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Happy Birthday my love
— with Oskamour
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Autant vous dire que j'avais la pression et que mon stress ne me quittait pas une seule seconde. Bébé Oska devait le sentir parce qu'elle bougeait beaucoup aujourd'hui et je sentais bien qu'elle manquait de plus en plus d'espace dans mon ventre. Mon dieu, j'avais tellement hâte que cette petite pointe le bout de son nez et d'un autre côté, j'avais peur de l'accouchement. Ça allait être long et pénible et avec la santé d'Osean, j'étais inquiète à l'idée de devoir faire ça toute seule. Mais aujourd'hui, il ne fallait pas que je pense à la naissance de ma princesse, mais plutôt aux vingt-trois ans d'Osean. C'était son anniversaire et malgré les tensions qu'il pouvait y avoir, je ne pouvais pas passer à côté de cet événement. Je préparais ça depuis des mois maintenant, alors j'espérais que tout allait se passer à merveille, que je n'allais pas me prendre un râteau. Pourquoi ?
Ce matin, j'avais laissé une enveloppe dans les affaires de mon homme et j'avais fait en sorte que ce soit la première chose sur laquelle il tombe au réveil. Dedans, il y avait une adresse et une clé. Rien d'autre. Il devait me rejoindre à Boston dans le quartier d'Harbor Area. L'adresse allait le mener auprès de la mer, dans un petit immeuble où se trouvent seulement quelques appartements. La clé ouvre l'une des portes, là où j'ai passé ma journée. À 19 heures, si tout se passait bien, il allait arriver et entrer. Il allait arriver dans un appartement entièrement vide, mais chaud, chaleureux. Au milieu de la pièce de vie, une petite table que j'avais dressée pour un repas d'anniversaire spécial Thanksgiving -que nous avions loupé-. La pièce de vie est plus grande que mon studio. L'appartement comptait en plus de ça une salle de bain avec baignoire et deux chambres. Dans l'une d'elles, j'avais installé un matelas gonflable pour y passer la nuit. En vrai, j'avais fait en sorte que ça soit romantique, calme et serin. Je voulais juste qu'il se sente bien. Pourquoi tout ça ? Pourquoi avec autant de stress et la peur de me prendre un râteau ? Parce que ça, c'était peut-être notre futur appartement. Notre chez nous. Un endroit où nous allions pouvoir accueillir notre princesse sans problème et où ce ne sera plus seulement "chez Alaska", mais "chez Osean et Alaska". Nos deux noms figureront sur les papiers. Alors voilà, j'étais stressée. J'avais apporté des affaires afin qu'on est le kit de survie pour passer une nuit ici. Vous n'imaginez même pas à quel point j'avais galéré pour convaincre le propriétaire de me laisser l'appartement alors que je n'avais absolument rien signé. Pour ce soir, je m'étais fait belle, je portais l'une des tenues qu'Osean m'avait offerte (la combinaison noire) et des chaussures à talons. D'autres surprises allaient arriver par la suite, mais pour le moment, l'appartement était la plus grosse. Il ne manquait plus que le plus beau des dunsters.
Ce matin, j'avais laissé une enveloppe dans les affaires de mon homme et j'avais fait en sorte que ce soit la première chose sur laquelle il tombe au réveil. Dedans, il y avait une adresse et une clé. Rien d'autre. Il devait me rejoindre à Boston dans le quartier d'Harbor Area. L'adresse allait le mener auprès de la mer, dans un petit immeuble où se trouvent seulement quelques appartements. La clé ouvre l'une des portes, là où j'ai passé ma journée. À 19 heures, si tout se passait bien, il allait arriver et entrer. Il allait arriver dans un appartement entièrement vide, mais chaud, chaleureux. Au milieu de la pièce de vie, une petite table que j'avais dressée pour un repas d'anniversaire spécial Thanksgiving -que nous avions loupé-. La pièce de vie est plus grande que mon studio. L'appartement comptait en plus de ça une salle de bain avec baignoire et deux chambres. Dans l'une d'elles, j'avais installé un matelas gonflable pour y passer la nuit. En vrai, j'avais fait en sorte que ça soit romantique, calme et serin. Je voulais juste qu'il se sente bien. Pourquoi tout ça ? Pourquoi avec autant de stress et la peur de me prendre un râteau ? Parce que ça, c'était peut-être notre futur appartement. Notre chez nous. Un endroit où nous allions pouvoir accueillir notre princesse sans problème et où ce ne sera plus seulement "chez Alaska", mais "chez Osean et Alaska". Nos deux noms figureront sur les papiers. Alors voilà, j'étais stressée. J'avais apporté des affaires afin qu'on est le kit de survie pour passer une nuit ici. Vous n'imaginez même pas à quel point j'avais galéré pour convaincre le propriétaire de me laisser l'appartement alors que je n'avais absolument rien signé. Pour ce soir, je m'étais fait belle, je portais l'une des tenues qu'Osean m'avait offerte (la combinaison noire) et des chaussures à talons. D'autres surprises allaient arriver par la suite, mais pour le moment, l'appartement était la plus grosse. Il ne manquait plus que le plus beau des dunsters.
© SEAWOLF.
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