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AILUS ✱ Here we are again ✱#2

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« C’est insupportable d’être loin de toi, de savoir que tu bosses, qu’il puisse y avoir des femmes qui te tournent autour alors que moi je suis en cours… » Oh bordel, t’es clairement en train de tomber amoureuse de lui si ce n’est pas déjà fait d’ailleurs. Tu ne supportes pas cette distance entre vous, quand toi tu es à la fac et que lui vive à Boston. Certes y’a tous les moyens de transports pour vite le rejoindre, mais quand même.
Mais il te rassure quand il te sort qu’il n’est focalisé que sur toi, c’est tout c’que tu voulais entendre, mais tu trembles légèrement, parce que tu n’as pas mangé depuis quelques jours et que c’était pas vraiment une bonne idée de ne rien avaler. Sauf que Gus, il s’est bien rendu compte que ça n’allait pas, tu ne peux pas continuer à lui mentir, ni même à lui cacher que depuis une semaine ça fait huit ans ou plus que t’as perdu ta grande sœur.

« Je l’sais que je peux compter sur toi, et inversement d’ailleurs… Mais tu ne peux pas savoir à quel point j’ai peur te perdre alors que ce n’est que le début nous deux. J’ai peur d’être enceinte et que tu décides de me fuir rien qu’en t’avouant ça… » tu as lâché cette mini bombe, après rien n’est encore certain, mais tu préfères lui en parler maintenant. « J’ai du retard, de quelques jours, je vais faire un test de grossesse ce soir. » le rouge te monte aux joues tellement t’es pas bien, tes jambes vont te lâcher si tu ne trouves pas un endroit où vite t’asseoir.
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Je ne veux rien comparer. Je ne veux pas mêler Juniper à notre histoire car elle est absolument différente. Cependant, ce genre de crise de panique et de "possession" m'avait manqué. J'ai de nouveau cette sensation d'être utile et d'exister. Je renais de mes cendres à travers Leen, j'ignore si c'est sain ou non, pour le moment, j'en éprouve beaucoup de bien. Quand elle me débite ce qu'elle ressent à dix mille à l'heure, je suis les mouvements de sa bouche et perd au fur et à mesure ce qu'elle me dit. Je suis obsédé par elle et si elle s'était essoufflée en cours de route, j'aurais bien pu lui dire ce qu'il se passait en moi. Toute cette agitation m'interroge. Cela ne lui ressemble pas, pas plus que ces larmes qui n'arrêtent pas de brouiller sa vision. Lorsque j'ose lui demander de nouveau si tout va bien, Aileen lâche un morceau et pas n'importe lequel. Mon monde intérieur s'assombrit et un désert glacial s'érige, balayant mon allégresse. Leen, enceinte de moi ? Sa première phrase m'avait paru être un exemple mais la seconde avait clarifié la situation, elle était vraisemblablement en retard. Mes yeux faillirent sortir de leur orbite, mon coeur cessa de battre, mon estomac jusque là béant se recroquevilla sur lui même. J'ai beau avoir beaucoup de recul sur moi même, on est jamais assez préparé à ce genre d'annonce. Je manque de trébucher et m'accroche à un lampadaire derrière nous. Je ne suis pas fâché, je ne m'y attendais juste pas. Je reste muet, secouant ma tête dans le vide tout en fixant l'étudiante. Oui, l'étudiante, c'est ce qui me perturbe le plus dans l'histoire ! " Je suis désolé, je voulais pas te mettre dans une telle angoisse, qu'est-ce que j'ai fait... " finissais-je par m'adresser en portant mes mains à mon visage, encore surpris. " Tu veux qu'on fasse le test ensemble ? Enfin, je peux pas pisser dessus à ta place, mais on pourra attendre la réponse tous les deux... " émis-je en me rapprochant d'elle pour éviter que les passants aient le droit à cette bribe de conversation si privée. J'ai envie de la rassurer et de lui dire que tout ira bien quelque soit le résultat mais rien de tel ne sort pour le moment. Je dois digérer et maîtriser toutes les pensées qui grondent dans ma tête. " Quoiqu'il arrive je serais là Leen. Je vais pas me barrer, j'assumerais tout, du mieux que je peux " articulais-je faiblement avant de foncer dans ses bras pour la serrer fort contre moi. Il manquerait plus qu'elle aperçoive cette larme que j'essayais de réprimer depuis le début. " Je ne veux pas gâcher ta vie. " murmurais-je dans son oreille en essuyant ma larme rebelle sur mon poignet.  
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Bon, tout ça, à la base c’était pas prévu, que tu lâches le morceau aussi rapidement, t’aurais préféré ne pas lui en parler, mais lui mentir, c’est quelque chose que tu ne feras jamais, parce que envers et contre tout, tu tiens à lui. Plus que tout. Et ces sentiments qui sont là, bien présents, il suffirait de trois mots pour lui dire c’que tu ressens pour lui. Enceinte… c’est une possibilité, mais être enceinte de Gus, ça te fera tout drôle. Ça fait quoi ? Deux mois peut-être un peu plus que tu le connais ? Et pourtant tu te souviens parfaitement de votre première rencontre, plutôt explosive pour au final te laisser approcher par lui.

