes joues. « Maintenant on rentre hein » - « D'accord ! ». Ethan se leva et je le suivis. Et avant même que je puisse ouvrir mon sac, le jeune homme déposa des billets sur la table et m'attrapa le bras pour m'attirer vers l'intérieur. « Tu croyais que j'allais te laisser faire », je lui offris une de mes plus belles bouilles de boudeuse et suivis ses pas sans rien dire.

Sur le chemin, Ethan avait attrapé ma main et le trajet se fit très vite. « On y est ! ». Ethan me laissa entrer pendant qu'il ramasser son courrier. Je comptais bien ne pas en rester là. Il m'avait eu et avec payer à ma place, surement pour se comporter comme un véritable homme. Je me retournais vers lui alors qu'il s'exclama heureux, « Ah ma mère m'a écrit », puis déposa le courrier sur une petite console. Je m'approchais vers lui et déposais ma main sur son torse, un sourire aux lèvres. « Tu sais tout à l'heure en tombant, je me suis un peu fait mal au dos... », j'avais du mal à garder mon sérieux et je n'avais pas du tout honte de lui faire du charme juste pour obtenir ce que je voulais. Je m'approchais alors encore plus près et encerclais sa taille avec mes bras. « Je me disais que tu pourrais peut-être me faire un massage... ». Je lui faisais les yeux doux et espérais qu'il n'allait pas me le refuser, après tout, je n'avais pas pu lui payer le diner.
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Enfin à la maison, Arwen s'approcha de moi et plaça sa main sur mon torse se plaignant de son dos par rapport à la chute que je lui avait infligé. Je percevais là un petit jeu de séduction que la demoiselle essayait d'interpréter sans rire. La jeune femme enveloppa ma taille de ses bras et reprit la parole avec ses yeux de biche « Je me disais que tu pourrais peut-être me faire un massage... ». Comment refuser une telle opportunité. " Eh bien tu perds pas de temps on va directement dans la chambre sa sera plus confortable " ma tête légèrement baissée pour la regarder dans les yeux j'avais à mon tour passé mes bras autour de sa taille de guêpe puis j'avais tapé une de ses fesses. " File ! " je rigolais tout seul, et Arwen était deja parti en courant dans le couloir comme une enfant. Nous étions redevenus des adolescents sauf que nous possédions beaucoup plus de liberté vis à vis de nos fantasmes et que presque tout était possible.

Mon tee shirt avait eu le temps de sécher mais je préférais l'enlever pour me sentir à l'aise, c'est d'ailleurs ce que je fis avant de rejoindre la belle brune. Mes chaussures s'envolèrent dans un coin du salon, je me déplacai maintenant sur la pointe des pieds jusqu'à la chambre et y entra sans un bruit. Arwen regardait par la fenêtre, je m'étais faufilé jusqu'à elle et l'avait capturer dans mes bras. J'étais resté un instant mon menton reposant légèrement sur son épaule puis l'avait porté jusqu'au lit. " T'as voulu un massage, maintenant faut que tu enlèves ça " je pointais son tee shirt du doigt timidement sans trop regarder ses seins qui pourtant m'obséder. La jeune femme s'exécuta avec un regard malicieux, puis s'allongea sur le ventre. Mon coeur commençait sa danse folle et ce qui se situer en dessous de ma ceinture se durcissait. Je devais me reprendre et imaginer que cela soit…ma soeur par exemple afin de lui éviter mes pulsions. J'étais ensuite monté sur le lit et avais enjambé les fesses d'Arwen. Je dégraphai son soutien gorge et commençai par caresser son dos puis le masser plus énergiquement. " Ça te vas comme ça ? " je m'étais alors penché vers son oreille mon torse avait frôlé son dos, c'était fou, excitant et pourtant je l'avais juste effleuré. Je ne pu m'empêcher de lui déposer un baiser vers une de ses épaules tout en continuant mes frictions.