Tu t’es faite avoir par ses beaux yeux, ses sourires, puis les choses sont allées plus vite entre vous, et c’est quelque chose qui t’as tout de suite plu, d’aller vers l’inconnu aussi facilement. Gus, ton beau brun mystérieux, cet homme qui occupe tes nuits, tes pensées, et même quand t’as pas le temps, c’est à lui que tu penses. Jamais tu n’aurais cru pouvoir vivre une telle chose avec ce type rencontré il y a peu, pourtant tu ne veux pas que ça s’arrête, voir où tout ça va vous mener. Alors que tu lui fais part de tes craintes, il s’excuse, tu t’sens presque triste de l’entendre te dire qu’il est désolé, ce n’est pas ça que tu voulais. « T’excuses surtout pas Gus…arrête ou je vais continuer de pleurer. » Tu ne peux pas t’empêcher de rire nerveusement quand il te propose de faire le test ensemble, qu’il ne peut pas pisser à ta place, même si c’est une situation qui n’est pas comique, il arrive à te faire rire.

« C’est c’que j’aime chez toi. T’arrives à me faire rire quand il faut, même dans ce genre de situation. » Il te prends brusquement dans ses bras, t’en avais besoin, de cette étreinte chaleureuse, cette étreinte qui te met du baume au cœur, qui te réchauffe alors que dehors il fait un froid de canard. « Jamais tu ne gâcheras ma vie. Au contraire, tu l’as embellie ma vie pas du tout trépidante, alors je t’en supplie Gus, ne m’abandonne pas, reste avec moi. » Tu t’écartes un peu de cette étreinte, le fixe de tes yeux bleus, en profitant au passage pour l’embrasser.
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J'ai toujours été comme ça, à dédramatiser dans les situations les plus périlleuses de ma vie. Le rire m'a sauvé à de nombreuses reprises, si je peux en faire bénéficier Leen, ça ne sera pas de refus. Je me maudis à présent de l'avoir foutu dans une merde pareille. Je n'ose pas imaginer les nuits misérables qu'elle a dû passer à se triturer les méninges à cause d'une éventuelle grossesse. Plus jamais elle ne doit subir ceci, et je compte bien prendre les devants pour l'accueillir enfin comme il se doit dans mon univers. Je ne peux plus lui ouvrir que quelques portes, elle doit à présent faire partie intégrante de ma vie, même si je sais que je vais galérer par moment. L'étreinte que nous partageons me rassure, elle aurait pu prendre peur et s'enfuir. Elle aurait pu me cacher toute cette histoire. Malgré le fait que je suis potentiellement un futur père, son baiser m'apaise. Nous sommes là l'un pour l'autre, c'est l'essentiel. La paternité, cela ne doit pas être pire que la prison. Je l'embrasse à mon tour, avec passion, quitte à choquer les plus prudes. Je m'éternise entre ses lèvres, nos langues entament une danse enflammée, je crois que je m'excite au passage. Je romps le baiser quand je me rend compte que mes mains se sont aventurées sur ses fesses divines. " Tu veux qu'on aille acheter le test maintenant ? Tu peux même aller crécher chez moi le temps que je finisse mes rendez-vous tu sais... Je nous achèterais un bon repas ce soir et tout ce que tu veux d'autre " proposais-je en regardant ma montre inquiet. Le temps passe si vite. Je ne sais pas si nous aurons finalement le temps de manger ensemble, peu importe. Ma priorité actuelle, c'est Aileen. Je me vois déjà faire ma vie avec elle, rentrer le soir et la retrouver sur le canapé. " C'est comme tu veux chérie, mais t'as pas à être toute seule pour tout ça, je veux être là. " complétais-je avant de lui dérober une flopée de baisers du bout des lèvres. Je sais que je ne la verrais pas avant plusieurs heures et rien que cette pensée m'angoisse, surtout dans son état émotionnel fragile. 
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Faire le test avec lui ? C’est vrai que tu te sentiras mieux s’il est à tes côtés, mais tu ne veux pas lui imposer ça, c’est moyen comme moment romantique non ? Tout c’que tu veux là tout de suite c’est de passer du temps avec l’homme qui fait délicieusement battre ton cœur, tu n’as pas envie de retourner sur le campus. Tout c’que tu veux c’est de continuer à passer du temps avec lui, de ne pas quitter ses lèvres qui t’ont tant manquées, tu ne saurais pas expliquer l’effet que ça te fait, de l’embrasser, ici, au milieu des passants qui font le chemin entre l’épicerie et l’hôpital. Et peu importe que certains vous regardent de travers, que l’on vous voit, que l’on se doute d’un petit écart d’années, et alors ? Tu as le droit, après tout il est plus ou moins à toi non ? Bien que vos sentiments ne soient pas encore tout à fait clairs, vous ressemblez beaucoup à un couple.