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« Eh bien tu perds pas de temps on va directement dans la chambre ça sera plus confortable ». J'étais heureuse d'avoir obtenu ce que je voulais, une fois de plus. Un large sourire était dessiné sur mes lèvres. Il était clair que je n'avais pas perdu de temps. Mais au moins, on n'allait pas tourner trois heures autour du pot pour trouver de quoi s'occuper avant de se mettre au lit. Ethan attrapa à son tour ma taille avec ses bras et me tapa les fesses en rigolant, « File ! ». Je m'exécutai sans broncher et couru jusque dans la chambre avec un petit rire. Je venais de rajeunir de quelques années avec le jeune homme. L'amour nous faisait perdre la tête et nous donnait des comportements immatures, surtout quand il s'agissait de se chercher et d'être dans le jeu de la séduction. J'avais enlevé mes chaussures ainsi que ma veste pour être plus à l'aise. En attendant que le bellâtre arrive, je m'étais appuyé contre la fenêtre pour regarder l'activité qu'il pouvait y avoir dans la rue un peu plus bas. Sans que je m'y attende, le jeune homme m'encercla une nouvelle fois. J'eus un sursaut de surprise à croire qu'il voulait que j'aie une crise cardiaque avant le lendemain. Après avoir laissé reposer quelques instants sa tête à côté de la mienne sur mon épaule, le jeune homme me souleva et me déposa sur le lit. « T'as voulu un massage, maintenant faut que tu enlèves ça » dit-il en pointer mon haut avec son doigt. Je me redressai alors et retirai mon t-shirt pour l'envoyer quelques mètres plus loin avec un sourire joueur aux lèvres. Je m'allongeais ensuite sur le ventre, relâchant mes muscles et fermant les yeux. Bizarrement, je sentais qu'Ethan commençait à stresser derrière mon dos. Il se mit à califourchon sur moi et dégrafa mon soutien-gorge afin de ne plus avoir aucun obstacle. Il entreprit alors un massage et je ne pu m'empêcher de laisser échapper un long soupir de bien-être.

« Ça te va comme ça ? ». Il venait de me sortir de ma rêverie, j'aurais été incapable de dire depuis combien de temps il me massait. J'acquiesçais avec un hochement de tête et rouvris les yeux. C'est alors qu'Ethan se pencha doucement sur moi pour me déposer un baiser sur l'épaule. Mon coeur se mit à battre en conséquent. J'avais peur de la tournure qu'allait prend la suite des évènements. Lors de notre première relation, nous avions tout fait à l'envers, on s'était vu très peu et avions couché très vite ensemble par la suite. Je n'avais pas envie de reproduire les mêmes erreurs. Et puis, j'avais cette petite envie de voir s'il allait réussir à prendre sur lui. Je glissais mes mains dans mon dos et agrafai mon soutiens-gorge de nouveau. Puis, en me mettant sur le dos, le jeune homme bascula sur le côté pour me faire de la place. « C'était très agréable » lui dis-je en lui déposant un baiser à la commissure des lèvres. Sans rien dire de plus, je me levais, pris un de ses t-shirts au passage et me rendais dans la salle de bain. Le laisser seul un peu allait surement calmer ses ardeurs. J'en profitais pour me mettre plus à l'aise, en commençant par retirer mon jean ainsi que mon soutien-gorge et enfilais simplement son t-shirt que je nouais au bout pour le rendre un peu plus près du corps. Je ne savais pas si c'était une si bonne idée pour calmer son excitation, mais au moins, il aura eu une coupure pour penser à tout autre chose. Une fois de retour dans la chambre, il n'y avait plus personne.
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Le baiser dans le dos avait sûrement était de trop. Ce qui était spécial avec Arwen depuis nos retrouvailles c'est que l'on pouvait se gêner et ne rien s'avouer continuant de passer du temps ensemble. Le fait est que je me laissais trop vite emporter et qu'Arwen elle prenait son temps, ne souhaitant pas reproduire le même schéma qu'auparavant. Et c'était vraiment la meilleure des solutions, heureusement que la jeune femme savait dire non ou du moins m'éloigner quand il le fallait. Quelques secondes après avoir déposé mes lèvres sur son épaule. La brunette remit son soutien gorge, me remercia et attrapa au passage un de mes tee shirt. Elle fila par la même occasion dans la salle de bain et prit soin de fermer la porte. Je n'avais pas forcément parler, et je trouvais ça vraiment plaisant de voir Arwen évoluer chez moi comme si elle avait toujours vécu ici. Pendant qu'elle ne faisait je ne sais quoi à l'intérieur, je m'étais débarrassé de mon jean et m'étais enfui me balader en caleçon attraper la lettre de ma mère que je lirais sûrement dans la chambre avant de m'endormir.