« Je ne veux pas t’imposer de faire le test avec moi, et je ne veux pas non plus rentrer chez toi, tout c’que je veux, c’est de rester avec toi. Dans le pire des cas, je t’attendrais à la cafet de l’hôpital. » Mais ce soir tu veux rester avec lui, passer la soirée, la nuit, le petit-déjeuner avec lui. « Par contre ce soir, c’est moi qui fait à manger d’accord ? On pourra aller faire les courses ensemble, qu’en penses-tu ? »

Tu as ce sourire idiot aux lèvres, parce que t’es tout simplement heureuse, et t’as même l’impression d’être sa petite femme à lui, qui a envie de lui préparer un plat fait maison, de regarder un film avec lui, calée dans ses bras, ne plus le quitter. Tu lui rends ses baisers, tu n’arrives plus à t’en passer, il est un peu comme ta drogue, et tu as besoin de ta dose tous les jours. « Mais avant que tu ne retournes bosser, va te prendre quelque chose à manger, je ferais de même à la cafet tout à l’heure, ne t’inquiète pas pour moi amour… » Ouais c’est ridicule, mais tu rougis en utilisant ce petit surnom tout dégoulinant d’amour.
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La routine, c'est tout ce dont j'ai besoin pour le moment. Je me suis levé pendant deux ans avec la peur au ventre, la peur de me faire planter en taule. Depuis que j'ai retrouvé ma liberté, je me fond dans le décor et je profite des choses simples. J'espère que cet aspect de ma nouvelle philosophie de vie n'ennuiera pas trop Leen. Je compte bien regagner mon côté aventurier avec le temps mais pour l'instant, je roule à deux à l'heure. Alors, bien évidemment, la proposition de la jeune femme sur notre soirée me séduit." On fera le test ensemble et quoiqu'il arrive on mangera après, mais je pourrais t'assister aux fourneaux steplaiiis ? " la suppliais-je en joignant mes mains devant moi. Je ne veux pas placer Leen en un stéréotype de femme à tout faire. Après avoir jeté un coup d'oeil rapide à ma montre, la blonde compris mon urgence et encore une fois, elle se montra plus que compréhensive. J'embrasse furtivement sa joue et tourne les talons en emportant sa main dans la mienne. Nous rejoignons l'hôpital et je me dirige vers la pharmacie interne. Je n'ai plus peur d'être jugé. Je croise les doigts pour que la pharmacienne tienne sa langue, voilà tout. J'avance vers le rayon des tests de grossesse et attrape le plus "performant". " Ça fera probablement l'affaire " commentais-je en tournant la boite entre mes doigts pour lire quelques indications. Ce n'est pas moi qui vais m'y coller mais cela en a tout l'air. Je contourne quelques étalages et pose fièrement le test sur le comptoir. La professionnelle me dévisage dans ma blouse blanche et zieute ensuite Leen à mes côtés. Je ne supporte pas le dédain dans ses yeux mais j'ignore. Elle bipe le produit et elle n'a pas le temps de signaler tout haut le montant que je lui jette une poignée de dollars froissés. " Gardez la monnaie " ponctuais-je froidement tout en dérobant la boite en carton tout juste emballée dans un sac. " Voilà une bonne chose qui est faite ! " m'exclamais-je en sortant de la boutique. " Alors chou, j'en ai environ pour trois heures cette après-midi, tu peux attendre dans ma salle d'attente ou bien ici c'est comme tu veux, mais si tu veux rentrer chez toi, je peux t'y retrouver ou quoi, comme tu le sens " débitais-je au milieu du hall, tendant le sachet à la demoiselle pour qu'elle le camoufle dans son sac à main.  
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Il t’fait sourire quand il te sort qu’il voudra t’aider pour le repas du soir, tu trouves ça trop mignon, mais tu ne le lui diras pas, tu ne veux pas non plus le ridiculiser en lui sortant ça, préférant rester discrète sur tes pensées du moment. Tu te vois déjà dans sa cuisine, avec lui à tes côtés, à te concentrer pour faire un plat digne de ce nom, et ne pas céder à l’envie de lui arracher ses vêtements. Et pourtant, rien qu’à cette pensée, tu sens le rouge te monter aux joues, alors t’es très probablement en train de sourire comme une cruche. « Oui oui, si t’es sage t’auras le droit de m’aider en cuisine, mais uniquement si t’es sage. » tu lui tires la langue, okay, c’est très puéril comme geste, mais tu t’en fous, avec lui tu peux être vraiment toi-même. Tu viens l’embrasser sur la joue, puis finalement vous retournez à l’hôpital, il achète ce qu’il faut pour toi, et t’es un peu nerveuse, espérant sincèrement ne pas être enceinte. Puis vu la tête que fait la bonne femme à la caisse, ça t’met encore plus mal à l’aise.

Une fois en dehors de la boutique, tu sens tes mains trembler, tu ne sais pas si tu es capable d’attendre jusqu’à ce soir pour pouvoir faire le test, mais tu seras rassurée en ayant Gus à tes côtés, quoi qu’il arrive. Puis tu l’es encore plus en sachant qu’il serait prêt à tout pour toi si jamais tu es enceinte.

« J’vais t’attendre à la cafet de l’hôpital, je vais en profiter pour grignoter quelque chose, histoire d’avoir un truc dans le ventre en attendant le repas de ce soir. Je viendrais peut-être dans ta salle d’attente dans deux heures. » Pour ne pas être trop loin de toi. Tu attrapes le sachet en plastique qu’il te tends, le range immédiatement dans ton sac et viens l’embrasser au coin des lèvres. « Tu vas me manquer, reviens moi vite mon ange. » Que tu puisses à nouveau le garder rien que pour toi, hâtive de passer une soirée de plus avec lui.
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Toute cette histoire a bien entendu un impact sur moi. Mes consultations de cette après-midi n'auront pas la même attention que celles de ce matin. Qui pourrait avoir l'esprit libéré tout en sachant qu'il va peut être devenir parent ? Mon ventre me brûle, mon rythme cardiaque est au dessus de la normale. Malgré ces symptômes étranges, je n'ai pas l'impression que cela soit négatif, au contraire. C'est une forme d'excitation dans l'entre deux. J'ai hâte d'être fixé afin d'orienter mon futur. Pour l'heure, je dois me séparer de ses beaux yeux et retourner à mon bureau. Elle ne sera pas loin ce qui me rassure. J'acquiesce à ses plans et souris à sa dernière phrase d'amour. " Tu vas me manquer aussi, prends soin de toi et révises tes matières tiens ! " exprimais-je en fronçant les sourcils pour marquer une certaine autorité désuète. Après un ultime baiser, je me suis éloigné d'elle pour rejoindre mon office quelques étages plus haut. Je me suis pris un sandwich dans un distributeur puis je l'ai avalé avant que mon premier rendez-vous ne commence.