Je profitai qu'Arwen soit enfermée pour nous préparer de quoi grignoter et boire dans le lit. Je n'aurais surement plus envie de bouger une fois allongé. J'avais alors jeté un sachet de pop corn miracle dans le micro ondes et en une poignée de secondes ils étaient prêt, plus qu'a transvaser dans un saladier. J'avais ensuite cherché un plateau et y avais déposé les pop corn, deux bouteilles de cocas et la lettre de ma très chère mère. J'avais ensuite ramené le tout dans la chambre ou Arwen était à ma grande surprise deja sortie un de mes tee shirts sur le dos et rien d'autre, dévoilant ainsi ses jambes. " Il te vas mieux qu'a moi " je laissai apparaitre un léger sourire oubliant ce que j'avais pu faire quelques minutes auparavant et déposai le plateau au bout du lit. " On aura pas à se lever au moins " disais je en pointant la nourriture. Je m'étais ensuite affalé sur le lit, la lettre de ma mère contre moi. " Sers soi si tu veux, on va voir ce que ma mère m'a écris " curieux j'avais déchiré l'enveloppe franchement et commençai à dévorer les phrases. C'est au bout de quelques lignes, que le prénom de Solweig apparu, j'avais carrément oublié de le dire à ma mère. J'étais désormais calmé et mal à l'aise, merci maman.

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« Il te va mieux qu'a moi ». Je fus surprise, n'ayant pas vu Ethan revenir. Il était vêtu de son simple sous-vêtement et j'eus du mal à décrocher mon visage de son physique d'Apollon. Ma bouche légèrement entrouverte, mon visage avait pris des couleurs. Je me sentais stupide d'un coup. Moi, qui ne voulais surtout pas aller trop loin, je me retrouvais face à ce superbe corps qui me rappelait soudain la verdure et une certaine source d'eau du Vermont. C'était difficile de résister, et bizarrement, je comprenais le comportement qu'il avait eu les quelques minutes avant que je me sauve dans la salle de bain. Je réalisais enfin qu'il venait de me faire un compliment à propos de son t-shirt que je portais pour masquer ma nudité. J'esquissais un sourire et baissai le regard sur le plateau qu'il tenant entre ses mains. Du coca-cola et du pop corn. Ethan le déposa sur le bout du lit et reposa son attention sur moi par la suite, « On aura pas à se lever au moins ». Il avait prévu le coup, se disant qu'il deviendrait flemmard une fois dans le lit. En même temps, c'était mignon, et j'aimais beaucoup le pop corn. Et puis, cela ne se voyait peut-être pas à cause de ma morphologie, mais j'étais un véritable estomac sur patte et l'assiette de spaghettis ne m'avait calé que pour un temps.

Je regardais le jeune homme s'affalait sur le lit, une lettre dans les mains, celle de sa mère. « Sers-toi si tu veux, on va voir ce que ma mère m'a écrit ». Je me dirigeais vers le bout du lit, toujours debout, et piquais quelques pop corn que je mangeais ensuite. Quand je scrutais le visage du jeune homme, cela ne présageait rien de bon. Je lui esquissais de nouveau un léger sourire d'un air désolé, « Je ne pense pas que cela me regarde ». Je me dirigeais ensuite vers le lit et m'asseyais à ses côtés. Cette lettre allait gâcher notre soirée, du moins, elle allait gâcher le moral d'Ethan. Mais, je ne pouvais pas l'empêcher de lire cette lettre de sa mère pour qu'il le fasse plus tard. Entre nous, et surtout en ce moment, il y avait beaucoup d'ambiguïté, on était comme des ex qui cherchaient à se retrouver. On était « presque-en-couple ». On aurait pu l'être véritablement depuis déjà plusieurs jours si j'avais voulu me précipiter. Mais, ça ne servait pas rien de se voiler la face. Ethan venait de quitter Solweig, il ne l'avait certainement pas oublié et l'aimait peut-être toujours et bien plus qu'il ne voulait le croire. En y repensant, cela me faisait peur. Et si moi, s'il m'arrivait quelques choses, m'abandonnerait-il ? Je chassais cette idée de ma tête et attrapais l'oreiller pour le mettre sur mes jambes déjà en tailleur. « Je crois que je préférerais que tu me dises ce que tu ressens et ce à quoi tu penses ». Je fis une pause pour trouver les bons mots et repris, « Je ne sais pas ce qu'il y a dans cette lettre, mais avec tout ce qui c'est passé, je veux savoir où tu en es dans ta tête et si les choses s'éclaircissent un peu ». Non, je n'avais aucune idée de ce qui pouvait être écrit, mais je voulais qu'il me partage ses impressions au lieu de n'être là que pour le bon temps.
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