Ainsi, j'ai enchaîné trois patients complètement différents, songeant toujours en arrière plan à Aileen. Quand la dernière personne ferma la porte derrière elle, je pu enfin souffler longuement et fermer les yeux. Je me suis recentré sur moi même, me préparant à la soirée et à son hypothétique aboutissement. Après cinq minutes de relaxation intense, j'ai rangé mes affaires personnelles dans ma sacoche et j'ai retiré ma blouse. Une fois ce simple bout de tissu rangé, je redevenais le bon vieux Gus sans l'étiquette du manipulateur d'inconscient. Je sors ainsi du bureau, refermant derrière moi et traversant le couloir menant à la salle d'attente. Ma tête dépasse de l'encadrement de la porte et mes prunelles s'arrêtent sur les longues jambes croisées de Leen qui bouquine. " On y va chérie ? " l'interrogeais-je pour la sortir de sa concentration. Quand nos regards se croisent de nouveau, mon palpitant fait de nouveau des siennes, signalant sa présence que j'ai déjà oublié. " Tu as une idée du repas de ce soir ? Histoire de voir si mon frigo et mes placards ont ce qu'il faut pour... " me renseignais-je en apparaissant complètement sur le seuil de la pièce.  
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A la cafet, tu en as profité pour te prendre un sandwich, un café bien chaud, même si la caféine n’est pas vraiment ton truc dernièrement, mais au moins ça te maintiendra éveillée le temps de l’attendre. Et tu sens que l’attente va être longue, très très longue, alors t’en profite aussi pour t’avancer dans tes cours, réviser pour les partiels qui arriveront à la rentrée, et tout le tralala. Mais t’es nerveuse, alors ton nez a vite quitté les bouquins, tapotant ensuite des doigts sur la petite table où tu t’es installée. Tu regardes l’heure sur ton portable au moins toutes les cinq minutes, en fait tu as hâte de retrouver ton Gus, de lui faire à manger, rester avec lui, et surtout lui parler de tes choix, de quitter la fac pour entrer dans la vie active.

Et si jamais il n’est pas d’accord avec ça ? Qu’il ne veut pas que tu gâches tes études trop rapidement ? Tu soupires, laisses le temps passer, quittes la cafet de l’hosto pour aller faire un tour rapide à l’extérieur, tout en réfléchissant à ce que tu vas faire à manger ce soir. Puis c’est seulement vingt minutes avant qu’il ne termine sa journée que tu t’es rendue dans sa salle d’attente, après avoir demandé le chemin à une des personnes travaillant ici. Le nez dans un bouquin, c’est la voix de Gus qui te fait sortir de tes pensées, tu redresses la tête en sa direction, un sourire qui vient illuminer ton regard. « J’suis prête. » tu te lèves de la chaise où tu étais moyennement bien installée, des fourmis dans les pieds « J’pensais faire un truc tout simple, des spaghettis bolognaises, c’est rapide et bon, ça te convient ? » tu lui demandes, après l’avoir rejoint et après l’avoir embrassé tendrement. Il t’a manqué, c’est fou comme le temps passe lentement sans lui. Puis tu décides de te serrer dans ses bras, la tête enfoui dans son cou « Tu sens bon. » tu lâches, mielleuse.
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J'ignore à quoi va ressembler notre soirée improvisée, de toute façon, nous n'avons jamais rien calculé, tout est venu naturellement, nous n'allons pas changer cette habitude. Nous sortons collés de l'hôpital, prêts à rejoindre mon appartement. Je ne prends que très rarement ma moto en ville, ce matin, je suis venu en métro, et malheureusement, nous allons devoir faire de même pour le chemin du retour. " J'aurais dû prendre des menottes pour pas te perdre dans le métro " plaisantais-je en me dirigeant d'ailleurs vers le souterrain tant redouté. Nous descendons les marches main dans la main, pressés de quitter ce lieu nauséabond et peuplé. Je poinçonne mon ticket deux fois pour ne pas avoir une clandestine à mes côtés. Puis, après un dédale de couloirs, nous atterrissons face au bon quais. " Tu vas bien ? Pas trop stressée par rapport à tu sais quoi ? " la questionnais-je en attrapant sa taille pour la ramener contre moi.
Tout à coup, une femme en larmes hurle et saute sur les rails. Un mouvement de foule stupéfait se créer. Leen et moi faisons de même. J'entends déjà le son de la rame qui raisonne dans le tunnel. Elle va vraiment réussir son coup cette nana ! J'ôte mon manteau et le jette à terre, me précisant dans la fosse pour ramener cette suicidaire du bon côté. Je saute en contre bas, roulant dans des gravas. Les phares du véhicule apparaissent au loin. Je tire la femme de toutes mes forces, la sortant des rails pour la plaquer vers le bord et la hisser au dessus. Quelques personnes m'aident à la remonter et ce n'est que cinq secondes à peine qui me reste pour regagner le sol de la gare. Mon coeur bat à vive allure, je me sens doté d'une force surhumaine ne sachant pas encore ce que je viens de réaliser. Des agents débarquent peu de temps après, quand à moi, je me retire de ce bain de foule, cherchant la frimousse de Leen avec inquiétude. Le métro est à quai mais ces portes restent fermées. Une horde m'écrase contre la paroi d'un wagon, je m'en extirpe sauvagement pour regagner le fond. " Leen t'es où ? Leeeen ! hurlais-je en sueur. Est-ce qu'il peut y avoir au moins une journée de normale dans ma vie ?
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